Le 11 novembre 1918 est une date qui demeure dans les tréfonds de l'esprit français. Comme un savoir ou une vague allusion à quelque chose de capital.
C'est la fin d'une guerre de quatre ans épouvantablement meurtrière.
C'est l'héroïsme et la boue des tranchées.
C'est l'armistice.
C'est la fin d'un monde.
La nostalgie et l'émotion sont-elles permises ?
"Il a une certaine idée de la France, sa grande patrie, idée forgée par l'école publique, alors totalement patriote. Il est obéissant, il est encore totalement croyant. En 2015, que nous reste-t-il de ces valeurs ? Sommes-nous encore capables, avons-nous encore envie de nous battre pour une cause supérieure ?"
Cet extrait est tiré d'un numéro du Journal de Béziers qui fait sa "une" sur la célébration du centenaire de la guerre de 1914-1918.
Il s'agit, pour Brigitte Salino qui a écrit un article sur le théâtre à Béziers pour Le Monde, "d'un éloge du valeureux Français d'alors".
Je ne crois pas avoir tort en décelant derrière ces simples mots une ironie, presque une condescendance à l'égard de ces vieilles lunes que des retardataires et des passéistes cultivent encore. Il est clair que la citation a été choisie par cette journaliste pour nous démontrer à quel point le Journal de Béziers avait une conception conservatrice de notre Histoire de France et comme ses interrogations inquiètes sur l'avenir étaient réactionnaires.
Pour ma part je ne perçois rigoureusement rien de ridicule ni de choquant dans la représentation qui nous est donnée du combattant d'alors ni dans l'expression de cette angoisse pour le futur.
Cette dernière est d'autant plus justifiée, au regard de l'immense soulagement unanime qu'a suscité l'armistice de 1918, que la France d'aujourd'hui cherche désespérément - dans tous les sens du terme - de quoi s'inventer ou se recréer un destin collectif, un lien fondamental autour duquel la France multiethnique pourrait trouver matière à s'aimer, à se rassembler.
On en est très loin et l'intense fusion républicaine du mois de janvier n'a duré que le temps de son exaltation verbale, politique et médiatique. Ses suites ont remis notre pays dans le fil d'une morosité démocratique éclatée, écartelée.
Quant à l'image de cette France d'il y a si longtemps - avec ses valeurs, ses structures, ses fidélités et ses ancrages, son courage et son amour de la nation, si magnifiquement incarnée par un Péguy tué si vite après le début des hostilités, au bout de cent jours -, en quoi serait-elle régressive, inexacte ou biaisée ? Pourquoi n'aurait-on pas le droit de retrouver de la chaleur et de l'émotion, dans notre existence d'aujourd'hui, en songeant aux épiques, sublimes et traditionnelles séquences de cette Histoire de France si éloignée à tous points de vue ?
Il est vrai que pour Brigitte Salino l'essentiel, selon un mode habituel, pour Le Monde comme pour une majorité d'autres médias, est de pourfendre le maire de Béziers Robert Ménard et pour cela tout peut servir. Pour elle, c'est le théâtre. Demain, ce sera autre chose. Un jour, on reprochera à Robert Ménard d'exister.
Mais pourquoi ce ton insupportable, cette manière de cracher avec délicatesse et une subtilité prétendue supérieure sur tout ce qui a fait de la France ce qu'elle est ?
Faudra-t-il un jour, pour plaire au Monde, envisager "le suicide français" non seulement à cause de notre présent calamiteux mais en raison de notre passé contrasté dont les pages de gloire et d'honneur devraient susciter forcément la dérision des "beaux esprits" ?
@ Achille | 14 novembre 2015 à 08:21
Les événements de cette nuit vous ont hélas répondu à ma place.
Rédigé par : Franck Boizard | 14 novembre 2015 à 17:23
Je viens de lire un billet fort instructif qui me semble être dans la veine spirituelle de Garry Gaspary. J'en donne le lien en conseillant à celles et ceux qui le liront de poursuivre leur lecture jusqu'à la fin.
http://www.asafrance.fr/item/libre-opinion-du-colonel-er-jacques-hogard-le-scandale-du-kosovo-a-l-unesco.html
Rédigé par : Robert | 14 novembre 2015 à 16:35
Vous êtes d'une répugnante sottise, mon pauvre sylvain, et je cesserai désormais de m'adresser à vous. D'une part, parce que ce n'était vraiment pas le moment de régler vos petits comptes avec moi qui ai toujours dénoncé l'islamisme radical mais qui, en effet, n'ai aucune envie de tomber dans vos généralisations racistes et xénophobes. Des policiers, des militaires français d'origine maghrébine sont tombés sous les balles des terroristes qui, tout comme vous, ne font pas de distinction. Votre discours sert le leur mais vous êtes trop fanatique pour le comprendre. Ceci dit, vous m'excuserez, je n'ai aucune envie de polémiquer. Il y a des moments où il faut savoir se taire.
