On a beaucoup parlé ces derniers jours des faits criminels qui ont été commis à Créteil avec un caractère clairement antisémite. Trois jeunes gens ont été mis en examen comme je l'ai relaté dans mon billet "L'antisémitisme du crime". La lutte contre le racisme et l'antisémitisme a été décrétée, comme à chaque épisode de ce type, "grande cause nationale". C'est à la fois solennel et probablement stérile.
Le Val-de-Marne a connu, le 4 décembre, au Plessis-Trévise, une publicité plus honorable grâce à l'intervention courageuse d'un voisin et d'un chauffeur de bus de la ligne 206. Un excellent article du Parisien nous narre cette histoire qui met du baume au coeur.
Une jeune femme de 27 ans, Sophie, enceinte de cinq mois et demi, a été violemment agressée par deux hommes qui l'ont frappée pour tenter de voler sa voiture.
Elle venait de faire des courses, il était 17 heures 30, elle avait arrêté son véhicule en bas de son immeuble. Elle faisait un signe à un voisin pour qu'il l'aide à décharger ses sacs.
A peine s'était-elle dirigée vers son coffre que deux jeunes gens, âgés de 22 et 23 ans et avec le visage en partie camouflé, se précipitaient vers elle.
L'un, en prenant de l'élan, lui porte un coup de pied dans le ventre et l'autre la menace avec un couteau. Elle tombe lourdement à terre, leur crie de "faire attention à son bébé" et elle s'attire cette réplique ignoble : "Je vais le tuer, ton enfant".
Les deux malfaiteurs lui réclament les clés de la voiture. Se répartissant la besogne, le premier la frappe au visage et le second approche le couteau de la jeune femme.
Sophie terrorisée leur indique où trouver la clé. Le voisin, descendu, tente de s'interposer. Les deux voyous menacent de le "planter" s'il ne s'écarte pas. Le duo monte en voiture mais ne parvient pas à la faire démarrer à cause de son système d'allumage particulier.
Un chauffeur de bus a vu la scène et manoeuvre pour bloquer le passage de la voiture. Pris au piège, les malfaiteurs s'enfuient tandis que plusieurs personnes apportent une assistance à Sophie.
Peu de temps après, les deux agresseurs seront interpellés.
Sophie s'est vu prescrire quatre jours d'ITT mais a été rassurée, sa petite fille n'a rien.
J'ai eu tort de dénoncer trop souvent l'indifférence civique de mes compatriotes, probablement parce que je n'étais pas sûr moi-même d'être à la hauteur si des événements dramatiques m'avaient mis en situation de pouvoir intervenir.
Il y a des héros modestes du quotidien, beaucoup plus qu'on ne croit. Une fraternité élémentaire est toujours prête à surgir et dans la grisaille d'une France trop morose, quand la délinquance et la criminalité ne se voient opposer aucun obstacle législatif sérieux, la solidarité du Plessis-Trévise fait du bien.
On prend ce qu'on peut et toutes les bouffées de fierté collectives sont bonnes et douces à apprécier.
Le Plessis-Trévise, d'une certaine manière, a vengé Créteil. La démocratie a su se manifester et se défendre avec allure.
Si c'est une photo d'un édifice français pouvez-vous m'expliquer pourquoi on n'y voit aucun tag "nique ta mère la Justice" ?
Parce que Maître Eolas ne l'a pas tweeté !
Rédigé par : anne-marie marson | 11 décembre 2014 à 17:37
"In wartime, truth is so precious that she should always be attended by a bodyguard of lies" (En temps de guerre, la vérité est si précieuse qu'elle devrait toujours être accompagnée d'un garde du corps de mensonges)
Winston Churchill
La notion de "garde du corps du mensonge" fut diversement interprétée, cette citation cynique de Churchill peut encore servir. À trop parler on se disperse. La transparence tous azimuts est une calamité. La torture c'est comme l'octroi de la Légion d'honneur, toujours y penser, ne jamais en parler.
Pour MLP, l'emprunt russe ayant fait pschitt on cherche du côté de la torture pour enrayer la pâtée electorale qui vient.
Rédigé par : Savonarole | 11 décembre 2014 à 11:12
Rédigé par : Robert Marchenoir | 10 décembre 2014 à 22:59
https://twitter.com/maitre_eolas/status/315874181495529473
En effet, j'ai cru en allant sur le blog d'Eolas retrouver une personnalité du niveau de Philippe Bilger ; quelle erreur monumentale niveau QI des années lumières les séparent ; son "don't feed the troll" a rapidement dévoilé la face sombre de ce triste sire ; impossible de poster une réaction même modérée contraire à sa diktature de pensée ; inutile d'analyser et commenter sa schizophrénie, laissons-le d'exprimer dans sa chambre caoutchoutée ; il existe des bons établissements spécialisés pour "accompagner" ce genre d'individus.
Rédigé par : sylvain | 11 décembre 2014 à 10:14
Allons-y maintenant pour la nouvelle photo.
