On me pardonnera, pour une fois, d'écrire un billet pour plaider ma cause et soutenir un projet.
Depuis longtemps - on peut me reconnaître sur ce plan une certaine constance -, je suis déçu par les entretiens, les interviews médiatiques, dans la presse écrite mais surtout à la radio ou à la télévision. En vrac, il n'y a pas assez de place ou on accepte trop aisément la superficialité des réponses ou on n'ose pas aller d'emblée au coeur du sujet - dans les sens humain et intellectuel de ce terme - ou on tombe dans le promotionnel et l'hagiographie ou, faute de bien connaître la politique, l'économie, la finance, le film ou le livre, celui qui questionne laisse l'autre mener à sa guise l'échange sans opposer aux absurdités la moindre contradiction. Sans avoir forcément une Claire Chazal à dénigrer, combien de professionnels sont décevants par rapport à ce qu'un citoyen espère, attend d'eux !
D'où, trop souvent, l'impression qu'il manque l'essentiel, qu'on a abusé de la complaisance et que si on a dilaté le banal, on n'a pratiquement jamais touché la cible.
C'est à cause de la conscience de cet inachèvement structurel et du fait qu'à chaque coup, l'interrogation centrale, capitale était éludée, oubliée, occultée par lâcheté ou par connivence, par faiblesse ou par ignorance, que j'ai songé à un processus, à un questionnement qui, médiatiquement, seraient d'une simplicité évidente et redoutable.
Aux personnalités de notre monde politique, intellectuel, judiciaire, médiatique, culturel, artistique, sportif, habituées à n'être vraiment jamais rudoyées, je ne poserais qu'une seule question et elles auraient le droit d'y répondre sans être interrompues. Il ne s'agirait pas de n'importe quelle interrogation mais de celle qui, parce qu'elle est susceptible de faire vraiment mal, n'est jamais formulée. Il y a la plupart du temps, en tout être exposé publiquement et s'offrant par ses propos, ses oeuvres ou ses positions à l'opinion de ses concitoyens, une capacité de résistance, une aptitude à la tolérance mais je suis persuadé que chez chacun pourtant, la faille existe, la fragilité, le tremblement ou la peur. Ce je ne sais quoi qui révèle, qui dépouille, qui authentifie, qui désarme ou affermit. Qui fait que "je" devient un autre.
Cette unique question serait posée et autoriserait une réplique d'autant plus argumentée qu'il n'est personne dans l'espace public qui ne connaisse intimement ce dont on l'accable, ce qui est sa croix ou sa plaie profonde.
Imaginons BHL, Alain Finkielkraut, Jacques Attali, Alain Minc, Denis Olivennes, DSK, Nicolas Sarkozy, Jean-Luc Mélenchon, des cinéastes, des écrivains, des comédiens, Noah, Catherine Deneuve, Gérard Depardieu, des sportifs, une multitude de gens dans la lumière... Imaginons-les n'avoir à relever que cet unique défi : résister à l'accusation qui vient profondément les troubler, les irriter parce qu'elle est trop vraie peut-être, les offenser parce qu'elle est trop injuste...
Je n'ai pas envie de dévoiler, au sujet de chacun, la phrase, ma phrase qui viserait juste, qui ferait mouche. Surtout ne pas se tromper : serrer au plus près, au plus dur. Puis attendre, puis écouter.
Juste un exemple pour bien faire percevoir l'originalité de cette démarche. Au lieu de devoir m'appesantir sur ma prétendue vanité, mes positions politiques, mon tempérament compliqué, ma passion de la parole, je serais déstabilisé si j'étais confronté à mon désir forcené d'être aimé, à mon angoisse de l'abandon. On quitterait enfin la périphérie pour atteindre le centre.
Je rêverais d'entretiens où l'interrogation interdirait toute fuite. Cinq minutes de vérité. Tout entier dans sa réponse. Le salut ou la chute. La nudité de l'être contre l'artifice des conventions médiatiques.
Pour être franc, ce projet a été proposé et il a été refusé. En tout cas par quelques télévisions.
Cependant, je persiste. Dans ces cinq minutes de vérité ou "cette minute de Philippe Bilger", il y aurait quelque chose de neuf, d'abrupt, de sincère. On ne se dirait pas comme après tant d'interviews : pourquoi n'a-t-on pas posé LA question ?
Rien de plus passionnant, de plus fascinant que de voir, d'entendre une personnalité piquée au vif se défendre, protester parce qu'il s'agirait de son existence même. Une image de soi mise en cause dans, par une seule question.
J'espère qu'il y a encore des audacieux. Pour le tenter, le faire, pour s'y risquer.
Peut-on revenir sur un billet ancien malgré votre quota demandé ? Votre veto ne permettrait pas alors un échange éventuel, en toute courtoisie !
Si vous l'autorisez, pour revenir à Gérard Depardieu, entre autres informations, à travers ce lien, l'analyse de la TV russe, assez truculente !
http://www.youtube.com/watch?v=pnDquUFj0Ho
Rédigé par : Marie | 14 janvier 2013 à 10:13
On nous tue trois Kurdes en plein Paris, un pilote d'hélicoptère au Mali, un agent de la DGSE et pas une voix ne s'élève chez les journalistes français pour demander "cinq minutes de vérité" ?...
