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07 août 2014

Commentaires

Navarro

"La démocratie n’est pas un crime."
Bien dit Me Philippe.

La démocratie est un art et une philosophie de peuple.

André BERNARD

Ce n'est pas un crime de croire que :
- la politique de l'UMPS-FN se décide(ra) à la corbeille de... Valls-street ou de Londres,
- l'OTAN est le bras armé des velléités hégémoniques mondiales de Washington,
- l'idéologie politique a été tuée à petit feu à partir de 1969 et enterrée à grands coups de pelles depuis 2007 !

Véronique Raffeneau

@ Parigoth
"...c'est-à-dire qu'il souhaite conserver la liberté de ne pas détester systématiquement au coup de sifflet ou bien au contraire de ne pas applaudir obligatoirement quand par exemple la régie allume le panneau lumineux « Applaudissez »."

J'ai bien compris, telle que vous l'expliquez, la phrase de Philippe Bilger.

Cependant, en rapide, je crois que PB a perdu sa liberté de ne pas détester systématiquement et celle de ne pas applaudir obligatoirement.

PB l'écrit lui-même.

Il suffit juste de considérer la première phrase du billet miniature qui suit :

"Je ne peux pas résister..."

Je préfèrerais un discours moins épidermique.

C'est en ce sens que j'ai écrit que selon moi, PB a fini par intégrer la marque de fabrique de l'esprit politicien.

En gros :

si tu n'es pas pour moi, tu es contre moi.

Une définition, à mes yeux, de l'obligation de l'inconditionnalité.

Et aussi, Parigoth, essayez d’expliquer à Philippe que discuter par exemple l’épisode garde à vue de Nicolas Sarkozy est tout sauf exprimer de l’inconditionnalité vis-à-vis de NS, essayez et vous verrez...

Alors que cela, également, n’est que de la démocratie.

Parigoth

@Véronique Raffeneau
Dans votre esprit, détester est devenu un principe, et l'inconditionnalité de votre choix électoral frise l'adoration.

Je crois que vous vous méprenez sur le sens à accorder à : « Ce n’est pas un crime de ne pas détester par principe et de ne pas adorer par inconditionnalité ».

Je ne voudrais pas répondre à la place de Philippe Bilger, mais je comprends cela comme un refus de sa part de hurler avec les loups, c'est-à-dire qu'il souhaite conserver la liberté de ne pas détester systématiquement au coup de sifflet ou bien au contraire de ne pas applaudir obligatoirement quand par exemple la régie allume le panneau lumineux « Applaudissez ».

eileen

Sarko siffle les journalistes et tous accourent ventre à terre pensant obtenir le bon scoop, et ça marche, la preuve !

Tous ont parlé de cet article qui ne dit rien d'essentiel, que des lieux communs, des sortes de marronniers à la mode "Moi Sarko je suis le meilleur et vous ne le savez pas mais vous m'attendez" !

Sarko le messie !

Son scoop de rentrée, s'il envisageait de se présenter se ferait avec tambours et trompettes, comme d'habitude, ou sur TF1 à 20h... avec moult annonces, jamais dans la sobriété !

Avec le bon peuple Sarko utilise la méthode du gourou, de celui qui tente d'instiller dans nos petites cellules grises que nous voulons encore de lui comme président, mais selon lui nous ne le savons pas... il tente une manipulation de masse !! Faut-il qu'il méprise les Français pour refuser la réalité brutale, les raisons de son échec de 2012... quel manque de dignité ! Si par malheur il choisissait de se représenter, ce qui est un secret de polichinelle, s'il était élu, le Général de Gaulle aurait raison "les Français sont des veaux" !

Si je ne partage pas du tout les digressions inappropriées sur Carla botoxée et en scooter, je n'ai pas oublié le jugement qu'elle portait sur les Français qu'elle disait détester... mais ça c'était avant, quand elle était de gauche... A-t-elle vraiment changé ?, j'en doute à son âge on ne change plus ; quand on connaît le besoin vital d'un Sarko d'avoir l'avis de sa moitié du moment !

Mon seul souhait est que pour une fois la justice soit très rapide, qu'elle mette le turbo et que le bruit des casseroles empêche Sarko de se représenter, qu'il n'apparaisse plus que dans la rubrique judiciaire, celle des voyous de la République... mais hélas l'homme est un roué manipulateur !

Catherine JACOB@ marc cheifetz

@ marc cheifetz | 07 août 2014 à 08:18
"Ce qui n'est pas un crime peut, par contre, être une faute de goût manifeste."

Vous avez lu ça dans "Bonnes manières", le Savoir-vivre coécrit par l'ex-spécialiste des rôles de femme légère, la muse d'Une jolie fleur dans une peau d'vache, une jolie vache déguisée en... fleur (?), Nadine, baronne de Rothschild, et vous l'opposez à notre hôte qui ne se balade pas en scooter avec ou sans casque, avec ou sans Amazone à l'arrière, mais a exposé un genre différent de covoiturage (il se faisait déposer à son lieu de travail par son épouse, ce qui résolvait les problèmes de parking) ?