Rédigé par : Laurent Dingli | 14 novembre 2015 à 12:06
Cher Dingli, vous avez le bonjour de Mohamed Bekada ! Pas d'amalgame tout va bien hahahahaaa !
Rédigé par : sylvain @ Laurent Dingli | 14 novembre 2015 à 08:44
@ Laurent Dingli | 13 novembre 2015 à 12:17
"C'est bien plus compliqué qu'une histoire de riches et de pauvres."
Merci, je ne suis pas historien mais cela ne m'avait pas échappé. Ce n'était qu'une citation qui se voulait d'abord spirituelle et donc à ne pas prendre au premier degré.
@ Franck Boizard | 13 novembre 2015 à 21:21
"Je trouve les réflexions pacifistes de nombre de commentateurs très datées. Ce n'est pas un compliment."
Réflexions très datées dites-vous ? C'est curieux mais quand je lis vos commentaires réactionnaires j'ai l'impression de retourner au temps de la IIIe République, peut-être même au Second Empire ! :-)
Rédigé par : Achille | 14 novembre 2015 à 08:21
Je n'ai jamais prôné le pacifisme mais de ne jamais céder au désir de vengeance. Les atroces événements ne font qu'en signifier l'urgence absolue.
Rédigé par : aliocha | 14 novembre 2015 à 08:01
@aliocha | 13 novembre 2015 à 19:27
Vous avez une réponse ce soir à Paris qui ne vous est pas adressée personnellement. Et ce n'est qu'un début.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 13 novembre 2015 à 22:30
Je trouve les réflexions pacifistes de nombre de commentateurs très datées. Ce n'est pas un compliment.
Rédigé par : Franck Boizard | 13 novembre 2015 à 21:21
Hameau et nuage, restons calme, et personnellement je ne suis pas encore malade.
Je ne m'adressais pas à vous d'ailleurs.
Quant à votre médecine, j'ai assez soupé pendant six ans de la soupe, grasse certes et bien rémunérée, du sieur de Villiers, pour vous affirmer, sans preuve car soumis au devoir de réserve, que ses propos n'ont pour moi aucune réalité. Quand on veut dire la vérité, on va jusqu'au bout et on accède au romanesque, ou on fait silence et contrition. Cela éviterait les mensonges par omission, et la littérature revancharde à laquelle s'appliquent en passant les termes qui vous ont fait bondir. Ne lisez pas R.Girard, vous pourriez vous calmer.
Bonsoir.
Rédigé par : aliocha | 13 novembre 2015 à 19:27
@ Aliocha
"N’est-ce donc pas votre incapacité au pardon, et croyez qu’elle ne m’inspire rien d’autre que de la compassion, qui vous dicte ce désir d’en découdre et d’enfin vous venger, vous entraînant à ressembler de plus en plus à l’islamiste que vous dénoncez, et à en désirer la déferlante ?"
Je tombe à la renverse à lire ces propos hallucinants !
Pardon vis-à-vis de qui ? Pour quoi ? Puis le fait de se défendre se transforme en désir d'en découdre... absolument dingue... Vous m'étonnez que la légitime défense ne soit plus reconnue ou à dose homéopathique par les tribunaux.
C'est le "courage fuyons" des humanistes. Je pensais à un autre mot insultant.
Allez jusqu'au bout de votre logique, abandonnez la nationalité française et fuyez. Vous pourrez ainsi revenir en vainqueur sain et sauf et déclarer telle la mouche du coche : "je vous l'avais bien dit, ils auraient dû, il aurait fallu !"
Ou en posologie je vous conseille la conférence de monsieur de Villiers donnée à Béziers et disponible sur le net. A renouveler autant de fois que nécessaire.
C'est notre dernière carte vitale.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 13 novembre 2015 à 18:21
sylvain est le type le plus black/arabian que je connaisse. Il ne parle que de ça, c'est son fond de sauce. On ne connaît même pas sa religion, "chrétien" c'est du floutage de gueule façon caméra de surveillance.
Rédigé par : scoubab00 | 13 novembre 2015 à 17:33
Ok, mon cher raciste, mais n'abusez pas trop du blanc de blancs, vous risquez de finir complètement noir...
Rédigé par : Laurent Dingli | 13 novembre 2015 à 16:09
@scoubab00 13.11.15 - 12.07
Du calme, tout le monde sait que la Duchesse Anne n'a pas tracé les voies rapides que l'on connaît actuellement ahahaha
Tout le monde sait aussi que ces voies rapides ont été construites pour désenclaver la Bretagne ! ahaha
Quant à vous messieurs, il faudrait vous mettre d'accord sur une voie rapide c'est 100 ou 110 ?... vous ne semblez pas d'accord, je n'en sais rien, peu importe je me contente de (tenter) de respecter les panneaux, simple non ! ahaha
Rédigé par : eileen | 13 novembre 2015 à 15:50
@Laurent Dingli | 13 novembre 2015 à 15:05
Désolé si je compare votre ramage à votre plumage de canard, j'en suis tout confit !
