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17 mars 2009

Commentaires

JPLEDUN

J'ai horreur de l'anonymat. Surtout quand les anonymes donnent des cours á n'en plus finir sur la morale, ce qui est bien, ce qui ne l'est pas.

Si le contenu d'internet ne vous convient pas, demander á Sarko de vous pondre une loi pour l'interdire.

Pour moi le sujet est clos.

JPLEDUN

Baudricourt

Holala ! Y a du monde !
Comme je me suis déjà fait gronder…
Mais que je t’ai écouté sur Europ.
Je suis venu te faire un bisou en passant !
Philippe

Véronique Raffeneau

JP Ledun

"Est-il interdit de toucher au Sérénissime Aïssa ?"

Non, sûrement pas.

Mais ne vous servez pas de trois lignes que vous avez lues pour discréditer un livre que vous n'avez pas lu, pour le mordre lui.

Alexandre

JP Ledun

Le point était pour Aïssa pour son évocation du FN tombant comme un cheveu sur la soupe (sur ce coup j'étais plutôt d'accord avec Laurent Dingli). Je ne sais pas, le nom Goldwin m'a rappelé des débats animés sur TLM, avec Bruno Gollnisch.

Ça fait longtemps que j'ignore vos posts M. Ledun.

Mais dès qu'on créera une récompense pour la googlisation hors sujet afin de décrédibiliser (ce qui a l'effet inverse, c'est la magie de la chose), je me promets de repenser à vous.
Au fait, avez-vous trouvé mon postérieur sur internet ?
Je l'ai perdu de vue ces derniers temps.

Je pensais au point Durafour aussi pour votre Haïssa hilarant, mais ça nous ramène au pénultième point.

Je ne comprends pas vraiment ce que vous me reprochez de publier, vu que je n`ai même pas publié mon nom dans ce blog. C`est que vous extrayez les noms de l`adresse email que j`ai eu le malheur de vous communiquer pour comprendre votre amour inconditionnel de notre Président sans polluer le blog.
J`ai ma petite idée maintenant, mais comme je suis un hypocrite poli je ne vous en ferai pas part.

Ah quel énergumène...

Florence

Hé les gars,
arrêtez de vous chamailler, ce n'est pas drôle, ni républicain.

Ledun JP

@Alexandre

Vous dans la famille hypocrite vous vous placez là.

On ne peut pas d'un côté écrire un livre sur sa non-culpabilité, faire les plateaux de télévision pour en assurer la com, publier sur internet toutes sortes d'informations et de photos (n’est-ce pas M. Alexandre) et de l'autre dire que ce je dis à propos de l’intouchabilité de M. A.L. B, est la ligne jaune á ne pas dépasser.

Vous n'en manquez jamais une pour nous rappeler á ce FN moribond (MERCI SARKO).

A chacun ses plaisirs.

ROUTA VILLANOVA

En somme, ils veulent remplacer César par...
Marius ! (citation du Général en son temps) Mais quelle actualité !

Ledun JP

@ Laurent Dingli

Monsieur Aïssa considère que je suis un imbécile.
Ce qui lui vaut ma réponse.

Je ne vois pas le procédé "outrageux" et "indigne" qui consiste á citer une critique littéraire ?

Comme je le dis moi-même, je n'ai pas lu l'ouvrage donc je ne critique pas.

Il n'est pas question, pour moi, de me laisser ordonner d'arrêter de "gloser" ici parce que Monsieur Aïssa l'a décrété.
LEDUNJP

Tenez-vous en á ce que j’écris, c’est plus facile.

LEDUNJP

Daniel Ciccia

Et si, enfin, on évoquait un sujet constructif pour "notre" belle démocratie. Par exemple sur le sexe des anges et pour coller à l'actualité médiatique (que son règne vienne) sur l'usage des préservatifs dans la bouche du pape.
Il convient de saluer la décision de M. Duhamel, sans doute frappée de plus juste des sceaux, d'imposer le logo du sidaction pendant le retransmission du Jour du Seigneur.
Comme on dit, c'est pas grand-chose mais c'est beaucoup... Déontologiquement, éthiquement, c'est une autre histoire.
Comme dit Rama, je suis ahuri.

Alexandre

Là je crois qu'on a dépassé le point Gollnisch de la conversation...

Ledun JP

@Véronique Raffeneau

Je n'ai pas lu. Donc je ne peux personnellement pas émettre d'avis.
Donc je ne méprise pas.

Je cite une critique littéraire.

"...Mais l'écrivain toujours est celui qui écrit pour se venger. “

Si cela vous arrange... mais permettez-moi de n'être pas d'accord.
Je lis actuellement Mikhaïl Boulgakov
"Le Maître et Marguerite"
Je n'ai absolument pas le sentiment que cet auteur ce venge de quoi que ce soit.

Est-il interdit de toucher au Sérénissime Aïssa ?

Et pourquoi ?

C'est la prime au présumé braqueur ?

JPLEDUN

Laurent Dingli

J'ajoute Monsieur Ledun que si l'on utilisait avec vous le même procédé que vous avez employé avec A. Lacheb-Boukachache, il suffirait de sélectionner un commentaire de ce blog qui vous est défavorable ou insultant, et en conclure que vous êtes un imbécile. Je suis sûr que vous ne toléreriez pas ce genre de bassesse si vous en étiez la victime.

mike

Je suggère que ceux qui règlent leurs comptes - même en riant - sur ce blog créent leur club et nous fassent part (et d'abord à notre hôte) de leur conclusion synthétique.