Après la forme, le fond : debout, homme d'écoute qui ne s'en laisse pas compter. Mains croisées, le pouce gauche qui recouvre le pouce droit : une attention soutenue qui est dans l'émotion, mais rigueur dans la gestion de l'événement : les doigts sont croisés.
Veste entr'ouverte, décontraction, mais sans plus, la cravate n'est pas désinvolte. Cette dernière est droite et tombe comme un fil à plomb, pas de prise au vent, donc pas d'effet girouette.
Les couleurs, classiques, fond noir touche claire rouge de la muleta du matador.
Arrière plan, l'hermine, la jauge si je puis dire, l'équilibre.
La bibliothèque, pas ostentatoire, discrète, mais j'ai cru apercevoir en bas à droite le petit Robert.
Bon, quand j'ai vu les tarifs pratiqués, pour ce type d'analyse, j'ai passé mon chemin.
Rédigé par : giuseppe | 10 décembre 2014 à 23:59
Qui parle de changer de présentation, en tout cas pas moi Tipaza. Mon propos, que vous n'avez manifestement pas saisi, s'inscrivait au contraire dans une démarche opposée au conformisme béat. Contrairement à vous et à vos suggestions cuculturelles précédentes que je m'étais bien gardée de commenter !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 10 décembre 2014 à 23:33
"A quoi rime cette nouvelle présentation, les textes des commentateurs étant placés à l'extrême gauche et vos coordonnées à droite".
Mary Preud'homme | 10 décembre 2014 à 21:14
Ah Mary, comme je comprends votre indignation.
Le passage de la colonne de droite à gauche et de celle de gauche à droite est terriblement perturbant.
Je devine quelle aurait été pour vous la présentation idéale, que votre délicatesse légendaire empêche de formuler.
La présentation idéale eût été une présentation recto verso.
Mais voilà l’idéal n’est pas de ce monde, ni de ce blog.
Rédigé par : Tipaza | 10 décembre 2014 à 23:06
Un tweet typique de "maître" Eolas, écrit à propos des manifestations contre le mariage homosexuel :
https://twitter.com/maitre_eolas/status/315874181495529473
L'appel au meurtre sous couvert d'humour : bassesse habituelle des gauchistes. Evidemment, ceux qui auraient l'imprudence de faire ce genre "d'humour" aux dépens de populations protégées (homosexuels, femmes, Noirs, Arabes, musulmans...) risqueraient des poursuites judiciaires, la perte de leur emploi, la mort sociale, etc.
"Maître" Eolas, lui, il peut : il est de gauche. Il ne fait qu'appeler la police à tuer des catholiques (de façon anonyme, en plus ; courageux, mais pas téméraire). Là, non seulement on a le droit, mais en plus on passe pour un avocat éminent, une référence de la blogosphère.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 10 décembre 2014 à 22:59
Savonarole m'a devancée.
Avec lui je m'interroge, à quoi rime cette nouvelle présentation, les textes des commentateurs étant placés à l'extrême gauche et vos coordonnées à droite. Plus un fond bleuté censé faire consensus et une forme passe-partout ?
Tandis que vos couleurs démodées, indéfinissables et un brin grinçantes allaient tellement mieux (jusqu'alors) avec le non conformisme et la liberté d'expression qui vous caractérisaient ?
.------------
@ Jean Le Cauchois et sylvain
Sophie n'est qu'un nom d'emprunt pour l'agressée du Plessis-Trévise (et pourrait tout aussi bien se prénommer Aziza ou Marie, il faut suivre les Mickeys !).
Rédigé par : Mary Preud'homme | 10 décembre 2014 à 21:14
Et puisque l'heure est aux commentaires généraux sur le blog, je me joins à un autre lecteur pour dire ceci : il est absolument incompréhensible que vous mettiez "Maître" Eolas dans vos blogs favoris, et comme unique membre de la liste, en plus !
"Maître" Eolas est l'un des personnages les plus détestables de la blogosphère française, c'est l'archétype de la mauvaise foi et du cynisme gauchistes. Il est à l'opposé des valeurs défendues ici (ou alors je n'ai rien compris à ce que vous écrivez). De façon générale, sa popularité est très inquiétante pour la santé morale de la population française.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 10 décembre 2014 à 19:38
Merci d'avoir rendu hommage à des personnes courageuses.
Rédigé par : jack | 10 décembre 2014 à 18:28
Cher Philippe,
Le blog de Philippe Bilger est un blog d'honneur, de recherche de la vérité.
Faire sortir de l'histoire Déat en 1944, ce n'est pas faire sortir la lumière, c'est faire prendre des vessies pour des lanternes.
Si vous prenez le Robert ou Mowgli, vous ne serez pas en base 7.
Il est possible de conter fleurette de 7 à 77 ans, mais pour prétendre être sage, il faut peut-être un jour mettre les choses au clair.
Nous ne sommes pas les seules à interroger les pages d'histoire avant que les historiens ne les arrangent à leur manière.
