« Réponse modeste à Henri Guaino | Accueil | L'Etat irréprochable existe »

08 juillet 2010

Commentaires

Catherine JACOB

@Sylvain | 19 juillet 2010 à 11:16

"Rouy Blase, ver 797 ???
HEUUU... avant ou après J.Claude ????
"

Bouh !

Sylvain

Ruy Blas : vers 797

"Madame, sous vos pieds, dans l'ombre, un homme est là
"Qui vous aime, perdu dans la nuit qui le voile ;
"Qui souffre, ver de terre amoureux d'une étoile ;
"Qui pour vous donnera son âme s'il le faut ;
"Et qui se meurt en bas quand vous brillez en haut.

.........................

Rouy Blase, ver 797 ???

HEUUU... avant ou après J.Claude ????

Sylvain

D'après Aristote : La vertu comme juste milieu (Éthique à Nicomaque, II, 6) -

Ethique ???.... (sa mère) ???

Nicomaque ?? est-ce une nouvelle race de nictamères, de banlieues ??

Sylvain

@Catherine J.
Bonjour et excuses anticipées pour n'avoir pas eu envie de lire jusqu'au bout le texte mais :

1 ) j'ai pas envie de repasser sur le billard, trop échaudé

2 ) ensuite en faisant travailler la roulette de la souris pour voir la longueur du texte, j'ai attrapé une crampe à l'index

Donc veuillez svp prendre soin de ma santé en faisant plus court.

Remerciements rétroactifs

Bon wikendeu

Catherine JACOB@Sylvain(2)

Sylvain fait des vers sans en avoir l'air :
Je suis vraiment stupéfait que des gens s'intéressent à moi, misérable ver de terre inculte, admiratif des étoiles

Ruy Blas : vers 797
" Madame, sous vos pieds, dans l'ombre, un homme est là
" Qui vous aime, perdu dans la nuit qui le voile ;
" Qui souffre, ver de terre amoureux d'une étoile ;
" Qui pour vous donnera son âme, s'il le faut ;
" Et qui se meurt en bas quand vous brillez en haut. "

de ce Savoir qui est le "leurre"... = « L’instance de la lettre » = « Le véritable objet dont il s’agit n’est pas devant, mais derrière. » (Lacan)
D'où, peut-être la première version de la naissance du coup de boule dans l'altercation Materazzi/Zidane est-elle bien la bonne à laquelle il est répondu par devant...^^

Catherine JACOB

@Sylvain | 17 juillet 2010 à 10:44
«Pourtant je suis féru de culture italienne comme vous semblez l'être.
Je peux citer des gens célèbres : Materazzi.
»

Puisque j'ai affaire manifestement à un spécialiste – et si PB autorise ce dernier échange, mais bon, la thématique en étant : « Où est la honte? » peut-être acceptera-t-il encore un petit effort – J'aimerais bien vous demander pour laquelle de ces deux versions radicalement différentes vous vous prononcez?

Version n°1:
«Paris Match a demandé à Mariella Balsamo, interprète du langage des signes à l’institut national des sourds et muets de Messine, de décrypter le document fourni par TV Globo, seule caméra isolée a avoir filmé de face Marco Materazzi lors de l’altercation.
Le défenseur de l’Inter de Milan aurait commencé son festival d’insultes par (en italien dans le texte)
«Oh ! Levati finocchio », ce qui peut se traduire par « Oh ! Casse-toi pédé ! »
« Une seconde plus tard, il ajoute : « Con la tua puttana di tua sorella » (« Avec ta pute de sœur » ), sobrement conclu par un « Merda » (« Merde »).
Materazzi en rajoute et insiste, en proférant la même insulte sur la sœur du numéro 10 des Bleus, puis, change de registre, avec :
« Anzi. Ti spacco il culo », (« Et même mieux, je vais te défoncer le cul » ).
Zidane se retourne alors, marque un temps d’arrêt, puis assène un « coup de boule » qui restera probablement dans les annales de l’histoire du sport.

Version n°2
« Le frère de Zidane, joint par Paris Match, maintient une version légèrement différente :Il a traité mon frère de terroriste et lui a dit qu’il ne pouvait pas porter le maillot de l’équipe de France parce qu’il était arabe et pas français

Résultat en tout cas : http://4e.img.v4.skyrock.net/4e9/foot-0/pics/588738457_small.jpg

« Et surtout n'oubliez pas mon conseil : "la dose, respectez la dose"... »

Verlaine lui-même, ce grand alcoolique bisexuel qui ressemble à certaines représentations de Bacchus sur des coupes attiques du Vème siècle sur fond rouge à figures noires, le disait déjà qui conseille :
De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l'impair,
Plus vague et plus soluble dans l'air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.
-Art Poétique -

«C’est pourquoi dans l’ordre de la substance et de la définition exprimant la quiddité, la vertu est une médiété, tandis que dans l’ordre de l’excellence et du parfait, c’est un sommet. Mais toute action n’admet pas la médiété, ni non plus toute affection, car pour certaines d’entre elles leur seule dénomination implique immédiatement la perversité, par exemple la malveillance, l’impudence, l’envie, et, dans le domaine des actions, l’adultère, le vol, l’homicide : ces affections et ces actions, et les autres de même genre, sont toutes, en effet, objets de blâme parce qu’elles sont perverses en elles-mêmes, et ce n’est pas seulement leur excès ou leur défaut que l’on condamne. Il n’est donc jamais possible de se tenir à leur sujet dans la voie droite, mais elles constituent toujours des fautes. » - ARISTOTE : LA VERTU COMME JUSTE MILIEU (Éthique à Nicomaque, II, 6) -

Est-il besoin de préciser qu'il en va pour ce dont vous préconisez le juste dosage tout de même que pour ce qui concerne la vertu du juste milieu dans l'homicide etc.? Cela est mauvais en soi-même, et non pas le seul excès!!

Sylvain

Bonjour Catherine JACOB

Vous me faites trop d'honneur en répondant à mes messages.

Le mérité-je ?

Je suis vraiment stupéfait que des gens s'intéressent à moi, misérable ver de terre inculte, admiratif des étoiles de ce Savoir qui est le "leurre"...

Pourtant je suis féru de culture italienne comme vous semblez l'être.

Je peux citer des gens célèbres :

Berlusconi, Il Cavaliere, dont je suis fan inconditionnel et qui laissera une trace indélébile dans l'histoire de la Botte.

L'Inter de Milan de José Mourinho.

Materazzi.

La Squadra Azzura même si elle a foiré cette fois
........

Et aussi des lieux comme ma pizzeria de quartier "Chez Mario" dont je connais la carte des pizzas par coeur...

Je ne peux pas tout citer...

Aussi je vous salue, en espérant avoir enrichi ce débat de très haut niveau littéraire.

Et surtout n'oubliez pas mon conseil : "la dose, respectez la dose"...