On voit bien que Sarkozy n'est plus au pouvoir, il y aurait eu Barnum et Bouglione sur toutes les chaînes de TV...
Rédigé par : Savonarole | 12 janvier 2013 à 20:21
"C'est à cause de la conscience de cet inachèvement structurel et du fait qu'à chaque coup, l'interrogation centrale, capitale était éludée, oubliée, occultée par lâcheté ou par connivence, par faiblesse ou par ignorance, que j'ai songé à un processus, à un questionnement qui, médiatiquement, seraient d'une simplicité évidente et redoutable.
....
Je n'ai pas envie de dévoiler, au sujet de chacun, la phrase, ma phrase qui viserait juste, qui ferait mouche. Surtout ne pas se tromper : serrer au plus près, au plus dur. Puis attendre, puis écouter."
Pourquoi pas en effet?
Je me rappelle, et je m'en souviens, quand au cinéma jouèrent quelques grands artistes-acteurs pour dire leur CV à Saint-Pierre...
Ils jouaient le moins possible, et plus jouaient-ils, moins bons étaient-ils à l'écran!
Pas cinq minutes, une heure trente au moins...
J'aimerais un procès, mené en manière médiatique, qui convoquerait tels ou tels reclus en médias, alors raconterait.
Vous sauriez rendre la chose intelligente, par delà l'intelligence journalistique, et l'audience serait à coup sûr au rendez-vous pour constater ou se repaître d'une presse suffisamment engluée!
Rédigé par : zenblabla | 12 janvier 2013 à 02:12
claggart - Gilbert Martinet dit GM
Un peu de bienveillance réconforte toujours ; tous et toutes y sommes sensibles, merci !
"Pitoyable comme toujours" vous avez raison claggart et effrayant quand ce malotru vulgaire et grossier se prétend enseignant... il y a tout à craindre pour ces enfants qui sont en danger LOL
Aucun parent n'oserait confier ses enfants à de tels ostrogoths ? ! L'Education nationale s'affirme de plus en plus comme un repère d'individus peu recommandables !
Pour ma part :
- Ces échanges me donnent envie de vomir !
J'en ai assez lu, le caniveau très peu pour moi, merci !
Rédigé par : Pietri S | 11 janvier 2013 à 17:06
@claggart | 11 janvier 2013 à 12:11
Monsieur oursivi applique avec un peu d'avance le mariage pour tous !!
@oursivi !
"Je me suis attardé devant la grille
Pour revoir le vieil ours faire le beau
Pour lui, nous étions un peu la famille
Vivant du meilleur côté des barreaux..."
http://www.youtube.com/watch?v=xyU6IHCfCRQ
Rédigé par : Marie | 11 janvier 2013 à 17:00
Juge et partie également sur le blog de Justice au singulier en l'écriture de Pietri S !
Je me demandais : faut-il prononcer le pseudo avec un "e" à la fin ? ou bien avec un "a" (de pietra) cad pierre !
A moins que le S majuscule suffise pour la phonétique de "esse" !
aol, bol, col, dol, eol, fol, gol, hol, iol, jol, kol, lol, loL, lOL, LOL mais c'est bien sûr !
Rédigé par : calamity jane | 11 janvier 2013 à 14:27
Oursivi veut me coller dans le lit de Pietri S ; il veut aussi y coller Alex ; sans préciser dans quel ordre, ou ensemble, et sans l'avis de Pietri S.
PS : oursivi a dit "Je suis impitoyable, ce soir".
J'imagine que c'est un lapsus, et qu'il voulait dire : "Je suis pitoyable, comme toujours".
Rédigé par : claggart | 11 janvier 2013 à 12:11
Rédigé par : Pietri S | 11 janvier 2013 à 07:36
Ah enfin du bien tordu, du bien rance, du bien glaviotant.
Pietri, ce ne pouvait être que vous !
Je vous retrouve là comme à nulle autre pareille, enfin de la haine comme on l'aime.
Suis malheureusement fort occupé à accueillir des étudiants ce jour mais je reviendrai vous remercier plus avant.
AO
Rédigé par : oursivi | 11 janvier 2013 à 11:52
Rien à rajouter aux propos de Catherine A que j'aurais pu écrire à la virgule près. Si ceci (pour M. Bilger qui chanta les louanges du sieur Badinter) : la valeur d'un homme ne se mesure pas à ses actes ou prises de position sur un sujet si démagogiquement et faussement humaniste. Sa non valeur se juge à l'aune de son incapacité à la vérité, de son mépris des humbles face à la collusion de caste ou d'amitié. Aimer un ami est-ce savoir le défendre de lui-même ou faire l'apologie de son "Indéfendable" ? Badinter n'a jamais été grand, il s'est servi d'une grande cause pour son aura. Avec l'affaire DSK il est redevenu ce qu'il est, "un petit monsieur" cynique et méprisant puisque niant ce que tous savaient et lui plus que les autres...
