Ce qu'il y a de bien avec les médias en matière judiciaire, c'est qu'ils ne surprennent jamais !
Dans le procès dit du Carlton, après les treize relaxes sur quatorze, dont celle de DSK, je n'ai pas été déçu par les journalistes et les avocats qui ont oscillé entre "tout ça pour ça" et "un nouveau fiasco judiciaire" !
Personne n'a été véritablement étonné par ce jugement d'exonération quasi générale. Le parquet de Lille qui avait toujours adopté une position contraire à celle des juges d'instruction pour le principal prévenu, la pétition de principe du président à l'ouverture des débats, la teneur de ceux-ci, le cavalier seul de DSK sans contradicteur pugnace, les comptes rendus médiatiques annonçant, espérant sa relaxe et dénonçant le travail des magistrats instructeurs : tout concourait à ce que le tribunal correctionnel a décidé.
Je n'ai nullement l'intention, ce qui serait impudent et imprudent, de discuter la relaxe de DSK puisqu'à l'évidence, les autres mis en cause gravitant autour de lui n'avaient hérité une importance que de lui et de sa présence. Ce n'est pas mon propos même si je m'autorise seulement une question après avoir suivi en détail la relation des audiences : comment DSK a-t-il pu persuader la juridiction qu'il ignorait la qualité de prostituées des femmes concernées ? Pour moi, cela demeure un mystère.
Mon objectif est seulement d'éclairer autrement ce jugement qui, loin de constituer un désastre, représente l'aboutissement d'une convenable administration de la justice. J'entends bien que Me Henri Leclerc, l'un des avocats de DSK, a déclaré que le renvoi de DSK devant le tribunal correctionnel ne reposait "sur aucun fondement juridique sérieux mais seulement sur l'idéologie des juges d'instruction".
Il serait absurde de dénier, de la part de ceux-ci, surtout si on a la certitude qu'ils n'ont pas permis au mis en examen DSK de s'expliquer et de s'exprimer comme il a pu le faire à l'audience, non pas une malveillance mais probablement une volonté acharnée et nullement perverse de faire coïncider morale et droit pénal, indécence et infraction, ce qu'apparemment beaucoup d'éléments en l'espèce, aussi bien matériels que personnels, paraissaient justifier.
Le parquet de Lille les a contredits juridiquement et le tribunal correctionnel a donné raison au procureur. Où est le scandale, où serait le fiasco, sauf à considérer qu'un juge d'instruction désavoué atteindrait structurellement la magistrature tout entière alors qu'au contraire, ce processus correspond à ce dont ont toujours rêvé les adeptes d'une authentique contradiction dans le registre pénal ?
Les lucidités rétrospectives sont confortables et les hauts cris, laissant présumer que l'alternative ne concernait que l'innocence éclatante de DSK ou sa culpabilité certaine, sont déconnectés de la réalité judiciaire aussi bien correctionnelle que criminelle.
En dehors des aveux - et on récuse qu'ils soient la reine des preuves ! -, la sphère qui va faire réfléchir et statuer une juridiction relève d'une zone grisailleuse qui va être appréhendée, en définitive, à charge ou à décharge. Ce n'est pas le contraste irréfutable de la nuit et du jour mais des variations et des interprétations relatives à des réalités et à des apparences qui ne deviennent aisément limpides que le jugement rendu.
Qui pourrait soutenir de bonne foi qu'il était juridiquement et pratiquement inepte d'envisager et d'ordonner la comparution de DSK au moment où cela a été décrété ?
Je ne méconnais pas l'extrême difficulté, pour admettre la validité de la démarche des juges d'instruction, d'affronter l'hiatus troublant entre la sévérité abstraite de la qualification pénale et les notions de sens commun sur les "proxénètes" et l'argent de la prostitution.
DSK a été relaxé. Tant mieux pour lui et, apparemment, pour la vérité.
Mais comment admettre cette choquante conception de l'état de droit qui semble résulter de la condescendance apitoyée et un tantinet méprisante avec laquelle on a accueilli ces relaxes ? A entendre les avocats triomphants, dorénavant il ne faudrait plus seulement leur octroyer des absolutions mais empêcher la tenue des procès les édictant. Je suis frappé par le fait qu'au gré des causes, on souhaiterait ici une justice infiniment pluraliste et contradictoire et là une justice pauvre et univoque.
Les médias judiciaires, gauche et droite confondues, ont entonné le même air. Les médias de Panurge !
Ce sont les mêmes qui sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy ont vigoureusement protesté contre la suppression du juge d'instruction. La gestion des dossiers Bettencourt a sauvé cette fonction. Initialement - et j'avais tort - j'approuvais pourtant l'opportunité d'une procédure accusatoire.
Hier, en bloc, pour maintenir le juge d'instruction et aujourd'hui, parce que DSK a été relaxé, que le Parquet l'a soutenu et que les juges, procéduralement, ont été infirmés, les médias font volte-face et d'une affaire particulière prétendent dégager une dénonciation générale (Le Parisien, Le Monde, BFM TV, Le Figaro).
Demain, si la droite au pouvoir projette de revenir à la charge en supprimant la fonction de juge d'instruction, je fais un pari.
Les médias de Panurge seront son rempart, son bouclier !
Rédigé par Sieur Garry Gaspary le 20 juin 2015 à 10:16
Merci Monsieur Gaspary de votre reponse a mon attention. Toutefois, "je lache l'affaire".
Rédigé par : Valerie | 22 juin 2015 à 20:17
@ Raphael
Tous ceux qui parlent de vérité tout court sont des crétins christianisés qui sont persuadés que la vérité existe dès l'origine. Alors que la vérité se situe toujours à la fin d'un processus : la vérité théorique se situe à la fin de l'expérience, la vérité de l'expérience se situe à la fin de l'élaboration d'une nouvelle théorie, la vérité historique de l'Ancien Régime se situe à la fin de la Révolution française, etc. Et la vérité judiciaire se situe à la fin d'un procès.
Le crime n'a, pour l'exemple, aucune existence réelle tant que cette existence n'a pas été établie par un juge. Par la vérité judiciaire, le juge établit la réalité du crime. C'est cela et uniquement cela qui rend le jugement si essentiel pour les victimes, et c'est ce qui fait la première difficulté de l'exercice de la fonction de magistrat qui ne doit pas rendre justice pour les victimes s'il ne veut provoquer une dérive judiciaire du type Outreau.
@ Valerie
Je ne distingue pas entre les différentes religions chrétiennes parce que le christianisme ne m'intéresse pas en tant que religion (i.e. dans une relation spécifique entre un croyant et une divinité) mais en tant qu'esprit (i.e. dans la relation du christianisé avec le monde, et en particulier avec l'autre). Et l'esprit chrétien est identique dans toutes les religions chrétiennes.
@ Véronique Raffeneau
La robe ne fait pas le magistrat et c'est bien pour cela que je parle de la fonction de magistrat en tentant de transcender les excès personnels. Le pouvoir ne corrompt pas, le pouvoir judiciaire est, pour l'exemple, incapable de mener un magistrat à l'idée d'une présomption de culpabilité contre N. Sarkozy, et s'il y a corruption dans ce cas, elle provient de l'individu et non de l'exercice de la fonction. Mais le pouvoir ne grandit pas non plus, et il ne soigne pas un tel homme d'une telle corruption, il ne fait que la révéler.
