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09 février 2016

Commentaires

Giuseppe

Allez Novès ! Allez Novès ! Victoire qui n'est pas anodine, depuis cinq années ces satanés Irlandais étaient hors de notre portée. Allez Novès !

Giuseppe

Dix Boucliers de Brennus et quatre Coupes d'Europe cela pose sa vision et son talent pour durer et s'imposer sur le long terme.
Nul n'est prophète en son pays, il a fallu attendre l'heure de la retraite - par la force des choses - pour faire appel à lui.

Beaucoup d'intrigues et jalousies sans doute autour de lui ne l'ont pas amené plus tôt à ce qu'il pouvait faire de mieux, imposer son style, être enfin et pour l'éternité champion du monde.

Le temps, il n'en aura pas trop, aujourd'hui il paraît difficile de progresser rapidement. Le challenge est à la hauteur de sa ténacité, alors il va falloir pousser avec lui si on veut faire comme les Blacks... pour l'éternité !

Giuseppe

Rien sous le soleil, le Président de la FFR si contesté est toujours en place, quand tout bouge, rien ne bouge, typique des grandes révolutions. En fait ceux qui construisent sont toujours les mêmes, de la trempe de Mohed Altrad, beaucoup qui siègent sont des bonimenteurs s'accrochant de toutes leurs forces à une gamelle qui leur sied bien, mais surtout rien partager, indélogeables, c'est un fait.

L'avenir des autres n'est pas pour eux, l'abnégation du joueur et de l'entraîneur ne sont que des épisodes, tant que pour eux le bateau vogue. Ils ont tellement bien cadenassé les vents méchants qu'ils ne risquent plus rien ; tous ces organismes y compris olympiques sont souvent sous les projecteurs de la vindicte, pour la bonne cause, mais la lumière s'éteint vite faute d'énergie.

Giuseppe

@ breizmabro
"Puisque ce sujet est plutôt destiné aux garçons mon commentaire va forcément dénoter ;-)) "

Non, non, pas que les "garçons", les filles jouent aussi et font même des commentaires, allez donc voir sur les sites de clubs, enfilez votre maillot, short et crampons, cela va décoiffer !

Giuseppe

@ Achille

" Je préfère attendre les deux prochains matchs face à des adversaires un peu plus capés avant de me forger mon opinion."

Soyez juste un peu patient la prochaine Coupe du monde n'est pas pour demain. On vient juste de tirer le rideau de la dernière.

Giuseppe

Le rugby est fait de stratégie et puissance, c'est l'art de la guerre - toute proportion gardée - bien évidemment.
Tout est à revoir, ce n'est pas en quelques heures que tout va être rebâti, c'est l'évidence même.
Reste à faire passer au niveau national le message pour que toutes les écoles de rugby soient à l'unisson. La formation, toujours la formation, clef dans tous les domaines, le rugby en est un parmi les autres.

Rien à voir avec le foot où les règles simplistes en font la compréhension et l'adhésion du plus grand nombre mais qui n'a à mes yeux aucune saveur.
Les actions de but sont tellement rares que les réalisateurs se croient toujours obligés de nous les montrer sous toutes les coutures et sous tous les angles, de faire paraître ainsi que le match entier est empli de ces images.

Changer de stratégie en rugby est du même niveau que changer de direction pour un paquebot, il faut s'y prendre des milliers de miles en avance. Laissons faire Novès, on ne va pas expliquer à un vieux guerrier qui a résisté autant de temps comment tenir le glaive.

Il est d'une région où le sens du mot rugby prend les allures du jeu d'échec, les étapes sont à franchir une à une. D'abord trouver et former les hommes quand tout s'est perdu depuis des décennies. Les résultats parfois exceptionnels cachaient la carence profonde, et le manque de réalisme propre à être en haut et à pérenniser.

J'ai déjà entendu lesspécialistesmondiauxdurugbydeFrance nous asséner leur vérité, alors que la plupart n'ont jamais planté une pointe.
Et que ces derniers se posent enfin la question de savoir pour quelles raisons ils n'ont jamais été ou pu être champions du monde.