Quant à Joséphine Baker, bof, la ressemblance est plutôt frappante, isnt' it ?
Rédigé par : sylvain @ Laurent Dingli | 13 novembre 2015 à 15:34
Mais non, sylvain, je ne fais pas l'autruche et ne me sens soumis à quiconque, mais si vous avez raison de dénoncer les manoeuvres des salafistes en France, vous avez tort de ne pas prendre en compte cette autre France-là, qui existe aussi, ne vous en déplaise, et mérite tout notre intérêt. Mohamed Bekada se bat pour la sauvegarde de notre patrimoine commun. Et qui sait, peut-être le fait-il bien plus que le bavard sylvain-de-souche-christianisé, etc., etc.
Vous pouvez me traiter de "vautour", de gauchiste ou de fascislamiste, mon cher sylvain, tout cela glisse sur mon plumage de canard. Et puis, tiens, si ça vous rassure, on parle de ce jeune homme dans votre Bible, vous savez, ce journal dans les colonnes duquel on comparait jadis la magnifique Joséphine Baker à une guenon.
Le Figaro.
Rédigé par : Laurent Dingli | 13 novembre 2015 à 15:05
@ Laurent Dingli | 13 novembre 2015 à 12:17
Au cas où cela vous aurait échappé, l'affaire des tapis de prière semble être une machination du directeur. En plus de malversations financières.
http://www.leparisien.fr/saint-denis-93200/saint-denis-la-suspension-du-directeur-de-l-iut-dechire-l-universite-paris-13-12-11-2015-5270735.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr
Mais le 16 octobre, Paris 13 dépose une main courante contre le directeur. Une vidéo à l’appui, l’université accuse Samuel Mayol d’avoir tenté d’introduire des tapis de prière dans un local associatif pour faire croire à une dérive communautariste au sein de la fac.
La vidéo litigieuse a certes été saisie par la police judiciaire. Elle montrerait le directeur, muni d’un sac, entrer dans un sas menant au local associatif. Mais à ce jour, « aucune enquête n’est ouverte », précise le parquet de Bobigny.
Affaire à suivre... ou pas.
Rédigé par : Alex paulista | 13 novembre 2015 à 14:49
@Laurent Dingli | 13 novembre 2015 à 12:17
"Le problème, c'est que la droite ne va regarder que cela :
Le Figaro
et la gauche que ceci :
Europe 1
alors que ces deux réalités sont tout aussi importantes l'une que l'autre."
Non désolé vous faites l'autruche et acceptez votre soumission forcée, je préfère que Le Figaro me dévoile les dangers qui nous attendent que cette gauche lâche laxiste qui nous les cache par trouille. Bravo au Figaro de braver les interdits ! Et honte aux collabos de gauche qui nous mentent !
Rédigé par : sylvain @ Laurent Dingli | 13 novembre 2015 à 14:18
@Robert | 13 novembre 2015 à 12:23
Oui Robert, vous avez tout dit. De même que scoubab00 avait compris l'émotion que peut susciter un tel lieu.
Quand on arrive au pied de l'Ossuaire de Douaumont, la première chose qui vous frappe est le mot PAX gravé en caractères géants au fronton du monument. Et ensuite le mot SILENCE à l'entrée de la crypte !
Rédigé par : Mary Preud'Homme (Honneur et respect !) | 13 novembre 2015 à 14:10
@ Mary Preud'homme
Allez, je vous taquine, au fond, je vous aime bien.
@ Savonarole
Veinard !
Rédigé par : Laurent Dingli | 13 novembre 2015 à 14:07
Encore un qui rêve de moi et ne comprend rien au deuxième degré. Bien avant moi et sur une grande échelle, c'était aussi la spécialité du général de Gaulle de cuisiner la tête de veau (au pluriel et sans tambour ni trompette) !
Rien à dire sur le bœuf "mirliton" qu'affectionnait ma bisaïeule et que Savo aurait adoré !
Quant à faire un bœuf (tour court) ça m'arrive... Même que sur le toit c'était encore mieux !
Rédigé par : Mary Preud'homme (dans la famille Preud'homme on demande la fille...) | 13 novembre 2015 à 13:28
@Laurent Dingli | 13 novembre 2015 à 11:13
Elle vous a marabouté, là dis donc, Laurent !...
Moi je rêve qu'elle me fouette puis me brûle sur un bûcher.
Rédigé par : Savonarole | 13 novembre 2015 à 13:07
D'accord avec Franck Boizard ainsi que j'avais déjà eu l'occasion de l'écrire ici. Il faut laisser aux anciens aïeuls leur histoire.
