Au moment où j'écris ce billet, l'audience urgente où DSK devait comparaître a été tenue. Il est libéré sur parole, autorisé à quitter New York mais son passeport est conservé par les autorités. A lire et à entendre certaines informations, on pouvait supposer, après l'enquête approfondie sur la plaignante faisant apparaître des éléments nouveaux, que tout ou partie de l'accusation serait abandonnée et que les contraintes pesant sur la vie quotidienne de DSK seraient au moins allégées. C'est la dernière solution qui a été privilégiée même si une issue favorable sur le fond de l'affaire est annoncée par les avocats de DSK, d'autant plus que la plaignante a menti devant le Grand jury. Attendons la suite mais, s'il le faut, le moment venu, je ferai amende honorable pour mes interrogations, qu'on n'en doute pas.
Nicolas Hulot n'aura pas gagné contre Eva Joly. Certes il a commis une insigne maladresse avec sa référence à Jean-Louis Borloo mais tout de même ! Moins politicien que sa rivale, il a cru abusivement, et moi avec lui, qu'il l'emporterait précisément en raison de sa tolérance et de son ouverture alors qu'elles l'ont fait perdre. Tout ce qui est Vert risque de me demeurer étranger.
Article très bien informé apparemment de Franck Johannès dans Le Monde sur le "dernier ballet judiciaire avant 2012 pour la haute magistrature". Certaines perspectives donnent le frisson. Les mouvements envisagés donnent l'impression d'un jeu savant, d'un quadrillage politique qui semblent tenir pour secondaires les vertus objectives des professionnels mais pour essentielle leur aptitude à complaire, à obéir, à ne pas "créer de vagues". J'éprouve d'autant plus une inquiétude que par ailleurs la magistrature regorge de talents courageux et que par exemple les instructions menées par Marc Trévidic et Renaud Van Ruymbeke permettent de ne pas désespérer des valeurs sans lesquelles il vaut mieux s'engager sur une autre voie que la judiciaire. Le contraste entre ce qui menace et se prépare ici et ce qui vit, se bat et travaille là donne le vertige. L'ambition dans la soumission ou l'indépendance dans la défiance ? C'est une alternative qui n'est que trop familière à la Justice.
Enfin, le pire sur le plan de la surprise. Le président de la République a fait l'objet d'une agression alors qu'il effectuait une visite à Brax, dans le Lot-et-Garonne. Un homme de 32 ans a agrippé fortement Nicolas Sarkozy par le col de sa veste et l'a déséquilibré. Si le président, à juste titre, n'a pas surestimé l'importance de ce geste en décidant de ne pas déposer plainte, reste que sur le plan pénal cette violence est caractérisée et passible de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende. Le tribunal correctionnel d'Agen a condamné le prévenu à une peine de six mois avec sursis avec une obligation de soins durant trois ans. Cette décision, par son équilibre, a tenu compte de la personnalité troublée de l'auteur des faits et de la nature exceptionnelle de ceux-ci.
Cet acte me semble révélateur d'une tension rare dans l'espace public entre le chef de l'Etat et certains de ceux qui le côtoient. En l'espèce, l'agresseur est paraît-il un employé modèle au conservatoire municipal d'Agen mais son caractère, son tempérament solitaire, son profil psychologique, son opposition à la politique menée auraient pu constituer un mélange détonnant. Il n'y a rien de comparable, dans cette péripétie heureusement sans conséquence, avec la tentative d'assassinat de Maxime Brunerie sur le président Jacques Chirac. Ni avec les mots, les insultes, les menaces qui parfois ont émaillé les plongées de Nicolas Sarkozy dans la France profonde. Les médias, à mon sens, en n'insistant pas sur cette "première" et les conséquences politiques et sociologiques qu'on peut en tirer, commettent une erreur. Il s'agit d'une démarche d'hostilité ayant pris un tour physique et qui dans la quotidienneté se situe entre le verbal et le criminel. A ce titre, elle aurait mérité davantage que son insertion dans la rubrique des faits divers, sans analyse complémentaire si on excepte Le Parisien qui lui a consacré deux pages. Cet intérêt aurait dû aller bien au-delà de l'impuissance momentanée de la sécurité présidentielle.
On ne peut pas soutenir que la vie française soit "un long fleuve tranquille".
http://www.dailymotion.com/video/xir6wk_tristane-banon-dsk-et-agoravox-retour-sur-une-omerta-mediatique-interview-exclusive-realisee-par-ago_news
Dans cette vidéo de 2008, on relève
1° qu'au début puis vers la minute 14 ' il est question de FAITS DATANT DE 2001 ET NON PAS DE 2003 (oralement et dans le texte transcrit en bas d'écran) et ni Banon ni l'interviewer d'AgoraVox ne rectifient... alors quid de la prescription en 2011 ???
2° des éléments de "style littéraire" plutôt affligeants de la part d'une grande ECRIVAINE :
2a elle utilise POUSSIVE au lieu de POUSSEE dans l'expression "drague un peu poussive" !!! ...
grossière impropriété de langage pour une écrivaine...
2b elle dit "écrire ça me permettra d' EXULTER" ??? probablement au lieu de "expulser" ? là encore on est dans le pataquès et le galimatias... quel talent !!!
2c elle commet cette approximation pédante "talon de PRIAPE" à partir d'un cliché éculé "talon d' ACHILLE" ... décidément sa seule chance de succès littéraire résulterait plus du talent de son avocat que de la fulgurance de son expression à ce point faible qu'elle est assidue dans la pauvre incorrection...
Rédigé par : Henri Gibaud pour devoir de mémoire | 05 juillet 2011 à 22:50
Tristane Banon a trouvé un poste sur un site créé en février dernier pour "contrer la domination de gauche sur le web". Exemple :
Journée de la femme
Publié le 7 mars 2011 - Mis à jour le 8 mars 2011
Les hommes n'existent plus
A 31 ans, l'écrivain Tristane Banon regarde les hommes se "féminiser". Et reste célibataire.
(Elle écrit pour Atlantico essentiellement sur les jeunes dans le cadre de la rubrique "Jeunesse se passe".)
La mère est encore au PS mais la carrière de la fille à "atlantico" ne sera pas gênée par sa plainte de circonstance contre celui qui faisait trembler ses employeurs ...
http://www.atlantico.fr/atlantico-light/hommes-n-existent-plus-49995.html
On peut même se demander si son embauche à "atlantico" n'a pas été déterminée par ce qu'elle disait avoir vécu en 2003 ...
Rédigé par : Henri Gibaud avec EQUIVOCATOR | 05 juillet 2011 à 11:07
@ Mary
"J’aurais certainement réagi différemment si, dès le départ, il avait admis avoir eu une relation sexuelle avec ND, y compris en se cherchant des excuses minables comme le font pratiquement tous les abuseurs."
Mary, je ne fais pas la même lecture que vous de la chronologie DSK, et encore moins de la séquence que vous intitulez : "dès le départ".
Le 14 mai à 16 h40 (heure locale), Dominique Strauss-Kahn est arrêté à l'aéroport JFK. Il est suspecté d'agression sexuelle sur une employée de l'hôtel Sofitel à Manhattan.
Le 15 mai à 3 h du matin (heure locale), DSK est formellement accusé d'acte sexuel criminel, tentative de viol et séquestration. Il nie les faits.