Oui ! Notre hôte pourra entonner La Marseillaise aussi longtemps et d'aussi nombreuses fois que les Toulousains ont brandi le bouclier de Brennus... Si on lui en laisse le temps... Foi de spécialiste !

Novès va rencontrer les mêmes problèmes que tous les sélectionneurs de la terre entière. L'écueil viendra de la qualité ou non de bons résultats que l'on espère immédiats. Impatience qu'il va falloir contenir, depuis Villepreux et Skrela pas grand-chose en somme.

Aujourd'hui le rugby est malade pour de multiples raisons, la formation en est une, les hommes qui composent l'équipe aussi. En retard de technicité, le physique suivra. Mais beaucoup de travail en profondeur à effectuer. Est-ce que les 66 millions de sélectionneurs sont prêts à patienter ? je n'en suis pas si sûr.

Laporte, pour ne citer que celui qui est le plus en vue aujourd'hui, n'a pas fait mieux que les autres au niveau des résultats, reprenez son palmarès et sa durée d'intervention, rien de transcendant.

On a accusé de tous les maux l'intervention des étrangers dans les équipes, si on était meilleurs pourquoi irions-nous chercher ailleurs ?
La culture du jeu et sa vision ne sont pas le fait du hasard et ne s'improvisent pas.
Demandez aux Anglais pourquoi ils avaient donné le surnom de Monsieur Rugby au plus emblématique joueur que la France ait connu. Celui-ci ne venait certainement pas de nulle part, reprenez l'histoire de son club, ses vertus et la philosophie de jeu, ce n'était pas dû au hasard, le talent ne connaît pas la chance, il s'impose à elle.

Bien sûr il y a eu d'autres concepts de jeu, Raoul Barrière en son temps avait posé sa griffe, ce qui a permis à l'équipe de France de l'époque de trouver des joueurs pour reconquérir un espace laissé vide de victoires.
Aujourd'hui le chemin à suivre est clair pour regagner du terrain - surtout pas avec des chandelles -, interdit et sifflé à notre époque, Novès le sait.
Il a vu la vitesse de la dernière Coupe du monde de rugby, la preuve, il a pris un ailier venant du 7 et lui était un ailier, le gabarit en plus, autre époque évidemment. Les premières mêlées de la dernière Coupe arrivaient au bout d'un quart d'heure, bien moins nombreuses, cela aussi il le sait.

Il sait aussi, le nouvel entraîneur, qu'il faut gagner, je citerai de mémoire une victoire dans le championnat de France où Pierre Berbizier sorti vainqueur s'était exclamé auprès de ses détracteurs après un match laborieux, gorgé de pluie, que "seule la victoire est belle", cela Novès le sait aussi.

scoubab00

Et pourtant, Guy, ce petit-fils d'immigrés aragonais, avait grandi presque à l'ombre du Stadium, l'arène des footballeurs de Toulouse. Très joueur, ingambe et fluet, écolier appliqué, il ne découvre le rugby qu'à 21 ans, dans le cadre de ses études de professeur de sport : un bail au Stade toulousain de presque quarante ans !

Très observateur, meneur d'hommes, cassant, fondu de compétition, toujours, son palmarès exceptionnel parle pour lui. C'est donc la première fois de sa vie que ce sexagénaire exerce hors de sa région toulousaine. Etre sélectionneur est une fonction hors sol, sans pelouse à fouler régulièrement, il faut voyager, négocier, consulter, s'abonner pour visionner x matchs sur écran. Son prédécesseur Saint-André, lui aussi épris de la petite rosée du matin et des plaisanteries quinzistes idoines, n'a jamais réussi à prendre la mesure de ce métier si particulier. Je souhaite bonne fortune à Guy Novès, étant aussi un ancien habitant-arpenteur de la ville rose.

breizmabro

Puisque ce sujet est plutôt destiné aux garçons mon commentaire va forcément dénoter ;-)) MAIS

"Quand Guy Novès déclare que les joueurs sont "des élus, ils sont en mission.." (etc.) vous continuez par "il suffirait d'adapter ses appréciations et ses certitudes à d'autres univers".

