Je crois utile d'indiquer à tous ceux qui me font l'honneur et le plaisir de "visiter" ce blog ou d'adresser des commentaires qui ont été tous publiés (à deux exceptions près) que je réponds souvent personnellement à mes interlocuteurs. Ainsi, ce matin, j'ai fait une longue réponse à Ogier. Tout cela pour souligner que je ne traite aucun de vos propos à la légère.
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"J'avoue que l'extra-terrestre Bilger me laisse rêveur ;)
Jean-Dominique Reffait "
chacun son avis : moi il me fait plutôt rêver !
:-)aussi !!
Rédigé par : Cactus Joe | 26 janvier 2006 à 21:29
Franchement, Monsieur Bilger, de quelle école de magistrats sortez-vous ? Depuis quand un avocat général ne considère-t-il pas comme faute professionnelle d'avoir un regard critique sur les dossiers qu'on lui présente ? Depuis quand un avocat général dialogue-t-il sans le mépris nécessaire de sa fonction avec de misérables citoyens ? Depuis quand un avocat général se pense-t-il comme un fonctionnaire impartial ?
Que s'est-il passé dans votre jeunesse ? Avez-vous eu une vocation ? Une vraie vocation de vérité et non d'accusation ?
J'avoue que l'extra-terrestre Bilger me laisse rêveur ;)
Rédigé par : Jean-Dominique Reffait | 25 janvier 2006 à 22:39
Permettez-moi de profiter de votre méthode pour vous poser une qustion à la suite de la lecture de votre billet intitulé : faut-il condamner le juge d'instruction? A chaque bavure judiciaire, c'est souvent sur lui que pleuvent les critiques. On va souvent jusqu'à mettre en cause sa personnalité en ce qu'il ne seraitn pas doter des qualités qui doivent faire un bon juge d'instruction. Les commentaires sur le juge Burgaud n'échappent pas à cette règles. Ce qui me frappe dans ce genre d'affaires, c'est à chaque fois la jeunesse et l'immaturité professionnelle de juges d'instruction mis en cause dans ce type d'affaire où la justice a failli. Je souahiterais savoir comment s'effectue leur désingnation?
En raison de la dualité de la fonction que vous expliquez fort bien dans votre billet, ne pourrait-on pas mieux tenir compte de leur vécu et de leur expérience professionnelle, notamment en fonction des affaires qu'ils ont eu à traiter, mais également de la maturité de juges en tant que personne. Vous parlez "d'écartélement intellectuel et d'ambiguité judiciaire que l'intelligence la plus souple ne peut prétendre assumer dans leur plénitude".J'ai le sentiment qu'en ce domaine la qualité professionnelle se bonifie avec le temps. Choisir des juges d'instructions expérimentés ne serait-il pas une réforme plus concrête plutôt que de s'interroger comme on le fait depuis longtemps sur la suppression ou le maintien du juge d'instruction?
Rédigé par : gtab | 23 janvier 2006 à 13:57
Je témoigne aussi, et sans citation.
Rédigé par : Edouard | 23 janvier 2006 à 01:45
j'en atteste aussi !
en bonne logique :
puisque discours
de la méthode alors possibilité de redistribution des cartes , non ?
bien à vous !
Rédigé par : Cactus Joe | 22 janvier 2006 à 23:25
Je peux attester de vos courtoisie et attention aux commentaires à vous adressés et abuse de l'occasion pour vous en remercier vivement .
Grâce à vous , je reste convaincu de la pertinence de la définition du droit par le Digeste : " jus est ars boni et aequi " .
Dans l'attente de vous lire à nouveau rapidement ...
Rédigé par : Parayre | 22 janvier 2006 à 20:51