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20 juillet 2009

Commentaires

marianne

Bonjour

Je suis d'accord avec le message de Ludovic
donc "l'insulte balaie toute qualité d'une argumentation et décribilise celui qui le profère. Nous devrions tous, je pense, nous ranger à votre sagesse"

Je pense que notre cher (très cher) Président, Mr Sarkozy pense de même !!!! (souvenez-vous : "casse....." et "viens ici si....)

SYLVAIN

Est ce que Cali et Olivia Ruiz applaudiront quand un fou au QI de bulot ira trucider une femme au hasard et même un de leurs proches ? J'espère qu'ils iront jusqu'au bout de leur "raisonnement" et qu'ils n'iront pas porter plainte auprès de la police puisqu'il faut eux aussi les caillasser et les éliminer. Mais ça c'est le problème de ces bobos aux QI de civelles qui soutiennent crimes, émeutes, délinquance tant qu'ils ne sont pas touchés eux-mêmes.

SYLVAIN

Pour sûr que je préfère le monde de Zemmour et Naulleau à celui de ces immondicités proférées par des soi-disant êtres humains, et dont certains ici par bobotisme bêlant de démagogie semblent s'accommoder, grâce à ce diktat imparable de la sacro-sainte liberté d'expression, qui permet toutes les dérives même les plus fascisantes. On peut aller très loin avec vos analyses sur fond d'interdit d'interdire 68 tard... surtout pour se faire de la pub gratos.

PAPPALARDO Paule

Zemmour et Naulleau : deux nuls, prétentieux, antipathiques, si peu intéressants à entendre... je comprends tout à fait Cali...

Ludovic

@Catherine Jacob,

J'ai oublié de vous poser la question mais vous évoquez Metz dans votre commentaire, seriez-vous messine ? Je ne sais pas pourquoi mais je vous imaginais plutôt parisienne, je me trompe souvent remarquez, je vous avais en un premier temps confondue avec l'actrice du même nom.

Ludovic

@Catherine Jacob,

Je ne visais pas ce type de chansons paillardes bien sûr, et en fait pas Cali non plus, il n'a rien à voir avec Orelsan, dont les propos sont davantage une incitation à la violence sur les femmes. Je crois simplement que Philippe Bilger, à travers l'exemple de Cali, a voulu montrer que le recours à l'injure anéantit toute argumentation. Mais j'aime beaucoup vos exemples, vous auriez pu citer tout aussi bien les carmina burana, non pas l'oeuvre de Carl Orff, mais les chansons à boire des étudiants du Moyen Age tardif. A ce propos, ces derniers n'étaient pas moins indisciplinés, ni moins contestataires, que leurs homologues contemporains. Cambridge pour ne prendre qu'un exemple, passait pour une ville de coupe-jarrets sous Edouard II, du fait de la débauche et des violences commis par les étudiants de sa déjà célèbre université.

Alex paulista

Ce billet me rappelle une fois où, quand j'étais petit, ma mère m'emmenait en voiture. Un gars la poussait à accélérer, elle qui roulait déjà assez vite sur la file de gauche. Elle continua son dépassement imperturbablement. Une fois qu'elle s'était rabattue à droite, l'homme pressé a pris le temps de baisser sa vitre pour envoyer un flot d'injures.
Ma mère lui a tiré une langue de 10cm, le gars a semblé déstabilisé, c'était assez drôle...

Catherine JACOB

@Ludovic
"Vous qui détestez tant et avec raison la vulgarité, ne pensiez pas, j'imagine, susciter autant de commentaires qui en font l'apologie ou du moins qui tentent de la légitimer."

Je pense que nous confondons malheureusement désormais la chanson paillarde de bon aloi au texte grivois et/ou débordant d'une truculence rabelaisienne, texte qui connaît sa place et ne prétend pas au Parnasse ni au "Ciel léger de septembre des pâles enfants du vieux Paris" sentimental et populaire à la Piaf, parce que au fond, c'est ça le problème, mais se satisfait simplement du Stammtisch autour duquel les habitués viennent refaire le monde, avec la vulgarité pure et simple et l'éloge du "Branle Charlotte" - quoique savoir pourquoi il faut donner la préférence à un joli garçon n'est pas en soi une si mauvaise idée que cela qui justifie accessoirement l'Artilleur de Metz, lequel représente pour sa part sans doute une bonne raison de déplorer désormais le départ, armée moderne de professionnels obligent, d'une bonne partie de la garnison de cette Cité dont Louis XIV a pu dire qu'elle seule défendait l'Etat-!