Quand vous dites "d'autres univers" vous parlez de qui ? des politiciens ou des fonctionnaires ?

J'ai beaucoup aimé le rugby, il y a longtemps, du temps de ma jeunesse, du temps de "allez les petits !" de Couderc le chauvin. Aujourd'hui que ces rugbymen sont devenus des professionnels de la profession, plus préoccupés par leur revenus de fin de mois, des primes et des ventes de leur calendrier, ce sport, à l'égal du foot, m'est devenu indifférent.

Quant à parier sur quelques victoires je préfère à présent celles des chevaux. Quoique... aussi... il y aurait beaucoup à dire.

Pas sur les chevaux bien sûr, mais sur ceux qui les montent ;-))

Jean-Paul Ledun

Ce qui me fait d'emblée plaisir, c'est que Monsieur Novès ne fera pas le jeu du monde médiatique (pour rester poli).
J'aime bien son discours. J'aime bien la passion et la fierté qu'il a d'être à la tête de l'équipe de France.
Je lui fais confiance pour décoincer ses jeunes joueurs "qui ne doivent pas avoir l'air d'avoir 35 ans alors qu'ils en ont 20".
Tout est dit !
Allez Novès.

Yves

Manque plus que les joueurs !
Pour l'instant, "non nova sed nove" : pas de choses nouvelles mais une manière nouvelle.
Si tout va mal, on pleurera 'nihil novi sub sole' (cf. SVP Gaffiot ou les pages roses).
Ave !

sylvain

Novès était un fervent admirateur des Villepreux et Skrela qu'il trouvait modernes, progressistes, avant-gardistes, ces deux icônes rugbystiques révolutionnaires essayaient de faire évoluer le rugby lourd, apathique et sans âme des Ferrasse, Fouroux et autres vieilles gloires fossiles dépassées par le renouveau qui pointait dans l'hémisphère sud. Villepreux était grand fan du rugby de mouvement australien : "le mouvement perpétuel de l'horloge" ses joueurs feu follet qui attaquaient en ellipse face à nos "baloos au rugby haché soporifique ; il était aussi un grand espion de ce qui se faisait partout chez nous et à l'étranger : les dimanches après-midi, il montait en loucedé sur le toit des tribunes pour filmer les tactiques adverses, ce qui à l'époque était très insolite comme attitude ; sur le Midi Olympique des années 70, une photo de sa tête sur les tôles ondulées d'un stade avait fait rire toute la région.
Novès est de cette culture, de cette école moderniste futuriste avec ses valeurs d'abnégation, de travail, de respect, de morale, mots très fascistes j'en conviens et suspects d'extrême droitisation dans notre pays gauchisé.
Mais fera-t-il le poids face aux ligues et meutes des losers professionnels médiatiques, des corbeaux délateurs, des meutes avides de sang qui détruisent tous ceux qui ont l'outrecuidance de vouloir faire avancer des projets, la réussite est très mal vue en France et gare aux têtes qui dépassent.
A mon avis, ce qui risque de faire échouer Novès, c'est le piètre niveau du rugby français bien avant les morsures médiatiques.

J.Marques

La reconstruction est en route et j'espère qu'elle ira à son terme. Celui-ci dépendra de la qualité du jeu fourni et de l'engagement des joueurs.

Oui être dans l'équipe de France est un honneur
Oui on doit respecter le maillot et ce qu'il représente.

Je fais confiance à Guy Novès pour prendre ces hommes en main et éjecter les récalcitrants s'il y en avait.

Toutefois, il faut relativiser la performance des Bleus. Cette victoire a été acquise sur le fil. Mais comme seule la victoire compte, au final, là, l'équipe de France a gagné.
A eux de prouver dans le second match qu'ils ont réussi à créer de la cohésion qui, il me semble, a bien manqué.

J'ai hâte de voir leur prochaine prestation et d'assister à leur victoire. Mais si défaite il y a j'espère qu'il n'auront pas à en rougir.