Catherine JACOB@Sylvain

@Sylvain | 16 juillet 2010 à 12:46
«c'est pas le titre d'une cassette porno ??? »
L'école de Fontainebleau est une tendance artistique apparue à la Renaissance à Fontainebleau sous l'impulsion de François 1er qui désirait donner à la Cour de France le lustre des cours italiennes.
(Cf. http://www.aparences.net/fontainebleau/fontainebleau1.html )
Gabrielle d'Estrées est la maîtresse et favorite d’Henri IV ; Elle représentée par un peintre anonyme de cette école française en compagnie de sa sœur la duchesse de Villars qui lui a saisi la pointe du sein dans un geste généralement interprété comme l'annonce de la grossesse de la favorite mais que dans les milieux psy on interprète très différemment.
Ceci étant, il n'y a pas de cassette porno au musée du Louvre, ou peut-être dans la salle de repos des gardiens ou de leur Comité d'entreprise s'il existe, qui sait!

@Sylvain | 16 juillet 2010 à 12:44
« ....................................
ah oui ! quand même !
attention de ne pas dépasser trop souvent les doses prescrites
vous êtes sure que votre dealer ne vous arnaque pas ??? 
 »

C'est extraordinaire ce qu'un énoncé qu'ils ne comprennent pas de prime abord peut faire naître de supputations malveillantes chez les gens 'formatés' différemment...!

Sylvain


bijour mme catherine ..

..... Cf. Gabrielle d'Estrées et sa sœur la duchesse de Villars par l'école de Fontainebleau, un ....

ha oui çà y est !! çà m'est ""reviendu "

c'est pas le titre d'une cassette porno ???

Sylvain

Rédigé par : Catherine JACOB@Sylvain | 16 juillet 2010 à 09:04

....................................

ah oui ! quand même !

attention de ne pas dépasser trop souvent les doses prescrites

vous êtes sure que votre dealer ne vous arnaque pas ???

catherine A le clan des Catherine

@Catherine J.

J'avoue que ma flemmingite aiguë a souvent raison de vos posts. Cela dit, il m'arrive parfois de m'égarer et de les lire ; très rarement il est vrai. Il m'arrive aussi d'y trouver quelques pépites. Mais s'il faut brouetter des m3 de terre, il y a vraiment de quoi décourager les chercheurs les plus tenaces... Faites court Catherine, ne nous donnez que le meilleur. Je le lirai avec plaisir et je parie que je ne serai pas la seule.

Catherine JACOB@Sylvain

@Sylvain | 15 juillet 2010 à 12:07
« 16 heures sur le billard...
J'en ai encore des séquelles.
 »

Je ne suis pas très sûre du sens que vous donnez au verbe 'lire'.
Peut-être trop proche de 'stringō' (dans la langue rustique: pincer une branche', pincer (l'olive pour la détacher de l'arbre (=cueillir) - Cf. Gabrielle d'Estrées et sa sœur la duchesse de Villars par l'école de Fontainebleau, un anonyme 1594, Paris musée du Louvre - une discrète, mais très imitée évocation, du sadisme ainsi que du saphisme et de la même famille que striga: oiseau de nuit, Grand Duc, strige, sorcière, vampire / dans la langue nautique: 'serrer de près, raser, longer' ; Donc 'qui laisse des traces') plutôt que de legō (ramasser, recueillir; par ex. (recueillir les os du mort après incinération ou recueillir les traces de etc.) a priori moins dangereux et beaucoup plus passionnant et plein de surprises inattendues ainsi que plus...exact!

« Un peu comme pour le programme du PS...»
Ne me donnez pas de mauvaises idées...

Sylvain

Et pan ! Je vous ai lue et me revoilà avec une migraine... Mais non, je plaisante, Catherine Jacob, allez, et sans rancune.

Rédigé par : Laurent Dingli | 15 juillet 2010 à 10:04

......................................

Bonjour Laurent

Ben moi je plaisante pas, j'ai essayé de tenir jusqu'au bout, résultat : triple pontage coronarien suite à décalcification de mes neurones, 16 heures sur le billard...
J'en ai encore des séquelles.
Par contre je suis dans le livre des records de résistance à l'insomnie.

Un peu comme pour le programme du PS...

Laurent Dingli

Et pan ! Je vous ai lue et me revoilà avec une migraine... Mais non, je plaisante, Catherine Jacob, allez, et sans rancune.

Sylvain

C’est clair maintenant !... L'ensemble des médias est corrompu à cause de sa recherche du sensationnel, de l'audience et du fric !!!
Il leur faut à tout prix accrocher le lecteur ou l'auditeur en utilisant les coups bas les plus tordus qui soient !!!
Honte à ce clan !!!
Honte à cette secte !!!!
Qui préfère l'audience et le fric à la simple vérité !
Bon !....aujourd'hui ils vont nous balancer quoi comme infos ordurières non vérifiées les Marianne, Canal +, Le Parisien, RTL et autres "merdias" fervents convaincus de la doctrine des années staliniennes ? Le prix exorbitant du papier WC de M. Woerth ?
Quelle invention de caniveau vont-ils encore faire ingurgiter au bobo français ???
Tout ça pour faire de l'audience et du fric !
Tout ça pour faire monter les extrêmes !
Une inquisition savamment orchestrée !


Catherine JACOB@Laurent Dingli

@Laurent Dingli | 14 juillet 2010 à 19:33
« Catherine Jacob, j'ai seulement constaté que ledit Sbriglia vous avait bien arrangée. C'est un fait, rien de plus. Inutile de vous imaginer autre chose que cela. En ce qui me concerne, vos longues références ne me dérangent pas : je ne les lis pas. »

Je constate de même pour ma part qu' Audiatur et altera pars n'est pas franchement votre tasse de thé puisque vous admettez avoir commenté sbriglia dans un style qui dans les faits se rapproche davantage de l'applaudissement que de la neutralité du pur constat sur la seule base de la longueur des références sur lesquelles j'indique en général que je m'appuie, sans considération aucune de leur possible pertinence.
Or tout est là cependant, dans ce que E.Kant nomme l'adéquation qui veut qu'un des critères de vérité, et le plus souvent invoqué, soit l'adéquation de la connaissance à son objet.

Un bon exemple en est l'interview ce matin de la sirupeuse adjointe au maire de Paris récemment décorée par le roi d'Espagne, Anne Hidalgo, « au titre d'une reconnaissance à l'immigration espagnole en France à travers celle qui représente pour ladite communauté un modèle exemplaire d'intégration réussie », mais qui a cependant commenté l'affaire Woerth-Bettencourt sur la base d'une admirable confusion entre les systèmes français et américain d'administration de la preuve qui en dit long sur la façon dont cette ex inspectrice du travail a dû le faire précisément, en ce qui la concerne, ainsi qu'évoqué avec beaucoup d'affectation et bien évidemment en dehors de son contexte d'application et selon une mode décortiquée par PB il y a peu, la présomption d'innocence instaurée par son propre parti, ce qui autorise à augurer sombrement d'une issue favorable des ambitions qu'elle affiche. La revendication et la mise en lumières des hauts faits des membres d'une communauté donnée est une chose et la connaissance exacte de la culture d'intégration sur la base de laquelle on s'autorise à donner son avis, manifestement, une autre!

