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04 août 2015

Commentaires

Marie.net

@Robert Marchenoir

Quand on n'a rien à dire de sérieux sur ce blog, il vaut mieux s'abstenir. Et en plus quelle ignorance !!

Savonarole

Et le journalisme prépubère ?

"Et si la bombe d'Hiroshima avait explosé dans votre ville ?"
PAR LE POINT.FR
Publié le 06/08/2015 .

Giuseppe

Je n'ai lu nulle part la raison pour laquelle FH était friand de blagounettes. Le psychiatre de service dans les médias n'est jamais intervenu là-dessus, j'ai cherché et pense avoir quelques explications mais j'aurais souhaité entendre les spécialistes.
Peut-être que dans le fond cela n'a aucune importance, mais curieux tout de même.

Savonarole

Rédigé par : Trekker | 05 août 2015 à 18:25

Exact, je dois avouer qu'à l'époque c'était surtout les mamans en maillot une pièce noir ou rose bonbon, que je regardais.

Savonarole

Purée, que de mots pour dire que la Metro Goldwin Mayer a niqué nos gosses !...

Michelle D-LEROY

@ JLM
@ Jabiru

Dans vos commentaires, bien qu'à l'opposé, il y a du vrai et vos arguments sont recevables l'un et l'autre.

Toutefois le contexte laxiste qui a émergé après 1968, avec le "il est interdit d'interdire", a progressé en s'amplifiant jusqu'à produire le résultat actuel sous l'oeil attendri et complice de nos dirigeants successifs.
Les enseignants soixante-huitards ravis de cette évolution dans les années 70 ont laissé à leurs successeurs débordés une bombe à retardement. Comme dans de nombreux domaines on est passé du tout à rien. On est passé du Maître intransigeant qui tapait sur le bout des doigts avec sa baguette à l'élève insolent qui monte sur les pupitres soutenu par ses parents.

Pour avoir deux enfants nés dans les années 70, j'ai vu progressivement le laxisme s'instaurer et effectivement parfois la difficulté de ne pas céder aux demandes de mes enfants, qui se sentaient brimés par rapport à leurs camarades aux parents plus compréhensifs. Mais nous tenions bon. Puis, avec mon dernier fils, né en 83, les choses étaient pires encore à l'école. J'ai donc assisté moi-même à ce lent délitement.

Parallèlement aux bouleversements socio-culturels : chômage, peur de l'avenir, déstructurations familiales, internet, diversité culturelle, une partie de nos élites politiques, médias, intellectuels (dont beaucoup font marche arrière aujourd'hui), enseignants, pédagogues ou sociologues, etc. a ricané face aux parents restés rigoristes, prônant les méthodes douces, l'abandon des gifles ou des fessées et mêmes des notes plus récemment dont le système paraissait trop frustrant pour l'enfant. Un abandon, une mise au ban des parents plus fermes au prétexte d'enfants maltraités. Il y a pourtant une marge énorme entre enfant maltraité et enfant bien éduqué, ce dernier n'ayant souvent besoin que de règles de vie, d'explications et de règles de conduite... et quel bonheur pour lui dans sa vie d'adulte !
Car l'enfant roi devenu adulte comprend difficilement les échecs, les petites humiliations, les difficultés de la vie qui sont le lot de chacun, tandis que l'enfant armé les appréhendera mieux, c'est incontestable. Mais expliquer cela à tous ceux qui, depuis au moins trois décennies, ont cru bon de tout faucher sur leur passage au nom de la modernité, de la psychologie, du bon sentiment, c'est peine perdu.

Et pourtant, devant ces faits divers décourageants commis par des enfants de 5 ans à 13 ans (école de Melun) et sans doute le pire avec l'accident mortel dans le Morbihan avec des jeunes de 14 à 17 ans, totalement inconscients, on ne peut que déplorer les résultats d'une éducation sans respect de l'autre, sans limites, sans culture des valeurs, de la loi, du sacré et de la hiérarchie.

Mais comment s'étonner, puisque déjà certains jeunes parents d'aujourd'hui sont en partie les enfants d'hier qui avaient déjà été élevés sans un minimum de repères.

Alors, oui la société part à vau-l'eau et il va devenir urgent de mettre des limites et de remettre des verrous. Les problèmes évoqués qui déstabilisent les individus ne doivent pas être une justification, au contraire ils ajoutent un malaise au mal-être et c'est un cercle sans fin.

Nous attendons de nos dirigeants un peu de reprise en mains dans ce domaine comme dans tant d'autres mais il est simplement permis de rêver car le simple fait d'évoquer ou d'invoquer cela, paraît déjà aux belles âmes un pas vers la morale (chrétienne bien entendu) : impensable pour eux ! C'est donc tout un contexte de remise en question et d'acceptation d'avoir fait fausse route et ce n'est pas gagné.

