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29 juillet 2008

Commentaires

Cactus atrabilaire , déstabilisé

"Il faudra bien, une fois...... stabilisé quelque part, que je tente d'analyser........."

Je m'inquiète pour votre santé , moi , là !
soyez prudent , prenez des vacances !
L'instabilité se tait d'habitude même si ce n'est point votre tasse de thé voire de tais toi ou taisez vous !

ou alors ce n'est qu'une instabilité gravitationnelle en astrophysique ! ( moins grave alors que des des perturbations des messages du capteur podal )

Sissi et à bientôt !

Catherine JACOB

@mike

Je vous l'accorde. C'est sans doute le cas également des familles d'otages exécutés. Il y a toutefois quelques différences entre les premières et les secondes qui je pense ne doivent pas vous échapper !
Si toutefois il faut vous les détailler, pas de problèmes !

mike

@ CATHERINE JACOB

L'arithmétique ne console pas les familles des victimes des exécutions.

Collectif des jeunes Iraniens Libres

Soyons intransigeant sur les droits de l’Homme en Iran.

Partout où la peine de mort est prodiguée, la barbarie domine ; partout où la peine de mort est rare, la civilisation règne. [Victor Hugo]

Une nouvelle fois comme chaque été, sous la république Islamique, une vague d’exécution, de lapidation, d’arrestation d’activistes politiques, et de tortures se met en place.

Durant les deux dernières semaines, le régime théocratique en place en Iran a procédé a plus de 35 exécutions sur les places publiques et dans ses prisons, neuf personnes ont été condamnées à la lapidation. Les étudiants, mouvements des femmes, syndicalistes et activistes des minorités sont aussi touchés de plein fouet par cette répression.

En effet la vingtième commémoration prochaine des tragiques exécutions massives des années 1980, montre que seule change la stratégie de communication du régime qui annonce dorénavant ses exécutions par le biais de diverses voix de propagande, choses qu'elle n'osait faire à l'époque.

Nous condamnons fermement ces procédés et appelons à une solidarité internationale envers le peuple iranien.
Dans ce but nous vous appelons a participer à un rassemblement le 31 juillet 2008 de 17h00 à 19h00, face au ministère des Affaires étrangères (métro Invalides).

Catherine JACOB

@mike et @jmdesp
"Et en Chine, alors !"
"La Chine, elle, exécute 15 000 personnes par an (80% des exécution capitale de la planète)."

Si l'on compte bien, "Au 31 décembre 2005, la population chinoise avait atteint 1 307 560 000 personnes" sans compter ce qu'ils appellent les 'enfants au noir', autrement dit les naissances non déclarées.

15000 exécutions, cela fait 0,00001147% et des poussières. Mais il me semble que le Figaro a évoqué 5000 et non trois fois ce chiffre, ce qui fait 0,00000382%

La démographie de l'Iran fait état pour sa part de 65.000.000 personnes, grosso modo. Les 29 exécutions en cause représentent 0,000000446% en effet, mais le total annuel se monterait selon Amnesty International à 108, soit 0,00000166% autrement dit et en pourcentage, la moitié seulement en effet !

Ceci étant, "Le nombre d'exécutions capitales place les Etats-Unis dans le peloton de tête des pays qui appliquent la peine de mort, après la Chine, l'Iran, l'Arabie Saoudite et l'Irak." dont 1/3 pour le seul Texas ! Je ne connais pas les chiffres, mais je me demande ce que cela pourrait bien donner rapporté à la seule population de cet Etat.
De même, je pense qu'il faudrait rapporter le pourcentage actuel pour la Chine au pourcentage de la décennie antérieure avant de critiquer l'absence de progrès ou une situation qui aurait empiré !

"Ne pas voir l'homme, même au sein du pire individu, n'augure rien de bon" me paraît impliquer de voir aussi l'homme dans cela. Il y a le barbare certes dans lequel il y a encore quelque part sans doute de l'humain à considérer donc à sauvegarder, et il y a le gouvernement des hommes par d'autres hommes dans lequel il ne faut pas négliger non plus de discerner quelque part une barbarie sans visage dès lors que la responsabilité en est diluée ou indirecte !

