Il y a évidemment des sujets plus importants que l'attitude du PSG à l'issue d'un match qu'il a gagné à Annecy contre la vaillante équipe d'Evian Thonon Gaillard.
Il est clair que nous n'aurions pas la puissance et la technique d'Ibrahimovic (Ibra), la condition physique de l'inlassable Lavezzi, la précision subtile de Pastore, la justesse dans la passe de Verratti ou l'omniprésence efficace de Matuidi.
Si nous remplaçions Sirigu, le PSG perdrait à plate couture. Si Thiago Silva nous laissait sa place, la défense irait à vau-l'eau (20 minutes).
Et ainsi de suite.
Mais ce dont nous sommes sûrs est qu'avec tant d'argent gagné, dépensé, tant d'argent consacré à payer tant de talents, notamment le salaire indécent, phénoménal d'Ibra, nous aurions eu un autre comportement. Nous aurions tenté d'avoir de la classe, de mériter notre chance insolente et notre merveilleuse fortune grâce à notre allure. De faire oublier notre force collective, qui ne tenait pas qu'à nos seuls dons, en faisant montre de cette extrême courtoisie qui n'est pas contradictoire avec le fighting spirit mais le couronne.
Certes, toutes les équipes du championnat de France veulent se "payer" le PSG et je ne méconnais pas que les responsabilités dans les chocs, dans les bagarres, dans les moqueries, dans les contestations et les coups ne sont pas imputables qu'à l'équipe de Carlo Ancelotti.
Mais comment celle-ci, assurée de gagner le championnat de France, menant à la marque grâce à Pastore et la préservant avec un Sirigu concentré, a-t-elle pu ainsi donner d'elle-même une si piètre image et se comporter comme si elle était saisie par l'angoisse de la descente et la rage et le dépit d'être dominée ? Comment Matuidi si doux et tranquille face à un micro s'est-il laissé aller à "chambrer" le banc vaincu au lieu de le respecter ? Comment Leonardo peut-il justifier les navrantes échauffourées de la fin du match en soutenant qu'il était normal que le PSG soit stressé face à Evian qui l'avait battu à la stupéfaction générale deux semaines auparavant (France Inter) ? Comment Canal Plus peut-il tolérer les navrantes bêtises et rigolades d'un Laurent Paganelli excité devant ces épisodes qui auraient dû au moins le conduire à se taire ou à bien se tenir ?
Ce n'est pas la première fois que je suis effaré non pas tant par la mauvaise qualité du jeu pratiqué - on ne peut pas, chaque dimanche, se transcender comme si on était en face de Barcelone, au moins lors de la première mi temps au Camp Nou - que par la posture désinvolte, condescendante, exaspérante de certains joueurs, en particulier, pourquoi le nier ?, d'Ibra auquel on a fait tellement de publicité à l'extérieur du terrain qu'il en a oublié de montrer l'exemple durant les matchs. Il est meilleur buteur, certes, mais que d'occasions manquées qu'on ne pardonnerait pas à un sportif plus modeste, moins vaniteux que lui !
Devant un tel étalage, on est presque heureux de voir Carlo Ancelloti "engueuler" Verratti après son expulsion pour carton rouge. Enfin, une réaction qui montre que tout n'est pas normal dans le meilleur des mondes du football !
Ce manque de classe de la part d'une équipe qui devrait plus que toute autre en avoir en France n'est préoccupant que parce qu'il manifeste à quel point le sport n'est perçu au plus haut niveau que comme un accomplissement technique et pas du tout pour une chance, une opportunité d'allure humaine. Des buts soit, mais, aussi et surtout, des personnalités qui donnent envie. Le foot, un art de vivre. L'esthétique dans les gestes, dans le jeu avec ballon et le spectacle sans ballon.
Le PSG, premier, étant si peu élégant, dans quelles extrémités ne serait-il pas tombé s'il avait été défait, s'il était dernier ?
Je me souviens d'une scène classique pour le rugby mais qui tranche tellement avec le football. A la fin du match entre Toulon et les Saracens à Twickenham, les vainqueurs français ont fait une haie d'honneur aux vaincus en les applaudissant.