Catherine JACOB@MS&Valerie

@MS | 14 juillet 2010 à 18:30
« @sbriglia[...]
Pour le reste de vos propos inutilement blessants, je vous ai lu ailleurs mieux inspiré: on peut aussi être créditeur de ses aigreurs.
 »

Je pense que son attaque soudaine et félonne, était d'abord une façon de défendre François-Marie Banier.
Allez savoir pourquoi il confond ainsi ce Blog avec l'arène d'une salle audience?! Mais bon, on peut observer qu'il continue (14 juillet 2010 à 13:46) en attaquant l'avocat de Patrice de Maistre, Me Pascal Wilhelm qui ne fait que son travail et qui a bien du courage par cette chaleur, de s’évertuer à défendre la retraite de l'expert comptable descendant d'un penseur ésotérique et qui s’évertue pour sa part à essayer de maintenir le train de vie de l'ex-épouse du fabricant de sacs à mains, 7ème fortune mondiale et 1ère fortune de France....!
Je cite : «Elle est là, la honte, dans cette insultante et méprisable déclaration. Où est l'honneur de la robe à oser soutenir de telles insanités ?J'ai honte ! »
S'agissant de François-Marie Banier, pour ma part, je réitère. Les dessins à la manière de Picasso mâtiné de Cocteau qu'il a fait pendant l'audience pour se donner la contenance de l'Art outragé et qu'on a entraperçus à la télé, n'avaient en effet rien de particulièrement original.

@ Valérie | 14 juillet 2010 à 15:32
« Désolée, mais a vous lire on ne peut s’empêcher de constater toute la passion d'un admirateur éconduit !☺ »

Merci Valérie.

Laurent Dingli

Catherine Jacob, j'ai seulement constaté que ledit Sbriglia vous avait bien arrangée. C'est un fait, rien de plus. Inutile de vous imaginer autre chose que cela. En ce qui me concerne, vos longues références ne me dérangent pas : je ne les lis pas.

MS

@sbriglia

Pour avoir un jour fait ici grief à Catherine Jacob de la longueur souvent dissuasive de ses messages, j'avoue fréquemment partager votre manque de courage à la lire.
Pour le reste de vos propos inutilement blessants, je vous ai lu ailleurs mieux inspiré: on peut aussi être créditeur de ses aigreurs.

Valerie

Rédigé par Monsieur Sbriglia le 13 juillet 2010 à 16:31

Desolee, mais a vous lire on ne peut s'empecher de constater toute la passion d'un admirateur econduit !

sbriglia

Où est la honte ?

Madame LB a consenti en 2008 un don manuel de 5 millions d'euros en espèces à Monsieur de Maistre, son "conseiller financier" dont on peut penser que les prestations ne furent pas bénévoles...

L'avocat de ce dernier, Pascal W., le justifie ainsi "cette somme correspond à la pension de retraite que Patrice de Maistre aurait été en droit d'attendre s'il avait eu le statut de salarié travaillant au service de madame B." (sic !)

Elle est là, la honte, dans cette insultante et méprisable déclaration.

Où est l'honneur de la robe à oser soutenir de telles insanités ?

J'ai honte !

Catherine JACOB@sbriglia&Laurent Dingli

sbriglia@Professeur de droit pénal | 13 juillet 2010 à 16:31
« ces leçons de droit pénal que vous assénez avec l’aplomb sentencieux du capacitaire de première année, quand allez-vous, enfin, Madame Jacob, nous en délivrer ? »

Précisions à l'intention des titulaires du baccalauréat, ce « certificat que donne l’État et qui atteste à tous que le jeune Untel ne sait absolument rien faire. » - Paul Valéry - :
1) Capacitaire : Personne titulaire d'une capacité en droit.
2)« Le Certificat de Capacité en Droit est un diplôme universitaire français actuel, de niveau IV, créé par Napoléon Ier en 1804, conçu pour être accessible à un large public et considéré comme étant une équivalence du baccalauréat. Cette voie d'accès parallèle aux études supérieures juridiques fait partie de la « vitrine sociale » des Facultés de droit. L'entrée en formation de capacité en droit est accessible sans conditions de diplôme dès l'âge de 17 ans acquis. Parfois qualifiée de « diplôme de la seconde chance », la capacité en droit est un équivalent du baccalauréat dans certaines hypothèses, mais sa forte spécialisation qui fait son intérêt offre aussi moins de possibilités que le D.A.E.U. Le diplôme se prépare généralement, par cours du soir et le samedi, en deux ans, ce qui rend cette formation compatible avec une reprise d'études combinant une activé salariée ou d'autres études.»
3)D.A.E.U: Le diplôme d’accès aux études universitaires est un diplôme préparé dans une université dans le but d’obtenir une équivalence au baccalauréat.

Je remercie donc Votre Excellence de son obligeante suggestion, mais contrairement à certains qui font passer le certificat de fin d'études secondaires (CFES) qui ne remplace pas le bac mais permet simplement de justifier d'un niveau bac et qu'un Recteur délivre au candidat malheureux ayant néanmoins obtenu une moyenne comprise entre 8 et 10/20 à l'examen (cf. http://www.ac-grenoble.fr/admin/spip/spip.php?article323 ) pour le baccalauréat la frontière aussitôt passée (et inversement en s'inscrivant dans les universités françaises avec un CFES qu'il font passer pour l'équivalent du bac), je suis pour ma part effectivement titulaire de ce diplôme. Je pourrais donc m'inscrire en première année de droit au besoin, sans passer par la case capacité en droit qui, de ce fait, ne me manque pas.

«ce perpétuel sentiment, à vous lire, si tant est que nous en ayons le courage, de se retrouver en cours de rattrapage, cette affligeante infirmité de votre esprit à nous prendre pour des crétins illettrés, ces « copié/collé » répétitifs qui ne font que mieux ressortir la vacuité de votre imagination et masquer le désert de vos idées personnelles»

Contrairement à ceux qui imaginent le Code pénal, je pense que la lettre crue de ses articles et la réflexion qu'ils suscitent, peuvent être très salutaires notamment à s'épargner certaines confusions. Par ex. Il n'est pas écrit dans l'art. 226-1 du Code pénal : « Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de porter atteinte à l'intimité de la vie privée d'autrui :
1° […] 2° En fixant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de celle-ci, l'image d'une personne se trouvant dans un lieu privé
»; A moins qu'on ait eu l'intention louable de se livrer à l'action prohibée dans le seul et unique but d'aider les filles à convaincre un magistrat que l'état mental de leurs pères et mères justifie la prise de mesures de protection à leur égard, ou encore de convaincre la police que l'état mental de vos voisins justifie que la préfecture ou la mairie prenne semblable mesure à leur égard vu qu'ils se grattent le chose dans leur salon lorsqu'ils se pensent chez eux sous la protection de l'art.9 CV alors que tout le monde sait qu'on ne se gratte pas le chose sur son canapé mais uniquement sous sa douche et encore, vu que se gratter le chose laisse penser qu'ils pourraient bien être à l'origine de la prolifération des morpions dans le quartier et qu'il s'agit donc là non pas d'une atteinte à l'intimité de la vie privée d'autrui mais d'une mesure de Salut Public !