Rédigé par : une fan | 11 janvier 2013 à 08:58
Hors sujet, mais si peu !
A sa sortie j'avais osé 'dire/écrire' que 'Les Intouchables' était un film éminemment raciste, puisqu'il maintenait l'homme de couleur dans un rôle de dépendance à l'homme blanc, de feudataire, aux champs de coton on avait substitué des appartements confortables. Insultes et autres sarcasmes n'ont pas tardé...
Omar Sy était le fou du roi qui avait droit à la parole comme amuseur, Omar Sy se prêtait à ce jeu, mais le garçon semble assez intelligent pour ne pas avoir été dupe... Il donnait bonne conscience au cinéma français et à certains germanopratins pas seulement : mais le cinéma est culturel, et les Américains n'ont pas nominé ce film considéré comme raciste et provocateur, selon la culture américaine.
La culture universelle n'existe pas, les Français ne l'ont manifestement pas encore compris !
Rédigé par : Pietri S | 11 janvier 2013 à 08:20
oursivi
Vous êtes célébre et reconnu, vous faites l'unanimité contre vous, vous n'êtes qu'un misérable, minable et médiocre personnage.
Continuez à vous gaver de votre fange et à patauger dans vos immondices ; vous n'y entraînerez personne, vous êtes unique !
Rédigé par : Pietri S | 11 janvier 2013 à 07:36
"Et puis, des ennemis, c'est bien aussi, cela distrait."
Quoique, on les aime éblouissants ses ennemis, là, vos insultes... quel plan-plan.
Je ne sais pas moi, innovez, inventez quelque insulte de personnelle facture... je ne vous inspire pas mieux ?
Vous vous insultez à m'insulter si mal.
Allez, un effort, un peu de talent que diable !
AO
Rédigé par : oursivi | 11 janvier 2013 à 00:23
"... demander à Deneuve de quel shampoing elle use pour se laver la tête depuis la mort tragique de sa soeur,..."
Rédigé par : oursivi | 10 janvier 2013 à 15:58
Votre prose si prétentieuse méritait bien d'engluer un jour un commentaire aussi minable. Quelle suffisance. Quel médiocre.
Rédigé par : Chatte Anna | 10 janvier 2013 à 23:34
Cher Philippe,
Une autorité administrative indépendante et marquée politiquement 100% à gauche avec la nomination au Conseil Supérieur de l'Audiovisuel du très politique Olivier Schrameck, c'est une institution apolitique en moins. C'est la mort de l'indépendance du CSA.
Jusqu'où peut-on aller avec la dictature et la censure militante socialiste ?
Vive la liberté et que revive la France.
Et que dégage ce gouvernement illégitime !
françoise et karell semtob
Rédigé par : semtob | 10 janvier 2013 à 22:59
Christian C 19.42
J'ai oublié le principal, ce qui est votre marque de fabrique, qui méritait un commentaire supplémentaire, et à part : l'apport essentiel et renversant de votre commentaire au sujet proposé par Monsieur Bilger ! LOL LOL
Dommage que vous n'ayez rien trouvé de plus à ajouter à tout ce qui a déjà été écrit, peut-être que le niveau est trop élevé pour vous LOL LOL Vous l'avez cherché LOL LOL
C'est du second degré... il me semble important de vous le préciser, on ne sait jamais LOL
Rédigé par : Pietri S | 10 janvier 2013 à 20:50
Christian C 19.42
Excellent début, votre commentaire prouve que vous savez compter jusqu'à 14...
Persévérez en procédant à une analyse plus fine, par exemple : par nbre de consonnes, de voyelles, de ";", de ".", de ":", de "!", de "LOL" bien évidemment... LOL vous devriez peut aussi prendre en compte les espaces !
Vous êtes libre de la précision de votre analyse, je suggère une présentation type analyse abscisse/ordonnée.
... et continuez par une analyse sémiologique, juste pour vous occuper LOL
Rédigé par : Pietri S | 10 janvier 2013 à 20:45
Rédigé par : Alex paulista | 10 janvier 2013 à 16:24
Alex, les soupirs furent produits quand il leur fallut arrêter.
Si vous continuez, je vous colle dans le lit de Pietri.
Je suis impitoyable, ce soir.
AO
Rédigé par : oursivi | 10 janvier 2013 à 20:09
@ Chatte Anna
Les deux sont possibles : Pierre de la Ramée a répandu les lettres - ramistes - j et v dès 1559.
C'est aussi lui qui a introduit les mathématiques au Collège de France. Pour la peine, un de ses collègues envieux a profité de la Saint-Barthélémy pour l'assassiner... Le malheureux étant calviniste.
Rédigé par : Boris | 10 janvier 2013 à 20:07
Pietri, si vous continuez on vous colle dans le lit Claggart.
Je sais, c'est dur.
Très.
Mais qui aime bien, châtie bien.