Il faut avouer que les refrains d'"Ils ont des chapeaux ronds" sont finalement assez drôles même pour ceux qui ne boivent pas. Ex: "Napoléon dans un caprice, Fit d'sa femme l'impératrice, Mais les troufions plus exigeants, Firent d'un con un adjudant" etc.. mais bon aucun ne prétend aux victoires de la musique. Il y a ce qu'on chante dans un bus de colo rentrant d'une soirée d'adieu arrosée tel le "Curé de Camaret" dont on ne connaît généralement que le premier couplet mais dont il existe une version par les Frères Jacques, et il y a "Gare au Gorille" qui représente tout de même le niveau au dessus; il y a aussi Sefyu qui prouve qu'un rappeur peut gagner sans se sentir obligé de taper sur les gonzesses ni célébrer l'Marcel qui va tirer une grosse!! Ceci dit sauf votre respect Monsieur l'avocat général et histoire de préciser que même si le vocabulaire en date un peu, ce n'est pas parce que, pour ma part, je ne saurais pas m'exprimer grossièrement que je m'efforce le plus souvent de m'exprimer correctement de façon plus ou moins sensée. En ce qui concerne Sefyu Voir au besoin http://www.lesvictoires.com/varietes/laureats_artiste-1005-sefyu.htm Ce n'est pas précisément ma tasse de thé mais bon, je reconnais qu'au moins il y a de la recherche.
Et d'une façon générale, je pense que, selon l'expression de Fanny Ardant faisant la promotion de "Poussez poussez l'escarpolette" au Chatelet, s'"il faut toujours tout ramener à l'amour, fil conducteur des grandes oeuvres", il y a très très loin de l'amour au fond de culotte de Cali et ce serait bien qu'il le sache aussi lui-même!

SYLVAIN

Les paroles nauséabondes d'Orelsan et de ses supporters, rappeurs et chanteurs de dépotoirs n'ont rien à envier au programme d'un fou dangereux qui a mis l'Europe à feu et à sang en voulant éliminer femmes, homos et tout ce qui n'était pas dans la norme. Ces appels aux meurtres incessants ne doivent pas être subventionnés par les impôts des citoyens, il faut plutôt les donner à des associations qui se battent et donnent de leur temps pour rééduquer et réinsérer des jeunes gens en difficulté, pour aider des jeunes à partir en vacances. Ce n'est pas en faisant des cadeaux à ces fachos qu'on relèvera le niveau culturel de la France. S'ils veulent vomir leur haine, qu'on leur signifie des endroits appropriés à leurs propos nauséeux, tels : déchetteries, stations d'épuration, à leurs frais bien sûr. On peut aussi leur payer un aller simple pour Kaboul, là-bas ils pourront tabasser, lapider et feront un tabac auprès des talibans, seul public à leur image.

jack

Cali ne rime pas avec qualité. Il fait partie de ces "artistes" qui n'acceptent que les "critiques" qui interviennent dans les talk-shows pour dire qu'ils sont forcément géniaux et donner les dates de leurs prochains concerts. 90% des talk-shows sont de la promotion pour les "invités".
Bravo à Zemmour et Naulleau d'exprimer leurs avis (forcément subjectifs et donc critiquables) en toute indépendance des producteurs des "stars."
Si Cali n'accepte pas la critique, qu'il exerce un métier où on ne se produit pas en public !

Ludovic

Bonjour M.Bilger,

Vous qui détestez tant et avec raison la vulgarité, ne pensiez pas, j'imagine, susciter autant de commentaires qui en font l'apologie ou du moins qui tentent de la légitimer.
Les "gros mots" appartiennent à un certain registre du langage, et il arrive à chacun de nous d'en user avec plus ou moins de fréquence.
Ce que je retiens avant tout de votre commentaire est que l'insulte balaie toute qualité d'une argumentation et décrédibilise celui qui la profère.
Nous devrions tous, je pense, nous ranger à votre sagesse.

Daniel Ciccia

Hélas, trois fois hélas, nous sommes tous des têtes d'origine du monde.

Aurélie B

Cher M.Bilger,

Pourquoi ressortir ce sujet vieux d'environ un an plutôt que d'aborder des sujets actuels vraiment importants et qui intéressent l'ensemble des Français !
Je sais que faire le procès d'un homme de gauche est certainement plus excitant pour vous que faire la critique d'une politique de droite qui nous conduit tout droit à la banqueroute !
Je vous demanderai donc d'être un peu moins sévère envers cet homme, qui défend des convictions avec force, plutôt qu'un candidat ou un parti !
De plus, il faut arrêter de défendre Mrs Zemmour et Naulleau qui ne sont pas des critiques, ce sont des agitateurs, des perturbateurs qui grâce à leur image clownesque rapportent de l'audience à France 2 ! C'est plutôt eux qu'il faudrait remettre en cause !

