Jean-Luc Delarue, à la suite de son interpellation pour un trafic de cocaïne dans les Hauts-de-Seine, a été remis en liberté après plusieurs heures de garde à vue. Il s'est excusé dans une vidéo en sollicitant "une seconde chance".
Aussi bien ses excuses que sa requête me semblent ridicules.
Je ne sais pas du tout ce que deviendra la procédure le concernant mais je ne crois pas que cette affaire puisse concerner les téléspectateurs dont l'indulgence est requise. Apparemment France 2, pour sa part, a tiré les conséquences de cette nouvelle et grave péripétie de la destinée professionnelle de Jean-Luc Delarue en suspendant son émission pour une "période indéterminée" et pour une "raison d'éthique" (nouvelobs.com, 20 Minutes).
Nous sommes également loin du possible octroi d'une seconde chance mais plutôt d'une quatrième ou cinquième, à considérer le nombre de séquences discutables auxquelles l'animateur-producteur s'est trouvé mêlé.
Il serait malséant d'accabler un homme dont le comportement dépendant et la contrition médiatique et obligatoire le rendent aujourd'hui plus pitoyable qu'éclatant.
Peut-être devrait-il accepter de se retirer quelque temps du jeu, faute de quoi il risquera de devenir l'une de ces personnalités qui sont attendues avec une impatience mauvaise par les lecteurs des rubriques douteuses.
Pourquoi tant de haine, s'est interrogé le site du Journal du Dimanche ?
Il est évident que la psychologie explique cette extrémité puisque rien ne suscite plus l'hostilité et le ressentiment que la chute d'un être encensé par les médias et placé lui-même, non sans un sentiment d'arrogance, au coeur de la lumière. Il y a comme une revanche de la part de tous ceux que cette célébrité injustifiée ou outrancière hérissait. Cette vedette à terre console la multitude qui déplore l'injustice de son propre sort. Ce n'est pas de la haine, plutôt la satisfaction aigre devant une détresse et une infortune qui pour une fois rompent la tranquille inégalité du monde.
On comprend mal comment et pourquoi les médias ont pu s'attacher de manière aussi obstinée à faire "l'article" sur Jean-Luc Delarue, amplifiant probablement par cette attention obsessionnelle les élans et les dérives d'une âme fragile, d'un être désaccordé. La focalisation sur Jean-Luc Delarue n'a sans doute pas été pour rien dans ce qui l'a conduit à aujourd'hui.
Le silence et la discrétion seraient d'excellents remèdes.
@MCPN | 20 septembre 2010 à 20:39
« Enthéogène-Plante de la gentillesse »
J'ai lu la page que vous indiquez et par curiosité, j'ai recherché la plus ancienne graphie pour la plante dont est issue le cannabis.
Il se trouve que de façon très intéressante, sa graphie actuelle est une interprétation erronée de l'ancienne graphie, laquelle appartient uniquement aux inscriptions sur vase de bronze.
On trouve la graphie actuelle comme partie prenante dans la traduction du sanscrit Māra (= littéralement, le mort; Lequel est, dans le bouddhisme, l'esprit tentateur qui essaya d'empêcher Gautama Bouddha d'atteindre l'éveil). Cela me semble indiquer que la pratique de la méditation ne passe pas par là et c'est donc intéressant à savoir dès lors qu'on prétend comme la page que vous indiquez le fait, que cette plante servait à la fabrication d'huile sainte. Cette graphie écrit alors « Invisible + Chanvre », lequel s'écrit pour sa part : « écorce de la plante » + « abri au sens de sanctuaire », indiquant qu'il s'agit de plantes écorçables (celle là ou une autre et en particulier la Ramie qui sert elle aussi au tissage d'étoffes), servant d'offrandes, en particulier dans les cérémonies d'exorcisme. Ce qui n'est pas sans rappeler que les grecs eux aussi offraient des vêtements, notamment à Artémis ceux des femmes mortes en couches. Les motivations en sont aisément compréhensibles. Incidemment on mentionnera que l'un des grands ponts sur la Moselle a également été financé sur ordre de l'évêque de l'époque, par la vente des vêtements des morts d'où son nom de 'Pont des morts'. Il doit aussi y avoir quelque part, je n'ai présentement pas le temps d'effectuer la recherche, une histoire de tels vêtements offerts à Ste Marthe, la sainte qui a vaincu la tarasque - un dragon, moitié animal, moitié poisson, plus épais qu'un bœuf, plus long qu'un cheval, avec des dents semblables à des épées et grosses comme des cornes; il se cachait dans le fleuve d'où il ôtait la vie à tous les passants et submergeait les navires, qui rappelle 'Mère-Grand, comme vous avez de grandes dents'- . L'idée de l'écriture de la plante est également celle de « maîtriser, prendre le dessus sur ».
En ce qui concerne le Japon, on trouve la trace de telles offrandes à partir du 3~4ème siècle av. notre ère, ce qui est relativement peu ancien, dans des poteries de terre cuite ou encore enfouies dans le lit des rivières. Sous la dénomination d'ASA, les japonais l'ont employé conjointement avec une sorte de mûrier à papier. Le mot japonais Asa jouit de plusieurs homonymes intéressants dont le radical du verbe exprimant un rire inextinguible (il me semble que le rire sans raison est l'un des effets de la consommation de l'herbe), ainsi que l'idée de « se moquer des défauts d'autrui». Une seconde graphie évoque la technique de « battre l'écorce » qui préside en effet à l'utilisation des plantes servant au tissage végétal.
Il y aurait matière à plus ample développement, mais ce n'est pas le lieu. En revanche on peut retenir qu'il est clairement indiqué dans l'archive graphique que, s'agissant d'atteindre l'éveil, l'utilisation détournée du tissage, de certains matières végétales est une voie diabolique!
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Enfin, s'agissant plus précisément de Delarue, il a été annoncé que son émission serait désormais conduite par la très clean mère de famille Sophie Davant.