Si le droit est une boussole alors il indique un nord, s'il est un ancrage alors il y a une réalité dans laquelle il plonge. Ce nord, cette réalité, c'est le peuple. La justice est rendue au nom du peuple, le pouvoir judiciaire est une responsabilité collective la plus totale. La justice est le fondement de la nation parce qu'elle est la reconnaissance du peuple par le peuple pour le peuple. Le sang, le sol ne sont rien comparés à elle.
Rédigé par : Garry Gaspary | 20 juin 2015 à 10:16
@ Garry Gaspary
Je suis sensible à vos interventions me concernant et je vous en remercie.
Pour ce qui est de la relaxe dans l'affaire du Carlton, les juges ont enseigné et rappelé à d'autres juges - à la manière d'une tronçonneuse - qu'entre le droit et la morale, c'est au droit que revient le dernier mot.
Je ne pense pas que "la fonction du magistrat se limite à dire le droit dans l'établissement d'une vérité judiciaire".
Le mot "se limite" me gêne.
Le droit est une boussole, un ancrage, un droit fil destiné à tempérer et à contenir les excès d'interprétation du magistrat.
Rédigé par : Véronique Raffeneau | 19 juin 2015 à 19:06
@ l'attention du Sieur Gaspary le 18 juin 2015 à 08:29
Dites-donc... Dites-donc... Sieur Gaspary Si... : "...autre Valerie..." me concerne, sachez primo : on n'a pas garde les cochons ensemble et deuxio : je ne me suis pas exprimee (ni publiquement, ni meme en prive) sur cet homme qui a eu maille a partir avec la Justice.
Ce n'est pas parce que j'ai eu la malchance d'etre affublee d'un "prenom de prolote" que je vais me laisser marcher dessus.
Ou avez-vous lu que j'aurais "la foi du charbonnier" chevillee au corps ?!?!
De surcroit, vous n'etablissez jamais aucune distinction entre les differentes religions qui composent la Chretiente qui ne se reduit pas au catholicisme.
Quant a placer sa confiance dans une vie qui n'est pas la sienne... certains le font sans meme etre croyants. Qu'ils en soient ici remercies.
Sur ce, je ne vais pas epiloguer plus longtemps et poursuis donc mes lectures...
Toutefois, n'etant pas rancuniere, je vous dedie cette chanson reecoutee hier soir par hasard sur mon transistor... tant qu'on peut encore l'ecouter sans etre conspues... profitons-en.
https://www.youtube.com/watch?v=N5_vcVq_vSE
P.S. Toute ressemblance avec un ministre en exercice serait purement fortuite
Bon week-end a toutes et tous
Rédigé par : Valerie | 19 juin 2015 à 14:43
..."La vérité judiciaire"... : entre "vérité judiciaire" et vérité tout court, il n'y a qu'un pas. Comme ils sont beaux ces grands sages en robe détenteurs de la vérité. Pas étonnant qu'ils ne se prennent pas pour des moitiés de mandarine.
Rédigé par : Raphael | 19 juin 2015 à 14:08
@ Garry Gaspary | 19 juin 2015 à 09:12
Vous offrez un cas typique de dialectique agressive et régressive.
Maintenant vous passez au n° 38 (Arthur Schopenhauer) :
"Si l'on s'aperçoit que l'adversaire est supérieur et que l'on ne va pas gagner, il faut tenir des propos désobligeants, blessants et grossiers. Etre désobligeant, cela consiste à quitter l'objet de la querelle (puisqu'on a perdu la partie) pour passer à l'adversaire, et à l'attaquer d'une manière ou d'une autre dans ce qu'il est : on pourrait appeler cela 'argumentum ad personam' pour faire la différence avec l''argumentum ad hominem'. [...] C'est un appel des facultés de l'esprit à celles du corps et de l'animalité. Cette règle est très appréciée car chacun est capable de l'appliquer, et elle est donc souvent utilisée. La question se pose maintenant de savoir quelle parade peut être utilisée par l'adversaire [victime de l'attaque personnelle]. Car s'il procède de la même façon, on débouche sur une bagarre, un duel ou un procès en diffamation.
[...]
La seule parade sûre est donc celle qu'Aristote a indiquée dans le dernier chapitre des Topiques : ne pas débattre avec le premier venu, mais uniquement avec les gens que l'on connaît et dont on sait qu'ils sont suffisamment raisonnables pour ne pas débiter des absurdités et se couvrir de ridicule.
[...]
Quant aux autres, qu'on les laisse dire ce qu'elles veulent car 'desipere est juris gentium'(*)."
(*) : c'est un droit des gens que d'extravaguer
Rédigé par : Cirsedal | 19 juin 2015 à 10:21
@ Cirsedal
Je n'ai pas l'impression que mon commentaire rabaisse plus que celui de l’énergumène qui a traité lâchement, puisque sans la nommer, Véronique Raffeneau de policière de la pensée alors qu'elle tentait juste de lui expliquer qu'une fois la vérité judiciaire établie dans une affaire, toute autre vérité, y compris donc la sienne propre ou celle de l'énergumène en question, compte pour rien.
Quant à ma puissance politique, étant à la mesure de ma personne, elle ne me déçoit jamais. Il faut dire que j'évite pour cela le ridicule de me faire passer pour un Snowden à la petite semaine prêt à me servir du blog de Philippe Bilger pour y faire des révélations explosives.
Rédigé par : Garry Gaspary | 19 juin 2015 à 09:12
Trekker a écrit :
"...A titre anecdotique citez-moi un directeur de la PP qui n’était pas frère aux cours des 50 dernières années !…"
---
Mon pauvre Trekker, commencez par vous relire avant d'accuser de délation ceux qui ne font que vous retourner votre question débile. C'est vous qui déblatérez à tort et à travers afin de vous rendre intéressant et pas que sur ce sujet.
Effectivement, j'ai quelques policiers et gendarmes haut gradés dans ma famille (dont un fils commissaire divisionnaire) et ils sont la discrétion absolue. Alors vos bobards concernant de prétendus directeurs de la police (contrôleurs ou inspecteurs généraux) qui vous auraient fait ce genre de confidences, je n'en crois pas un mot.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 18 juin 2015 à 22:17
@ Mary Preud'homme
"...Trekker et son contrôleur fantôme qui balance !"
Vous voudriez que je vous donne son nom, adresse etc. ?!
"...Citez-nous plutôt parmi les directions actives et administratives de la préfecture de police de Paris les dirigeants de ces vingt dernières années membres influents (selon vous) de la confrérie des maçons..."
Là encore la délation, désigner ces directeurs nommément ou/et les fonctions qu'ils exercent, ce n'est pas mon genre. Par contre je vous conseille de lire "Les frères invisibles" de Ghislaine Ottenheimer et Renaud Lecadre, ce livre date du début des années 2000 et est toujours d'actualité : seule évolution depuis la "bagarre de chiffonniers" au sein de la GLNF. Et cela ne vous coûtera pas cher, il est réédité en livre de poche.