Quelle classe !
Dans le sport il en est comme dans la vie !
Certains ont des principes et d'autres non.
Au foot les principes n'existent pas ou très peu. Rares sont les joueurs médiatiques qui professent de réelles qualités humaines.
Le foot actuel n'a plus rien à voir à ce qu'il était dans ma jeunesse, il est franchement pire, et déjà je lui préférais le rugby.
Je ne sais quels sont les plus à plaindre, les footeux ou leurs "supporters".
Quand je regarde les comportements des supporters, que ce soit en France ou à l'étranger, il y a de quoi s'inquiéter sur le genre humain.
Ces gens-là sont-ils représentatifs de nos comportements ?
Si un jour un petit bonhomme vert descend par erreur chez nous et qu'il arrive dans un stade de foot, soit il fuit et on ne le reverra jamais, soit il décide d'éradiquer la race humaine afin de sauver l'univers.
Il faudrait inventer un vaccin contre le foot.
Je ne parle pas là de jeu de ballon que l'on pratiquait à l'école ou dans les terrains vagues de ma jeunesse, vous l'aurez compris.
L'exemple vient d'en haut dit-on mais j'ai quand même entendu un père de famille hurlait à son môme de douze ans, défenseur, "descends-le , descends-le" montrant de la main l'attaquant qui dribblait...
C'est mal barré pour l'esprit sportif, sans parler ou espérer même une éthique.
Allez je m'en vais regarder la Nascar.
Rédigé par : Surcouf anti footeux primaire ;) | 12 mai 2013 à 18:39
Le 3 mai 2013 :
La commission clémente avec le PSG
http://www.europe1.fr/Sport/Football/Articles/La-commission-clemente-avec-le-PSG-1504617/
Rédigé par : Choubidou | 03 mai 2013 à 12:24
@ Boris
Excellent ! Quand l’érudition s’associe à l’humour c’est toujours un enchantement.
Rédigé par : Achille | 02 mai 2013 à 17:22
@ Achille. L’expression que vous citez est une trouvaille de Juvénal dans sa satire 10 :
"… sed quid turba Remi ?
sequitum fortunam ut semper et odit
damnatos […]. Iam pridem, ex quo suffragia nulli
vendimus, effudit curas ; nam qui dabat olim
imperium, fasces, legiones, omnia, nunc se
continet atque duas tantum res anxius optat,
panem et circenses".
Juvénal évoque dans ces vers la terrible chute du favori Guéant – pardon, Séjan ! En voici la traduction :
"Et la foule des fils de Remus ? Comme d'habitude, elle ratifie les jugements du sort et conspue les condamnés. [...] Depuis qu'elle n'a plus à vendre ses suffrages, il y a longtemps qu'elle a largué tout souci. Elle qui distribuait les grades, les charges, les commandements, bref, tout, elle a bien réduit ses ambitions ! Dans son angoisse, elle ne souhaite que deux choses : du pain et des jeux".
Quelques lignes plus tard, un autre passage peut parfaitement s’appliquer au PS, Hollando regnante…
… nam qui nimios optabat honores
et nimias poscebat opes, numerosa parabat
excelsae turris tabulata, unde altior esset
casus et inpulsae praeceps inmane ruinae.
« En briguant trop d’honneurs, en réclamant trop de richesses, il empilait les étages d’une tour géante : plus dure serait la chute, plus formidable le cataclysme le jour où elle s’effondrerait… ».
Quant au clarissimus N. Sarkozyus Magnusbocsensis, cet animal politique redoutable n'apparaît pas dans les Satires. Cependant, NS peut encore prendre à son compte le conseil de Pétrone, et mettre Morano et Hortefeux de garde devant son tombeau - afin qu’une foule en délire ne puisse l’utiliser à sa guise...
"Praeponet enim unum ex ministris sepulcro suo custodiae causa, ne in monumentum suum populus cacatum currat".
Le respect que je porte à la fonction présidentielle m'interdit de traduire...