Très honnêtement, contrairement à vous, j'ignore TOTALEMENT ce qui a été dit ou pas dit par DSK, "dès le départ", dans les locaux du commissariat de Harlem.
Le plus vraisemblable dans mon esprit est qu'il en ait dit le moins possible, voire rien du tout en relation avec les accusations dont il était l'objet, utilisant ainsi pleinement le droit au silence pour tout suspect et absolument reconnu dans le droit américain.
Bref, ceci... qui fait tellement rêver l'avocat Eolas :
"Vous avez le droit de garder le silence. Dans le cas contraire, tout ce que vous direz pourra et sera utilisé contre vous devant un tribunal. Vous avez le droit de consulter un avocat et d’avoir un avocat présent lors de l’interrogatoire. Si vous n’en avez pas les moyens, un avocat vous sera désigné d’office, et il ne vous en coûtera rien. Durant chaque interrogatoire, vous pourrez décider à n’importe quel moment d’exercer ces droits, de ne répondre à aucune question ou de ne faire aucune déposition."
"Vous semblez en effet oublier qu’au tout début de l’affaire, DSK avait commencé par tout nier en bloc, avant de reconnaître, preuves sous le nez, avoir eu une relation mais « consentie » avec sa victime présumée", dites-vous.
DSK a nié les faits. Qu'a-t-il nié ?
Eh bien, les accusations à son encontre, c'est-à-dire : l'acte sexuel criminel, la tentative de viol et la séquestration.
" ...avant de reconnaître, preuves sous le nez, avoir eu une relation mais « consentie » avec sa victime présumée."
En fait, voilà ce qui a été dit par Benjamin Brafman au cours de l'audience devant le juge Melissa Jackson :
"Les preuves de l’accusation ne permettront pas d’avérer une relation forcée".
Rédigé par : Véronique Raffeneau | 05 juillet 2011 à 08:28
Les plaignantes "font la queue".
Défense de rire.
Sans se bousculer, les filles.
Un cher maître affirme que sa cliente avait pris sa décision en juin "indépendamment" de ce qui vient d'arriver depuis le 30 ...
En fin juriste il aura certainement pris la précaution d'une déclaration devant huissier ou d'un pli recommandé à elle-même perçu mais non ouvert.
Le cas va avoir du mal à prospérer sur le critère de la spontanéité.
Espérons pour le cher maître qu'il a passé contrat prévoyant un % sur les rentrées économiques littéraires et autres de sa cliente car c'est bien ce qu'ils cherchent ensemble puisqu'ils perdront au pire aux assises.
Espérons que plutôt un non lieu arrivera vite pour avoir le plaisir de découvrir la :
SUIVANTE SVP !
Rédigé par : Henri Gibaud avec EMBUSCATOR | 04 juillet 2011 à 16:18
A Véronique R.
Si vous aviez l’honnêteté intellectuelle de citer mes propos et de les replacer dans leur contexte d’il y a 5 semaines, je vous répondrais sans aucun doute, mais ce n’est pas le cas. Vous semblez en effet oublier qu’au tout début de l’affaire, DSK avait commencé par tout nier en bloc, avant de reconnaître, preuves sous le nez, avoir eu une relation mais « consentie » avec sa victime présumée. De quoi faire bondir toute personne dotée d’un tant soit peu de bon sens et d’empathie. J’aurais certainement réagi différemment si, dès le départ, il avait admis avoir eu une relation sexuelle avec ND, y compris en se cherchant des excuses minables comme le font pratiquement tous les abuseurs. Permettez-moi donc de continuer à douter de l’innocence et de la version d’un type qui avait passé la moitié de la nuit avec une call-girl et se trouvait encore dans sa chambre à poil à midi pétante, alors que le check-out est dépassé et que sa fille l’attend (soi-disant) pour déjeuner.
J’ai pour ma part eu connaissance d’informations par le canal de Guinée news qui valent bien celles du New York Times qui ne fait que propager des rumeurs tout en finesse et insinuations perverses, contrairement au Washington Post et autres tabloïds plus lourdingues et populos qui semblent avoir vos faveurs, informations dont je ne fais pas état bien qu'elles soient favorables à la plaignante et apportent de précieux éclaircissements quant à son parcours.
Enfin, il me semble que vous n'avez aucune idée de ce que peut vivre une immigrée africaine, illettrée et ne parlant pas un mot d'anglais lorsqu'elle débarque aux States avec un gosse pour tout bagage et doit très vite gagner sa vie et conquérir le précieux sésame qui va lui permettre de gagner sa vie et de n'être pas refoulée au premier contrôle de police. Sans parler du racisme omniprésent partout, y compris dans les quartiers noirs où l'africain et le latino sont traités en parias. Ce genre de peur et d'angoisse de bête traquée, Madame, vous n'avez sans doute aucune idée de ce que ce qu'elle est. De même que courber l'échine devant les puissants jusqu'au jour où l'on se révolte quand la dernière goutte (de sperme ou d'autre chose) fait déborder le vase !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 juillet 2011 à 13:11
@Véronique Raffeneau
Vous touchez juste: le parquet français, au statut problématique, n'a jamais été une "partie" comme les autres et au cours des trente dernières années, cette singularité s'est accentuée tant il est devenu "porteur" d'une politique publique - la politique pénale - et donc un communicant de cette dernière.
Or, aussi noble que soit ce rôle, il n'est guère ou à tout le moins difficilement compatible avec celui de poursuite des "affaires individuelles"qui, s'inscrivant certes dans un contexte général, relève de la casuistique et appelle application à une espèce donnée, par définition singulière, des principes généraux de présomption d'innocence, de loyauté dans le recueil de preuves, matérielles ou testimoniales, de mesure dans l'application de la règle légale impersonnelle à l'espèce comme aux protagonistes de celle-ci.
La répression des atteintes sexuelles illustre bien la question. On est passé, depuis le début des années quatre-vingt, d'une prudence laxiste, confinant au scandale, à une sévérité quasi-aveugle, aussi choquante, fondée sur une sacralisation de la parole des plaignants, adultes ou non.
Le symbole, éculé peut-être mais si important, de la balance, de l'équilibre, de l'eurythmie même devrait présider aux débats judiciaires qui, encore une fois, appellent mesure, absence de passion, recul et ne sauraient être menés dans les médias dont le goût pour l'immédiateté, "le temps réel", le manichéisme est incompatible avec la Justice !
Le chemin à parcourir est long mais, je forme le vœu que les nouvelles générations sachent le suivre en s'abstenant de sombrer dans la simplification du complexe, celui des relations humaines, de la violence ou de la malignité pouvant malheureusement les caractériser.
Rédigé par : Jeanne | 04 juillet 2011 à 09:15
@ Rascar Capac
"le Bûcher des vanités"
Absolument, je l'avais lu (en français) au moment de sa publication en France (1987).
C'est là où on peut se rendre compte de l'apport considérable et de ce que permet la littérature.
Concernant Internet, je serais moins sévère que vous, et loin de là.
D'une part, les blogs sont très souvent une réelle alternative à une information médias insupportable souvent par son insignifiance, dupliquant, relayant et se confondant avec les communiqués façon attaché de presse des officines de communication aujourd'hui toutes-puissantes.