Certes je comprends que ce sujet vous agace, dans plusieurs de vos anciens commentaires vous faisiez allusion à un (ou des) membre(s) de votre famille travaillant à la PP ou petite couronne.
Rédigé par : Trekker | 18 juin 2015 à 19:35
Pardon d'imposer à Madame Bilger la lecture de certains coms et d'avoir bien involontairement provoqué ce nouvel attelage de goujats et vieux bourrins vulgaires qui salissent/polluent ce blog.
Navrant que l'un d'entre eux - que je pensais être brillant et cultivé - prenne du plaisir à se vautrer dans tant de médiocrité.
Pour répandre du soleil sur les autres, il faut l'avoir en soi (Romain Rolland) mais si l'indifférence est une paralysie de l'âme, une sorte de mort prématurée (A. Tchekov) il n'est réplique si piquante que le mépris silencieux !
GOMER... LOL
Rédigé par : eileen | 18 juin 2015 à 19:22
@sbriglia
Pauvres blouses blanches :
"- Allons allons calmez-vous madame Colette !
- Je ne m'appelle pas Colette ! Mon nom est Piet...! euh... eileen ! Vous m'entendez ! EILLEEEEENNNNN !! lol lol lol !!"
Rédigé par : herman | 18 juin 2015 à 17:24
@ Garry Gaspary | 18 juin 2015 à 08:29
Vous prêtez beaucoup mais êtes-vous sûr du "rendu" ?
Vous prêtez de la "totale impuissance politique"... peut-être, et vous ?
Vous me prêtez le projet déraisonnable ou le fantasme fou de vouloir faire "éliminer de la scène publique ou sociale le satanisme, la pédophilie ou la franc-maçonnerie" par les tribunaux, autrement dit c'est une manière assez grossière de me prendre pour un c... devant témoins. Bon, une fois que vous avez tenté de rabaisser quelqu'un, vous vous sentez grandi ?
Stratagème n° 24. (Arthur Schopenhauer)
L'art de tirer des conséquences.
On force la thèse de l'adversaire [...] pour en faire sortir des propositions qui ne s'y trouvent pas et qui ne reflètent pas du tout l'opinion de l'adversaire car elles sont au contraire absurdes ou dangereuses [...], ce stratagème passe pour une réfutation indirecte, une apagogie, et c'est encore une application de la 'fallacia non causae ut causae' (faire passer pour une raison ce qui n'en est pas une).
Au moins la prochaine fois vous saurez comment désigner ce que vous faites en conscience, du moins on l'espère pour vous.
Rédigé par : Cirsedal | 18 juin 2015 à 14:34
@ Cirsedal
C'est le général Charlie qui nous envoie.
Rédigé par : Raphael | 18 juin 2015 à 13:24
"Tout ceci ne serait que fortement désagréable si votre nocivité n'avait pas aussi la très fâcheuse conséquence de faire fuir les commentateurs historiques et talentueux de cet espace de liberté dont vous profitez outre mesure."
Nous avons ici, herman, une illustration, mutatis mutandis, de la loi de Gresham : de même que la mauvaise monnaie chasse la bonne, le commentateur de caniveau fait fuir les vieux grognards (18 juin oblige !)
Nous avons souffert sous "Pietri", sous "Colette" et nous continuons sous son troisième alias... Le mieux est de courber la tête : de temps en temps les blouses blanches nous la mettent au frais pour quelques mois de tranquillité...
Rédigé par : sbriglia@herman | 18 juin 2015 à 09:23
@ Valérie
Placer sa confiance dans un être qui n'est pas un humain, dans une vie qui n'est pas la nôtre, dans un monde qui n'est pas terrestre, ce n'est pas de l'espérance, mais, au contraire, c'est le comble du désespoir.
En langage moderne, le martyr chrétien n'est rien d'autre qu'un suicidaire, le moine et l'ascète chrétiens ont tous les symptômes des dépressifs et le mystique chrétien n'est ni plus ni moins qu'un psychotique : tous les virtuoses qui ont servi de modèles aux chrétiens à travers l'Histoire seraient traités aujourd'hui en psychiatrie pour leur totale inadaptation à la vie sociale humaine, alors ne venez surtout pas me parler de l'espérance du chrétien, j'ai les lèvres gercées.
@ Cirsedal
L'énorme avantage qu'a Véronique Raffeneau sur quelqu'un comme vous, c'est qu'elle a conscience que la fonction du magistrat se limite à dire le droit dans l'établissement d'une vérité judiciaire alors que vous, vous tentez d'y compenser votre totale impuissance politique. Dit autrement, un tribunal n'est sûrement pas, ou pour bien vous mettre les points sur les i, n'est sûrement plus un lieu fait pour éliminer de la scène publique ou sociale le satanisme, la pédophilie ou la franc-maçonnerie.
Et pour répondre à votre alter ego Raphael, si le seul argument qu'il a contre DSK est son comportement décadent, je tiens juste à lui signaler qu'il ne convainc personne si ce n'est les Parigoth, Xavier Nebout et autre Valerie, et ceci d'autant plus facilement que c'est ce type de personnes qui lui ont elles-mêmes inculqué ce qu'était un comportement décadent.
Je veux bien croire que le comportement de DSK mérite d'être condamné, mais il y a bien longtemps que l'argument "parce que c'est mal" me fait plutôt condamner celui qui l'emploie parce que je sais que c'est l'argument de ceux qui n'ont aucun argument.
Rédigé par : Garry Gaspary | 18 juin 2015 à 08:29
@Giuseppe
Totalement d'accord.
De plus le "saignement", la baisse du PIB, tant dénoncé par la gauche française, n'est peut-être dû qu'au passage à la réalité du PIB non falsifié.
Pour la France il suffit de voir comment un fonctionnaire peut n'avoir jamais gagné plus de 15 000 €, donc cotisé sur ce montant, et va toucher plus de 30 000 € comme notre président. Il achète ces mêmes fonctionnaires à coup d'augmentation sur le dos des entreprises et des Français.
Rédigé par : Jean-Marc | 18 juin 2015 à 07:54
@herman
- Déplaire à un individu de votre trempe ressemble à une sorte de reconnaissance... en fait je vous fascine... LOL
- Vous devriez vous imbiber/imprégner de la tolérance de notre hôte qui lui, vous supporte, vous et vos commentaires totalement inutiles qui vomissent votre haine de l'autre en utilisant une méthode bien connue : pour mieux critiquer l'un on valorise les autres à outrance.
- Vous êtes un voyeur qui se contente de regarder par le trou de la serrure, qui n'a rien à apporter au sujet proposé, doublé d'un voyant pas du tout extra ni lucide, puisque vous prétendez que j'étais en vacances ! alors que rien ne vous permet/autorise à le penser !
- Dans votre cour de récréation ne dit-on pas que ce sont les plus gênés qui s'en vont LOL
Rédigé par : eileen | 18 juin 2015 à 06:52
@ Trekker et à son contrôleur fantôme qui balance !
Citez-nous plutôt parmi les directions actives et administratives de la préfecture de police de Paris les dirigeants de ces vingt dernières années membres influents (selon vous) de la confrérie des maçons ? A cet égard, votre ami, contrôleur général - s'il n'est pas virtuel - devrait pouvoir vous aider à trouver, d'autant plus avec un pourcentage de 50 %. Alors que même les journaux les plus racoleurs s'en sont tenus (sans preuves tangibles) à un pourcentage de 20 % pour les commissaires et officiers de la seule PP.