Bon, celles et ceux qui ont eu la chance d'en avoir des rebelles savent aussi ce qu'il leur en a coûté et leur en coûte encore... notamment celles et ceux qui ne verseront pas dans les extrêmes.
Il faut beaucoup d'amour pour comprendre et de l'intelligence pour accepter que nous en sommes là pour penser une solution.
Alors que se jouaient les parties de poker (telles que décrites par Achille) elles, ils savaient transmettre le savoir dignement en laïques cad en personnes responsables.
Rédigé par : calamityjane | 13 novembre 2015 à 13:03
@vamonos 09 h 38
Précisément 110 km/h et non 100.
Rédigé par : Claggart | 13 novembre 2015 à 12:40
Merci à Mary Preud'homme | 12 novembre 2015 à 21:30 pour ce témoignage émouvant.
Oui la pâte humaine n'est pas que raison. Elle est aussi chair et sentiment. Oui il suffit simplement d’emprunter la Voie Sacrée pour déjà s'imprégner de ce qu'ont vécu nos aïeux débarqués du train à Bar-Le-Duc pour prendre cette voie et monter au front, sachant que nombre d'entre eux n'en reviendraient pas. Avec pour seul mot d'ordre : "tenir".
Et pourtant ils se sont sacrifiés : ils ont tenu et résisté à la volonté de l'état-major allemand de laminer l'armée française par une bataille d'usure dans laquelle l'armée allemande a de fait commencé psychologiquement de perdre cette guerre : chaque régiment allemand envoyé à Verdun était intégralement sacrifié, le choix du général Pétain ayant lui conduit tous les régiments français à combattre à Verdun avec une rotation rapide.
Oui, les cérémonies patriotiques sont d'abord celles du souvenir des morts pour rappeler que nous devons notre liberté à ceux qui sont morts dans cette guerre emblématique de la folie des hommes.
Quant aux considérations sur la guerre elle-même, le problème reste celui pour un pays, une nation d'être capable de la mener lorsqu'elle lui est imposée par un autre qui devient de ce fait, non plus un adversaire politique ou économique, mais son ennemi qui ne lui veut pas que du bien ! Sauf à accepter de se soumettre à tout envahisseur.
C'est bien le problème soulevé par Jean Jaurès dans son "Armée nouvelle" avec des solutions qui n'auraient pas résisté à la réalité de la puissance allemande, ni en 1914, ni en 1939. Il avait bien compris le caractère effroyable de cette guerre industrielle et technique entre puissances européennes et l'a parfaitement dénoncé. Mais qui dans les élites politiques européennes d'alors a écouté son message de sagesse ?
Il ne reste donc à nos générations un siècle plus tard qu'à se souvenir pour reprendre le slogan de cette époque : "plus jamais ça" ! C'est à cela que doit servir l'Histoire. Mais dans le concert des nations où la volonté de puissance l'emporte trop souvent sur la raison, personne ne peut raisonnablement considérer que pour l'éternité l'humanité aura la volonté de vivre dans la paix ! Il suffit pour s'en persuader de se rappeler le nombre de conflits qui ont eu lieu depuis la création de l'ONU...
Rédigé par : Robert | 13 novembre 2015 à 12:23
@sylvain
Le problème, c'est que la droite ne va regarder que cela :
Le Figaro
et la gauche que ceci :
Europe 1)
alors que ces deux réalités sont tout aussi importantes l'une que l'autre.
@ Achille
C'est bien plus compliqué qu'une histoire de riches et de pauvres.
Rédigé par : Laurent Dingli | 13 novembre 2015 à 12:17
@ eileen et vamonos
Ce sont des autoroutes de fait avec les échangeurs et aménagements qui les caractérisent, limitées à 110 km/h. Mais rien à voir avec Anne, la reine aux deux rois. Elle a perdu le premier emplafonné, pas dans une voiture badgée Bzh mais dans un château ligérien.
C'est Charles de Gaulle qui en eut décidé la construction et la gratuité, eu égard à l'éloignement de la région et à son retard en matière d'infrastructures. Et c'est son ancien supérieur qui s'est illustré lors de la Grande guerre - l'idole de Xavier vous voyez ? - qui a dessiné administrativement la Bretagne telle qu'on la connaît en 2015.
Rédigé par : scoubab00 | 13 novembre 2015 à 12:07
@vamonos 13/11/15 - 9.38
Vous avez raison, ce sont des voies rapides et non des autoroutes : la nuance n'est pas aussi importante que vous voudriez le laisser croire, l'essentiel étant qu'il n'y a pas de péage ! Vous ne remettez donc en cause ni le souhait de la Duchesse Anne, ni la gratuité de circulation.
