Adriana Karembeu croit encore à l'amour.
Paris Match nous annonce cette nouvelle en couverture.
J'avoue que cette information, douce comme un bonbon, m'a fait du bien. Comme chaque jour, j'allais acheter auprès de mon kiosquier des journaux qui se contentaient de rendre compte de la France et du monde. Rien à côté de cette stupéfiante révélation : Adriana continue à croire à l'amour.
Depuis quelque temps, une inquiétude sourde m'habitait, un malaise diffus, presque une angoisse au beau milieu de la nuit. Maintenant je comprends. J'avais besoin de savoir. Cette impatience, cet énervement qui me tenaillaient venaient de là : je m'interrogeais sur les états d'âme d'Adriana Karembeu. Croyait-elle encore à l'amour ? Il est inconcevable de vivre sans qu'on réponde à cette interrogation fondamentale. Etre ou ne pas être, c'est bien mais insuffisant. De peu de poids à côté de ce mystère lancinant : que devient l'amour dans l'existence d'Adriana ?
Heureusement, c'est oui. Elle croit encore à l'amour. On aurait pu craindre qu'après son divorce elle se retire du monde, ne présente plus sa superbe apparence, qu'elle se cache dans une retraite secrète, qu'elle nous prive d'elle et que le désespoir l'affecte à perpétuité. Ouf ! On l'a échappé belle. Elle croit toujours à l'amour. Je n'aurai pas à prendre le deuil de son bonheur.
Dire qu'il y a des gens obtus et dédaigneux qui sont incapables d'apprécier à sa juste intensité l'allégresse qui irradie, inonde quand soudain on vous rassure sur le sort d'Adriana Karembeu. Dieu merci, elle croit toujours à l'amour.
Ma journée est éclairée. J'hésite à parcourir les quotidiens que j'ai achetés : ils me démoliront un moral qu'Adriana a porté au plus haut.
Elle croit, contre vents et marées, à l'amour.
Une telle découverte serait dérisoire ?
@Achille | 09 septembre 2011 à 08:10
«Ah ces femmes, elles veulent bien changer de mari, mais pas changer de nom. […] et puis ça évite tout un tas de tracasseries administratives. »
Pour votre information :
Code Civil : Article 61
« Toute personne qui justifie d'un intérêt légitime peut demander à changer de nom.
La demande de changement de nom peut avoir pour objet d'éviter l'extinction du nom porté par un ascendant ou un collatéral du demandeur jusqu'au quatrième degré.
Le changement de nom est autorisé par décret. »
Code civil Article 264
« A la suite du divorce, chacun des époux perd l'usage du nom de son conjoint.
L'un des époux peut néanmoins conserver l'usage du nom de l'autre, soit avec l'accord de celui-ci, soit avec l'autorisation du juge, s'il justifie d'un intérêt particulier pour lui ou pour les enfants. »
JO du 03/07/1986, page 08246
Mention des noms d'usage
2.1 : «La mise en œuvre par l'intéressé du nom d'usage qu'il a choisi est laissée à son entière liberté. »
2.2 : « Il appartient au demandeur d'apporter la justification du droit qu'il fait valoir sur le nom d'un tiers. »
2.3
2° « En l'absence de disposition particulière, l'ordre dans lequel se situent les patronymes constitutifs d'un nom d'usage est libre. »
A partir du moment où le nom revendiqué l'est légitimement dans le cadre d'un intérêt dont l'appréciation n'est pas de votre ressort, mais de quoi j'me mêle !!. En particulier sous un pseudonyme !
Je trouve que s'occuper sur ce plan de ce qui se passe chez le voisin est la marque non seulement d'un incroyable culot mais encore d'un incontestable manque d'éducation et de savoir-vivre.
De même et a contrario, s'arroger par ex. des armoiries sur lesquelles vous n'auriez aucun droit d'usage alors que ces figures emblématiques participent de l'identité, dans l'ignorance de ce que le blasonnement n'a rien d'un signe privilégié d'appartenance à une caste abolie en France et dont tout un chacun pourrait donc désormais s'estimer admis à s'arroger n'importe comment à sa guise les anciennes armes (=blason, cachet, écu), me paraîtrait le signe d'une inculture ahurissante, tout de même qu'une sorte de véritable « usurpation d'identité » à dire les choses comme je les pense au fond.
Les armoiries fascinent souvent mais il faut savoir que «l'héraldique représente en système cohérent d'identification non seulement des personnes, mais aussi en partie des lignées ( en France où les armoiries dites "historiques" - par exemple, déjà existantes sous l’Ancien Régime- relèvent du droit coutumier selon lequel l’usage vaut propriété, le blason pouvait être transmis par héritage en traduisant le degré de parenté) et des collectivités humaines diffusé en effet dans l'ensemble de la société occidentale : clercs, nobles, bourgeois, paysans, femmes, communautés...», et quand je vois que de pseudo créateurs vont chercher dans d'anciens armorials des « logos » qu'ils font imprimer de façon incohérente sans en respecter aucune des règles sur des vêtements ou des accessoires sans se préoccuper de savoir si, par ex. ce ne gênerait pas quelqu'un de voir la figure emblématique de sa famille se promener sur n'importe quelle insolente paire de fesses, je trouve cela du plus haut ridicule et d'un snobisme achevé.
Il existe des lois toujours en vigueur, par ex. celle du 29/03/1919 au Royaume Uni : « Toute personne qui, sans l’autorité de Sa Majesté, fera usage, pour les besoins d’un commerce, métier, état ou profession quelconque, des Armoiries Royales ou d’Armoiries y ressemblant, de façon à faire croire que telle personne est dûment autorisée à faire usage des Armoiries Royales, sera passible d’une amende [...]