Quant au syndicat que vous décriez, il est justement pour la transparence, afin que soit mis un terme à de tels ragots n'ayant pour but que de porter atteinte à la bonne réputation et à l'honneur de la police.
Ceci dit les francs-maçons de notre pays (estimés au total à environ 150.000) doivent être respectés comme tout un chacun, dans la mesure où ils respectent les lois et ne s'arrogent pas certains droits eu égard à leur appartenance sociale, professionnelle ou syndicale. Et pas plus aujourd'hui qu'hier ils ne sont responsables (ici ou là) de la décadence de notre pays. Il faut arrêter avec la théorie du bouc émissaire !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 18 juin 2015 à 00:46
Nous sommes étranger au Raphael du 17 juin 2015 à 21:09
1° la violente philippique employée ne laisse d'inquiéter
2° le patchwork opéré avec cette incise "regardez un enfant de quatre ans !" n'a plus rien à voir avec son premier message sur cette page : le Raphael du 17 juin a-t-il délibérément choisi de discréditer le Raphael du 15 juin, et si oui, qui lui en aurait donné l'ordre ?
3° la menace à peine maquillée de promesse de décapitation envers DSK et consorts ("au bout d'une pique", avec ce raffinement allusif à un éventuel empalage sur la pique "placée à la manière qu’il vous conviendra") signifie probablement une intervention qu'il y a un siècle on qualifiait d' "anarcho-policière"... provocation programmée comme un coup de sonde pour renseigner grâce aux réactions escomptées...
4° M. Bilger étant devenu un pivot d'influence comme il le souhaitait, il est normal que les polices politiques opèrent des psy-ops dans ses pages
Rédigé par : Cirsedal étranger au Raphael | 17 juin 2015 à 21:09 | 18 juin 2015 à 00:37
@ Raphael
J'adôôôre votre façon de répondre : soit le peuple "éduqué" de Grèce n'a rien vu venir, "tout va très bien madame la marquise" et donc a cautionné au détriment des plus fragiles les faux bilans et autres turpitudes, mais là je n'y crois pas, et donc malgré tout d'élire cette oligarchie en place, sans sourciller, depuis des lustres, soit tout le monde faisait l'autruche et puis "on verra bien". Toujours est-il que l'équipe ancienne en place a été élue et réélue.
Dire que c'est la faute des autres, la ficelle est un peu grosse, quand on voit à quelle vitesse l'actualité se propage et que personne ne s'apercevait que les Grecs vivaient avec de la monnaie de singe, je ne peux pas le croire ce serait les rendre plus nuls qu'ils ne le sont en vérité.
Je ne suis pas ici pour reprendre avec vous les fondamentaux des mécanismes économiques mais vous êtes quelque peu embrumé, et je le comprends, à vouloir soutenir les plus fragiles qui font les frais d'une politique désastreuse. Mais jusqu'à preuve du contraire ce sont tous les Grecs qui ont élu démocratiquement les politiques en action.
Ne me faites surtout pas un parallèle avec Lehman Brothers. Bon j'allais m'égarer, c'est comme si vous disiez que personne ne sait aujourd'hui où en est la France, sa dette, son impossibilité à tenir un déficit budgétaire etc. Tout cela est connu de tous, aux électeurs de peser sur le débat, la seule chose que je peux entendre c'est que devant la peur de réformer tout le monde met la tête dans le sable et c'est bien connu ce sont les plus faibles qui trinquent, malheureusement.
Secouons davantage les dirigeants, les élus, les représentants, ce n'est pas du bashing d'un pays dont je parle, cela n'est pas intéressant, mais pourquoi donc les intellectuels de ce pays ont-ils continué à soutenir des dirigeants qui les menaient droit dans le mur ?
Nous ne sommes pas mieux que les Grecs et pourtant nous continuons à reproduire les mêmes, nous sommes les Grecs, la seule différence c'est que nos structures sont organisées de telle manière que malgré tout on fera rentrer l'argent dans les caisses bon gré mal gré et j'ajouterai malgré tout, ce qui est le plus désespérant.
Dernière petite remarque, on dit qu'un vin est frelaté, et d'une carte postale qu'elle est le témoin d'une époque.
Rédigé par : Giuseppe | 17 juin 2015 à 23:15
Le comportement reptilien de nos monarques républicains qui violentent ou violent leurs gens en tout impunité et la brutalité infligée par ces mêmes aristocrates sans code de conduite à des populations entières sont l’expression des mêmes turpitudes. Il est donc normal que le fil de discussion en arrive au sujet de la Grèce.
Les dirigeants européens exigent une victime expiatoire après que certains d’entre eux ont développé des paradis fiscaux dans leur propre pays qui ont participé grandement à l’appauvrissement de la victime : de la pure perversité décomplexée. On saigne à blanc des populations, on exige instamment de sabrer dans les salaires et les pensions, mais en matière de transparence fiscale, bernique ! De l’extermination de masse réalisée sans gaz ni détonation, à distance, sans bruit, mais avec brio, un peu à la manière des mafias qui jouent la dissuasion en mettant en scène le crime. C’est vrai que le spectacle est magnifique, grandiose. Faire plier toute une entreprise, un pays ou avilir des masses par un simple claquement de doigt, c’est tellement excitant. D’ailleurs, certains et certaines ne peuvent s’empêcher d’organiser des remakes en version privée, comme à Toulouse, en Belgique ou dans les Sofitel… c’est dire comme c’est jouissif le pouvoir de détruire : regardez un enfant de quatre ans ! Dans un monde de perversité et d’ennui à grande échelle, il faut être encore plus pervers pour survivre.
La dérégulation d’inspiration libérale initiée au début des années 70 est un loup pour l’Homme. On assiste à un retour au sauvage, au recul de la culture sous toutes ses formes, à l’oubli du passé et au contre-foutage du futur (prends l’oseille et tire-toi). Bref au nihilisme. DSK et consorts mériteraient d’être promenés au bout d’une pique (placée à la manière qu’il vous conviendra).
Rédigé par : Raphael | 17 juin 2015 à 21:09
@ Mary Preud'homme
"...pour les commissaires de la PP et départements de la petite couronne je puis en tout cas vous affirmer que vos chiffres sont totalement fantaisistes. A noter que les estimations citées par le syndicat des commissaires font état de 7 à 8 % (estimation haute) de maçons pour l'ensemble du corps de conception et de direction de la PN. Sur 1750 commissaires et hauts fonctionnaires, 140 environ seraient donc des frères ou... sœurs…"
Je suis plié de rire car prendre le chiffre avancé par ce syndicat pour vérité d’évangile, on peut compter sur ledit syndicat pour minorer outrageusement la réalité : entre secret d’appartenance et corporatisme. Ces 7 à 8 % de frères et soeurs en région parisienne, ce sont au plus ceux qui ont fait leur “coming out”. Le chiffre de 50 % a minima, je le tiens d’un contrôleur général de la police nationale. Il expliquait entre autres que c’était la principale cause de l’impossible fusion de la PP avec la police nationale. Car au fil du temps les frères commissaires et hauts fonctionnaires de la PP ont constitué une véritable mafia, celle-ci reposant sur une cooptation de fait leur permettant de se répartir les postes les plus intéressants.
