Vous croyez qu'on n'a pas de temps à perdre en vaines querelles, qu'il y a eu la Tunisie puis maintenant l'Egypte, que la crise est mondiale et que la France n'est pas au mieux ? Vous vous trompez. L'essentiel est que Christian Jacob, président du groupe parlementaire UMP, a été traité de Rantanplan (jdd.fr, nouvelobs.com).
Vous croyez que la justice et son indépendance, la police et ses enquêtes, l'Etat de droit en général appellent une attention démocratique de tous les instants ? Vous faites erreur. L'important est qu'on reproche au Premier ministre d'avoir traité Christian Jacob de Rantanplan.
Vous croyez que le chômage qui ne baisse pas, l'état calamiteux de nos finances publiques devraient mobiliser prioritairement le monde politique ? Vous vous égarez. L'urgent est de vérifier si le démenti du Premier ministre sur Rantanplan est fondé ou non quand Christian Jacob, paraît-il, s'est plaint auprès de lui.
Vous croyez qu'à quelque quinze mois de l'échéance présidentielle les citoyens sont en droit d'attendre de leurs gouvernants et du parti dominant des perspectives, une vision, moins une agitation législative, une obsession de la réforme pour la réforme qu'une réflexion forte pour l'avenir, une volonté de redonner un sens, de recréer un destin collectif ? Vous êtes vraiment futiles. Le capital est d'entendre Jean-François Copé, à son tour, déplorer que le Premier ministre se soit laissé aller à Rantanplan sur Christian Jacob.
Il y a tous les drames sociaux, les misères et les tragédies au quotidien, le désespoir de beaucoup qui ont du mal à joindre "les deux bouts" et supportent de plus en plus mal leur infortune quand l'argent crève l'écran de notre République, quand ostensiblement la France qui possède et abuse oublie l'autre et que le pays se retrouve cassé en deux. Vous croyez qu'il y a là de quoi se révolter ? Vous avez du temps à perdre. Le fondamental est de déterminer qui a pu traiter Christian Jacob de Rantanplan et si le coupable de cette faute gravissime ne serait pas en réalité un collaborateur de Jean-François Copé (Paris Match).
J'admets forcer le trait mais il n'empêche que Rantanplan, depuis une quinzaine de jours, agite et occupe. Quelle énergie est dépensée pour ce ridicule incident ! Je me demande si ceux qui ont participé à cette joute se rendent bien compte du désintérêt absolu du peuple à l'égard de ces péripéties picrocholines.
Plus sérieusement, quand le président de la République s'est emparé du crime de Pornic, il a affirmé que lutter contre la récidive était le seul moyen de faire pièce au Front national (Le Figaro). On peut en discuter. En 2007, on l'a asséché. En 2011, ne lui redonne-t-on pas vigueur en venant sur son territoire, fût-ce pour le dénoncer ? Ce qui est sûr en revanche, c'est que Rantanplan est une catastrophe sur ce plan. Les digressions dérisoires et grotesques que la République s'octroie comme pour se divertir font le lit d'une frange de plus en plus importante de la communauté nationale qui, méprisant les partis, moquant la politique et les "politiciens", est ouverte à toutes les dissidences pourvu qu'elles ne soient pas gangrenées par la légalité républicaine.
Rantanplan, c'est la distraction d'un univers qui ne sait plus où donner de la tête, un monde qui s'occupe de très peu ici parce qu'il est impuissant par ailleurs.
@Zenblabis !
Quand même !!
Oups !
Y'a un posteur signant "Zenblabla" (un dont j'ignore tout de l'AOC) qui a écrit le 30 à 14h07 à propos de Rantanplan...
A 14h07 je mitonnais un chili con poulet pour en livrer une portion à ma fille, et j'avais autre chose à penser que bloguer.
Zenblabis, votre faux post est bien imité par la forme mais il n'y a, il faut bien le constater, aucunes références communes dans le fond avec ma sauce.
Ce post de 14h07 est un postiche.
Même si étant la forme le fond qui remonte, faut pas usurper les pseudo-identités quand le fond est plein de trous, pourquoi ?
Parce que c'est pas si facile... mais déjà bravo !