Les poursuites se feront à l’instance de la Partie Publique. »
Mais en France vous pouvez en effet, sans nécessairement chercher à vous situer dans une sorte mouvance clientéliste, manifester votre appartenance à la collectivité en adoptant sa figure emblématique, - ex. Croix Lorraine sur l’emblème du FC Metz, emblème du FC Metz sur les tee shirt de ses supporters,
Personnellement pas plus que je ne vois l'intérêt pour un couturier d'arborer le blason de la confrérie des tonneliers, pour un supporter du PSG d'arborer le Graouilly à la croix de Lorraine plutôt que la tour Eiffel enjambant, qu'est-ce qu'elle enjambe au fait ? un landau ?, je ne vois l'intérêt pour un Breton d'arborer la tête de Maure bandée plutôt qu'une fasce d'hermine, et je ne vois l'intérêt pour un particulier lambda non monégasque d'arborer l'écu fuselé des Grimaldi plutôt que l'écu fretté d'un éventuel aïeul qui en eût fait choix, ou encore plutôt qu'une éventuelle composition qui lui correspondrait personnellement tel le palmier emblème de la justice, parce que son bois ne se corrompt jamais ; ainsi que du caractère du juge inflexible et intègre, dont a fait choix notamment Olivier Besancenot qui blasonne « D'azur au palmier de sinople ».
En revanche je vous accorderais volontiers le droit d'apprécier le fait que le blason donné comme celui d'Aubry - mais est-ce la même famille ou seulement une famille homonyme (??) - vous paraisse corresponde effectivement au non au caractère de la secrétaire générale du parti à la rose et la plus célèbre d'entre eux à l'heure actuelle tel que vous le sentez : « D'argent, à une hure de sanglier de sable, allumé et défendu du champ, au chef denché d'azur et chargé de trois roses d'or. »
Nom : AUBRY / Zone géographique : Paris, Ile-de-France, France /Catégorie : Blason familial
NB précisions au besoin : « À l'origine, le mot sanglier vient du latin singularis, ce qui veut dire « singulier » : « unique, isolé, solitaire », parce que le sanglier mâle ne vit en groupe que dans ses deux premières années » Jean Pruvost, « Du singulier au sanglier : Singularis porcus,
« Le sanglier est l'emblème du courage et de l'intrépidité, parce qu'au lieu de s'enfuir comme le cerf, le daim et autres animaux sauvages, il se présente devant les chasseurs pour se défendre. » - Définition : Dictionnaire encyclopédique Nicolas Viton de Saint-Allais
Rédigé par : Catherine JACOB@Achille | 14 octobre 2011 à 10:22
@Alex paulista | 13 septembre 2011 à 00:29
""Comment se faire couler tranquillement un bain quand, là-bas, il n’y a tout simplement pas d’eau ?"
=
""Comment se faire couler tranquillement un bain [quand on est de retour dans un environnement/pays etc. où l'eau ne paraît pas un problème et coule à un robinet qu'il suffit d'ouvrir pour remplir sa baignoire] quand, là-bas, il n’y a tout simplement pas d’eau ?"
C'est juste qu'elle a une conscience et aussi la conscience des différences à assumer sans quoi elle ne vivrait plus. Et, c'est vrai que c'est tout à fait louable de, les assumant d'une part, avoir une action croix rouge de l'autre, quand Amanda L se plaît plutôt pour sa part à nous faire savoir que ses tatouages "se trouvent à des endroits où il ne passe plus grand-monde", mais que bon elle travaille à sa longévité par une "quinzaine d'éjaculations -sic- mensuelles." C'est un autre style.
Personnellement, j'ai été habituée à faire attention à l'eau depuis toute petite, du temps où gardée par mes grands-parents maternels dans un environnement où l'eau ne coulant plus aux robinets intérieurs d'une vieille bâtisse pompeusement baptisée château il fallait aller la chercher avec des brocs dans la cour et quand elle ne coulait plus au robinet de la cour ou qu'il en fallait davantage que pour une vaisselle ou nous laver dans une vieille lessiveuse, il fallait aller la chercher deux kilomètres avec nos petits seaux derrière notre Bonne Maman.
Et pourtant, j'ai adoré ce temps.
De nos jours toutefois, où la vieille bâtisse située sur un domaine qui s'intercalait malheureusement entre des terrains militaires et les propriétés du maire du village qui préférant se faire exproprier par l'armée pour être indemnisé plutôt que de simplement les vendre, a fait inclure ses terrains et nécessairement ceux situés dans la zone intermédiaire dans un nouveau périmètre d'expropriation, il ne reste plus rien que des ruines, vu que l'armée n'en ayant pas réellement besoin, les bâtiments n'ont pas été entretenus et les murs des terrasses dont mon grand-père avait transporté les pierres à dos d'homme croulent...tout simplement, dans les broussailles, de nos jours donc, je plonge avec délices et sans culpabilité aucune dans des bains que j'aime prendre très chauds et parfumés à l'huile essentielle de Juniperus, pour mes, bientôt, vieilles articulations, mais je pleure parfois dans mon cœur en pensant au vieux domaine où nous étions si libres et si heureux, enfants.
Quand il y a plus de vingt ans j'ai essayé de militer un peu dans mon coin contre le gaspillage de l'eau en voyant venir l'actuel danger de pénurie, on m'a prise pour une folle. Et, ça continue d'ailleurs.
on aperçoit dans le coin supérieur gauche de l'image, le robinet où l'on se lave et se rince avant de s'immerger complètement dans le Furo.
Mais bon, cela me rend le plaisir des bains chauds deux fois plus précieux et d'autant plus encore que, par économie, je les espace, tout en pensant à la chance que j'ai d'avoir leur eau pour moi toute seule quand les Japonais, qui par ailleurs se lavent à côté de la baignoire pour n'y plonger qu'ensuite, une fois propres, doivent la partager avec toute leur famille. Toutefois de nos jours, successivement : d'abord le père, puis éventuellement sa mère, puis les enfants, puis la mère de famille, et... idem dans les auberges !!