A titre anecdotique citez-moi un directeur de la PP qui n’était pas frère aux cours des 50 dernières années !… Les doigts d’une seule de vos mains devraient suffire.
Où je vous suis c’est sur la bien moindre appartenance à la FM des femmes commissaires, mais leurs accès à la haute hiérarchie policière est quand même tout relatif : machisme et notamment celui des frères.
Rédigé par : Trekker | 17 juin 2015 à 21:05
Oui ! on va vous laisser entre vous pour parler sérieusement de D.S.-K.!
Par qui pourrait-il être aussi bien défendu ? Hein !
Rédigé par : calamity jane | 17 juin 2015 à 17:10
@ Xavier NEBOUT
Notre Gaspatcho sait de quoi il parle, il a tenu longtemps le rôle de "l'angelot" dans les sacristies de son enfance...
Mais... ça ne nous regarde pas !
Rédigé par : sylvain | 17 juin 2015 à 16:34
@eileen
Mon commentaire serait utile s'il pouvait vous faire fuir vers d'autres lieux, ou au minimum limiter vos interventions qui se comptent à souvent plus de cinq par billet. Oh, vous n'êtes pas la seule ! mais chez vous c'est systématique, et contrairement aux autres c'est aussi quasi systématiquement hors-sujet, et bien sûr agrémenté de "lol" voire de "mdr" qui polluent, et vos commentaires, et la tenue exemplaire de ce blog.
Tout ceci ne serait que fortement désagréable si votre nocivité n'avait pas aussi la très fâcheuse conséquence de faire fuir les commentateurs historiques et talentueux de cet espace de liberté dont vous profitez outre mesure.
C'est un fait qu'en votre absence la lecture de commentaires, ainsi que les échanges entre les commentateurs deviennent passionnants.
Par ailleurs j'aurais tout aussi bien pondre votre réponse à mon attaque car vous êtes très prévisible et faites toujours le même genre de réponse aux nombreux intervenants que vous importunez. Leurs critiques vous glissent TOUJOURS dessus, vous êtes une véritable savonnette, on vous attrape, et hop ! vous glissez... dans la peau d'une autre...!
Rédigé par : herman | 17 juin 2015 à 15:36
Special dedicace au "Monsieur etouffe-chretien"
"...Dieu vous fera la grâce de vous envoyer un des ces angelots pour vous déposer en douceur au sol si vous sautez du quinzième étage, alors que, pour ma part, j'admire la justesse du jugement de la pesanteur."
Ange gardien pour ces deux-la et pour d'autres que la vie a balance par-dessus bord et qui ont neanmoins rebondi !!
http://www.lefigaro.fr/international/2013/06/17/01003-20130617ARTFIG00648-un-homme-survit-a-une-chute-du-15e-etage.php
http://www.leparisien.fr/rouen-76000/le-havre-un-bebe-survit-a-une-chute-de-13-etages-13-01-2015-4440947.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.co.uk%2F
Quel acharnement a detruire l'esperance : quelle motivation a cela ?
Rédigé par Dame Preud'homme (sus aux grincheux !) | 17 juin 2015 à 11:03
"M'est avis que le très spirituel Savonarole (dont les commentaires pimentent souvent savoureusement les billets du patron) ferait quelques vilains jaloux sur ce blog !
+ 1000
Rédigé par : Valerie | 17 juin 2015 à 14:33
J'approuve le Raphael | 15 juin 2015 à 11:50, et grandement !
Curieusement, si des noms d'emplumés volètent, cela a été prétexté par des considérations ultérieures, tandis que le PREMIER message de Raphael,
'Raphael | 15 juin 2015 à 11:50' a été comme soigneusement esquivé.
Mais est-ce si curieux puisque ses trois premiers alinéas commencent ainsi :
- Les enfants du juge Roche avaient dénoncé les pratiques barbares...
- Le gendarme Jambert s'est suicidé de deux balles dans la tête...
- L'affaire Dutroux est également "remontée" très haut...
Alors ne faisons pas partie des esquiveurs motivés peut-être par leurs liens occultes qu'on peut subodorer dans ces pages.
Raphael pour nous a brillamment exposé que le pire, le plus inquiétant c'est cette attitude d'intellectuel qui se la joue blasé, prompt à susurrer des petits mots méprisants ("amours ancillaires"), et que ces penseurs narcisses - ô malaise - tirent des bords dans les eaux des pouvoirs exécutif, législatif, judiciaire, administratif et médiatique (qu'on ne peut sous-estimer). La réaction "populiste" ils la suscitent pour mieux la fustiger et se camper en Pasionarias de la "Liberté" !
Raphael souligne remarquablement bien que ces Héros "des" libertés ont le réflexe immédiatement ostracisant dès qu'une voix en liberté comme celle de Luc Ferry rompt le pacte implicite de connivence.
Applaudissons à la chute de Raphael avec ce superbe appel du pied :
"un observateur au regard pertinent, fin et acéré, qui n'a aujourd'hui plus rien à craindre (du moins pour sa carrière)". Allons-nous créer un club des déçus de la "Justice au Singulier" ?
Et par ailleurs cette page est encore succulente pour son retour du refoulé : le terme "Outreau" y réapparaît moultement alors pourtant que des policières de la pensée (qui se reconnaîtront) ordonnaient le mot FIN et réclamaient "affaire classée" dans la page
http://www.philippebilger.com/blog/2015/05/entretien-avec-%C3%A9ric-dupond-moretti.html#comments
où vous pourrez vous rendre pour profiter de notre envoi :
'Cirsedal désarchive POUR TOUS un papier accablant | 15 juin 2015 à 15:12' .
Oui, lire "comparaison entre l'affaire d'Outreau et l'affaire du Carlton" de la part d'un certain clavier, c'est un grand moment de jubilation.
Il y a fort longtemps, un "colleur" de maths en math-sup au Prytanée Militaire de la sous-préfecture sarthoise pratiquait la cruauté suivante contre un taupin qui ne savait rien sur la question de cours : au moment de passer à l'exo, il demandait " Tracez un axe x'Ox ", et une fois fait : "Suivez la Flèche !" étant entendu que l'axe
(x'------O------->x) au tableau montrait ... -> la porte !
Rédigé par : Cirsedal aime le Raphael | 15 juin 2015 à 11:50 | 17 juin 2015 à 11:22
M'est avis que le très spirituel Savonarole (dont les commentaires pimentent souvent savoureusement les billets du patron) ferait quelques vilains jaloux sur ce blog !
Rédigé par : Mary Preud'homme (sus aux grincheux !) | 17 juin 2015 à 11:03
@ Xavier NEBOUT
Disons alors que vous vous pensez libre uniquement parce que vous êtes capable de croire que Dieu vous fera la grâce de vous envoyer un des ces angelots pour vous déposer en douceur au sol si vous sautez du quinzième étage, alors que, pour ma part, j'admire la justesse du jugement de la pesanteur.
Et penser que la philosophie puisse se pencher sur vos pauvres délires plus que cela, c'est lui prêter des vertus qu'elle n'a évidemment pas.