AO
Rédigé par : oursivi | 10 janvier 2013 à 20:05
Cher Philippe,
Je viens de me livrer à un rapide calcul : un(e) seul(e) fan vous a adressé sur ce seul billet 14 (quatorze) commentaires.
Peut-être pourriez-vous vous fendre d'une demande en mariage ?
Rédigé par : Christian C | 10 janvier 2013 à 19:42
@Boris
Merci pour votre rafraîchissant "hors-sujet".
Vous allez dire que je pinaille, mais n'est-il pas préférable d'écrire "iudicaret" ?
Je ne suis pas sûre que votre orthographe ne soit pas valable, mes souvenirs de latin sont loin maintenant.
Excusez-moi, Monsieur Bilger, pour la reprise du hors-sujet.
Rédigé par : chatte anna | 10 janvier 2013 à 18:47
@sbriglia
Décidément je renonce à faire l'éducation de sbriglia ; non seulement il croit toujours que le "master at arms" donne des leçons d'escrime mais en plus qu'il a des galons, alors que c'est généralement un "petty officer".
Salut les terriens
Rédigé par : claggart | 10 janvier 2013 à 18:04
Rédigé par : sbriglia@claggart | 10 janvier 2013 à 07:09
Billy Budd ! Bravo sbriglia, y a qu'ici que l'on trouve soudain des références que l'on ne voit nulle part ailleurs... Avez-vous vu le film de 1962 avec l'énigmatique acteur british Terence Stamp ?
Avec le salaire de Dany Boon les Anglais pondaient à l'époque dix chefs-d'œuvre...
PS : pour les cinéphiles le nom de Dany Boon figure dans le film "Billy le menteur", avec Tom Courtenay et Julie Christie.
Rédigé par : Savonarole | 10 janvier 2013 à 17:30
Alex paulista 14.24
Merci pour votre commentaire plein de bon sens et apaisant face à la profusion de commentaires orgiaques, à la débauche écrite de certains mâles, ces "old chauvinist pigs" sexistes et détestables !
Rédigé par : Pietri S | 10 janvier 2013 à 17:06
"En plus, vous me faites bien rigoler avec cette nuance entre "soirées libertines" et "partouzes avec des prostituées" : tous les clubs libertins sont remplis de prostituées. Si elles ne sont pas fournies par le club lui-même elles viennent avec les clients."
AP
C'est fort juste, mais ne m'attribuez pas les propos de JDR, même si, globalement, je plussoyais* à ceux-là.
Cela écrit, me revient un soir de 99 où une fille - ma foi, jolie - m'aborda dans Paris et me proposa après deux whiskys de me faire connaître de ces endroits qu'elle semblait connaître fort bien.
Elle était tellement délurée qu'elle m'a fait un brin peur et que me suis dégonflé.
Ce sera pour une autre vie. J'ai appris quelques mois après qu'elle avait été internée... Gentille no-limit-fille complètement paumée, avec, bouée de sauvetage ou ancre à son cou, d'être en plus fort jolie. Elle n'était en rien prostituée, juste totalement larguée de toutes les amarres sociales qui nous recadrent.
AO
* je crois qu'on l'écrit ainsi, mais maître Capello-Claggart me corrigera avec sa règle en bois si je me trompe.
Rédigé par : oursivi | 10 janvier 2013 à 16:38
@ Catherine A. Lamentable... | 10 janvier 2013 à 14:20
Bien qu'à présent le hors sujet soit l'actualité de ce billet, vous citez exactement les raisons de mon absence d'admiration pour cet homme par trop louangé, ce que j'avais évoqué dans ma réaction au billet de Monsieur Bilger.
Rédigé par : Robert | 10 janvier 2013 à 16:31
@ oursivi
C'est l'homme qui est gâté et c'est la femme qui soupire... C'est tellement peu crédible que ça me déconcentrerait.
Je suis comme Claggart, moi, j'aime que les choses soient logiques.
Rédigé par : Alex paulista | 10 janvier 2013 à 16:24
Vous êtes en avance sur votre temps et un jour ou l'autre cette idée sera exploitée.
Rédigé par : Josiane Lacombe Minguell | 10 janvier 2013 à 16:08
Rédigé par : Boris | 10 janvier 2013 à 14:45
Génial ! Vous êtes bluffant, vous, parfois.
Philippe, vous devriez payer pour avoir des contributeurs pareils.
Feriez mieux d'interroger Boris que de demander à Deneuve de quel shampoing elle use pour se laver la tête depuis la mort tragique de sa soeur, ou à Noah s'il préfère les balles de couleurs ou les balles blanches...
Rédigé par : Catherine A. Lamentable... | 10 janvier 2013 à 14:20
Argh, vous ne nous comprenez point.
Un type qui viole mérite dix ans de prison, point.
Un qui saisit de force une (ou un) qui n'était en rien rentré(e) dans son jeu et la fait sa victime qui se retrouvera à se tordre de honte et de dégoût pour son propre corps, oui, alors celui-là mérite un châtiment exemplaire.