Giuseppe

La question qui me taraude est quand va-t-on supprimer l'ENA ? Cette fabrique à bobos, qui n'a aucun sens du mot guerrier, défendre ses lignes, mettre les mains dans le cambouis, lutter pied à pied.

Tant que le cumul des mandats sera accepté nous aurons affaire à des repus de la politique, sans la faim au ventre qu'il faut avoir - pour s'engager - et le désintéressement sublime de celui qui va retrouver après, son activité principale, point de salut pour nous.

Nous n'avons affaire qu'à des fonctionnaires soucieux de réchauffer leur gamelle, quant à celle des autres ils n'en ont aucune idée. Apprendre à vivre pauvres, cela ils savent le distiller, mais surtout leur bien-être à l'abri de ces fluctuations grotesques que sont les chiffres du chômage, dont ils sont protégés. Pour avancer il faut que l'estomac vous titille, les oligarques ont le c** dans la graisse d'oie comme disait la marchande de volailles, et elle savait de quoi elle parlait.

Notre capitaine me fera toujours penser à un rond-de-cuir de Courteline, petits pas, costume étriqué, rondeurs de bourgeois de province, vite il est temps de vivre autre chose nous n'avons plus le temps, et nous sommes exaspérés, pour la plupart ! Sans compter des escapades juvéniles d'étudiant à scooter ! Avec cela nous sommes parés pour le combat qui attend le pays dans une mondialisation toujours plus agressive.

Achille

@ lucterius | 06 août 2015 à 08:32

A ce sujet Pierre Dac avait assez bien résumé la situation en disant : "Parler pour ne rien dire et ne rien dire pour parler sont les deux principes majeurs et rigoureux de tous ceux qui feraient mieux de la fermer avant de l'ouvrir."

Je pense qu'il est inutile d'en rajouter ! :-)

lucterius

Rien à dire. Je trouve ce billet sans reproches. Et de plus il est bien écrit. Donc je n'ai aucun commentaire à faire. Oui, mais alors me dira-t-on, pourquoi faire un commentaire pour dire qu'on n'a aucun commentaire à faire ? La réponse triviale serait de répondre par cette réplique célèbre faite un jour je crois par Bérurier : "C'est pas parce qu'on n'a rien à dire qu'il faut fermer sa g...". Non, je n'ai aucune envie de répondre de la sorte, d'abord parce que cette grossièreté ne me plaît pas beaucoup et puis surtout parce que ce n'est pas la raison de mon commentaire. En fait je ne fais ce petit mot que par politesse, pour dire à M. Bilger que j'ai bien lu son billet. C'est-à-dire, pour faire bref, disons finalement que mon commentaire est tout simplement un "accusé de lecture".

Robert Marchenoir

Marie.net | 05 août 2015 à 17:48
Cette année, seize de mes enfants et petits-enfants ont participé pendant leurs vacances à You're up 2015. Voir scouts et guides de France Strasbourg 2015.

Le scoutisme c'est sûrement très bien, enfin au moins sur le papier - dans les faits je ne sais pas où ça en est. Comme tout le reste, je suppose.

Justement, pourriez-vous faire savoir à qui de droit qu'appeler un rassemblement scout "You're up 2015" mérite les supplices les plus raffinés de l'Inquisition ?

You're up 2015 > Iourope 2015 (avé l'assent) > Europe 2015.

Hahaha, que nous sommes drôles et branchés et spirituels et en prise sur les (contre) valeurs de notre époque...

Le type qui a inventé ce jeu de mots foireux devrait avoir les os rompus en place de Grève, au minimum. Depuis quand la vocation des scouts est-elle de propager la religion européiste, comme n'importe quel politicien ou éditorialiste de modèle courant ?

caroff

Et là, Philippe Bilger, vous semblez découvrir la vraie nature de notre leader Minimo : "Mister petites blagues" comme le stigmatisait Fabius du temps de ses pénétrantes inspirations au PS !

Ce personnage n'a décidément pas le sens du tragique. Nous parlions dans un précédent post du comique des politiques : Hollande a raté sa vocation !

Quant au scoutisme que j'ai bien connu dans les années 1960, il ne s'accommodait pas du mensonge : Hollande n'aurait pas fait un bon scout !

Giuseppe

@semtob 5.08

J'aurais aimé écrire ce billet.
Les deux en vérité, y compris celui de notre hôte.

Giuseppe

Ca y est, les régions sont en place et les discussions et palabres de naître sur les compétences des uns et des autres : on le voit avec Montpellier et Toulouse la suite est à lire sur le Canard : ni fait ni à faire. Par contre l'ardoise pour les contribuables va faire mal, très mal ! Entre les logos hors de prix et la refonte de tous les papiers, les études et audits en tout genre pour réfléchir (sic) sur les regroupements, tout cela va nous coûter une petite fortune.

