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14 septembre 2010

Commentaires

florent

La différence entre Chabrol et Brialy, c'est que le premier m'amusait mais le second, beaucoup moins...

JA

Bonjour,

J'ai adoré tous les films de Chabrol que j'ai vus : l'atmosphère qui y régnait me faisait penser un peu à celle des films de Alfred Hitchcock, mais certains penseront que la comparaison est osée. En tout cas merci M. Chabrol.
Jocelyne

Valerie

Huppert + Bonnaire.

Rédigé par Madame Véronique Raffeneau le 16 septembre 2010 à 08:19

Dommage ; ca ne marche pas !

Tant pis, je vais gougueuler sur letube.


Rédigé par : Stenaisien le 16 septembre 2010 à 00:02

Mis a part votre premier paragraphe, j'approuve votre commentaire meme s'il m'a deprime l'autre jour !

Bon week-end a tous/toutes

oursivi

Ah oui, Stéphane Audran, dans sa jeunesse, qu'est-ce qu'elle était belle !

L'a pas dû s'ennuyer, le Claude...

AO

oursivi

Assez d'accord avec
Rédigé par : Savonarole | 14 septembre 2010 à 09:23
Quant à Sylvain, il est involontairement si superbement drôle que j'en entends presque les éclats de rire de Jean-Dominique ou d'Alex, d'ici.

Mais bon, si Chabrol n'était à l'évidence pas un grand cinéaste, c'était souvent un bon cinéaste. En plus des films initiaux cités, "Le Boucher", "Que la bête meure", "Docteur Popaul" et quelques autres étaient quand même de bonne tenue.
Mon préféré reste "Les fantômes du chapelier", le climat, cette pâte bien saisie, comme le si bon usage de Serrault, en feront une oeuvre encore délectable dans 30 ans et plus.
Il avait réalisé aussi un très drolatique et savoureux "Le Fauteuil hanté" pour France2, il y a quelques mois.
A 79 ans, c'est pas à la portée du premier Sylvain venu.

Un mot sur le Chabrol acteur, pour finir.
Dans l'excellent "Polar" de Jacques Bral, il jouait le rôle d'un réalisateur de film porno. Face à une actrice venant se plaindre, il lâchait un bougon "le clébard fait pas tant d'histoire, lui !"

Suis pas sûr que deviez l'accablez, PB, il y a parfois du Chabrol chez vous, dans l'acuité, l'autorité, plus pateline chez lui, plus pédagogue et précise, chez vous.

En vieillissant, les hommes se ressemblent peut-être tous un peu.
Mais vous n'avez pas son âge, je le sais, rassurez-vous.

AO

Pierre-Antoine

@Valérie
"Ah... combien je vous envie d'avoir acces a La Verite ! :)"
Donnez-moi le nom d'une personne qui peut accéder à la vérité... Je préfère et de loin laisser la vérité accéder à moi... ça met à mal mon orgueil mais c'est plus enrichissant :-)

Cordialement,

Pierre-Antoine

Véronique Raffeneau

@ Valérie

Pour vous, en cliquant sur mon nom (enfin, j'espère que le lien fonctionne):

Huppert + Bonnaire.

Stenaisien

Comme Philippe Bilger invite à le faire, il faut se rappeler "Le Beau Serge" et volontiers oublier le reste.

La romance, propre de la jeunesse rurale ou citadine, n'a pas de prix et surtout pas d'équivalent à l'âge de la maturité. Dans un ultime sursaut, la vieillesse tente bien de la parer d'une nostalgie aussi pesante qu'inutile. Ces moments-là ne se répètent jamais.

Les premiers émois juvéniles marquent indélébilement le souvenir. A quoi bon vouloir les revivre.


Valerie

Rédigé par Monsieur Pierre-Antoine le 14 septembre 2010 à 23:32

Ah... combien je vous envie d'avoir acces a La Verite ! :)


Rédigé par Madame Catherine JACOB @ Valerie le 15 septembre 2010 à 10:37

Du coup, je viens de me plonger dans la bio de Feu Madame Jeanne Calment : quel destin !