Concernant Nafissatou que l'on voit sur une vidéo de l'hôtel continuer à ranger du linge juste après le viol présumé, elle ne donne pas tout à fait l'image de quelqu'un qui va avoir du mal à s'en remettre... Qu'elle n'ait pas aimé ce que DSK a fini par lui faire, c'est sûr, mais qu'elle lui ait concédé juste avant quelques pratiques est fort probable lui aussi.
La suite de l'histoire a prouvé qu'une "simple" femme de ménage peut faire mettre en taule l'un des hommes les plus en vue au monde, et sa fin, vu la somme concédée, a surtout fait douter de qui s'était au final fait bai...
Concernant Mlle Banon, comme le dit justement Alex et comme l'avais dit alors, un recadrage judiciaire eût dû réorienter l'obsédé à temps.
Mais, elle, on en est certain de ses propos à elle, il ne l'a pas violée - et cela est mieux ainsi, bien sûr - elle est la première à le dire, trop tard et mal, mais elle le dit sans mentir, c'est déjà ça.
L'honnêteté doit toujours être saluée, même maladroite.
Les actes, pressions et propos de sa mère me semblent au moins autant condamnables que les lourdeurs de DSK.
"Ah, Claggart*, tel qu'en sa grisaille l'éternité le change !"
J'adore vos formules, sbrigi.
Mais, je radote.
AO
* ne nous en voulez pas Claggart, vous aussi vous finirez bien par vous trouver des amis par ici. Et puis, des ennemis, c'est bien aussi, cela distrait.
Rédigé par : oursivi | 10 janvier 2013 à 15:58
oursivi 13.33
Plutôt que bondir comme un vieux cabri, dès qu'il s'agit de défendre un vieux lidibineux, vous devriez savoir si vous ne le savez pas encore que seules 10% des femmes portent plainte pour éviter de devoir faire face à des individus comme vous dont les propos sont ceux de 'old chauvinist pigs" !
Rédigé par : Pietri S | 10 janvier 2013 à 15:33
"La dame n'a pas déposé plainte ; juste des soupirs."
Rédigé par : oursivi | 10 janvier 2013 à 13:33
On voit par là l'évolution des moeurs.
De mon temps on ne déposait pas les soupirs, on les expirait... surtout le dernier !!
Rédigé par : Tipaza | 10 janvier 2013 à 15:01
Ah, Claggart, tel qu'en sa grisaille l'éternité le change !
L'enfance est un territoire dont je ne suis pas sorti : vous avez dû naître avec la blouse grise et la sergent-major à l'index !
Claggart ou le petit Capello, maître d'armes mais certainement pas capitaine : les galons il les conserve dans sa boîte à couture... pour repriser mes hardes...
Rédigé par : sbriglia | 10 janvier 2013 à 14:48
@ oursivi
Pour autant qu'on le sache, Pline l'Ancien (Histoire naturelle, 35, 84) écrit : "ne supra crepidam sutor judicaret". La formulation "ultra crepidam" est due à Erasme, dans un de ses adages, repris par du Bellay, dans une lettre de 1532.
Il faudrait voir quel terme ledit Erasme utilise dans sa propre édition de l'Histoire naturelle, datée de 1525 (à Bâle, chez Jean Froben). Ce n'est malheureusement pas numérisé, et comme c'est à la réserve de la BN, il vous faudra une lettre de recommandation en béton armé pour la consulter. Vous aurez plus de chances à Sainte-Geneviève, ou à La Haye. Si vous voulez l'acheter, c'est 2200 euros sur AbeBooks.be. Beaucoup moins cher qu'un livre d'artiste contemporain... L'incunable de 1483, absolument splendide, est la première impression.
Quant aux manuscrits, je pense qu'ils doivent se trouver à la BN, dans les magasins des Manuscrits latins. Il y en a un daté de 1456. Ceci étant, on trouve de tout dans les fonds privés des Archives nationales...
D'une façon générale, les copies fautives et les interpolations sont nombreuses pour ce texte : c'est un des plus recopiés pendant l'Antiquité tardive et au Moyen Age.
Mes excuses, monsieur Bilger, pour le hors-sujet.
Rédigé par : Boris | 10 janvier 2013 à 14:45
@ oursivi | 10 janvier 2013 à 12:54
Pas si simple sur DSK: la frêle jeune fille de 45 kg était journaliste, dans son propre pays, et fille d'une collègue plutôt proche.
L'autre était une femme qui ne savait pas forcément s'exprimer et avait probablement peur d'avoir des problèmes avec son visa et son emploi. Et à New York il se trouvait dans le plus simple appareil, probablement encore sous l'effet de la pilule bleue.
En plus, vous me faites bien rigoler avec cette nuance entre "soirées libertines" et "partouzes avec des prostituées" : tous les clubs libertins sont remplis de prostituées. Si elles ne sont pas fournies par le club lui-même elles viennent avec les clients.
Non, DSK est un vieil incontinent libidineux, qui ne sait pas se retenir, au point de présenter un danger réel pour les femmes.
Quand on commence à essayer de prendre une femme de force - même une prostituée - ça n'est plus de la simple gauloiserie. La Banon, la Diallo, la copine à Dodo, une prostituée qui dit avoir été forcée dans des rapports contre-nature... et je pense que la liste est plus longue.