Rédigé par : Catherine JACOB@MCPC | 23 septembre 2010 à 13:05
@ Jean-Dominique Reffait | 22 septembre 2010 à 11:28
«Dites les enfants, c'est pas un forum ici. »
Vous avez raison.
@sylvain | 22 septembre 2010 à 08:39
En effet, y a plus de doute : elle en a pris !
Si vos méthodes d' investigation sont à la hauteur de votre puissance de déduction, vous êtes le phénix des hôtes de nuages !
Rédigé par : Catherine JACOB@JDR&sylvain | 23 septembre 2010 à 10:19
Dites les enfants, c'est pas un forum ici.
Rédigé par : Jean-Dominique Reffait | 22 septembre 2010 à 11:28
Catherine JACOB@sylvain | 21 septembre 2010 à 20:51
"""mouton planton... otarie... lion de mer... pour les éléphants roses, on attendra un peu ..."
.......
En effet, y a plus de doute : elle en a pris !
Rédigé par : sylvain | 22 septembre 2010 à 08:39
@sylvain | 21 septembre 2010 à 12:12
Traduction:
Le Mouton planton: En auriez-vous pris ? Parfois je me demande..."
L'Otarie funambule : Des croquettes? Moi?! Allons, voyons, à peine quelque menu fretin... de quoi faire un peu de friture sur la ligne.
NB: 'Otarie' du grec ὠτάριον : « petite oreille », autre nom du Lion de mer.
Cliché : vendredi 27 août 2010, 17:20:02 en passant le long de la gendarmerie.
Rédigé par : Catherine JACOB@sylvain | 21 septembre 2010 à 20:51
Une pensée pour Frédéric Mitterrand, qui, après avoir soutenu Roman Polanski, soutenait il y a peu Jean-Luc Delarue. J’attends avec impatience son prochain soutien ; peut-être un « people » tueur… Delarue n’est pas le seul, bien sûr, toute la « jet set » consomme, y compris les donneurs de leçons de morale, mais quand on est un « people » en France on peut tout se permettre puisque l‘on a rang de divinité. Le peuple idolâtre est aussi responsable.
Rédigé par : vetement travail | 21 septembre 2010 à 18:28
Catherine JACOB | 20 septembre 2010 à 21:02
........D'où mon interrogation quant à ce qu'on peut bien mettre parfois finalement dans les croquettes!........
.............................
En auriez-vous pris ? Parfois je me demande...
Rédigé par : sylvain | 21 septembre 2010 à 12:12
Une dernière remarque concernant les enthéogènes:
Saluia désigne en latin ancien une plante aux propriétés bienfaisantes (=salutaire), dont on ignore quelle a était, puis l'actuelle Sauge « dont certaines espèces de sauge, principalement la sauge officinale (soit donc, le taxon Salvia officinalis), possèdent en effet de nombreuses vertus médicinales. Elles étaient considérées au Moyen Âge comme une panacée. » A l'époque de Marco Polo ou un peu plus tard, du fait de la réputation de panacée de cette plante salvatrice (sens tardif), les chinois s'étaient montrés intéressés par du troc sauge contre thé, mais les vertus en étant différentes, ils ont préféré en rester au thé.
Ceci étant, par une sorte d'abus de langage, l'une des plantes enthéogènes, est appelée Salvia divinorum, ce psychotrope puissant originaire du Mexique et encore appelé « Sauge des druides » était donc nécessairement parfaitement inconnu des ces derniers. Du fait que les jeunes plants ressemblent à des pousses de menthe, on l'appelle aussi menthe magique (Magic Mint).
Sa dénomination se décomposerait comme suit:
« Certains décrivent les effets selon une échelle à six niveaux : S-A-L-V-I-A
S : pour « effet subtil » : c'est la première phase du voyage réalisant un état de relaxation avec des effets légers comparés à ceux produits par de faibles doses de marijuana,
A : pour « perception altérée » : phase de modification des processus de pensées durant laquelle on décrit une appréciation renforcée de la musique avec modification discrète de l'espace.
L : pour « léger état visionnaire » : effets psychédéliques, perception d'images les yeux fermés, souvent bidimensionnelles. Il s'agit d'un état proche de l'hypnose mais avec maintien d'une perception intacte de la réalité,
V : pour « état visuel » : les yeux fermés, le sujet entre dans un état de rêve, amorce un voyage à travers le monde et les âges avec des images tridimensionnelles. C'est l'état du tapis volant. L'état de conscience reste encore lucide,
I : pour « identité altérée » : il y a perte d'identité personnelle avec expériences mystiques et fusion avec d'autres objets ou avec l'univers,
A : pour « anesthésie » : cet état s'observe lors de la consommation de fortes doses de la substance. C'est la perte de conscience durant plusieurs minutes avec possibilité de somnambulisme et passage à l'acte. Une amnésie secondaire est observée. » S.A.L.V.I.A. n'est donc pas Salvia!!
Toutefois, malgré sa réputation de panacée, notre salvia officinalis, cette tisane d'élection de Louis XIV, n'est pas à utiliser sans précautions même comme condiment du rôti de porc, car si elle n'a pas d'effet hallucinogène, de récentes études la donnent comme neurotoxique à partir d'une certaine dose, et c'est sans doute cet inconvénient qui a dû motiver les chinois pour en rester au thé dont on peut consommer l'infusion à s'en éclater l'estomac avant d'atteindre la moitié de la dose létale.
Les Amérindiens connaissaient une variété locale de notre sauge, qu'on appelle Salvia hispanica, et considéraient les graines de cette sauge comme nourriture essentielle n°3 après leurs variétés de maïs et de blé. De nos jours elle est une source alternative d’oméga-3 qui pose moins de problèmes que le soja, la graine de lin ou les huiles de poisson.
Or donc, ce que je voulais simplement dire c'est qu'il ne faut pas se laisser abuser par la dénomination et comme pour les champignons, ne pas utiliser n'importe quoi quand on ne sait pas reconnaître les espèces.