Rédigé par : eileen | 13 novembre 2015 à 11:47
Rédigé par : protagoras | 13 novembre 2015 à 11:14
Ok mais nous, en pleine soumission complicité faiblesse et laxisme, nous avons "signé" pour la culture coranique et le panislamisme qui sont les chevaux de Troie d'une horreur pire que le nazisme : le daechisme à nos portes contre lesquels nous ne sommes pas en mesure de résister, la France et ses collabos gauchislamistes passeurs de terroristes sera encore une fois mise à genoux par nos nouveaux envahisseurs.
Regardez ce qui se passe à l'IUT de Saint-Denis, c'est atroce ! et ça va empirer, le gouvernement ferme les yeux sachant que s'il bouge ce seront des émeutes partout dans les universités et dans les rues, applaudies par Besancenot, Duflot etc. comme à Barbès où les appels aux meurtres et les drapeaux du Djihad ont mis Valls à genoux.
Rédigé par : sylvain @ protagoras | 13 novembre 2015 à 11:38
@sylvain | 12 novembre 2015 à 19:32
"A choisir, je préfèrerais être germanisé qu'islamisé, ils ont une autre classe nos voisins d'outre-Rhin"
Mouaip ; pour ce qui me concerne, c'est un non choix.
L'appartenance imposée est comme la mixité imposée, tout simplement parce que le sentiment personnel d'appartenance relève d'un préalable d'appropriation individuelle : il est tout à fait loisible de rencontrer, dans la vie, des individus se sentant "appartenir" à deux cultures, si et seulement si, à force d'imprégnation et de travail, ils se sont appropriés des éléments importants d'une culture qui n'était pas celle de leur milieu familial.
Ainsi, par exemple, les intellectuels juifs allemands et austro-hongrois qui ont "signé" pour la culture allemande et le pangermanisme, sans voir ce qui allait leur tomber sur la tête.
Il va sans dire que, compte tenu de cette thèse, la notion de "communauté" n'a pas d'existence pour moi.
Rédigé par : protagoras | 13 novembre 2015 à 11:14
J'ai fait un rêve terrible cette nuit : j'étais attaché à une chaise devant la tête d'un pauvre petit veau cuisinée par Mary Preud'homme qui récitait ses vers emphatiques pendant que son fils, commissaire de police, sonnait l'appel aux morts. Un vrai cauchemar...
Rédigé par : Laurent Dingli | 13 novembre 2015 à 11:13
@eileen
"...c'est grâce à une disposition, ou une phrase ?? attribuée à la Duchesse Anne que des siècles plus tard les autoroutes en Bretagne étaient gratuites !"
En Bretagne, il n'y a pas d'autoroute avec la vitesse limitée à 130 km/h ; mais les automobilistes peuvent circuler au maximum à 100 km/h sur des voies rapides.
La nuance est importante.
Rédigé par : vamonos | 13 novembre 2015 à 09:38
@Garry Gaspary | 12 novembre 2015 à 09:21
"Une petite pensée en conclusion pour René Girard, dont j'avais ici enterré la théorie une semaine avant sa propre mort, en rappelant à quel point elle est valide uniquement pour des christianisés qui restent de grands enfants incapables de faire preuve d'une quelconque volonté pour réussir à s'extirper d'un mimétisme familial, et qui sont ainsi de véritables anachronismes vivants, soit une belle troupe de zombies complètement inadaptés à leur époque tant ils meurent doucement à tenter de faire revivre au présent une vie passée qui n'est en rien la leur."
C’est votre intérêt d’enterrer ce qui souligne votre incompréhension, car ce que vous appelez déchristianisation, c’est exactement la conséquence du christianisme.
« En cherchant à démystifier le sacrificiel, la démystification actuelle fait donc moins bien le travail du christianisme qu’elle croit attaquer, car elle le confond toujours plus avec le religieux archaïque. »
@genau | 12 novembre 2015 à 12:46
"Gaspary a raison, nous ne savons pas que faire de notre liberté et le feu patriotique qui pourrait se rallumer, malgré la décadence irréversible de celui-ci ne trouverait à s'exprimer que dans l'excès d'une revanche contre l'abaissement, créer une exaltation comme celle d'Eponine ou Jeanne d'Arc, faire surgir un Classicus ou un Civilis avec l'issue inévitable du cataclysme… Vivons encore un peu, le temps que la vague furieuse de l'Islam ne déferle obligeant à tirer les fusils de la paille et que nous ayons encore une raison de lutter et de mourir".
N’est-ce donc pas votre incapacité au pardon, et croyez qu’elle ne m’inspire rien d’autre que de la compassion, qui vous dicte ce désir d’en découdre et d’enfin vous venger, vous entraînant à ressembler de plus en plus à l’islamiste que vous dénoncez, et à en désirer la déferlante ?