Par ailleurs, concernant le judiciaire, particulièrement l'affaire DSK et une multitude d'autres affaires surmédiatisées, l'information et les débats de qualité qui m'ont permis de prendre de la distance, eh bien je les ai principalement trouvés par l'intermédiaire des blogs ou dans des programmes médias traditionnels à portée plus confidentielle que les grossières machineries médiatiques habituelles.
Rédigé par : Véronique Raffeneau | 04 juillet 2011 à 08:13
@ Jeanne
Pour l’essentiel je suis naturellement d’accord avec vous.
Cependant, concernant les USA, les observateurs avertis de l'histoire et de la culture américaines vous opposeront ce que d'aucuns définissent comme une véritable religion d'Etat, à savoir la liberté d'expression (je ne sais plus où j'ai lu une analyse à ce sujet émanant d'un réel connaisseur du monde américain).
En France - en rapide -, tant que la justice et principalement le parquet, dont les prérogatives en matière d'enquête se sont considérablement accrues ces dernières années, ne seront pas authentiquement séparés du pouvoir et de la puissance de l'exécutif, des pouvoirs et des puissances médiatiques et des groupes de pression (le politique et le médiatique finissant par ne plus faire qu'un), il me semble particulièrement dangereux de renoncer à la présence et au contrôle d'une presse et de journalistes authentiquement professionnels et indépendants.
Cela concerne aussi bien des affaires médiatisées dites sensibles que des dossiers plus obscurs.
Par exemple, si je me réfère à l'affaire d'Outreau, une fois la folie et la sauvagerie médiatiques des premiers moments passées, médias qui se sont alors comportés comme le relais et les sous-traitants les plus inconditionnels des causes des groupes de pression politiques, associatifs, idéologiques etc., donc la presse ne s’est plus intéressée à ce dossier devenu ordinaire car tout compte fait, bah... il ne concernait que des personnes dites ordinaires.
C'est à la faveur de son absence - je redis l'absence d'une presse authentiquement professionnelle et indépendante, indépendante parce que précisément professionnelle ? - que l'administration d'une justice partiale et injuste, a eu, à mon avis, toutes les chances et toutes les opportunités de s'épanouir et de prospérer.
Ces dernières années nous avons pu observer comment l'action du judiciaire avait pu se confondre avec les revendications des groupes de pression militants, justifiant par exemple - affaire d'Outreau et autres - son refus de procéder à des débats contradictoires au moment de l'instruction, allant jusqu’à nier, dans ces affaires, le droit pour des inculpés à être confrontés à leurs accusateurs.
Enfin, concernant DSK, il est particulièrement insupportable de lire hier dans Le Monde, en même temps, un éditorial que pour ma part je trouve remarquable, et une reprise "en temps réel" de "révélations" du New York Post concernant ND, New York Post dont nous avions pu observer il y a à peine quelques jours le sens et l'exigence très particulière de son éthique et de son professionnalisme journalistiques...
@ Mary
Comme vous, si je suis assez mal à l’aise à la lecture des propos de Ludovic à l’encontre de ND, je dois cependant me pincer et me raisonner très fort pour ne pas vous renvoyer les propos accusateurs que vous teniez ici à l’encontre de DSK il y a quelques semaines.
Ces propos n’avaient pas grand-chose à envier à ceux alors déversés par le New York Post.
Rédigé par : Véronique Raffeneau | 04 juillet 2011 à 07:36
Les coupeuses du Barbier quotidien de Beau-marché laissent passer des textes "au poil" ! Voici un petit joyau :
"Pierre93
Sans en tirer de conclusions on peut toutefois noter qu'il se confirme qu'on vit dans un monde très petit où tout le monde se connaît ou connaît Alain BAUER -
- " Affaire DSK : Raymond Kelly, le chef du NYPD aime la France
Publié le 05-06-11 à 08:48
Le commissaire qui dirige la police de New York est l'une des figures les plus populaires de la ville. Il a été décoré de la Légion d’honneur par Nicolas Sarkozy.(...)Estimant, comme la plupart des Américains, que le gouvernement fédéral et le FBI n’ont pas su protéger le pays et déceler les signes avant coureurs des attaques, il décide de créer un service spécialisé dans la lutte antiterroriste au sein du NYPD. Il se tourne notamment vers le criminologue français Alain Bauer - l’un des conseillers de Nicolas Sarkozy en matière de sécurité - et en fait l’un de ses consultants en matière de terrorisme. (...)
Le 3/07/2011 à 18:56
"Mais de grâce ne licenciez pas l'employé(e) qui a stupidement raté de censurer ce fragment, pitié pour la plèbe !
Ce texte n'a pas fait allusion à la qualité de F:. ancien G:. M:. alors soyez indulgente envers la coupeuse malvoyante !
Rédigé par : Henri Gibaud avec DECASTRATOR | 04 juillet 2011 à 01:29
- Je rappelle à ceux qui à l’image d’un Ludovic en viennent à dresser un portrait diabolique de la plaignante à partir de quelques rumeurs, divagations de journalistes ou dénonciations calomnieuses, qu’ils seraient bien inspirés de relire ce qui s’écrivait ou se colportait au sujet de DSK, au tout début de l’affaire, dans ces mêmes journaux où ils trouvent aujourd‘hui leur pâture et de quoi alimenter leur hargne.
Personnellement, je n’ai retenu dans le document diffusé à l’issue de l’audience par le procureur Cyrus Vance Jr
que les seuls points qui sont reprochés à la plaignante et qui entachent sa crédibilité sont les suivants :
1) avoir menti concernant les conditions de sa demande d’asile en 2004,
2) avoir fait un récit approximatif d’un viol subi dans son pays d’origine en exposant les faits d’une manière différente de celle décrite lors du premier interrogatoire de police,
3) avoir menti concernant ce qui s’était passé immédiatement après l’agression, étant donné qu’elle aurait repris son travail de nettoyage, alors qu’elle avait déclaré s’être réfugiée dans un local technique où des collègues l’auraient trouvée prostrée.
Point barre.
----
Par ailleurs,
Sachant que ND ne parle couramment que le peul, s’exprime par conséquent dans un anglais extrêmement rudimentaire et se trouvait donc incapable, intellectuellement, de concevoir l’enjeu que constitue un interrogatoire policier, on peut comprendre qu’elle se soit fait tout simplement piéger en répondant approximativement ou en se contredisant. Des erreurs qu’il faudrait sans doute imputer à son premier avocat qui ne la comprenait pas et qui lui a sans doute soufflé des réponses toutes faites, alors qu’il aurait dû exiger qu’elle soit assistée durant tout interrogatoire par un traducteur.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 juillet 2011 à 00:52
Merci pour votre joyeuse référence à un des excellents ouvrages du regretté Frédéric Dard dont la couverture arborait malicieusement un panier d'oeufs. En retour empreint de gratitude soyez je l'espère ravi par cet aphorisme de Notre Maître :
"pour que le Meknès, il faut que le Salonique".
Très honoré de votre attention, grand SAVONAROLE si historique.
Rédigé par : Henri Gibaud au célèbre et authentique SAVONAROLE | 04 juillet 2011 à 00:46
“On domine plus facilement les peuples en excitant leurs passions qu'en s'occupant de leurs intérêts”.
