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07 juillet 2011

Commentaires

Catherine JACOB@Véronique Raffeneau

@Véronique Raffeneau | 10 juillet 2011 à 06:49
"Mais vraiment, je trouverais dommage que vos lecteurs en soient privés."

C'eût été dommage en effet que nous eussions été tenus dans l'ignorance d'un tel morceau de bravoure. Je lève mon verre à l’humour du Siège...

Véronique Raffeneau

Philippe, je ne sais pas où insérer ce grand morceau d'écriture judiciaire. Mais vraiment, je trouverais dommage que vos lecteurs en soient privés.

http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/emmanuel-berretta/quand-la-justice-fait-de-l-humour-avec-secret-story-06-07-2011-1349776_52.php

J'adore par exemple ceci:

" Ce qui atteste qu'aucune des deux parties n'est rancunière. Le juge ne l'est pas plus à l'égard d'entre elles, mais il a un exigeant métier qui le retient quelquefois à de plus amples tâches. "

Je ne sais pas qui est ce juge Boyer. Clairement, quand un magistrat sait écrire avec talent, selon la formule consacrée par la télé réalité, c'est que du bohneur !

Yves abram

Comparer Banier à un cancrelat serait désobligeant pour le cancrelat. Restons-en là.

Véronique Raffeneau

@ Cactus

Je suis "séverte".

Contre qui, cher Cactus ?

Même pas contre François-Marie Banier : je considère que la décision de poursuite ou de classement sans suite ne relève que du Parquet.

En l'occurrence, je pense que oui, il est incompréhensible que la plainte de FMB ait trouvé un écho favorable dans l'esprit d'un procureur et/ou de celui de son substitut. Je ne vous parle même pas de la quantité faramineuse de plaintes déposées qui sont classées sans suite tous les jours dans les tribunaux .

Si vous lisez l'ensemble des commentaires, tous sont dirigés essentiellement contre la plainte à l'initiative de FMB.

Je pense juste que celui ou celle qui a manqué le plus gravement de discernement, de pondération, de sens de la nuance, d'équilibre et de proportionnalité est précisément celui ou celle qui possède la prérogative et le pouvoir d'évaluer de l'opportunité des poursuites.

Quant aux réquisitions de placement en détention provisoire à l'encontre des jeunes gens à l'origine des fuites sur Internet, il faut sacrément, c'est mon avis, n'avoir aucun amour-propre professionnel, pour accéder ainsi d'un coup d'un seul à la pression ministérielle, et/ou il faut sacrément ne rien comprendre à "l'opinion" pour imaginer d'une part que celle-ci réclamait pour ces suspects, paraît-il, une détention provisoire, alors que ceux qui sont condamnés pour de vrai à des peines d'emprisonnement en sont de toute façon exonérés (loi pénitentiaire de 2009).

Je mentionne le terme d'opinion publique car les avocats des jeunes gens ont interprété les réquisitions du parquet comme un gage donné... à l'opinion publique.

Le parquet ne défend ni des intérêts privés, ni les intérêts de l'exécutif, ni ceux de l'opinion publique qui n'est jamais que l’expression de l’opinion médiatique dominante du moment.

Le Parquet est censé défendre l’intérêt social.

Dans le cas de la plainte Banier et celui des jeunes gens poursuivis à juste titre, l’intérêt de la société, par la voix et l'action du parquet, n’est pas de sacrifier encore plus le très peu de considération ce qui lui reste au regard des décisions de la justice et de leur impérieuse nécessité d'équité, de crédibilité et de cohérence.

Par ailleurs, l'intérêt prioritaire de la société est d'une part que le politique résolve, enfin, la question de la précarité, de l'autre qu'il mette en place, enfin, un outil Education nationale en état de fonctionner normalement avec, par exemple, des examens qui valident pour de vrai un réel niveau de connaissance et de maîtrise des fondamentaux.


Cactus@Dame Véronique

Vous étiez moins "séverte" (pour parler comme mes meilleurs élèves) avant, je trouve, non ? Sissi !

Xavier Nebout

Il n'y a rien à ajouter à l'excellence.

Frank THOMAS

Cet homme-là cumule tant de traits antipathiques, il est si radicalement impossible de le plaindre, il se fourre dans des situations si grotesques que je me dis qu'il ne peut pas être entièrement mauvais.

Jean-Paul Ledun

Pourquoi Banier n'a-t-il pas été mis en garde á vue pour atteinte á la dignité humaine ?

