En ce dimanche on ne peut pas y couper ! Je n'aimerais pas rester sur un billet rentré. Je sais bien que la défense de l'euro est au coeur d'un débat européen capital avec un affrontement franco-allemand qui à la longue semble tourner en faveur de la puissance exportatrice teutonne.
Mais tout de même 8 à 7, seulement un petit point d'écart entre la Nouvelle-Zélande et la France en finale de la Coupe du monde de rugby à Auckland (20 minutes, le Parisien, l'Equipe, JDD.fr)...
Je voudrais retenir un triple constat de cette compétition qui nous a mobilisés devant nos postes pour le meilleur ou pour le pire. Constat parfaitement subjectif, je l'admets, mais chacun est libre d'en faire d'autres.
Le comportement exemplaire d'un François Trinh-Duc, qui devenu remplaçant alors qu'il était prévu comme demi d'ouverture titulaire, n'a pas émis une protestation, est demeuré discret, a conservé un esprit admirable et a participé à la finale en manquant une pénalité certes mais en accomplissant un grand match, avec notamment une percée de classe interrompue par une "cuillère" chanceuse.
L'attitude de l'entraîneur Marc Lièvremont, un homme abrupt, franc du collier, pétri de valeurs morales, lunatique, vraiment atypique mais qui n'a rien à voir avec Raymond Domenech. On peut ne pas aimer le premier mais le second a dressé contre lui tous les vrais sportifs et tous les sportifs en chambre comme moi, ce qui fait une multitude. Lièvremont, aujourd'hui, est sûrement respecté.
Enfin, la magnifique défaite de l'équipe de France en finale. Je sais bien que dans beaucoup de compétitions la France est souvent considérée comme la meilleure même quand elle perd. C'est souvent de la faute des autres, jamais de la sienne. Elle a été victime d'une injustice. C'est une rengaine trop fréquente, trop commode pour ne pas exaspérer.
Mais, pour une fois, l'équipe de France a été battue et pourtant il serait indécent de l'accabler alors qu'elle a fait mieux que faire trembler la meilleure équipe de rugby du monde sur le long terme : celle des All Blacks. Elle l'a dominée souvent, elle l'a étonnée, elle l'a presque domptée. Je ne suis pas suffisamment expert des règles du jeu pour affirmer péremptoirement qu'elle a été volée par l'arbitrage. Mais même pour le profane, certains comportements néo-zélandais, lors des mêlées ouvertes ou fermées, auraient semblé mériter une vigilance plus sévère de l'arbitre Craig Joubert qualifié par Marc Lièvremont de "meilleur arbitre du monde". Lièvremont avait promis de se taire sur l'arbitrage. Il a tenu parole. Encore une fois, un homme d'honneur.
Elle est catastrophique, cette défaite. Elle a fait pleurer des joueurs et il n'y a pas de quoi se moquer. Elle va nous empêcher de dormir.
On gagnera la prochaine Coupe du monde. Pourquoi pas ?
Dusautoir.
On ne peut pas écrire sur cette finale sans citer Thierry Dusautoir.
Rédigé par : Alex paulista | 30 octobre 2011 à 06:13
Bonjour,
Je réitère mon propos à l'attention de M. LABOCA.
Marc Lièvremont a fait aussi bien et même bien mieux que nombre de ses prédécesseurs. Le rugby proposé est en construction, dynamique, porté vers l'attaque, ce que les joueurs ne comprennent pas toujours eux-mêmes, rejoignant un peu de cette intelligence situationnelle chère à Pierre Villepreux et si souvent moquée par ses compères.
Je ne remonterai pas au petit caporal mais les chiffres sont là, Marc Lièvremont est bon, a bien mené sa barque, un grand chelem et une finale de coupe du monde en quatre ans, et surtout, n'a jamais par son attitude dénaturé l'esprit d'un sport qui s'en réclame tant.
Rédigé par : jérôme | 28 octobre 2011 à 15:55
J'ai dévoré avec bonheur votre billet.