Charles Gaillard

Je vous corrige, monsieur Bilger, Dieudonné n'a pas remis le "prix de l'infréquentabilité" à un "comédien déguisé", mais à Robert Faurisson en personne. Vous-même en parliez très clairement pourtant fin décembre 2008.

Laurent Dingli

JP Ledun,
Je trouve moi aussi votre commentaire franchement déplacé au sujet du livre de Monsieur Lacheb-Boukachache, que vous n'avez même pas lu. Ce procédé n'est vraiment pas digne.

Véronique Raffeneau

@ JP Ledun

Si je peux me permettre.

Il y a quelques mois j'ai lu le livre d'Aïssa que vous mentionnez.

A mon avis, des faiblesses certes évidentes dans sa narration. Mais incontestablement une écriture à lui. Et dans ses mots des éclats de vérité et d'humanité.

Oui, un livre écrit pour se venger.

Mais l'écrivain toujours est celui qui écrit pour se venger. De tout, de tous, de lui.

Ne méprisez pas cela.

Laurent Dingli

Aïssa Lacheb-Boukachache,
Si cela vous convient de m'imaginer de droite, pourquoi pas, je vous ai déjà répondu sur ce sujet, je n'y reviens donc pas.
Vous avez raison, Lénine est en effet plus proche de Robespierre (il revendiquait d'ailleurs lui-même cette "filiation" criminelle ; la comparaison avec d'autres qui vous choque (à voir votre réaction, la provocation fonctionne aussi pour vous, eh ! eh !), il existe un lien évident entre ces hommes, malgré toutes leurs différences que je ne méconnais pas : ils ont utilisé la Terreur comme système d'action ou de gouvernement, et c'était bien de cela dont il s'agissait. Et non, Aïssa, je le répète et le maintiens, la Terreur n'a jamais rendu libre qui que ce soit : vous répétez les mêmes erreurs que celles qui ont entraîné la mort de quatre-vingt millions de personnes au siècle dernier. J'assassine en masse pour le bonheur du genre humain : on connaît, on a déjà donné.
Pour le reste, n'essayez pas de m'enfermer dans une opposition binaire, qui est davantage la vôtre : j'ai bien évidemment évoqué la terrible répression de la Commune pas plus tard qu'hier ou avant-hier. Pour moi, il n'existe pas de crimes de droite ou de crimes de gauche, mais des crimes tout court. C'est pourquoi j'étais récemment en désaccord avec JDR sur son explication du contexte des années de plomb, et la violence d'extrême droite expliquant celle d'extrême gauche - les fascismes ont utilisé la même logique : la réalité de la montée du communisme justifiant leur crime ; qu'il soit de droite ou de gauche, l'assassin prétend toujours agir en état de légitime défense : c'est l'histoire de l'oeuf et de la poule criminels, et l'on n'en finit pas.
Pour l'image de l'infirmier pendu avec sa fiche de paie de smicard dans la bouche, je suis étonné que vous n'ayez pas compris que je ne faisais que reprendre vos odieux propos pour vous en montrer l'inanité ; je vois que ce type de provocation, facile, et dangereuse, peut aussi vous toucher quand elle vous concerne. Vous avez d'ailleurs réagi "au quart de tour". Cela aussi, je vous l'ai déjà écrit, mais c'est apparemment entré par une oreille et sorti par l'autre : quand je noue une amitié avec quelqu'un, je ne cherche pas à connaître le volume de son compte en banque, ni son origine ethnique ou religieuse. Vous seriez surpris de connaître l'extraction sociale de mes meilleurs amis, mais je n'ai pas le coeur à la confidence et déteste me justifier devant de petits procureurs à la lanterne.
Je n'ai rien compris à votre développement sur Le Pen, vous qui prétendez écrire si bien, merci d'être un peu plus clair la prochaine fois pour que je puisse éventuellement vous répondre.
Philippe Bilger a eu raison de vous rappeler à l'ordre. Pour autant, il ne vous a pas censuré, que je sache. Connaissez-vous beaucoup de procureurs qui accepterait des commentaires aussi scandaleux que celui que vous avez tenu à propos de Madame Parisot et des riches en général ? Dites-nous, cher représentant du peuple opprimé, combien faut-il posséder pour ne pas être désigné au couteau des égorgeurs ? Et surtout, n'oubliez pas qu'on n'est toujours le riche de quelqu'un. Je crois que c'est ce qu'a voulu vous dire Alexandre en substance. Et si un jour, un déshérité du Bangladesh veut vous égorger parce que vous gagnez mille fois son salaire, je le condamnerai avec la même fermeté.

Ledun JP

Dans la série « Il va y avoir de la casse »

Description du produit (Amazon) « Plaidoyer pour les justes » A.L B

….un texte où les clichés sur la politique, l'amour et le monde se succèdent. Un style où l'autobiographe débutant se laisse aller à des formes inutilement vulgaires, à des envolées prétendument littéraires. On aurait apprécié plus de simplicité.
Isabelle Rossignol

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No comment.
Je me disais aussi...