C'était probablement connu et il aurait dû être recadré par la justice française depuis longtemps, pour son propre bien.
Rédigé par : Alex paulista | 10 janvier 2013 à 14:24
@sbriglia
"Maître d'armes" ???
Vraiment comique cette traduction mot à mot enfantine de "Master at arms", qui comme chacun sait se traduit par "capitaine d'armes".
Vérifiez vos traducteurs, sbriglia.
Rédigé par : claggart | 10 janvier 2013 à 14:21
...qu'il y ait encore des défenseurs de DSK, persuadés que bien sûr Banon est une salope qui savait qu'elle allait se faire violer - qui voulait, devrais-je écrire ; et que Mme Diallo a été trop contente de se faire en 6' chrono imposer une fellation par un mec aussi séduisant ; beark j'en gerbe.
Mais bon Dieu lisez le bouquin contre-enquête du journaliste américain - qui n'a rien a voir avec ce ramassis d'inepties d'un hagiographe français. Du coup je repense à l'intervention indigne de Badinter sur le plateau de la 2 au moment où a éclaté l'affaire. Ce monsieur que j'avais admiré éperdument, avant de me poser des questions quand il a blackboulé une sénatrice sortante pour prendre sa place, est ce jour-là tombé de son piédestal. Définitivement. Et ce ne sont pas de beaux discours, devant des avocats ou d'autres assemblées, qui y changeront quelque chose.
Rédigé par : Catherine A. Lamentable... | 10 janvier 2013 à 14:20
Rédigé par : Pietri S | 10 janvier 2013 à 13:00
Qu'est-ce qui empêchait cette Espagnole (?) de porter plainte ? Madame Bah non mère ?
Est sorti juste après "l'événement" - du jeu-dit - sur le Net un texte d'une de ses maîtresses manifestement plus meurtrie de son départ que de son passage, qui le décrivait, en effet, comme un pratiquant - l'expression "fidèle" serait malvenue - "énergique".
Elle ne semblait s'en plaindre...
Le sexe a cela d'ambigu comme dirait le cardinal, qu'il est souvent perçu de manière contradictoire par ses pratiquantes.
Puisque en êtes au registre "underbeltien", avais ouï en 2006 une anecdote se passant dans un avion où le beau Dominique - mais pas seulement - était fort gâté par une dame que le jeu exhibitionniste semblait fort amuser elle aussi, au point qu'un membre - arf arf arf - du poste de pilotage dût intervenir.
La dame n'a pas déposé plainte ; juste des soupirs.
AO
Rédigé par : oursivi | 10 janvier 2013 à 13:33
JDR 11.23
Vous développez ce que je n'ai pas pris la peine de faire, le sujet est sans intérêt et désormais clos.
Vous sous-estimez/ignorez toutefois sa -paraît-il LOL- possible violence vs les femmes qui a été dénoncée sur une chaîne de télévision espagnole par l'une de ces dames et son compagnon, compagnons de jeu LOL LOL
Rédigé par : Pietri S | 10 janvier 2013 à 13:00
Rédigé par : Jean-Dominique @ Pietri S | 10 janvier 2013 à 11:23
C'est exactement ce que je m'apprêtais à dire.
En ajoutant, mais sans doute l'ai-je déjà fait ici, qu'aucun de ses contempteurs n'a pensé à souligner qu'un homme qui ne serait parvenu à violer une jeunette de 45kg le pourrait réaliser quelques années plus loin avec une femme devant peser pas loin du double et ayant dû fréquenter d'autres loulous que ceux dont la demoiselle Banon faisait ses journées...
Maintenant, que l'ami DSK soit un dragueur lourdingue, "tous" le savions depuis bien des années. Mais cela ne relève en rien du pénal, juste des pénates pour celles qui veulent s'y risquer, ou s'y épanouir. Il dut en être.
Argh... Zéphir, du vent tout ça.
AO
Rédigé par : oursivi | 10 janvier 2013 à 12:54
Tout le monde connaît les mots d un célèbre cardinal sur le bon usage de l'ambiguïté...
Catherine, intéressante votre sortie même si elle loue à mes yeux un bateleur retors qui a fait insidieusement le pire à la télévision en mélangeant "ailleurs" et "star-system" dans le presque plus achevé des cauchemars capables d'avilir l'indispensable premier pour la gloire dispensable du spectaculaire second.
Next step, une partie de foot à la bonne franquette entre un groupe d'en vue parisiens et les Bari-Bari, pour nous convaincre de l'extraordinaire humanité des premiers.
Pouah.
Par contre, avez en effet raison, le mensonge dit plus que la vérité en ce que la dit et dit aussi ce qu'est l'inverse d'icelle dans l'esprit de qui ment, dévoilant une partie de son fonctionnement. Dans certaines affaires criminelles il est jubilatoire d'entendre ces mensonges qui disent exactement ce que feint d'ignorer l'arrière des propos.
Claggart, excusez-moi de vous parler crûment, mais vous êtes trop cuistre.