Que d'émotions à sa lecture, la même que j'ai eue pendant ce match homérique.
En effet je suis fier que vous ayez cité Trinh-Duc : ses deux actions et son travail à son poste m'ont arraché une larme de bonheur sublimé.
Voir son visage de gamin réjoui pendant ses courses et sa sérénité juvénile m'ont offert un moment intense de zénitude.
Bien sûr ce serait affreux de ne point citer tous les autres combattants de l'ombre des mêlées et mauls.
Que de crampes de stress, de serrements d'estomac j'ai eu depuis... mon canapé.
Une heure et demie de démonstration de courage, de volonté, d'abnégation, de sacrifice (Parra).
Dusautoir a mérité son titre même si ça le gêne d'être le seul cité.
Je salue aussi Marc Lièvremont qui peut être fier de son parcours malgré les bêlements des millions de sélectionneurs yaka focon yavéka.
Quant à William Servat dit "La bûche", un de mes préférés, j'ai déjà anticipé mes commandes de Noël en demandant à mon pâtissier de me faire des bûches "William Servat" avec son crayon alimentaire pour notre repas de famille !
Rédigé par : sylvain | 25 octobre 2011 à 13:40
Deux petits points et puis s'en vont..
L'équipe de France joue toujours dans le haut du tableau mondial depuis plus de quarante ans et c'est rassurant pour son avenir. C'est un de ses plus beau et un des plus grand match, elle a fourni du très beau jeu, nous n'avons pas en rougir pour deux petits points et une pénalité et un drop manqués. Il faut penser à la prochaine victoire. Thierry Dussautoir, Morgan Parra,.... semblent tous indiqués pour la suite de la Webb Ellis..
Quelques fautes n'ont pas été sifflées en notre faveur, le Rugby m'a coûté aussi deux molaires et une fracture du nez..., je n'en suis pas plus amer pour autant, l'arbitre est lui aussi le 31ème joueur décisionnel. Ce n'est jamais que notre troisième défaite aux portes de la gloire.
C'est plus réconfortant que de constater que notre politique économique européenne nous mène à l'impasse et dans le mur, je vous l'accorde.
Rédigé par : On se bat toujours pour ce qui nous manque le plus | 25 octobre 2011 à 00:05
Très beau match de coupe du monde en effet. Le résultat d'un bon entraîneur et d'excellents joueurs.
Piètre match de "coupe d'Europe" en revanche ce week-end. Faut-il que l'Europe révèle sa réelle impuissance et sa dispersion sous les coups de boutoir des marchés financiers ? Cette Europe-là saura-t-elle encore progresser, se construire un avenir commun, peut-on l'espérer ? Elle est encore principalement le reflet des intérêts nationaux et son système décisionnel (notamment la lenteur de la validation par les parlements) serait risible si les populations n'avaient pas à subir les conséquences d'une gouvernance aussi inapte et inadaptée.
Rédigé par : jack | 24 octobre 2011 à 18:47
Rendons à ces arts ce qui leur revient de plein droit
http://www.telegraph.co.uk/sport/rugbyunion/rugby-world-cup/8844344/Rugby-World-Cup-2011-New-Zealand-v-France-player-ratings.html
lisez les commentateurs, ils sont presque aussi bons que les plaqués hors sujet de PB. Just as much fair-play as you'd dream about.
http://www.nzherald.co.nz/rugby-world-cup-2011/news/article.cfm?c_id=522&objectid=10761340
Nice too, comme dirait LABOCA, l'arbitre (et bistre aussi, de rouge confusion) de l'anglaise promenade.
AO
Rédigé par : oursivi | 24 octobre 2011 à 16:47
(plutôt) vraisemblablement "cloués" à nos canapés.
Rédigé par : Jacquou de Faulives | 24 octobre 2011 à 12:37
Quoique ce genre de match, même en chambre ou en canapé, se contemple rarement dans l'inaction et la passivité, tant le transfert est grand...