Aux rêveurs qui pensaient économie d'échelle, un énarque répond toujours dépense contrôlée. Je ne peux pas croire un instant que tout ce monde du PS dont notre génial et brillant Président n'ait pas réfléchi un seul instant aux conséquences indirectes de tout ce fourbi de rassemblement. Ce genre de réforme ne se fait pas à marche forcée, posez la question aux groupes qui rachètent des entreprises, c'est ainsi et pas autrement. En voulant réformer territorialement on va voir s'élever une cacophonie sans nom où plus personne de se retrouver, par contre les élus eux veulent retrouver leur siège, pour le reste, les dégâts et l'efficacité on s'en fiche.

Le castor junior n'a rien vu venir ou n'a pas voulu voir, dans le fond dans l'amateurisme le plus complet vogue la galère... euh, le pédalo sans pédales.

Franck Boizard

François qui ?

Lucile

Je fais amende honorable auprès de tous les scouts, guides, éclaireurs fréquentant ce blog, de m'être rendue complice d'une comparaison traumatisante (pour eux) entre un boy-scout et le président de la République.

Catherine JACOB

Je pense à cette Médée qui incita les filles de Pélias, sous prétexte de le rajeunir, à tuer leur père, à le découper en morceaux et à le jeter dans un chaudron d'eau bouillante. Elle leur avait fait accroire en effet qu'elle possédait la recette d'un philtre d'immortalité, potion capable de rajeunir les vieillards, et dont elle fit la démonstration en découpant un vieux bélier dont elle fit bouillir les morceaux selon sa recette de potion magique perso ; de la marmite était sorti alors un agneau : http://mythologica.fr/grec/pic/medee02.jpg
Mises en confiance, les filles de Pélias sauf une, profitèrent du sommeil de leur père pour le découper en morceau et le tremper dans la marmite mais, bien évidemment, il ne se passa rien sinon que la rusée Médée fut débarrassée ainsi de celui qu'elle considérait comme un usurpateur.

Dans quelle marmite de derrière les fagots son président a-t-il fait bouillir le gouvernement de la France, prétendant le rajeunir sans cesse ou plutôt de quel DM (dispositif médical) est-il lui-même l'expérimentateur qui finira hors circuit comme le fils de Poséidon, ce Pélias qui ayant commencé par être victime d'une bonne ruade en pleine figure finit bouilli comme un vieux ragoût de mouton pour être entré tout frétillant d'espoir dans la marmite infernale !!

Giuseppe

@ adamastor

En vérité je ne vois pas trop de professionnels de ce sport dans les rangs de nos oligarques. Et comme le niveau est plutôt pédalo que hauturier, cela ne devrait pas être insurmontable sur une plage... disons grecque, allongé sur un transat à compter les points.

Trekker

@ Savonarole | 05 août 2015 à 13:34
"…mais au-delà de 17 ans ça pose problème lorsqu'on croise sur la plage des gamines de 17 ans en string, on a du mal à tenir la bannière à deux mains..."

Vu votre âge présumé - à lire vos autres commentaires -, quand vous aviez 17 ans vous ne deviez guère fantasmer sur les strings - encore plus les modèles ficelle - des filles à la plage. A votre époque - années 60 - le comble de l’érotisme estival était la culotte classique de bikini voire parfois celles dites brésiliennes, ainsi que les seins nus.

Tout cela était d’ailleurs réservé aux plages de la côte méditerranéenne et prohibé sur celles de Normandie, Bretagne et Vendée. Les prêtres et laïcs encadrant le scoutisme ne se risquaient guère à emmener leurs ouailles sur ladite côte méditerranéenne, ce haut lieu de la luxure ne pouvant que gravement perturber de jeunes et purs esprits !…

Mais avec le temps vous devez confondre votre supposé voyeurisme à la plage avec celui bien réel provenant de la lecture de Paris Hollywood voire des Penthouse importés clandestinement des USA :) :)

Marie.net

Et si l'engagement scout était obligatoire à l'ENA ? Pourquoi pas ? Je suis sûre que la France irait mieux.
Je me permets de faire un cocorico car cette année, seize de mes enfants et petits-enfants ont participé pendant leurs vacances à You're up 2015. Voir scouts et guides de France Strasbourg 2015.
Les uns sont artisan, infirmière, secrétaire de direction, responsables etc. et les enfants sont en études supérieures pour certains, les autres grandissent au sein de leur famille et du mouvement. Mes jeunes cette année n'ont pas eu le temps de s'ennuyer.
Quelle école de vie que le scoutisme ! Je suis fière que ma famille ait le sens du partage, des autres, de la vie, du travail, du courage, du service etc. Je ne vais pas m'excuser d'être heureuse (comme dit Camus) !!