A bon entendeur...

Jean-Dominique Reffait

Dans Le Monde :
"Des chercheurs de l'université britannique de Keele ont constaté que le fait de répéter un juron augmentait le seuil de tolérance à la douleur de volontaires dont la main était plongée dans l'eau glacée. Cela leur permettait de maintenir cette position plus longtemps que lorsqu'ils répétaient un mot plus 'neutre'.

Le fait de jurer, 'phénomène linguistique presque universel', n'entraîne donc 'pas seulement une réponse émotionnelle mais aussi une réponse physique', ce qui pourrait expliquer pourquoi cette pratique séculaire s'est développée et persiste aujourd'hui, a expliqué Richard Stephens, l'un des auteurs de cette étude publiée dans la revue scientifique Neuro Report."

Jean-Dominique Reffait

et tout se retrouve dans cette jolie formule, qui constitue un fil rouge des billets de ce blog : "Le langage nous tient bien plus que nous ne le maîtrisons."

Jean-Dominique Reffait

Je ne crois pas que le propos de Philippe soit de fustiger par principe l'usage de gros mots dans la sphère publique mais plutôt d'observer combien cet usage révèle davantage une posture qu'un véritable sens.

Il s'agit bien de l'usage de grossièretés dans les médias, face à la foule, et non d'un usage intime et quotidien en conduisant sa femme ou sa voiture (quoique...). Cet usage public tendrait à remplacer la force d'une idée par l'audace supposé du mot. BHL use et abuse du terme de "salopard", ce qui le dispense de toute argumentation ultérieure en plaçant son propos dans le registre de la superbe.

J'assimile cela - m'étant examiné moi-même - à une antique compréhension des hiérarchies sociales : le noble insulte librement. "Maraud, faquin, butor de pied plat ridicule !" Il bastonne l'outrecuidant et il pose ainsi son privilège : l'exemption d'avoir à argumenter puisqu'il peut, et lui seul, insulter et passer outre. L'insulte publique est l'attribut de l'homme supérieur, celui qui ne craint pas la bastonnade en retour, celui dont l'esprit s'élève au dessus du débat avec le moustique qui le grignote.

La dignité blessée de Cali est rétablie à ses yeux - et à eux seuls - par cette insulte publique. Je trouve que c'est finement observé par Philippe. Je ne suis pas en mesure de condamner cette attitude, ne me sentant pas complètement étanche de ce côté.

Laurent Dingli

Vous êtes une énigme pour moi, mon cher Aïssa, quand vous dites que le méchant pitre Ruquier est intelligent. Je ne sais pas, c'est comme dire que Bernard-Henri Lévy est modeste, que Philippe Bilger est un dangereux anarchiste, que le Parti Socialiste a des idées ou que Jean-Dominique Reffait est un sarkozyste forcené, bref, ce n'est pas très crédible.

L'ignoble Infreequentable

L'insulte ?
Pauvreté de l'esprit de son auteur, à n'en pas douter !

D'autant mieux que tout "Proc'" que vous êtes aussi, vous savez au moins autant que moi sinon plus que c'est un délit... pénal (outre une offense à la beauté de la langue et de l'intelligence).

Perso, quand j'insulte (jamais naturellement), j'emploie un détour : Par exemple je dis "Notre Ô combien vénéré Président" plutôt que tout autre terme...
C'est plutôt flatteur...
Voire "Ô lumière éternelle", ou "Ô océan de génie", voire encore "Ô galaxie de bonté !"

Parfois je fais mieux : j'emploie un mot qui n'existe pas !
Tout est alors dans le ton employé (à l'oral, s'entend), genre "Miyatche", "Schtrumbeul", "Fitratchi"...
Allez donc me poursuivre pour délit d'injure avec ce genre de compliment !!!

A l'écrit, j'emploie volontiers "konnard", "çonnard", "krétain", "habrutty", etc...
Rien de connu, même dans les meilleurs dictionnaires.
Et le tour est joué !

Le type qui oserait m'attaquer là-dessus, y compris un agent assermenté des forces publiques de l'ordre et du statu quo anticipé, sera immanquablement traité de "fat", de "micro-céphale", "d'analphabète" ou "d'illettré" par mon avocat "à demande reconventionnelle".
Et là, à la barre, ce n'est même plus diffamatoire ou outrage à "forces vives constituées" : juste des faits !

Bonne journée !