Étant donné le désert de mes idées personnelles, mon absence d'imagination et ma grande naïveté, j'ai souvent le tort de croire que les infractions ou les abus divers sont le fait d'une ignorance ou d'un oubli. Ex. la 2de partie de l'art. en rapport qui disait que « la parole est libre à l'audience » (ce qui par ailleurs ne concerne pas que le ministère public) et qui avait bien fait l'objet, par un moment, d'un léger oubli de la part du Chef du Parquet, si ma propre mémoire ne me fait pas défaut.
D'où, sans doute, cette impression de rabâchage chez ceux d'entre « les commentateurs qui ne jouent pas les Trissotin de sous-préfecture, et les pousse à la cruauté des comparaisons » dont vous les créditez à mon encontre( au fait, vous pensez à qui et à quoi en particulier ?) et dont je les prie de bien vouloir m'excuser insistant sur ce fait que ces modestes rappels ne sauraient s'adresser à des êtres doués d'une si féconde faconde.

Ceci dit, je ne passe pas mon temps en effet, comme vous-même à lire et relire Du côté de chez Swann, pas même en japonais, je lis aussi Le Contre Saint Beuve où il est question non pas de cette « Castafiole » ou « Castapipe » qui quand elle ne nous envoie pas du Marguerite sur tous les tons, tire aussi Tintin et Haddock des griffes du redoutable Marquis Di Gorgonzola alias l'infâme Rastapopoulos, mais de cette « musique douce comme le regard d'une femme qui voit que le ciel est gâté pour la journée », de ce « bruit de la pluie tombant sur la fenêtre dévidant ce parfum ténu, interminable et glacé dont Chopin a étiré jusqu'au bout la substance fragile et précieuse», de cette pluie qui n'a pas gâché le 14 juillet 2010 mais grâce à laquelle les hôtes de la tribune officielle ont trouvé un peu d'agréable fraîcheur (citation R. Bachelot en direct..) et qui est « signe de chance » comme la voisine de CBS le lui a fait remarquer...

C'est grâce enfin à une oreille éduquée par un tel Chopin et donc sensible aux harmoniques des mots que j'ai pu apprécier la si subtile méchanceté dont vous les avez très spécialement arrosés à mon intention aujourd'hui.

@ Laurent Dingli | 14 juillet 2010 à 11:55
« Eh bien, mon cher Sbriglia, qu'est-ce que vous lui avez mis à l'inépuisable Catherine Jacob !

Belle performance sans aucun doute. Vraiment, vous avez raison! Mais donc, quelque part, d'un grand pervers !
Ceci étant, pour ce qui vous concerne, patience ! Votre tour viendra.

Laurent Dingli

Eh bien, mon cher Sbriglia, qu'est-ce que vous lui avez mis à l'inépuisable Catherine Jacob !

Judith

@ Véronique

Navrée, je n'étais pas informée de la saisine réelle ou avortée du Juge des Tutelles.

Du temps où elle n'impliquait que la famille et les proches de la femme la plus puissante de France, cette affaire ne m'intéressait tout simplement pas.

Je m'amusais tout au plus qu'on puisse venir se plaindre judiciairement de la faiblesse d'un puissant.

Imaginez que Liliane B ait pris l'initiative de saisir le Tribunal correctionnel d'une plainte d'abus de faiblesse à son endroit.

Imaginez que cette plainte soit dirigée contre un "gagne-petit", Monsieur "Majordome" par exemple ou pourquoi pas Monsieur Banier.

J'entends d'ici les esclaffements médiatiques...

Comment ?? La femme la plus riche de France prétend qu'on abuse de sa faiblesse ? N'a-t-elle pas de multiples conseillers, de tout aussi nombreux garde-fous ?

C'est purement et simplement indécent - aurait-on entendu -, qu'un puissant attaque un faible et demande la protection de la Justice contre sa prétendue faiblesse.

Et de la foule exiger la plus grande sévérité à l'encontre de la plaignante.

La plainte n'a toutefois pas été engagée par LB et elle ne visait ni le majordome ni le baladin de la première fortune de France.

Elle opposait un puissant à un puissant.

Cela change tout.

Presque tout.

Certains retenaient l'âge de l'abusée ou l'ingratitude de sa fille pour la défendre tandis que d'autres s'outraient qu'un parasite puisse ostensiblement mettre la pagaille dans des relations mère / fille.

On jauge les intérêts en présence et on juge selon que ceux-ci sont ou non conformes à notre vision de la bienséance.

Aujourd'hui, l'affaire se révèle sous un autre jour.

Madame Liliane Bettencourt, grâce à sa puissance, dispose d'indéfectibles soutiens politiques et judiciaires !

C'est scandaleux ! Un puissant qui abuse de sa puissance !

Moi je trouve cela drôle, un puissant qui abuse de sa puissance, objet d'un procès où l'on prétend qu'on abuse de sa faiblesse...

@ Catherine JACOB

Je n'ai pas la fibre artistique. Aucun gène n'y a malheureusement été dédié.


Alex paulista

Dans cette affaire, la principale victime est Liliane Bettencourt.
La pauvre femme a été vraisemblablement
- écoutée illégalement (ça c'est sûr)
- plumée par tous ceux qui l'approchent: politiques, "amis", gérant de fortune, ex-employés, tous demandent leurs cadeaux
- aujourd'hui, accusée de dissimulation fiscale elle passe pour une malhonnête de manière un peu exagérée. Elle a 87 ans.

Il faudrait avoir un peu plus d'empathie pour cette dame.

J'espère qu'elle se réconciliera avec sa fille. C'est encore elle qui est probablement la plus sincère, la moins intéressée.
En tout cas, l'argent à ce niveau fausse tellement les relations qu'on ne peut que se réjouir de ne jamais l'avoir.

Cet argent sent mauvais, Nicolas Sarkozy en est imprégné, Eric Woerth collecteur en chef décore les vautours, leur confie son épouse. L'odeur est écoeurante.
On en avait eu un relent avec l'affaire de l'Epad.