Elle est très bonne cette citation, Jeanne, d’autant plus qu’elle est due à Le Bon (Gustave)… Disons que la différence entre l’époque de l’auteur de “La psychologie des foules” et la nôtre, réside dans la nature du “on”. De nos jours, à l’ère d’Internet, des blogs, des réseaux sociaux, depuis que chacun de nous se pique d’avoir une opinion sur à peu près n'importe quoi et à le faire savoir, “on” n’est plus tel ou tel régime politique, c’est chacun de nous…
L’affaire DSK et le déchaînement des passions qu’elle suscite ont été largement anticipés par Tom Wolfe dans son excellent roman “The Bonfire of Vanities” (à lire en anglais, la traduction française étant exécrable). L’essentiel y était déjà… sauf bien sûr, le tsunami des commentaires sur Internet.
Rédigé par : Rascar Capac | 03 juillet 2011 à 23:29
Rédigé par : Henri Gibaud avec SCRUTATOR | 03 juillet 2011 à 18:57
..."et si ma tante en avait ce serait mon oncle".
Rédigé par : Savonarole | 03 juillet 2011 à 20:18
@Véronique Raffeneau
Bien sûr... Il est inadmissible qu'aux États Unis comme en France les enquêtes et instructions ne soient pas effectivement couvertes par le secret - ce qui est par contre le cas en Angleterre - et que des fonctionnaires de police ou magistrats se livrent ainsi à des "indiscrétions" partielles autant que partiales portant un discrédit souvent définitif sur les "mis en cause" même s'ils bénéficient ultérieurement d'un non lieu, relaxe ou acquittement...
Les jugements ne doivent pas être prononcés dans la presse ou sur les blogs mais dans les enceintes judiciaires à l'issue de débats contradictoires.
Rappelons-nous le juge Jean-Jules Popinot et son célèbre adage : "qui n'entend qu'une cloche n'entend qu'un son"...
Rédigé par : Jeanne | 03 juillet 2011 à 20:03
AFP DERNIERE HEURE ////
"L'Elysée a été prévenu de l'arrestation de Dominique Strauss-Kahn à New York, dans la nuit du 14 au 15 mai, vers minuit, par le groupe Accor, propriétaire du Sofitel de Manhattan qui fut le théâtre de l'affaire DSK, selon des sources proches du dossier.
La direction du Sofitel de New York a prévenu vers 23h45 heure de Paris le groupe Accor, qui a ensuite alerté Ange Mancini, coordonnateur national du renseignement à la présidence de la République, selon une de ces sources proches du dossier.
La cellule de crise d'Accor a été prévenue par la direction du Sofitel de New York après que DSK a été arrêté par la police new-yorkaise et le groupe a alerté l'Elysée aux alentours de minuit (heure de Paris), selon une autre source proche du dossier."
Il semble que les partenaires putatifs US désignent à présent notre suspect n°5 pour dédouaner nos autres suspects notamment n° 2, 4 et 6, selon le schéma analytique suivant qui est disponible ailleurs depuis 1 heure :
"1ère hypothèse "FMI" : les 28 et 29 avril DSK avait confié se croire menacé d'une accusation de viol "dans un parking" et plus probablement à l'instigation de Poutine=n°1
2ème hypothèse "FMI" : en février DSK a publié des propositions visant à remplacer King-Dollar par un "basket of currencies" donc suspect n°2=Geithner en ce sens que le statut de monnaie-refuge arrange le budget US depuis des décennies
3ème hypothèse "FMI" : la supposée largesse de DSK envers la Grèce indisposait gravement nombre de créanciers d'où n°3="Bruxelles"
4ème hypothèse "FMI" : les orientations de transferts assez tiers-mondistes de DSK exaspérant les stratèges des puissances financières d'où n°4="WallStreet"
5ème hypothèse : l'état de grâce de DSK dans les sondages pour 2012 et son aura d'économiste constituant une grave menace pour n°5=Sarkozy
6ème hypothèse : au contraire des USA où un Noir aussi bien qu'un Juif peut présider, présider la France en étant Juif pouvait risquer de déclencher des troubles internes dans la partie tranquille des musulmans français ou résidents mais surtout faire regarder la France au Maghreb, Machrek, Golfe, Iran etc comme un pays ayant une tête juive voire israélienne, aussi suspect n°6=OTAN et n°7=Israël (au sens de la politique du gouvernement actuel)
NB : sur ce dernier point on n'oublie pas l'appel à la paix en Palestine lancé ce printemps avec notamment BHL ; pour autant un président français Juif cela risquait de raviver des tensions sur le mode parano et de contribuer à aggraver encore les donnes en sud et est Méditerranée ; c'est évidemment injuste pour DSK mais c'est une réalité pragmatique qu'on ne peut politiquement écarter ... si c'est en Allemagne, Italie ou Espagne qu'un Israélite dirige l'exécutif cela aura presque pas d'impact dans les opinions arabes, tandis que pour la France ou le Royaume-Uni , les deux "assesseurs" des USA, un tel aspect semble un risque à ne pas négliger".
Rédigé par : Henri Gibaud avec SCRUTATOR | 03 juillet 2011 à 18:57
"..d'un fumiste : cela suffit à m'irriter !"
Rédigé par : Jean-Dominique | 03 juillet 2011 à 00:54
Papa JR vous avait pourtant dit de ne pas avaler la fumée...
Si vous continuez à ne pas écouter Papa Jeannot, vous finirez dans le caniveau de la politique, chargé des Français de l'outre père.
AO
Rédigé par : oursivi@JDR | 03 juillet 2011 à 18:41
Bonjour M. Bilger,
Je n'ai jamais cru un seul instant à la culpabilité de DSK dans cette sinistre affaire et je l'avais clairement affirmé ici même le 15 mai dernier dans un commentaire à propos de votre billet "C'est qui, ces salauds" qui m'avait alors valu une belle volée de bois vert. Même si l'affaire est loin d'être close, l'accusation a pris un coup dans l'aile et la présumée victime ressemble davantage à la prétendue victime que j'évoquais alors.
Qui peut encore croire une parjure, menteuse réitérante, impliquée dans de douteuses affaires de blanchiment d'argent, trafic de stupéfiants?
Cette histoire était tellement énorme que croire en la culpabilité de DSK m'est apparu comme une insulte à l'intelligence, une offense à la raison et je rejoins JDR pour qualifier de "présumés cons" ceux qui auront été assez stupides pour ne pas voir ce qui crevait les yeux.L'idée que DSK aurait été l'objet de pulsions irrépressibles au point d'en devenir un violeur était inepte, j'espère que vous en conviendrez aujourd'hui.
Il n'en reste pas moins que l'honneur d'un homme a été livré aux chiens comme disait François Mitterrand, que sa vie privée a été étalée dans la presse internationale transformant un homme certes coureur de jupons en pervers malade, violent et violeur et que son avenir politique demeure compromis.
Que risque au juste Nafissatou Diallo aujourd'hui ? Combien d'années de prison pour faux témoignage, trafic de stupéfiants, parjure, blanchiment ? Combien de millions de dollars pour le préjudice subi ?
L'espoir a changé de camp, la peur aussi.
Rédigé par : Ludovic | 03 juillet 2011 à 18:39
Je me suis empressé de payer mon obole de 1 € et me faire ficher (tant pis), pour pouvoir voter Sego.
JPL
Pitié, non, ne nous refilez pas la gourde, on en a déjà bu jusqu'à plus soif.
Douillet, c'est sûr, on ne s'amusera pas à le prendre sur un tatamis, ni même sur un ring ! C'est un crack. Mais... en maths en philo en littérature en histoire-géo, en un paquet de disciplines, même en certains sports, genre en tennis par exemple, là, il ne ferait pas le poids.
