Pour une fois je réagis avec beaucoup de retard mais je ne le regrette pas. La cause en vaut la peine. Il s'agit des égarements, des absurdes hiérarchies médiatiques. Comme, au sein même de l'univers des médias, l'excellence et le caractère unique et nécessaire sont relégués au profit d'une mousse people qui n'a pas la moindre incidence sur la qualité d'une émission.
J'avais pourtant regardé la "dernière" de "Ce soir (ou jamais !)" (CSOJ) le 20 mai 2016, avec la délicatesse finale de Frédéric Taddéï (FT) s'en allant avec élégance, sur la pointe de l'esprit et du talent.
J'avais conscience du manque qu'on allait subir mais j'étais rassuré par le fait qu'on lui avait proposé quelque chose d'autre et qu'au fond, comme lui-même n'avait pas poussé de hauts cris, tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes médiatique ! Pourquoi être plus royaliste que le roi, plus amer que l'intéressé lui-même ?
Un soir récent, le hasard a fait que j'ai découvert une critique aigre et partiale sur CSOJ de la part de Caroline Fourest et, comme le narrateur de Proust ayant du chagrin bien après la mort de sa grand-mère, je me suis rendu compte alors à quel point nous avions perdu.
Cet éveilleur, cet animateur, cette indépendante et pluraliste intelligence gouvernait dans la souplesse et l'urbanité CSOJ qui constituait un havre miraculeux de liberté d'expression, de vive contradiction et d'allure médiatique sur des chaînes plus habituées au promotionnel hilare et vulgaire qu'à cette tenue maintenue tout au long du temps sans que jamais le moindre dérapage ait contraint à une judiciarisation de tel ou tel propos.
J'aurais pu remâcher ma nostalgie tout seul malgré l'étrangeté de cet arrêt confirmant pourtant que les succès honorables valent moins que les tintamarres superficiels. J'aurais pu attendre sereinement que FT revienne.
Mais j'ai comparé. J'ai mis en perspective le peu d'écho de la cessation de CSOJ, infiniment préjudiciable à la pensée et à la liberté, avec la dramatisation grotesque et outrancière du départ de Claire Chazal de TF1 le 14 septembre 2015 d'autre part. Avec aussi l'arrivée de Léa Salamé sur ONPC de Laurent Ruquier puis avec l'annonce de son remplacement par l'une de ses amies, Vanessa Burggraf.
Il ne s'agit pas à nouveau de dénoncer la médiocrité professionnelle de certains - je l'ai déjà sans doute trop fait ! - mais de questionner l'ineptie interne de cet ensemble médiatique qui ne consacre pas une pensée, une ligne, un entretien de fond au traumatisme de la disparition de CSOJ avec les conséquences déplorables qu'elle va susciter pour la substance même de notre vie intellectuelle et démocratique mais s'emballe sur le sort de personnalités qualifiées d'emblématiques. Qui ont cette particularité d'aller ou de venir, d'être choisies, de demeurer ou de quitter sans que leurs mouvements aient la moindre incidence ni influence sur l'environnement et la qualité professionnels.
Certains ont pleuré le départ de Claire Chazal de TF1. D'abord elle a été vite recasée mais surtout, au-delà de l'apparence qui les distingue, personne de bonne foi ne peut soutenir que cette dernière a laissé dans l'espace de l'information un grand vide structurel, si j'ose dire, pas davantage qu'Anne-Claire Coudray aujourd'hui ne bouleverse l'économie du journal télévisé. C'est une affaire de visages. La société, privée de l'une ou de l'autre, ou demain d'un présentateur sémillant sur une autre chaîne, ne sera orpheline de rien de fondamental.
Ces observations sont évidemment applicables à Léa Salamé, à ONPC et à la surestimation constante de l'arrivée de tel ou telle comme si la République devait être enthousiaste ou s'attrister au regard du destin égoïste de journalistes qui suivront leur petit bonhomme de chemin et d'ambition et jouiront de la gratification narcissique et corporatiste que leurs pairs leur octroieront.