Rédigé par : Catherine JACOB@Alex paulista | 13 septembre 2011 à 08:53
@ Catherine Jacob
Amanda Lear avait l'air nettement plus féminin au sens commun du terme, dans sa jeunesse, qu'elle n'en véhicule l'image dans sa maturité.
L'air peut-être (c'est la vieillesse aussi). Je pensais plus à la chanson.
Ce que je voulais dire aussi, c'est qu'à côté du personnage d'Amanda L, celui de la gentille Adriana K, c'est plus ou moins du "pipi de chat"...!
Je ne sais pas ce que vous voulez dire par "personnage", mais il est clair qu'au niveau intellectuel elles ne boxent pas dans la même catégorie.
Je trouve Adriana sublime, mais voilà ce qu'elle a relevé en Éthiopie:
"Comment se faire couler tranquillement un bain quand, là-bas, il n’y a tout simplement pas d’eau ? Ou, quand il y en a, elle est sale ! Et tout cela à cause de la corruption des personnes au pouvoir !"
http://www.parismatch.com/People-Match/Cinema/Actu/Adriana-Karembeu-Ma-seconde-vie-330203/
Les gens n'ont pas d'eau potable et elle pense... au traumatisme de prendre un bain dans de l'eau trouble !
Rédigé par : Alex paulista | 13 septembre 2011 à 00:29
Curieux ce cheminement de l'esprit qui part d'Adriana Karembeu pour parvenir à l'homosexualité. Messieurs, il faut consulter.
Rédigé par : Jean-Dominique | 12 septembre 2011 à 23:30
J'avoue ne pas m'être penché sur leur cuisine interne...
http://www.youtube.com/watch?v=jULvpMu8tnA
Rédigé par : hameau dans les nuages | 12 septembre 2011 à 18:47
"dans un couple d'homosexuels les rôles sont figés, une fois distribués : l'un des membres du couple fait homme et l'autre fait la femme"
Je dirai ce que m'inspire votre affirmation, Laboca, après vous avoir remercié de me compter au nombre des commentateurs "libéraux", mot qu'il faut prendre, je pense, dans son acception un peu ancienne d'esprits ouverts, libres et tolérants et non dans un sens étroitement politique, à quoi l'a réduit un usage récent.
Sans être un expert de la chose, j'ai suffisamment vécu, entendu et lu, pour vous dire que s'il existe des homosexuels hommes qui jouent toujours le même rôle, par suite d'un goût exclusif, ils ne constituent pas, et de loin, la majorité.
Le changement de rôle représente chez les homosexuels, une sorte d'épanouissement de leur sensualité qui, s'étant affranchie du déterminisme du sexe, se donne libre cours.
Ainsi je crois sincèrement que vous faites erreur.
J'ajoute que je ne suis pas certain que ces expressions de "faire l'homme" et de "faire la femme", qui réduisent leur activité sexuelle à une sorte de jeu enfantin, soient réellement appropriées.
Rédigé par : Frank THOMAS | 12 septembre 2011 à 17:43
@Alex paulista | 10 septembre 2011 à 14:10 @ Catherine Jacob
« "c'est bien une dame, à première vue rien à voir avec Amanda Lear"
Qu'est-ce que ça peut bien faire ?
Voilà une remarque qui peut bien illustrer le concept du billet précédent: qu'importe le passé d'Amanda Lear, aujourd'hui c'est une femme et basta. »
Contrairement à ce que vous semblez penser, je trouve qu'Amanda Lear avait l'air nettement plus féminin au sens commun du terme, dans sa jeunesse, qu'elle n'en véhicule l'image dans sa maturité.
qui, utilisant surtout des codes de la calligraphie japonais en fait, plutôt que chinois, s'inspire également d'une certaine manière, sdu graphisme du générique années 30 de la série « Hercule Poirot » avec David Suchet et de tout un certain nombre d'autres codes encore dans lesquels elle n'innove pas vraiment, mais qu'elle met en œuvre d'une façon qui n'est pas bête du tout.
Dans la foulée de ce post, je lui aurait volontiers affecté l'article neutre «das » de l'ordre de l'inaccompli, au temps de sa période Dali, lequel semble à l'origine de la rumeur selon laquelle le personnage serait en réalité un homme et peut-être aussi de l'idée, neuve pour l'époque, de faire œuvre d'art conceptuel par un travail sur son personnage plutôt que sur la toile, et l'article « die » avec même, pourquoi pas une majuscule, depuis qu'elle assume sans complexe, et, mine de rien, son âge qui n'est pas sans pouvoir s'évaluer même dans l'image ci-dessous, et la façon dont la nature l'a dotée d'un organe à la sonorité quasi électronique rouillée dont je suis sûre que le sonogramme (mode de représentation en analyse spectrale) de sa voix devrait donner la clef, ainsi que la façon très graphique dont elle a travaillé sa silhouette et son style, notamment avec le récent « Chinese Walk »
J'aime bien aussi la façon dont son côté très solaire (ou très Yang, désormais) lui permet de tirer toujours assez honorablement son épingle du jeu de la vulgarité dans lequel ses comparses occasionnels pataugent assez souvent de façon relativement pitoyable, ce qui était encore le cas, récemment sous la houlette de Michel Drucker.
Ce que je voulais dire aussi, c'est qu'à côté du personnage d'Amanda L, celui de la gentille Adriana K, c'est plus ou moins du "pipi de chat"...!
Rédigé par : Catherine JACOB@Alex paulista | 12 septembre 2011 à 16:49
@Alex paulista
Sous-entendriez-vous que "faire la femme" se résume à recevoir un sexe en érection ?
J'avoue que là... je suis très interrogatif sur la théorie de l'évolution qui paraît-il favorise l'amélioration de la race par la transmission des gènes (en règle générale) entre mâle et femelle.