JPLEDUN

Ledun JP

@ A.L.Boukachache

Oui Monsieur, j’ai des insuffisances (neurologiques et orthographiques).
Je m’étonne que vous, le grand défendeur des petits et des sans grades, vous vous en serviez comme argument de réponse !

Je n’ai vraiment que faire de votre pitié. Mais qui êtes-vous donc ?

Apparemment J’ai eu l’audace d’interférer dans les looooooooooooongs discours de Monsieur AISSA et plaisantes réponses de M.Dingli.
J’ai eu le culot de rentrer dans une conversation d’élite, moi, pauvre de rien.

Monsieur Aïssa, approchez votre oreille de votre écran (je chuchote maintenant pour que pas trop de monde m’entende) :

JE VAIS CONTINUER !!!

Si cela vous gêne de recevoir des réponses, que faites-vous ici ?
C’est vous qui décidez de ce qui est une bêtise ou pas ?
C’est vous qui décidez de qui peut gloser ici ou pas ?

Prenez votre courage á deux mains et relisez la montagne d’arrogance que vous avez étalée ici, depuis les débuts de ce blog. C’est édifiant !
(Mais il faut du courage car il y en a un paquet...)

Alors monsieur, vous ne m’impressionnez nullement avec vos réponses définitives et sans appel.
Vous ne m’impressionnez pas avec l’étalage de votre « culture ».
Surtout quand celle-ci ne sert qu'á cacher le fond d’un problème.

Et ici, je dénonçais un appel á la haine.

Ni plus. Ni moins

Votre Majesté... je vous salue ( les deux genoux au sol, évidemment).

LEDUNJP

Aïssa Lacheb-Boukachache

Sacré Laurent Dingli et même vous, Alexandre du Brésil, si posés, si mesurés, si intelligents tous deux ... Quand je vois dans quel état vous a mis mon vrai -et je n'en pense pas moins- rire républicain ... Hé hé!...


Bonne nuit.


Aïssa.

Aïssa Lacheb-Boukachache

Laurent Dingli, j'ai l'habitude ... Il est de Droite et me croit de Gauche ... Ce n'est pas la première fois, et je le respecte même quand il m'insulte, ce qui ne m'empêche pas de lui retourner gaiement l'insulte même si en cours elle est censurée et n'apparaît pas ... Mais vous, Ledun JP, je vous trouve un peu peigne cul, pète sec, si vous voyez ce que je veux dire ... Tout en surface le discours de la servilité mouchée, je connais, vous me faites rire ... Vous n'avez ni ma culture littéraire ni ma connaissance de la chose judiciaire, avouez-vous ... J'ajouterai: ni ma connaissance de la chose économique et sociale, ce sera plus complet. Vous l'avouez et vous avez le culot de me répondre sur ce ton quand, moi, j'ai essayé d'être mesuré avec vous dans ma réponse, par pitié pour vos insuffisances que je lis ça et là régulièrement ... La prochaine fois, abstenez-vous... Glosez à votre niveau et continuez à faire sourire -en tout cas à me mettre de bonne humeur par tant de c... étalée le plus sérieusement du monde ...


Laurent Dingli, c'est plus sérieux ... A moi la Gauche, haro sur le biographe de Colbert!... A quand, cher Laurent, une somme monumentale consacrée à Thiers? J'aimerais en savoir plus sur le grand massacreur -de Droite- de la populace (dixit Imbert) parisienne ... Toute liberté est acquise par et dans le sang, vous le savez, l'Histoire en témoigne. Ce n'est pas moi qui l'ai inventé. Au millénaire de la tyrannie des Bourbon, Capet et consort, je préfère les trois années de la Terreur conventionnelle ... Au millénaire génocidaire des Tsar russes, je préfère les trente ans des goulags et autre terreurs ... Nous n'avons que ces deux choix, c'est ainsi, l'homme est ceci. Et tout homme sensé dirait comme moi. Quant à votre subtil amalgame entre Robespierre, Staline (j'aurais préféré que vous citiez Lénine plutôt, c'eut été plus honnête) d'un côté du combat contre la tyrannie séculaire des susdits, et Hitler (Ben Laden, n'en causons même pas) de l'autre, il ne vous fait pas honneur, croyez-le ... Ce n'est pas digne d'un historien sérieux. Seuls les naïfs croiront que j'ai une seconde évoqué ceci ... Vous me faites dire ce que je n'ai pas dit, et cela s'appelle un petit coup bas. Je ne vous en veux pas; il y a suffisamment de personnes intelligentes lisant ici qui comprennent, elles, ne font pas semblant, ce que j'ai explicité, c'est l'essentiel ... De plus, votre diatribe ci-dessus me fait songer étonnamment à celle de Le Pen fustigeant l'Europe au moment du dernier référendum ... Il disait en substance ceci que "l'Europe se faisant dans ces conditions, il s'y passerait tôt ou tard une guerre de sécession, comme aux Etats-Unis, qui fit (il précisa, martelant même) 500 000 morts ...". Cela en effraya beaucoup qui ne comprirent pas que au pire le pire s'il est inévitable, 500 000 morts seront toujours préférables à 50 millions de morts ... Vous utilisez -j'ose croire que c'est sans le vouloir- la même dialectique profondément perverse et dangereuse.