Mais Frédéric Taddéï, c'est totalement autre chose. Précisément parce que lui-même s'efface avec le retrait subtil de l'élégance, du véritable questionnement et de la discrétion, une immense place est laissée aux enjeux fondamentaux, aux problématiques centrales que CSOJ portait : la liberté de parler, le choix du pluralisme, l'exigence de contradiction, la pensée au-dessus de la ceinture, la courtoisie de la forme, la vigueur, voire la violence mais dans le respect de la loi. Un animateur qui est un journaliste et refuse le rôle de justicier. Il ne pense pas à la place de. Ces sujets nous concernent tous. Que l'exemplaire incarnation médiatique de ces valeurs ne devienne plus qu'un souvenir aurait dû mobiliser bien plus que l'écume de trajectoires personnelles. Ceux qui ne renvoient qu'à eux-même devraient être relégués au bénéfice des rares qui sont heureusement dépassés par des questions universelles sans la discussion desquelles notre pays médiatiquement mourrait de fins !
Je songe à une parabole dont la justesse m'est toujours apparue éclatante. Celle du comte de Saint-Simon qui en gros opposait les industriels, les chercheurs et les entrepreneurs à la futilité aristocratique et qui concluait que les premiers étaient nécessaires au pays et la seconde inutile.
Sans forcer sur l'anachronisme, j'appliquerais volontiers cette provocante analyse aux médias vus et promus par les médias.
L'essentiel qui est sacrifié et aurait été plus que jamais nécessaire est négligé et n'a guère suscité de réactions. Mais l'accessoire et le superficiel ont entraîné absurdement des flots de commentaires, d'hyperboles et de bruit.
Les égarements médiatiques.
@ eileen, Savonarole et consorts
Oh comme je vous suis à propos de Richard Millet… "Ma vie parmi les ombres" est un des plus beaux romans que j'aie lus ces dernières années. Et pas que ça…
L'ostracisme auquel le condamnent les bien-pensants est consternant.
Rédigé par : PJ | 17 juin 2016 à 17:14
@eileen | 17 juin 2016 à 07:24
Nous voici enfin d'accord !
Rédigé par : Savonarole | 17 juin 2016 à 16:53
Nouvelle devise du blog : donne-moi tes références, je te dirai qui tu es !
Par chance l'espace est supervisé par un Chef de Culture qui sait que la mieux digérée se défait des références et de ses citations.
Tout à votre honneur Monsieur Bilger.
Rédigé par : calamity jane | 17 juin 2016 à 14:59
Si personne n'a fait de vague au sujet de la disparition de cette noble émission (elle l'était encore malgré son affadissement cette dernière saison, sans doute dû à une pression sur le choix des invités...) je pense tout comme vous le suggérez dans votre billet que l'intéressé lui-même s'est contenté de partir sur la pointe des pieds. On ne pouvait attendre d'autre réaction de ce présentateur singulier, qui contrairement à nombre de ses confrères connaissait parfaitement l'oeuvre de ses invités.
L'audimat n'est pour rien dans cette affaire : qui va s'embêter à reculer son sommeil pour celle qui va lui succéder ? Non, on fait un foin d'une éviction lorsque le futur chômeur sort les tambours, point.
L'univers médiatique est ainsi fait que ses stars imaginent le succès de leurs émissions comme le reflet de leur talent, comme Ruquier pensait pouvoir virer Zemmour et Naulleau en conservant une bonne émission puisque sa vedette restait en place.
La suppression de "Ce soir (ou jamais !)" est un coup dur porté à ceux qui ne regardaient plus que celle-ci, même sur Internet...
Triste...
Rédigé par : Herman Kerhost | 17 juin 2016 à 12:18
@Achille 17/6/16 9:08
Richard Millet est un très grand écrivain, "Ma vie parmi les ombres" est un très grand roman... bien d'accord avec vous. Philippe Bilger devrait le soumettre à la question, il mériterait de figurer dans la youtubesphère !