Pierre-Antoine

Cher ami,
Votre billet est remarquable comme d'habitude, mais il me laisse un arrière-goût d'incomplet.
En Iran on ne pend pas seulement les criminels, mais aussi des chrétiens qui ont eu le seul tort d'avoir été musulmans à leur naissance. Il suffit de les accuser de blasphème, ou de je ne sais quel autre crime passible de la peine de mort, pour les pendre ou les lapider.
Et cela dans une indifférence la plus totale, la plus hypocrite pour les occidentaux que nous sommes.
Au lieu de focaliser sur la peine de mort, focalisons sur les "coupables innocents du seul crime de croire autrement".

Avec l'association que j'ai créée, nous aidons ceux et celles qui ne peuvent pas avoir voix au chapitre des droits de l'homme par motif de conscience.
Cette association s'appelle "eleutherie", si ça intéresse quelqu'un, je peux lui fournir tous les renseignements souhaités.

Cordialement

Pierre-Antoine

Duval Uzan

Bonjour,

J’ai vu, j’ai tout vu. Si ça ne nous tue pas, ça nous TAIT ! Surtout tout de suite après le non lieu pour Allègre.
Vous dites : « 29 pendaisons ont fait disparaître de la surface de la terre des meurtriers des violeurs, des trafiquants de drogues »
Qu’en est-il des homosexuels ?? Réponse: « Mais il n’y en a pas chez nous, il n’y en a pas du tout... »
Au sujet de Siné :
Jacques Lacan a su par une seule phrase résumer le problème de l’antisémitisme. Il a dit en substance ceci :
« Le problème des juifs, c’est qu’ils ne sont pas GENTILS, s’ils étaient GENTILS, le problème ne se poserait pas du tout »
Edgar Morin l’a répété après lui. Il a ajouté que ceux qui sont devenus gentils ont des problème à cause de ceux qui ne le sont pas devenus !
Cela me fait penser au film de Marcel Carné « Les visiteurs du soirs », à la fin on voit le diable frapper fort sur la statue du jeune couple et crier de façon désespérée :
« ILS VIVENT ILS VIVENT !

Aussi au sujet de Sartre :
Il me semble qu’il n’avait pas dit que c’est les juifs qui créaient l’antisémitisme, mais que la haine sans objet crée l’objet. C'est-à-dire que si le juif n’existait pas on l’aurait inventé mais pas spécialement lui, n’importe quel autre.
Il ne faut pas dire « je vois un OURS j’ai peur, mais j’ai peur je vois un OURS » (l’imaginaire).
C’est d'ailleurs le même mécanisme qui joue dans la paranoïa.
Pour terminer : la suite de ma petite histoire juive :
David demanda à Moïse :
« Au fait c’est plus jamais quoi ? » Moïse répondit « c’est juste pour les fours, pas pour la haine, ils n’ont pas encore trouvé de remplaçant, mais il ne faut pas désespérer.

Duval Uzan

Pour finir voici encore un peu de Finkielkraut (extrait du "Juif imaginaire")