Pour finir, il vous honorerait en lieu de vous rabaissez aussi lamentablement, de cesser ces comparaisons de mauvais goût: Ali le chimique, etc. A moins que ce goût vous sied, vous seriez élevé dedans dans ce cas ... Etrange. J'en veux aujourd'hui un peu à ce cher PB de m'enjoindre en privé de respecter et ne point user d'insulte ni comparaison aussi sordides contre mes contradicteurs ou autres, et dans le même temps laisser certains -aujourd'hui vous- en user à leurs aises à mon encontre ... Dirais-je: A mort l'arbitre! Non, bien sûr ... Simplement que cela signe votre faiblesse d'argument, vos lacunes ... Et je n'aime pas quand vous êtes faible, cher Laurent Dingli, je n'aime pas quand vous êtes faible.


Aïssa.

Laurent Dingli

Ah bon, la Terreur rend libre ??? C’est quand vous vous prenez au sérieux que vous êtes paradoxalement le plus drôle ! Mais c'est vrai, où avais-je la tête, Robespierre, Staline, Hitler, et même ce brave petit terroriste de Ben Laden en ont libéré des braves gens... de la vie ! Je vous assure que les petits paysans crottés de Bretagne, de Vendée, d'Anjou ou de Lozère ont été rudement contents d'être libérés en masse pour peupler des fosses communes. Si vous connaissiez un peu le sujet, vous sauriez que près de 60% des victimes de la Terreur étaient des ouvriers, des artisans et de simples paysans... Quant à égaler votre talent d'écriture, votre vanité est tellement colossale qu'elle se passe de commentaires. On connaissait Ali le chimique, voici donc désormais Aïssa le comique ! Eh ! Eh ! vous pourriez même remplacer au pied levé ce bon vieux Dieudonné qui fait tant rire JDR : je vois déjà le titre du spectacle : « La terreur rend libre », duo échevelé interprété par A. Lacheb-Boukachache et son joyeux compère.
Une autre !

Florence

Provocation et tabou :

Christine Boutin fait de la provocation car elle soulève un vrai tabou, un de ces nouveaux tabous que l'on ne remarque que quand quelqu'un les soulève.

Je suis prête à parier que nombreux sont ceux qui secrètement partagent son avis sur les préservatifs. Mais chut, il ne faut pas le dire, il faut vite s'indigner, comme tout le monde.
Et puis, partager un avis avec Christine Boutin, c'est encore un autre tabou que je n'oserai pas soulever...

Alexandre

@ Aïssa Lacheb-Boukachache

Ça me fait quand même sourire votre manière de poser vos barrières dans un gentil remake de la Carmagnole. En plus vous êtes persuadé d'être du bon côté contre les nantis. Il se pourrait pourtant que le peuple inculte qui étripe en riant viendrait aujourd'hui probablement plus d'un de ces amas de déjections où les pauvres s'entassent dans le monde. En Inde et ailleurs, certains mangent et vivent dans votre merde.
Si ceux-ci ont des pulsions similaires à celles que vous évoquez, n'oubliez pas vos livres pour leur montrer que vous êtes des leurs... Ah cette gauche française aux velléités de révolution dont la solidarité s'arrête aux frontières, voire à celui qui n'a plus d'emploi à défendre. Crève, tu fais pas partie du yacht club...
Cette saillie sur la finance moderne est risible aussi. Tous ces traders sont l'image du diable. La gauche française n'a jamais supporté les gens qui grimpent l'échelle sociale trop rapidement par leur activité. Elle s'est toujours entendue avec la droite étatiste non-libérale (le nouveau credo de NS) pour taxer le travail lourdement.
Le capital, en revanche, n'est pas beaucoup taxé en France. Aujourd'hui on évoque la fluidité des capitaux. Soit. Mais cela a toujours été comme cela, pour la bonne raison que depuis qu'il existe l'hémicycle n'a jamais été composé que de rentiers et de fonctionnaires détachés. Ils ont mis l'ISF pour faire joli, un pourcentage inapplicable avec toutes les dérogations pour que ce soit inappliqué. La droite rajoute une couche de plafond...
Aujourd'hui encore regardez les chefs de la droite et la gauche étatiques, ils sont tous à l'ISF.
Vous pouvez voir en Parisot le diable. Elle m'énerve également, mais détester Parisot et vénérer certaines célébrités vivant de l'agiotage de père en fils (fille), c'est peut-être se tromper de combat.
Le trader c'est un peu le prolétaire de l'argent, dirais-je pour faire un peu de provoc et sachant que je parle à quelqu'un d'attaché à la définition des mots, et non simplement aux images qu'ils évoquent.
La finance internationale, c'est à peu près l'inverse de l'agiotage, un outil sans lequel le pauvre reste pauvre à coup sûr.

Ledun JP

Aïssa le Haïsseur haïssait.

Monsieur, je n'ai ni votre culture littéraire ni votre connaissance de la justice française, mais quand même...

Prenez un mégaphone et prononcez le même discours face aux manifestants qui sont actuellement dans vos rues, vous aurez vite fait bien fait des jeunes du NPA pour boire vos paroles démagogiques au possible, et les traduire dans les faits.

Avec la dernière phrase de votre texte provocateur (bien joué) je n'ai aucun problème. Je vous suis même.

Le problème de l'économie française ne se résume pas á ces 468 millions que l'Etat ne perçoit pas au titre de l'impôt.