Personnellement j'avais une belle culture à destination purement ornementale de Salvia officinalis sur mon balcon qui avait atteint une sorte de jolie forme arbustive quand le chien a subitement décidé d'en faire des confettis et avec un curieux acharnement d'ailleurs, mais bon. Tant pis. Maintenant il s'acharne sur les serviettes de table. D'où mon interrogation quant à ce qu'on peut bien mettre parfois finalement dans les croquettes!
Rédigé par : Catherine JACOB | 20 septembre 2010 à 21:02
Enthéogène-Plante de la gentillesse.
http://www2.esoblogs.net/2372/la-plante-de-la-gentillesse-cannabis-et-chretiente
Rédigé par : MCPN | 20 septembre 2010 à 20:39
@sylvain | 19 septembre 2010 à 19:02
« Heuuuuuuu, pardon... vous êtes où sur la photo ??? »
Wenn sich die späten Nebel dreh'n
Werd' ich bei der Laterne steh'n
….
Wie einst Lili Marleen. (bis) » Of corse! Comme dirait la baronne de Dietrich, vous savez,...la femme au poêle!
Rédigé par : Catherine JACOB@sylvain | 19 septembre 2010 à 19:23
@Catherine JACOB@MCPN | 19 septembre 2010 à 16:48
....Exposition des courges et autres citrouilles d'un arboretum...
.....................
Heuuuuuuu, pardon... vous êtes où sur la photo ???
Rédigé par : sylvain | 19 septembre 2010 à 19:02
@MCPN | 18 septembre 2010 à 09:33
« Drogues : pour les bien-pensants, il serait temps de regarder ce qu'est un vénéré "enthéogène".Cordialement. »
J'ai suivi votre conseil et je me suis penchée sur la question de votre vénéré enthéogène. Voici ce que cela a donné:
Exposition des courges et autres citrouilles d'un arboretum
Détail de la première image
Il n'est pas sans évoquer ce que les japonais le nomme UBA_TAMA, l'Esprit de la Vieille qui quelque part nous rappelle lui aussi quelque chose, à savoir les décorations d'Halloween tel le fameux Jack O’Lantern ou Citrouille-lanterne ci-dessous.
Pourtant cet UBA_TAMA tel par ex. ceux-ci qui ne font que ressembler à une courge ou un potiron,mais n'en sont pas.
C'est le fameux peyotl, matière première de cette substance que l'on inclut parmi les « enthéogène » ou substance qui engendre (« -gen ») Dieu ou l'Esprit (« -theo ») à l'intérieur de soi (« -en ») , autrement dit la mescaline - (3,4,5-triméthoxyphénéthylamine) est un alcaloïde de la classe des phényléthylamine utilisé comme drogue hallucinogène dotée d'un effet particulier qui l'inclut dans le vaste domaine des enthéogènes selon une terminologie proposée en 1979 par Robert Gordon Wasson et J. Ott pour évoquer « la libération ou l'expression d'un sentiment divin à l'intérieur de soi ». Sauf que, si l'on s'en réfère à la dénomination de UBA_TAMA, ainsi qu'à l'usage plusieurs fois millénaires qu'en font les amérindiens pour qui les dieux sont les ancêtres, ainsi qu'à l'aspect de Jack O’Lantern, la citrouille ciselée dont on use à l'occasion de la fête d'Halloween. Cette célébration qu'on peut peut-être rapprocher de la fête des Chytres au 3ème jour des Anthésteries (litt. fête des Fleurs qui avaient lieu en l'honneur du dieu de la végétation (Dionysos), soit le jour du retour des trépassés, le sentiment divin n'est peut-être pas forcément celui qu'on imagine.
Surtout si l'on songe que la religion dionysiaque à laquelle appartient cette fête des Chytres, incite le fidèle à sortir de son être par l'extase, autrement dit à se rendre possédé du Dieu, ce à quoi tendaient les « orgia », les danses violentes, le son des syrinx qui invitent à la folie, tandis que pour les anciens Grecs le principe essentiel de la piété est tout au contraire le respect de la barrière entre les dieux et les hommes.
Pour en revenir à nos cucurbitacées, on les retrouve tout de même dans un contexte moins morbide et moins violent, en apparence, dans le monde des esprits qui est celui des fées avec la fameuse citrouille non pas lanterne, mais carrosse.
Forcément, il faut bien voyager confortablement... j'imagine, pour ce retour à la lumière... de la fête! Vous l'avez deviné, cette autre citrouille qui reste malgré tout une petite cousine de l'UBA_TAMA où l'on peut aussi entendre dans 'TAMA', le 'Joyau', ainsi que dans 'UBA', la nurse/nourrice, c'est celui que d'un coup de baguette magique la Bonne fée qu'est la Marraine de Cendrillon, transforme en carrosse pour permettre à la pauvrette d'aller dans de beaux atours connaître l'extase dans les bras du Prince à condition de ne pas oublier de rentrer à l'heure. Donc cette question du Retour qui, incidemment est un moment essentiel de la question du Temps, semble être davantage portée par les, hum... petites fleurs que par, hum... leurs disons cueilleurs. (Cette dernière remarque étant un clin d'œil perso à deux cueilleurs... émérites!)
Enfin, en direct de « C'est Maman qui l'a fait »,
la recette 3D du Gâteau Carrosse de Cendrillon, Princesse Citrouille qui, d'un certain point de vue, n'est sans nous faire pas mal réfléchir, elle aussi.
Rédigé par : Catherine JACOB@MCPN | 19 septembre 2010 à 16:48
@Alex Paulista
Merci de m'accompagner avec vos précisions.
Il y a de quoi être envieux pour toutes les in-dépendances, n'est-ce pas ?
Rédigé par : zenblabla | 19 septembre 2010 à 14:29
@Achille | 18 septembre 2010 à 11:43
Sylvain, enlevez votre camion que vous avez garé devant l’entrée du garage de Catherine Jacob.