Simon Epstein, Un paradoxe français : antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance, Paris, Albin Michel, 2008, p. 305-306 :
"(...) Edwy Plenel signale les lacunes de la biographie de Robert Jospin, père de Lionel Jospin, telle qu'elle est publiée dans le Maitron. Le texte consacre cinq lignes à Robert Jospin pendant la Seconde Guerre mondiale. Il fait candidement ressortir que « des responsabilités familiales l'obligèrent à une certaine prudence ». Il ajoute que « par son foyer et ses relations, il aida de nombreux résistants et c'est ainsi qu'en 1942, il subit une perquisition suivie d'une courte arrestation, sans suite ». Plenel fait observer, à juste titre, que la « vérité vraie » est sensiblement différente, puisque Robert Jospin, pacifiste intégral, munichois, était proche de Marcel Déat, et qu'il fut nommé, par les autorités préfectorales vichyssoises, au conseil municipal de Meudon en avril 1944. Des sources complémentaires l'associent à deux structures collaboratrices de gauche, la Ligue pour la pensée française, et le journal Germinal. Exclu de la SFIO à la Libération, en raison de son attitude sous l'Occupation, Robert Jospin n'y sera réintégré qu'en 1955."
Coïncidence avec la mort de Déat ?
Nous ne reprendrons pas dans le texte certains propos de Lionel Jospin qui ne sont pas à son honneur et qui ont déjà été relevés par bon nombre de socialistes et de journalistes.
françoise et karell Semtob
Rédigé par : semtob | 10 décembre 2014 à 18:15
Malgré le déluge de félicitations sur cette nouvelle présentation du blog, souffrez que je puisse observer que cette photo "bleu nuit", ou "nuit américaine", chère à François Truffaut, ressemble fort à un monument américain et non pas français. La statue de Lincoln sur son fauteuil se devine.
Si c'est une photo d'un édifice français pouvez-vous m'expliquer pourquoi on n'y voit aucun tag "nique ta mère la Justice" ?
La question demeure.
Vous avez 4 heures.
Rédigé par : Savonarole | 10 décembre 2014 à 17:55
Avec la nouvelle présentation, plus claire, plus lumineuse, je me soigne, c'est je crois ce qu'on appelle la luminothérapie.
Donc à user sans modération... un peu tout de même.
Quant à la fenêtre recherche, je ne m'étais jamais inquiété de sa présence, je crois que c'est une remarque de sylvain (décidément bien utile) qui m'en a fait découvrir son usage.
De même j'ai l'impression que cette nouvelle présentation a redonné de la fraîcheur et de la vivacité, mais je n'ai pas de référentiel pour situer l'objectivité de ma remarque.
C'est un peu comme quand je remplace un composant de mon vélo de course, j'ai l'impression que je peux m'attaquer à tous les challenges... euh, presque tous, là je m'emballe, trop de lumière peut-être.
Rédigé par : giuseppe | 10 décembre 2014 à 17:13
@ Savonarole
Il est agréable d'entendre et de lire ainsi prendre le suffrage comme une arme, dont l'abstention est partie intégrale.
Magnifique leçon d'opinion par le silence.
Ce qui est décevant, en revanche, c'est la victoire de la droite, qui ne tire pas les leçons du dédain des citoyens, du moins publiquement. Ceci montre à quel point les politiciens ont dévoyé la démocratie puisqu'ils ne l'écoutent même pas.
Rédigé par : genau | 10 décembre 2014 à 16:32
@ Michelle D-LEROY | 10 décembre 2014 à 11:47
"Pour s'attirer par ailleurs les bonnes grâces des avocats parisiens, M. Macron - et curieusement pas Mme Taubira, leur ministre de tutelle - leur a octroyé l'avantage de pouvoir défendre des clients sur tout le territoire alors qu'à l'inverse les avocats installés en région ne pourront pas défendre de clients parisiens"
Or donc les avocats installés en région ne pourront pas défendre de clients parisiens ?
J'ose croire que les barreaux provinciaux vont saisir le Conseil constitutionnel de cette discrimination patente.
Rédigé par : breizmabro | 10 décembre 2014 à 15:35
@ semtob 4.11
Vous avez jeté la lumière sur une qualité exceptionnelle de Lionel Jospin, la précocité.
Bien qu'attentionné aux événements de la Seconde Guerre mondiale, j'ignorais complètement que Déat, mort politiquement en 1944, avait réussi à endoctriner à la cause collaborationniste un enfant de moins de sept ans.
Heureusement que les semtob ne sont pas muettes comme des tombes (pourtant, anagramme de semtob >> tombes).
Sans rancune, je ne prends pas cette malfaçon au sérieux.
Rédigé par : Yves | 10 décembre 2014 à 14:24
@ sylvain 09:14
Bien sympa, votre commentaire de ce matin... et de souligner, comme nous tous pourrions le faire, l'ouverture d'esprit du maître de ce blog. C'est bien de l'avoir exprimé, comme vos autres opinions, même si nous ne les partageons pas toutes aussi... intensément !