Démagogie pour démagogie :
Donner la somme identique à Monsieur Thibault et ses confrères avec pour mission de régler les problèmes du pouvoir d'achat, les délocalisations, la pauvreté.
Ils n'iront pas loin.

Comme vous et vos textes á deux balles...

JPLEDUN

Aïssa Lacheb-Boukachache

Ce n'est que de la rhétorique, mon "riche" ami Laurent Dingli ... Si elle vous fait peur, c'est que vous en êtes -en tout cas, idéologiquement- de ces esclavagistes et créateurs de misère de nos temps modernes. A vous lire éructer, on serait encore sous l'Ancien Régime, point de Révolution, les uns à leur place, la plèbe à la sienne ... Vous invoquez l'humanité à sens unique, n'est-ce pas: quand les exploiteurs sont infâmes et tueurs, il faudrait les ramener à plus de respect du prochain avec des mots doux sans doute; quand la légitime colère et révolte des méprisés s'exprime violemment car il est toujours un moment où trop c'est trop et où sauf à renier sa propre condition humaine on ne peut que se soulever pour se faire respecter, à ce moment vous fustigez la haine animale de ceux-là ... Le pitoyable, c'est vous, ô combien! Ce n'est certainement pas dans vos études poussiéreuses et sinistres que vous connaîtrez un millième de ce nombreux désespoir humain qu'un infirmier smicard, comme vous dites avec une suffisance à crever de rire, cotoie chaque jour ... Il est des spéculateurs financiers capitalistes plongeant à la moindre occasion des milliers de gens dans la misère la plus sordide; d'eux aux nazis, je ne fais aucune différence, c'est la même logique de destruction humaine, de l'humain, sous des vernis plus soyeux ... Elle est d'eux d'abord, non de moi ni des miséreux. Sans les Terreurs que vous fustigez là, seriez-vous aujourd'hui libre, simplement libre? Et puis, cessez avec ces références à ma littérature, etc. Quand vous maîtriserez aussi bien que moi cette langue française que j'aime, quand vous saurez écrire, on discutera de ce sujet ...


JP Ledun

Lisez mieux, je vous prie ... Aucun appel à quoi que ce soit ici, ni meurtre ni autre ... Juste des hypothèses, du conditionnel implicite ... C'est la dernière phrase qui est importante, retenez-celle-ci uniquement: "Finalement, ils ont une piètre estime de la vie et de leur propre vie, ces Parisot, etc.". Je les renvoie simplement à leur inconséquence et au dégoût de la vie et de l'humain qui est leur, à leur propre néant quand ils sont vivants pourtant, quand ils croient l'être en vérité ...


Aïssa.

Jean-Dominique Reffait

Donc, Philippe, provoquer est un verbe transitif qui implique que l'on provoque quelqu'un ou quelque chose et que la conséquence doit en être une réaction, une modification de la situation antérieure. Force est de constater qu'il n'en est rien avec nos humoristes actuels, à l'exception de Dieudonné, et d'autant moins qu'ils ont vu ce qui est arrivé à Dieudonné pour être allé sur le terrain de la provocation. Ils en resteront donc à la dérision, au sourire immédiat sans conséquences. Surtout pas finir comme Dieudonné, exclu des plateaux télé.

Provoquer c'est blesser, vexer en vue d'une réaction, d'une réflexion, d'un acte. Il y a une continuité dans la provocation, un droit de suite, ce qui la distingue fondamentalement de l'humour, de la dérision. Rappelons-nous les canulars célèbres de Boronali - Ali Boron, de la Poldévie, d'Orson Welles qui avaient tous pour objet de tester la crédulité, la vanité, la forfanterie des cibles.

A ce titre la provocation du parrainage de la fille de Dieudonné par Le Pen, canular du plus haut mauvais goût et construit comme tel, est le dernier du genre. Mais l'époque ne le supporte plus.

En ce sens, je ne pense pas que la provocation se meurt de l'absence de tabous mais, au contraire, de l'abondance de nouveaux tabous, sans la poussière des vieux tabous religieux. Des tabous dont on ne supporte pas qu'ils soient mis en défaut, portés au ridicule. Car faute de ces tabous, s'ils venaient à être mis en pièces, il n'y en aurait plus d'autres.

Laurent Dingli

Aïssa Lacheb-Boukachache, ce serait tout aussi amusant que de voir de pauvres petits infirmiers se balancer au bout d'une corde, leur fiche de paie de smicard enfoncée dans la gorge...
Sous couvert de mauvaise littérature, vous exhalez une nouvelle fois votre haine, en utilisant la dialectique de tous les massacreurs, de tous les génocidaires : la négation de l'humanité du bouc émissaire que vous vous êtes forgé... au nom de l'humanité, bien sûr, la vôtre, celle dont vous vous croyez le détenteur : piteuses et sordides incantations qui ressemblent moins à d‘inoffensives provocations ou à de mauvaises farces qu‘à des appels au meurtre à peine voilés. J'espère bien que le grand soir, que vous appelez tellement de vos voeux, ne vous fera pas sortir de la demi obscurité dans laquelle vous ne cessez de vous agiter. Vous êtes pitoyable mon pauvre ami.

Ledun JP

@PB

"...cette soif de l'argent ne peut induire que d'être pendus la gueule grande ouverte pleine de ces billets..." (Aïssa)

C'est combien pour un appel á la haine ?