Mais nous ne sommes pas là pour nous comparer à lui, par contre pour nous étonner qu'on puisse entrer au gouvernement avec ce type de profil.
C'est certainement un gentil garçon, mais la France a probablement plus besoin de techniciens que de people ; en son gouvernement, au moins.
AO
Rédigé par : oursivi@JPL | 03 juillet 2011 à 18:20
@ Mary
"Si j’ai bien suivi le raisonnement de ce procureur opportuniste, que Courteline n’aurait pas désavoué et qui a choisi de se saborder avant l’heure..."
Le gros souci est que le procureur avait beaucoup investi, voire surinvesti, et - c'est ainsi que je le comprends - il avait structuré l'essentiel de son accusation sur le fondement de la crédibilité du témoignage de ND.
Le Monde - "La crédibilité de Nafissatou Diallo, élément clé de la procédure" :
"(...) Mais surtout le document (la lettre du procureur adressée aux avocats de DSK) indique qu'après avoir maintenu plusieurs fois, devant le procureur, puis devant le grand jury, une même chronologie des faits du 14 mai (après l'agression, elle serait restée prostrée dans un couloir, avant d'avertir son supérieur, après le départ de Dominique Strauss-Kahn), la jeune femme a reconnu que cette version "était fausse" : elle affirme désormais qu'après avoir été agressée dans la suite 2806, elle est allée nettoyer une chambre voisine, puis qu'elle est revenue commencer à nettoyer la 2806 avant d'alerter son supérieur (...)
La plaignante pourra chercher à dire que ces mensonges passés ne remettent pas en cause son témoignage dans cette affaire. "Mais là, on n'est clairement pas sur la recherche de la vérité. On cherche à savoir si oui ou non on dispose de suffisamment d'éléments pour condamner quelqu'un de faits précis", développe Me Arthur Dethomas. "La question n'est pas : 'Qu'est-ce qui s'est passé ?' C'est : 'A-t-on suffisamment d'éléments ?' Elle peut dire que les faits sont vrais, mais on lui répondra : 'Est-ce que douze personnes vont vous croire, à l'unanimité ?', précise-t-il. Aux Etats-Unis on dit : 'No witness, no case' [pas de témoin, pas d'affaire]. Le témoignage oral est tellement important dans la procédure américaine que sans témoin ça va être très difficile."
Je ne suis pas en train de vous dire que le fait d'avoir menti aux enquêteurs et réitéré un mensonge devant le Grand jury prouve quoi que ce soit quant à la réalité ou non d'une tentative de viol.
Simplement, il est évident que le procureur Vance ne peut plus compter sur la pièce maîtresse de son accusation, c'est-à-dire son témoin.
@ Jeanne
"Du danger de l'information en temps réel, de l'irrespect de la présomption d’innocence..."
Ne pensez-vous pas qu'il faudrait ajouter :
Du danger de l'infernale et puissante séduction du médiatique sur le judiciaire ?
Par ailleurs, ce qui semble apparaître est qu'en fait de temps réel c'est bien le tout début de l'enquête qui par sa précipitation a entraîné une accélération folle des événements : l'erreur initiale majeure de la police et du procureur a été, selon moi, d'interpréter le départ de DSK de l'hôtel et à l'aéroport comme une fuite.
Rédigé par : Véronique Raffeneau | 03 juillet 2011 à 16:26
Le non-propre des femmes de chambre qui ont l'effet sans l'air c'est permettre au client de tout "foutre" en l'air.
Rédigé par : Henri Gibaud à zenblabla | 03 juillet 2011 à 16:12
Un "collectif" assène qu'il y a 75.000 nouvelles femmes violées chaque année en France. Ce flux correspond donc à un ordre de l'ordre de 2 viols par jour et par département "moyen". Une police de la testostérone s'impose. Nous vivons dans un Etat d'environ 30.000.000 de victimes potentielles de viol parmi lesquelles le stock amassé en 40 ans de femmes violées s'élève donc à 75.000 x 40 = 3.000.000 de victimes de ce crime soit 10% en impact relatif. L'immense majorité doit constituer des viols conjugaux car les chiffres pénissentiaires sont très en-dessous : disons 2.950.000 femmes depuis 40 ans violées en couple. Si l'on procède à un abattement pour tenir compte des violeurs récidivistes dans des couples successifs, on peut estimer à 2.500.000 le nombre d'hommes criminels violeurs en liberté scandaleuse et qui devraient prochainement rejoindre des centres de réclusion. Enfin la France va pouvoir battre à plates coutures le record du monde du taux pénissentiaire encore détenu par les bien laxistes USA !!!
L' "en-geôleuse" est l'avenir de l'homme.
Rédigé par : Henri Gibaud avec FIASCACTOR sans VIAGRACTOR | 03 juillet 2011 à 16:01
Non ?
Non.
Rédigé par : Jean-Paul Ledun@M. Gibault | 03 juillet 2011 à 15:44
Le propre des femmes de chambre à air, c'est que plus ou moins rapidement, mais évidemment, elles se dégonflent...
Qui l'eut cru?
C'est le cadre du vélo qui est écroui!
Rédigé par : zenblabla@cactus | 03 juillet 2011 à 15:41
A lire les commentaires, à n'en pas douter on domine plus facilement les peuples en excitant leurs passions qu'en s'occupant de leurs intérêts...
Rédigé par : Jeanne | 03 juillet 2011 à 15:33
1° à M. Pierre-Antoine : merci et 5/5 je vous dé-classifie X ;
2° à M. Ledun : j'adoptais le point de vue d'un Gaulliste "pur et dur" et ils sont nombreux à s'interroger sur l'opportunité de changer de "style d'incarnation" pour 2012 ! d'autre part je contredis la fixation négative anti NS que vous me prêtez (par inversion projective ?) en vous rappelant que j'avais traduit "Le Pr. français et ses gens trouvent que S-K est une menace sur sa Pr. française à l'élection qui vient" en choisissant un texte américain originel sans le nom Sarkozy pour amoindrir l'interprétation ad hominem ; enfin il est classique aussi bien de parler davantage d'une personnalité quand elle semble en difficulté, il semble que nous ayons vu cela à très grande échelle depuis le 15 mai, non ?
Rédigé par : Henri Gibaud à MM. non-X et Ledun | 03 juillet 2011 à 15:17
@Mary Preud'homme
Dire de son violeur qu'il "va payer un maximum" peut aussi faire allusion à la peine de prison !
Cordialement
Pierre-Antoine
Rédigé par : Pierre-Antoine | 03 juillet 2011 à 15:06
@ Henri Gibaud
Je ne suis pas X, il suffit de cliquer sur mon prénom pour savoir qui je suis...
Plusieurs sur ce blog, lient leur signature avec un url qui renvoie à leur blog ou autre site pour faire plus ample connaissance avec eux/elles.
Cordialement
Pierre-Antoine
Rédigé par : Pierre-Antoine | 03 juillet 2011 à 14:37
Les femmes sont tellement menteuses, qu’on ne peut même pas croire le contraire de ce qu’elles disent.