Rédigé par : Boris | 02 mai 2013 à 16:20
Bonjour Monsieur Bilger
Je profite de l'heure de la mi-temps pour faire un petit éloge en passant de votre dernier livre que j'ai déjà bien entamé.
Pour faire court, ce que j'apprécie essentiellement et que je trouve qui manque souvent à nombreux autres essais qui traitent de faits sociétaux et d'état des lieux, c'est ce qui se retrouve justement dans "La France en miettes" comme dans vos billets sur ce blog :
Plus qu'une langue saupoudrée de poésie, c'est un verbe poétique qui fait que vous pourriez parler des sujets les plus austères, ils en resteraient encore et toujours agréables à lire.
Bonne journée.
Rédigé par : Carl+Larmonier | 02 mai 2013 à 13:47
Encore un peu de patience et on pourra avantageusement remplacer ces joueurs par des robots.
Rédigé par : Bernard | 02 mai 2013 à 12:10
Si le sujet en lui-même me laisse indifférent, en revanche une analyse plus "stratégique" peut apporter quelques éclairages complémentaires :
http://lavoiedelepee.blogspot.fr/2013/03/pourquoi-le-psg-necrase-t-il-pas-ses.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed:+LaVoieDeLpe+(La+voie+de+l%27%C3%A9p%C3%A9e)
Rédigé par : Robert | 02 mai 2013 à 11:39
Bonjour Philippe Bilger
Comment ci, comment ça ? Vous ne pouvez le comprendre. Moi non plus.
Pour cela il faut se mettre au niveau intellectuel d’un joueur de football surpayé qui est pris pour un demi-dieu par des gens pas très fortunés à qui il donne l’espace d’un moment l’impression d’être des champions. Apparemment cela suffit à leur bonheur…
"Du pain et des jeux" disait César qui avait tout compris avant tout le monde.
Je laisse aux latinistes distingués de ce blog le soin d’écrire cette merveilleuse citation dans sa langue d'origine.
Rédigé par : Achille | 02 mai 2013 à 11:08
« …notre force collective, qui ne tenait pas qu'à nos seuls dons... »
Dites donc, cher Philippe, première personne du pluriel ! Vous vous rêvez en superman qatari ? Faites attention, desserrez votre cravate et surveillez votre pouls.
Comme vous avez l’air de très bien vous y connaître, je vous pose une question. A quelle hauteur situez-vous l’indécence, puisque vous l’évoquez, pour le salaire de quelqu’un dont le seul talent est de courir après un ballon ?
Rédigé par : Claude L | 02 mai 2013 à 10:02
@jachri
Le rugby, le rugby, ils se tapent pas dessus, c'est bien connu ! Les taquets dans la figure, les types qui se font piétiner même hors des mêlées, les bagarres, tout ça, on ne le voit jamais au rugby, ouais, surtout quand on vient pour la fin du match et sa "haie d'honneur".
Rédigé par : gigi oh ! gigi ! | 01 mai 2013 à 17:04
Les rugbymen gagnants font TOUJOURS une haie d'honneur aux perdants. Rien à voir avec la mentalité du foot. Et celle du PSG est déplorable.
Ils sont arrogants, méprisants, et pourtant pas extraordinaires du tout quant au jeu pratiqué, surtout si on le met en perspective avec les salaires. Dire qu'ils représentent la capitale... honte à ces mercenaires à l'ego surdimensionné !
Rédigé par : Jachri | 01 mai 2013 à 13:22
On a gagné ! ils ont perdu !
http://www.youtube.com/watch?v=o8-Kw0RakFA
Depuis ils ont amélioré le système. Les stades ont leurs normes de sécurité et les gnous payent cher leur place...
Par contre la traversée du désert économique va leur être plus pénible.
Ils ont perdu ! on a gagné !
Rédigé par : hameau dans les nuages | 01 mai 2013 à 13:20
C'est curieux d'être si doué pour disserter sur les finesses d'un sport de cons et de manquer à ce point de "vista" sur les cons qui nous gouvernent.