Rédigé par : eileen | 17 juin 2016 à 10:07
Yves, on va se serrer dans le train de 8h47 !
Merci à Véronique Raffeneau à qui je dois la découverte de Richard Millet via "Ma vie parmi les ombres"...
La Corrèze, plus que le Zambèze, a produit Millet, Tillinac, Malaval, Bergounioux…
De temps en temps,Tillinac vient boire un blanc dans mon bistro du Cantal, à quelques hectomètres de sa chère Corrèze... le bougre est sympathique.
Rédigé par : sbriglia@Yves et Savonarole | 17 juin 2016 à 09:19
@ eileen | 17 juin 2016 à 07:24
« Comme quoi certains peuvent avoir des fulgurances :
Richard Millet est un très grand écrivain, mal connu, vilipendé par une certaine intelligentia composée d'une poignée de bobos germanopratins... »
Richard Millet est surtout connu pour son brûlot Éloge littéraire d’Anders Breivik qui est la cause de tous ses ennuis. Même si son ouvrage était destiné à fustiger la déferlante de migrants en Europe et non à célébrer le tueur norvégien, bien de ses pairs, intellectuels comme lui, lui ont reproché ce titre provocateur.
Il est des mots qu’il faut savoir utiliser avec discernement, surtout quand on est un écrivain.
Ceci étant je ne suis pas contre le fait qu’il soit soumis à la question par Philippe Bilger, cela permettrait de le connaître un peu mieux.
Rédigé par : Achille | 17 juin 2016 à 09:08
@Savonarole 16 Juin 2016 20.47 et 22.03
Comme quoi certains peuvent avoir des fulgurances :
- Richard Millet est un très grand écrivain, mal connu, vilipendé par une certaine intelligentia composée d'une poignée de bobos germanopratins...
- La "nécro" de Valls m'a fait rire... comme quoi on peut comme Savonarole adorer "sa chère Catalogne" et détester certains de ses "ressortissants"... comme Valls cet insupportable personnage et ses coups de menton permanents, syndrome ? ou TOC ? de ceux qui mesurent moins de 1,70m... Certes toucher au physique n'est pas loyal mais il y a des signes répétitifs, des similitudes qui ne trompent pas ! ahaha
Rédigé par : eileen | 17 juin 2016 à 07:24
@Savonarole 16 juin 20.47
Permettez-moi de monter dans le train de 8h47 (l'avez-vous choisi par hommage ?) et de m'associer à votre suggestion à Philippe Bilger d'inviter Richard Millet.
Rédigé par : Yves | 17 juin 2016 à 00:49
C'est pas du tout hors sujet.
Les condoléances de Manuel Valls sont une véritable calamité.
De David Bowie à Orlando puis aujourd'hui à Jo Cox, il enfile les perles.
Son staff de communicants lui met dans le bec des absurdités.
Pauvre clown à qui on dicte ses gags.
Il est inapte à l'émotion, il est très Catalan, froid et péremptoire.
On lui annoncerait demain la mort de Voltaire qu'il serait capable de tweeter que "c'est toute une histoire de la démocratie qui est mise à bas par cet insoutenable assassinat".
Un crétin, comme disait Onfray.
Rédigé par : Savonarole | 16 juin 2016 à 22:03
Ca y est il est de retour sur le devant de la scène, que du croustillant à venir, pas du Taddéï souple et lisse, bon spectateur de son émission.
Ce que veut le public c'est de l'Euro ou du croquant, le retour de DSK à l'antenne, notreplusgrandéconomistedumonde fait une sortie nouvelle, d'un côté rattrapé à la culotte (si l'on peut dire ainsi) pour un reliquat de l'affaire du Carlton, d'un autre côté pour ses immenses talents de gestionnaire que les médias n'arrêtent pas de nous vendre sans arrêt, à les écouter il devrait détenir tous les prix, notre brillant économiste.