Mary Preud'homme

Rédigé par : Savonarole | 05 août 2015 à 13:34

A l'époque de votre adolescence ne risquiez pas de rencontrer sur la plage des donzelles en string. Mais plutôt en bikini, non ? Et encore à petites doses !
En tout cas votre totem vous va comme un gant. Moi c'était flèche rapide !

Michelle D-LEROY

Nous savions, même avant son élection, que M. Hollande aimait les petites blagues, nous avons appris au 14 Juillet qu'il se trouvait audacieux, aujourd'hui Philippe Bilger nous en parle comme d'un boy-scout. Quelle personnalité !

Nous avons besoin d'un Président, avec ses qualités et ses défauts, pas d'un humoriste, ni d'un louveteau. Car capitaine de pédalo ou commandant du navire France, un bateau a besoin de savoir où il se dirige, il a besoin d'un cap. Pour l'instant c'est un bateau ivre dans la tourmente qui tourne en rond en faisant du surplace, tiré à hue et à dia par des moussaillons sans expérience qui n'en font qu'à leur tête face à des passagers inquiets, désabusés voire stupéfaits de tant d'inefficacité et de couardise. Un Président qui fait tout pour plaire au plus grand nombre et qui du coup mécontente un maximum.

Quant à la dérision, je côtoie des personnes qui usent et abusent de cette forme de communication, je reste convaincue que c'est une façon de se cacher des réalités, de masquer parfois son incompétence sur un sujet donné, de cacher son mal-être... et je ne suis pas loin de penser que le Président n'échappe pas à cette constatation.
Etre drôle parfois, c'est sympathique, être rigolo tout le temps, c'est inquiétant quand une fonction demande de la rigueur et du sérieux. A chacun son métier.

Trekker

@ Achille | 05 août 2015 à 06:56
"Le Général ne dédaignait pas faire de l'humour. Celui-ci consistait généralement en une réplique fulgurante à la question d'un journaliste. Nombreux sont ceux qui ont pu apprécier la finesse de son esprit à leurs dépens" 

Bien sûr on a tous en tête les saillies du Général qui ne manquaient ni de finesse ni d’à propos, mais on était bien loin des blagounettes de son lointain successeur !…

Le billet fort judicieux de notre hôte sur l’infantilisme cultivé par notre monde politique et médiatique ne souffre hélas que de très rares exceptions. Exemple, deux ministres : Jean-Yves Le Drian aussi discret que compétent, Bernard Cazeneuve précis dans ses propos et ne mettant pas en scène ses réussites.

Mais il ne faut pas oublier à côté de ces ministres, des élus nationaux et régionaux/locaux et leurs "serveurs de soupe" dans les médias, les nombreux chefs d’entreprises privées et publiques qui portent nos industries et lui valent dans leurs secteurs des réussites internationales - aéronautique où l’on fait jeu égal avec les USA (hors Airbus Military qui est un scandale dû principalement aux Allemands), astronautique, transport ferroviaire, production et réseaux électriques, B.T.P., informatique industrielle, etc. Certes dans beaucoup de ces secteurs nous sommes peu ou prou bénéficiaires d’alliances avec des partenaires européens, mais n’empêche que les industriels français en sont les acteurs clés.

Ces industriels irriguent, et donc contribuent au développement de nombre de PMI et d’ETI. Exemple : Safran et Thalès en font vivre plusieurs centaines, et en majorité ce ne sont pas des sous-traitants basiques. Certes celles-ci sont quasiment ignorées tant par nos « brillants » politiques (de gauche comme de droite) que de nos grands médias.

Ces grands industriels et leur cohorte de PMI ont l’incomparable avantage de ne pas être dirigés ni de compter dans leur management aux postes clés des énarques. Ces derniers quand ils se « défroquent » dans le privé, sont au mieux des managers quelconques voire médiocres et dans le pire des cas, hélas pas si rare, se muent en mégalomanes menant rapidement à la ruine des entreprises qui avant étaient florissantes. Exemples emblématiques : Haberer avec le Crédit Lyonnais et Messier avec la Générale des eaux.

C’est le drame de nombre de nos entreprises publiques ou très liées à la puissance publique, nos politiques qu’ils soient de gauche ou droite confient leur gestion à ces énarques par pure connivence. Bien évidemment, après, comment leur demander des comptes voire les révoquer, alors qu’avant ils ont servi avec zèle les intérêts à court terme de ces politiques qui les ont fait rois.