Écoutez donc plutôt "Mourir pour des idées ? D'accord mais de mort lente."

Vous pouvez encore cultiver votre sens du goût avec les bonnes manières selon Elisabeth-Charlotte, princesse palatine dite "La Palatine", épouse de Philippe duc d'Orléans, frère de Louis XIV, avec la lettre qu'elle écrivit en rapport avec l'étiquette de la Cour de France, à sa gouvernante Sophie, duchesse de Hanovre
(Sophie de Bavière, épouse de l'électeur de Hanovre). Parfaitement édifiant.

Il faudrait connaître la position de NdeR sur le sujet. C'est ici : http://www.freres-goncourt.fr/bergeratGautier/palatine.htm (Lettres françaises, p.p. Dirk Van der Cruysse (Fayard, 1989), p. 126-127).

Catherine JACOB

"Ce n’est pas un crime de continuer à soutenir que malgré le bilan désastreux de Christiane Taubira, la liberté et l’indépendance de la justice sont mieux garanties sous François Hollande que sous Nicolas Sarkozy."

Serait-ce un crime que de penser que les premiers garants de la liberté et de l'indépendance de la Justice sont avant tout le sens de l'honneur qui n'est pas réservé qu'aux militaires, la conscience professionnelle qui n'est pas l'apanage du simple citoyen, le sens moral qui n'est pas le monopole de l'homme de bien, l'intelligence de l'application du droit qui n'est pas cantonnée au jour du concours à l'ENM, avant d'être l'absence de sollicitation de l'esprit courtisan toujours prêt à bidouiller le droit pour lui donner des apparences de justice dans le seul but de plaire ou mieux encore, de ne pas déplaire ??

L'absence de sensibilité à la séduction des jeux de pouvoir garantie par une vraie humilité devant l'immensité de la tâche qu'est celle de juger de l'homme est-elle cependant de ce monde ?

A vrai dire, le regard que j'ai été amenée à porter sur le monde judiciaire où seule une petite lumière brille du fond du présent espace de liberté d'expression, avoue avoir bien du mal à discerner les ombres d'un semblant de justice dans la nuit de l'arrogance et du dédain de la personne en soi qui paraissent être la règle sans que le pouvoir ait besoin de s'en mêler.

Quel exorcisme à leur adresse nous les remettrait dans le chemin du droit ? Si quelqu'un le sait, qu'il s'y colle sans effet d'annonce.

calamity jane

Je ne peux pas résister !
En visite à mon voisin momentanément empêché de lucidité, j'entends que nous commémorons le centenaire de la grande guerre de 1914 ! Vivement la commémoration
du centenaire de la paix en 2018 ! Mais pendant quatre années que va-t-il donc se passer comme "grande guerre" ?
Ne dites pas à ma mère que je fais du mauvais esprit, elle me pense grenouille de bénitier et de commémoraisons.

Alex paulista

La gym du périnée et le botox entre deux barbouzades bismuthiennes, on a beau faire on a beau dire, c'est pas très dolce vita.

Véronique Raffeneau

"Ce n’est pas un crime... "

Mais quel excès que ce billet !

Personne ne vous traite de criminel pour votre confusion, à mon sens, avec un dégré zéro de la démocratie que vous semblez défendre dans ce billet.

Une proximité étouffante avec le virtuel politicien, sur le mode de l'impulsivité, adoration et détestation, adoration ou détestation pour ces chimères essentiellement médiatiques que sont devenus les personnages politiques.

La vérité est que seule la conquête présidentielle les anime et les motive.

Le reste, excusez du peu : la démocratie - en très rapide mettre sobrement, modestement de l'ordre équitable dans le chaos - les indiffère comme jamais.

Il suffit de considérer par exemple les improvisations super géantes et criardes dans les deux camps de la dernière édition de la conquête présidentielle, et leurs conséquences aujourd"hui dans le réel de la démocratie.

Par mimétisme, vous en avez tellement intégré l'esprit que pour vos interlocuteurs vous contester revient de toute façon, dans votre esprit, à être contre vous.

Comme eux.

"Ce n’est pas un crime de ne pas détester par principe et de ne pas adorer par inconditionnalité."