Alors Taddéï et ses émissions gentillettes, agréables à l'oreille, ne pèsent rien en face d'infos sur la face cachée ou trouble du plusbrillantéconomistedumondequiauraitpusauverlaFrance.
Pour le deuxième, certainement un illusionniste mais certainement pas l'argentier décrit, Taddeï lui un honnête présentateur d'une tout aussi honnête émission pour la qualité, mais sans nougatine, or le téléspectateur aime ce goût pour le caramel qui colle un peu aux dents c'est beaucoup plus savoureux.
Rédigé par : Giuseppe | 16 juin 2016 à 21:45
@Yves | 16 juin 2016 à 16:36
Tout à coup, dans le flot des commentaires on trouve une perle.
Vous citez Richard Millet, étonnant bonhomme, j'ai lu plusieurs de ses livres, j'ai vécu comme lui dans les mêmes contrées, un homme remarquable, Philippe Bilger devrait l'inviter.
Rédigé par : Savonarole | 16 juin 2016 à 20:47
@ Frank THOMAS
"Continuez à nous donner des leçons fines, intelligentes et nuancées comme celle-ci."
Je ne donne jamais de leçons, je ne fais que des constats de notaire.
Rédigé par : Savonarole | 16 juin 2016 à 19:15
Quand une émission s'essouffle, il faut la remettre en question.
Ne craignez rien pour Taddéï, il va rebondir sur un concept renouvelé.
Rédigé par : Alex paulista | 16 juin 2016 à 17:51
Monsieur Bilger, vous le savez mais il est quelquefois nécessaire de rappeler les évidences : en télé, journalistes et animateurs sont tous et toutes interchangeables, tous et toutes sont capables de parler "avec une apparente conviction" de tout parce que tout simplement tous et toutes restent sur l'écume des sujets traités ; en cas de "panne" ils utilisent la formule appropriée "pour que nos téléspectateurs qui ne savent pas comprennent bien" formule usée par Yves Calvi.
Alors que leur reprocher ? De manquer d'ambition ? La télévision n'est pas le reflet de ceux qui la font mais de ceux qui la regardent, c'est le miroir du public saisi collectivement. Un produit totalement démocratique. On sait que la démocratie a bien des vertus mais jamais celle de générer de la qualité.
Rédigé par : eileen | 16 juin 2016 à 16:57
Comme beaucoup des pensionnaires (1) de ce blog, j'ai bien remarqué les qualités du présentateur de l'émission, accueillant et libéral avec ses invités.
Mais vous souvenez-vous :
- de la gêne provoquée par le trop grand nombre de participants, parfois ?
- de l'inépuisable bréviaire rouge/rose, dit par les spécialistes socio-démo-philo-historio du tout EHESS-CNRS-Fac de Vincennes ?
- de ceux qui passés par l'émission, et n'étant pas de la bonne mouvance, ont eu à pâtir de cette aventure ?
Richard Millet, licencié de son emploi chez un grand éditeur et banni des médias pour avoir dit qu'il ne se reconnaissait plus en France à 6 heures du soir, à la station de métro Châtelet, est-il revenu chez Taddéï ces dernières années ?
(1) pensionnaires ou sociétaires, selon le vocabulaire du Théâtre français ; ce n'est pas péjoratif.
Rédigé par : Yves | 16 juin 2016 à 16:36
@ Savonarole
"...bref, une vie de con, quoi..."
C'est bien ! Continuez à nous donner des leçons fines, intelligentes et nuancées comme celle-ci.
Madame de Simiane pensait égaler le génie de sa grand-mère en émaillant ses lettres de "ma bonne". Vous avez déjà les points de suspension céliniens. Courage !