Cordialement
Pierre-Antoine
Rédigé par : Pierre-Antoine | 11 septembre 2011 à 23:58
@ LABOCA
Évidemment que dans un couple hétéro il y en a un qui fait toujours l'homme (celui qui a une érection, en général) et l'autre qui fait la femme.
C'est au niveau de votre généralisation aux couples homos que se trouve le court-circuit mental.
Essayez de penser hors de votre "système" et vous comprendrez les remarques des autres...
Rédigé par : Alex paulista | 11 septembre 2011 à 23:30
@Laboca
"Conformément à la tradition libérale, (...)Pierre-Antoine(...)me critiquent - parfois sévèrement - mais toujours en opposant leurs idées aux miennes."
Je ne pense pas que je vous critique, au pire je "rebondis" sur un de vos commentaires pour le compléter de ma prose... Je vous trouve même assez proche de mes idées.
Mais c'est vrai que dans une ambiance de critique systématique, n'importe quel commentaire se colore de la teinte de fond.
Cordialement
Pierre-Antoine
Rédigé par : parole de macho :-D | 11 septembre 2011 à 21:52
Oh, qu'il est mignon le castor !
Rédigé par : herman@Catherine Jacob | 11 septembre 2011 à 21:40
@herman | 11 septembre 2011 à 18:32
"il ne me viendrait même pas l'idée d'interrompre un coït entre un homme (ou une femme...) avec un castor,"
Et voilà l'travail :

Il vaut mieux en effet ne pas s'éterniser dans les parages...!
Rédigé par : Catherine JACOB@herman | 11 septembre 2011 à 20:30
LABOCA
Vous voulez savoir ce que je pense !
Je pense que l'entrejambe définit définitivement le sexe de celui (ou celle...) qui court sur ses deux pattes et que sexuellement il ne me viendrait même pas l'idée d'interrompre un coït entre un homme (ou une femme...) avec un castor, alors les homos...!
Mais je vous trouve très gentil avec, au hasard Jean-Dominique qui comme première réaction à vos commentaires les avait qualifiés des plus bêtes du blog, sans autre argument que celui-ci ma foi très pertinent.
Ceci étant, jamais je n'ai attendu de vous une réponse à mes mots doux. Depuis quand sommes-nous contraints de disserter sur des concepts (et non des théories...) labocesques ?
Sans rancune...
Rédigé par : herman | 11 septembre 2011 à 18:32
M. Bilger,
J'arrive un peu tard, mais je tenais à vous le dire: vous avez quasiment réussi le billet parfait.
Sobriété, ironie, légère ouverture vers un au-delà que nous nous refuserons à nommer.
Oui, une variante de la phrase de Céline:
"l'amour, c'est l'infini à la portée des caniches".
Mais j'y pense: avons-nous seulement des nouvelles du caniche?
Rédigé par : Sandro | 11 septembre 2011 à 17:38
Alex paulista | 11 septembre 2011 à 06:22
herman | 09 septembre 2011 à 18:38
Oui, dans un couple normal l'homme fait l'homme et la femme fait la femme.
Jusqu'à preuve du contraire, les hommes n'accouchent pas mais ce sont les femmes qui portent les enfants. Votre système idéologique basé sur la décision d'aller toujours contre l'évidence vous isolera définitivement. La preuve en est que personne n'a approuvé les contresens que vous débitez.
Vous êtes dérangés par mon système de pensée, diamétralement opposé au vôtre, qui est corrompu et mortel.
Herman, essayez de donner votre point de vue personnel, au lieu de vous borner, à l'instar des plus mauvais élèves, à vous situer par rapport aux idées des autres.
Conformément à la tradition libérale, Frank Thomas, Jean-Dominique Reffait, Mary Preud'homme, calamity jane, Ivana Fulli, Pierre-Antoine, Véronique Raffeneau, oursivi et d'autres me critiquent - parfois sévèrement - mais toujours en opposant leurs idées aux miennes. Et c'est pour moi des conditions propices à la contradiction et à l'échange humain.
Vous avez, vous, choisi la voie de l'extrémisme et de la haine, sans jamais cacher votre propension à faire la mauvaise police, celle de la calomnie et de l'intolérance.
Au nom de la tradition libérale, je ne réagirai donc plus à vos "messages" tant qu'ils ne contiendront pas l'énoncé d'une pensée personnelle.
Cette décision me désole mais je ne vois pas comment je pourrais vous aider à changer positivement si je ne vous sanctionnais pas.
Rédigé par : LABOCA | 11 septembre 2011 à 13:56
@Laboca
"et qu'on se borne à critiquer les catholiques et à parler de sexe et d'alcool."
Vous oubliez les jeux cher ami, mais dans cette monotonie ambiante, pour sortir du schéma antique du pain et des jeux, heureusement que le blog de PB traite de sujets aussi variés que non consensuels... on s'ennuie moins :-D
Cordialement
Pierre-Antoine
Rédigé par : Pierre-Antoine | 11 septembre 2011 à 09:09
@ LABOCA
Vous avez raison, c'est bien votre affirmation péremptoire "Comme dans un couple d'hétérosexuels, dans un couple d'homosexuels les rôles sont figés, une fois distribués..." qui méritait d'être soulignée.
Cela montre bien qu'il est plus que temps de combattre les clichés dès la classe de première.
Rédigé par : Alex paulista | 11 septembre 2011 à 06:22
Laboca, vous êtes un système à vous tout seul !
Rédigé par : herman | 11 septembre 2011 à 03:27
Alex paulista | 10 septembre 2011 à 12:56
Je ne comprends vraiment pas votre post.
L'amie calamity jane m'avait posé une question à partir du cas suivant : supposons qu'il existe un mariage entre homosexuels en France; le couple se sépare; celui des deux qui avait hérité du patronyme de l'autre doit-il le conserver ou le rendre?