C'est cela que retiendront les Français, que le pouvoir ne saura blanchir.

sbriglia@Professeur de droit pénal

Votre irréductible propension à nous infliger de longs et insipides commentaires, dans un style pesant, dépourvu de toute subtilité, ce perpétuel sentiment, à vous lire, si tant est que nous en ayons le courage, de se retrouver en cours de rattrapage, cette affligeante infirmité de votre esprit à nous prendre pour des crétins illettrés, ces « copié/collé » répétitifs qui ne font que mieux ressortir la vacuité de votre imagination et masquer le désert de vos idées personnelles, la cruauté des comparaisons qui vous sont infligées par des commentateurs qui ne jouent pas les Trissotin de sous-préfecture, ce ridicule qui ne vous achève jamais mais vous habille toujours, ces confidences sur votre quotidien dont nous n’avons que faire, sauf à illustrer les vieilles dames de Faizant, cette permanence du besogneux, triste nécessité de votre écriture castafiorique, ces leçons de droit pénal que vous assénez avec l’aplomb sentencieux du capacitaire de première année, quand allez-vous, enfin, Madame Jacob, nous en délivrer ?

Véronique Raffeneau

@ Judith

Si vous lisez les billets que Pascale Robert-Diard, chroniqueur judiciaire au Monde, a consacrés à Bettencourt c/ Bettencourt, vous observerez que Françoise Bettencourt en décembre 2009

"a déposé une requête destinée à saisir le juge des tutelles pour demander la “protection judiciaire” de sa mère".

"La plainte pour abus de faiblesse est une tartufferie." écrivez-vous.

Qu'il s'agisse de la plainte initiale ou de la citation directe, l'avocat de Françoise Bettencourt ne fait qu'utiliser les moyens juridiques normaux qu'il a sa disposition.

Par ailleurs, compte tenu de la teneur des échanges officieux entre M. Ouart et M. de Maistre au sujet de la plainte de Françoise Bettencourt, il semble que Me Metzner ait fait preuve d'une intuition judiciaire judicieuse en conseillant à sa cliente une citation directe… ne serait-ce que pour désenclaver le dossier des seules enquêtes, analyses et seules appréciations du Parquet...

Catherine JACOB@Judith&Pierre-Antoine

@Judith | 12 juillet 2010 à 23:13
«Et moi, avec toutes ces vicissitudes impliquant les plus hautes et les plus basses personnalités, je deviens folle.»

Ma chère Judith, soyez assurée de la sympathie de ceux et celles qui, comme moi-même, trouvent lamentable de gâcher les dernières années des personnes que la loi considère comme vulnérables du seul fait de l'âge (autrement dit quelque soit leur maîtrise effective de leurs facultés intellectuelles), et ce quels que soient les moyens financiers dont Dame Fortune les a comblées.

Juste un petit conseil au passage si vous me l'autorisez, essayez de donner la préférence aux artistes authentiques, notamment à ceux qui vivent pour leur art sur ceux qui vivent de l'admiration que leur portent de riches mécènes. Voyez comment ça a fini entre Louis II de Bavière et Wagner. Pourtant Wagner, lui, n'imitait personne et Louis II, lui, était roi....!
(Cf. au besoin: http://richardwagner.free.fr/wah2.htm ainsi que : http://fr.wikisource.org/wiki/%C3%80_Louis_II_de_Bavi%C3%A8re )

@ Pierre-Antoine | 12 juillet 2010 à 22:21
 « @CJ
" Ce sont grosso modo les professions libérales à Chambre ou Ordre professionnel."

Les prostituées et les francs-maçons n'ont donc pas le droit à la publicité.» etc.

Les prostituées font de la pub jusque sur internet, bien que le racolage soit un délit. Quant aux francs-maçons, ils se présentent sous forme associative se voulant philosophique et philanthropique, donc ne prétendant à aucune prestation rémunérée.
Subsidiairement, ce n'est pas parce que certains de leurs symboles paraissent avoir une origine oghamique que ceux que l'Ogham initial intéresse à titre épigraphique ont quoi que ce soit à voir avec cette association et son enseignement... gros malin !

Judith

@ Véronique

La plainte pour abus de faiblesse est une tartufferie.
La question de la capacité de Liliane B relève en réalité du juge des Tutelles. Françoise n'a toutefois pas voulu laisser l'avenir L'Oréal entre les mains d'un "simple" Juge des Tutelles et, faute de pouvoir se plaindre d'une atteinte au droit de réserve successoral, a donc sorti la grosse artillerie en se dirigeant sur la voie pénale.

Quand on y pense c'est drôle.
Ma mère est juridiquement capable mais comme je considère qu'elle ne l'est pas, je prends ses intérêts délaissés en mains en attaquant celui que je dis qui l'attaque.
Si ce dernier est condamné, sur la base d'enregistrements mettant à jour sa vénalité, on en déduira qu'il s'agit obligatoirement d'une idiote qui a perdu sa tête.
Une chatte n'y retrouverait pas ses petits...

Et moi, avec toutes ces vicissitudes impliquant les plus hautes et les plus basses personnalités, je deviens folle.

Quelqu'un pour abuser de ma faiblesse ou pour m'en protéger ?

Pierre-Antoine

@CJ
" Ce sont grosso modo les professions libérales à Chambre ou Ordre professionnel."

Les prostituées et les francs-maçons n'ont donc pas le droit à la publicité.

Heureusement pour ces professionnels (sic) que les médias s'en chargent pour eux.

Mais sont-ce des professions libérales ?


Cordialement

Pierre-Antoine

Catherine JACOB@Judith

@Judith | 11 juillet 2010 à 16:52
« Mais l'indiscrétion de M. Ouart valait-elle le foutoir généré par les indiscrétions de M. Majordome ? »

Elles ne sont pas du même ordre.

L'art.9 du code civil Créé par Loi 1803-03-08 promulguée le 18 mars 1803 / Modifié par Loi 1927-08-10 art. 13/ Modifié par Loi n°70-643 du 17 juillet 1970 - art. 22 JORF 19 juillet 1970/ Modifié par Loi n°94-653 du 29 juillet 1994 - art. 1 JORF 30 juillet 1994 qui dit :

« Chacun a droit au respect de sa vie privée.

Les juges peuvent, sans préjudice de la réparation du dommage subi, prescrire toutes mesures, telles que séquestre, saisie et autres, propres à empêcher ou faire cesser une atteinte à l'intimité de la vie privée : ces mesures peuvent, s'il y a urgence, être ordonnées en référé. »

est le même pour tous. Un procureur ne saurait juger d'une quelconque opportunité de validité ou d'application à son propos dès lors que ces atteintes n'ont pas été ordonnées dans le cadre d'une enquête quelconque par le juge compétent et ne se déroulent pas sous son contrôle dans un cadre défini par la loi.