Si, dans votre esprit, détester est devenu un principe, et l'inconditionnalité de votre choix électoral frise l'adoration.

fugace

Bonjour,

Une démocratie à l'air libre... ? Ou une cocotte minute dont la soupape de sécurité s'obstrue chaque jour qui passe ?Car l’art de faire encore et toujours croire au peuple qu'il gouverne, si ce n'est pas un crime, ça pourrait bien le devenir. Cette tromperie majeure qui détruit la confiance donc le collectif. Une vraie démocratie donne aux citoyens qui n'ont pas le pouvoir de gouverner, mais bien le pouvoir de juger des actes majeurs dans le consensus et non l’affrontement stérile qui nous est chaque jour proposé jusqu’à l’indigestion.
Les faits tels qu’ils nous apparaissent aujourd'hui nous somment de modifier nos institutions pour libérer les consciences citoyennes des entraves scélérates qui les étouffent.
Le peuple retient son souffle, n'entendez-vous pas ?

Achille

@ vamonos
« Votre argumentation est fausse. Dès que la Société générale s'est rendue compte de la fraude, les sanctions et les licenciements ont été immédiats. »

Vous ne me ferez jamais croire que si l'action "frauduleuse" de Jérôme Kerviel s'était traduite, non pas par une perte, mais un gain de 5 milliards d'€, la direction de la SG aurait procédé à des sanctions et à son licenciement immédiat.

L’éthique des banquiers ne va pas jusque-là. J’en veux pour preuve la condamnation de la BNP à neuf milliards de $ par les autorités américaines pour avoir violé les règles d'embargo américaine en facilitant des transactions avec le Soudan, Cuba et l'Iran.

A ma connaissance les dirigeants de la banque n’encourent aucun risque d’être mis en prison et à ce jour il n’est pas fait mention de licenciement à leur encontre.

Mary Preud'homme (en amazone ou à califourchon, sacrée Valérie !)

Valérie
Je sais ce que signifie monter en amazone, vous auriez pu vous éviter ce genre de remarque. Preuve que vous n'avez pas saisi l'ironie de mon propos. En fait un clin d'oeil à Carla Bruni et à son petit tour (en amazone) sur le scoot de Sarko !
Vous devriez essayer sur une moto c'est pas mal non plus, bien qu'interdit par la loi sur la voie publique.

Alex paulista

Spéciale dédicace de Raul Seixas pour notre hôte...

Eu prefiro ser
Essa metamorfose ambulante
Do que ter aquela velha opinião
Formada sobre tudo

http://letras.mus.br/raul-seixas/48317/

vamonos

@Achille
"Concernant Jérôme Kerviel, je ne partage pas votre avis. Ce trader s’est laissé entraîner, comme beaucoup de ses collègues, dans un engrenage infernal. Il a fauté certes, mais tant qu’il engrangeait des bénéfices pour sa boîte ses patrons se sont bien gardés de le lui reprocher."

Votre argumentation est fausse. Dès que la Société générale s'est rendue compte de la fraude, les sanctions et les licenciements ont été immédiats.

Glup

Ce n'est pas un crime de voter FN.

Valerie@Mary Preud'homme

Précision : "monter en amazone" signifie chevaucher avec les deux jambes du même côté :

http://www.manoir-de-villers.com/Default/203-le-centre-equestre/263-monter-en-amazone-petit-rappel.html


Mary Preud'homme (sur son cheval sans casque ni bombe et en amazone !)

"Ce n’est pas un crime de juger aussi ridicule notre ancien président sans casque et en scooter que l’actuel, il y a quelque temps, casqué sur le même engin sans souci de l’honneur de la France."
---
Certes pas un crime mais un manque d'objectivité sinon de discernement flagrant.
D'un côté un homme libéré de ses obligations officielles, en vacances, qui se balade sur une voie privée avec sa femme légitime en amazone sur le siège arrière d'un scooter et de l'autre un président en exercice revenant d'un rendez-vous galant et rentrant casqué jusqu'à ses appartements privés pour ne pas être reconnu par ses gardes du corps qu'il prend sans doute pour des billes. C'est vrai que pour mettre ces deux images sur le même plan du ridicule et de l'outrance, il faut vraiment être aveuglé par une haine et un parti pris sans limites.
Et lequel de Sarkozy et Hollande s'est manifestement montré "anormal et choquant" dans l'affaire ?
Sarkozy redevenu un citoyen comme les autres et promenant sa femme (à la romaine) le temps d'un cliché de vacances... ou Pépère I courant le guilledou rue du Faubourg-Saint-Honoré avec une jeunette, tandis que Marianne V se meurt de ses frasques, carences et insignifiances ? Sans compter sa goujaterie désormais proverbiale à l'égard des femmes de "sa vie".

eileen

Bonjour Monsieur Bilger, excellent comme toujours... En effet comment peut-on oublier un individu quel qu'il soit, même le pire d'entre nous, quand il prend prétexte de tout pour se rappeler à vous matin, midi et soir.
Il y a eu l'ex-capitaine du Concordia, le brigadier dealer, son complice supposé, le voleur présumé du dossier médical de Michael Schumacher etc. qui disparaissent laissant place à d'autres, Sarkozy lui, revient toujours... avec toujours une nouvelle 'carte postale' qui nous parle invariablement de lui, la seule personne qui l'intéresse.
Il a décidément changé, il est pire...