« Clausewitz témoigne, de façon plus réaliste que Hegel, de l’impuissance foncière du politique à contenir la montée aux extrêmes. Les guerres idéologiques, justifications monstrueuses de la violence, ont en effet mené l’humanité à cet au-delà de la guerre où nous sommes aujourd’hui entrés. L’Occident va s’épuiser dans ce conflit contre le terrorisme islamiste, que l’arrogance occidentale a incontestablement attisé. »
@Xavier NEBOUT | 11 novembre 2015 à 11:22
"Par contre, se battre pour les valeurs de la République est aussi creux que le mot valeur. Quelle République en effet ? Celle de 1793 ? Celle qui a trahi les peuples d’Indochine en 1954 et une bonne partie des Algériens autochtones et l’armée en 1962 ? Celle qui a harangué le peuple jusqu’à vouloir la guerre de 14 que les têtes couronnées voulaient éviter ? Le mot patrie est révélateur de l’imposture républicaine. En République, il n’y a pas de terre du père ; la terre du père, c’était celle du Roi."
Deviendrez-vous un jour réellement catholique ?
« Nous étions encore il y a peu de temps dans le mythe de la grandeur française, dans Louis XIV et dans Napoléon. Nous avons changé d’époque. C’est sans doute une bonne chose. »
« La repentance de Jean-Paul II est un phénomène inouï et absolument imprévisible, mené peut-être en partie contre la Curie romaine. Cette repentance seule fait de l’infaillibilité du pape une idée neuve en Europe, car elle fait du pape le représentant imprévisible de l’idée européenne.(…)Elle achève sous nos yeux de saper toute idée impériale, au moment même où son pouvoir temporel disparaît. Il s’agissait donc bien d’une lutte où toutes les forces étaient engagées des deux côtés. L’empire a perdu. L’actuel élargissement de l’Europe, hors de toute velléité impériale, inaugure une période inédite, qui constitue notre seul horizon crédible, même s’il est extrêmement précaire.L’idée qui s’expérimente en Europe, et dans tous les pays du monde où cette idée essaime, est celle d’une identité de tous les hommes ; la relève de cette idée par le pape est le rappel incessant, entêté, du caractère divin de cette identité. »
Les passages entre guillemets sont tirés du "Achever Clausewitz" de R.Girard.
Rédigé par : aliocha | 13 novembre 2015 à 08:49
Avec les millions de morts, les femmes obligées de tout assumer et même de fabriquer des obus, l'humanité a régressé de quelques siècles avec ce conflit.
Et on continue de fêter des types qui ont obéi à des ordres alors qu'il fallait imaginer la vie autrement ?
Et à mentir aux peuples pour justifier l'intervention dans des conflits ici et/ou ailleurs... ?
Les calendriers sont pleins de sang ! Vite une réforme.
Rédigé par : calamity jane | 13 novembre 2015 à 08:04
@Savonarole 12/11/15 - 21.51
Ainsi va la vie, il arrive toujours un moment où le nombre de ceux/celles qui nous ont connus en culottes courtes ou avec des couettes sont de moins en moins nombreux ahaha !
Une question, est-ce l'omniscience qui conduit à l'éternité ou le contraire ?? ahaha !
Rédigé par : eileen | 13 novembre 2015 à 05:53
L'exemple le plus évocateur de la stupidité de la guerre est sans doute celui des ces familles d'Alsace et de Moselle qui ont vu le père français combattre les Allemands lors de la guerre de 1870, puis le fils faire la guerre de 14-18 avec l'uniforme allemand contre les Français vu qu'entre-temps ces départements étaient passés allemands, et enfin le petit-fils faire la guerre avec l'uniforme français pour combattre les Allemands.
Raison pour laquelle sur les monuments aux morts de l'Alsace-Moselle ne figure pas l'appellation "Morts pour la France" mais "Morts au champ d'honneur".
J'ajouterai à ceux qui exhibent avec fierté les états de service de leurs ancêtres morts au "champ d'honneur" qu'il est facile de se féliciter du courage et du patriotisme de ces derniers qui dans l'enfer du combat pensaient certainement plus à la mort qui allait les ramasser qu'à la grandeur de la France.
Rédigé par : Achille | 13 novembre 2015 à 00:38
Un archiduc est assassiné à Sarajevo. Par le jeu des alliances, quatre ans après, le bilan est :
9,7 millions de morts pour les militaires et 8,9 millions pour les civils.
Ceux qui sont morts l'ont-ils vraiment été pour la France ?
Je ne sais plus qui a dit un jour : "La guerre est « l'art » de faire s'entretuer des gens pauvres, qui ne se connaissent pas, au profit de gens riches qui, eux, se connaissent très bien."
La guerre c'est ça, ce n'est rien d'autre !
Rédigé par : Achille | 13 novembre 2015 à 00:03
@eileen
Une adresse précieuse :http://jeanluc.dron.free.fr/th/historiques.htm
Grâce à Jean-Luc Dron j'ai retrouvé des récits, plans et photos évoquant des batailles où ont figuré mes deux grands-pères.
Dépêchez-vous car c'est un vieux monsieur et je doute que son fils reprenne la boutique... car "plus le temps passe et moins on rencontre de gens ayant connu Napoléon" (Alphonse Allais).