L'indiscrétion du majordome tombe sous le coup de l'Article 226-1 du Code pénal Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002 qui s'applique à l'auteur des faits comme à celui qui a inspiré ou suscité le délit et qui dit :

« Est puni d'un an d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende le fait, au moyen d'un procédé quelconque, volontairement de porter atteinte à l'intimité de la vie privée d'autrui :
En captant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de leur auteur, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel ;
2° En fixant, enregistrant ou transmettant, sans le consentement de celle-ci, l'image d'une personne se trouvant dans un lieu privé.
Lorsque les actes mentionnés au présent article ont été accomplis au vu et au su des intéressés sans qu'ils s'y soient opposés, alors qu'ils étaient en mesure de le faire, le consentement de ceux-ci est présumé. »

L'indiscrétion de M. Ouart est d'abord l'indiscrétion de qui a communiqué à qui n'appartient plus ni à la Chancellerie ni à l’Élysée mais à une entreprise privée (LVMH) des informations concernant des tiers couvertes donc par le secret professionnel, autrement dit en infraction à l'art. 226-14 du Code pénal Modifié par Loi n°2007-297 du 5 mars 2007 - art. 34 JORF 7 mars 2007 , lesquelles informations en tant que destinées exclusivement à l'une des parties revenaient à contrevenir au respect de la contradiction, principe qui s'exprime par cette formule : Audiatur et altera pars = l'autre partie doit être entendue, ce qui suppose aussi, tenue informée.

« Le principe du contradictoire est à rapprocher des notions de droits de la défense, loyauté, équité et égalité des armes (art. 6-1 CEDH). Il s'applique à tout moment de la procédure. » Il implique par ex. que « le juge, lorsqu'il soulève d'office un moyen de droit ou lorsqu'il requalifie juridiquement les faits, informe préalablement les parties afin que celles-ci puissent en discuter ; » Et l'irrecevabilité est précisément un tel moyen dont il convient que les parties soient informées toutes les deux en temps utile. Le non respect de ce principe est un moyen d'appel ou de cassation.

La communication des enregistrements à Mediapart, quant à elle est susceptible selon qui les a communiqués de l'avoir été en infraction à l'art. 226-22 du code pénal.
Donc on discute, on discute, on discute, mais il faut bien avoir conscience que ce dont on discute n'est pas du tout anodin, dans les cas des 'indiscrétions' des uns comme des autres.

Catherine JACOB@sylvain

@Sylvain | 12 juillet 2010 à 15:36

Décidément, nous n'avons pas les mêmes valeurs....!

jpledun@aux amateurs d'informations décapantes

Autre URGENT !!!!

Il y a eu des mouvements de fonds sur mon compte bancaire juste avant l'élection de Nicolas Sarkozy...

Que dois-je faire de cette information ?

AN, Cour des comptes, ou Médiocre Media á part ? (Merci Aïssa)

jpledun@Herman porte-parole de GL

"Et pourquoi pas aussi marquer au fer rouge les socialistes qu'on sache enfin à qui l'on a affaire"

Tout à fait inutile. Un vrai socialiste se repère très facilement !

Evidemment que je suis pour l'abolition de l'isoloir, l'instauration de la dictature, le cirque obligatoire, et l'interdiction de ce blog !
C'est évident.

Sylvain

URGENT !!!!!!!!!!!

J'interromps ma pause pour vous signaler une nouvelle d'importance vitale :

"Des sources autorisées affirment sur un site d’infos du web que M. Woerth aurait repris DEUX FOIS des rillettes au déjeuner de ce midi...!!!!!

.............................................

Dès que j'en saurai un peu plus sur le pot de rillettes, sa provenance d'origine non élucidée, je vous "préviendrai".

Nous attendons les photos faites au zoom 500mm de l’immeuble voisin pour lancer la cabale..."

cloberval

Sarkozy touchait des enveloppes remises comme la communion aux apôtres au cours de cérémonies dînatoires dont il était un grand pratiquant sous demi-enveloppe de papier kraft.

Voilà ce que publie Mediapart sans aucun contrôle et sur la foi (peut-être) des propos d'un témoin qui n'a pas dit cela à la police ou ne le leur a pas dit.

Vu la portée de l'information, qui si elle est exacte me poussera à aller dans la rue demander la démission de Sarkozy qui n'est jamais que notre Président légitime, je me demande ce que je peux faire contre Mediapart si c'est un faux témoignage ou si c'est un faux de Mediapart.

Et même si cela était vrai encore faudrait-il le prouver.
En attendant, cette insinuation relayée par la presse d'instigation drapée du noble vocable de presse d'investigation comme la calomnie se pare du noble intitulé d'information ne sert ni la démocratie ni la vérité.
En effet la justice qui ne s'est pas prétendue d'investigation était saisie des enregistrements et témoignages publiés après l'"enquête" de Mediapart et je ne vois pas qu'un procureur et juge de tribunal révolutionnaire lui manque pour faire le nécessaire (et d'abord établir des faits réels ou constater leur absence au lieu de condamner sur des rumeurs relayées par de prétendus témoins qui avouent n'avoir rien vu de ce qu'ils dénoncent).

Catherine JACOB@jpledun

@jpledun@GL | 12 juillet 2010 à 00:53
 « j'appartiens à une profession où, jusqu'à nouvel ordre, la publicité est interdite »
Agent secret ?

Il existe tout un certain nombre de professions auxquels le recours à la publicité pour se faire connaître n'est pas autorisé. Ce sont grosso modo les professions libérales à Chambre ou Ordre professionnel.

Véronique Raffeneau

@ Judith

"Cette prérogative lui est, je crois, accordée pour garantir la prévalence de l'ordre public sur des intérêts particuliers.
En l'occurrence, je ne suis pas étonnée qu'il ait jugé préférable de classer les intérêts des Consorts Bettencourt sans suite, vu leurs incidences sur l'intérêt général."

Le procureur Courroye n'a pas jugé irrecevable la plainte de Françoise Bettencourt au motif d'un supposé intérêt supérieur de la nation qui justifierait, selon votre position, que la société devrait se désintéresser d'une plainte d'abus de faiblesse au prétexte que celle-ci concernerait les intérêts d'une entreprise comme L'Oréal.

Le procureur a justifié l'irrecevabilité de la plainte avec des arguments de droit qui dit, en gros, qu'une plainte pour abus de faiblesse ne peut pas être initiée par un tiers.

"Madame Françoise Bettencourt a souhaité accélérer les choses en délivrant à M. Banier une citation directe devant le Tribunal correctionnel."

Désolée, Judith, quand bien des intérêts économiques nationaux seraient en jeu, la société peut considérer qu'une suspicion d'abus de faiblesse la regarde totalement, et Françoise Bettencourt peut parfaitement estimer que l'abus de faiblesse qu'elle suspecte relève d'un délit qui porte atteinte à l'ordre public.

"Mais l'indiscrétion de M.Ouart valait-elle le foutoir généré par les indiscrétions de M. Majordome ?"

Ce qui est en cause ici est la privatisation de l'action du ministère public, la rupture du principe d'égalité devant la justice et la confusion du judiciaire avec l'exécutif.
Tout cela au plus haut niveau de l'Etat.

Vraiment, à cette hauteur-là, les vantards, selon votre qualification, sont des dangereux.