JPLEDUN

Ledun JP

@SR

"Stéphane Guillon est par moment lourd et insistant, mais son humour est rassurant dans le sens où tôt le matin il nous empêche de devenir parano..."

Du moment que c'est contre votre ennemi public numéro un, la lourdeur et l'insistance sont acceptées ?

Il me semble que vous écrivez comme cette dame qui s'est refusée, il y a peu, à faire face á Naulleau et Zemmour...

Guillon ne vous a pas beaucoup aidé apparemment.

JPLEDUN

Aïssa Lacheb-Boukachache

J'écoute la "fumasse" Laurence Parisot ce soir à la télé défendre les intérêts de sa classe et je ne peux m'empêcher de rester coi de tant de débilité ... Auparavant, pendant que la Guadeloupe était au bord d'imploser, elle s'inquiétait pour une de ses résidences secondaires qu'elle y possède ainsi qu'à l'île St-Barthélemy à côté ... On en arrive à se demander franchement si ces gens-là sont de réels êtres humains ... Ceci étant, la terrible conjonction de la misère étudiante et de la misère salariée est là. Cela faisait longtemps, plus d'un siècle, que cette re-union n'avait eu lieu. Demain, tout est possible, y compris -et surtout, hélas- le pire ... Les Parisot ne vivent pas dans le même monde que les gens dont ils revendiquent singulièrement le droit à la domination, c'est manifeste et inquiétant. J'aime l'argent, moi aussi, pour ces petites facilités qu'il procure, ce simple et digne confort, mais je n'en suis pas -heureusement- à exiger des milliards voire même des millions ni même des centaines de milliers d'euros ou que sais-je ... Quel plaisir étrange tirent-ils de cette accumulation sans fin de ces monnaies, de ces billets de papier, de ce pouvoir toujours illusoire, je me le demande ... Si une vraie révolution éclate et qu'il se trouve à être pendus aux lanternes par la populace (dixit Imbert), ce jusqu'au boutisme qu'ils manifestent dans cette soif de l'argent ne peut induire que d'être pendus la gueule grande ouverte pleine de ces billets qu'ils convoitent sans respect ni considération aucuns pour les dignités humaines, l'amour des autres leurs semblables en humanité ... Je ne sais si c'est rigolo un de ces riches pendus très haut la gueule pleine d'euros enfoncés jusque l'oesophage, la trachée ... Drôle bouquet à ces nouveaux Montfaucon. Quand les pendus pourrissant là et devenant squelettes s'entrechoquant, les billets au vent qui s'envolent comme des petits bouts anonymes de papier ... Finalement, ils ont une piètre estime de la vie et de leur propre vie, ces Parisot, dont l'aune à laquelle ils les pèse ne tient pas au souffle du plus petit doux vent ...


Aïssa.

semtob

Cher Philippe,

Les auteures de la provocation sont de sexe féminin.
françoise et karell Semtob

Aïssa Lacheb-Boukachache

Nom d'un Pape!... La terre n'est pas ronde, ni Copernic ni Galilé mais hérétiques!... Darwin le dégénéré car il forniquait avec les singes, les petits et les grands!...le préservatif ne protège pas du sida, en Afrique comme à Vatican!... à 9 ans, au Brésil ou ailleurs, on accouche ou on meurt!... ni médecins ni gynécologues-obstétriciens mais génocidaires!... si vaste la charité chrétienne qu'elle embrasse même les négationnistes nazillons!... Nom d'un ... nom d'un ... nom d'une soeur nonne violée sans capote sous l'autel par un frère prélat catholique vérolé!... Unis dans le même sacré cul en choeur et le sacrilège et le viol et l'inceste et la transmission d'une maladie sexuelle ... Nom de ...!


Aïssa.

Jean-Dominique Reffait

Philippe, allez donc voir Dieudonné en son théâtre de la Main d'Or, prenez soin de vous grimer auparavant, avec un turban, un kefieh ou un masque d'Idi Amin Dada, car, comme vous le savez, c'est interdit d'aller voir Dieudonné, c'est une provocation en soi que d'aller s'assoir face à lui.
Et là, vous verrez que la provocation, cruelle, terrible contre nos soubassements mentaux, elle existe, elle est d'une drôlerie étourdissante. Ce type est génial car il cogne sans prévenir.

olivier

Les provocateurs médiatiques, les "méchants de télévision" comme le tandem Naulleau/Zemmour, ou les autres "snipers" de plateau tel Baffie à une autre époque sont confrontés à un système médiatique fondé sur la révérence, qu'ils tentent de prendre à contrepied pour en révéler l'hypocrisie. Les réalisateurs, les interprètes, les hommes politiques se produisent dans les écrans télé pour vendre leur produit ou leur personne et attendent des retours sur investissement. A cette fin, on leur offre le bénéfice d'une fausse convivialité et le cadre artificiel d'un débat pipé dès le départ, un peu comme les échanges lisses et naïfs du Grand journal de Canal+, émission qui porte à un haut point la confusion des genres, entre le spectacle, le people et la confrontation d'idées. Le pire désaveu des esprits forts présents sur les plateaux découle du fait qu'ils en viennent paradoxalement à légitimer le même dispositif qui leur offre le rôle de composition du contestataire compulsif titulaire d'un espace de parole fortement circonscrit. Bien plus qu'apporter l'authenticité rugueuse de la moquerie ou du sarcasme, ils deviennent alibi au simulacre médiatique, qui entend faire croire à son absence par la convocation de la figure du critique vachard ou du comique sans tabou. Ils tiennent plus du clown triste que du rebelle. Daniel Schneidermann a d'ailleurs souligné avec justesse que la surenchère dans l'insolence de la part des comiques avait pour contrepoint l'effacement et l'amoindrissement du devoir de polémique et de contradiction, comme on l'observe notamment chez de nombreux intervieweurs.