Cette histoire du viager, c'est sublime au-dela d'un scenario de film... ca ne s'invente pas !

Sur Madame Joly, je ne saurais me prononcer. Je trouvais sa belle-soeur geniale ! Que devient-elle aujourd'hui ?!
Quelqu'un/une le sait ?


Rédigé par Madame Véronique Raffeneau le 15 septembre 2010 à 08:42

"J'adore Isabelle Huppert dans les films de Claude Chabrol avec une préférence pour :

Violette Nozière, Emma Bovary, Une histoire de femmes, La Cérémonie, L'ivresse du pouvoir."

Ah oui, moi aussi et sans reserve.

Catherine JACOB@sbriglia&Valerie

@sbriglia | 14 septembre 2010 à 16:39
«Faire chabròl» Intéressant; Wikipedia confirme et compare avec 'mijet'. J'ignorais l'expression mais pas la pratique, vu que l'une de mes aïeules versait toujours une larme de schnaps, ou d'un cognac à la robe ambrée, ou encore de vieil armagnac, mais le plus souvent de kirsch familial, dans le fond de sa tasse de café encore tiède qui en exaltait ainsi les parfums...! Ça s'appelait tout simplement « boire la goutte »...de café, bien sûr!


@Valerie | 14 septembre 2010 à 17:58
«“Jeanne Charmant-Killman” il fallait le trouver, pour son heroine, ce pareil nom ; non ?!»
Jeanne Calment, la reine du viager doyenne des Français (→122ans = et même du monde, née avant l'invention du téléphone, décédée après que la sonde Pathfinder ait atterri sur Mars), et la fille du meunier + Man Killer + Femme charmante/ Joly femme. (Une femme charmante, et une jolie femme que la Femme Joly...)!

Véronique Raffeneau

J'aime beaucoup ce qu'a dit Isabelle Huppert au sujet de Claude Chabrol:

"De film en film, j'étais devenue une sorte de double de lui, de sa pensée, de ce qu'il avait envie d'exprimer, il ne me l'a jamais demandé plus clairement qu'en me redemandant à chaque fois de faire des films pour lui."

J'adore Isabelle Huppert dans les films de Claude Chabrol avec une préférence pour :

Violette Nozière, Emma Bovary, Une histoire de femmes, La Cérémonie, L'ivresse du pouvoir.

Pierre-Antoine

@Valérie

Ma charité chrétienne n'est point aveugle et elle se plaît à la vérité.

Et à ,"lui permettant de "bien vivre" j'ai rajouté : "d'un système qu'il se plaisait à inciser d'un regard caustique.

Si vous lisez bien tout, j'ai fait preuve de charité chrétienne... de retenue devrais-je plutôt dire...

J'aurai pu lui rendre ce qu'il a tant donné... j'ai préféré un trait d'esprit.

Cordialement

Pierre-Antoine

sylvain

@Savonarole

Que n'a-t-il pas vu arriver la masse des "bobos de gauche" et les "cathos de gauche" qui allaient surgir dans les années 80... où les fils d'antiquaires voulaient supprimer l'école privée, où les grands bourgeois s'avisaient subitement que la France ne pouvait accueillir toute la misère du monde.

Que de chefs d'oeuvres il aurait pu réaliser !
.....................................

Bien vu, mais Chabrol avait des oeillères gauchistes ; donc pas de films fustigeant la gauche.

sylvain

Dommage pour les guignols antisarko.

Chabrol n'aura pas eu le temps de faire un film sur les Roms stigmatisés par "l'horrible-gouvernement-fasciste-et-réactionnaire-sarkozyste"...
Dommage, on aurait eu encore une grande pirouette démago de la part de ce cinéaste gauchiste...

Valerie

"...Etrange figure pas vraiment sympathique ni chaleureuse..."