"Que le Procureur ait répondu ou rendu compte au Conseiller ne me choque pas non plus outre mesure.
Après tout, c'est précisément la particularité de son statut qui fait débat aujourd'hui puisqu'on parle de donner à la magistrature debout l'indépendance qu'on accorde aux juges du siège afin, précisément, que la Justice ne s'encombre pas d'un "homme de main" gouvernemental "

Alors ma conviction est que tant que les procureurs devront se conduire comme des "hommes de main" gouvernementaux - en tous cas ils seront désormais perçus comme tels si nous considérons pour rien que les intérêts des uns soient favorisés au détriment des intérêts des autres -, il n'est pas acceptable de supprimer le juge d'instruction qui lui n'est pas dans l'obligation de rendre compte de ses actions à sa hiérarchie, elle-même dépendante du GDS, le GDS dépendant lui-même d’un GDS officieux ayant son bureau l’Elysée.

@ Catherine A

Vous avez raison.

Dans cette histoire personne ne s'embarrasse du minimum d'honnêteté intellectuelle, et d'honnêteté tout court.
C'est en live et en boucle le faites ce que je dis et ne faites pas ce que je fais.

Par ailleurs ce que je trouve de prioritairement intéressant dans cette affaire est ce qui touche aux équilibres absolument nécessaires entre le judiciaire et l’exécutif.

Jean-Yves Bouchicot

@Fariolet

Eh oui, vous avez raison, les grands groupes de presse ne sont pas exempts de responsabilité quand ils sautent sur un témoignage "énorme" mais non recoupé pour faire du tirage. Ce que je voulais dire, c'est que sans ce folklore de la "Maison des supplices", des parties fines plus ou moins improvisées ont vraisemblablement été organisées avec des prostituées moyennement consentantes, de la part de "personnes ayant autorité", voire de représentants de la force publique. Je ne dis pas que Dominique Baudis était au courant, je dis qu'il avait sans doute peur qu'une "vraie" affaire sorte. Comme souvent, des Ilotes ont décoré la vitrine pour être ensuite démasqués ou confondus. A Toulouse, rue Bayard, entre 3h et 3h30 du matin, des voitures de police ferment les deux bouts de l'avenue, et laissent passer les BMW noires afin que ces messieurs relèvent les compteurs, du moment qu'il n'y a pas de casse ou de violence. Compromis territorial, "contention" dirait James Ellroy. J'y ai assisté, et ai même contribué à sortir quelques jeunes femmes de prostitution forcée... C'est la vie, et il n'y a pas de police sans indicateurs. Pas de jugement, pas de blâme... Je ne sais quoi y faire, mais c'est un fait.

Herman

@jpledun

Je peux comprendre que l'anonymat de certains commentateurs puisse vous gêner, notamment lorsque ceux-ci sont insultants, ou méprisants... mais pour de simples opinions politiques!!!
Seriez-vous pour l'abolition de l'isoloir ?
Et pourquoi pas aussi marquer au fer rouge les socialistes qu'on sache enfin à qui l'on a affaire ?...

jpledun@GL

"j'appartiens à une profession où, jusqu'à nouvel ordre, la publicité est interdite"

Agent secret ?

Eugénie

Le rapport Jean Bessères

Après réflexion, je considère que, paradoxalement, ce rapport accable E. Woerth !!!

Là où on devrait trouver la trace d’un dossier et une date sur le dernier contrôle fiscal opéré sur L. Bettencourt : il n’y a RIEN !

De deux choses l'une : soit, le ministre du Budget n’a pas assumé son rôle et il peut être déclaré incompétent, soit, il a fermé les yeux (alors qu’il avait été averti, par le Procureur de Nanterre, à la suite de l’affaire Banier) sur une évasion fiscale et il est « mouillé » jusqu'au cou !

Dans les deux cas il doit être sanctionné, il me semble !!

Par ailleurs, demeurent 2 problèmes :
- le dangereux mélange des genres (cumul Trésorier d'un parti et Ministre du Budget)
- l’implication de Madame W. auprès d’un contribuable "très particulier" : L. Bettencourt

Par surcroît, on ne déplorera jamais assez l’absence de procédure judiciaire (actuellement, ce sont des enquêtes préliminaires, nous dit-on !)

GL

@ L'"agence de réclame".
C'est votre époque, où la politicaillerie se mélangeait totalement avec les médias.
Certes, cela reste largement le cas.
Mais, que je sache et actuellement, aucun argent public ne vient alimenter Mediapart ou Le Canard.
Il va falloir vous y résigner.
Ladite collusion est terminée, ne vous en déplaise.

catherine A à Véronique: 2 poids, 2 mesures

Véronique, un petit rappel pour info : Woerth quand il se lance dans la chasse aux évadés fiscaux en Suisse le fait sur la base d'un listing qui a été VOLE...
On ne peut pas d'un côté dénoncer le caractère immoral et /ou illégal de conversations détournées et quand ça arrange utiliser les mêmes méthodes ; ou alors il y a quelque chose qui échappe à mon petit cerveau de blonde.

Eugénie

@ Ludovic

Merci de vos lumières ! Nous pouvions donc, légitimement, espérer la saisine d'un juge d'instruction...

Depuis... (Copié/collé du "Monde" du 10 juillet 2010)
"Samedi, le parquet de Nanterre a indiqué qu'il n'existait "aucune raison technique ou juridique à ce stade" d'ouvrir une information judiciaire dans l'affaire Bettencourt. "Les enquêtes se déroulent avec diligence et rigueur", a-t-on souligné au parquet de Nanterre. "Le parquet de Nanterre est le seul territorialement compétent. Il agit dans le cadre de ses prérogatives légales", a-t-on ajouté.
Une précision qui vient après les doutes qui planent sur le rôle de Philippe Courroye dans cette affaire."

Valerie

Rédigé par Madame Judith le 10 juillet 2010 à 12:05

"Voici seulement quelques jours que je suis venue grossir les rangs des "oisifs surpayés à ne rien faire"..."

Alors, bienvenue a bord... si toutefois vous ne craignez pas les turbulences !

En ce qui me concerne, je suis cramponnee a mon siege en attendant l'atterrissage qui risque d'etre brusque...

Judith

@ Catherine et Véronique

Si j'ai bien compris les quelques détails techniques que les médias ont bien voulu nous donner, nous sommes dans le cadre d'une plainte pour abus de faiblesse.

J'imagine qu'il s'est dans un premier temps agi d'une plainte simple entre les mains du Procureur.

Il semble que ce dernier ait souhaité classer cette plainte sans suite et ai eu la mauvaise idée d'en informer le conseiller du Président à la Justice lequel a lui-même rapporté l'information à l'accusée collatérale, Madame Liliane Bettencourt, d'où le scandale.

S'il ne s'agit "que" de cela, la belle affaire.

Le Procureur tranche en "opportunité". Il ne lui est pas demandé de motiver sa décision et il n'a pas à s'expliquer ni à se justifier quand il décide de classer une plainte.

Cette prérogative lui est, je crois, accordée pour garantir la prévalence de l'ordre public sur des intérêts particuliers.