L’antisémitisme change parfois de nom, mais jamais d’intrigue ; ce qu’il nous raconte toujours c’est la même sombre histoire de manigances et de complot. Sioniste ou Juif, l’antihéros de cette fable est doté de pouvoir identiques : ceux de la pieuvre, créature démultipliée qui absorbe dans ses tentacules un nombre prodigieux de victimes ; ceux de l’araignée qui tisse patiemment une toile impalpable, et enferme ou veut enfermer, la presque totalité de l’humanité dans les mailles de son réseau. Portrait du juif en insecte ou en céphalopode. Mais pourquoi justement ce bestiaire ?? Pourquoi l’allergie aux juifs prend-elle systématiquement la forme d’une paranoïa ? Sans doute parce que l’altérité juive n’est pas une altérité comme les autres. Ces gens là échappent à toute assignation : celle du Regard, celle du concept, celle de l’Etat. Il y a bien un type juif mais cette règle souffre trop d’exceptions pour être vraiment sûre.
Ou plutôt en matière de judéité c’est le type qui est l’exception et c’est son absence qui est la règle. Bref on ne reconnaît que rarement le juif du premier coup d’œil. Et cette différence immatérielle résiste à la définition autant qu’au regard ; peuple ? religion ? nation ?
Toutes ces catégories lui sont à peu près applicables, aucune ne satisfait vraiment ; depuis l’ouverture des ghettos, ils échappent en tant que groupe à toute localisation. La diaspora l’invisibilité, l’indétermination. C’est ce triple échec de la clarté qui rend les juifs si vulnérables à l’accusation de complot…
Il est toujours consolant, on l’a vu, de donner une cause unique à nos déboires et de discerner sous le chaos du monde un ordre clandestin, même s’il s’agit d’ordre abominable. Le thème de la conspiration est une idée qui fait plaisir.
Et le juif cet autre insaisissable est le meilleur des diables possibles dans notre monde sécularisé. S’il n’était qu’un étranger, l’antésimitisme - variété de racisme - se contenterait de le tenir à distance ou de le rejeter.


Les émigrés des pays de l’Est en ont souvent fait la constatation ironique et amère ; on ne parle la langue de bois que là où elle est pouvoir. Dans les démocraties populaires, le marxisme pétrifié a ses fonctionnaires et ses victimes mais c’est dans l’Europe libérale qu’il a ses enthousiasmes et ses militants. Le sionisme n’est nulle part un délit en Occident, mais le vocable sioniste y sert parfois d’injure. Ce qui est là-bas une catégorie pénale est ici un concept vivant : c’est la spécialité du marxisme occidental que de ressusciter les langues mortes, de mettre un bonnet rouge sur le code criminel et de redonner à des slogans desséchés une nouvelle ardeur révolutionnaire.
Nous sommes nombreux en tout cas à en avoir fait les frais : jeunes juifs radieux d’appartenir à un peuple couronné de malheur, nous attendions celui qui allait nous traiter « Youtre », nous fantasmions notre riposte, nous savourions son écrasement ; et en lieu et place de ce faf, de ce nazillon, nous rencontrions, à chaque pas, des donneurs de leçons bouffis de bonne conscience, et qui nous rendaient coupables des exactions d’un Etat décrit comme théocratique, impérialiste et militaire. C’est le colon ou le para qu’on haïssait en nous et non l’exilé ou le nomade. Nous n’étions plus une minorité persécutée, mais des oppresseurs arrogants.
Une chance pourtant nous était laissée de retrouver notre ancienne image : produire notre certificat de divorce avec Israël. Il régnait alors dans les milieux progressistes une atmosphère d’inquisition... Pour être accepté comme juif il fallait rompre tout lien avec le sionisme »…


jmdesp

La Chine, elle, exécute 15 000 personnes par an (80% des exécution capitale de la planète).

Le Japon, pourtant une démocratie très respectable par de nombreux aspects, exécute lui aussi par pendaison. Même si le nombre est beaucoup plus limité que l'Iran, la méthode a des aspects franchement choquant : bien que le processus soit extrêmement long et dure des années, les prisonniers n'ont aucun information sur son avancement, et ne seront prévenus que quelques heures avant le matin du jour de l'exécution. Et personne à l'extérieur, ni la famille, ni un avocat, n'est prévenu par avance.
On remarquera aussi en 2006 le choix d'un goût plus que douteux du jour de Noël pour exécuter 4 condamnés simultanément (même si les catholiques sont une petite minorité au Japon, ils sont quand même présents. Et les autres, même s'ils ne donnent pas au 24 décembre de signification religieuse, l'ont tout de même adopté comme jour de festivité).

Bien sûr que ces 29 exécutions sont choquantes. Mais elles ne font malheureusement pas de l'Iran le pire exemple au monde, et choisir ce facteur pour les ostraciser en oubliant les pratiques à peu près aussi choquantes -- ou même plus -- d'autres pays n'est pas équitable.