Ce n'est pas ce que je ressentais mais bon je n'ai jamais eu la chance de le rencontrer !


Rédigé par Monsieur sylvain le 14 septembre 2010 à 09:53

Desolee de vous faire part que je considere votre message irrespectueux a l'egard d'une personne decedee depuis deux jours a peine !

Songez que vous aussi deviendrez, un jour (la vie file vite), un vieux Monsieur qui devra faire le deuil de ses illusions ; peut-etre de toutes !

De grace, laissez-lui au moins le merite d'etre sorti de ses gonds !


Rédigé par Monsieur Pierre-Antoine le 14 septembre 2010 à 10:17

Un message plein d’esprit… bien cruel !
“…sa vie qui n'était qu'un film commercial lui permettant de "bien vivre"..." et alors ?!

Ou est donc passe votre legendaire charite chretienne alors qu'il est question d'un homme qui vient de "passer" ?!

Cet homme etait talentueux et j'etais cliente ; c'est assez pour moi...

Rédigé par Madame Catherine JACOB le 14 septembre 2010 à 10:30

“Jeanne Charmant-Killman” il fallait le trouver, pour son heroine, ce pareil nom ; non ?!
Bien sur, on imagine ce Monsieur un peu misogyne comme les hommes de cette époque revolue et qu’il est difficile de comprendre pour les plus jeunes d’entre nous…

Autre point, je remarque que l’acteur Monsieur Renucci a modifie son prenom depuis qu’il apparait moins sur nos ecrans.

“une Isabelle Huppert que nous savons également pouvoir atteindre des sommets admirables dans la représentation de personnages d'une perversité redoutable !”

C'est en cela que j'admire le talent de cette excellente actrice, justement je lisais un article Wiki la concernant ; quelle splendide carriere et quelle discretion ; de plus, elle est restee magnifique malgre les annees passees.

Bon, je vais relire le billet de Monsieur Bilger qui la concerne.

Frank THOMAS

Moi, j'aimais bien ses films, malgré leurs imperfections et - je l'accorde volontiers à ses détracteurs - son parti pris un peu facile.
Mais lorsque je pense à lui, je ne peux pas ne pas me rappeler cet épisode d'une émission déjà ancienne où, répondant à Marielle Goitschel qui accusait le gouvernement de gauche de l'époque (ce devait être celui de Pierre Mauroy) de faire payer les riches, il avait malicieusement lancé :
"Cela me semble plus logique que de faire payer les pauvres !"

sbriglia

"Faire chabròl ou faire chabrot consiste à diluer un reste de soupe en versant un peu de vin rouge dans l'assiette. Cette pratique était autrefois très courante et se pratique aujourd'hui encore notamment chez les personnes âgées dans les campagnes."

Var. "se faire Chabrol"... pratique inverse : mettre du vinaigre dans son eau (voir Sylvain)

Jean-Yves Bouchicot

Philippe Meyer disait ce matin, dans sa "Chronique du Toutologue", que Claude Chabrol aurait volontiers mis les pieds dans le plat de louanges post mortem que chacun lui consacre depuis hier. Il a sans doute raison. Je vais essayer de mettre une modeste cuillère de sauce, en toute humilité.

Je voudrais dire mon admiration, en tant qu'ancien étudiant d'Henri Agel et cinéaste semi-pro, pour le Chabrol technicien et artisan de l'image. Tout ou presque a été dit sur le personnage, son écriture, ses thèmes et ses réussites. Je me souviens d'une interview qui date d'une dizaine d'années où il se laissait pousser dans ses retranchements sur la technique de base. Il racontait, par exemple, qu'on pouvait voir dans certains films de Truffaut ou Godard, des poignées de porte à hauteur d'épaule ou de genou... Il suffit d'avoir besoin de mettre l'acteur sur un cube pour créer le décalage, mais lui n'oubliait pas de faire remonter ou redescendre à bonne hauteur tout ce qui était dans le cadre, et de l'enseigner à ses camarades quand il allait les voir tourner ou les réconforter en salle de montage.