Ah c'est lui! J'me disais bien. J'ai pourtant tenté de faire mettre une bande jaune du côté où il n'y avait pas de panneau d'interdiction de stationner en démontrant la dangerosité de tout arrêt prolongé à cet endroit, notamment quand ça bloque le passage des bus scolaires, et que croyez-vous qu'ils ont fait? Ils ont mis un passage pour piétons! Quelle influence mon cher Sylvain! Quand la police est appelée à l'occasion d'un incident, quelle solution a-t-elle? Elle oppose tout simplement le code de la route qui prescrit tout comportement dangereux, ce qui à mon sens inclut le stationnement, à la loi du propriétaire et conseille tout simplement: « Achetez donc plutôt le trottoir! »
Mais bon, mon garagiste a trouvé lui l'exacte solution puisqu'il m'a rendu récemment un véhicule qui lui avait été confié pour remédier à un problème à propos duquel le contrôle technique m'a assuré que de toute sa carrière il ne l'avait jamais constaté avec des Toyota en général et les 4x4 en particulier, mais dont les roues ont été démontées (pour quel motif?) et remontées (sans doute) ailleurs, ré équipé avec des pneus non conformes aux spécifications du constructeur, qui donc déséquilibrent le véhicule en l'entraînant inexorablement vers la gauche, qui plus est usés. Et je n'ai donc théoriquement plus le droit de rouler tant qu'il ne sera pas ré équipé des pneus adéquats (1050€ le jeu de pneus), ce qui a pour conséquence qu'on peut stationner en face du garage sans que je sois gênée pour sortir, vu que je n'ai pas le droit de sortir! Le camion de Sylvain peut donc tranquillement stationner lui aussi devant, je ne peux plus démontrer qu'il est gênant vu que si je sors le véhicule pour un autre motif que d'aller le faire équiper de pneus conformes et que je suis contrôlée par un fonctionnaire zélé qui ne manquera pas d'observer que je n'ai plus l'étiquette du contrôle technique sur mon pare-brise, qu'est-ce qui va se passer? Hein?!!
Rédigé par : Catherine JACOB@Achille | 19 septembre 2010 à 08:22
Tout de même... Ne faisons pas de JL Delarue un "problème social".
Prenez Marc-Olivier Fogiel, il vient de déclarer au Figaro : "je hais les dimanches !"
C'est le début de l'addiction : c'est le seul jour de la semaine ou il n'entend pas parler de lui. Il est forcément malheureux.
D'autres se croient malades. Voyez Talleyrand, qui croyait devenir sourd car il n'entendait plus parler de lui.
Et cette autre gamine de San Diego, qui en 1979, ouvre le feu dans la cour de son école, tue trois personnes et explique aux policiers : "I don't like mondays"...( "j'aime pas les lundis"..). (*)
Historiens et psychiatres s'accordent à établir que lorsque Narcisse est malheureux, le pire est à craindre.
En revanche, lorsque le toboggan social vous mène directement à la drogue, cela mérite toute notre compassion.
(*)- Pour les amateurs, écouter sur You Tube, "I Don't Like Mondays" des Boomtown Rats.
Rédigé par : Savonarole | 19 septembre 2010 à 07:24
Mme Preud'homme,
Des toxicomanes qui en étaient à 5 g/jour, j'en ai connus. J'en ai même connu un qui en était à 8 g de cocaïne, et qui avait les moyens de s'en payer de la bonne. Je ne prétends pas qu'il était heureux (et son épouse, n'en parlons pas), ni qu'il vivra vieux, mais il continuait à vivre. Donc, a priori, 16 g chez un quidam qui a les moyens (et c'est le cas de Delarue), ça ne me semble aucunement une preuve de trafic, ni même une présomption.
Rédigé par : lambertine | 18 septembre 2010 à 22:05
"Il faut donner des deuxièmes chances à tout le monde"
a déclaré Frédéric Mitterrand sur RTL.
Tout le monde... de préférence ceux qui sont célèbres et présentent bien de leur personne, du style "gendre idéal" ou ceux qui sont du sérail médiatico-bobo-people... les deux peut-être bien !
Quant aux autres, ils aimeraient bien qu'on leur accorde leur première chance...
Cordialement
Pierre-Antoine
Rédigé par : Pierre-Antoine | 18 septembre 2010 à 21:11
Hum ! Et pourtant vous ne pouvez nier qu'il
existe un vocabulaire spécifique notamment
celui de se rassurer par des questions
qui font le jeu de l'immédiateté du ressenti !
@ MCPN
J'ai simplement voulu souligner comment on
peut influencer le comportement et donc
une certaine manière de se produire somme
toute peu créative mais protectrice de ses
propres dérives.
Rédigé par : calamity jane | 18 septembre 2010 à 18:06
@ Ludovic
Il faut vraiment être de mauvaise foi pour supposer que JC Delarue gagne sa vie en achetant/revendant quelques milliers d'euros de coke par mois (ce qui supposerait un bénéfice de quelques centaines d'euros comme un petit revendeur de bout de chaîne), quand le gars gagne des patates en refilant ses productions à France Télévisions, en toute légalité.
L'évidence est que le gars a le nez dedans jusqu'aux oreilles, et qu'il ne l'achète pas auprès du dealer le moins cher de Paris.
Il serait injuste de le traiter comme un trafiquant désocialisé qui tire ses revenus du commerce de coke.
Et bien peu charitable: le lien avec ses obligations professionnelles est peut-être une chance de sortir de l'addiction.
Rédigé par : Alex paulista | 18 septembre 2010 à 15:16
@ Mary Preud'homme
70 euros le gramme ? C'est cher à Paris dites-moi...
Toujours trop bon marché de toute façon. À São Paulo c'est deux à trois fois moins cher pour la cocaïne, et la boulette de crack se trouve à 10 réais. Et donc fait plus de dégâts que les criminels de guerre.
@ zenblabla
L'absence de dépendance physique ne signifie pas l'absence de dégâts irréversibles sur le physique et le mental.
Et surtout pas que cette drogue est meilleure que les autres à cause de ce seul critère.
Si l'on fait le parallèle avec l'alcool et la cigarette, mieux vaut parfois être à Sainte Anne en Delirium Tremens qu'en phase terminale de cancer de la gorge...