Le droit á l'image est en France très contraignant. Michel a tous les droits. Qu'il s'en serve.

Qu’attendent les vedettes du Barreau pour s’occuper de ce Monsieur ? En voilà un belle vraie cause.
Bon, cela paye moins en termes d’image que de s'occuper de la Banon ou de Tron, mais quand même…

Benjamin

Photographe, Banier?

Ça se saurait, en plus. Un photographe professionnel, comme il se définit, vit du produit de ses ventes.

Combien a-t-t-il vendu de clichés autrement que par l'entremise de sa vieille amie, lors d'expositions dont elle a financé l'organisation? Même là, c'est très peu.

Photographe n'est pas synonyme de parasite.

Un Michel qui est une figure locale (je ne suis pas non plus fasciné par "l'heureux clochard", qui est un mythe pour tous ceux qui connaissent un peu la question) est, en faisant sourire quelques centaines de gens chaque jour, infiniment plus utile au monde qu'un FM Banier.

Véronique Raffeneau

"A mon sens, avant même ce retrait, en pesant à la fois le ridicule de l'un et la misère de l'autre, on aurait dû classer l'affaire."

Absolument.

Ce qui est totalement incompréhensible est le fait qu'un procureur ait jugé opportun d'engager la puissance de l'action publique à l'encontre de ce monsieur, lequel a certes giflé un photographe mondain - d'accord, ce n'est pas bien - mais qui, cependant, en retour a vu déferler sur lui en un rien de temps toute la violence de la panoplie de la puissance publique: arrestation, commissariat, garde à vue.

Alors que l'altercation, à son origine, c'est en tout premier lieu la dignité et la liberté de dire non d'un homme, qui plus est en position de vulnérabilité sociale, bafouées et volées.

Comme si la vulnérabilité et la dignité, sans doute follement pittoresques aux yeux du photographe mondain, appartenaient de fait, sans discussion et débat, comme allant de soi, à la violence et à la vulgarité de son appareil photo.

Je sais bien que dans l’esprit du substitut ce genre de nuances ne compte pas. Qu'il lui faut cocher les cases de son formulaire à toute vitesse.

Mais bon, en même temps, le substitut n'ignorait sans doute pas qui est le plaignant, et surtout de quels appuis celui-ci dispose et bénéficie...

Je serais vraiment curieuse de connaître les motivations que le procureur a cochées ce jour-là dans son formulaire pour classer sans suite telle et telle plainte et/ou telle et telle infraction qui lui ont été adressées par les services de police.

Cette affaire microscopique a eu lieu, à en lire la presse, le samedi 2 juillet.

Je dois dire que vos collègues parquetiers se sont brillamment illustrés ce jour-là.

Rappelez-vous, Philippe, c'est le même jour que vos collègues sans doute pris d'insolation ont requis une mesure de détention provisoire à l'encontre des jeunes gens à l’origine des fuites d’un sujet de baccalauréat sur Internet.

Je ne suis pas en train de vous dire que ces jeunes gens ne doivent pas être poursuivis avec sévérité. Ils doivent évidemment l’être.

Mais enfin, requérir de la détention provisoire... voilà l’illustration du sens de la nuance, de l'équilibre et de la proportionnalité des décisions à l’initiative du Parquet de Paris ce jour-là...

Grande journée de compétition donc, ce samedi-là, pour le trophée du ridicule, du vain et de la complaisance vis-à-vis des mondains et des ministres de l'Education dans votre Palais de justice. Vous ne pensez pas ?

Pierre Verhas

L'arrogance plus le mépris de tout qui n'est pas de "sa" condition est une caractéristique de ce salaud représentant bien les parasites de notre "élite".

Il a reçu une gifle. Bientôt l'automne : qu'il reçoive un paquet de châtaignes !

Il y a des violences qui sont vraiment indispensables.

Christian C

Comment ferions-nous pour réfléchir, comment choisirions-nous nos adversaires si l'avocat général ne nous pointait du doigt les responsables de tous nos maux?

Banier, Sophia Aram, Caroline Fourest, des "délinquants mineurs" de Champigny-sur-Marne, les allumés de la Gay Pride, Roschdy Zem...

Ah, vraiment, le monde tournerait plus rond sans ces petits cons...

Merci, Monsieur l'avocat général.

Jerome Nadau

Le Sénat a décidé d’attribuer fin juin une prime exceptionnelle de 3.531,61 euros aux sénateurs.

http://www.liberation.fr/politiques/01012347304-les-senateurs-se-votent-une-prime-de-3500-euros

Indécent écriviez-vous?

christian dulcy

Je croyais, cher Philippe, qu'il existait en France un droit à l'image...