(Courteline)
----
Si j’ai bien suivi le raisonnement de ce procureur opportuniste, que Courteline n’aurait pas désavoué et qui a choisi de se saborder avant l’heure (par crainte de se faire doubler plus tard par les deux avocats renforcés par une armada de détectives, ex procureurs, juges et policiers), lesquels compères familiers des gros bonnets avaient annoncé dès le 25 mai sur le mode jubilatoire être en mesure de fournir le moment venu des informations sulfureuses sur la plaignante. Nous étions donc prévenus qu'une femme qui aurait menti si peu que ce soit sur son passé serait définitivement grillée, ratatinée, dégommée, rapaplapla, bref plus crédible quoi qu’il arrive. C'est chose faite et pas par n'importe qui ! Le proc himself qui plaide coupable et bat sa coulpe ! Désormais Nafi pourra donc bien hurler au viol sur tous les toits sans que personne ne lève le petit doigt et surtout pas la justice américaine auquel le mensonge ferait horreur s'il émane de la plaignante of course... Alors qu’elle est beaucoup plus indulgente vis-à-vis de l'agresseur présumé qui a bel et bien commencé par tout nier en bloc avant d’être rattrapé par des preuves évidentes. Bizarre, vous avez dit bizarre !
Quant à cette conversation téléphonique, en peul, laborieusement traduite après pas moins de 5 semaines, pas de quoi fouetter un chat ! N’importe quelle femme abusée (un peu digne) aurait tenu le même discours, moi y compris. En effet, tandis que son copain méfiant lui rappelait la prudence contre un puissant, elle lui aurait rétorqué : «ne t’en fais pas, je sais ce que je fais, il m’a violée et il va casquer un max...» ! Warning ! Traducteur traître !
Exit donc la négresse émigrée à laquelle on aurait découvert un petit copain pas très clean et qui elle-même en touche-rait à l’occasion. Sachant que 70.000 dollars en deux ans versés sur ses comptes, c’est le tarif pour un « premier intermédiaire » de revendeur de shit, Nafissatou n’ayant servi finalement dans l’histoire que de femme de paille pour un (présumé) dealer qu'il reste à découvrir... Suspense ! On vous avait promis des révélations mirobolantes, des rebondissements et ce n’est peut-être que le début ! Nafi en couverture, ce qui expliquerait pourquoi malgré ce magot tombé du ciel, elle s’échinerait depuis trois ans à faire le ménage au Sofitel, tout en complétant son maigre salaire par des extras dans un restaurant du Bronx ? Tous faits, eux bien réels, de même que sa bonne réputation au Sofitel, ses soins attentifs envers sa fille mineure et sa fréquentation régulière d’une mosquée.
Femme de paille couchée devant un petit dealer minable, mère dévouée,employée modèle ou femme perverse et rouée déterminée à piéger l’un des hommes les plus puissants de la planète et à présent call-girl au rabais ? Qui est la vraie Nafissatou ?
Mais au fait la call-girl, la vraie, qui a bel et bien passé quelques heures avec notre vieux beau national au petit matin même de l'agression, qu'est-elle devenue ?
Mais tout cela n’est-il pas prétextes (et mauvaises raisons) tendant à évacuer la vraie question, à savoir : cette femme a-t-elle été violée, oui ou non ?
---
Personnellement, indépendamment de toute autre considération, sans haine et sans crainte, et me fiant d'abord à mon intuition de femme et à ce que disent mes propres parents et amis haïtiens émigrés aux USA, j’ai choisi de soutenir une femme qui dit avoir été violée, ce que d’aucuns estiment sans doute être de la "connerie", mais tant pis j’assume, l’opportunisme et la lâcheté n’étant pas dans mes habitudes quoi qu'il m'en ait coûté parfois.
(Je rappelle au passage qu’il existe en France un comité de soutien à ND qui a déjà recueilli plusieurs milliers de signatures).
---
Par ailleurs, d'accord avec le point de vue de Surcouf concernant l'agression dont fut victime le président Sarkozy. Lui au moins pointe les vraies raisons de cette haine aveugle et totalement injustifiée contrairement à certains que je ne nommerai pas et qui comme à l'accoutumée, en profitent pour régler des comptes personnels bien mesquins…
---
Mention spéciale à Calamity qui a tout compris.
---
Enfin, 5ème tentative depuis hier pour faire passer ce même post ! Bien que PB m'ait affirmé à plusieurs reprises qu'il ne censurait jamais personne, je commence à avoir des doutes ? A moins que sur son site hébergeur ne sévisse quelque malveillant...
Rédigé par : Mary Preud'homme | 03 juillet 2011 à 14:34
Les USA ont élu un président "noir", belle preuve que le racisme y est marginalisé...
Mais en France ???
Comme il est étrange que si peu de commentateurs français se soient interrogés sur le risque de réactivation de l'antisémitisme corrélé avec l'élection possible de DSK, président "juif" ? Et même plus précisément :
1) antisémitisme "classique" de type extrême droite, Action Française et avatars d'un côté
PLUS
2) antijudaïsme inter-sémites de la part des millions d'immigrés musulmans,
3) entraînant une néo-francophobie plus ou moins intense dans la quasi-totalité des partenaires de la France, au Maghreb, au Machrek, vers le Golfe pétrolier, etc.
Et si indépendamment même du duel politicien franco-français, les stratèges de l'OTAN et Israël avaient estimé que la France, présidée par un "juif", constituerait une menace trop grande de déstabilisation en excitant les masses arabes et en paralysant le rôle "amical" habituel de la France / sud et est de la Méditerranée notamment ?
Et si DSK lui-même avait compris qu'il
allait être flingué pour cela ? Et pourquoi n'a-t-on pour ainsi dire jamais parlé de cet aspect des analyses : par peur de réveiller "la bête immonde" en exprimant redouter qu'elle se réveillât... (?)
(Quand on parle du loup...)
Rédigé par : Henri Gibaud avec SUPUTTATOR et avec RISQUATOR | 03 juillet 2011 à 14:33
Cyrus Vance Jr, l'homme qui voulait la peau de DSK (source l’Express)
Ils sont comme ça les Américains, lorsque l’affaire de leur vie se présente ils ont toujours tendance à vouloir en faire trop. Et après ils se ramassent un râteau.
Enfin, le bon côté des US c’est que lorsque quelqu’un fait une grosse bêtise, il paie cash.
Vivement qu’il en soit de même chez nous !
Rédigé par : Achille | 03 juillet 2011 à 14:02
sur la remarque de Pierre-Antoine X :
vous n'avez pas tort, la saynète du sifflotement détaché les yeux au plafond ça peut exister ; le larron médiéval fend la foule en criant "au voleur, au voleur" pointant l'index ailleurs ... voici le texte originel de Joe (homme ou femme ?) de New York, expédié au NYT June 30th, 2011
10:08 pm (22h08 locales) :
"These are not exactly the actions of a person who has committed a felony and rushes to escape."
Un québécois, Michel Carriere Gatineau, QC July 1st, 2011 1:19 pm :
"[...] But the big question is when did the Prosecutors learn about this and why did it take six weeks before the information was released.
One element which I believe should have triggered some doubts about the validity of the case is that DSK himself phoned the hotel about his lost cell phone and volunteered his whereabouts so that the phone could be returned before his departure. Ask yourself, if you had just raped someone would you casually provide the information that would lead to your immediate arrest? [...]"
Je vous laisse traduire, cher monsieur.