Mais à mon humble avis, ce n'est pas seulement la substance mais surtout la tendance de certaines personnes à avoir un comportement addictif: sectes, jeu, alcool, boulimie, anorexie, drogues douces et même dures relèvent d'une même configuration mentale.
Les gens qui ont ces démons ont juste besoin d'un peu de stress pour tomber parfois très bas.
JL Delarue a accumulé les patates avec notre redevance et nos cotisations sociales (qui payent les intermittents sur ses plateaux 3 jours sur 4), mais il a perdu sa famille et s'est trouvé écarté de son enfant en bas âge.
Il passe son temps avec des invités pathétiques à faire des émissions de pur voyeurisme.
Il faut vraiment avoir un sens perturbé des réalités pour en être envieux, et je ne serais pas surpris si la détresse de sa situation était autant la cause que la conséquence de sa consommation de drogue.
Meilleurs vœux de rétablissement pour M. Delarue et sa famille décomposée.
Rédigé par : Alex paulista | 18 septembre 2010 à 13:37
Je reviens sur les prix de la coke :
. Coupée, elle se revend entre 60 et 70 euros le gramme, pure (à 90 %) autour de 100 euros.
---
Contrairement à ce qu’écrit un intervenant 5 grammes de coke (à 90 %) c’est la limite avant le malaise cardiaque qui survient au seuil fatidique de 6 g. D’autant plus vite quand s’y ajoute l’alcool.
Et l’on peut imaginer que JLD et consorts ont les moyens de s’offrir de la pure. A noter qu’ils étaient plusieurs (au moins sept) à être impliqués dans le même trafic, en tant que consommateurs ou revendeurs.
Il est donc imbécile et dangereux d’affirmer que l’on peut dépasser 5 g de coke (même coupée) sans risque de surdose. D’autant que la coupée est parfois frelatée.
Et d’ajouter que "l’on connaît beaucoup de toxicos qui le font sans problèmes" (de santé et d’argent, mon œil !), des anomalies de la médecine sans doute dotées en outre de gros moyens financiers, acquis honnêtement ou frauduleusement ?
---
A noter également qu’en plus de 16 g de coke pure, les policiers des stups ont trouvé chez Delarue d’importantes sommes d’argent dont il devra justifier la provenance. Il est donc vraisemblable que ses comptes bancaires seront sérieusement épluchés si ce n'était déjà fait quand les stups ont perquisitionné chez lui.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 18 septembre 2010 à 11:49
Sylvain, enlevez votre camion que vous avez garé devant l’entrée du garage de Catherine Jacob.
Rédigé par : Achille | 18 septembre 2010 à 11:43
Ah que coucou ici Johnny "qué né dans la rue"
Quoi qui z'ont fait les ceusses qui sont de la rue ??
Rédigé par : sylvain | 18 septembre 2010 à 11:22
Un mal-être cache bien souvent une maladie latente que la personne n'est jamais apte à reconnaître. Le déni est l'option généraliste dans toutes maladies psychiques.
Le règlement - à tort - de cette souffrance passe toujours pas des méthodes inadaptées telles que l'utilisation de drogues ; ce que l'on nomme les faux amis.
N'accablez pas les personnes en souffrance psychique, ce n'est pas un état passager mais une réelle désorganisation des connexions neuroniques. Et il y a bien des années que mon impression est de le voir de plus en plus mal.
Je souhaite à JL.D. de trouver la solution médicale adaptée pour combattre son état.
Drogues : pour les bien-pensants, il serait temps de regarder ce qu'est un vénéré "enthéogène".
Cordialement.
Rédigé par : MCPN | 18 septembre 2010 à 09:33
Ca y est ! j'ai pigé les raisons de ces questions débiles : "et vous avez pensé quoi
quand.....?" Complétez par ce que vous
voudrez. Ce dégoulis d'émotionnel...
Ah ! l'esprit sain dans un corps sain
est sûrement plus maîtrisé qu'étalé.
Rédigé par : calamity jane | 18 septembre 2010 à 07:31
Pardonnez-moi, Mme Jacob, d'avoir plaisanté sur votre poudre blanche (et vos camions qui n'étaient pas psychédéliques).
Maintenant, pour en revenir aux choses sérieuses, il est peu probable que vos cambrioleurs l'aient essayée, ou "testée sur un SDF" sans l'avoir goûtée au préalable. Par contre, il est vraisemblable qu'elle ait pu servir de "produit de coupe" (et fait, dans ce cas, quelques dégâts sur des gens en probable mauvaise santé).
Pardonnez-moi d'avoir plaisanté avec des choses sérieuses.
Sinon, pourquoi accuser Delarue de trafic ? 5 G par jour, c'est beaucoup, mais des vrais tox qui en prennent autant, il y en a pas mal. Je ne prétends pas qu'ils sont en bonne santé, mais ils existent.
Rédigé par : lambertine | 17 septembre 2010 à 23:06
Rectification :
Dans mon intervention de ce jour à 15h 36, il fallait lire la coke à 70 euros le gramme (prix moyen) et non 700 évidemment.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 17 septembre 2010 à 22:53
Silence et discrétion sont de mise, c'est d'ailleurs pour cela que vous vous dépêchez d'écrire un billet sur le sujet, intitulé "Delarue encore !"
Pardon de mettre les pieds dans le plat en énonçant une évidence plus grosse que moi, mais n'oubliez pas que votre blog est aussi un média lu, même si l'audience n'est, no offense, peut-être pas comparable à celle du JDD.
Rédigé par : Natoussia | 17 septembre 2010 à 21:22
Bonjour M. Bilger,
A vrai dire, Jean-Luc Delarue ne m'intéresse pas et s'il pouvait disparaître de l'antenne, je n'en serais pas fâché.