Lors de sa création en 1948 par Michel Debré, l’ENA visait à uniformiser la formation des futurs hauts fonctionnaires de l’Etat, ses élèves étant recrutés sur une base méritocratique et bénéficiant du meilleur corps enseignant. Le but était louable mais le temps passant, selon un travers bien français le système a dérivé et s’est sclérosé : la méritocratie initiale du recrutement a largement fait place à des filières dédiées (Sciences po Paris), son accès permettant avant tout de se constituer un bon carnet d’adresses, et surtout son enseignement apprend à ne pas déplaire aux politiques en place et aux idées à la mode. Exemple caricatural : les énarques ayant défendu avec fougue les nationalisations, quelques années après faisaient de même pour leurs privatisations.

Alex paulista

La logique de ce billet est un peu malsaine. Ainsi Hollande serait une nullité devant le sérieux des problèmes parce qu'il sait se mettre à la portée des adolescents ?
Vous dites qu'Hollande n'est pas digne qu'on croie en lui, mais avec de telles aigreurs, la génération baby-boomer râleur assis sur sa retraite mérite-t-elle la moindre considération ?
Êtes-vous digne qu'on croie en vous ?
Et pour achever sur une comparaison, je trouve que Hollande a une manière plus saine de s'adresser aux enfants que la classe politique d'outre-Manche.

Savonarole

Le scoutisme c'est chouette, j'en garde de bons souvenirs, mais au-delà de 17 ans ça pose problème lorsqu'on croise sur la plage des gamines de 17 ans en string, on a du mal à tenir la bannière à deux mains.
Je m'appelais "Castor Joyeux".

xnebout

Confirmant Mary Preud'homme, n'insultez pas le scoutisme en qualifiant le nul de scout.

Le scoutisme a été un coup de génie. Il a élevé âmes et esprit de bon nombre de Français et c'est pour cela qu'il a été persécuté.
Les communistes qui avaient souvent noyauté les EDF étaient respectueux et l'avaient laissé intact. Avec les intellos de gauche, il fallait qu'il disparaisse.
Chez les catholiques, c'est Vatican II qui a fait des dégâts, honni par les évêques homo-progressistes bien incapables de comprendre la mystique sous-jacente, comme la mystique elle-même.
Cela a même été l'occasion de s'en prendre aux monastères dont bon nombre de moines sont issus.

Il y a des accidents dans toutes les activités de jeunesse, alors quel bon prétexte pour tuer le scoutisme, du moins le vrai.

Quant à la gueuse, la fripouille, il faut savoir ce que l'on veut.
Comme on ne peut être élu qu'en mentant, il faut parler à ses électeurs comme à des imbéciles.

adamastor

@Giuseppe

Je crains que vous ne vous fassiez une mauvaise idée d'un vrai match de badminton !

Mary Preud'homme (les faux pionniers de Marianne V)

@ Lucile

Votre commentaire démontre que vous n'avez rien compris au scoutisme en général et à l'esprit scout en particulier. Servir et non pas se servir. Pour l'essentiel une fidélité à la promesse faite durant l'adolescence ("Soyez toujours fidèles à votre promesse même quand vous serez adultes" écrivait ainsi Robert Baden-Powell dans une célèbre adresse à la jeunesse du monde entier).
Que cet esprit ait voulu être récupéré et dévoyé (depuis sa genèse) n'autorise tout de même pas à faire des rapprochements douteux avec un mouvement exemplaire dont l'idéal est à l'opposé de l'idéologie archaïque, brouillonne, belliqueuse et sectaire de ceux qui nous gouvernent.
Personnellement, je crois beaucoup plus en la capacité de notre jeunesse à reprendre le flambeau pour changer de cap et redresser la France qu'en celle de toute cette armada de vieux flambeurs, menteurs et profiteurs hypocrites qui ont largement fait la preuve de leur inefficacité et de leur nuisance et qui devraient partir s'il leur restait une once de l'esprit scout.

genau

Pitié, mon dieu, à barbe ou à turban, il faut maintenant savoir ou deviner si le petit monsieur qui parle aux enfants en souriant est Croquemitaine déguisé ou Auguste démaquillé.
C'est triste un pays à l'agonie où un ministre préfère l'étranger à ses paysans, ressuscite les dieux sanguinaires et piétine ses esclaves fiscaux sans se rendre compte que, morts, ils ne paieront plus.
Ce n'est pas pour rien que les limousines officielles sont noires.

lefort

J'ajouterai simplement aux commentaires de M.Bilger, la vision de la médiocrité de nos "zélites" qui à la fin de ma vie me plonge dans la tristesse.