"Michel" ne pourrait-il pas réclamer un dédommagement pour ces photos prises sans son autorisation ?

Compte tenu des modestes moyens du triste sire Banier, une équitable compensation financière pourrait améliorer le quotidien du SDF maltraité.

Pierre-Antoine

Bannier/DSK, même combat !
Celui du sentiment d'impunité du puissant et du riche (heureusement pas chez tous) contre ce qui n'existe pas plus qu'un objet à disposition dans la rue ou une chambre d'hôtel.

Je trouve la gifle du SDF porteuse de leçon : "Dans ma misère tu aurais pu me tendre la main, alors voilà la mienne dans ta richesse"

Mais il y a peut-être pire à venir... si la justice se salit les mains en poursuivant ce SDF.

Cordialement

Pierre-Antoine

sbriglia

- Ote-toi de mon soleil !
- Un contre-jour, alors ? j'adore !
- Pas de contre-jour, ni d'autre jour, fous le camp !
- Monsieur, soyez poli, c'est pour la postérité !
- Postérieur ou pas, fous le camp !
- Je vous promets, têtu, votre photo dans Têtu !
- T'es-tu regardé c...rd ?
- Sache, l'ami, que le Leica de Banier est comme le crayon de Picasso !
- Pique à seaux !

oursivi

Rédigé par : Catherine JACOB | 07 juillet 2011 à 10:31

Jusqu'au chapeau...

Bravo !

AO

PS et c'est de "ceux-là" qui "distraient" coûteusement nos pauvres milliardaires... il faut remplacer le bouclier fiscal par un bouclier fécal et distribuer des pinces à linge à la volée (dans tous les sens du terme).

Achille

Bonjour Philippe Bilger,

« Le Banier et le clochard »

Ce titre ressemble à une fable de La Fontaine.

Reste à lui trouver une morale. Je verrais bien un truc du genre : la dignité d’un clochard est parfois bien supérieure à celle d’un petit marquis poudré.

Cette leçon méritait bien une baffe, sans doute.

Philippe (un autre)

Votre conclusion (triste sire) me semble un euphémisme bien "politiquement correct".

Pauvre #§@ me semble mieux approprié !

Josiane Lacombe Minguell

Merci Monsieur, je lis votre blog et vos analyses me réconfortent, il y a encore des esprits au travail dans le pays de Voltaire et de Victor Hugo...

Rascar Capac

Le calembour a déjà été fait, mais avec l’affaire Bettencourt, on touche le fond du Banier. Mais c’est dans le fond du Banier qu’on trouve une certaine vérité de la condition humaine et de la violence (feutrée) des échanges en milieu tempéré.

J’avais déjà lu cette histoire de Banier sortant de son hôtel de maître, rue Servandoni, enfourchant sa Vespa pour aller photographier les mendiants de Paris. C’est beau l’art…

Ce n’est pas seulement Banier mais ce sont toutes les mouches à m.... qui voltigent autour du fric de la vieille Bettencourt qui mériteraient de figurer dans un roman. On songe notamment à Pascal Wilhelm qui cumule à la fois les fonctions de mandataire des biens de Liliane Bettencourt et de conseil de Stéphane Courbit, le patron d’Endemol France responsable de la plupart des reality-shows ayant sévi sur TF1 et qui se lance désormais dans de nouvelles et belles aventures comme le poker en ligne (d’où son besoin d’argent frais).

Hélas, nous n’avons plus de Balzac et même pas un Tom Wolfe pour nous raconter tout ça… Nous n’avons que des Jean-Marc Roberts…

Alex paulista

La misère n'est pas du côté que l'on croit.

Jean-Dominique Reffait

J'ai lu ça. Ecoeurant en effet, d'un bout à l'autre de la scène. Tout semble désagréable chez ce type.

nicolas

Cher Philippe

à la différence de ce SDF, grâce à vous FM Banier est au moins habillé pour l'hiver !