Cette question m'a été posée en manière d'écho à ce que j'avais dit avant, à savoir que les femmes ne devraient plus porter le patronyme des hommes dont elles seraient séparées suite à un divorce.
Comme la réponse à donner n'était pas simple, j'ai essayé de raisonner.
Alex paulista, je n'apprécie pas trop votre méthode qui consiste à saucissonner un message : c'est à dessein que vous avez sciemment omis de reproduire le début suivant : "Comme dans un couple d'hétérosexuels, dans un couple d'homosexuels les rôles sont figés, une fois distribués..."
Votre allusion au sympathique et intelligent député Vanneste, détesté honteusement par des gens de la région parisienne, est vicieuse.
Je sais que dans ce pays certaines personnes sont payées pour imputer aux citoyens simples et honnêtes le racisme, l'homophobie, la xénophobie, l'antisémitisme, l'islamophobie, etc.
J'espère sincèrement que vous n'êtes pas de ces personnes.
L'intolérance est vraiment devenue tenace dans ce monde. En France, certains voudraient qu'on ne donne plus d'avis sur des sujets auxquels sont accolés les mots "femmes", "Africains", "Arabes", "Juifs" "homosexuels", "Musulmans" et qu'on se borne à critiquer les catholiques et à parler de sexe et d'alcool.
J'espère que tous ces intolérants de France ne travaillent pas dans l'Education nationale, car je déteste par dessus tout que la jeunesse soit définitivement formatée par les faiseurs de système.
Rédigé par : LABOCA | 11 septembre 2011 à 00:38
@ Catherine Jacob
"c'est bien une dame, à première vue rien à voir avec Amanda Lear"
Qu'est-ce que ça peut bien faire ?
Voilà une remarque qui peut bien illustrer le concept du billet précédent: qu'importe le passé d'Amanda Lear, aujourd'hui c'est une femme et basta.
Rédigé par : Alex paulista | 10 septembre 2011 à 14:10
@ LABOCA,
merci de me fixer définitivement sur la
théorie (pardon : concept) des genres par
votre non-réponse à ma question ?
Il suffisait de me dire : je l'ignore !
J'admire l'esquive que supportent les Français !
Bon dimanche.
Rédigé par : calamity jane | 10 septembre 2011 à 13:44
dans un couple d'homosexuels les rôles sont figés, une fois distribués : l'un des membres du couple fait homme et l'autre fait femme (...)
celui d'entre les deux homosexuels qui jouait le rôle de la femme et ainsi avait pris le patronyme de celui qui jouait le rôle de l'homme, devra rendre ce patronyme.
Rédigé par : LABOCA
Mais que fume LABOCA ?
C'est ça la philosophie Vanneste. C'est profond.
Je vais y apporter ma pierre: au Brésil l'ordre des noms est inversé par rapport aux autres pays latins...
Ah ah ah !
Rédigé par : Alex paulista | 10 septembre 2011 à 12:56
"...ce contentement admiratif qui réduit au caniveau tout ce qui n'est pas nimbé de votre lumière, cette impressionnante enflure de soi..."
JDR
C'est un joli autoportrait...
Rédigé par : Jean-Paul Ledun | 10 septembre 2011 à 12:41
J'ai lu un article sur la rumeur récemment.
L'attrait de l'être humain pour les cancans est, pour lui, une manière efficace d'apaiser ses angoisses : le malheur des autres rend justice au nôtre.
Les rapports sociaux étant pour le moins distendus (la rumeur ne se propage plus que dans le cercle fermé des relations professionnelles), ce sont les tabloïds qui ont pris le relais avec pour cibles consentantes les stars dans le domaine extra professionnel.
Je suis convaincue que, sous l'angle de cette porte ouverte désormais enfoncée, la déclaration de Mme Karembeu ravit tous les coeurs féminins récemment brisés.
Rédigé par : Judith | 10 septembre 2011 à 11:52
calamity jane | 09 septembre 2011 à 15:57
Vous dites :
"à propos de patronymes : qu'en est-il en
cas de mariage homosexuel ?"
La question ne se pose pas, car Sarkozy a juré que sous sa présidence il n'y aura jamais création du mariage homosexuel.
Dans une récente décision sur QPC le Conseil constitutionnel a esquivé la question et renvoyé la balle devant le Parlement, qui a dit qu'il ne se bougera pas jusqu'à la fin de la législature.
Les Français sont contre le mariage entre homosexuels, exactement comme ils sont hostiles à la suppression des allocations familiales.
Comme dans un couple d'hétérosexuels, dans un couple d'homosexuels les rôles sont figés, une fois distribués : l'un des membres du couple fait homme et l'autre fait femme, exactement comme chez les hétérosexuels - auxquels de toutes façons s'applique la loi naturelle.
Il est donc facile de faire une réponse à votre question. Cette réponse ne pourrait être subjective mais de logique : si une rupture devait intervenir au sein d'un couple d'homosexuels liés par un hypothétique mariage, celui d'entre les deux homosexuels qui jouait le rôle de la femme et ainsi avait pris le patronyme de celui qui jouait le rôle de l'homme, devra rendre ce patronyme.
Rédigé par : LABOCA | 10 septembre 2011 à 02:24
@Dame Valerie
C'est probablement la solidarité féminine qui vous fait voir du graveleux là où il n'y a que taquinerie.
Mon cursus sous votre plume est dans le désordre, je ne suis pas ancien aumônier militaire, mais d'abord ancien militaire et ensuite ancien aumônier de détention, mais toujours homme qui aime bien l'être sans avoir aucunement d'irrespect pour la gente féminine.
Cordialement
Pierre-Antoine
Rédigé par : Pierre-Antoine | 09 septembre 2011 à 23:58
C'est vrai qu'à l'heure où le monde s'écroule, voir ce genre de titre à la une d'un hebdo, aussi futile soit-il, ça me fait regarder avec méfiance et malaise les humains que je croise... C'est moi, ou eux qui sont... bizarres...