Rédigé par : Jean le Cauchois | 10 décembre 2014 à 13:58
Nouvelle présentation, TB, plus agréable à regarder et lire. Je viens souvent vous lire souvent sans commentaires. Bonnes fêtes de fin d'année.
Rédigé par : MCPN | 10 décembre 2014 à 13:12
Merci pour cette belle et nouvelle mise en page, plus sobre et plus agréable à lire.
Aujourd'hui les professions juridiques réglementées vont défiler massivement dans la rue contre la loi dite Macron, mais concoctée avant son arrivée par un pouvoir socialiste qui voudrait laisser croire que ces riches et nantis mettent à mal, et seulement eux, par leurs honoraires, le pouvoir d'achat des Français. Quand on connaît la pression fiscale sur les couches moyennes de la population, on est pantois par tant de cynisme et de tromperie.
Pour s'attirer par ailleurs les bonnes grâces des avocats parisiens, M. Macron - et curieusement pas Mme Taubira, leur ministre de tutelle - leur a octroyé l'avantage de pouvoir défendre des clients sur tout le territoire alors qu'à l'inverse les avocats installés en région ne pourront pas défendre de clients parisiens. Autant dire que ces avocats considérés sans doute comme des "ploucs" régionaux sont morts d'avance.
Cette méthode me rappelle les conseils d'un grand cabinet "conseil et management" parisien qui préconisait aux DRH de mon entreprise de s'attaquer à certains salariés, pour qu'ils se sentent déstabilisés et partent, pendant qu'il fallait flatter les autres... jusqu'à ce que leur tour vienne.
Une technique qui a fait ses preuves.
Comment les Français peuvent-ils se laisser berner ?
Actuellement nous ne sommes pas dirigés grâce à un cap, une volonté de réformer intelligemment pour améliorer la vie courante et emmener les Français vers le haut... non nous sommes dirigés par des communicants, fins stratèges et qui se moquent bien de leur pays et sont là pour sortir François Hollande de l'enlisement où il se trouve.
Par exemple hier soir, un reportage "Un jour, une vie", censé nous monter le Président depuis deux ans et demi et la vie de l'ancien Président pendant ce temps-là.
La ficelle était un peu grosse, car j'ai failli sortir mon mouchoir, devant un François Hollande attaqué de toutes parts. Son entourage peu vertueux, son ancienne et méchante compagne, Nicolas Sarkozy qui osait parler (hélas pas encore mort), ses conseillers qui l'embrouillent (l'affaire Leonarda), la pluie qui tombe (ça ils n'ont pas osé), l'Europe, la crise, etc. Bref, tout pour contrarier un si beau destin, comme si c'était le premier Président à avoir des problèmes !
La comparaison constante entre lui, l'homme brillant (pendant ses discours tout le monde dort) et Nicolas Sarkozy, à moitié inculte, qui s'agite pour rien, restait pourtant contre-productive pour ses encenseurs.
On n'a pas fini d'ici 2017 de supporter ce genre d'émissions et de pressions médiatiques.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 10 décembre 2014 à 11:47
@ semtob | 10 décembre 2014 à 04:11
Vous avez dit tout ce que je pensais de cette nomination arbitraire, voire soviétique. Pour l'ancien trotskiste qu'est Jospin ce devrait être la honte suprême ce "plus fort que Sarko ya moi le retour !" mais non, il n'a pas refusé la gamelle...
Tristes socialos bouffeurs de soupe.
Rédigé par : breizmabro | 10 décembre 2014 à 10:50
@Jean-Paul Ledun
Mais encore ?
Comme j'aime l'expéditif ! Monsieur, vous êtes brillant et tellement subtil... Spiritus ubi vult spirat.
Rédigé par : duvent | 10 décembre 2014 à 10:40
Très belle nouvelle présentation ! Félicitations. On croirait arpenter les couloirs ombrés et sonores du palais. Du solennel et du prestigieux. Puissent les commentaires être à la hauteur du nouveau cadre. Pour ce qui concerne l'hôte du blog, il n'y a pas ce genre d'angoisse : toujours du très haut niveau, incessamment du très pur et de l'extrêmement stimulant. Ceci étant dit sans flagornerie.
Rédigé par : citizen kane | 10 décembre 2014 à 10:37
Nous avons montré que la démocratie n'avait rien à voir dans le geste des braves gens qui se sont portés au secours de la victime des voyous.
En fait, ces gens normaux, ces membres de la société civile, ont dû en réalité pallier une des multiples carences de la prétendue démocratie, en assurant une fonction régalienne délaissée par l’État.
Dans une véritable démocratie, basée sur la loi et sur l'ordre sans lesquels les droits ne sont qu'une fiction, il aurait été impensable - ou du moins très rare - qu'une telle agression ait pu se produire.