N'oublions pas par exemple aussi, je ne crois pas que ce soit un exemple si mineur que cela, que les Etats-Unis ont continué à exécuter des personnes mineures au moment des faits pendant deux années après que l'Iran a décidé que c'était suffisamment barbare pour l'arrêter. Et qu'aujourd'hui encore il est rarissime de voir les lois protégeant aux Etats-Unis les irresponsables mentaux retenues pour leur éviter l'application de la peine de mort.

Dans l'exemple du lien ci-dessous, le condamné a finalement obtenu la grâce du gouverneur, mais au procès aucun compte n'a été tenu de son état mental ne laissant pourtant pas vraiment de doute sur son irresponsabilité :
http://asiapacific.amnesty.org/library/Index/FRAAMR511922006?open&of=FRA-USA

Laurent Dingli

Le gouvernement des mollahs n'exécute pas seulement des criminels, convaincus ou supposés, mais aussi des opposants politiques, comme ce fut le cas de ces étudiants contestataires pendus à des grues de chantier, en pleine rue, il y a quelques années. En ce qui concerne la peine de mort, c'est un vaste débat : mais la seule éventualité que des innocents puissent être exécutés devrait la faire rejeter. Souvenons-nous de ces prisonniers américains disculpés in extremis et pour ainsi dire dans l'antichambre de la mort. Enfin, l'appréciation du crime est très relative sur le plan politique et culturel : imagine-t-on, en Europe, exécuter un dealer, un voleur, une femme adultère ? Un autre exemple, il y a quelques années encore, un tueur en série iranien avait égorgé plusieurs prostituées à Téhéran. Or, cet homme bénéficiait de la complaisance, voire même du soutien actif d’un grand nombre d’Iraniens (surtout des hommes, il va sans dire). En d’autres termes, il poursuivait, par d’autres moyens, le combat officiel de la vertu contre le vice (vous vous souvenez qu’un ministère était même désigné de la sorte chez les voisins talibans). Donc suivant les critères d’une société donnée à un moment donné, une prostituée ne mérite pas de vivre et son assassinat devient un acte de salubrité publique.
Un autre facteur me fait aussi rejeter la peine capitale : l'accoutumance à la violence. Dans nos sociétés modernes, celle-ci est présente, bien entendu, mais elle est souvent cachée, rejetée en dehors du visible, comme le récit d’Aïssa nous en a donné une illustration l‘autre jour. Et je crois que cette mise à l’écart, que d’aucuns qualifieront probablement d’hypocrite, possède d’importantes vertus, car elle oblige à prendre en charge l’être humain déviant, avec toutes les difficultés que cela suppose. Lorsqu’on se situe du côté des victimes, la mort du coupable représente-t-elle une compensation ? C’est à elles de répondre, sans doute, mais il me semble que l’exécution compte moins en l’occurrence que le fait d’empêcher un criminel de nuire réellement et durablement (d‘où l‘intérêt de la rétention de sûreté tant vilipendée par nos amis de gauche). Ce qu’attendent surtout les victimes c’est que leur souffrance et le préjudice qu’elles ont subis soient reconnus. Et puis, quelle compensation peut-on obtenir pour la mort d’un enfant ?
En ce qui concerne l’accoutumance à la violence, on pourrait prendre la Chine comme contre-exemple, bien que les choses soient amenées à changer : la cruauté exercée contre l’homme et contre l’animal est fortement ancrée dans les mœurs en Chine : un homme ou une femme s’écartent-ils du droit chemin ? Ils sont tout simplement exécutés d’une balle dans la nuque. Suspecte-t-on deux ou trois cas de rage dans une province ? On extermine immédiatement 50.000 chiens dans la rue, à coups de barre de fer et on va même les arracher aux bras de leurs maîtres pour les exécuter. Je crois fermement qu’il existe un lien de cause à effet d’une part, entre ces deux réalités et de l‘autre, entre le seuil de violence toléré par une société et son niveau de modernité. Et lorsque je parle de violence, je n’oublie pas, une fois encore, celle dont les victimes de crimes ont été l’objet, c’est pourquoi les sociétés trop répressives comme celles qui sont trop laxistes ne me semblent pas répondre aux critères du progrès et de la modernité.