Vous pouvez nous citer un original plinesque qui désigne supra plutôt qu'ultra ou l'inverse ?
Il est aux Archives Nationales une salle où sont exposés au grand public, donc accessibles à mes yeux, les originaux de quelques grands textes historiques - serment du Jeu de paume... - ou des copies d'époque à ce que m'en avait dit le gardien de salle aux explications aussi peu claires que sa tenue.
À ce niveau de détail, on sait précisément quel mot a été utilisé.
Pour Pline...?
AO
Rédigé par : oursivi | 10 janvier 2013 à 11:41
Pietri S, sur DSK, tout le monde savait quoi ? Des viols ? Des partouzes avec des prostituées ? Non, ce qui était de notoriété relativement publique, c'était son goût des femmes, les soirées libertines et rien de bien méchant. DSK ne se cachait d'ailleurs pas vraiment, il faisait la tournée des boîtes avec une dizaines de courtisans autour de lui. On ne parlait pas de violence car il n'y en avait pas. C'est la raison pour laquelle, sans doute, personne n'a vraiment pris au sérieux les accusations de T. Banon : toutes les femmes un minimum informées - et elle l'était parfaitement - qui se rendaient à un rendez-vous en tête-à-tête le soir chez DSK savaient de quoi il était question !
Rédigé par : Jean-Dominique @ Pietri S | 10 janvier 2013 à 11:23
Savonarole 8.51
Excellent... jamais vu ce gag, votre com suscite deux remarques que vous connaissez je n'ai aucun doute :
- Le détecteur de mensonges ne peut pas mesurer le mensonge, il mesure l'anxiété provoquée par le mensonge, mesure donc aléatoire, mais révélatrice LOL
- Un mot essentiel manque à votre com, vous auriez du ajouter "liste non exhaustive", ou "juste comme exemple la liste est si longue qu'elle serait forcément toujours incomplète..." LOL LOL
Juste un clin d'oeil pour la légèreté !
Rédigé par : Pietri S | 10 janvier 2013 à 10:48
J'ai le sentiment que vous mélangez deux aspects bien différents : la mauvaise qualité de l'intervieweur et la fragilité inhérente à chaque être humain.
Vous parlez des mauvaises questions qui sont posées, et c'est indiscutable, le sujet n'est effleuré qu'en surface. Mais pas seulement.
Je suis souvent effarée surtout par la mauvaise écoute de ceux qui questionnent, en fait, et c'est ainsi que l'invité ne peut aborder le centre des choses sans que l'intervieweur s'affole, coupe la parole et change bien vite de sujet pour le faire revenir à de l'anodin... C'est la fragilité-même de l'intervieweur qui pose surtout problème, en fait !
La bonne écoute est un métier...
Pour l'invité, vous semblez adepte de "la question qui tue"... En tant qu'écoutante, je peux certes la poser. Mais je dois aussi respecter que mon interlocuteur n'y réponde pas, préserve sa fragilité derrière les murailles qu'il a érigées pour la protéger... parce que c'est vital pour lui et que personne, sauf lui-même, ne peut décider ce qui est bon pour lui. Faire exploser cette muraille le mettrait en danger et nu... et moi, je le laisserais ainsi... de quel droit ? Par désir d'authenticité ? Quel serait alors mon ressort profond à moi pour forcer ainsi le passage dans la faille ?
Rédigé par : Jachri | 10 janvier 2013 à 10:47
Jeu impossible.
Cela reviendrait à détruire la dernière couche de protection que se constitue chaque individu, faite de dissimulations, approximations, mensonges, et qui permet de se constituer une image dans un monde fondé sur l'image.
Qui participe à cette "minute de vérité" risque le suicide médiatique en direct.
C'est un peu comme si l'on demandait d'avouer sa culpabilité à celui qui a obtenu un non lieu définitif faute de preuves.
Rédigé par : Choubidou | 10 janvier 2013 à 10:17
Dans l'ordre des émissions de 'dévoilement' d'une personnalité, il y a cette émission très intéressante où les invités sont seulement invités au dévoilement et non forcés dans leurs retranchements et c'est l'émission de Frédéric Lopez intitulée "La parenthèse inattendue."
Synopsis de l'émission: "Une émission hebdomadaire diffusée sur France 2 depuis le 31 octobre 2012. L'animateur emmène trois célébrités - qui ne se connaissent pas - dans une maison de campagne pour y passer un week-end en toute intimité. Confidences, expériences personnelles et souvenirs d'enfance y sont partagés, afin de dévoiler ces stars invitées au naturel."
J'en ai vu quelques-unes dont celle qui réunissait l'écrivain Eric-Emmanuel Schmitt, le chanteur Christophe Willem et la comédienne Armelle et dont on pourra lire les critiques, un peu injustes à mon sens, des tweeteurs : http://www.lexpress.fr/culture/tele/la-parenthese-inattendue-cinq-emissions-et-toujours-pas-un-poisson-peche_1193170.html
Ce qu'il y a d'intéressant en particulier c'est que les voiles dont se pare la pudeur, ainsi que les demi-mensonges et les demi-vérités représentent autant de signifiants à décrypter et donc autant de dévoilements, mais qui restent toujours en deçà de la limite acceptable dans ce genre d'exercice, pour contribuer à en faire perdurer l'intérêt qui réside essentiellement dans le fait que le voilement/dévoilement résulte de la confrontation/découverte des trois invités entre eux et que facilite le décor baba cool de la maison de campagne.