Rédigé par : Bernard-Henri Botul | 09 septembre 2011 à 19:42
Rédigé par Monsieur Pierre-Antoine le 09 septembre 2011 à 13:28
Dame Ivana m'a tendu la perche, elle était trop belle (la perche...)
Ah... C'est en lisant cette perle de "Monsieur-l'Ancien-Aumonier-Militaire" que j'aurais tant aime etre un homme pour faire une bonne grosse blague graveleuse ! Dommage ! J'envie Monsieur oursivi "Le Specialiste" dans le genre.
Dame Ivana ou Dame Adriana ?
Sinon, en plus de m'instruire de facon ludique, qu'est-ce que je me "marre"... je ne sais pas pourquoi mais recemment le blog de Monsieur Bilger est vraiment devenu "space" ! Certains etant partis a la conquete de l'Ouest n'ont certainement jamais retrouve le Nord !
Rédigé par : Valerie | 09 septembre 2011 à 19:19
Ivana Fulli,
Je ne vous ai pas interpellé depuis votre arrivée sur ce blog, voulant laisser cette besogne aux historiques du lieu, mais sachez que ces derniers jours mon sang bouillait quand en cliquant sur "commentaires:32" je découvrais que la moitié était signée de votre nom... et tout ça pour nous déverser une diarrhée verbale avec comme seul intérêt celui d'occuper notre Laboca qui, signe qui ne trompe pas, a vu en vous du sublime...
Quand je pense que vous vous dites psychiatre ! Merde alors ! Pauvres fous...
Bref, tenez-vous-en à votre dernier post et bonjour chez vous !
Ne me remerciez pas...
Rédigé par : herman | 09 septembre 2011 à 18:38
Je pense que cela vous fera de la peine mais Adriana n'est plus Karembeu mais seulement Sklenarikova ! l'amour est fini !
Rédigé par : Ozaguets | 09 septembre 2011 à 17:29
@ LABOCA
à propos de patronymes : qu'en est-il en
cas de mariage homosexuel ?
Rédigé par : calamity jane | 09 septembre 2011 à 15:57
Pourquoi donc des "escort girl" dans notre société sont-elles privilégiées au niveau de leurs opinions ou sont-elles dans le caritatif ?
La réponse est peut-être dans la question : tout ce qui sert la puérilité, l'infantilisme, l'indécence aussi sont toujours bon à prendre pour "l'imposteur".
Un tel cerveau (6 ans et demi puisque 7 c'est l'âge de raison) dans une créature aussi magnifique !?
Comme au "plus bas niveau de l'Etat", le métier le plus bête (top model) conduit au plus ancien ("escort girl") : oui tout cela est toujours bon à prendre pour l'imposture et ceux que cela sert.
Rédigé par : GERARD DUFFOURG | 09 septembre 2011 à 15:36
"Adieu les autruches." nous lance Ivana Fulli, après avoir insulté le maître de ces lieux.
"Adieu" ? Vraiment ? Merci !
Rédigé par : Frank THOMAS | 09 septembre 2011 à 14:41
Merci monsieur Bilger pour ce billet d'humour, cela rafraîchit et détend en cette période rentrée, serrée au collet, et non "collé serré" ! Zouquez !
Rédigé par : regina | 09 septembre 2011 à 13:30
@Dame Mary
"LE" Buenos Aires auquel je fais référence est parfois utilisé pour "blouser" les élèves pilotes.
"Faites un plan de vol pour Buenos Aires au Brésil et bien sûr ils le font pour Buenos Aires Argentine en se disant l'instructeur commence à vieillir.
J'ai voulu souligner également que les certitudes pouvaient induire en erreur, les miennes en premier et celles des autres, s'ils en ont bien sûr :-)
Je n'ai pas voulu faire la liste exhaustive de tous les Buenos Aires... Mais celui que j'ai choisi est bien listé, puisque référencé sur Google (voir l'URL)
Dame Ivana m'a tendu la perche, elle était trop belle (la perche...)
Cordialement
Pierre-Antoine
Rédigé par : Pierre-Antoine | 09 septembre 2011 à 13:28
Canonisation !
De plus Adriana Karembeu n'est pas une niche fiscale !
Je préfère voir sa tête que celle de DSK, d'Eva Joly ou Besancenot, et tous les autres, je suis sûre au moins qu'il n'y a rien "derrière" !
C'est un fond de commerce, on aime ou pas la vitrine. Je préfère celle de Georges Clooney, qui lui ne croit plus au mariage !
Rédigé par : regina | 09 septembre 2011 à 13:20
Achille | 09 septembre 2011 à 08:10
Vous écrivez :
"Amusant de se dire que le nom de Karembeu est aujourd’hui plus attaché à l’image de celle qui en a fait l’acquisition en se mariant à un obscur joueur de football qu’en celui qui en est le titulaire.
Un peu comme Martine Aubry en somme qui continue à garder le nom de son ex.
Ah ces femmes, elles veulent bien changer de mari, mais pas changer de nom. Il est vrai qu’une fois que l’on a acquis une certaine célébrité sous un nom, on s’y attache un peu comme un label... et puis ça évite tout un tas de tracasseries administratives."
Les féministes sont des personnes opportunistes, comme le reste de la population.
Il y a effectivement un paradoxe à voir les féministes, d'une part, demander que soit consacré le droit de la mère de transmettre son nom de jeune fille à l'enfant, et, d'autre part, encourager la femme à continuer de porter le nom de son ex-mari qui pourtant l'aurait trahie, trompée ou violentée.
J'ai toujours douté de la sincérité des féministes que je soupçonne de se comporter à l'égard de leurs hommes d'une façon contraire aux idées qu'elles professent.