Mary Preud'homme (sur la pointe des pieds !)

De la chose jugée aux justifications usées...
Ce n'est pas un crime de se tromper (ou d'avoir été trompé) et de l'admettre. Mais il semblerait que pour un ancien avocat général cela soit inacceptable, inconcevable, inimaginable même.
Déformation professionnelle sans doute ?

Parigoth

Ce n’est pas un crime d’être effondré face aux désordres et aux violences de toutes parts en Libye et d’avoir envie de questionner Bernard-Henri Lévy sur ses états d’âme aujourd’hui.

Non seulement ce n'est pas un crime, mais encore il faudra bien un jour le questionner de façon solennelle, devant une Cour de préférence pour garantir ses droits, ainsi que son comparse Sarkozy, Nicolas.

Il faudra aussi leur envoyer la facture pour tous les désordres qu'ils ont entraînés, tant au Sahel qu'au Mali, ainsi que pour l'afflux de prétendus « réfugiés » mais véritables migrants illégaux ne rêvant que de vivre à nos crochets.

Achille

Bonjour Philippe Bilger,

« Ce n’est pas un crime... »

Allons bon, voilà que vous vous lancez dans l’anaphore hollandienne maintenant ?

Personne ne vous accuse de crime Philippe Bilger, juste une petite fixette sur certaines personnalités politiques (de droite comme de gauche) que l’on vous pardonne volontiers car vous y ajoutez une argumentation claire et détaillée.

Concernant Jérôme Kerviel, je ne partage pas votre avis. Ce trader s’est laissé entraîner, comme beaucoup de ses collègues, dans un engrenage infernal. Il a fauté certes, mais tant qu’il engrangeait des bénéfices pour sa boîte ses patrons se sont bien gardés de le lui reprocher.

On ne peut lui reprocher aucun enrichissement personnel dans cette affaire et dans la mesure où des violeurs récidivistes bénéficient de libération conditionnelle, on peut difficilement refuser à Jérôme Kerviel un aménagement de peine et donc un bracelet électronique. Ce n’est pas lui qui ira agresser une personne au coin d’une rue.

Ne vous trompez pas de cible.

Josiane Lacombe Minguell

Les incessantes manchettes de journaux au nom de l'ancien Président, le rendent mieux "vendeur" à l'étranger. Les destinataires directs (lectorat français) sont moins importants que les destinataires indirects (ses clients étrangers). Sa cote en France a vertigineusement diminué mais son approche relationnelle, elle, n'a pas changé. Du moins c'est l'impression que l'on peut avoir. Chacun sait que lorsque nul n'est plus prophète en son pays il peut encore l'être ailleurs. Que les médias cessent de lui faire sa pub pour rien serait logique, mais ils semblent convaincus que cela leur permettra de vendre du papier... Pas sûr que cela fonctionne, beaucoup de personnes se désintéressent de ces vraies fausses annonces perpétuelles.

Denis Monod-Broca

Ce n'est pas un crime, non, de s'efforcer de dire les choses comme elles sont. Ça ne devrait pas l'être. Mais, on le sait, Béart le chante, le premier qui dit la vérité sera exécuté...

D'ailleurs M. Bilger, j'ajouterais à votre liste : ce n'est pas un crime de dire que, pour la sauvegarde d'une vulgaire monnaie, l'euro, nous imposons aux Grecs, aux Chypriotes, aux Portugais, aux Espagnols... un traitement indigne, honteux et que nous condamnons notre propre économie.

sylvain

Aïe aïe aïe ! Cher Philippe, non pas vous !

"Ce n’est pas un crime de continuer à soutenir que malgré le bilan désastreux de Christiane Taubira, la liberté et l’indépendance de la justice sont mieux garanties sous François Hollande que sous Nicolas Sarkozy."

.........................................

Je me suis pincé pour le croire, hélas, je me console en me disant que peut-être pendant les vacances, M. Bilger a embauché un "nègre" pour ses billets.

Mais comme vous êtes le seul sur le Net qui laisse s'exprimer toutes les opinions, je vous pardonne !

Franck Boizard

Ce n'est pas un crime d'écrire sur le blog de Philippe Bilger qu'il a une conception naïve de la politique :-)

marc cheifetz

Bonjour ! En effet, ce n'est pas un crime d'entonner cette longue litanie, tellement pleine d'évidences.
Ce n'est pas vraiment un crime de distiller une acrimonie certaine envers ceux qui vous critiquent.
Ce n'est pas non plus un crime de s'adonner au corporatisme ambiant.
Ce qui n'est pas un crime peut, par contre, être une faute de goût manifeste.

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