Lucile

@Mary Preud'homme

Ce n'est pas le scoutisme qui est visé, ce sont les boy-scouts prolongés qui dérangent, surtout s'ils nous dirigent. Le jeu des enfants qui se préparent à devenir adultes en jouant est merveilleux, le jeu des acteurs en représentation a lui aussi une fonction sans prix, mais on répugne à entrer dans le jeu de personnalités "as if" ("comme si"), qui essayent de se faire croire et de nous faire croire qu'ils sont de "grands ministres", de "grands présidents", des réformateurs "audacieux" , et qu'ils ont la situation bien en main, alors que le bateau prend l'eau de toutes parts. La comparaison avec les scouts souligne le fossé entre leur terrain de manœuvre et le champ réel des opérations. La candeur à 10 ans, c'est une vertu. À 50 ou 60, ça éveille des soupçons ; on se demande si c'est de la supercherie ou le contraire de la plus élémentaire lucidité.

MS

Plus que dans la République, quelque chose de prépubère en tout cas dans l’agitation de notre classe politique avec son entre-soi de cour de récré qui raille et dénigre et se pince le nez, mais le doigt sur la couture face aux pions médiatiques, les surgés philosophes et humoristes de Saint-Germain-des-Prés, profs en bien-pensance et autres proviseurs BHL labellisés.

Achille

Bonjour Philippe

"On entend souvent des humoristes se plaindre, parfois drôlement, du fait que des politiques empiétant de plus en plus sur leur domaine, ils allaient, eux, être obligés de faire de la politique. Derrière la boutade, il y a l'intuition que la dérision et la futilité sont devenues si également réparties qu'en réalité, on ne peut plus départager les activités et que toutes sont gangrenées par une démission de l'intelligence, théorisée en conquête du rire et en apothéose du sarcasme."

Les humoristes ont raison et leur désarroi est bien compréhensible. Il semble que depuis quelque temps les politiques se lancent dans l'ironie, le sarcasme, voire dans la saynète de comique troupier pour attirer le chaland. A un point d'ailleurs que cela frôle la concurrence déloyale.

Cela va de la petite phrase perfide voire carrément méchante à la grosse bourde maladroite qui ridiculise son auteur. Les plus belles perles valent à leurs auteurs de figurer dans le palmarès de l'humour politique décerné chaque année par un jury de journalistes.

Chacun son style. Nicolas Sarkozy aurait plutôt tendance à nous faire du Laurent Gerra quand il se trouve sur une estrade face à son public. François Hollande lui, préfère la blagounette de fin de banquet. Personnellement je n'aime ni l'un ni l'autre.

Le Général ne dédaignait pas faire de l'humour. Celui-ci consistait généralement en une réplique fulgurante à la question d'un journaliste. Nombreux sont ceux qui ont pu apprécier la finesse de son esprit à leurs dépens.

Il est possible pour un président de faire de l'humour tout en restant à sa place. Aujourd'hui le style est au "populaire". Les communicants de nos politiques le savent bien, celui qui fait rire marque des points dans l'opinion et la cote de popularité est devenue l'obsession des politiques qui nourrissent de grandes ambitions.
Encore faut-il ne pas en faire trop quand même. Certains politiques parviennent à devenir plus caricaturaux que leur propre marionnette des Guignols.

Coluche a dit un jour "quitte à avoir un clown pour président autant en avoir un vrai". Je crains fort que nous en soyons arrivés là.

semtob

Cher Philippe,

C'est bien vu mais encore pire que vous ne le dites.
Certains prétendent qu'il se prend pour Max, tellement il est libre au point de voler et qu'à certaines heures pâles de la journée, ils se prend pour un bad boy.
Imaginez qu'une jeune personne assise à votre table sorte une dizaine de "Moi, je", ne l'inviteriez-vous pas à sortir de sa sottise et à faire acte de méditation, de ce qu'est un travail d'équipe, de l'usage de l'humilité ?
Mais l'esprit d'équipe cela se mérite et ce n'est pas lié à l'autosatisfaction, à l'intérêt personnel.
Etre au service de la France, ce n'est pas une incantation, ce n'est pas une blague ni un jeu, c'est être en charge de missions lourdes et délicates, de devoirs et d'obligations, de respect aux Français. Ce n'est pas caresser les syndicats pour les planter dans le dos, caresser les communistes pour prétendre en Angleterre qu'ils n'existent plus et encore moins se faire un feuilleton de l'été en demandant de mettre sur écoutes les membres de l'opposition et par ricochet les présidents et chefs du monde.
- Ah, Valérie, elle a dit quoi de moi à Nicolas, Angela ?
- Ah, Taubira et Ségolène, des livres sur moi ?
- Ah, non, personne ne me tiendra ni par la barbichette, ni par les coucougnettes. Puisque c'est moi et moi et moi. Nonnnnnn !
Les premiers mots de l'Elysée avec Hollande.
Premièrement, je les ai tous niqués.
Deuxièmement et en voix off, même toi, la Valérie.
Trois ans après, en se frottant les mains : et en plus ils en redemandent.
Mission Hollande : les niquer tous et surtout les "sans-dents".
françoise et karell Semtob