Rédigé par : Garry Gaspary | 17 juin 2015 à 11:02
@Savonarole
Votre tonsure naturelle de prêcheur hystérique vous a considérablement aigri.
Rédigé par : Raphael | 17 juin 2015 à 10:14
@ Savonarole et Robert Marchenoir
Désolé, je ne savais pas pour votre compte en Suisse. Pensez bien que si j'avais su, je me serais abstenu.
Grâce à vous, je sais aujourd'hui que nos sportifs préférés ont choisi délibérément d'offrir leurs économies à nos voisins helvètes. Ces hommes et femmes en short sont vraiment admirables.
@ Giuseppe
Cessez les cartes postales frelatées et le Grèce-bashing. Les institutions européennes, financières et autres connaissaient très bien la situation et ont poussé au crime. Aujourd'hui, c'est tout un peuple qui paye.
Rédigé par : Raphael | 17 juin 2015 à 09:56
@ Xavier NEBOUT
Est-ce eux qui ont autant de pouvoirs ?
200 gendarmes et hélicoptères débarquant à 3 heures du matin pour entourer une barre d'immeubles dans le 93 ? Non, une maison dans les Pyrénées !
Trafic de drogue ? dépôt d'armes ? rites sataniques? pédophilie? filière de fausses cartes vitales ?
Non vente de légumes non déclarée au fisc, enfants travaillant avec leurs parents et scolarisés à domicile.
La Mivilude, cela vous dit quelque chose niveau frères ?
http://www.sudouest.fr/2015/06/16/bearn-interpellations-a-la-secte-tabitha-s-place-1953201-4321.php
Rédigé par : hameau dans les nuages | 17 juin 2015 à 09:53
@Trekker
"...Au sujet des emplois quasi réservés aux frères, vient en premier celui de général de l’infanterie de marine (une vieille tradition issue de feu la Coloniale, qui était réputée être une arme infiniment plus républicaine que la Metro), en second les commissaires de police de la PP (police parisienne) avec un taux de près de 50 %, etc. Faire la liste de ces emplois quasi réservés serait fastidieux..."
Il ne suffit pas d'affirmer pour prouver. Concernant les commissaires de la PP et départements de la petite couronne je puis en tout cas vous affirmer que vos chiffres sont totalement fantaisistes. A noter que les estimations citées par le syndicat des commissaires font état de 7 à 8 % (estimation haute) de maçons pour l'ensemble du corps de conception et de direction de la PN. Sur 1750 commissaires et hauts fonctionnaires, 140 environ seraient donc des frères ou... sœurs. Chiffre qui devrait aller en s'amenuisant d'années en années (et non l'inverse) avec l'accès de plus en plus nombreux de femmes dans la haute hiérarchie policière.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 17 juin 2015 à 01:39
Par contre pour les Grecs difficile de trouver un sauveur, DSK a d'autres chats à fouetter, les coiffeurs trop dangereux, ah si, il y a le recours ultime Mélenchon. Par contre je ne suis pas sûr qu'il parle le grec et pas sûr non plus qu'il parle l'armateur, et dans ce pays c'est un dialecte important si on veut remplir les caisses.
Beau pays que la Grèce, qui a confondu trop longtemps champs d'oliviers et cadastre, esquif et armateurs, coiffeurs et ministère des Finances, alors appeler notre meilleur-économiste-du-monde alors que lui ne sait pas ce qu'est une prostituée ne sera donc pas d'un grand recours.
Rédigé par : Giuseppe | 17 juin 2015 à 00:01
@ Raphael | 16 juin 2015 à 20:02
A propos, à l’occasion d’une votation sur la reconduction du régime fiscal accordé aux « exilés » (en gros, un paiement de l’impôt basé sur la consommation, ce qui signifie un taux d’imposition ridiculement bas), on a pu apprendre qu’une centaine de millionnaires et milliardaires grecs avaient élu « domicile » en Suisse.
C'est une présentation biaisée de la réalité. Le régime fiscal auquel vous faites allusion est obscurci sous les fantasmes de la jalousie socialiste bien caractéristique de la France.
Les rares étrangers résidents en Suisse qui sont admis à négocier un forfait d'imposition à la dépense payent un montant d'impôts considérable. Il est simplement plus bas que s'ils payaient leurs impôts dans leur pays d'origine. Ce qui tombe sous le sens, d'ailleurs : la Suisse ne délivre un permis de séjour à un étranger au titre de ce forfait que si elle est assurée de percevoir de confortables recettes fiscales en échange.
D'autre part, le nombre des étrangers admis à bénéficier de l'imposition au forfait est très faible : quelques milliers. En comparaison, un quart de la population suisse est étrangère !
Enfin, l'une des conditions de l'imposition au forfait est l'interdiction de se livrer à une activité rémunérée en Suisse, ce qui limite beaucoup la portée de ce régime.
En l'occurrence, il est vraisemblable qu'un nombre important des Grecs bénéficiant du forfait fiscal en Suisse soient des armateurs, qui sont, de toutes façons... exonérés d'impôts en Grèce ! Leur résidence en Suisse étant motivée plus par des considérations de stabilité financière, monétaire, politique et sociale, que par un simple arbitrage fiscal. Quand vous êtes très riche, vous avez tendance à préférer vivre dans un pays "propre en ordre", qui ne hait pas les riches, ouvert sur le monde entier, plutôt que dans un pays en voie de tiers-mondisation, tendant vers le communisme et le nazisme.
Le scandale serait plutôt chez les Grecs, qui exonèrent leurs armateurs d'impôts, que chez les Suisses qui les accueillent. Pour être tout à fait juste, il faut ajouter que la raison avancée par la Grèce pour ne pas abolir le privilège fiscal des armateurs est que dans ce cas, ils iraient tous s'établir à l'étranger.
Les Suisses, contaminés par le socialisme suppurant de la France voisine, ont récemment limité, voire supprimé le forfait fiscal dans plusieurs cantons. C'est une politique stupide motivée exclusivement par la jalousie sociale. En effet, la présence des milliardaires concernés fait bénéficier la Suisse non seulement de leurs impôts, mais de leurs dépenses, considérables vu leur statut social.
Les cantons où le forfait fiscal a été supprimé ont vu, sans surprise, leurs milliardaires partir sous des cieux plus cléments. L'égalité dans la pauvreté, voilà l'idéal socialiste...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 16 juin 2015 à 23:14
"Ma grand-mère tenait un salon de coiffure"
Rédigé par : Raphael | 16 juin 2015 à 22:38
Je vous crois. Un généticien pourrait d'ailleurs expliquer que les risques du métier de votre grand-mère et les traces génétiques résiduelles qui subsistent en vous du fait des risques encourus par elle sont une conséquence de votre état actuel.
Vous coupez les cheveux en quatre...
Rédigé par : Savonarole | 16 juin 2015 à 22:58
@ Trekker | 16 juin 2015 à 17:57
Mon “ami” Robert Marchenoir va certainement voir dans mes propos ceux d’un complotiste animé par un gauchisme effréné.
