Ayant acheté le Monde hier soir, j'ai pu lire ce que certains d'entre vous m'avaient déjà annoncé. L'interview d'Alain Finkielkraut et le retrait de la plainte du MRAP, décidé le 25 novembre. D'un coup, mon orgueil prêt à s'enfler - je n'étais pas loin de croire que le MRAP avait apprécié ma note et en avait tiré toutes les conséquences ! - en a pris un sérieux coup. Ce qui n'est jamais mauvais.
AF "assume", pour l'essentiel, ses propos à Haaretz et les justifie. Il se propose d'être plus prudent à l'avenir pour ce type d'interview et même de les refuser. Il a raison. J'évoquais, dans mon texte, "sa surabondance médiatique" qui, à force, risque d'altérer la force de son discours et, en tout cas, de le banaliser. Le MRAP, certes, a fait machine arrière mais les déclarations de son Président montrent à mon sens que la compréhension du point de vue d'AF reste nulle. Si le réel a fait irruption dans la tête de celui-ci, il est demeuré à la porte du MRAP.
Monsieur,
voici un lien qui je l'espère, vous éclairera sur l'atmosphère ambiante.
Après lecture des mots énoncés, ici :
http://lmsi.net/article.php3?id_article=490
Rédigé par : Perky | 19 décembre 2005 à 09:58
Le MRAP a l'habitude de se désister des poursuites qu'il engage si l'intéressé présente des excuses ou exprime des regrets. C'est ce qui s'est passé pour le fameux sketch de Dieudonné et le SMS de Fogiel.
Je crains qu'en effet la lecture de votre blog n'y soit pour rien. Vous débutez dans la blogosphère, soyez patient...
Rédigé par : Eolas | 27 novembre 2005 à 21:11