Zenblabis vous devez tâter en informatique... alors faites-moi plaisir, signez Zenblabis si avenir il y a...
Rédigé par : zenblabla | 31 octobre 2015 à 01:12
Y'avait bien un ministère du Plan, dans le temps.
Une formule un peu démodée des années 80 ne s'interrompait plus en ces temps-là : "arrêtons de..."
Nos politiciens marqueraient-ils l'arrêt, à la longue?
Cela promet !
35 ans de statu quo en "rantanplanitude" c'est gagner des fleurs en concours de villages fleuris, voire en concours d'euro-métropoles encastillées, mais c'est obtenir des zébra en peintures de guerre sur routes et trottoirs, car c'est tout ce qui nous intéresse, tout cela sans décompter les feux !
Y'a quand même des niches qui font rêver !
On a eu :
un attentat, un accident d'avion, un accident de car, mais on attend un nouveau déraillement qui dirait qui de la SNCF ou du Rff s'est endormi.
Comment entrevoir et entendre les gueules cassées de la politique, si on ne voit que pensionnés de très divergentes causes ?
C'est pas un vague chien parmi une bande d'alcoolos qui va nous dérouter !
Faut continuer !
Rédigé par : zenblabla | 31 octobre 2015 à 00:21
"Rantanplan, c'est la distraction d'un univers qui ne sait plus où donner de la tête, un monde qui s'occupe de très peu ici parce qu'il est impuissant par ailleurs."
Qui est Christian Jacob ?
Rédigé par : Duval uzan | 30 octobre 2015 à 22:48
"Il y a tous les drames sociaux, les misères et les tragédies au quotidien, le désespoir de beaucoup qui ont du mal à joindre "les deux bouts" et supportent de plus en plus mal leur infortune quand l'argent crève l'écran de notre République, quand ostensiblement la France qui possède et abuse oublie l'autre et que le pays se retrouve cassé en deux. Vous croyez qu'il y a là de quoi se révolter ?"
PB
Stéphane si tu continues à pirater le blog de notre Philou, il va t'en cuite - cuire, pardon - jusque souler Hessel !
SH sort de ce corps (12 à vue de nez, et en une sorte de Verdana) !
AO
Rédigé par : oursivi | 01 février 2011 à 17:17
Mais qui est Jolly Jumper ?
Rédigé par : Jean-Dominique Reffait | 30 janvier 2011 à 21:17
On songe à un truc qui commencerait par ici et finirait par "la", mais commencerait pas par ici car...
Si Joe l'apprend, on est bon pour demander l'asile machisto-politique à l'Arabie (c'est où dites, c'est là, mec).
AO
Rédigé par : [email protected] | 01 février 2011 à 16:45
Crack j'y cache, lui siérait assez, kit à (presque) anagrammer.
Que n'ATON (comme ils disent en Egypte) dit, ouï et lu sur le contenu des municipaux puis présidentiels naseaux.
De quoi décoller mieux qu'à la Nasa.
Mais peut-être tout cela n'était que poudre aux yeux, ceci écrit pour prendre de l'altitude et ne rester au niveau de la paille dont l'évocation est un peu vache.
En tout cas sa marionnette nous aura beaucoup fait rire, quelque rembourrage que puisse être ce qui lui donna vie.
On connaît la réponse de Cendrars sur la non importance de la réalité de ses voyages, pourvu que lui nous ait fait voyager ; là, cet homme aura su inspirer à de brillants railleurs une marionnette déjà plus vraie que lui, ce n'est pas banal, déjà.
Longue vie au marionnettiste*, donc.
AO
*salut DG
Rédigé par : oursivi | 01 février 2011 à 16:39
J'ignorais totalement cette histoire assez grotesque. Il faut dire qu'il ne me semble pas qu'elle ait fait la une des médias. Peut-être a-t-elle agité un peu le milieu politique mais sans le déborder. Y avait-il réellement matière à un billet sur ce blog?
Rédigé par : Erchinoald | 01 février 2011 à 11:12
J'apprends ce haut fait en vous lisant.
Nous avions déjà un motodidacte en la personne de C. Estrosi.