Il y a bien des réalisateurs "branchés", des petits Tarantino par exemple, qui pourraient en prendre de la graine, revenir aux bases du métier et observer comment on tient un Katana avant de laisser Uma Thurman se ridiculiser tout au long de "Kill Bill", malgré la présence de David Carradine, qui lui était un vrai pratiquant.

Pour les poignées de porte, j'ai vérifié dans ma vidéothèque : c'est vrai. Mais il faut avoir un sacré coup d'oeil pour le remarquer, et je me crois assez observateur, mais j'ai encore des leçons à prendre.

Claude Chabrol, comme on dit un "Nez" en parfumerie, était avant tout un "Oeil".

Fariolet

De mortuis aut bene aut nihil. Tant pis, j’ai bien aimé les nuances qui rabotent un peu les éloges déversés sur Claude Chabrol. Après les premiers films, et malgré quelques exceptions, son exercice favori était de ridiculiser la bourgeoisie (qui, peut-être, le mérite bien) mais dans un style manichéen. Lui-même bourgeois jouisseur « amateur de bonne chère » (pas une nécro qui ait oublié d’accoler la formule à son nom), il a été fait roi de cinéma par ces mêmes bourgeois caricaturés.

Achille

Bonjour Philippe Bilger,

On va le regretter Claude Chabrol. Il n’avait pas son pareil pour nous décrire les turpitudes du monde feutré et pétri de bonnes manières de la bourgeoisie de province.

Il s’était inspiré de l’affaire Elf pour son film "L’ivresse du pouvoir", avec une magnifique Isabelle Huppert dans le rôle principal. Il s’apprêtait, paraît-il à écrire un scénario sur la ténébreuse affaire Bettencourt. Il n’en a pas eu le temps, hélas !

Mais ne doutons pas qu’un autre cinéaste le fera à sa place. Espérons que ce sera avec le même talent.

Solomas

Magistrats "indiscutables" !!!!
Le président Degrandi a donc dans sa manche des magistrats "discutables"... Des noms...

Catherine JACOB

«Vaguement anarchiste et en même temps conformiste dans sa démolition consciencieuse du Pouvoir, des Autorités et de la religion, il était devenu moins un être qui parle qu'une personne dont on parle. Il était apprécié à cause de ce qu'on disait de lui. Stéphane Audran, Isabelle Huppert et, il faut l'admettre, pour les besoins de la promotion, chacun des acteurs qui avait travaillé avec lui.»

Parlons justement d'Isabelle Huppert, une actrice que vous appréciez je crois. Elle était la vedette du film que Chabrol a réalisé en 2006 et que France2 a passé en guise d'oraison funèbre. Il est intitulé « L'ivresse du pouvoir ». Isabelle Huppert y incarne Jeanne Charmant-Killman la redoutable juge d'instruction qui n'a pas que les lunettes rouges d'Eva Joly, mais aussi sa biographie, ses affaires, son mari joué par un Renaud Renucci très effacé...! Et dont les mis en examen, les hauts personnages auditionnés et autres prédateurs de tout poil évoquent certes Loïk Le Floch-Prigent qu'elle a placé en détention préventive en juillet 1996, mais également Dominique de Villepin joué par un Philippe Duclos qui en donne une version assez rédhibitoire du personnage politique. Curieusement rien ne vient y ternir l'image d'autres personnages du même monde de façon clairement identifiable..!
Eh oui, c'est la guerre... celles des prochaines élections I presume. Pauvre petite Eva ! Et ce n'est que le début. J'espère pour ma part qu'elle n'a pas vu ce film construit de morceaux de vie volés comme on chercherait, par ex., à brouiller l'image de deux sœurs en habillant un personnage ressemblant à l'une, la morte, de tenues inspirées de vieilles photos volées à l'autre pour faire jouer une comédie de la mémoire défaillante devant celle dont le cœur de mère ne se remet pas, le temps d'un éclair, le temps d'un passage de voiture à un carrefour, le temps d'un vertige...!