Catherine JACOB@Aïssa

@Aïssa
"le «con» n'est rien autre en langage de l'Académie que le doux sexe de ces dames, ce qui me fait tout de même douter que ce sexe ait en quoi que ce soit une tête à laquelle, par exemple, vous ou moi ressemblerions…"

Mais c'est ça justement le problème! Par ex. l'équivalent japonais de 'Con!' est 'BAKA!', du sanscrit 'Moha' (eêt oui...!) lequel signifie 'Ignare', mais lequel BAKA s'écrit par le moyen de l'idéogramme 'Cheval' pour 'BA' et 'Cerf' pour 'KA', je ne vous fais pas de dessin! Ce qui nous donne à penser que cette expression vulgaire du sexe de la femme participe des imprécations, autrement dit de l'antique magie qui recourt souvent à la sphère du sexuel pour maudire (= mal dire, précisément).
Or donc, je pose la question: "Pourquoi dès qu'il s'agit de mal dire, allons-nous en chercher l'expression du côté du sexe féminin, tandis que le japonais nomme beaucoup plus justement, il me semble, l''ignare', "Celui qui pense avec sa queue tel un cheval et un cerf en rut!"? Là on comprend mieux ce qui mène le monde à sa perte : la pulsion du mâle en rut et non pas le moelleux coquillage qui l'accueille bon gré,... mal gré parfois aussi! Toutefois, je dois pour être exacte préciser qu'il existe un BAKA-GAI où 'KAI' signifie précisément 'coquillage', il s'agit du Spisula solida qui abonde sur les côtes irlandaises et britanniques...
Voir le Spisula solida : http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/6/62/Spisula_solida.jpg SOUS TOUTES RESERVES!

SR

Insignifiant ou de la difficulté d'exister dans les médias encombrés par la variété française qui ne s'exporte pas et ne se télécharge pas.

Aïssa Lacheb-Boukachache

Chiée ! J'ai écrasé pendant deux heures… Sieste d'autor… Nique sa race qui me honnit ! j'ai le droit de me la faire crapuleuse… Là j'émerge et j'irradie ; Catherine A., si elle matait, aurait vu ce que c'est qu'un mâle qui se lève… Ta gueule toi qui dis que je cause mal ! Et puis me regarde pas comme ça ou je t'arrange que ta daronne elle dira c'est pas mon fils ça, je le reconnais pas… Cher PB, vous fîtes bien la fine bouche tantôt pour quelques propos colorés… Vous vous sentez offensé et la langue française en danger à cause de ces «deux connards» que Cali eh oh «emmerde»… C'est plus grave que ce que je pensais, hélas, je crains fort qu'il faille bientôt vous rouler dans la naphtaline, mon cher, autrement dit mettre en branle ce processus qui vous immortalisera, l'Académie, la française, au siège du prochain qui claquera là-dedans, je crois que c'est complet actuellement… Je le regrette infiniment mais, vous verrez, vous ne serez pas si malheureux, il y a untel et unetelle et encore celle-là et cet autre, coquins coquines en sourdine qui font du dictionnaire et tiennent la langue d'une poigne en fer malgré l'arthrose et la ménopause… Mais si cela vous effraie tant au point de rejeter énergiquement ma proposition, sachez, mon cher, que nous avons tous notre quota de gros mots à déverser chaque journée et puisque vous redoutez d'être jamais capable de ne jamais tomber dans ce piège qui nous ferait vous voir et entendre traiter, tiens, ce cher Prasquier, de «tête de con», ce qui, soit dit, est pour chacun de nous une bien singulière comparaison, étant donné que le «con» n'est rien autre en langage de l'Académie que le doux sexe de ces dames, ce qui me fait tout de même douter que ce sexe ait en quoi que ce soit une tête à laquelle, par exemple, vous ou moi ressemblerions… Y revenant, je songe soudain que ces deux incriminés par Cali ne seraient ni plus ni moins, selon lui, que deux petits cons, autrement dit, deux petits sexe de femme que, par ailleurs, ils «ornerait» en les emmerdant, c'est-à-dire en les couvrant d'excréments, d'excréments d'humain je suppose… Comme c'est compliqué et sale je l'avoue… A l'hôpital, on n'a de cesse de dire à ces jeunes femmes ou plus matures si nombreuses à nous arriver à pied, à cheval, en ambulance, dans la camionnette à leur mari, si vous saviez, de cesser de pratiquer la sodomie suivie immédiatement de la pénétration vaginale, la bonne, la réglementaire, celle à la papa si vous préférez… C'est la raison principale de ces innombrables infections du con qui nous les amènent en hospitalisation souvent urgentes car le con infecté peut causer de graves séquelles voire la mort à court terme par septicémie foudroyante concomitante. Le con est dangereux ; il faut le choyer… Il faut donc, puisqu'elles y tiennent tant malgré nos avertissements, pratiquer l'inverse et ainsi le con, qu'il soit petit ou grand, restera sauf… Je disais donc que puisqu'il est certain que nous avons chacun notre quota de gros mots à déverser par journée et puisque vous redoutez d'y verser, je vous suggère ceci : tôt le matin, avant d'aller poursuivre, requérir ou simplement gloser à la télé, face à la glace et vous rasant, balancez tout d'une traite… que tout le quota y passe, ce sera pour le miroir, ensuite vous essuyez… C'est ce que je pratique de temps à autre quand un rendez-vous m'attend avec un con emmerdé ou non mais que je dois ménager pour arriver à mes fins, vous comprenez… A partir de là, ceci étant fait, plus rien ni personne ne peut m'ébranler… Méditez, cher PB, méditez bien et judicieusement, vous ne suivez pas assez mes conseils, je trouve, vous n'en faites qu'à votre tête… Vous me faites, dans ce registre de la belle vie qui va allant, songer -et ce sera un drame pour vous que de sombrer réellement à cet étiage moral, à ces désir lancinants d'aseptie sociale- à ceux-là les mortifères qui prolifèrent coincés du cul et du con qui mènent actuellement campagne d'offensés petits trous du cul cervelle sclérosée contre Berlusconi qui à 70 balais et quelque se tape encore -et elles aussi doivent y trouver plus que leur pied et leur compte sinon elles n'en feraient pas une telle publicité- des poupées de 17, 18 et 20 ans… Sacré Silvio, heureux veinard à la santé d'acier, c'est des jaloux et des vieilles peaux, des vieux cons rances qui prétendent à imposer au monde leur saleté d'idéologie...