Le côté quasi martial de l'exercice justifie aussi ce choix. Et puis... vous verriez Philippe au garde-à-vous devant son canapé pendant les hymnes, que ne railleriez pas ce qui nous fit piaffer devant cet hymne à l'amour du jeu, ou à la joie, si on se sent encore Européen.
Mais si, mais si... on y croit, nous avons bien failli battre les Blacks rugbystiquement, alors économiquement, on battra les Jaunes, forcément, et pour adverber à loisir.
En neige, déjà, histoire de changer un peu.
Et, entre Jean-Paul L. qui rêve de battre les Roses, quelques autres ici qui rêvent de battre les Verts - là où les Blacks durent leur faire rendre leur dernière larme de champagne, aux verres, les nôtres sont Verts et à pied bien frigide - P.A. qui rêve de bouter un autre vert loin d'ici, JDR AP et quelques autres qui voient du Rouge-Brun partout, Mary et CathA&J auxquelles ai laissé quelques bleus - et toutes mes excuses - moi qui ai parfois des blancs et fais comme ici du remplissage sans violet personne comme dirait DSK.
Donc, la Grèce l'Europe l'Euro et les malheurs de sophisme (on en lit de si beaux ici sans payer de droit d'auteur là-bas, d'où leur déficit), ne tarderont pas à reprendre des couleurs, les couleuvres, ils les ont déjà avalées, toutes.
Les Européens sont de toutes les couleuvres, depuis longtemps.
United couleuvres de Benêthon.
AO
Rédigé par : oursivi | 24 octobre 2011 à 15:53
Pas du tout d'accord Jacquou, là je défends Philippe. Pour s'installer sur le canapé de mon père, et regarder la finale avec lui, il m'a fallu d'abord sortir dans la rue et actionner mon véhicule. Une mobilisation peut très bien avoir un point de chute statique. Tiens, c'est marrant, quand j'écris ces mots je repense au service militaire défunt. Ben, c'était exactement ça pourtant. Bière et attente, il n'y a pas que le rugby qui fonctionne ainsi. Enfin, on peut toujours mobiliser ses propres rêves et appeler de ses voeux... la victoire. Ou à défaut, le frisson.
Rédigé par : scoubab00 | 24 octobre 2011 à 14:41
"S'agissant de la finale de la coupe du monde de rugby, nous avons été vraisemblablement "cloués" à nos canapés."
...Et si j'ai été tiré de mon lit par un enthousiasme mobilisateur (petit Robert) vers l'étrange lucarne du salon, n'ai-je donc pas été mobilisé ?
Va falloir être très pro, Jacquou, pour chercher Philippe Bilger sur la sémantique !
Rédigé par : cuistriglia | 24 octobre 2011 à 14:28
Moralité :
Mieux vaut perdre avec panache que gagner sans honneur.
Un très beau match où l'on sentait de part et d'autre une volonté de se dépasser. De l'énergie et du courage à l'état brut.
Du grand et noble sport... et des hommes virils, comme on les aime !
---
Par ailleurs, ce genre de rencontre n'a fait que me renforcer dans l'idée que le rugby, sauf à en modifier toutes les règles, n'est décidément pas un sport de femmes.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 24 octobre 2011 à 14:10
Des joueurs de rugby qui pleurent : lamentable !
...Et dans notre armée, avons-nous le même genre de combattants ?
Rédigé par : Lematch | 24 octobre 2011 à 14:00
On a vu des hommes fiers, défendre leur honneur de joueurs, car ce n'est qu'un jeu tout de même.
Ils ont perdu et c'est bien dommage pour eux et pour nous qui les encouragions.
J'ai assisté à un très beau match, viril mais correct, comme on aime à le dire.
L'arbitrage? C'était un arbitrage du sud avec tout même une certaine pression sur le maître d'oeuvre. On lui reproche de ne pas avoir tout sifflé mais au moins il n'a pas sifflé de fautes inexistantes comme on a pu le voir parfois.
Au final rien à redire sur la victoire des Blacks. Les meilleurs ont gagné.
Rédigé par : Surcouf | 24 octobre 2011 à 13:32
Prenons bonne langue.