Rédigé par : Henri Gibaud sur la remarque de Pierre-Antoine X | 03 juillet 2011 à 13:44
On avance ! ce n'est plus une prêtresse
des trafics de stupéfiants mais une
vendeuse de ses charmes tarifés...
Rédigé par : calamity jane | 03 juillet 2011 à 13:37
M.Gibaud
NS "est à ce point "mité-démythé", il a tellement perdu que je me demande pourquoi vous en faites encore si grand cas ?
Rédigé par : Jean-Paul Ledun@M. Gibaud | 03 juillet 2011 à 13:13
M. Reffait,
Le président tel que les journaleux et le JT nous le présentent et qui vous débecte, ne m'intéresse pas.
C'est votre problème et de fait ce n'est pas important.
C’est pour le président des lois, des paragraphes, du noir sur blanc, des crises contenues, des réformes tenues, que vous devriez user votre grand talent pour le botter en touche.
Vous faites dans le ridicule, cela ne vous va pas.
----------------------------------------
M., Mme, Achille vous avez bien raison. Douillet président, personne ne s'y frotterait, á part les blogueurs anonymes planqués. Bien évidemment.
Je signale que nous (les français de l'étranger) sommes appeler á voter pour la première fois (merci Sarko) pour nos députés. Mesure annoncée en 2007 !
Eh bien voyez-vous M, Mme Achille, moi je suis bien content que la République française me prenne en compte.
Dans ce genre d'histoire ne soyez pas trop "Douillet".
Vous vous égorgez à réclamer le droit de vote pour les étrangers vivant sur le territoire français et vous ironisez sur les français vivant hors de France de pouvoir voter pour la première fois pour leur députés ?
RACISTE !
Le PS dit que le poste de Douillet
« secrétaire d'état en charge des français de l'étranger" ne sert á rien...
Ben alors, pourquoi m'envoie-t-il un mail pour me rappeler que "aussi les français de l'étranger peuvent participer au primaires socialiste ». Faudrait savoir.
Je me suis empressé de payer mon obole de 1 € et me faire ficher (tant pis), pour pouvoir voter Sego.
Juste pour embêtez les Reffaits.
Ah, la mesquinerie...
Rédigé par : Jean-Paul Ledun | 03 juillet 2011 à 13:03
Ce qui me choque dans ce qui s'est passé à Brax, c'est la qualification des faits, le mot "agression" me paraît totalement inapproprié.
Aucun coup n'a été donné, et forcément aucune blessure !
Je ne vois pas où il peut y avoir une agression, je parlerais plutôt de bousculade.
Rédigé par : Cyril | 03 juillet 2011 à 12:09
J'apprends maintenant que l'agresseur voulait contester l'intervention en Libye !
Finalement, non, pas de grâce, trop bête ce monsieur !
Rédigé par : Herman | 03 juillet 2011 à 11:55
Petite précision, vu la teneur de mon dernier commentaire...
Je ne suis pas l'agresseur de N.S. dont j'apprends ici même (merci Frank Thomas...) qu'il se prénomme Hermann !
Sans doute voulait-il faire la publicité de mon anti-sarkozysme primaire... Qu'il soit gracié ! Circonstance atténuante...
Rédigé par : Herman | 03 juillet 2011 à 11:50
@Jean-Paul Ledun
Ah quand ce sera David Douillet qui sera président de la République - en 2022 ou peut-être même avant vu la vitesse avec laquelle il progresse dans le monde de la politique - ils ne seront pas nombreux ceux qui oseront le prendre par le colback !
Rédigé par : Achille | 03 juillet 2011 à 11:34
S'agissant de l'agression subie par le Président de la République à Brax, je lis ici et là les réactions de personnes qui s'indignent de deux choses.
D'abord que la justice, le plus souvent si lente à faire droit aux plaintes des citoyens de base, se montre si rapide et si efficace lorsque la victime est un personnage illustre et haut placé.
En second lieu, ce qui semble mal passer dans l'opinion, c'est la lourdeur de la peine infligée pour un petit geste n'ayant entraîné aucune douleur physique, aucune blessure.
Il est certain que si la personne ainsi agressée avait été monsieur tout le monde, jamais la justice ne s'en serait mêlée, pour la bonne raison que jamais la police n'aurait arrêté le coupable.
Je présume que tous les jours dans notre beau pays il arrive des centaines de petits incidents de ce genre entre automobilistes irrités, sur les marchés, dans les files d'attente, etc. sans que soient alertés les services de la police et de la justice.
Alors, demandent certains citoyens épris d'égalité et de justice, pourquoi ce traitement particulier sous prétexte que l'agressé est le Président de la République ?
La réponse est dans la question : parce qu'il s'agit, précisément, du Président de la République.
Déjà ce même geste aurait eu des conséquences graves s'il avait été fait à l'encontre de n'importe quel représentant de l'Etat, comme un enseignant, un policier, un magistrat. Dans un tel cas ce n'est pas seulement la personne qui subit l'atteinte à sa dignité, c'est la fonction en tant que telle, le corps auquel la personne agressée appartient.
Dans le cas du Président de la République, c'est le corps de la Nation qui est lésé lorsqu'il est porté atteinte à celui de l'homme qui a été élu à sa tête.
En touchant violemment au Président, on blesse la Nation, c'est-à-dire le Peuple.
Jadis le corps du Roi était sacro-saint ("le Roi te touche, Dieu te guérit").
La République a hérité ce symbole à travers la souveraineté du Peuple. Le geste violent d'Hermann Fuster est puni, et c'est une bonne chose.
Cependant on est en droit de se demander s'il n'est pas le symptôme d'un mal de notre temps : l'irrespect dont l'exemple vient parfois de haut.
Les affaires Strauss-Kahn, Mahéas et Tron en sont les illustrations évidentes.
Quant au Président lui-même, protégé par l'immunité de sa fonction, il doit se garder de la dégrader par des mots et des gestes indignes de sa position. Cela n'a pas toujours été le cas au début de son mandat : il ne semblait pas, alors, avoir pris la mesure symbolique de sa fonction et de sa position.
Le respect n'est pas un dû : il se mérite.
Rédigé par : Frank THOMAS | 03 juillet 2011 à 09:50
DSK est un problème pour les militants socialistes... Ils ne pourront plus jamais dire : nous ne savions pas ses zones d'ombre, fort nombreuses et toujours bien arrosées et cultivées !
S'ils tuent le veau gras seules les vaches maigres s'en plaindront.
Les Verts ont choisi et ils choisissent toujours les forts en gueule au détriment d'une action plus "douce" et plus fédératrice.
Ils y ont toujours perdu et continuent. Ils n'ont pas envie de mettre les mains dans le cambouis économique mais d'exister au Parlement et dans un ministère strapontin !
"L'ambition dans la soumission ou l'indépendance dans la défiance ? C'est une alternative qui n'est que trop familière à la Justice."
C'est sans doute oublier que l'Institution judiciaire est faite d'hommes et de femmes qui peuvent et doivent la modeler ! Non la subir ou l'asservir à des fins personnelles
et politiques.
Pas simple ? Pour personne... le combat quotidien n'est ni simple ni jamais gagné surtout pas pour les vaches maigres.
La violence, il me semble logique que l'ayant négligée dans le pré des vaches maigres nous commencions à la voir s'installer dans le carré plus verdoyant de nos élites et dirigeants. Point de salut sans éducation et dans la démagogie or nos politiques négligent l'une et encouragent l'autre. La République doit se soigner.