Rédigé par : Frank THOMAS | 16 juin 2016 à 15:48
@Frank THOMAS | 16 juin 2016 à 12:26
C est drôle d'entendre un prof dire qu'il n'est pas de gauche ; vous avez dû souffrir auprès de 99,99999 % de vos collègues gauchistes qui ont dû vous ostraciser, vous placarder, vous isoler en vous qualifiant de réac facho de droite collabo... C'est ce qui se passe dans toutes les entreprises soviétiques de la fonction publique rouge, rôse et vert escrolo et celles à dominante CGT : mises en quarantaine des non grévistes, vestiaires défoncés, tagués, pneus crevés, etc. etc., enfants des grévistes interdits de jouer avec ceux des non grévistes, etc. etc. C'est du vécu mais censuré par les médias soumis ; eh oui, ça se passe chez nous, pas en Corée du Nord !
Allons, un petit effort, avouez que vous êtes gauchiste, sinon je sors la gégène !
Rédigé par : sylvain @ Frank THOMAS | 16 juin 2016 à 15:38
@Frank THOMAS
"Pour moi c'est la famille, les amis, à la folie ; les livres, la musique, les animaux, passionnément ; le jardin, la maison, les balades, beaucoup ; la sieste, un peu ; la télévision, pas du tout, parce qu'il faut dormir. Alors Taddéï..."
J'ai trouvé ! Vous regardez "La maison de France 5" !
Vous cocoonez, une vie lisse, pas de soucis, pas de problèmes, les copains, Saint-Malo, le barbecue, le petit rosé de Provence, bref, une vie de con, quoi...
Rédigé par : Savonarole | 16 juin 2016 à 14:48
Bonjour,
Il n'est jamais trop tard pour bien faire, et sommes j'imagine pourtant nombreux au moins ici à partager ce billet dans son intégralité.
Certes, on nous dira que personne n'est irremplaçable, la preuve étant étalée dans les cimetières. Mais des personnalités comme F.T. j'en redemande aussi.
La télé n'a que faire de moi, mais moi, je n'ai que faire d'elle. D'ailleurs je ne l'écoute ni la regarde que très peu. Et quand j'ai l'occasion de me brancher par exemple un quart d'heure au plus sur une émission du genre ONPC, quel régal d'éteindre le "poste" pour apporter mon grain de sable à la baisse de l'audimat !
Rédigé par : fugace | 16 juin 2016 à 13:50
@ sylvain
"...la lie de la fange socialiste : les profs, plus préoccupés par les plannings des manifs et les slogans de banderoles que la réussite de leurs élèves."
Moi y en a été prof. Jamais socialiste. Pas "de gauche". Pas manifestant porteur de banderole. Très attaché à la réussite de mes élèves. Dommage pour vous de n'en avoir pas fait partie. Vous n'auriez pas risqué cette cocasserie : "la lie de la fange".
Rédigé par : Frank THOMAS | 16 juin 2016 à 12:26
L'équation est simple :
Sensible à la pub = abruti
Donc : prix de la pub = audience par les abrutis
Donc : une bonne émission doit attirer les abrutis, comme un bon candidat aux élections doit faire penser aux abrutis qu'ils sont intelligents.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 16 juin 2016 à 10:14
Dans toutes les écoles de commerce, on explique cette formule rapide et très convaincante pour booster les élèves qui doutent de leurs choix commerciaux : "10 % de gens intelligents exploitent 90% de crétins !"
C'est pourquoi aujourd'hui ne perdurent que les émissions débiles "sous -cuculturelles" telles ces téléréalités et divertissements orientés de gauche qui font le buzz et rapportent du fric grâce à leur facilité d'absorption mentale par cette masse de moutons abêtis du système éducatif national socialiste formatrice de troupeaux arpenteurs de bitume, grévistes gauchistes, assistés professionnels, sociologues de gauche (pléonasme) syndicalistes staliniens options et mentions casseurs gauchistes et bien entendu la lie de la fange socialiste : les profs, plus préoccupés par les plannings des manifs et les slogans de banderoles que la réussite de leurs élèves.