En l'occurrence, je ne suis pas étonnée qu'il ait jugé préférable de classer les intérêts des Consorts Bettencourt sans suite, vu leurs incidences sur l'intérêt général.

Que le Procureur ait répondu ou rendu compte au Conseiller ne me choque pas non plus outre mesure.

Après tout, c'est précisément la particularité de son statut qui fait débat aujourd'hui puisqu'on parle de donner à la magistrature debout l'indépendance qu'on accorde aux juges du siège afin, précisément, que la Justice ne s'encombre pas d'un "homme de main" gouvernemental

Madame Françoise Bettencourt a souhaité accélérer les choses en délivrant à M. Banier une citation directe devant le Tribunal correctionnel.

Eh oui, en France, on peut passer outre le sentiment d'inopportunité du Ministère public en prenant les choses en mains tout seul.

Or à ce stade, le Procureur ne contrôle plus grand-chose.

Ce que je regrette dans cette affaire, c'est qu'on laisse supposer que la justice est corrompue alors que la décision n'est même pas encore rendue et que la Présidente du Tribunal (celle qui décide) ne semble pas être en très bons termes avec le Procureur.

Comme je le disais plus haut, je trouve cela d'autant plus regrettable que M. Ouart a peut-être commis un péché de vantardise pour laisser entendre qu'il maîtrisait les choses... et les hommes.

Madame Bettencourt n'avait pas à être informée de la décision réelle ou supposée du Procureur (sauf erreur, il n'y a pas eu classement sans suite puisque la citation directe a été délivrée avant les résultats de l'enquête préliminaire).

C'est vrai.

Mais l'indiscrétion de M. Ouart valait-elle le foutoir généré par les indiscrétions de M. Majordome ?

En France, on adoooooooooore affirmer que les puissants sont protégés tandis que les petits sont sacrifiés.

Ce genre de bazar ne fait que conforter cette thèse qui dans les faits, est totalement inexacte.

@ Pierre Antoine

Pour ce qui me concerne, je me sentirais plutôt péteuse.

ACL

Où est la honte ?
Mediapart est un site de manipulation trotskyste qui n'en est pas à sa première campagne.
Pas menteur non... Mais beaucoup plus intelligent dans l'usage déformé des mots et de la syntaxe ; ses animateurs si contents d'eux pourraient se faire engager dans une agence de réclame si les contribuables ne les subventionnaient pas largement.

Véronique Raffeneau

@ Catherine

Comme je l'ai indiqué je ne suis pas qualifiée pour apprécier telle ou telle décision de justice.

Mon idée était de dire à Judith que sauf correction d'un professionnel judiciaire, la position du ministère quant à la plainte de Françoise Bettencourt, compte tenu de la tenue des débats, pouvait évoluer en cours d'audience, et que son avocat n'était pas à égalité d'armes avec l'avocat de la partie adverse.

Ce que j'ai envie de dire en rapport avec votre expérience :

"Ayant de même sollicité la communication du réquisitoire, j'ai appris à cette occasion que ce n'était pas possible vu que les réquisitions n'étaient jamais écrites."

M. Ouart qui est un ancien magistrat ne doit pas méconnaître ce qu'un greffier sait. Donc il pouvait parfaitement répondre aux sollicitations de son ami ce que vous a répondu ce greffier.

ps: je ne sais pas si techniquement le terme réquisitions et réquisitoire sont ceux qui s'appliquent à la position d'irrecevabilité de la plainte défendue par le ministère public dans Bettencourt c/ Bettencourt.

Catherine JACOB@Judith

@ Judith | 11 juillet 2010 à 11:23
« Mais ce flot d'informations qui a été livré à Françoise Bettencourt ne me semble pas avoir été pris loyalement non plus, tant s'en faut. »

M'enfin! ça n'a pas de commune mesure!

C'est juste que les écoutes de la mère par la fille pratiquées avec du matériel d'amateur par le grand majordome au petit dictaphone, alors que Mme Meyers avait sûrement les moyens de s'offrir des écoutes professionnelles à distance dont les enregistrements auraient été déposés ni vu(e) ni connu(e) dans la boîte aux lettres d'un hôtel de police quelconque qui en eût possédé une, par ex. suisse, après avoir été analysés et expurgés style découpage d'interview radiophonique au format du temps disponible à l'antenne, accompagnés d'une petite carte de visite signée : « Un ami qui vous veut du bien » sur lequel on se fut perdu en conjectures pendant une décennie au moins le temps que les Suisses communiquent l'original pour analyse etc., sont certes déloyales, mesquines et surtout d'un manque d'imagination et d'une radinerie à toute épreuve, mais elles restent surtout le fait de délinquants ordinaires, quand bien même connus, contre lesquels il existe le recours judiciaire !

En revanche, les tentatives de court-circuitage de ce contradictoire qui est à la base de notre Droit, par l'Institution elle-même et ce que cela révèle de l'état de délabrement des circuits interministériels de l'information qui fuient manifestement de partout ainsi que de la circulation de cette dernière au sein de la Chancellerie elle-même, tout cela est un véritable scandale!

Vérifiez votre commentaire

Aperçu de votre commentaire

Ceci est un essai. Votre commentaire n'a pas encore été déposé.

En cours...
Votre commentaire n'a pas été déposé. Type d'erreur:
Votre commentaire a été enregistré. Les commentaires sont modérés et ils n'apparaîtront pas tant que l'auteur ne les aura pas approuvés. Poster un autre commentaire

Le code de confirmation que vous avez saisi ne correspond pas. Merci de recommencer.

Pour poster votre commentaire l'étape finale consiste à saisir exactement les lettres et chiffres que vous voyez sur l'image ci-dessous. Ceci permet de lutter contre les spams automatisés.

Difficile à lire? Voir un autre code.

En cours...

Poster un commentaire

Les commentaires sont modérés. Ils n'apparaitront pas tant que l'auteur ne les aura pas approuvés.

Vos informations

(Le nom et l'adresse email sont obligatoires. L'adresse email ne sera pas affichée avec le commentaire.)

Ma Photo

MA CHAINE YOUTUBE

PRESSE, RADIO, TELEVISION & INTERNET

INSTITUT DE LA PAROLE

  • Formation à l'Institut de la parole
    Renseignements et inscriptions : [email protected]
  • L'Institut de la Parole propose des formations dans tous les domaines de l'expression et pour tous, au profane comme au professionnel de la parole publique. L'apprentissage et le perfectionnement s'attachent à l'appréhension psychologique de la personnalité et aux aptitudes techniques à développer. L’Institut de la Parole dispense des formations sur mesure et aussi, dans l’urgence, des formations liées à des interventions ponctuelles, notamment médiatiques. Magistrat honoraire, Philippe Bilger propose également des consultations judiciaires : conseils en stratégie et psychologie judiciaires.

MENTIONS LEGALES

  • Directeur de la publication : Philippe Bilger
    SixApart SA 104, avenue du Président Kennedy 75116 PARIS