Sans chercher à parer le passé de toutes les vertus, aurions-nous constaté de tels comportements par exemple dans les années soixante, où la démocratie sans être alors brillante était moins décomposée qu'actuellement et où les comportements violents étaient le propre d'une pègre marginalisée et non pas le propre du reste de la population ?
Mais en fait, cette collusion de fait entre un régime politique et une partie de la population s'assimilant à la pègre ne relève-t-elle pas de la stratégie du chaos contrôlé, employée par une oligarchie pour se maintenir au pouvoir en court-circuitant justement les instances démocratiques ?
Nous ne pouvons que constater une convergence d'intérêts entre d'une part une caste politique redoutant l'émergence d'une force représentée par la société civile qu'elle qualifie de populiste et d'autre part une nouvelle pègre vivant sur le dos de cette société civile et qui risquerait de perdre ses avantages si cette dernière, lasse de se faire tondre par le monde politique et dépouiller et agresser par les voyous, venait à se rebeller contre ses oppresseurs, qui utilisent la violence comme moyen d'intimidation pour la dissuader de le faire.
Nous retrouvons là, dans la démocratie actuelle, un schéma ressemblant à celui appliqué par l'Allemagne nazie avec les S.A.
A qui profite le crime ?
Rédigé par : Parigoth | 10 décembre 2014 à 10:19
Très peu de gens connaissent ce fait divers, par souci de préserver la "paix sociale" et de ne pas stigmatiser une "certaine-catégorie-de-la-population".
A l'inverse on imagine le défilé des bonnes âmes gauchistes du SM, des médias de gauche, des SOS machin chose CRAN LICRA HALDE MRAP, se bousculer devant micros et caméras après une marche blanche si la victime se fut appelée Aziza ou Zoubida et les agresseurs Marcel ou Jean-Pierre, en référence à la bête immonde des "Zeures sombres".
Rédigé par : sylvain | 10 décembre 2014 à 09:56
Tout d'abord, félicitations pour cette nouvelle et très agréable présentation.
Ensuite, un grand merci pour ce billet. Il est heureux en effet qu'il soit mis l'accent sur un fait qui donne de l'homme une image plus réconfortante que celle que se plaisent trop souvent à nous dépeindre les médias.
De tels actes ne sont heureusement pas aussi rares que nous pourrions le penser. Le courage va souvent de pair avec la modestie et leurs auteurs n'apprécient pas, la plupart du temps, de se retrouver projetés sur le devant de la scène.
Alors, ces faits sont souvent passés sous silence, oubliés, volontairement ou non, par les médias qui ne trouvent pas dans leur exploitation le moyen de véhiculer un message qu'ils estiment plus polémique, plus vendeur.
Rédigé par : Michel Deluré | 10 décembre 2014 à 09:54
L’espace de quelques secondes, j’ai cru que mon ordi était en panne.
Tout était plus clair, plus lisible, une vraie amélioration de présentation, un virus bienveillant en quelque sorte !
Ce doit être ça l’exception culturelle française !!
C’est parfait, mais en bon Français, je critique un peu : le bandeau de présentation mériterait une petite touche de couleur.
Je verrais bien, à gauche, un petit groupe de deux ou trois personnages vêtus de rouge et discutant avec passion d’un procès… à venir !!
Rédigé par : Tipaza | 10 décembre 2014 à 09:31
Bonjour et bravo pour votre nouvelle présentation ! Bémol : le blog de Maître Eolas. Bof ! vous vous abaissez bien bas, il est très loin de vous arriver à la cheville, je me dispenserai de le qualifier pour éviter d'être vulgaire.
Je suis allé sur recherche en tapant "sylvain". Houlalà me dis-je, mais c'est moi ça ?? Comment avez-vous pu me supporter cher Philippe ?? Partout ailleurs je suis censuré, effacé, radié, vous avez le dos large, chapeau ! Je répète, je persiste et je signe à vous appeler Maître au sens large du terme car vous êtes le seul sur le Net à maîtriser et sauvegarder la liberté de toutes les expressions, hors vulgarité bien entendu. Je dis bien : le seul. Je fréquente tous les sites, blogs et forums donc je peux le prouver. Ce n'est pas du fayotage, c'est la stricte vérité.
Je me vois mal maintenant me lever le matin sans ce moment de sérénité que j'éprouve en vous lisant, mes amis disent la même chose. Tenez bon contre vents et marées, souquez ferme, ne nous laissez pas tomber !
Rédigé par : sylvain | 10 décembre 2014 à 09:14
Jolie nouvelle mise en page.
Toutefois, j'aimerais suggérer que, ayant beaucoup de plaisir à vous écouter sur mon PC, j'aimerais avoir des liens directs vers le replay sur youtube, dailymotion, ou le replay des chaînes, de vos interventions indiquées dans la colonne de droite, section "Dans les médias: radio et télévision".
Merci Philippe !
Rédigé par : cecrob | 10 décembre 2014 à 09:03
"La démocratie a su se manifester"
Je me demande ce que la démocratie a à voir là-dedans. Quel que soit le régime politique, un voleur qui frappe au ventre une femme enceinte risque de s'attirer des inimitiés.