Ruquier fait partie de la propagande gauchiste de l'abrutissement national, il a réussi au-delà de toutes espérances ; Taddéï n'intéressait qu'une infime partie de gens non endoctrinables donc pas assez productifs financièrement.
Tous les François Pignon de ce peuple veau sont contents, ite missa est !
Rédigé par : sylvain | 16 juin 2016 à 10:08
Pour moi c'est la famille, les amis, à la folie ; les livres, la musique, les animaux, passionnément ; le jardin, la maison, les balades, beaucoup ; la sieste, un peu ; la télévision, pas du tout, parce qu'il faut dormir. Alors Taddéï..
Rédigé par : Frank THOMAS | 16 juin 2016 à 09:55
Il me semble que M. Taddéï est membre du Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes et qu'il cumule avec un poste à Europe 1. Sa société de production a donc du travail.
Dans la vie, il faut travailler !
Rédigé par : vamonos | 16 juin 2016 à 09:52
@ eileen
"Comment un homme de la qualité de Monsieur Bilger peut-il encore regarder la télé avec autant d'assiduité ?"
C'est une question que je me pose aussi...
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 16 juin 2016 à 08:58
Taddéï beaucoup moins que Ruquier ? C'est normal, c'est même très significatif du niveau de délabrement mental d'une très grande partie de la population.
Chez Taddéï, seuls s'y rendent les gens intelligents, modérés, fins analystes, d'un niveau culturel bien supérieur aux crétins qui assistent aux messes gauchistes de Ruquier qui froufroute à foison, tortille du popotin, fait l'apologie et le prosélytisme du gauchisme bêlant et de son homosexualité hautaine et méprisante envers ceux qui n'appartiennent pas à sa... paroisse. Pathétiques chauffeurs de salles chez Ruquier qui donnent les coups d'envoi d'applaudissements quand un "facho réac droitiste frontiste" est débusqué et livré à la meute. Taddéï évite ce genre de guignol lourdingue éventé sauce gauchiste qui ne trompe plus personne.
Les incultes ignares suivistes décervelés se rendent chez Ruquier ; ceux qui veulent passer de bons moments de débats éclairés iront chez Taddéï.
Y en a vraiment ici qui n'ont encore "rien compris à la guerre d'Algérie !"
Rédigé par : sylvain | 16 juin 2016 à 08:27
Le défi de la télé est l'obligation (audimat oblige) de plaire à tous, c'est-à-dire et aussi aux moins-disants les plus nombreux qui n'ont jamais regardé CSOJ, émission tardive, et qui préfèrent et de très loin cette émission vulgaire et infecte de Hanouna que je ne connais que par le Zapping de Canal+.
Certains billets de Monsieur Bilger re. la télévision me surprendront encore longtemps quant aux commentaires -que je ne lis plus - ce sont ceux des "Anciens Combattants", moralisateurs, donneurs de leçons en tout genre, quand ce n'est pas "la vie rêvée du blogueur de base".
Comment un homme de la qualité de Monsieur Bilger peut-il encore regarder la télé avec autant d'assiduité, la télé est devenue l'opium du peuple, on reconnaît les téléspectateurs (de TF1 par exemple) à leur vocabulaire, à des formules TF1 "que du bonheur, faites-vous plaisir etc". La télé n'est plus qu'une sorte de café du commerce pour certaines chaînes, ou du bistrot de sous-sous-préfecture pour d'autres, du commérage répétitif fait de hurlements, l'objectif étant de faire du bruit... rien de plus.
Rédigé par : eileen | 16 juin 2016 à 07:41
Taddéï, combien de divisions ? Trois à quatre fois moins de téléspectateurs que Ruquier, voilà qui suffit à justifier l'indifférence dans laquelle son émission disparaît.
Face à la dispersion des spectateurs, entre TNT et Internet, les chaînes généralistes se condamnent à produire des programmes fédérateurs correspond au ratio marketing des 80-20 : le marché de masse porte sur 80% de la cible de spectateurs, les 20% représentant un marché de niche très coûteux à produire pour un maigre bénéfice immédiat.