Nous voilà avec un Rantanplan ... ou bien cela vise sa vivacité d'esprit ou son âge comme le décrit la chanson ci-dessous, dans les deux cas, c'est désobligeant.
Estrosi peut se parer de son motodidacte,
Christian Jacob devra faire oublier Rantanplan.
Si au moins Fillon, l'avait traité de veau .. ou de quart de brie, il aurait pu faire contre mauvaise fortune, bon coeur !
A Paris y a une vieille ouais ! (x2)
Qui a plus d'quatre vingts ans
Ran tan plan la vieille
Qui a plus d'quatre vingt ans
Ran tan plan !
Rédigé par : Hermione | 31 janvier 2011 à 18:12
@ J.-D. Reffait
Mais il est identifié !
Il s'agit de Jolly Fillon Jumper, celui qui d'une ruade va virer ce qui se croit en mesure de pouvoir un jour apparaître comme étant son cavalier.
Rédigé par : GL | 31 janvier 2011 à 14:25
Cette pseudo-affaire n'est que "roupie de sansonnet" pour le quidam "lamba". Mais nos politiques ont un ego hypertrophié ; ils ont l'art de donner de l'importance à ce qui n'en a pas, autre façon pour eux de se donner de l'importance. C'est aussi un biais pour détourner au moins momentanément l'attention des vrais enjeux. Mais il leur manque la marotte et les grelots pour être de vrais bouffons.
Si le ridicule ne tue pas, il ne sait pas non plus dégonfler la baudruche de l'égocentrisme.
Rédigé par : Domi | 31 janvier 2011 à 14:22
Vous avez mille fois raison !
Faute de grive on mange des merles, et comme nos politiciens parlent au lieu d'agir, on glose sur ce qu'ils disent !
Triste décadence.
Dans le même genre, de l'autre côté, le débat de fond sur "Elle est un peu impatiente, la Ségolène" ou "Elle est un peu impatiente là, Ségolène" me transporte dans les sommets. A droite comme à gauche la décrépitude s'affiche avec impudeur.
Rédigé par : Jiel | 31 janvier 2011 à 14:22
@ Jean-Dominique Reffait
Jolly Jumper ? Ce pourrait être Henry Guaino. Mais pour cela il faudrait que Sarkozy soit Lucky Luke, c’est vrai. Or il faut avouer que le rôle de Joe Dalton lui sied mieux.
Jolly Guaino Jumper ne quitte pas son maître d'une semelle. il accourt quand celui-ci est en difficulté afin de le tirer du mauvais pas dans lequel il s’est mis.
Il le conseille avant chacune de ses actions délicates. Je ne serais même pas étonné si c’était lui qui lui écrit ses discours...
Rédigé par : Achille | 31 janvier 2011 à 09:49
Bonjour,
Notre cher Président qui parle d'intégrité a dans son gouvernement DES ministres condamnés par la justice. Idem pour les députés et sénateurs, alors...
Même le délégué interministériel à la sécurité (Préfet Blanchou) à été condamné en 2010 pour mise en danger de la vie d'autrui avec un accrochage sur la route et un délit de fuite. A l'audience son avocate a déclaré qu'il y avait JUSTE eu une tentative d'intimidation de la part du Préfet !
Nous vivons dans un pays où la justice est manipulée par certains et les preuves ne manquent pas.
Rédigé par : David | 31 janvier 2011 à 07:59
Rantanplan !
Et dans la version espagnole avec l'anagramme de ce nom de chien célèbre :
-no plantaran tonteria-.
Rédigé par : calamity jane | 31 janvier 2011 à 07:08
Il n'y a pas de quoi en faire un opéra !
http://www.youtube.com/watch?v=Bh4LN605T0k
Rédigé par : Tendance | 31 janvier 2011 à 01:10
Rantanplan, c'est le chien fin limier qui devrait aider Lucky Luke à faire régner la justice mais qui est tellement stupide qu'il croit que Joe Dalton est son maître.

Ce qualificatif est plutôt pour MAM !