Je me suis juste demandé s'il n'avait pas bénéficié d'une certaine mansuétude du fait de sa notoriété. Si j'ai bien compris, M. Delarue est suspecté d'avoir dépensé plusieurs milliers d'euros par mois pour acquérir de la cocaïne, les enquêteurs au vu de l'importance des sommes considérées peuvent légitimement soupçonner qu'il ne s'agit pas d'une simple consommation personnelle. Il me semble qu'en pareil cas, d'autant que la perquisition au domicile de l'animateur a été fructueuse, la garde à vue dure un peu plus de quelques heures et que la police se moque comme d'une guigne des obligations professionnelles du suspect.
Alors pourquoi un traitement dérogatoire à la procédure habituelle ?
Décidément, nous avons grand besoin d'une nouvelle nuit du 4 août.
Rédigé par : Ludovic | 17 septembre 2010 à 19:47
Avec un pere "Président du Syndicat des Usagers des Transports", est-ce vraiment surprenant que le fils ait chute sur des rails ?
Plus serieusement, en quoi sommes-nous veritablement concernes, en tant que telespectateurs, si ce presentateur n'apparaissait pas sur le plateau avec une paille dans le nez ?
De plus, s'il ne conduisait pas sous influence (ce qui evidemment mettrait la vie d'autrui en danger) il ne semble detruire que lui-meme ; ce qui en soi est deja regrettable mais ne le concerne que lui et sa famille dans un premier temps, son employeur dans un deuxieme.
Attendons de savoir s'il trafiquait (ce qui semble peu vraisemblable au vu de ses revenus legaux) et alors on pourra se permettre de le blamer d'encourager d'autres a se detruire.
La societe francaise s'americanise-t-elle qu'il est tenu de presenter des excuses ; a qui et pourquoi ?
Pour en finir, je n'envie pas son job, ni cette exposition mediatique ; quelle horreur d'etre sous les projecteurs en permanence !
Ce produit est-il plus toxique que notre bonne vieille "bibine" et autres cachets legaux ? Le vrai probleme est qu'il echappe au fisc et ne rapporte aucun revenu !
Rédigé par : Valerie | 17 septembre 2010 à 18:26
@lambertine | 17 septembre 2010 à 12:46 Mme Jacob,
Vous êtes sûre qu'on vous l'a volée, la poudre sibérienne, parce que des camions psychédéliques sous la plume d'un haut magistrat...
Tout d'abord je n'ai pas écrit que les camions étaient psychédéliques (de l'anglais psychedelic: qui est provoqué par la prise de drogues hallucinogènes) , et je n'ai pas écrit non plus qu'il étaient dus à la plume de PB.
Voyez un peu comment naissent et se propagent les rumeurs. C'est un phénomène très intéressant que celui de la contamination de la relation d'un fait (ex. je relate avoir cru cliquer sur 'Justice au singulier' dans le marque-pages de Mozilla et, en lieu et place du magistrat à l'élégante cravate gris perle voici qu'apparaît un camion noir et jaune, ce qui a de quoi étonner. Je pense à un détournement d'Url et je le mentionne sur le blog pour le cas où je ne serais pas la seule, non pas à avoir pris PB pour un camion, je vous arrête tout de suite, mais à avoir vu mon écran envahi d'une publicité indésirable), et le contexte du présent billet ainsi que celui d'un post parallèle, induisent une métamorphose des faits telle que les voici restitués en phénomène hallucinatoire.
@ lambertine | 17 septembre 2010 à 12:38 Mme Jacob,
Vous vous rendez compte de la fortune que vous auriez pu vous faire sur le dos de ces pauvres toxicos en revendant vos sels chamaniques au marché noir ?
Il faudrait que je mette la main sur une copie de l'ordonnance pour voir de quel type de tromperie sur la marchandise les malheureux auraient pu être victimes. Mais s'ils s'étaient fait ce qu'on appelle par ex. une ligne, puisqu'on parle ici de cocaïne, ce qui équivalait à une quantité suffisante à traiter le volume d'eau d'une baignoire entière qui n'était pas à ingérer mais dans lequel il convenait uniquement de se plonger un temps déterminé à une température donnée pour traiter de façon homéopathique (= le mal par le mal) un problème circulatoire spécifique, sans compter les précautions annexes, je ne sais pas s'ils seraient toujours là pour en parler. Et c'est quelque part aussi ce qui m'embête, maintenant que la contribution de Savonarole m'a donné à penser que la poudre volée a pu en effet être détournée sans prendre même la précaution de se référer à l'étiquette apposée par le pharmacien sur le paquet.
Parce que si les voleurs l'ont essayée avant et que cela les a rendus malades, tant pis pour eux, mais s'ils l'ont essayée sur un animal ou un sdf...! J'espère juste que, s'ils n'étaient pas suffisamment au fait du produit ressemblant pour qu'une confusion ait pu se produire, ils ont été suffisamment malins pour la faire analyser avant de prendre le risque de l'utiliser d'une façon quelconque.
Maintenant si la lecture de ce post pouvait contribuer à détourner leur public des substances illicites, l'épisode et sa relation auront au moins servi à quelque chose.
Rédigé par : Catherine JACOB | 17 septembre 2010 à 15:59
Frédo Mitterrand en souteneur de ce minet dérisoire embarqué dans une sale affaire de trafic de coke, c‘est le bouquet ! Gageons qu'avec un tel soutien, "de la rue" risque d'être définitivement plombé avec son histoire d’achat de 10.000 euros de coke par mois, soit plus de 5 grammes par jour au prix actuel du marché ! Les smicards apprécieront, et plus encore les officiers des stups et des brigades financières dont les filatures pour des gaillards comme ce Jean-Luc et ses comparses durent parfois des années avant de pouvoir les prendre la main dans le sac, les faire coffrer ou remonter la filière d’un cran.