Rédigé par : une fan | 03 juillet 2011 à 09:49
@tchatchio
Mais vu les nouveaux éléments de l’enquête, elle a très bien pu mettre elle-même le sperme sur son col pour accréditer sa version des faits.
Et puis une femme qui fait des « gâteries » moyennant de gros pourboires aux clients fortunés de l’hôtel qui clame avoir été violée, ça laisse dubitatif....
Rédigé par : Achille | 03 juillet 2011 à 09:12
Le samedi 2 juillet, entre 15 heures 30 et 22 heures 35, j'ai envoyé par trois fois le même post (sans doute gênant pour certains ou... certaines), ce qui expliquerait que ledit post n'est toujours pas passé.
Manque de visa ? Allez savoir.
Serait-ce parce que je continue à apporter mon soutien à une femme qui affirme avoir été violée et qui n'est certes pas plus menteuse et rouée que son agresseur présumé ?
Triste !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 03 juillet 2011 à 01:32
JP Ledun, il n'y a pas de président, personne qui occupe cette fonction de rassemblement et de dignité, mais il y a un chef politique, un chef de clan doublé d'un fumiste : cela suffit à m'irriter !
Rédigé par : Jean-Dominique | 03 juillet 2011 à 00:54
"un lingot d'uranium fluorescent comme lampe d'ambiance. Ils sont sinistres."
JDR
Oui, d'ailleurs me revient qu'un ami géologue prospectant au Sahara à la fin des années 70 nous en avait ramené un morceau, une pierre plus précisément, d'uranium, et que celle-là trôna quelques années posée au-dessus du frigo.
Mon père a fini par la bazarder, je ne sais plus où ni pourquoi, sinon l'aurais bien jetée sur l'hélico de Nico ou les lunettes contaminées de la pas Joly Eva.
On rate parfois l'occasion de passer en première page de pale riz mâche pour trois fois rien.
Pour ce qui est de NY, on aimerait que DSK nous donne sa version, jusqu'ici ses affreux baveux l'ont bâillonné ; que fait la police ?
"pas ce qu'on espère trouver chez un futur président de la République."
Rédigé par : Frank THOMAS | 01 juillet 2011 à 21:21
Cet homme, DSK, a parfaitement droit de coucher avec qui il veut dès lors que ce "qui il veut", veut bien.
C'est pas parce que cette femme a menti à l’immigration aux impôts et à quelques autres services sociaux - vous en connaissez beaucoup qui ont le même parcours et qui ne mentent pas dans ces circonstances ? - qu'elle a forcément menti à cette occasion.
La seule chose terrifiante à constater là est plutôt que si on a parfois menti par le passé, on n'a plus le droit d'être cru(e), et qu'il ne convient plus de se laisser violer ou agresser sauf à accepter de n'en rien dire...
La société, my Lord...
AO
Rédigé par : oursivi | 03 juillet 2011 à 00:47
Vraiment minable la réaction de NS sur l'empoignade.
Il n'a même pas sauté la barrière en fendant la foule. Ecœurant !
La « presse » n'a même pas prêté attention á cet attentat ! Vraiment dégueu !
En fait une bonne fusillade style "Petit Clamart" ou un attentat style "dit de l'Observatoire" vous ferait bien ban...
Je vous le jure tout « fout » le camp !
Rédigé par : Jean-Paul Ledun | 03 juillet 2011 à 00:09
L'AFFAIRE DSK, OU LA GUERRE ENTRE LES RICHES ET LES PAUVRES...
DSK N'A JAMAIS MENTI PEUT-ÊTRE ??...
ET LE SPERME RETROUVE SUR LES HABITS DE CETTE JEUNE FEMME C'EST UN MENSONGE ??...
QUE DE MISOGYNIE ET DE PHALLOCRATIE...
Rédigé par : tchatchio | 02 juillet 2011 à 23:39
"Il n'y a pas de président."
Jean-Dominique Reffait
C'est fou comme un président invisible vous a fait déblatérer sur des colonnes entières ici même !
Vous êtes plaisant ces derniers temps M. Reffait.
Je ne vous conseille pas le dernier gribouillage de FOG « M. le Président ». Je pensais lire une bonne vraie critique de NS président, je ne vois qu’une critique sur l’homme.
Politiquement il a, paraît-il réussi certaines choses.
Mais des broutilles, rassurez-vous.
------------------------------------
Sur DSK, je ne comprends pas certains ici, qui appuient leurs commentaires sur les mêmes journaux qui apparemment leur ont menti il y a quelques semaines (« The perv frog ! Etc.).
Un seul mot d’ordre, il me semble : motus et bouche cousue jusqu'à ce que la justice se soit prononcée.
Le reste n'est que commentaires pour se faire plaisir.
Et comme il n'y a pas de mal á se faire du bien...
Rédigé par : Jean-Paul Ledun | 02 juillet 2011 à 23:29
Que n’avait-on entendu sur la justice américaine. On voulait nous faire croire qu’il fallait y être très riche pour se défendre, et que le procureur n’instruisait qu’à charge contrairement à nos brillants juges d’instruction. Or, ce sont les services du procureur et non les avocats de DSK qui ont enquêté sur la femme de chambre.
Etrangement, cela ne semble attirer l’attention de personne. Quant on est idiot et buté, le mieux est de le rester pour ne pas se désavouer. Vive donc le juge d’instruction qui, nous le savons bien est capable de revenir sur ses mauvaises décisions. Il est vrai aussi qu’il ne court pas de risque de carrière comme le procureur américain. Chez nous, plus un magistrat est mauvais, plus il monte en grade. On est de gauche où on l’est pas !
Par ailleurs, dans le concert de congratulations pour DSK, on oublierait presque que si le viol est un crime, se faire à 62 ans la première bonne de chambre venue relève d’un problème psychique pour ne pas parler plus simplement de comportement de pauvre type. Mais venant d’un personnage tenant de hautes fonctions, cela en fait en plus un danger public. Alors, pour qualifier ceux qui le pressentiraient de nouveau à des fonctions de président de la République, on en est rendu à suppôts de pauvre type - des fois que ça rapporterait. C’est beau la gauche.
Rédigé par : Xavier Nebout | 02 juillet 2011 à 23:24
@Catherine A
« Un homme a donc le droit de violer une menteuse ; on progresse ! »
Problème : une menteuse qui dit qu’elle a été violée dit-elle la vérité ?
Se reporter au paradoxe du menteur ou plutôt de la menteuse.
Cette femme déclare avoir été violée. Mais c’est une menteuse. Si c’est vrai c’est faux. Si c’est faux c’est vrai !
Comment savoir ?
Rédigé par : Achille | 02 juillet 2011 à 18:13
Tout ce qui est vert ne ressemble pas forcément au célèbre insecticide Baygon.
Hulot paie sa proximité avec les groupes multinationaux, pollueurs patentés.
L'admiration des Français ne s'explique que par ses choix pour une écologie trempée dans l'eau tiède qui coulerait de source.
Quand on passe à la politique et aux choix épineux qu'il convient de faire c'est une personne responsable qui a déjà fait ses preuves en matière de rigueur et pas seulement sympathique qui l'emporte.
C'était prévisible.
L'écologie doit être prise au sérieux, ce n'est pas une question de politique.
Rédigé par : Patrick Handicap expatrié | 02 juillet 2011 à 18:13