Aïssa.

Guile

Ah décidément Aissa, vous êtes un inclassable, j'ai encore beaucoup de mal à vous situer idéologiquement.

Peut-être un jour arriverai-je à vous comprendre...

Je commence à vous aimer, car vous arrivez à secouer la bienséance et le savoir-vivre de l'hôte de ces lieux... C'est frais !

Laurent Dingli

Je rejoins totalement Aïssa lorsqu'il écrit :
"Zemmour, Nauleau, encore !... Mais qu'est-ce qui vous prend, nom d'une pipe ! Quel intérêt ces deux trucs du PAF, l'un journaliste paraît-il, l'autre éditeur il paraît... Mais qu'est-ce que vous croyez ? que c'est décisif, que c'est important ce qu'ils disent, écrivent… "

Marilou

Merci Philippe vous ensoleillez mon lundi ! Pauvre petit minuscule Cali. "Un gentil garçon un peu cucul la praline" aurait dit ma mère. Moi moins indulgente je dis qu'il était grand temps que quelqu'un lui ferme le beignet à ce grand dadais. Il ne s'attendait tout de même pas à ce que Zemmour et Naulleau se prosternent devant son talent infinitésimal. Encore que lorsqu'on qualifie Orelsan de poète on peut prétendre à être hissé au niveau de Hugo. Assez de ces pseudo artistes-penseurs qui nous serinent que la pluie mouille, que la guerre c'est pas bien et que des enfants meurent de faim dans le monde. Mais tout est bien préparé, entre deux tirades sur les sans-papiers ils laissent à l'animateur de l'émission le temps de présenter le dernier CD ou DVD et d'énumérer les dates des futurs concerts ! Mais de quel droit viennent-ils nous faire la morale ? Et pourquoi les médias tendent-ils des micros vers ces stars de pacotille ? Il me semble que bien souvent l'avis du citoyen moyen serait plus pertinent mais ça ferait chuter l'audimat… Remarquez le phénomène n'est pas né hier, souvenons-nous du couple Signoret-Montand qui nous ont bassiné avec les bienfaits du communisme en URSS jusqu'au jour où… Bref, que Cali et consorts chantonnent et que les vrais intellectuels de tous horizons nous transmettent leur savoir.
Je grave dans ma mémoire votre "Navré mais debout, pas défait pour un sou". On ne peut pas mieux dire.

GL

Je pense que la formule désormais célèbre « casse-toi pauv’con ! » est bien plus grave eu égard à son auteur ainsi qu'au contexte et elle méritait bien plus un commentaire que celle de Cali.
Ce dernier n'a fait en réalité par la forme que se mettre sur le fond au même niveau que ses interlocuteurs.

polo

"Navré mais debout, pas défait pour un sou."

Vous deviendriez poète Monsieur le Procureur ? Espérons alors que vous ne tombiez jamais dans les mêmes travers que le "poète" Cali !

Catherine JACOB

"Cali intervient certes dans une page qualifiée de "polémique" et on sait que cet artiste a été plus connu, par des gens comme moi, pour son soutien fidèle à Ségolène Royal ( à l'exception d'une divergence liée au rappeur Orelsan) qu'à cause de ses chansons."