Catherine JACOB

"Qui peut penser une seconde que la légitime indignation à l'encontre de ces actes criminels odieux doive nécessairement s'accompagner d'une sauvagerie étatique qui les dépasse dans la gravité ?"

C'est exactement ça !

"Il n'empêche que le cynisme content de soi avec lequel les autorités iraniennes ont annoncé ces morts à la chaîne, "contre le crime organisé", me fait froid dans l'esprit et, sur un plan plus vaste, craindre l'avenir à propos du nucléaire. Il y a une logique dans l'inhumanité. Ne pas voir l'homme, même au sein du pire individu, n'augure rien de bon sur le registre de la politique internationale."

Je pense que vous faites partie des gens clairvoyants. C'est pourquoi par ailleurs, et même si je ne partage pas toutes vos vues, j'ai un peu tendance à 'squatter' votre blog avec autant de plaisir. Mais, passé les vacances, je vais faire un effort !

Plus sérieusement, je partage vos craintes et je ne souhaite pas du tout revoir ceci ici :
http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/b/b0/Jacques_callot
_miseres_guerre.gif
= L'arbre aux pendus, de Jacques Callot

ou encore je souhaite que ceci reste tel quel:
http://krapoarboricole.unblog.fr/files/2008/02/reyersvillerchenedessue
doisgrand.jpg
= le chêne pédonculé cinq fois centenaires du pays de Bitche (qui soit dit au passage va bientôt être privé d'abriter le 57° régiment d'artillerie), et où on l'appelle "Le chêne des suédois" en mémoire du triste comportement de l'armée suédoise qui, durant la guerre de Trente Ans(1618 à 1648), y aurait pendu (1634) tous les habitants de Kirscheidt. Autrement dit, cette guerre à l'occasion de laquelle "des fortunes colossales ont également été amassées de façon scandaleuse sur le malheur des populations par des hommes sans scrupule.

De même, les pires exactions ont été commises : tortures, massacres en masse d’innocents, viols, assassinats, etc. Certains épisodes ont marqués les esprits pour des décennies et sont longtemps restés dans le souvenir collectif, alimentant en chaîne le cycle infernal des représailles et de la vengeance." (Source Wiki)

Il me semble que c'est à cette occasion que l'on peut par ailleurs trouver mention dans les anales du duché de Lorraine de divers cas de cannibalisme!

Enfin, il existe dans la famille l'une des deux seules maisons restées à peu près debout après le passage des suédois et qui a pu être restaurée.
Deux c'est peu, pour toute une région...! Mais avec les moyens dont on dispose maintenant, il y a des chances qu'il ne reste pas même l'ombre d'une cave, renseignements performants ou non !

tokic

En Chine ?! Il se passe quoi en Chine ? Y'a les JO... les "opposants"... écrivains... ouvriers des chantiers olympiques sont priés de rentrer tranquillement à la maison. En province, évidemment, loin de la capitale évitant ainsi de donner une mauvaise image de ce si bô pays.
...
Tout le monde s'en fout de toute façon... et puis ce billet ne concerne pas la Chine même si on tue également en Chine à très grande échelle je dirais.

Véronique

" Il faudra bien, une fois stabilisé quelque part, que je tente d'analyser ce projet de loi pénitentiaire discuté lundi en Conseil des ministres. Ce n'est que billet remis."

Dans le rapide.

A mon avis, votre sentiment de flottement au sujet de la "loi pénitentiaire" n'est pas prêt de se dissiper.

"la loi pénitentiaire" (pénitentiaire signifie pour moi relatif à la prison, le lieu d'enfermement) présentée par R. Dati, et reprise en ces termes par l'ensemble des médias n'est pas, à mon sens, une loi pénitentiaire.

Ce projet de loi définit seulement quelques propositions que je comprends comme relevant d'une politique pénale (la notion de peine et de sanction avec ses différentes traductions et gradations dans son application).

Cette confusion de sens de la part du ministre et relayée par les médias est déroutante.

mike

Et en Chine, alors !

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