Mettez-le dans une prison, décrivez son acte, et vous verrez ce qu'il lui arrive dans ce haut lieu de la démocratie...
Rédigé par : Alex paulista | 10 décembre 2014 à 05:28
Cher Philippe,
Au Conseil constitutionnel, l'honneur est loin d'être sauf.
User d'un droit discrétionnaire pour remplacer Monsieur Jacques Barrot, fils de Résistant, décédé il y a quelques jours, c'est franchir la force d'interposition qui par principe n'appartient à aucun des deux partis majoritaires.
Le principe de neutralité est à nos yeux bafoué.
Est-ce à cause de la qualité de servilité de Jospin que cette nomination a lieu ?
Est-ce pour le remercier d'avoir presque fait élire l'extrême droite le 21 avril ?
Si Jospin avait été un sage, il n'aurait pas gravité dans l'entourage de Marcel Déat, ultra-collaborationniste ou au minimum, il s'en serait expliqué.
De savoir un tel individu au Conseil constitutionnel, c'est la nausée, le dégoût total.
Il peut sourire de cette nomination. La médiocrité et l'hypocrisie sont malheureusement souvent récompensées.
Dans notre pensée, c'est l'horreur.
Il y aurait dû y avoir deux propositions.
Revoir cette vilaine chouette ne prédit rien de sage.
Les descendants de Résistants et de Déportés dont nous sommes ne doivent plus se taire devant cette sinécure de nominations.
Honneur à Monsieur Jacques Barrot, grand homme politique.
françoise et karell Semtob
Rédigé par : semtob | 10 décembre 2014 à 04:11
Jolie et claire la nouvelle mise en page. C'est aussi moins "étriqué", je veux dire le format. Félicitations !
La fonction "Recherche" est très pratique. Je ne sais pas si c'est une nouveauté sur ce site, mais elle est efficace.
J'ai retrouvé des posts où j'ergote avec AO et où j'ai une prise de bec avec Savonarole...
Rédigé par : Jean-Paul Ledun | 10 décembre 2014 à 01:41
J'ai cru m'estabanir (comme ils disent du côté de Béziers) avec cette nouvelle présentation semblable à de nombreuses autres !
La poésie de l'hésitation qui pour une large part contribuait au dire et à la liberté d'écrire... s'est vu préférer les colonnes roides d'un palais de justice...
La mention "les commentaires sont modérés. Ils n'apparaîtront pas tant que l'auteur ne les aura approuvés" me stupéfie car je suis d'accord pour publier mes commentaires.
Rédigé par : calamity jane | 10 décembre 2014 à 01:19
Belle réorganisation du site et très intéressant cliché de colonnes. Par ailleurs, j'aime le bleu-gris, c'est relaxant. Ma bibliothèque aussi a été repeinte en bleu-gris, du moins une partie.
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Quant au fait divers du jour, j'ai trouvé ceci relatif aux conséquences possibles sur le fœtus et sa vie future d'un stress maternel et une agression telle celle que vous relatez a dû être l'occasion d'un énorme stress. Ceci dit, pour que la production d'hormones susceptibles d'avoir une influence néfaste sur le développement de l'enfant se produise, il faut un stress continu. http://www.canalvie.com/famille/grossesse/articles-grossesse/femme-enceinte-anxieuse-des-consequences-sur-l-enfant-1.973715 où on lit notamment ceci : "l'anxiété pendant la grossesse prédisposerait l'enfant à souffrir de divers troubles cognitifs et comportementaux. Ainsi, l'anxiété prénatale pourrait faire en sorte que les enfants soient eux-mêmes sujets à des troubles anxieux, ainsi qu'à des troubles de l'attention et de l'hyperactivité (ces trois problématiques étant liées entre elles)."
Mais j'imagine qu'il y a dû y avoir une bonne prise en charge du stress post-traumatique par des professionnels de la victimologie.
Rédigé par : Catherine JACOB | 10 décembre 2014 à 00:01
Pas mal la nouvelle tapisserie ! Bravo.
Rédigé par : Bouguignon | 09 décembre 2014 à 23:56
Toujours pas de discours de Grenoble, de Dakar, de Buisson... ils mollissent nos gauchistes paranos antisarko.
Rédigé par : sylvain | 09 décembre 2014 à 23:43
Cher Philippe,
L'honneur est peut-être sauf, mais l'horreur laisse off.
Votre dernier livre gardera tout son suspense car le voilà déjà en rupture.
Tout demande patience.
françoise et karell Semtob
Rédigé par : semtob | 09 décembre 2014 à 23:35
"Une chose est sûre, il y a un gros malaise au sein d'une certaine jeunesse totalement désocialisée. "
Un malaise ? J'appelle ça un problème pas un malaise. Une grosse carence en coups de de pied au c...
Il faut s'attaquer aux causes sociales, mais soumis aux mêmes causes tous ne deviennent pas des petits nazis, des pleutres qui s'arment et se mettent à plusieurs pour attaquer une femme enceinte, une petite vieille.