J'imagine que l'épisode impliquant Ségolène Royal fait référence à la déprogrammation des Francofolies de La Rochelle, du rappeur OrelSan, le chanteur de «Sale Pute»: Ce que cette dernière nie (Yannick Vely - Parismatch.com)

"Toutefois, elle (Ségolène Royal) déclare assumer «d’avoir sollicité des informations» après avoir été interpellée par des associations de lutte contre les violences faites aux femmes et être satisfaite de la déprogrammation d’OrelSan. «Est-il en effet tolérable qu'un chanteur appelle au meurtre et à la violence contre les femmes, pas seulement dans une chanson mais dans plusieurs, qu'il menace de les 'marie-trintigner', de 'les avorter opinel'?», explique-t-elle dans le communiqué, fustigeant «tous ceux qui se sont déclarés solidaires de ce rappeur, M. Lefebvre et Paillé de l'UMP, mais aussi Lang ont perdu une occasion de se taire». "

"Un retour en arrière s’impose, que ce soit sur la platine ou dans cette ténébreuse affaire pour comprendre les tenants et les aboutissants politiques. Le 12 février 2009 sort, quelques jours avant le premier album du Caennais, une vidéo de la chanson «Sale Pute». Parmi les paroles d’un jeune homme qui tape sur son clavier son dépit amoureux, bouteille à la main, quelques formules chocs : «Tu es juste une putain d avaleuse de sabre une sale catin», «On verra comment tu fais la belle avec une jambe cassée», «T’es juste une truie, tu mérites ta place à l’abattoir», entre autres amabilités misogynes.

La secrétaire d'État à la Solidarité, Valérie Létard (UMP) a immédiatement estimé que les paroles incitaient à la violence sexiste. «Alors qu'en France, une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son compagnon, ce texte est une véritable incitation à la haine, à la violence voire au meurtre envers les femmes», avait-elle expliqué. "

"Christine Albanel, alors ministre de la Culture, s’était elle déclarée «choquée et même révoltée». Son successeur Rue de Valois, Frédéric Mitterrand, a joué la carte de l’apaisement. «OrelSan exprime le dépit amoureux, avec des termes qui ne sont pas les miens, moi je ne parle pas exactement la même langue, mais il a tout à fait le droit de l'exprimer», a-t-il déclaré sur RTL. «Je ne trouve rien de choquant ni de répréhensible à la manière dont il le chante, et je trouve toute cette polémique, toute cette controverse, vraiment ridicule», a-t-il ajouté, «Rimbaud a écrit des choses bien plus violentes et qui sont devenues des classiques»…" Ex?

A partir de là, il est clair que les paroles de la chanson de Cali qui suivent sur son site un préambule dans lequel la voix de, manifestement, Jeanne Moreau interpelle le ministre concerné sur le scandale de la pauvreté des migrants, sont de pures roucoulades cristallines:

"J'étais dingue de toi
Prêt à toutes les conneries"

"Comme le dit très justement Benjamin Locoge dans 'Paris Match, s'extasiait déjà le responsable de France Inter, revue de presse du 14/1O/05: "Cali chante tout haut ce que l'on fantasme tout bas. Ayant le culot d'écrire des phrases comme "Que devient le fond de ta culotte quand je ne suis pas là ?", Cali s'est créé un monde navigant entre provocations et hyperréalisme...
Cru et cul, écrit notre confrère de 'Paris Match'...Sans limites ni tabous...Au point de devenir sa marque de fabrique, et le sens de toute sa musique."

Le "pétage de plomb" face à Naulleau et Zemmour", s'explique à mon avis par son image de marque.

"il (Cali) réplique brièvement sur un mode normal mais pourquoi éprouve-t-il le besoin de terminer par "j'emmerde ces deux connards", ce qui gâche tout ?" vous demandez-vous naïvement.

Mais là de même, on peut penser qu'il s'adresse uniquement à son public, celui qui, à cet énoncé, s'écrira spontanément, "T'as raison ma poule, emmerde-les ces connards."

Les autres, à commencer par les deux 'connards', vous, moi, nous les gens lambda, ceux dont le Rimbaud de Frédéric Mitterrand n'a rien à faire, ce Rimbaud du « Cercle zutique » où était célébré celui qui "Obscur et froncé comme un oeillet violet - respire, humblement tapi parmi la mousse..." - Je ne vous fais pas de dessin! Eh bien, il leur dit "ZUT" précisément, et comme son collègue Oreille Sans, lequel comme son nom l'indique, n'y entend coût, forcément, il répète "PUT!"; Dès lors, il y a le "Cercle putique" des Oreille Sans et le "Cercle pudique" des enrhumés, à chacun son ministre des cul-tes et les "lââmes de lait" seront bien gardées.