Sauf Mary bien sûr, qui est éternelle !...
Rédigé par : Savonarole | 12 novembre 2015 à 22:15
@eileen | 12 novembre 2015
J'avais mal lu, je ne savais pas que vous évoquiez des lettres de famille.
Rédigé par : Savonarole | 12 novembre 2015 à 21:51
Pardon de parler avec mes tripes, langage inconnu aux sachants et autres donneurs de leçons, mais que les humbles apprécient comme ceux rescapés d'un enfer quel qu'il soit ou fut... Et aussi les jeunes (de toutes origines et nationalités) que je rencontre parfois ici (ou au Centre mondial de la paix) à l'occasion de certaines commémorations auxquelles je participe avec fidélité. A chacun son Kampf. Moi mon combat, ce sera toujours (parmi tant d'autres) Verdun et le devoir de mémoire. Langage inaccessible aux historiens de pacotille parce que procédant du témoignage et de l'émotion pure. Celle qui vous étreint par exemple pendant la sonnerie aux morts dans la crypte de l'ossuaire ou quand le glas résonne à la tombée de la nuit sur l'immense cimetière.
Comme aimait le répéter l'un de mes oncles, rescapé de cette terrible boucherie (et décédé en 1970) :
"Ne donnez pas aux chiens ce qui est saint et ne jetez pas vos perles devant les pourceaux, de peur qu'ils ne les foulent aux pieds, et, se tournant contre vous, ne vous déchirent" (de l'Evangile de Matthieu)
"A eux la gloire, à nous la reconnaissance et le souvenir !"
Rédigé par : Mary Preud'homme (née à Verdun, Fbg Pavé à quelques kilomètres de Douaumont) | 12 novembre 2015 à 21:30
@Savonarole 12.11.15 - 19:08
Vous avez sans aucun doute raison, toutefois permettez que la lecture des lettres pleines de pudeur et de tendresse de mon arrière-grand-père adressée à mon arrière-grand-mère et de mes arrière-grands-oncles adressées à leurs parents, mes arrière-grands-parents ait été pour moi particulièrement émouvante et que leurs lettres resteront les plus belles parmi les plus belles ! Na !
Rédigé par : eileen | 12 novembre 2015 à 21:13
@Daniel Ciccia
De grâce, lisez, la vie musulmane, Sansal, Ramadan, les manuels de Hadith, allez sur les sites islamistes et interrogez les musulmans, s'ils sont responsables ils reconnaîtront qu'ils ont tous au coeur le sentiment brûlant d'une victoire POLITIQUE de leur religion. Lorsqu'ils rejettent l'Islam, c'est tacitement, avec la peur au ventre. Cela fait des années que j'étudie l'Islam, sur la fracture religion/politique que nos gouvernants refusent d'envisager tant que le commerce l'interdit. J'ai fréquenté des calligraphes arabes, je suis calligraphe moi-même, qui se désespère des pressions qu'ils subissent ?
Cependant, je vais dans votre sens, car l'Islam semble en léger retrait, à force de bêtise, d'intolérance et de cruauté.
@Claggart
Oui, bien sûr.
Rédigé par : genau | 12 novembre 2015 à 19:58
@Yves
Ce que vous dites du Monde et l'Algérie me réjouit profondément.
A la fin des années 1970 celui qui succéda à l'ineffable boumedienniste Paul Balta ne trouva rien de mieux à dire sur les coopérants militaires français (VSNA) qu'ils vivaient confortablement et qu'ils ne fréquentaient pas beaucoup les Algériens...
Ce type n'avait jamais interrogé un seul coopérant et il se contentait de répéter les mensonges des fonctionnaires algériens.
Pourtant dans des HLM pourris, sans eau et sans avantage particulier négocié avec le gouvernement algérien (au contraire des Roumains ou des Egyptiens) leur situation était fort peu enviable !!
Lettre de protestation envoyée au directeur du Monde pour obtenir que le correspondant daigne rencontrer des Français sur place !
Pardon du hors sujet mais ce souvenir me met encore hors de moi !!
Rédigé par : caroff | 12 novembre 2015 à 19:35
http://classiques.uqac.ca/classiques/Durkheim_emile/allemagne_par_dessus_tout/allemagne.html
Rédigé par : protagoras | 12 novembre 2015 à 13:40
A choisir, je préfèrerais être germanisé qu'islamisé, ils ont une autre classe nos voisins d'outre-Rhin.