"Mobilisés" devant nos postes de télévision...
En toute amitié respectueuse, mon cher Philippe Bilger, j'ose vous interpeller sur cette défaillance linguistique.
Mobiliser veut dire rendre mobile.
On mobilise l'armée lorsqu'on la fait sortir de ses casernes pour qu'elle se porte vers ses zones de déploiement initial.
S'agissant de la finale de la coupe du monde de rugby, nous avons été vraisemblablement "cloués" à nos canapés.
Rédigé par : Jacquou de Faulives | 24 octobre 2011 à 12:37
Les statistiques sont confortées : tous les 12 ans, la France va en finale de Coupe du monde de rugby à XV. Et la perd. Un point de débours en trompe-l'oeil, les Bleus sont passés moins près de la victoire que les Gallois il y a une semaine contre ces mêmes Français. D'où l'intérêt de mener au score dans ces parties-là, même de très peu. Je retiens d'abord notre belle réaction d'orgueil panachée de chance après la défaite-ratage contre les îles Tonga. Cette équipe de France-là ne m'a pas fait rêver, si peu de french flair dans son jeu ! Philippe a souligné le raid de François Trinh-Duc, mais on ne peut faire d'un seul fait de jeu une marque de fabrique. Lièvremont borduré, les Bleus ont fait du ravaudage express, redressé leur défense, pour reperdre contre les All Blacks. Je crois qu'on ne pouvait faire mieux cette année, si près et en même temps si loin, trois défaites quand même. Down under, de la Coupe aux lèvres, pas facile de gober le champagne faut dire.
Rédigé par : scoubab00 | 24 octobre 2011 à 11:03
Bonjour monsieur Bilger.
Je vous remercie de ce billet.
Je suis content du comportement de notre équipe de rugby, qui a fait honneur à la France, sur ce coin de bout du monde !
Rédigé par : J.A | 24 octobre 2011 à 10:03
"Je ne suis pas suffisamment expert des règles du jeu pour affirmer péremptoirement qu'elle a été volée par l'arbitrage. Mais même pour le profane, certains comportements néo-zélandais, lors des mêlées ouvertes ou fermées, auraient semblé mérité une vigilance plus sévère de l'arbitre Brice Joubert"
A l'issue de tout match il y a nécessairement un gagnant et un perdant quand il n'y a pas match nul.
Les Français ont perdu. Leurs adversaires ont gagné. Pourquoi laisser entendre qu'ils ne l'auraient pas mérité.
L'affrontement franco-allemand n'est pas un match sportif, sinon il faudrait mettre en question, puis éventuellement limoger l'entraîneur de l'équipe perdante !
Rédigé par : Catherine JACOB | 24 octobre 2011 à 09:07
Bonjour,
Soutien indéfectible de Marc Lièvremont et de sa vision dynamique du jeu, j'ai pesté et jouté avec beaucoup de passionnés, défendant et l'homme et ses choix.
Jean-Claude, je m'en voudrais de ne pas continuer à jouter un peu, nous méritons d'être en finale. Nous n'avons pas botté à la place des Gallois et ce qu'ils ont raté l'a été de leur fait.
Quant aux défaites en poule eh bien elles ne nous ont pas empêché d'être présents, les choix d'organisation ne sont pas les nôtres.
Tout au plus peut-on souligner que tout a été fait pour avoir un affrontement Nord-Sud qui permette un maximum d'audience, mais là encore nous n'y sommes pour rien, on pourra seulement se désoler, ou se féliciter pour d'autres, que l'argent domine le sportif.
Nous avons joué, et gagné.
Bravo Marc Lièvremont.
Mention spéciale à Thierry Dusautoir et William Servat, quels guerriers.
Pour la finale et M. Joubert, comment dire, comment dire, "c'est le meilleur arbitre du monde".
Rédigé par : Jerome | 24 octobre 2011 à 08:31
Belle défaite en rugby. Amère victoire en Libye...