L.G.

Reprocher à Cali ses gros mots ne revient-il pas, somme toute, à reprocher sa colère, exprimée à sa façon c'est-à-dire vulgairement? En vous lisant, je me suis demandé si vous n'attendiez pas trop d'une réaction à chaud de la part d'un tel protagoniste. Vous êtes déçu par son manque de stratégie, ou par la grossièreté d'une sortie pourtant argumentée en un temps préalable. Mais n'est-ce pas là vouloir trop intellectualiser le comportement d'un homme prompt à l'épanchement spontané ? Ses insultes viennent signer une colère authentique, et si la grossièreté le dessert sans doute dans l'écho rhétorique qu'elle provoque, elle témoigne avant tout d'une simplicité peu solennelle mais sans prétention, peu sujette à l'opprobre me semble-t-il.

Aïssa Lacheb-Boukachache

Mort aux cons !

Un anonyme.

Aïssa Lacheb-Boukachache

Vous en faites tout un raouf pour si peu, cher PB … Ainsi parce que quelqu'un ne vous aime pas, vous vous sentez offensé. Mazette! Il a le droit de ne pas vous aimer et de l'écrire aussi simplement que cela. D'ailleurs, vous devriez lui en être reconnaissant, cet auteur anonyme de ce site que vous avez visité en ses commentaires, car on peut raisonnablement penser que s'il a conclu qu'il ne vous aime pas, c'est que donc bien il vous a étudié, lu, observé … Ainsi, il s'est au préalable intéressé à vous et cela seul mérite que vous y voyiez moins qu'une offense mais une réelle marque d'intérêt. Votre susceptibilité à vif ne risque rien en l'occurrence, sinon d'être caressée, d'une certaine et singulière manière flattée même en cet amour refusé …

Zemmour, Nauleau, encore!... Mais qu'est-ce qui vous prend, nom d'une pipe! Quel intérêt ces deux trucs du PAF, l'un journaliste paraît-il, l'autre éditeur il paraît ... Mais qu'est-ce que vous croyez? que c'est décisif, que c'est important ce qu'ils disent, écrivent … Franchement, cher PB, je vais vous dire ma pensée, plus vous me proposez à lire de ces deux-là, plus j'interprète que vous me prenez absolument pour un con … Ogien, passe encore mais là … ronron, suffit, revenez à Ogien, je vous prie, si l'inspiration vous manque … Ou alors Ruquier mais lui seul qui, n'en déplaise à ce cher Laurent (tiens, ils ont le même prénom!) est un garçon très intelligent dont le métier est de faire l'amuseur sans se prendre jamais au sérieux … D'ailleurs, qu'il emploie et Zemmour et Nauleau, même payés 5000 euros chacun l'émission, c'est déjà faire le pitre et plus encore …

Aïssa.

Jean-Dominique Reffait

La généralité que vous évoquez est juste mais ne rend pas illégitime l'attitude particulière, en l'occurrence de Cali, dont je ne connais rien par ailleurs.
Dans cet exercice difficile de télévision, il y a une hypocrisie : les artistes ou les écrivains viennent pour faire la promotion de leur travail. C'est quasi-contractuel pour eux et l'émission elle-même ne tourne que grâce à cela. Pour pimenter la chose, les rôles sont répartis artificiellement, un gentil, deux méchants. Le problème est que le gentil a une faible crédibilité culturelle face à Zemmour ou Naulleau qui, chacun dans sa partie, sait de quoi il parle.
Autre déséquilibre, c'est l'auteur qui vient défendre son travail devant des critiques et il lui est impossible, sauf s'il s'appelle Francis Lalanne, de proclamer sincèrement que son oeuvre est géniale comme pourrait le faire un critique enthousiasmé.

Le scénario est donc ficelé de cette manière.

Votre analyse du gros mot qui enfle celui qui le profère est très juste : j'en suis fréquemment l'objet et j'observe en moi cette nouvelle surface passagère qui résulte d'un "salopard" bien sonore envoyé à propos. Y renoncerais-je ? Pas sûr, ça dégonfle mes colères et je n'en fais pas un usage constant.
Cela se vérifie à l'oral, pas à l'écrit. Le gros mot écrit est, pour ce qui me concerne, une couleur de contraste et son choix est souvent "musical".