Rédigé par : sylvain | 12 novembre 2015 à 19:32
Jaurès, dernier homme libre du siècle ?? LOL ! faut vraiment être inculte culturellement ou faire l'autruche pour ne pas se rendre compte que des hommes libres, il y en a à foison ; les tout derniers sont ceux qui se dressent héroïquement face aux troupes des procureurs de l'armada socialoviétique qui tentent en vain de leur faire courber l'échine et les museler : le FN, Zemmour, Ménard occupent le podium des résistants à la charia gauchiste ; des hommes libres il y en a eu et il y en aura ; mais quand on est socialiste comme Jaurès et se revendiquer homme libre, ce serait à mourir de rire si cette idéologie nauséabonde n'avait pas infecté l'humanité partout où elle a sévi.
Un homme libre socialiste !! hahahaha je vais avoir du mal à me déplier de rire. C'est quand le prochain épisode ? je voudrais pas louper ça.
Rédigé par : sylvain | 12 novembre 2015 à 19:27
@Savonarole
Je ne peux partager votre emportement. J'y trouve, peut-être à tort, une forme d'irrespect.
Nos aïeux ont pris les décisions qu'ils ont prises et fait la guerre qu'ils ont faite au mieux de leurs capacités, sans être plus bêtes ou plus méchants que nous.
Rédigé par : Franck Boizard | 12 novembre 2015 à 19:25
@Michelle D-LEROY
Je ne pense pas que vous soyez pessimiste mais au contraire très réaliste. En 1914 c'était le chaudron des Balkans qui était en ébullition, aujourd'hui c'est le Moyen-Orient qui en est un autre avec son cortège de malheureux qui sont poussés vers l'Europe avec pour certains des visées déstabilisatrices télécommandées par les extrémistes. Des banlieues sont incontrôlables, les forces de l'ordre ont de plus en plus de mal à faire en sorte que force reste à la loi, le moindre dérapage peut engendrer des désordres difficilement contrôlables. Il y a de quoi être inquiet pour l'avenir de nos institutions avec ce pouvoir qui n'a de cesse de prêcher l'intégration pour satisfaire ses vues électorales. On n'a pas encore tout vu mais on sent bien que la météo de nos civilisations n'est pas pour rester au beau fixe.
Rédigé par : Jabiru | 12 novembre 2015 à 19:19
@ Daniel Ciccia
"Où voyez-vous donc la vague furieuse de l'Islam, propice, si nous vivons assez, à tirer les vieux fusils de la paille ?"
Pour le moment ce ne sont que vaguelettes chaudasses et clapotis s’immisçant entre vos doigts de pieds et vos fesses en les chatouillant. Sur la côte landaise on appelle ça une baïne.
Un peu de patience que diable !
Rédigé par : hameau dans les nuages | 12 novembre 2015 à 19:16
@breizmabro
Il conviendrait aussi dans votre défense - tout à fait légitime - de la Bretagne de rajouter que c'est "le Couesnon dans sa folie qui a mis le Mont (Saint-Michel) en Normandie", mais que
- au XVe siècle la Bretagne était indépendante
- que c'est grâce à une disposition, ou une phrase ?? attribuée à la Duchesse Anne que des siècles plus tard les autoroutes en Bretagne étaient gratuites !
Rédigé par : eileen | 12 novembre 2015 à 19:14
@eileen
Les plus belles lettres sont dans le livre de Jacques Benoist-Méchin "Ce qui demeure".
Rédigé par : Savonarole | 12 novembre 2015 à 19:08
@Claggart 12 novembre 12.32
Un autre témoignage sur le grand journal de référence, dans les années 1967 environ.
Chapitre 1 :
Un titre majestueux en une du Monde : ALGÉRIE AN V
Une introduction-roulement de tambour, en substance :
ce que notre envoyé spécial a observé en deux semaines de reportage dans tout le pays est si bouleversant que nous allons publier le reportage en cinq épisodes.
Et la première phrase du premier des cinq épisodes, en substance également :
"On dit couramment que lorsque le bâtiment va, tout va. Eh bien dans la jeune et trépidante Algérie, il y a un tel boum de la construction et des travaux publics que le ciment vient à manquer !" Et la suite de la même farine.
Chapitre 2 (quelques jours avant le premier chapitre) :
Dialogue entre le directeur français d'une entreprise française en Algérie et son chauffeur algérien.
- Vous n'avez pas l'air de bonne humeur aujourd'hui ?
- Ne m'en parlez pas, j'ai voulu acheter un sac de ciment pour réparer un mur, j'ai eu le plus grand mal à en trouver et c'était au marché noir. J'ai dû payer 1500 francs au lieu de 500 (il ne s'était pas mis au dinar mais c'est une autre histoire). Depuis "qu'ils" ont nationalisé les deux cimenteries, "ils" sont incapables de les faire fonctionner.
Chapitre 3 (quelques jours plus tard)
Questionnée sur le reportage, l'ambassade de France à Alger explique : le reporter s'est interdit pendant tout son séjour de rencontrer le moindre Français pour bénéficier de la meilleure objectivité. De bout en bout, il a été cornaqué par un fonctionnaire du ministère de l'Information.
Rédigé par : Yves | 12 novembre 2015 à 18:14