Les bras m'en tombent.
Rédigé par : Savonarole | 01 mai 2013 à 11:52
Bigre, le foot fait partie de vos dernières illusions. Un émirat riche par le hasard des ressources de son sous-sol achète un pays, une équipe, des gens, venus de partout et vous voudriez en plus qu'ils aient de la classe.....C'est ahurissant. Ces hystériques, exultant à chaque but dans des démonstrations indécentes d'animaux de zoo, le règne du fric à puer de partout, des maîtres esclavagistes dans leur pays et soutiens de tous les excès de terreur et en plus il faudrait de la classe. Mais c'est de colère qu'on devrait parler de ces zozos. Et les foules qui, bêtement, se passionnent pour des spectacles de dollars en caleçon, qui paient pour voir évoluer des bombes stéroïdes.
Le pain et les jeux du cirque, la formule de Juvénal est toujours vivante.
Bien sûr, contre le nombre on a toujours tort et l'engouement populaire sanctifie tout, hé bien, non, la ferveur populacière ne fera jamais admettre que des bateleurs se prennent pour des étoiles et répandent leur poison de l'argent dans les têtes faibles comme le cinéma l'a fait et le fait encore.
Il s'agit de vieilles lunes, de standards de la conduite des peuples. On en viendrait à regretter de ne pas avoir connu le juge Ti du merveilleux V.Gurlik qui faisait bastonner les témoins avant de les entendre, avant, pas après, avant.
Rédigé par : Amfortas | 01 mai 2013 à 00:48
@ Nordine
"Il y a un passif entre les deux équipes depuis le match en coupe. Evian n'a pas battu le PSG mais l'a éliminé."
Vous me voyez navré ! Les Parisiens, qui ont remporté dans leurs rêves la Ligue des Champions 2013 et qui gagneront la suivante encore plus virtuellement, sont contraints d'aller se commettre chaque semaine dans des champs de betteraves contre des équipes de bouseux... On devrait les augmenter un peu pour compenser ce déshonneur.
Au fait, vivent Francis Borelli et Safet Susic ! Car, en ce qui me concerne, le PSG est mort en 91.
Dans le même genre, il paraît que Santiago Bernabeu payait les joueurs du Real une misère, mais leur remettait le solde à la fin de la saison, en tête à tête et en liquide, avec quelques commentaires bien sentis. S'il le jugeait bon, il ne leur donnait rien du tout !
Une attitude intéressante dont les Qataris finiront un jour par s'inspirer...
Rédigé par : Boris | 30 avril 2013 à 22:02
"Le foot, un art de vivre."
Ah bon ?
Rédigé par : Frank THOMAS | 30 avril 2013 à 21:01
Je m'apprêtais à poster un commentaire pour approuver M. Bilger sur le manque de classe du PS, oups, il s'agit en fait du PSG, je renonce, le foot m'indispose à donf avec ses gueules d'enfer et ses mollets poilus.
Je passe mon tour, mais un jour viendra ou P. Bilger fera un billet sur le manque de classe du PS.
Rédigé par : Savonarole | 30 avril 2013 à 20:01
Cher monsieur,
C'est une étonnante aventure de lire une chronique, se formuler une conclusion dans son esprit, et remarquer qu'elle coïncide exactement avec ce que vous avez écrit. Depuis longtemps je recommande aux jeunes en phase d'examen d'observer la concentration physique et mentale de Jonny Wilkinson avant de taper une pénalité. Un gentleman et grand travailleur, un exemple pour la jeunesse de la capacité d'un esprit concentré, et cela quel que soit son talent.
Rédigé par : Gilles | 30 avril 2013 à 18:39
Il y a un passif entre les deux équipes depuis le match en coupe. Evian n'a pas battu le PSG mais l'a éliminé.
A l'issue du match, Pascal Dupraz, l'entraîneur d'Evian Thonon, a eu l'intelligence de déclarer à la presse: "on a évianisé le PSG".
Pour le manque de classe, match nul.