"Les copains des coquins", comme disait de Gaulle, ont fait florès si bien que coquin devrait désormais s’écrire avec un k plutôt qu’un Q dès lors que la coke à 70 euros le gramme (revendue sous le manteau aux fins de parties fines entre initiés) coule aujourd'hui à flots dans le petit monde starisé des médias à en juger par les pupilles dilatées et les crises de nerfs pathétiques de quelques-uns de nos montreurs de foire parmi les plus sur médiatisés. Idem pour nombre de leurs invités vedettes, habitués des émissions populos qui témoignent surtout, au-delà de leurs interventions vides ou bassement démagogiques, d’une civilisation en perte de repères et en pleine décadence !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 17 septembre 2010 à 15:56
Il me semble qu'il devrait quitter la scène publique pour se concentrer sur sa vie privée.
Sa santé est bien plus importante que les spots, d'autant plus qu'il a démontré la qualité de son travail depuis de nombreuses années.
Rédigé par : joseph | 17 septembre 2010 à 15:46
Pourquoi accorder une 2ème chance, alors que tant n'ont pas encore eu la 1ère de leur vie ?
M. Delarue en a bien profité, il l'a bien fait savoir. Peut-être aurait-il l'élégance de laisser la place aux autres ?
Rédigé par : cyd | 17 septembre 2010 à 15:40
Franchement, que Delarue sniffe, je m'en moque. Ce qui m'intéresse, c'est ce qu'a touché le flic qui a transmis l'info aux paparazzi !!!
Rédigé par : bruno | 17 septembre 2010 à 15:40
Sniff, sniff, Delarue, sniffe, sniffe, on le regrettera...
...pas !
Ah que non !!!
AO qui aurait pu vous la faire en
amst(e)r(d)am gramme pique et pique et... colle et gramme, bourre et bourre et se rétame...
air connu au palais (et au nez) de justice
Rédigé par : oursivi | 17 septembre 2010 à 15:37
Aimable euphémisme que cette deuxième chance.
Les « people » ont le chic et le toupet de comparer leur sort aux plus modestes quand ça les arrange.
Pour un peu, il va se comparer au smicard du coin, licencié car arrivé en retard à son boulot et qui implore qu'on le reprenne !
Or Delarue, c'est pas ça !
Je me souviens de l'avoir croisé au hasard des palmarès des plus grosses fortunes françaises il y a quelques années.
Grâce à ses petites émissions, il est devenu très riche.
Riche au point de financer cyniquement les pires criminels pour s'octroyer ses petits plaisirs !
Que lui importent les milliers de morts que provoquent les trafics de drogue ?
Je ne parle pas des consommateurs mais de toutes ces morts violentes que génère la criminalité liée à la drogue.
La question doit donc être reformulée :
malgré ses frasques à répétition, son comportement des plus médiocres et son cynisme, Delarue mérite-t-il toujours d'avoir une des plus grosses rémunérations françaises ?
Ma réponse est évidemment NON.
Rédigé par : Francois F. | 17 septembre 2010 à 14:50
JLD a enfreint la charte d'Ethique qui permet à France Télévisions de suspendre un animateur lorsque son comportement cause préjudice à l'image de France 2, en l'occurrence.
Ce n'est pourtant pas la première fois que JLD contrevient aux devoirs d’éthique journalistique et en plus cela a été sanctionné par un jugement qui fait jurisprudence :
"Le jugement du 21 septembre 2009 (TGI Paris, 17e Chambre) qui a condamné le producteur/animateur Jean-Luc Delarue et France 2 après la plainte du psychothérapeute belge Labrique constitue une avancée juridique importante. Il permet à un plaignant qui a participé à une émission de télévision de faire condamner un animateur qui, au montage, a dénaturé ses propos. Et ce, sans passer par la loi sur la presse mais en alléguant une faute civile. M. Labrique a emporté une importante victoire concernant le nécessaire respect par les animateurs de télévision, lors du montage final, des propos tenus par les participants à leurs émissions. C’est une avancée qui peut favoriser à l’avenir une meilleure application de la déontologie journalistique."
Jean-Luc Martin-Lagardette, journaliste (site Ouvertures).
Rédigé par : Baudouin Labrique | 17 septembre 2010 à 14:37
Mitterrand a encore perdu une occasion de se taire. Il prétend que Delarue a droit à sa 2ème chance... Or il en est à sa 4ème ou 5ème chance déjà.
Ca me rappelle certains magistrats à qui on présente un délinquant ayant un casier long comme le bras et qui veulent lui donner une "2ème chance"...
Rédigé par : kris | 17 septembre 2010 à 14:01
Poudre aux yeux!
Foin de flagornerie!
...remarquez, le foin c'est aussi punissable.
Quand même, serait-ce mes oignons?
@Savonarole,
Chère CéJie
Je ne sais rien de cette Liliane au sujet de laquelle, perfidement, vous menez le soupçon, mais j'en ai tellement entendu parler, qu'à aucun prix je ne voudrais manquer le clip aux 15 grammes de poudre et six grammes de larmes qu'elle aurait concocté.
Rédigé par : zenblabla | 17 septembre 2010 à 13:04
"Si Edwy Plenel avait trouvé 15 grammes farine dans la cuisine de Mme Woerth, que n'aurions-nous pas entendu !"
Ben, que c'était pour aider tante Lily à mieux aider l'UMP, voyons !
Mme Jacob,
Vous êtes sûre qu'on vous l'a volée, la poudre sibérienne, parce que des camions psychédéliques sous la plume d'un haut magistrat...
Rédigé par : lambertine | 17 septembre 2010 à 12:46
Mme Jacob,
Vous vous rendez compte de la fortune que vous auriez pu vous faire sur le dos de ces pauvres toxicos en revendant vos sels chamaniques au marché noir ?
Rédigé par : lambertine | 17 septembre 2010 à 12:38
Je relis tardivement comme souvent et je vois que dans le post Catherine JACOB@Savonarole&Jean-Dominique Reffait&Achille
J'ai sauté la dactylographie du pas de pourquoi pas et aussi que j'ai frappé la lettre voisine du 'd' de la dite sur le clavier, et écrit la site préparation, mais bon, pas d'analyse sauvage de lapsus calami SVP.
