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Merci pour cette rencontre M. Bilger, j'apprécie la musique de Bertrand Burgalat et l'homme est également très intéressant.
Rédigé par : Kirawea | 01 février 2016 à 13:30
Je ne crois pas aux musiques numériques, il y aura toujours un public bien sûr ; malgré les fans d'un David Guetta je trouve qu'il est un faiseur de sons, de la pâtée pour chats en somme, mais il est dans le paysage dit musical et il est entendu. Alors je tourne le bouton et m'en vais voir ailleurs.
Totalement d'accord avec B. Burgalat sur Bach, si j'ai bien compris l'influence de ce dernier elle s'étendrait jusqu'aux Beatles ! Vu par un prix de Conservatoire.
Quant aux versions comparées de l'interprétation de Glenn Gould à des années d'écart elles méritent tout notre attention.
Il ne faut pas désespérer en matière musicale mais de la bouillie pour chats, non, cela ne passe pas pour mes papilles.
Rédigé par : Giuseppe | 29 janvier 2016 à 13:49
Allez Bertrand ! Lance-toi ! J'ai vu des murs très hauts, je les ai regardés, humés, j'ai tourné autour, et un jour j'en ai construit de plus hauts.
Merci pour cette humilité, vous avez la puissance de Mohed Altrad !
Rédigé par : Giuseppe | 28 janvier 2016 à 23:50
Le métier de musicien a changé avec les nouvelles technologies.
J'essaierai d'aller voir M. Burgalat en concert.
Rédigé par : vamonos | 28 janvier 2016 à 21:37
Brève et belle rencontre avec un inconnu, qui exprime avec calme et simplicité ses inhibitions. On les regrette en même temps que lui, parce qu'au fur et à mesure de l'heure qui passe, on perçoit chez ce musicien un vrai talent pour créer. Vu de loin, comme ça, on dirait qu'il est freiné par une conscience trop aiguë de ce qui lui manque. Merci aussi à Philippe Bilger de nous le faire connaître grâce à ses questions, bien ciblées sans être intrusives.
Rédigé par : Lucile | 28 janvier 2016 à 12:30
Pas de chance pour Burgalat, son entretien avec PB paraît le même jour que la démission de la Castafiore.
Encore un hit-parade truqué par les médias...
Rédigé par : Savonarole | 28 janvier 2016 à 09:32
Ce qui est fabuleux ici, c'est que l'on découvre des passions et des passionnés que l'on ne rencontre pas ailleurs, comme si le talent était estampillé par ceux qui tapissent les murs des médias du quotidien, en somme des camelots de foire qui nous vendent la dernière casserole pour faire bouillir l'eau froide et d'en être admiratif.
Bertrand Burgalat, inconnu au bataillon pour moi. Judicieuse visite, comme lorsqu'on nous montre tous les trésors cachés des réserves des musées qui parfois font aussi l'exposition.
A l'écoute j'ai le sentiment de quelqu'un d'airain, d'un Mohed Altrad que le rugby fait découvrir au plus grand nombre.
Quel plaisir de lever le couvercle et d'écouter autre chose que ces émissions en boucle avec les mêmes personnages, les mêmes animateurs, les même images fades et tristes d'un présentateur à l'engouement de papier mâché qu'il vous assène à tous les mots.
Que notre hôte ne désespère pas, un chat qui joue du piano fait 200 000 000 de vues, cela fait beaucoup de marge, mais attention quand même à ne pas être transformés l'un et l'autre en cet animal, quoique...
Désormais je serai attentif à une qualité de faire, maintenant j'ai un nom à y apposer.
Rédigé par : Giuseppe | 27 janvier 2016 à 21:28
Ce 27 janvier est à marquer d'une pierre blanche.
D'abord, cet entretien avec Bertrand Burgalat. Je le connaissais surtout pour son livre sur le diabète insulino-dépendant (j'en suis comme lui atteinte depuis mes dix-huit ans et me suis sentie moins seule en le lisant) et j'ai découvert un homme attachant et intéressant. Merci à M. Bilger pour ces entretiens tous azimuts ; on y découvre le plus souvent des personnes dignes d'intérêt, ayant quelque chose à "dire" (quel que soit leur mode d'expression prioritaire) et gravitant dans des cercles très divers.
Et, bien sûr, la merveilleuse nouvelle de la démission de Mme Taubira ; je n'y croyais plus et pensais que nous allions traîner ce "marqueur de gauche " comme un boulet malfaisant jusqu'à la fin du quinquennat. Je lui resterai "éternellement" reconnaissante d'avoir ENFIN mis en accord ses opinions - qu'elle ne s'était pas gênée pour énoncer depuis une capitale étrangère sur la télévision nationale... algérienne et ses actes.
Il était temps mais la surprise n'en est que plus agréable. Je ne pense pas être particulièrement ignare mais aucun vers d'un grand poète ne me vient à l'esprit pour saluer son départ. La réalité dépasse la fiction et c'est tant mieux pour la Nation. Peut-être profitera-t-elle de sa prise de parole à 15h30 pour nous gratifier de quelques vers : il est vrai qu'au cours de ces années au ministère de la Justice, elle a plutôt occupé les focntions de ministre du laxisme, de la démagogie malfaisante et de la parole.
"Bon" vent !
Rédigé par : Marie | 27 janvier 2016 à 14:12
Surprenant "Cabinet de curiosités" chez Philippe Bilger.
Wiki nous le dit : "Un cabinet de curiosités était un lieu où étaient entreposés et exposés des objets collectionnés, avec un certain goût pour l'hétéroclisme et l'inédit".
Bertrand Burgalat est véritablement un objet de curiosité, plein de classe et de talent, il ne passera jamais chez ONPC, où on se tape sur le bide pour rigoler.
On perçoit chez lui la distinction toute britannique que ses jeunes années passées à Londres lui ont transmise.
Rédigé par : Savonarole | 27 janvier 2016 à 11:01
Bonjour,
J’avoue que je ne connaissais pas du tout Bertrand Burgalat. L’homme est sympathique, son parcours dans le milieu artistique est intéressant et montre un certain talent. Peut-être est-il trop discret.
Et puis un fils de préfet qui n’a pas fait l’ENA est forcément quelqu’un d’attachant.
Rédigé par : Achille | 27 janvier 2016 à 10:46