C'est un calcul statistique stupide : tous les marketeurs savent que ces 20% de marché de niche sont les plus solides, les plus rentables mais aussi les plus exigeants en terme de qualité et d'innovation. Par facilité et souci de rentabilité immédiate, il paraît alors préférable de sacrifier cette minorité, d'autant plus que celle-ci, s'agissant de CSOJ, n'est pas consommatrice de ce qui est le plus rentable : l'access prime time ou les jeux. Ah, si les spectateurs de CSOJ avaient fait l'effort de se taper Plus belle la vie !
CSOJ était un parfait OVNI dans les programmes d'une chaîne généraliste, comme une enclave France Culture sur TF1 !
Et l'engouement médiatique est à l'aune de ces proportions, Taddéï ne pèse rien face au sort de Claire Chazal ou de Léa Salamé et cela sans qu'il soit besoin de se référer aux qualités professionnelles de chacun. L'influence incontestable de CSOJ sur le débat intellectuel n'est pas mesurable, les Unes de Match ou de Closer sur Chazal ou Salamé sont très mesurables. En euros.
Rédigé par : Jean-Dominique Reffait | 16 juin 2016 à 00:50
@Alex paulista | 15 juin 2016 à 23:28
Oui, moi aussi j'ai cru qu'il était mort, avec tous ces attentats et meurtres, et puis non, il est toujours vivant et va probablement enchaîner sur un job à 25 000 euros par mois ailleurs...
On a les héros qu'on peut...
Rédigé par : Savonarole | 16 juin 2016 à 00:39
Bonjour,
Un des gros problèmes avec les journalistes et animateurs de talk-show, c’est qu’ils accordent beaucoup plus d’importance à leurs questions qu’aux réponses de leurs invités.
Simple question d’ego surdimensionné qui caractérise cette profession.
Frédéric Taddéï sait rester à sa place, laissant ses invités s’exprimer pleinement.
Par ailleurs il n’hésite pas à inviter des personnalités un peu borderline qui sont superbement ignorées par ses collègues, tout simplement parce qu’elles ne rentrent pas dans le moule du politiquement correct.
Mais de nos jours ce qui compte dans une émission c’est d’abord les parts de marché. Une émission, fût-elle culturelle, avec des invités de qualité, dans la mesure où elle n’attire pas un large public, est condamnée.
La mode est à la téléréalité, aux séries américaines et aux jeux crétinisants. Les animateurs à la mode sont Nagui, Ruquier et Hanouna. Bref du lourd, du très lourd, avec beaucoup de pub autour.
De la malbouffe à la télé poubelle il n'y a qu'un pas qui a été franchi avec la TNT.
Rédigé par : Achille | 15 juin 2016 à 23:57
Mince, j'ai manqué un épisode. Taddéï est mort ?
Rédigé par : Alex paulista | 15 juin 2016 à 23:28
Frédéric Taddéï avait un ton très particulier et très apaisant.
Cela n'est pas donné à tous les journalistes et/ou animateurs.
Sa curiosité d'esprit et son humilité, qui se manifestaient notamment lorsqu'il interviewait ses invités, ne sont pas données à tout le monde.
Ne soyons néanmoins pas pessimiste, un homme (ou une femme) avec du talent retrouve souvent le chemin des plateaux, pour notre plus grand bonheur .
Bien à vous.
PS : J'ai hâte de vous lire lorsque la campagne présidentielle sera lancée.
Rédigé par : Prudhomes | 15 juin 2016 à 22:02
Dans le fond tout le monde se fiche de la disparition CSOJ, pourvu qu'il y ait l'Euro, les Marseillais, Cyril Hanouna, un peu de tambouille, et encore l'Euro. Plus que jamais on est dans ce que souhaitent les patrons de chaîne, le "cerveau disponible" qui avait fait hurler à l'époque... Eh bien ce coup-ci on a les pieds dedans, ou plutôt le cerveau sur la pelouse ou sur le sable, au choix.