Je vous ai déjà demandé de ne pas m'attribuer des opinions tirées de votre imagination, mais il en faudrait plus pour ébranler votre conception douteuse de l'honnêteté intellectuelle. Quand ai-je nié l'emprise de la franc-maçonnerie sur la vie publique française ?
Jamais, parce que moi, contrairement à vous, je suis un homme libre qui pense de même, en me basant sur des faits, et non sur le manuel d'une secte politique quelconque. Les francs-maçons ne nient nullement leur influence sur la politique de la France. Ils la revendiquent, même, et regrettent qu'elle ne soit pas plus importante. La différence est qu'ils l'estiment bénéfique, opinion qui n'est pas partagée par tous.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 16 juin 2015 à 22:43
@Savonarole
Cessez de prêcher Mon Frère, allez voir sur place, vivez avec les vrais gens, ça vous sortira de vos certitudes.
Et je vous le confirme, Cher apôtre des Convictions Assenées, coiffeur est effectivement une profession à risques (produits toxiques = cancers = y a pas de quoi se taper sur les cuisses). Je le sais Patate, ma grand-mère tenait un salon de coiffure.
Rédigé par : Raphael | 16 juin 2015 à 22:38
"Connaissez-vous les Gracques ? C'est un club de hauts fonctionnaires et penseurs de gauche, oui de gauche"
Rédigé par : Savonarole | 16 juin 2015 à 21:20
Mouais... la gauche autant à gauche que Manuel Valls !
Sinon, sur le fond du problème de la dette : on reproche aux Grecs un système d'imposition défaillant. On reproche aussi à la France et à l'Italie leur déficit chronique.
Si l'on regarde la période des Trente Glorieuses, un mark valait un franc vers la fin des années 60, et 3,5 francs vingt-cinq ans après, ce qui correspond à 5% par an de dévaluation. Or tous les ans nous sommes en déficit... de 5%.
On nous fait un ISF avec tant d'exceptions qu'il ne sert à rien sauf à exciter la démagogie. Mais si on réfléchit un peu, une inflation de 5% par an est un peu un impôt sur le capital. Au lieu de cela nous risquons l'arrêt économique dramatique qu'entraînerait la déflation.
Tout cela pour dire que si l'Euro a été bénéfique par bien des aspects pour la Grèce, il est aussi un poison qui l'entraîne mécaniquement vers les déficits. L'UE et principalement l'Allemagne (qui a été traumatisée par l'inflation des années 20) a donc sa part de responsabilité dans la mauvaise santé financière des pays du "club Med", et en particulier de la Grèce.
Sortir de l'inflation ne se fait pas sur un coup de baguette magique en changeant brutalement de monnaie. Il faut maintenir les deux monnaies en parallèle pendant un certain temps pour assurer la transition. C'est ce qu'a fait Fernando Henrique Cardoso au Brésil avec le plan Real, c'est un peu ce qui est fait au Chili avec le CLF et le CLP...
Ce qui a été fait en Grèce est irresponsable. L'Europe va devoir de toute façon sortir un peu du modèle allemand et changer de cap pour enrayer la déflation.
Rédigé par : Alex paulista | 16 juin 2015 à 22:16
Afin que nul ne meure idiot et qu'on sauve Raphael, lire le passage où la troïka a appris que les coiffeurs grecs peuvent prendre leur retraite à 50 ans car c'est un "métier à risque"...
Il est interdit de rire...
http://www.franceinter.fr/emission-ledito-eco-les-retraites-grecques
Rédigé par : Savonarole | 16 juin 2015 à 21:38
@Raphael
Manifestement vous lisez La Tribune tous les jours.
Forgez-vous votre propre opinion au lieu de lire ce torchon économique.
Connaissez-vous les Gracques ? C'est un club de hauts fonctionnaires et penseurs de gauche, oui de gauche, et voici leur dernière contribution :
http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/021137279879-grece-ne-laissons-pas-m-tsipras-braquer-les-banques-1128409.php
Rédigé par : Savonarole | 16 juin 2015 à 21:20
@Savonarole
La Grèce, un état voyou ? Ah bon...? Et quand bien même une élite aurait profité du système, est-ce une raison suffisante pour punir et affamer toute une population ?
Si le système de retraite grec est un monument, ce serait plutôt la Vénus de Milo que le Parthénon. Un ami grec, officier en retraite, a vu sa solde amputée du tiers quasiment du jour au lendemain. Pour lui, tout va bien merci, il a monté sa boîte depuis. Mais combien de petites gens précipitées dans la misère et l’incertitude… Allez voir sur place et vous reviendrez avec la honte. Mais ce n’est jamais assez, les argentiers de l'Europe en remettent une couche en exigeant à nouveau de nouvelles baisses des salaires et des retraites...
A propos, à l’occasion d’une votation sur la reconduction du régime fiscal accordé aux « exilés » (en gros, un paiement de l’impôt basé sur la consommation, ce qui signifie un taux d’imposition ridiculement bas), on a pu apprendre qu’une centaine de millionnaires et milliardaires grecs avaient élu « domicile » en Suisse. Pourtant nombre d’économistes ou de financiers affirment sans rire que l’opacité du système financier international rend difficile la localisation des gros profiteurs… Faites passer le message : chez Afflelou, la deuxième paire de lunettes est à 1 euro.
On méprise et maltraite tout un peuple, alors que ce sont les banques qui assurent le transfert des comptes de leurs gros clients vers les comptes offshore et ces mêmes banques qui soit dit en passant prêtent à des taux maousses tout en se refinançant à des taux historiquement bas. Ce sont certaines grosses institutions financières qui ont aidé les dirigeants (et non pas la population) à arranger comptes et bilans du pays. Ce sont les marchés financiers qui ont spéculé sur la dette grecque et ce sont les agences internationales qui n’ont rien dit et aggravé la crise avec leurs notes à la mords-moi-le-noeud.
La proposition de DSK n’était donc pas si délirante, car à cette époque, la dette était détenue majoritairement par des investisseurs privés ; proposition (remise partielle sous condition) d'ailleurs récemment évoquée par des ex du FMI.
Question à deux euros : quel est le pays européen qui a bénéficié du plus grand nombre de remises de dettes depuis un siècle : l’Allemagne.
Rédigé par : Raphael | 16 juin 2015 à 20:02
@ Xavier Nebout
Je suis totalement d’accord avec vous sur le fait suivant : vous êtes quasiment le seul ici à dénoncer régulièrement les dérives et méfaits des fraternités maçonniques, plus exactement de nombre de ses membres en situation de pouvoir.
Au sujet des emplois quasi réservés aux frères, vient en premier celui de général de l’infanterie de marine (une vieille tradition issue de feu la Coloniale, qui était réputée être une arme infiniment plus républicaine que la Metro), en second les commissaires de police de la PP (police parisienne) avec un taux de près de 50 %, etc. Faire la liste de ces emplois quasi réservés serait fastidieux.
Bien évidemment sur ce blog il y a des intervenants FM et c’est logique, cela ne me gêne pas tant que certains ne prennent systématiquement parti pour un frère. Cela au risque d’acrobaties, pour ne pas reconnaître la cause de leur partialité.