Dès la libération annoncée la charia est proclamée... Bravo BHL et tous ceux qui pensent qu'entre dictature éclairée et obscurantisme proclamé le choix est évident.
Tunisie et Libye montrent une voie qui devrait faire réfléchir tous les beaux esprits épris d'une démocratie plus imaginée que réelle.
Rédigé par : nicolas | 24 octobre 2011 à 08:17
Bonjour Philippe Bilger,
Personnellement, si l’on considère le comportement de la presse sportive qui n’a cessé de critiquer cette équipe des Bleus, et en particulier leur entraîneur Lievremont, je trouve que le résultat obtenu est plus qu’honorable.
A entendre nos grands experts du ballon ovale qui sur le plan de la perfidie et de la méchanceté n’ont rien à envier à ceux du ballon rond, nos rugbymen allaient être « mangés tout cru » par les All Blacks. Or il n’en a rien été.
A croire que nos rugbymen ne sont jamais aussi bons que lorsqu’ils sont traînés dans la boue par les journalistes et raillés par leurs adversaires.
A en croire les sondages, les journalistes constituent la profession la plus honnie avec celles d’huissier de Justice, contrôleur fiscal et banquier. Après leur comportement pendant cette compétition, on peut facilement le concevoir.
Rédigé par : Achille | 24 octobre 2011 à 04:28
Cher Philippe,
Admettez tout de même que ce fut une très belle compétition.
C'est aussi plus dur avec le jet lag...
Le TAS ne signale aucune irrégularité.
Une superbe médaille d'argent à fêter sur les pelouses de l'Elysée en perspective.
Nous remercions nos champions du bonheur qu'ils nous ont donné.
françoise et karell semtob
Rédigé par : semtob | 24 octobre 2011 à 01:33
"Lièvremont, aujourd'hui, est sûrement respecté".
Vous me faites rire en écrivant ce que vous avez écrit.
Le bilan de Lièvremont à la tête du Quinze de France est désastreux.
Une seule finale héroïque et perdue ne peut masquer le plus mauvais bilan obtenu par un sélectionneur du Quinze de France.
En tant qu'ancien arbitre de rugby, je ne pense pas que nous avons été mal arbitrés, même si j'avais souhaité un arbitre originaire du continent américain.
Nous avons simplement été malchanceux !
Cette finale nous a permis de passer un bon moment, de vibrer un peu, à un moment où les politiciens mijotent quelque chose contre le Peuple.
Rédigé par : LABOCA | 24 octobre 2011 à 00:23
Etrange mélange des genres que la lente agonie d'une monnaie vs le goût amer d'une presque victoire (toute relative puisque sportive...)
Chapeau bas à nos "p'tits gars" volés par un arbitrage plus que laxiste, et préparons-nous à vivre une dure période de récession, qui arrive à grands pas, malgré les "remèdes miracles" de nos politiques certains d'en sortir victorieux (eux, sûrement, pour nous en revanche...).
Rédigé par : Lamarruche | 23 octobre 2011 à 23:08
Ce fut un beau match, dont le résultat est proche du match nul, mais il faut bien un vainqueur et un vaincu...
Sur l'euro : comme vous le dites la puissance exportatrice teutonne est en train de l'emporter. Nous aurions bien tort de le lui reprocher. Nous l'avons voulu ce fichu euro, nous pensions qu'un peu des qualités allemandes rejailliraient sur nous grâce à lui, on connaît le résultat... Il n'y a plus qu'une chose à faire : penser à nous sauver, nous, pas à sauver l'euro, abandonnons cette monnaie malfaisante, le plus tôt sera le mieux.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 23 octobre 2011 à 22:22
Ach Philippe,
Je partage votre analyse.
Je ne suis juste pas amer.
Sur l'ensemble de la compétition les Français ne devraient jamais se retrouver en finale quand les NZ ont brillé sur toute la longueur.
Et puis avec un seul petit point de différence face á des All Blacks á la maison, nous sommes autant champions du monde qu'eux !
A mon avis.
Rédigé par : Jean-Paul Ledun | 23 octobre 2011 à 22:06