Rédigé par : Catherine JACOB | 17 septembre 2010 à 11:50
@Savonarole | 17 septembre 2010 à 10:11
« Si Edwy Plenel avait trouvé 15 grammes farine dans la cuisine de Mme Woerth, que n'aurions-nous pas entendu ! »
Vous pensez donc que Mme Woerth ne fait pas la cuisine ni la pâtisserie, pas même de simples tartes et que tout vient d'un traiteur?
Ceci étant, vous me faites penser à une chose. Il se trouve que j'avais par un moment consulté pour au départ un problème de dos qui avait son origine dans une inflammation des disques causée par une manipulation vertébrale effectué par un kiné auquel cet acte est interdit (je l'ignorais), un médecin généraliste spécialisé néanmoins dans l'acupuncture et l'homéopathie et qui avait fait ses classes auprès d'un vieux chamane sibérien. Comme je souffrais également de vieilles blessures ainsi que d'un problème de circulation périphérique dans les jambes, elle m'avait proposé de soigner les unes avec du venin d'abeilles ou de guêpes, je ne sais plus, et l'autre avec une préparation spéciale à utiliser comme des sels de bains et impliquant impérativement à la sortie du bain un repos allongé d'1/4 d'heure 20', à peine d'un effet contraire à l'effet espéré. Je n'étais pas très chaude pour des piqûres de venin, mais en revanche des sels de bains pourquoi pas, et je me suis rendue avec leur recette au titre d'une ordonnance chez un pharmacien encore capable d'autre de chose que de faire office d'épicerie spécialisée, et j'en suis ressortie avec un kilo d'une poudre immaculée.
Ladite préparation a eu certain effet jusqu'au jour où je n'ai pas pu respecter la prescription à la lettre et, craignant l'effet contraire, j'ai cessé de l'utiliser mais je ne l'ai toutefois pas jetée en me disant que je reprendrai les bains lorsque je serai plus disponible.
Or, lorsqu'après avoir été victime d'une violation de domicile j'ai regardé ce qui manquait, le fameux paquet de poudre blanche de la recette sibérienne manquait pour sa part à l'appel. Je me suis naïvement demandé pourquoi faire, mais vous venez de m'en fournir une petite idée!
Rédigé par : Catherine JACOB@Savonarole&Jean-Dominique Reffait&Achille | 17 septembre 2010 à 11:43
Tacite, tirant une maxime morale des scènes de violence qui avaient accompagné la chute de l'empereur Vitellius, que la foule avait tiré des latrines du palais où il se cachait honteusement, écrit :
"Nam, cupidius concultatur nimis ante metutum",
"Car plus on a révéré, plus on piétine avec rage".
Rédigé par : Frank THOMAS | 17 septembre 2010 à 11:09
@ Catherine Jacob
"A toutes fins utiles : j'ignore comment ça se fait, mais quand je clique sur 'Justice au singulier' désormais, j'ai une pub pour des camions qui passe devant"....
Rédigé par : Catherine JACOB | 17 septembre 2010 à 09:47"
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Exact ! Le camion que j'ai aperçu avait des ailes et était tout bariolé de couleurs psychédéliques. J'ai voulu voler mais suis tombé.
J'ai immédiatement présenté mes excuses à M. Bilger.
Rédigé par : Savonarole | 17 septembre 2010 à 11:05
Une nuance tout de même : les précédents écarts de Delarue étaient publics. Ce dernier événement ne résulte pas d'un éclat de sa part. S'il n'avait pas été connu, on n'en aurait rien su. Différence de taille.
Catherine Jacob,
"quand je clique sur 'Justice au singulier' désormais, j'ai une pub pour des camions qui passe devant."
Vous devez impérativement jeter dans vos toilettes tous les paquets de sucre glace avec l'étiquette "Delarue".
Rédigé par : Jean-Dominique Reffait@Catherine Jacob | 17 septembre 2010 à 10:34
@ Catherine Jacob
« A toutes fins utiles : j'ignore comment ça se fait, mais quand je clique sur 'Justice au singulier' désormais, j'ai une pub pour des camions qui passe devant. Captation d'URL peut-être ? En tout cas c'est déjà arrivé à l'occasion de la consultation d'autres sites par le passé. »
C’est normal c’est Sylvain qui arrive pour déposer son commentaire.
Rédigé par : Achille | 17 septembre 2010 à 10:30
Cette repentance de Delarue est une tradition un peu vaine et terriblement convenue de nos pipoles.
Car bien sûr, peut-être que le regret est sincère, mais vu les précédents de Delarue, et l'expérience publique de la "repentance", je penche plutôt pour soit une opération de com', soit un déballage narcissique des tréfonds d'une âme.
Du genre, je suis le meilleur car non seulement je suis pire que vous mais en plus je l'avoue publiquement. Et j’espère que vous en serez verts de jalousie.
Ce petit côté pharisien est tout à fait déplaisant. Car au-delà des mots, en quémandant une "seconde chance", il y a un refus manifeste d'en tirer les conséquences.
Mais JL Delarue n'est pas le seul. Nous avons eu récemment l'affaire F. Mitterrand (F comme Frédéric). Celui-ci après avoir confessé dans un livre, puis dans tout le paysage médiatique ses turpitudes sexuelles sur mineurs, défend celles de Polanski, et accepte un poste de ministre puis refuse d'en démissionner.
Ces attitudes ont un petit côté de catholicisme dévoyé. Et pourtant, le philosophe/le prophète/le fils de Dieu (au choix), J. de Nazareth, spécialiste de ces questions, à celui qui était venu le voir en disant « je respecte à fond les règles de la Loi en vue du salut de mon âme, que puis-je faire de plus ? » répondait pour confondre l’hypocrite bouffi d'autosatisfaction « vend tout ce que tu as, et suis-moi », et à la femme adultère sincère « va et ne pèche plus ».
Rédigé par : cyd | 17 septembre 2010 à 10:15
Si Edwy Plenel avait trouvé 15 grammes farine dans la cuisine de Mme Woerth, que n'aurions-nous pas entendu !
Rédigé par : Savonarole | 17 septembre 2010 à 10:11