Par ex. la façon dont Armelle fait la cuisine en faisant semblant de ne pas écouter les conversations vers lesquelles elle tend une petite oreille, puis justifie des énormités culinaires sans le savoir est tout aussi intéressant d'un point de vue humain que ce qu'elle peut ensuite imaginer raconter d'elle à travers un discours modelé sur la fausse confidence.
Rédigé par : Catherine JACOB | 10 janvier 2013 à 10:00
Ce soir sur TMC un film intéressant qui vient d'atteindre sa majorité LOL "Philadelphia" avec le talentueux Tom Hanks et tout aussi talentueux, le sublime Denzel Washington... Jonathan Demme y traite de l'attitude des autres vs un sida déclaré, l'homosexualité n'est que secondaire.
A voir, oui ! à revoir ? à chacun de choisir, je voulais simplement le dire : je déteste promouvoir un film, à chacun ses goûts, c'est un film américain de celui qui a réalisé le "Silence des Agneaux", malgré ses 20 ans ce film est encore dans l'actualité immédiate !
Rédigé par : Pietri S | 10 janvier 2013 à 09:32
C'est une excellente idée M. Bilger, à condition d'installer votre invité sur ce fauteuil électrique, curieux détecteur de mensonges, que Thierry Le Luron utilisait sur scène et qui faisait sursauter Georges Marchais toutes les trois secondes... C'est terriblement risqué car vous pourriez ainsi carboniser Villepin, Cambadélis, Noël Mamère, Duflot, Eric Besson, Brice Hortefeux, sans compter un risque de court-circuit généralisé avec Martine Aubry.
Rédigé par : Savonarole | 10 janvier 2013 à 08:51
@JDReffait 23.59
"Le goût du noir" : co-animation Gérard Miller et Sophie Massieu, qui est aveugle !
Rédigé par : Pietri S | 10 janvier 2013 à 08:48
Monsieur Bilger, le refus que vous avez momentanément essuyé n'est que l'incarnation du conservatisme ou de l'incompétence des media français dans leur globalité, le refus de se remettre en cause !
- Marianne dénonce 'les ministres qui ne servent à rien' sans remettre en cause la composition même d'un gouvernement à la française, sans indiquer que partout ailleurs dans les pays européens qui nous sont proches et pris en exemple, quelquefois pour servir des intérêts minoritaires LOL la nouvelle majorité élue ne modifie pas la configuration de son gouvernement, nulle part ailleurs il n'y a de ministères de la Culture et des Sports (Anciens combattants et autres mais déjà listés dans ceux qui ne servent à rien).
- Mais n'hésitant jamais à prendre exemple sur ces autres pays quand il s'agit, par exemple et d'actualité, du mariage gay qui, puisqu'il est autorisé ailleurs, doit l'être en France et que la France doit par conséquent s'aligner, sans sourciller !
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L'effectif total qui compose le ministère de l'Agriculture et sa périphérie est supérieur au nombre d'agriculteurs !
Rédigé par : Pietri S | 10 janvier 2013 à 08:11
Entièrement d'accord avec le com de zefir 19.57 et la manière dont c'est exprimé : la vie privée et intime des uns et des autres m'indiffère et ne m'intéresse pas, les fonds de culotte et les trous de serrure sont du voyeurisme, pas du tout ma tasse de thé LOL
DSK : tout le monde, en tout cas beaucoup le savait, mais tout le monde se taisait, dans une sorte de complicité de bon aloi ; la presse s'en était fait l'écho quelquefois, dans l'indifférence générale, s'attirant les quolibets des libertins, libertaires... Le "dénoncer" aurait valu à son "délateur" des reproches de conservatisme, rétrograde et autres gracieusetés pour indiquer combien ce "délateur" était coincé, avec l'esprit étriqué, et autres gracieusetés... Le tout au nom de la sacro-sainte liberté et de la vie privée LOL Il a fait fort, loin des siens, lui seul était responsable.
Grand écart certes, mais dans le même registre, alors que l'on veut à tout crin le respect de la vie privée et intime, ce qui est tout à fait légitime de mon point de vue, on veut désormais reconnaître voire institutionnaliser une orientation sexuelle, en instaurant le mariage gay au nom d'une égalité, ou d'égalitarisme.
De la main droite, Najat Vallaud-Belkacem affirme que le genre ne détermine pas notre identité, de la main gauche elle défend le droit des femmes... mais puisque selon elle être homme ou femme point de différence, de quoi parle-t-elle ? NVB et ce gouvernement ne sont pas à une incohérence près !
Rédigé par : Pietri S | 10 janvier 2013 à 07:42