Rédigé par : Alex paulista | 31 janvier 2011 à 00:06
L'apparition de Rantanplan dans le champ politique est évidemment un fait majeur que vous avez tort de railler. Parce que Rantanplan suit Lucky Copé Luke à la semelle en pourchassant les Dalton encore évadés. Le petit Joe Sarkozy Dalton, irascible, excité comme une puce peut difficilement compter sur le secours de Willam Hortefeux Dalton, qui dégaine son taser trop vite et à mauvais escient, ni sur Jack Bertrand Dalton, apathique et toujours prêt à transiger. Quant à Averell Alliot-Marie Dalton, il s'est encore fourré dans un magnifique bourbier de sa propre fabrication. La seule vraie question qui doit se poser aujourd'hui, déterminante, fondatrice, propre à éclairer d'une nouvelle lumière l'issue de cette folle cavale du quatuor maudit avant qu'il ait pu ravager France City, la question qui surpasse de très loin les billevesées du G20, les foutaises des révolutions arabes, les faridondaines sociales et économiques, the ultimate question is : Mais qui est Jolly Jumper ?
Rédigé par : Jean-Dominique Reffait | 30 janvier 2011 à 21:17
« Rapataplan » ou Ra pa ta plan, onomatopée de 4 syllabes qui rappelle la rythmique du tambour accompagnant les chants de marche cadencée (comme le chant de 3 jeunes tambours bien connu, cité par C. Jacob). Rapataplan n’a bien sûr aucun rapport avec le nom du chien de Lucky Luke, Rantanplan (3 syllabes), animal pépère et maladroit, l’inverse de Rintintin, berger allemand particulièrement intelligent et habile, dont Goscinny s’est sans doute inspiré pour créer sa propre BD avec des animaux complètement décalés cette fois, un chien stupide et un cheval surdoué.
---
Par ailleurs, quand on a côtoyé un temps le milieu politique (ce qui est mon cas) on sait que les petites rosseries, même entre « amis » ou militants du même parti, sont légion et font partie du paysage, mais d’habitude ce sont plutôt « des noms d’oiseaux » que l’on s’envoie !
Pas de quoi « fouetter un chat », ni « casser trois pattes à un canard » (surtout enchaîné et manifestement en manque d'inspiration) !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 30 janvier 2011 à 21:15
Bravo Philippe. Mille fois bravo.
Politiques de toutes tendances, médias d'informations de tout genre, tout ce joli monde nous fait perdre un temps fou.
Peut-être que je me trompe, mais n’êtes-vous pas, vous-même, un amoureux passionné de l'analyse du futile ? oder ?
PS : Bravo aux handballeurs français pour leur jolie victoire et pour leur bilinguisme quand la télévision allemande les questionne !
Cela me change de certains sportifs... (sans parler des valeurs qu'ils véhiculent)
Rédigé par : jpledun | 30 janvier 2011 à 21:02
« Christian Jacob, président du groupe parlementaire UMP, a été traité de Rantanplan (jdd.fr, nouvelobs.com). »
Mais que signifie ce qualificatif?
D'après Littré : Le mot rantanplan n'a pu être trouvé dans l'index.
D'après plusieurs autres dictionnaires en ligne :
« Rantanplan ou rataplan : Onomatopée qui imite le roulement d'un tambour. »
Que voici donc une définition qui n'est pas sans évoquer la chanson intitulée
*TROIS JEUNES TAMBOURS, chanson qui appartient au corpus des chansons enfantines de France. Elle dit:
1er couplet :
« Trois jeunes tambours s'en revenaient de guerre (bis)
Et ri et ran, rapataplan, s'en revenaient de guerre
2ème couplet :
Le plus jeune a dans sa bouche une rose (bis)
Et ri et ran, rapataplan, dans sa bouche une rose
[....]
12ème couplet
Joli tambour, je te donne ma fille (bis)
Et ri et ran, rapataplan, je te donne ma fille
13ème couplet
Sire le Roi, je vous en remercie (bis)
Et ri et ran, rapataplan, je vous en remercie
14ème et dernier couplet :
Dans mon pays, y en a de plus jolies (bis)
Et ri et ran, rapataplan, y en a de plus jolies »
Cette chanson date d'un des moments les plus marquants de la guerre contre l'Autriche (alliée à l'Angleterre) qui dura huit ans : la bataille de Fontenoy, le 11 mai 1745.