Laurent Dingli

D'accord avec ce que vous dites sur le langage et qui fait songer aux propos de l'agressif Noël Mamère sur Omar Bongo. Plutôt que de connard, je qualifierais le chanteur Cali d'extravagante nullité.
Pour autant, vous savez, mon cher Philippe, ce que je pense des deux susnommés Zemmour et Naulleau sans parler de "l'intelligent" Ruquier (dixit Aïssa).
Pour tout vous dire, je ne crois pas que ces trois là soient impertinents : ils font juste un petit numéro médiatique où la provocation facile et la méchanceté font office d'insolence. La critique faite avec esprit n'a plus cours dans notre société de fast-food médiatique : nous ne faisons jamais que passer de l'adulation marketing à la mise en pièce de l'invité. Tout cela fait partie du show, il ne faut pas se leurrer. Quand j'entends le rire bête et les piteuses blagues de l'inénarrable Ruquier, je pense tout de suite à la célèbre formule de Hanns Johst à propos de la culture... Wenn ich Kultur (Ruquier) höre... entsichere ich meinen Browning .
(Hum ! C'est de l'humour et j'ai d'ailleurs horreur des armes).

jacqueline

J'aime beaucoup Cali au moins il est franc.

Natoussia

J'irai même jusqu'à dire, monsieur Bilger, que "l'intelligence des personnes attaquées" m'importe peu. Croyez moi, il m'est arrivé d'avoir très envie de proférer à l'encontre de M. Zemmour le même genre de grossièreté, tant son goût pour la provocation, qu'il utilise pour soutenir des idées opposées aux miennes, me fait monter la moutarde au nez.
Pourtant, si un jour je dois lui faire face, je me laisserai traiter de féministe hystérique sans broncher et je tâcherai de garder ma politesse et de lui expliquer calmement mon point de vue (si tant est qu'il me laisse parler, mais c'est une autre histoire). Car insulter, c'est effectivement abdiquer, quel que soit le niveau d'intelligence et le degré de provocation de la personne que l'on a en face.

Alex paulista tem saudade do pa amb oli

Cher Philippe Bilger, vous tombez dans d'autres pièges.

- commencez par écouter une chanson plutôt que reprendre le meeting de Royal. Cali a eu un succès important avant son engagement, n'insinuez pas le contraire, ce n'est pas un second couteau en quête de promo. Cali est plutôt plus agréable que les Obispo, De Palmas (le spécialiste des chansons de cocus).
http://www.youtube.com/watch?v=rwdw0cCM7L0

- son engagement n'est pas tant en faveur de Royal mais fait suite au dégoût devant les exactions des préfets sarkozistes zélés qui dans le Roussillon poussent toujours plus loin la stupidité. Il a décidé d'"emmerder ces connards" là-aussi et de protéger quelques enfants. C'est dans le Roussillon que, pour faire du quota, les emPAFés arrêtent les Marocains en route pour rentrer en voiture puis ferry chez eux, les forçant à abandonner la voiture sur place avec toutes leurs affaires. C'est là aussi que le mouvement de la Cimade de défense des mariages mixtes a commencé.
Pour ceux qui supportent les émotions fortes, regardez la vidéo suivante (femmes enceintes s'abstenir)
http://www.dailymotion.com/video/x94btn_les-amoureux-au-ban-public-temoigna_news
C'est pour cela qu'il se fait descendre par Zemmour qui n'a pas écouté une seule chanson avec une oreille objective. Et qu'est-ce qu'il y connaît, Zemmour, au rock français ?

- c'était rigolo de voir l'indignation des deux Eric quand Cali a lu en public les petites notes. Là c'est plus du jeu... Ces pros de la télé qui organisent la descente d'un artiste en direct devant les foules amusées ne supportent pas d'être déstabilisés à leur tour. Il suffit de leur prendre trois fiches pour que ce soit la panique. A ce moment le public est amusé, cela devient de la démagogie comme dirait Eric...

Donc, vous l'avez compris, ma famille vient de la même région de France que Cali, une région où depuis les années 30 on emmerde les connards.
Et on ne se laisse pas emmerder, au risque de choquer les parisiens délicats on pratique un jeu d'avants.

Des parisiens au style impeccable, j'en ai croisés dans le Roussillon qui dénigraient d'un air condescendant le vin de Fitou, les Merlots faits sur les côteaux ou autres. Ces imbéciles qui vénèrent le Bordeaux quelconque ne se sont jamais demandés pourquoi les mêmes cépages étaient utilisés au Languedoc. C'est que la "piquette" locale partait par citernes relever en alcool les crus bordelais quand le soleil s'était fait rare en Gironde. Ces mêmes crus qui étaient notés généreusement par les spécialistes parisiens.
Sûrement des Zemmour du pinard qui ne goûtent que le Rancio fait à Maury, le Grenache de Banyuls, et encore une fois dans leur vie.
Mais tous les ans, ils vont dans la Drôme acheter du Saint Joseph à prix d'or.

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