Cyril Lafon

J'approuve le contenu de votre billet même si j'ai l'impression que vous escomptez un peu hâtivement de prestigieux lendemains. Certes, l'ancien entraîneur du Stade toulousain, aujourd'hui à la tête du XV de France, a une rigueur sportive, il a un passé à honorer, il a un avenir à construire, mais comme souvent en pareil cas, la réalité risque de freiner son souhait d'envolée heureuse avec l'équipe de France.
Le rugby est tellement complexe, les adversaires ne cessent de progresser, à commencer par l'Italie, je pense également à l'Argentine pour l'hémisphère sud.
Guy Novès, malgré l'excellente volonté qui est la sienne, malgré ses indéniables qualités, sa très bonne élocution, devra compter également avec les adversaires, dont les sélectionneurs ont sans nul doute des qualités semblables aux siennes ; il devra composer également avec certains joueurs qui ne peuvent, par je ne sais quelle inaptitude, pas du tout s'adapter à la configuration de jeu souhaitée par Guy Novès, il devra composer avec les médias qui demandent de plus en plus d'exigence, quasiment de la perfection dans le jeu.
Malheur aux joueurs, principalement des avants, qui perdent des ballons en touche, malheur à ces mêmes joueurs qui sont dominés en mêlée fermée, malheur aux trois quarts et aux ailiers qui ne concluent pas leurs envolées par un essai ou qui ne s'approchent pas trop de l'en-but adverse !
Est-ce que la seule pratique du rugby et son amour garantissent la domination sur l'adversaire ?
Est-ce que, dans le rugby, il est anormal de perdre ?
Non, messieurs-dames, la défaite, la domination subie face à l'adversaire font pleinement partie du rugby, de la même manière qu'en politique la défaite à une élection fait pleinement partie du champ républicain !
Guy Novès est dans une situation, si on y regarde d'un peu plus près, pas trop enviable, le poste de sélectionneur me fait penser, en politique, à celui de Premier ministre, dans les deux cas, il s'agit d'un honneur d'occuper ce poste mais pour celui ou celle qui y est, il s'agit d'une véritable descente aux enfers, car vous êtes exposés à tout un peuple qui vous trouvera le moindre défaut dans votre comportement ou dans votre verbe.

Sur ce, je souhaite naturellement une bonne chance à Monsieur Novès !

bruno

Le cas Domenech est un peu différent : il avait à gérer un groupe (qu'il avait choisi, certes) composé de voyous et de c... molles !! L'amalgame était impossible...

Alex paulista

Amusant de penser que l'encensé Novès était à un fil de la première défaite à domicile contre l'Italie, et que le tant méprisé Domenech est passé à une transversale du titre de champion du monde.
D'ailleurs, mettre sur le même plan le passé d'entraîneur de PSA et de Domenech démontre une profonde indifférence envers la réalité des terrains. Car Domenech, avant d'être mauvais, a été bon et le redeviendra probablement, alors que PSA n'a gagné que des intrigues.
Mais le fantasme de l'homme providentiel n'est pas à cette nuance près quand il s'agit de sublimer par contraste.

Bref, je souhaite le meilleur à Novès, j'ai apprécié le joueur à 7 qu'il nous a dégoté, mais la différence de niveau aperçue durant la Coupe du Monde me laisse un peu sceptique.

Giuseppe

Commençons par ce qui a fait le plus de mal à notre enthousiasme de supporters : un Stade toulousain laminé, écrabouillé, malmené tout un match, et lui, Guy Novès, de crucifier l'équipe emblématique de toute une région, d'un essai plein d'opportunisme, de sens du jeu et des règles, essai fantastique... Pour l'équipe battue il ne restait que les yeux pour pleurer. Et pourtant ce jour-là j'ai vu un J-P Rives secoué comme jamais me semble-t-il, seul un lumineux comme le nouvel entraîneur était capable de renverser la table alors que les couverts étaient déjà mis.