"Quand Grigou était garde des Sceaux, elle répétait sans cesse qu'il n'y avait pas d'insécurité mais rien qu'un sentiment d'insécurité."
Grigou pour Guigou ça fait un peu lepenoïde comme jeu de maux...
Ceci dit, l'insécurité serait comme la température au journal météo(rologique) : il y a la température et la température ressentie.
Quel est le vent qui fait ressentir l'insécurité ?
Au secours, Charles Bronson, Clint, revenez !
C'est vrai que devant de tels salopards (pourquoi on écrit salaud, mais salopard, qu'est-ce qui fait migrer le d vers la droite ?). Le réflexe si on pouvait, serait de leur tirer l'oreille grave. Genre je te l'arrache. Plutôt que de considérer qu'on les "discrimine" (pauvre syntaxe !).
Enfin si on pouvait...
Rédigé par : S Carioca | 09 décembre 2014 à 23:19
Ô surprise ! Le cadre gris s'est transformé en un superbe espace sur fond blanc. Espérons que cette pureté de lis sera susceptible de mieux éclairer certains esprits...
Merci Monsieur Bilger pour ce confort de lecture et d'écriture.
Rédigé par : Robert | 09 décembre 2014 à 22:45
"l'honneur est sauf...", et tout le reste alors... Je pense qu'ils ne valent pas la corde pour les pendre je l'ai déjà dit, et pour le reste, le jugement, les victimes...
Rédigé par : giuseppe | 09 décembre 2014 à 22:18
Aaaaaaaaaaah... Enfin ! Quel bonheur ! Nous venons de passer de l'ombre à la lumière ! (Jack Lang, philosophe chinois du XIIe siècle.)
Je me suis trop plaint de cet abominable fond gris foncé, par le passé, pour ne pas saluer cette courageuse décision de passer aux lettres noires sur fond blanc. Enfin des réformes courageuses dans spéhi ! Sachons nous réjouir des rares bonnes nouvelles qui nous sont accordées !
Rédigé par : Robert Marchenoir | 09 décembre 2014 à 21:46
Serge Lazarevich est soudain devenu Serge Lazarevic, d'origine serbe.
Rédigé par : Savonarole | 09 décembre 2014 à 21:03
"L'honneur est sauf à Troyes"
Ville de 60.000 habitants : 75% des electeurs inscrits ont refusé d'aller voter dimanche dernier.
Voilà ce qu'il convient de faire désormais, refuser d'aller voter, laissons-les avec leurs chômage et immigration débridée, leurs mensonges de droite et surtout de gauche, inutile d'aller se défouler avec le FN, n'allez pas voter, même pas de bulletin blanc, nada, que dalle, ne vous déplacez même pas.
Nos bulletins de vote favorisent la reproduction consanguine d'une caste que plus rien ne distingue de l'autre.
Juppé ce sera du Hollande, Sarkozy ce sera du Marine Le Pen Coca-Cola et Marine Le Pen ce sera Hiroshima ou Jeanne au bûcher.
Quand tous ces nuisibles constateront notre désertion, ils comprendront que leur partouze politique nous insupporte.
Rédigé par : Savonarole | 09 décembre 2014 à 20:54
Je découvre la nouvelle présentation de votre blog. Bravo, elle est superbe !
Rédigé par : Jabiru | 09 décembre 2014 à 20:49
Ça alors un temple maçonnique en première page !
J'en connais un qui va frétiller du croupion !
Rédigé par : Savonarole | 09 décembre 2014 à 20:08
@Achille
Cette agression pousse à rechercher la cause d'un tel comportement.
Comment peut-on, à 22 ans, se comporter de la sorte au point de n'avoir plus aucun respect pour rien ni personne ? Qu'est-ce qui peut bien pousser ces fous furieux à s'en prendre aux médecins et aux pompiers qui viennent porter secours à des habitants de leur quartier ? Dans quel monde vivent-ils ?
Il faut comprendre que ce comportement est gouverné par le ressentiment, inculqué et entretenu depuis leur enfance par leur famille, par leur environnement culturel, par des traîtres sévissant dans la prétendue Education nationale, par les médias, par la Kulture etc., tout ce joli monde ne cessant de les persuader qu'ils appartiennent à une communauté victime du colonialisme puis du racisme de la part du méchant homme blanc et surtout de l'horrible Français, en dépit de tout ce que ces derniers ont pu consentir comme sacrifices humains et financiers pour les soigner, les éduquer, les loger, les nourrir, les entretenir et leur assurer une vie plus agréable que dans leur pays d'origine.
Une révolte d'enfants gâtés contre leurs parents trop faibles.