Mary Preud'homme

La Reine de Brau

Un visage si grand et des yeux qui dévorent,
Pauvre femme couchée sur des chiffons tout gris,
Ta maison de carton de nature et d’oubli
Où s’infiltraient le vent et l’inlassable pluie…
On t’appelait la reine et tenait pour folie
Ton humeur tourmentée qui chantonnait tout haut
Quelque stance vieillie
Errant dans la forêt près du lieu-dit « le Brau »
Dans le mystère épais des soirs de nostalgie
Je retrouve parfois intacte ta vision
Et crois revoir bruissantes les ombres du passé
S’inclinant dérisoires devant ta majesté…

Je ne sais plus ton nom ni quel destin cruel
T’avait conduite ici
Et ce titre royal affublant ta misère
Qui te l’avait jeté ?
Un jour de mon enfance étais passée par là
La tête pleine de contes
Croyant trouver en toi la duchesse ou la fée
Voire même Cendrillon
Attendant patiemment quelque prince égaré !
Et t’avais aperçue sinistre, abandonnée
Femme seule échouée dans la boue et la nuit
D’une pauvre masure de bois et de torchis…
Insolite taudis où s’empilaient épars
Des boîtes de carton débordant de photos
De vêtements fripés, de livres, de journaux,
A même le sol brut quelques disques étalés
Près d’un phono barbare avec son pavillon..
Instrument inutile et curieux ornement
Tout comme ce chapeau posé sur un divan,
Somptueuse relique de tes fastes d’antan,
La grâce omniprésente à ton corps de souillon !
Sur l’altar dérisoire d’un tronc reconverti
L’image torturante d’un couple souriant,
Toi sans doute avec Lui ?
Souvenir de diamant,
Bel officier fringant tombé près de Granville
Et toi perdue depuis,
De grands cernes tissés en toile d’insomnie
Sous tes yeux qui veillaient hagards de tragédie

J’allais m’en retourner quand ton regard levé
Sur mes craintes d’enfant et ma curiosité
Me parla ce jour-là plus vrai que de raison
Si jeune cependant j’ai entendu ton cri
Et d’un élan très pur suis allée jusqu’à toi
Furtivement poser sur ta joue un baiser…

Je ne sais plus ton nom
Paria sevrée d’amour
Veuve à la peau transie
Enfant née du hasard ou fiancée trahie,
Mais je te reconnais souvent parmi les foules
Et revis chaque fois cet impérieux besoin
De prendre simplement ces mains abandonnées
Pour faire avec amour quelque bout de chemin
Tandis qu’inéluctable un appel souverain
M’entraîne inexorable aux bas-fonds de l’humain !

Mary Preud’homme (la Reine de Brau, inédit, 1989)

Matringe

Le Procureur a déjà décidé de poursuivre? Ou bien l'enquête est en cours, avec la possibilité que le procureur décide de classer l'affaire faisant ainsi une heureuse application du principe de l'opportunité des poursuites?
Je remarque aussi que ce M. Banier se met quand même en situation de se faire malmener. Ne voulait-il pas également photographier les manifestants contre la réforme de retraite sans comprendre semble-t-il que sa présence pouvait susciter des réactions exacerbées pour ne pas dire lanternesques.

masquezBANIER

La gesticulation maniérée du triste sire n'avait d'autre but que de faire parler de lui : il peut vous remercier, puisque vous n'aviez pas d'autre "sujet" que ce sire qui préfère le mépris exprimé qui fait exister son nom au silence de l'indifférence tombale.

Jerome Nadau

Bonjour Monsieur,

Le fait démontre ce qu'est cet homme. Vous l'avez fort justement diagnostiqué: un parasite indécent.

Il n'est malheureusement pas le seul. Citons entre autres les augmentations de salaires indécentes, les sénateurs qui mentent, les députés absents, longue théorie de talents dont on attendrait la démonstration de l'exemplarité plutôt que la promotion de morales douteuses.

Cordialement.

Catherine JACOB

"Il paraît qu'il a beaucoup de séduction. Elle doit être bien cachée.
C'est un triste sire !
"

Triste Sire est le conseiller du Prince Jean dans Robin des Bois Je ne sais pas ce que vous en pensez mais il n'est pas sans un petit air de famille avec FMB.

calamity jane

Tiens, cela me donne une idée !
Des tee-shirts sur lesquels nous pourrons
imprimer le CV pour certains (en recherche
d'emploi), pour d'autres le rang social
(pour que les pauvres puissent faire la
courbette) le rang des diplômes (pour d'autres) afin que tous ceux qui portant
chapeau se découvrent et un spécial avec
un énorme trou noir pour la fraternité
française et les éventuels futurs travailleurs de force bénéficiaires du RSA !
Quoi ? personne ne veut m'aider ?
Pour les "tristes sires" il me faut réfléchir
davantage pour les faire fléchir !

Roche G

Bien d'accord avec vous, le procureur est aussi un triste sire, drôle de justice.

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