Si Adriana et Martine avaient un peu de dignité, elles devraient renoncer à porter le nom de leurs ex-maris respectifs.
La loi doit interdire aux femmes divorcées de continuer à profiter de leurs anciens maris en conservant le patronyme de ceux-ci.
Les féministes de la région parisienne adorent bien vivre avec des hommes riches qui leur apportent tout et dont elles acceptent volontiers tous les caprices de masculin.
Rédigé par : LABOCA | 09 septembre 2011 à 13:04
Buenos Aires es un municipio brasilero en el estado de Pernambuco Senor.
Celle que vous signalez dans votre lien n'est pas listée parmi les municipalités de l'état de Sao Paulo.
Par ailleurs, vous n'avez vraisemblablement pas compris la raison de mon intervention initiale qui n'avait certes pas pour objectif d'étaler des connaissances quelconques, ou de lancer un débat sur des villes homonymes, mais simplement de corriger les propos par trop condescendants et satiriques de Mme Fulli à l'égard d'une intervenante. Toute autre remarque consistant à énumérer les (nombreuses) villes du monde de moindre importance qui porteraient le même nom qu'une capitale ou une ville célèbre est donc hors sujet.
Cordialement.
Rédigé par : Mary Preud'homme @ Pierre-Antoine | 09 septembre 2011 à 12:01
@ Ivana Fulli
On voit que vous n’êtes pas allée faire un tour sur les autres blogs, que ce soit ceux de personnalités du monde des médias ou de la politique.
Ce blog est encore un des rares où le billet est bien écrit, les sujets de société variés et présentés avec une argumentation cohérente même si parfois on peut la contester.
Entre nous, je me demande si les blogs italiens sont vraiment en mesure de nous donner des leçons sur la teneur des sujets.
Si oui, le mieux encore est que vous alliez sur ces sites plus en mesure de vous épanouir intellectuellement.
Rédigé par : Achille | 09 septembre 2011 à 11:26
@ Jean-Dominique,
Là, je viens de reposer de mes mains
"dictionnaire illustré d'histoire naturelle"
en deux volumes (recherches persos) et pour
me détendre je vais sur le blog de Monsieur
Bilger !
Je lis votre commentaire adressé à I. Fulli,
et constate que je n'aurais pu faire une
meilleure description !
Rédigé par : calamity jane | 09 septembre 2011 à 11:26
Ivana Fulli, vous êtes... je cherche le mot pour désigner cette distinction vaniteuse, cet imperturbable bombardement de propos hors-sujet, blessants, passablement décousus, ce contentement admiratif qui réduit au caniveau tout ce qui n'est pas nimbé de votre lumière, cette impressionnante enflure de soi, qui feraient croire que, déguisée en Napoléon, vous vous êtes échappée de votre propre cabinet, vous êtes, ah voilà, j'ai trouvé ! Vous êtes casse-burnes.
Rédigé par : Jean-Dominique @ Ivana Fulli | 09 septembre 2011 à 11:03
LE COCHE ET LA MOUCHE
Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé,
Et de tous les côtés au soleil exposé,
Quelques autruches tiraient un Coche. Une Mouche survient, et des autruches s'approche ;
Prétend les animer par son bourdonnement ;
Pique l'une, pique l'autre, et pense à tout moment
Qu'elle fait aller la machine,
S'assied sur le timon, sur le nez du Cocher ;
Aussitôt que le char chemine,
Et qu'elle voit les gens marcher,
Elle s'en attribue uniquement la gloire ;
Va, vient, fait l'empressée ; il semble que ce soit
Un Sergent de bataille allant en chaque endroit
Faire avancer ses gens, et hâter la victoire.
La Mouche en ce commun besoin
Se plaint qu'elle agit seule, et qu'elle a tout le soin
Qu'aucun n'aide aux autruches à se tirer d'affaire.
Dame Mouche s'en va chanter à leurs oreilles,
Et fait cent sottises pareilles.
Après bien du travail le Coche arrive au haut.
Respirons maintenant, dit la Mouche aussitôt :
J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine.
ça, vous les autruches, payez-moi de ma peine.
Ainsi certaines gens, faisant les empressés,
S'introduisent dans les blogs Ils font partout les nécessaires,
Et, partout importuns, devraient être chassés.
Rédigé par : La Fontaine pcc sbriglia | 09 septembre 2011 à 10:43
M. Bilger
Souffrez que je vous vous félicite.
Vous avez trouvé le sujet le plus adapté qui soit à vos commentateurs habituels.
Adieu les autruches.
Rédigé par : Ivana Fulli | 09 septembre 2011 à 09:24
@Alex paulista | 08 septembre 2011 à 19:02
"Désolé de faire le rabat-joie, cher Philippe, mais pour moi, tant qu'elle n'est pas enceinte, le malaise diffus continue."
Expliquez-nous ça cher monsieur. Vous soupçonnez quelque chose? Mais bon question d'anatomie, je vous rassure tout suite, c'est bien une dame, à première vue rien à voir avec Amanda Lear.
Ceci étant, « Quand j’ai découvert ma première ride, vers 38 ans, je me suis dit : “Mais c’est quoi, ça ?” Puis, je l’ai regardée de plus près et j’ai pensé : “Tiens, c’est vrai, ça arrive…” Et j’ai fait avec. On peut rester une très jolie femme à tout âge de la vie. (...) Face à cette ride, je me suis surtout dit : “Voilà, j’entre dans la seconde partie de ma vie. Celle où l’on doit affronter – c’est statistique – des maladies. Ou la maladie des autres, la mort de ses proches.” D’ailleurs, aussitôt, j’ai fait un lumbago ! » Explique-t-elle. Pensez-vous qu'avec un lumbago, surtout à 40 ans, on puisse envisager une première grossesse?