Le grand inventeur du rugby moderne est Pierre Villepreux, il a préconisé qu'il se pratiquerait désormais à plus de vingt joueurs... Il y a de cela quelques décennies.
En fait le laboratoire a été le Stade toulousain qui eut la mainmise sur ce nouveau jeu physique et de mouvement.

Les racines pouvaient se trouver déjà à l'époque des frères Prat, Monsieur Rugby Jean Prat, mais ce sport n'était qu'amateur, Maurice Prat était restaurateur. D'autres clubs locaux avaient déjà anticipé ce mouvement de vitesse et de vision qui est aujourd'hui en exergue.

Guy CAPDEBOSCQ

Je suis d'accord avec vous monsieur.
Ceux qui attendaient un renouveau, une flamboyance par le simple changement de manager, sont les mêmes qui autrefois croyaient au petit Jésus soviétique.Une équipe de rugby, a fortiori l'équipe nationale, se construit avec un projet auquel des hommes doivent adhérer. Ce qui était loin d'être le cas auparavant. Il ne faut pas exonérer la responsabilité des dirigeants qui ont eu à plusieurs reprises la possibilité de changer le cours des choses mais qui se sont obstinés dans une voie sans issue. Espérons qu'ils laisseront Novès travailler comme il sait si bien le faire, quitte au final à récolter les lauriers...

sylvain

Bel hommage à Guy Novès.
Nous l'avons vu arriver au Stade toulousain des années 70, un jeune discret, peu causant, taiseux, toujours à l'écart des liesses ou festivités, peut-être de la timidité mais toujours respectueux de ceux qui le saluaient après matchs ; on va dire un gars modeste et sérieux. Ce qui est impressionnant c'est qu'on a l'impression de voir le même joueur quarante ans après, même allure, même silhouette, même visage, le temps n'a eu aucun effet sur lui ; là où tous ses collègues ont pris de la bouteille, petits ou gros bedons, crânes dégarnis, grisonnants ou blanchis, Guy Novès a gardé son physique de jeunesse, il respire le rugby, pense rugby et ne se sert pas du rugby pour une quelconque célébrité arriviste ou opportuniste.
Ce qui va lui arriver inévitablement comme pour tant d'autres, c'est de se faire briser par les médias vautours tabloïds en quête de pub et de buzz, c'est leur seule raison de vivre pour pouvoir continuer à toucher des subventions et des sponsors publicitaires. En outre comme dans d'autres sports il existe une mafia de corrompus arrivistes prêts à le dézinguer pour prendre sa place.
L'état de grâce actuel de Novès durera ce qu'en auront décidé tous ces rapaces avant de lui faire connaître la déchéance inévitable dans ce milieu tout aussi gangréné que les autres.

gilles

On est d'accord, Guy Novès a bien entamé la reconstruction. Il sera utile et, il faut l'espérer, le "patron" qui manquait à cette équipe...
Les comparaisons avec la politique sont, en revanche, malvenues... Il n'y pas de sauveur suprême, d'homme providentiel... Seul le peuple est maître de son avenir...

Achille

Bonjour,

Je n’ai pas vu le match de rugby opposant les Bleus à l’équipe d’Italie, mais d’après ce que j’ai pu en lire dans la presse, la victoire n’a tenu qu’à un fil, en fait un drop raté par le capitaine italien à la dernière minute.

Quand on sait que les rugbymen italiens n’ont jamais remporté de tournoi des six nations, qu’ils cumulent les cuillers de bois depuis leur entrée dans la compétition en l’an 2000, je me dis qu'il n'y a pas de quoi pavoiser.
Je préfère attendre les deux prochains matchs face à des adversaires un peu plus capés avant de me forger mon opinion.

A noter qu’en ce début d’année 2016, le fameux calendrier de rugbymen français les montrant dans la tenue d’Adam afin de faire fantasmer la gent féminine a été très discret.

Peut-être que nos "dieux du stade" ont préféré consacrer un peu plus de leur temps à mouiller le maillot à l’entraînement plutôt qu’à faire la pose devant un photographe de charme ne nous cachant rien de leur belle musculature... et même un peu plus.

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