Rédigé par : Parigoth | 09 décembre 2014 à 19:24
Avec un de mes amis, dans un autobus parisien, nous avons été agressé, verbalement, par un "jeune" auquel nous reprochions de mettre ses pieds sur la banquette. Mon ami a eu le malheur de lui toucher la jambe, qu'il refusait de déplacer. D'où un déluge d'insultes et une invite à descendre pour nous "casser la tête". Le morveux ne paraissait pas bien épais et nous nous sommes dits : "pourquoi ne pas lui donner une leçon ?" Dans le bus, des dames endimanchées (car nous étions un dimanche) apeurées dont l'une crie "des vieux se font agresser !" (bizarre d'être pris pour un vieux alors que je ne suis pas encore à la retraite). Le chauffeur arrête son bus et vient calmer notre "agresseur" qui hurle en nous traitant de tous les noms....
Et puis le jeune a compris qu'il n'aurait pas le dernier mot (police appelée...) et s'en est allé.
Notre réflexion : "personne ne se défend contre la racaille, moins de peur d'un coup de poing ou de couteau que des foudres de la justice qui prendra le parti de la victime !"
Rédigé par : caroff | 09 décembre 2014 à 19:21
La réaction courageuse des deux citoyens n'est pas aussi évidente que cela, sachant que les malfaiteurs n'ont plus, comme avant, de morale. Tuer c'est jouer. Même nos forces de police le disent et le répètent. Fini la coupe de champagne entre Broussard et Mesrine.
Donc, il faut saluer haut et fort cet acte citoyen.
Les citoyens parlent aux citoyens !
Bravo Philippe.
Rédigé par : Jean-Paul Ledun | 09 décembre 2014 à 19:17
Les médias nous informent de la baisse des agressions et cambriolages, hélas, le quotidien nous démontre que les statistiques et la réalité sont bien différentes. L'insécurité n'est pas un sujet abordable, pas assez chic, c'est un sujet à laisser aux populistes.
Je connaissais Le Plessis-Trévise comme une banlieue calme et semi-résidentielle, il est vrai que l'ancien maire faisait partie de ces centristes béats devant la diversité et la mixité heureuse et que depuis quelques années, cet endroit tranquille a pu se transformer en quartier bien moins tranquille.
Le pire est de se dire que ces deux "petites frappes" ne seront même pas incarcérées et qu'elles recommenceront tranquillement bientôt... pour fêter Noël dignement, même si cet événement ne fait pas partie de leurs traditions.
Certes nous sommes heureux de constater que de simples citoyens s'avèrent des héros modestes et qu'ils soient venus en aide à cette jeune femme.
Personnellement je rencontre beaucoup de ces anonymes dans la vie courante, courageux (pompiers, médecins, profs et simples quidams...) qui apportent leur aide aux personnes âgées, aux enfants, aux malades ou à leurs proches en difficulté. Je rencontre tant de retraités qui s'occupent et aident leurs petits-enfants (surtout lorsque leurs enfants se séparent) et parfois parallèlement de leurs vieux parents. Je rencontre aussi des professionnels fonctionnaires ou du privé qui se démènent pour améliorer la vie des autres en se mettant en quatre, en se surpassant parfois et en dépassant leurs simples prérogatives, en cherchant des solutions. Que serait la vie courante sans ces bonnes volontés ?
De ce côté-là je ne suis pas inquiète, il y a encore beaucoup de gens braves, courageux, serviables, authentiques mais il est vrai qu'a contrario nous voyons les veules, les mièvres, les égoïstes trop défendus par une constante politique de l'excuse et que cela finit par en faire oublier les plus altruistes.
Malheureusement sans des mesures politiques ambitieuses et sérieuses, les citoyens ne pourront pas faire régresser l'insécurité courante à eux seuls et je crains que nous ne prenions le problème à l'envers en comptant uniquement sur les simples citoyens, sans mettre en parallèle de vrais moyens policiers, puis une politique pénale digne de ce nom, et enfin en instaurant une certaine morale dès l'école pour éduquer les enfants au respect des autres et de leurs biens. On parle de morale laïque... encore une foutaise sémantique pour ne pas heurter tous ceux qui veulent rester en dehors du système, comme d'habitude.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 09 décembre 2014 à 18:44
Tels qui se croient ici libres d'esprit n'osent pas évoquer la haine du noir à l'égard du blanc, de plus légitimée par celle du gaucho contre les patrons.
La haine est aujourd'hui le sain produit de l'indignation, et le "rap" en fait le lien.
Ce constat posé - et encore faut-il avoir les neurones suffisamment déliés pour le faire -, que répondre à ceux dont la couleur en fera toujours en Occident des citoyens de second rang ?
Il n'y a qu'un moyen prôné depuis longtemps par JMLP, c'est d'aider l'Afrique jusqu'à ce qu'ils aient envie de retourner chez eux, et soient fiers d'être Africains.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 09 décembre 2014 à 18:15
"Vous nous apprenez que la victime se prénomme Sophie" (Jean le Cauchois 13:07)
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En réalité, le prénom de la victime de cette agression crapuleuse a été changé (comme il était d'ailleurs précisé dans les différents medias).
Rédigé par : Mary Preud'homme | 09 décembre 2014 à 18:06