Cactus les épines hérissons

"Cher Philippe,

"Toutes mes ficelles de caleçon pour ton papelard, Phil".
"y a pas à tortiller du cul pour chier droit", t'as le sens de l'analyse sauf que tu as zappé les gonzesses dans ta story.
Si ça c'est pas de la provoc, c'est que j'ai encore rien pigé, ma poule.
"T'as de beaux textes tu sais".
Bien respectueusement.
fanchounette et karlette Semtob
Rédigé par: semtob | 17 mars 2009 at 18:45"

De l'Audiard dans le com' là , monsieur et madame Semtob mais quelle familiarité avec notre hôte de ces lieux ! à vous lire ainsi Chat Botté , les épines de presque m'en tomber, moi qui propose de classer monsieur Bilger "Monument Historique" ( non non je n'ai pas dit préhistorique !)
Sissi !!!!!!!!!!!

Message à Ludovic.

C'est faux. La phrase du Pape n'est pas celle-là. C'est une déformation médiatique.
Lisez cela : www.maître-eolas.fr c'est expliqué comme il faut.

Le traitement médiatique de ces affaires (Guillon/DSK, Eglise/excomm'/préservatif etc...) est une pure provocation à l'intelligence pour le coup.

Fleuryval

Un rire républicain, certes.
En connaissez-vous d'autres ?
A-t-on jamais entendu rire à gorge déployée un monarchiste ?
Un bigot ?
Un dictateur ?
Parce que chez ces gens-là, Monsieur, on ne rit pas.
On ne rit pas.
On pouffe.

Pierre-Antoine

@carredas
"Pierre-Antoine dans mes bras...!"

J'aurais préféré "carredame", mais bon, un peu de sympathie dans ce monde de brutes ça ne se refuse pas...:-)

Cordialement

Pierre-Antoine

Aïssa Lacheb-Boukachache

La provocation sans risque, c'est du flanc, mon cher PB ... Ces salariés du rire font pathétique, un vrai lamento en vérité. Même les "Guignol's de l'info" traînent comme une décrépitude dans leur sillage ... Sade, oui, Sade, ça c'était de la provocation, du courage, de l'intelligence ... Mais il l'a payé cher, le malheureux. Ils ne sont pas prêts, ces piètres clowns d'aujourd'hui, ces rabais de l'insolence, à payer ce prix-là ... Et quand bien même, en auraient-ils seulement le centième de l'idée et du talent?... Je me suis forcé, rendant hommage surtout à Sade; cette clique aux apparences de subversion que vous nous présentez ne mérite pas un de mes commentaires ...


C'est soleil un peu, bien le bonjour à tous ... Alors, noircissez, vous êtes trop pâles!...


Aïssa.

Florence

A partir d'aujourd'hui, à chaque fois que je rirai, je me demanderai si mon rire est républicain. S'il ne l'est pas, je me demanderai s'il est monarchiste (qui sait !). Je crains juste une chose, c'est de ne plus jamais rigoler à force de me poser des questions sans aucun sens. Finalement, la prochaine fois que je rirai, je ne me poserai pas de question, je rirai de bon coeur. C'est mieux pour le moral.

Ludovic

Le rire républicain c'était aussi la candidature de Coluche à la présidence de la République en 1981. Mais la palme de l'humour de mauvais goût revient cette semaine à Benoît XVI qui ne trouve rien de plus intelligent à déclarer au Cameroun que "le port du préservatif aggrave le problème du sida". Même Jean Paul II n'avait pas osé. Décidément le Vatican fait très fort en ce moment.

mike

Toute déclaration, plaisanterie ou action est automatiquement affublée du qualificatif de "républicaine" ou "citoyenne" voire fasciste ou anti..quelque chose par les commentateurs patentés.
Je préfèrerais - mais je n'y puis mais - que l'on employât "pertinent", "instructif", "intelligent" voire "choquant".
Bien des chroniqueurs du matin se complaisent à juger de tout sans avoir nécessairement compris ou cherché à comprendre de quoi il retournait ou peut-être pour s'amuser devant une galerie de bruyants rieurs payés pour glousser et s'esclaffer en invoquant l'HUMOUR.
Faire des mots, proférer des paroles provocantes ne saurait, à mon avis, exclure la courtoisie, le respect et le bon usage de la langue. A ce titre certains chansonniers pourraient en remontrer aux Guillon et consorts.
Tout le monde n'est pas Amadou.

Didier Schneider

"La provocation, alors, frisait l'élitisme. Aujourd'hui elle est démocratisée, et le moins qu'on puisse dire, avec la dérision qui est la provocation du pauvre, c'est qu'elle n'a pas gagné au change."

Vous avez bien raison mon bon. Comme j'en discourais avec l'ami Ernest-Antoine, la sueuse populace se permet désormais d'utiliser la dérision. Comment allons-nous nous différencier désormais ?