Le sel de l’histoire est que feu Pierre Marion (grand serviteur de l’Etat : ex-directeur de la DGSE entre autres, etc.) avait fait de même dans un livre, alors qu’il était un initié de longue date et fils de frère. Il avait donné publiquement sa démission des hautes fonctions qu’il exerçait dans son obédience, afin d’alerter sur ce sujet, et rejoint la grande loge d’Angleterre. Selon ses propres mots, la FM continentale posait un grave problème éthique depuis des décennies au regard de ses principes fondateurs et entre autres : le devoir de fraternité se muait fréquemment en devoir de connivence, et celui-ci tournait souvent au compérage.
Sujet à méditer pour nos fraternités françaises : en Angleterre, terre de naissance de la FM, depuis plus d’une décennie un magistrat ou un policier membre de la FM doit le déclarer publiquement ; en Italie depuis près de vingt ans l’appartenance à la FM est prohibée pour un magistrat.
Mon “ami” Robert Marchenoir va certainement voir dans mes propos ceux d’un complotiste animé par un gauchisme effréné.
Rédigé par : Trekker | 16 juin 2015 à 17:57
Pourquoi herman parce que votre commentaire l'est lui utile... vous faites preuve d'une très grande intolérance ou de stupidité, au choix... mais je n'ai rien lu de vous, je ne vous ai même jamais lu, j'ignorais jusqu'à votre existence d'intervenant, c'est dire... alors vos propos de commères glisseront !
Rédigé par : eileen | 16 juin 2015 à 17:45
@ Véronique Raffeneau | 16 juin 2015 à 07:52
Je vous rejoins sur la fin de votre analyse, ma comparaison avec l'affaire d'Outreau n'étant pas sur le fond mais sur l'attitude de cette cour d'appel, quelles que soient ses motivations.
Cela se retrouve dans votre conclusion : "je crois que ce qui au fond a motivé la cour d'appel est peut-être très simplement l'impératif de ne pas déplaire à son allié-obligé : l'opinion médiatique". Il me semble cependant grave que l'on puisse en arriver à penser que la chambre de l'instruction puisse faire passer le Droit après d'autres considérations.
Quant à la disproportion des moyens mis en œuvre, elle s'explique à l'évidence par la personnalité du mis en examen dont on savait pertinemment qu'il ferait appel à des sommités du barreau pour le défendre. Il n'en reste pas moins à mes yeux que cette instruction devait être "bancale" pour que les juges professionnels du procès en arrivent à leur décision qui de fait rejoint les réquisitions du Parquet avant le renvoi en audience. C'est bien là une forme de désaveu de l'instruction.
Rédigé par : Robert | 16 juin 2015 à 17:34
Je suis peut-être une brêle en matière de droit, mais je suis en bonne compagnie. L'avocat Gilles-William Goldnadel, sur le procès de DSK :
Dès le premier jour de sa mise en examen, j'avais écrit que l'incrimination de proxénétisme aggravé contre Dominique Strauss-Kahn relevait de l'ineptie. Il était clair que les juges d'instruction claquemurés dans leur cabinet ignoraient tout de la vie au dehors et entendaient faire payer à Dominique Strauss-Kahn ses goûts de luxe et sa pratique sexuelle débridée. Qu'il me soit permis de dire, que comme à Outreau ou dans l'affaire Bettencourt, je n'ai vu aucun membre d'une presse judiciaire, aujourd'hui si sévère, s'interroger sur le sérieux de l'instruction.
http://blognadel.over-blog.com/2015/06/cecile-duflot-affaire-du-carlton-le-requisitoire-de-goldnadel-contre-les-diafoirus-de-la-morale.html#ob-comment-ob-comment-78883149
Rédigé par : Robert Marchenoir | 16 juin 2015 à 17:11
@Savonarole
... l'on observe la quasi unanimité de l'Europe à se débarrasser d'un pays voyou dont le système de retraites est un monument digne du Parthénon.
Je suppose que vous voulez parler de la France socialiste ?
Rédigé par : Parigoth | 16 juin 2015 à 16:50
DSK à la tête du FMI, dès 2011, préconisait un effacement total de la dette grecque.
Loué soit le Seigneur de lui avoir glissé sous les pieds cette série de savonnettes de frasques sexuelles qui ont mis fin à ses délires économiques.
On mesure aujourd'hui l'absurdité de ses propos lorsque l'on observe la quasi unanimité de l'Europe à se débarrasser d'un pays voyou dont le système de retraites est un monument digne du Parthénon.
De gauche à droite on s'accordait à trouver du génie à un bonimenteur de foire qui du Figaro à Mediapart le trouvaient absolument sublissime.
Là où on peut penser à un complot contre lui c'est que des "forces obscures" ont dû se dire "non vraiment là il dit trop de c...ries".
La quéquette était le seul moyen d'arrêter ce drone.
Rédigé par : Savonarole | 16 juin 2015 à 13:46
C'est pas vrai le cauchemar recommence ! Je reprenais goût à la lecture des commentaires, et voilà qu'eileen revient de vacances... Deux "lol" seulement, mais déjà deux commentaires parfaitement inutiles...
Rédigé par : herman | 16 juin 2015 à 13:07
Les médias sont atteints de panurgisme. Ce sont des toutous du pouvoir socialiste, comment croire leur bla-bla politiquement correct ? A part quelques exceptions, nous sommes condamnés à nous faire une opinion personnelle sans passer par ces moutons de Panurge.
Une émission hier soir, "Mots Croisés", pour s'étonner que les partis ne fassent plus recette. Cet étonnement est incroyable et l'analyse faite avec des oeillères. Ce sont justement les journalistes qui, comme les politiques, sont issus des mêmes écoles et font partie des mêmes réseaux, qui sont responsables de cette situation. Ils n'ont plus aucune indépendance, à part quelques courageux, cloués au pilori par avance et plus invités sur les plateaux où il ne faut pas faire de vagues et donner de mauvaises idées au peuple.
Ce matin un débat sur l'organisation de l'Islam de France avec le discours attendu habituel, pour finir sur la question débattue chez les Républicains, hier, concernant le droit du sol, une question idiote et pratiquement repoussante à leurs yeux. Aucun n'a trouvé de sens à cela, l'affirmant en baissant les yeux.
Pourtant, à l'heure où des milliers de migrants arrivent en France, et bien qu'on nous répète que ce serait une majorité de chrétiens d'Orient (pour mieux nous endormir) et que ces migrants une fois installés en France feront venir à n'en pas douter leurs familles, leur entourage, leurs amis, devrons-nous assumer de donner la nationalité française à tous ? Nous nous devons de nous poser cette question et bien d'autres. Oui il est urgent de se la poser et d'en tirer une conclusion, sinon même à quoi bon en parler ? En quoi protéger notre identité serait-il raciste, xénophobe ou islamophobe ?
Finalement, inquiète pour l'avenir de la France quand un Imam de renom demande l'ouverture de certaines églises pour la pratique du culte musulman, j'y vois une provocation devant la faiblesse de nos autorités mais surtout j'y vois un remake de la transformation de Sainte-Sophie et donc un changement de culture à terme, comme pour Constantinople.
Pessimiste... non, réaliste et c'est pour toutes ces raisons que les Français ne suivent plus, par bon sens, leurs partis politiques qui les vendent petit à petit, pour avoir la paix.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 16 juin 2015 à 12:55