Mary Preud'homme (les faux pionniers de Marianne V)

Le parallèle avec le scoutisme me paraît complétement incongru, voire déplacé. L'esprit scout c'est quand même tout l'opposé de ce qui semble être le fil conducteur de l'actuel président, à savoir la manipulation et le mensonge à tous les étages pour conquérir et garder le pouvoir à tout prix avec un équipage de bras cassés. En quoi Normal I et sa suite de bourrins qui tirent à hue et à dia seraient-ils des pionniers ? A part être toujours aux avant-postes pour tromper, diviser et détruire ? En premier lieu la famille et l'école avec des lois suicidaires. Triste bilan ! Du jamais vu de mémoire de Marianne V impuissante et agonisant sous les quolibets du monde entier !

Giuseppe

Flanby... Pépère... Fraise des bois... Mimolette... Boy-scout, pour la composition de l'équipe... Et vous croyez qu'avec, on peut gagner la coupe du monde de rugby en Angleterre ?

Le combat s'annonce féroce, on n'en est plus aux synthèses édulcorées d'un parti, ou aux finasseries de la rue de Solférino. Les blagounettes c'est bon quand le pays est riche, on pouvait se permettre d'avoir du déchet dans notre jeu, on n'en est plus là. Cette époque politique a fait son temps, les turbulences sont devant nous.

Nous sommes gouvernés par des poulets élevés au tout aliment. Comment faire pour aller gratter les ballons qui vous font gagner un match, ce n'est pas l'ENA qui vous apprend le ruck gagnant, la décision ultime, celle qui vous fait surpasser, dépasser la douleur, aller au combat et enfin marquer les points décisifs.

Il y a belle lurette que l'on a perdu les fondamentaux, regardez un BHL qui rêverait et rêve de la vie aventureuse d'un Malraux, pour cela il faut des épaules.
Boy-scout, la guitare, quelques accords, et un feu de camp, pour le badminton c'est parfait, pour notre avenir, c'est se faire marcher dessus, et les Français, du moins une partie, en ont un peu assez des crampons qui traînent sur leur dos.

Alors que l'on voudrait des J-P Rives de la politique on joue avec des castors juniors élevés dans la ouate, on n'a pas fini de souffrir. Rassurez-vous, non seulement il existe des gladiateurs au cerveau bien rempli - les règles sont complexes - mais en plus ils feraient sans doute plus et mieux, car c'est dans la mentalité du combattant celui qui se couche sur les ballons pourris.

Il est sûr que si je dois traverser le désert - c'est la question que l'on se posait pour une embauche -, est-ce que je le prendrais avec moi, dans mon équipe ? Un boy-scout, jamais.

Marc GHINSBERG

Ah mon cher Philippe que de peine vous me faites, je n’aime pas vous prendre en flagrant délit de contradiction. Dans la première moitié de votre billet vous déplorez et fustigez cette mode de tourner la politique et les politiques en dérision : "Derrière la boutade, il y a l'intuition que la dérision et la futilité sont devenues si également réparties qu'en réalité, on ne peut plus départager les activités et que toutes sont gangrenées par une démission de l'intelligence, théorisée en conquête du rire et en apothéose du sarcasme", vous indignez-vous.
Et dans la seconde moitié de votre billet que faites-vous ? Vous traitez avec dérision notre Président en utilisant le sarcasme, en faisant du mauvais Bedos : "Ce n'est pas un "capitaine de pédalo" mais une forme de scoutisme à la mode politique..."
Vous avez bien raison de dire que "la légèreté est coupable qui détourne, par confort, par paresse, par impuissance, des superbes et austères grâces adultes."

Christian C

Vous savez aussi bien que quiconque, Philippe Bilger, que Jacques Brel ne s'adressait pas au président de la République dans la chanson des vieux amants.

S'il est vrai que la dérision a pris une place encombrante dans notre vie publique, vous regardez Yann Barthès et le Petit Journal alors qu'à leur façon, qui vous déplaît, ils sont le doigt qui nous montre la lune.

On peut bien sûr à bon escient, comme vous le faites, porter un regard très critique sur nos politiques, et les regarder comme des enfants. Nous serions lucides en portant le même regard sur nous-mêmes.

Nous attendons (je parle en généralité) tout de nos politiques. Il leur revient, à eux et eux seuls, de refouler les immigrés, réfugiés politiques compris, aux frontières, mais attention, avec humanité. Il leur revient de créer des emplois pour tout le monde, et plus vite que cela.

Quitte à être considéré comme simpliste, je me limiterai à ces deux points, car si ceux-là trouvaient une solution à court terme, les questions de déficits, de couverture sociale, d'inégalités, et bien d'autres encore, seraient vite estompées au second plan.
Mais convenez que ce n'est pas rien, et convenez surtout que, dans le pugilat mondial pour bouffer la g... de l'autre, les Européens ne constituent pas un exemple.