Allons cocher ! au manoir !

carredas

Pierre-Antoine dans mes bras...!

"les cachetonneux d'émissions pseudo-intellectuelles dont le but est de faire monter l'audimat par leurs projectiles verbaux"
C'est tellement juste !

J'avais en tête "les dictateurs du bien-rire médiatique" mais il manquait la dimension commerciale, trivialement commerciale de l'affaire.

Blanc Cassis

Je ne connaissais pas Stéphane Guillon avant ce jour.
Il a réussi à faire parler de lui.
DSK a semé et il a récolté ce jour-là, ce que des femmes blessées n'ont peut-être jamais osé dire de ce personnage qui semble mélanger vie publique et vie privée en (ab)usant de sa notoriété.
Il est vrai qu'il est dans l'air du temps de s'affranchir des barrières.
Le harcèlement serait-il à deux vitesses ?
Le droit de cuissage redeviendrait-il à l'honneur dans cette République des nouveaux Princes et courtisans en tout genre et toujours inégalitaire puisqu'aucune de nos Ministresses n'a fait encore parler d'elle dans ce domaine ?
A force de constater que les media couchent avec les politiques et inversement, c'est peut-être un juste retour de manivelle.

C'était peut-être l'essentiel pour lui afin de poursuivre sa carrière dans d'autres lieux si son contrat venait à expirer à France Inter.

Je m'amuse un peu plus avec une Anne Roumanoff qui fait parler son bof-frère !

Ledun JP

Stéphane Guillon n'a qu'un seul talent. C'est celui de bien charger la barque.
Il n'est pas comique. Il n'est pas provocateur. Il est juste á sa place dans ce monde idiot de la télévision actuelle.

Et c’est NS qui va défendre DSK et Aubry, contre le grossier. C’est le monde á l’envers

Au cirque, il y a peu, la mode était que le clown prenne quelqu'un du public, pour le faire participer á une scènette.
En fait le spectateur était ridiculisé et le public se tordait de rire.

Riaient-ils du clown ? Non. Ils riaient du spectateur qui n'avait pas d'autre choix que d'être ridicule...

Mais le public riait. Ben oui.
Ben c'était drôle alors ? Ben non !

Il faut quand même dire á la décharge du clown, qu'il faut un certain talent pour bien ridiculiser, avec l'art et la manière, le spectateur...

Cette mode au cirque est en voie de disparition.

Guillon disparaîtra sans laisser de trace.

Pas comme Raymond Devos.
Lui nous faisait rire de nous-mêmes, en brinquebalant son (faux) ventre bedonnant. La classe.

JPLEDUN

Ledun JP

@Alexandre

"WATERMAN
LE PEN
ANTI
BICS"

Restez ingénieur !


Pierre-Antoine

Quand le sage montre la lune, l'imbécile regarde le doigt...

et quand l'imbécile montre le doigt, que regarde le sage ?

Il y a bien une race (oserai-je parler de race dans votre blog au niveau si intellectuellement élevé mon cher PB ?) que je ne montrerai jamais du doigt, c'est celle des chroniqueurs de service !

De plus j'aurai bien peur de passer pour un imbécile qui montre le doigt si j'osai appeler "chroniqueur" ceux qui se contentent de l'auréole radio-télévisuelle comme qualification pour critiquer les autres, dans leur art ou leur action, quand ce n'est pas dans leur intimité.

La seule qualification qu'on demande à ces "cachetonneux" d'émissions pseudo intellectuelles c'est de faire monter l'audimat par leurs projectiles verbaux. Je crains même que la seule chose de "chronique" que l'on puisse trouver dans leur propos, ce soit celle de leur diarrhée verbale.

Non, je ne commenterai pas votre billet, pour la seule et bonne (à mes yeux) raison c'est que je n'accorde aucun crédit aux propos que tiennent ces "énergumènes" payé pour montrer le doigt.

Après avoir critiqué sans intelligence ni finesse les autres, qu'ils acceptent qu'on les critiques aussi… sans finesse également…

Vite, vite, montrez-moi un sage que je regarde la lune…

Cordialement et sans critique, mais non sans humeur !

Pierre-Antoine

Alexandre

@ Criticus
Toute thèse scientifique valable peut être humiliée scientifiquement si celui qui la défend est confus et qu'il a en face de lui un meilleur scientifique qui s'exerce à démonter les arguments mal maîtrisés.
Un exemple de base: la fonte de la banquise ferait monter le niveau moyen de la mer. Mettez dans un bol des glaçons, complétez avec de l'eau à ras bord et attendez que ça fonde. Vous verrez que l'eau ne déborde pas, ou bien Archimède se retournera dans sa tombe.
Pourtant l'argument est (possiblement) valable à l'échelle de la Terre car certains blocs sont solidaires du continent, et qu'en plus ce n'est pas le niveau moyen qui compte mais aussi l'amplitude de variation.
En conclusion, prétendre qu'une thèse est vraie ou fausse sans l'avoir comprise, telle est la vraie hérésie.
Je ne crois pas que NKM dise tant de bêtises que ça, à moins qu'elle ait la mémoire courte. Je crois que ce dont elle parle, elle le comprend plus qu'elle ne le croit. A la différence de beaucoup d'autres.

Une autre explication amusante en lien, pour les anglophones.

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