A mon avis la belle Slovaque en a fait son deuil depuis longtemps. Les os du bassin ne s'étant pas mis en place lors d'une première grossesse à un âge rendant la chose possible sans trop de mal, elle serait sans doute dans la nécessité de recourir à une césarienne et là, rendez-vous compte, une cicatrice de césarienne ce n'est pas une simple ride pour une réclame de maillots de bain mini!
Or donc, si vous décodez correctement la suite de l'interview:
Q:« Un bébé prochainement? »
A: «Pas exclu ! Mais je ne suis pas encore décidée. En fait, ça commence à me stresser. Tout le monde me dit : “Lance-toi.” Mais il ne faut pas se tromper… En n’ayant pas d’enfant, une femme passe peut-être à côté de quelque chose d’extraordinaire. Mais peut-être pas, non plus ! Il faut en finir avec la discrimination des femmes qui ne veulent pas d’enfant. Ce n’est pas un crime, elles ne sont pas le diable!»
Rédigé par : Catherine JACOB@Alex paulista | 09 septembre 2011 à 09:00
« Adriana Karembeu croit encore à l'amour. »
Et elle a bien raison. C’est sans doute la seule croyance qui permet d’espérer une vie meilleure. Même si parfois, la déception est au bout du chemin.
Amusant de se dire que le nom de Karembeu est aujourd’hui plus attaché à l’image de celle qui en a fait l’acquisition en se mariant à un obscur joueur de football qu’en celui qui en est le titulaire.
Un peu comme Martine Aubry en somme qui continue à garder le nom de son ex.
Ah ces femmes, elles veulent bien changer de mari, mais pas changer de nom. Il est vrai qu’une fois que l’on a acquis une certaine célébrité sous un nom, on s’y attache un peu comme un label... et puis ça évite tout un tas de tracasseries administratives.
Rédigé par : Achille | 09 septembre 2011 à 08:10
Cher Philippe Bilger,
Grâce à vous et à votre découverte, ma journée est également éclairée.
Adriana croit encore en l'amour, quel bonheur !
J'en pleurerais de joie.
Alain
Rédigé par : Alain | 09 septembre 2011 à 01:36
Comme Jeanne et Beyoncé, grâce à ce billet je sens l'amour grandir en moi.
Au point de mettre en lien pour notre calamity jane italophone une chanson en phase avec l'actualité d'Adriana.
Ah l'amore version spaghetti... ça survit à toutes les crises.
Rédigé par : Alex paulista | 09 septembre 2011 à 01:17
C'est toujours plaisant de voir des gens se marier, à une époque où certains s'emploient à faire passer les mariés hétérosexuels pour des ringards.
Si le mariage est une excellente chose, il faut encore que celui et celle qui veulent y entrer soient sincères.
De nos jours, de nombreux mariés ne s'engagent réellement pas mais cherchent seulement à être l'épouse ou l'époux d'un homme riche ou d'une femme riche.
Le futur mari d'Adriana est apparemment un homme fortuné et l'on peut se demander si cet élément n'a pas été décisif dans le choix de la femme aux longues jambes.
Adriana est une divorcée et la probabilité est forte qu'elle divorce à l'avenir de celui qui sera bientôt son époux.
Elle doit savoir qu'une femme mariée est moins libre qu'une femme célibataire, car entrer en mariage implique qu'on renonce définitivement au comportement de célibataire.
J'espère vraiment qu'Adriana sera une épouse donnant satisfaction à son homme.
Je prierai pour elle et son homme.
Rédigé par : LABOCA | 09 septembre 2011 à 01:16
Il y a même une ville qui s'appelle La Guadeloupe au Québec
http://grandquebec.com/villes-quebec/guadeloupe/
Rédigé par : rainette | 09 septembre 2011 à 00:59
Cher Philippe,
Vous êtes adorable lorsque vous vous montrez fleur bleue. Vous vous souvenez de la recherche de la rose bleue ?
Celle du petit prince bien sûr...
Répondez de grâce.Et dites-nous tout. Car si dans notre morale sur l'amour, vous avez changé le destin d'Adriana dans la fin censurée des Trois petites filles, nous devons le savoir et en avoir le coeur net.
Oui Adriana est splendide dans ses douces rondeurs qui pourraient incarner la statue de la liberté. Oui dans sa légèreté et dans sa fraîcheur acidulée, elle fait plus de bien à notre société que 10000 Royal et Aubry rassemblées. C'est ce culte de la maigreur qu'il faut anéantir.
Oui, le chocolat, le vrai chocolat, c'est bon. Oui, l'amour, le véritable amour, c'est exquis ou extra même si l'amour est triste.
Vous connaissez tous ces classiques...
Oui, rêvez, c'est déjà ça...
Et à propos de votre question sur l'indépendance et la liberté, ce que nous devons inventer puisque les deux ne sont qu'illusion, c'est peut-être une liberté pratique encadrée des différents logos y compris le logos spermatique qui risque de fouler bien au-delà du tragique nos pauvres repères et nous faire basculer dans l’ante-mythologie.Bougez-vous, légistes. Éveillez-vous grands dormeurs des cavernes qui n'appréhendez pas ou si peu les chaos improvisés par quelques chercheurs isolés.
Formez vos disciples à l'écoute et à l'anticipation, car dans ce siècle d'accélération,vous n'êtes pas de taille à nous défendre hardiment.
Vos lois glissent de décennie en décennie rendant possible des commerces d'organes, des clonages privés. Même l'Unesco recule devant les pressions d'espérance de mythe de jouvence. Allez-vous accepter d'autoriser commerce et tri de gamètes comme cela est déjà possible dans de nombreux pays ? La science inconsciente est en marche et vous restez impuissants.
Les scientifiques bercent votre ignorance.
Oui, l'amour existe encore et pour combien de générations ?
françoise et karell semtob
Rédigé par : Semtob | 09 septembre 2011 à 00:46