Alors, vous vous en plaignez, ils (les politiques) essaient de nous rassurer, de nous dire que ça ira mieux, parce que, simplement si j'ose dire, ils sont impuissants.

On me taxera de partialité, mais j'affirme que depuis plus de trente-cinq ans, en France, la droite pas mieux que la gauche n'a trouvé le remède. Personne ne veut prendre le risque de le dire, mais nous avons des habitudes de paresseux qui vivent au-dessus de leurs moyens ; c'est le seul point sur lequel Madame Merkel me rejoint, mais c'est déjà ça.

Alors, soit nous jouons aux Grecs pour obtenir une réduction de notre dette, soit nous nous serrons la ceinture. Notre pouvoir d'achat a augmenté, nous produisons de moins en moins de biens ou services exportables, nous aurons bientôt plus d'inactifs que d'actifs, et nous ne pouvons en l'état jouer sur notre monnaie, ce qui serait d'ailleurs la pire des solutions dans l'état actuel de notre économie.

Ceci étant dit, en dehors du fait, comme le disait Coluche, que les jeunes Erythréens viennent "mourir dans le poste" quand on est à table, je n'ai pas le sentiment en lisant mes contemporains que ça leur coupe l'appétit, pas plus que ça ne coupe le mien.

Je serais partisan d'adopter une posture moins négative, et personnellement je ne me plains pas.

J'en réfèrerai donc à Prévert : "il faudrait essayer d'être heureux, ne serait-ce que pour donner l'exemple".

Jabiru

Le capitaine de pédalo revisité en boy-scout, fallait y penser et le chapeau lui irait à merveille. On peut aisément l'imaginer dans ce rôle avec son copain Jugnot dans une nouvelle version du scout un jour, scout toujours ! Comme quoi si en 2017 il doit changer d'orientation, monsieur petites blagues pourra postuler dans le show bizz sans se faire aider par Pôle emploi.

Denis Monod-Broca

N'est-ce pas beaucoup plus grave qu'un manque de maturité ?

Vieux et vieillissant pays, ne sommes-nous, sous l'effet de la sénescence, en train d'irrémédiablement retomber en enfance ?

Robert

"De grands enfants qui s'ébattent et pour lesquels la politique offre le prétexte à des débordements qui fuient les comportements adultes comme la peste.
Ce n'est pas un "capitaine de pédalo" mais une forme de scoutisme à la mode politique : donc à peu près rien par rapport au destin de la France".

Certes, ce billet pourrait se résumer à ces deux phrases. Mais cette ellipse se rapporte au seul personnel politique et à notre société qui cultive le jeunisme à l'excès : on ne sait plus ce qu'est être adulte.

Quant au titre, je l'estime proprement abusif dans la mesure où la République, singulièrement française si l'on se réfère à ses principes fondamentaux et à la symbolique de son drapeau, ne saurait être assimilée à sa classe politique. De fait, notre classe politique, qu'elle soit ou non au pouvoir, ne connaît que le jeu politicien et n'a aucune "culture politique" au sens noble de l'expression, celle des pères fondateurs de la République. Imagine-t-on un général de Gaulle se comporter ainsi dans sa vie publique, sauf peut-être dans sa vie privée avec ses petits-enfants ?
Comment donc espérer un redressement de la France avec ce type d'individus à sa tête ? C'en devient désespérant au point de devoir considérer que certains partis extrêmes finiront bien par ramasser la mise et prendre le pouvoir pour imposer leur férule. Salutaire ? On peut en douter.

Lucile

L'image du boy-scout, je me suis régalée. Une vraie trouvaille, et tellement juste ! Pour le qualificatif "prépubère", j'apporterais un bémol, je dirais même que certains de ces boy-scouts qui nous gouvernent sont des gonades ambulantes... tout comme des ados, avec leur morale idéaliste et romantique, tournée vers soi.

On aurait pourtant besoin de la part de nos élus d'une éthique de responsabilité qui voie dans les électeurs autre chose que des enfants à maîtriser ou à éduquer, ou à berner, par des tripatouillages de chiffres et incantations diverses. Mais chut, la patrouille des boyscouts s'est lancée avec conviction et esprit d'équipe dans un grand jeu de piste. Objectif : gagner les élections. "Toujours prêt, jamais là", disaient mes cousins. Ils disaient aussi : "J'ai fait ma B A aujourd'hui - Ah bon qu'est-ce que tu as fait ? - J'ai fait traverser la rue à une vieille dame - Oh, ce n'est pas grand-chose - Mais si, j'ai eu du mal - Comment ça? - Elle voulait pas".

"C'est pas facile, comme disait certain, mais je m'accroche".

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