Rédigé par : Nordine | 30 avril 2013 à 16:37
Je suis encore plus consterné que vous, Monsieur Bilger. M'est avis que, a fortiori quand ils répètent ce genre de comportement, les sportifs qui s'abandonnent à ce genre de pratiques ne sont même plus à la recherche d'un accomplissement technique, mais simplement en quête d'image. Je te bats et je te chambre: je te domine. Attitude ô combien pathétique, mais tellement courante hors des terrains...
Je crois sincèrement qu'il y a encore des footballeurs pro qui aiment leur sport pour toutes sortes de bonnes raisons. Seulement voilà, ceux-là, on ne les entend guère. Évidemment...
Footballeur n'est plus une passion, ni même un métier. C'est devenu un business où il est important de se montrer d'abord. Et beaucoup sont prêts à le faire par tous les moyens, intimidation et mépris pour l'adversaire compris.
Rédigé par : Martin | 30 avril 2013 à 15:33
J'adore le foot quand il est joué par le Borussia Dortmund, qu'ils gagnent ou qu'ils perdent, ses joueurs jouent.
J'adore le RC Toulon, quand après une victoire contre des anglais à Twickenham, il fait une haie d'honneur aux vaincus même si cette haie d'honneur ressemble à un doigt d'honneur !!
J'adorerai un jour le PSG quand il battra Dortmund en jouant au foot !!!
Rédigé par : bruno | 30 avril 2013 à 15:28
Ah non, cher Philippe, ça ne se passe pas comme ça.
Bien sûr c'est un jeu, bien sûr il faut respecter l'adversaire, mais ce n'est beau que parce qu'on y va à fond. Vous qui parlez du rugby, c'est un bon exemple : comme le rugby, tout sport collectif a une dimension de sport de combat à plusieurs.
Pour être performant, vous devez sauter à chaque balle et tout donner. Pour cela certains joueurs ont besoin de se mettre dans un état émotionnel différent, à fleur de peau. Ibrahimovic a déjà expliqué qu'il devait être un peu nerveux pour être à plein niveau. Je crois que Zidane aussi était comme ça. Il y a des Prost plus posés, des Senna qui ont besoin de monter dans les tours, chacun a son alchimie qu'il cherche à retrouver lors des phases de concentration, et que parfois l'adversaire tente d'annihiler par des insultes voire un bisou.
Au rugby, allez voir un Millas-Collioure pour voir si tous sont tendres : certains tentent de s'arracher les yeux en dessous de la mêlée.
Au volley j'ai vu des amis très calmes dans la vie secouer la chaise de l'arbitre pour que celui-ci tombe comme un abricot mûr, ou bien lancer le caddie de ballons sur l'entraîneur qui les avait sortis pour faire rentrer un chouchou nullissime. Un autre a montré son derrière à l'arbitre avant de quitter le terrain. Il a été suspendu pour un an.
Après le match on peut rendre les honneurs au vaincu, et la défaite avec brio peut avoir plus de panache qu'une victoire molle (je pense à la coupe du monde 94 de football gagnée par le Brésil, par exemple, qui reste plus terne que certaines défaites).
Mais cela vient après le jeu.
Rédigé par : Alex paulista | 30 avril 2013 à 14:42
Il n'y a qu'une réponse : le chambrage fait partie du foot.
Rédigé par : PeterDenver | 30 avril 2013 à 14:16
Bonjour Monsieur Bilger,
Sacré bazar, mon aversion irréversible par excellence : le foot. Vous seriez donc atteint vous aussi par ce sombre virus ?
Moi je trouve que c'est grand miracle divin que la plupart de ces joueurs puissent survivre avec un seul demi-neurone.
Ils remporteraient tous un prix de composition s'ils participaient à un remake de la nuit des morts-vivants en tant que participants, ces braves hommes.
Bon, je ne vous en veux pas... d'ailleurs j'ai commandé votre dernier livre la semaine dernière que je devrais recevoir incessamment sous peu.
Bonne journée
Rédigé par : Carl+Larmonier | 30 avril 2013 à 14:14