Les fantassins français marchèrent au combat précédés de trois jeunes tambours, avant que le comte d'Anterroches ne prononce à l'adresse de Lord Charles Hay et de ses troupes son célèbre «Messieurs les Anglais, tirez les premiers ». - Ainsi est-il indiqué sur le site qui donne le texte intégral de la chanson ICI.
Comme Monsieur Fillon n'a plus de fille à marier et puis aussi ce n'est pas lui le roi, je me demande s'il n'a pas plutôt voulu dire « plan-plan » qui est un adverbe d'un emploi familier dans le sens de : « "Peinardement", tranquillement, sans se presser. » , par ex. comme dans « Et, et, Zorro est arrivé. Sans s'presser. Le grand Zorro, le beau Zorro Avec son ch'val et son grand chapeau. » - Or donc, vous avez raison, on ne va pas faire tout un fromage de ce que monsieur Fillon se soit trompé de chanson.
Or donc, «Chansons que tout cela. »
Ainsi réplique dans « L'école des maris », SGANARELLE à ARISTE qui, parlant du sexe féminin, vient de dire :
« vers 165: Leur sexe aime à jouir d'un peu de liberté,
On le retient fort mal par tant d'austérité,
Et les soins défiants, les verrous, et les grilles,
Ne font pas la vertu des femmes, ni des filles,
C'est l'honneur qui les doit tenir dans le devoir Etc. » - Molière, 1661-
Plutôt que de se vexer en s'entendant comme comparé « au chien plus bête que son ombre », mais qui bénéficie cependant de quelques « crises d'intelligence » fort utiles à Lucky Luke, «Tout le monde ne peut pas être aussi intelligent que Chirac! » - « Je ne me paie pas de chansons et encore moins d'effets d'annonce: « Rapataplan! » aurait donc pour sa part avec un peu de sagesse, pu se contenter de répliquer au premier des ministres celui qui, en son temps, déclinât l'offre, non point d'une fille à marier mais d'un maroquin...!
Rédigé par : Catherine JACOB | 30 janvier 2011 à 14:42
Zut alors !
Relooker NS en John Wayne, un superbe story-board pour un Super-think-tank.
Nous voulons un IT-Président !
Vous avez quelque part raison :
Faut-il un M. Mélenchon pour mettre le feu en quelques fesses pour que la gauche, dont c'est le rôle, convienne enfin démasquer un programme ?
Faut-il que le manque de confiance soit si fort, pour qu'il s'imagine devoir être présenté seulement ficelé ce programme, à date convenu de l'échéance, sans débat public en regard de l'actuelle situation ?
Rédigé par : zenblabla | 30 janvier 2011 à 14:07
Bonjour Philippe Bilger,
Comment ça François Fillon aurait traité Christian Jacob de Rantanplan ? Bon il est vrai qu’il a fait fort ces derniers temps. Sans doute l’exaltation d’avoir été nommé à la place de J-F Copé.
Entre nous, je me demande qui Fillon pourrait appeler Joe Dalton. J’ai bien une petite idée, mais je préfère m’abstenir...
Ceci étant il est vrai que ces petits enfantillages entre nos politiques sont bien ridicules si l’on songe aux vrais problèmes auxquels la France doit faire face et que vous avez parfaitement évoqués.
Parfois on peut se demander s’il y a un pilote dans l’avion France ou si, un peu comme en Belgique, on est sur pilote automatique.
Heureusement que nos différentes institutions et administrations sont menées par des professionnels qui connaissent leur métier et assurent les affaires courantes.
Rédigé par : Achille | 30 janvier 2011 à 13:29
Ce fameux Rantanplan, il paraît même qu'il a une peur bleue du chat de Ma Dalton !
Alors comme disait JC "ça m'en touche une sans faire bouger l'autre".
C'était la petite fantaisie du jour dans ce monde de brutes.
Rédigé par : Jabiru | 30 janvier 2011 à 13:13
Pourquoi les guillemets entourant politiciens ?
Rédigé par : bob | 30 janvier 2011 à 12:56