Or donc démolition consciencieuse du Pouvoir peut-être, dans la partie émergée de l'iceberg...! Démolition ciblée et insidieuse dans le hors champ de l'imaginaire, sur le célèbre modèle français du pamphlet, mais qui ne se présente cependant pas comme tel, de personnages toujours de ce monde et dont les éclats de vie privée servent à présenter la fonction du juge d'instruction, que nous savons bientôt voué, en somme, à la casse, sous des aspects absolument odieux grâce à une Isabelle Huppert que nous savons également pouvoir atteindre des sommets admirables dans la représentation de personnages d'une perversité redoutable !

Maièèèèèès, repose en paix, Claude, la candidate des Verts a désormais d'autres chats à fouetter je pense, que ton faux anarchisme, et ton art de vieux gamin faisant sonner aux portes les fantômes du passé puis se cachant derrière les arbres pour jouir du spectacle de la mise en scène, tout en fuyant les éventuelles répliques non avenues ainsi qu'un châtiment mérité, a fait son temps!

Pierre-Antoine

@PB, si loin de nous au soleil...

"Il refusait de se prendre au sérieux mais semblait accepter avec bonheur cette activité ludique et caustique qu'était la mise en scène de films."

Respectons sa volonté... ne le prenons donc pas au sérieux !
Accordons-lui l'art de la mise en scène, qu'il utilisa pour sa vie qui n'était qu'un film commercial lui permettant de "bien vivre" d'un système qu'il se plaisait à inciser d'un regard caustique.

De quoi est-il mort ? de sa belle vie...
Espérons que la justice ne se saisisse pas de l'affaire, car l'autopsie du corps de la victime aurait beaucoup de chance de ressembler à un menu gastronomique.

Cordialement

Pierre-Antoine

sylvain

Je ne regrette pas Chabrol.
Pour moi ce monsieur était mort depuis longtemps.
Je ne pouvais pas voir en peinture ce bonhomme démago donneur de leçons à ceux qui pensaient pas comme lui ; je l'avais vu à la télé lors d'un débat, il y avait aussi Jeanne Moreau et un invité de droite, ce dernier était modéré, expliquait ses idées et opinions ; Chabrol est sorti de ses gongs, l'a houspillé sans cesse et sans retenue ; ignoble ! Son masque est tombé ce jour-là ; moi je ne regrette pas ce triste sire... Mais paix à son âme quand même...

mike

Ah, que la jeunesse était belle ! Celle de Jean-Claude Brialy, la nôtre.
La vieillesse est souvent "un naufrage", hélas !

Savonarole

Bien d'accord avec vous. On ne retiendra que trois ou quatre films de Chabrol.

Lors du décès de François Truffaut, un journaliste de "Libération" avait parlé de la "disparition du petit marquis du cinéma français", c'était cruel, mais bien vrai également.
Mais dans l'oeuvre de Truffaut c'est l'ensemble de la société française qui était représentée. Tout le monde pouvait s'y reconnaître : l'instituteur, le notaire, la secrétaire de direction, le curé, etc.

C. Chabrol, fils de bourge, s'était spécialisé dans la critique de la bourgeoisie française.
Dans les années 70, son public assimilait cette critique à la bourgeoisie pompidolienne ou giscardienne, forcément de droite. Forcément perverse... Mari cocu, femme volage.

Que n'a-t-il pas vu arriver la masse des "bobos de gauche" et les "cathos de gauche" qui allaient surgir dans les années 80... où les fils d'antiquaires voulaient supprimer l'école privée, où les grands bourgeois s'avisaient subitement que la France ne pouvait accueillir toute la misère du monde.

Que de chefs d'oeuvres il aurait pu réaliser !

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