Rédigé par : Giuseppe | 15 juin 2016 à 21:54
@ Denis Monod-Broca
"Et c'est ainsi qu'on enferme au nom de la liberté, qu'on fait taire au nom de la liberté d'expression."
Nous sommes en France, pays où on parle d'autant plus de la liberté qu'on n'y croit pas, ainsi pour la liberté d'expression, on y croit encore moins qu'à d'autres, malgré les apparences.
Car si on la veut pour se moquer des politiciens et des religions, on l'interdit pour se moquer des Noirs, Juifs, femmes et autres, dans le but de la vraie religion française, l'égalité.
Dans d'autres pays, le politiquement correct est surtout dans le but de défendre des victimes éventuelles. Chez nous, j'en doute. Pourquoi ? Parce que chaque fois qu'on parle de liberté, on dit "pour quoi faire ?" comme si la liberté était une espèce de monnaie à échanger selon les cas, la sécurité, l'égalité, la religion, le profit, et j'en oublie sans doute.
Pour le reste du monde, vous vous trompez tout autant, croyez-le ou non, mais il faudrait démontrer tout cela point par point, quelle barbe !
Rédigé par : Noblejoué | 15 juin 2016 à 21:17
Avant de fouetter un chat...
Au fait, ça va mieux, ça va pas mieux ou ça dégringole grave ?
S'il n'y avait que l'émission défunte de Taddéï un peu moins débile que la majorité des autres pour nous poser problème du fait de sa disparition de l'univers médiatique, ce ne serait pas trop grave, sinon dérisoire. Mais hélas, tel n'est pas le cas !
Rédigé par : Mary Preud'homme (l'arbre qui cache la forêt !) | 15 juin 2016 à 20:06
Seraye Yves | 15 juin 2016 à 18:35
Vraiment Hollande et sa smala sont des horreurs de l'humanité française !
Quelle drôle de phrase...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 15 juin 2016 à 19:35
Le foute, la télé, les mérites ou les défauts de monsieur Tartempion ou de madame Tartemolle alors que les barbares ont escaladé les murs de Byzance et se répandent dans la ville qu'ils commencent à mettre à feu et à sang...
@Denis Monod-Broca
Libéralisme, libre-échange, libertinage, libertarianisme... sont différentes formes de notre adulation de la liberté. Ils conduisent à la contrainte sinon à la soumission...
Assez bien vu.
Mais en fait les éléments que vous citez traduisent plus pour certains la recherche de la licence, consistant à suivre sa pente naturelle, que celle de la liberté, qui elle est exigeante.
Rédigé par : Exilé | 15 juin 2016 à 18:58
Bien d'accord avec vous, il va aussi beaucoup me manquer. J'aimais ces plateaux d'intellectuels et ces vrais débats.
La campagne électorale va faire rage à la rentrée et il faudra laisser la place à des journalistes plus consensuels, car il faut bien le dire Frédéric Taddéï avait un gros défaut aux yeux de sa hiérarchie, il invitait certes des interlocuteurs de qualité mais aux opinions trop diverses... et donc trop dérangeantes pour la pensée conforme et le politiquement correct.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 15 juin 2016 à 18:50
Une émission remarquable, une anthologie du savoir est morte car elle dérangeait le pouvoir qui ne veut que l'obscurité sur ses actes !
Frédéric Taddéï nous aura offert une leçon ponctuelle sur la vérité de ce qui se passe.
J'ai un chouchou parmi les "journalistes" c'est Michel Collon qui aura été l'un des invités de Frédéric Taddéï.
Revoyez ces "interviews" où un homme libre et d'une grande intelligence aura décrit ce qui se passe dans le monde.
Il est triste de voir interdire la vérité c'est-à-dire tout ce qui fait l'être et son devenir.
Vraiment Hollande et sa smala sont des horreurs de l'humanité française !
Rédigé par : Seraye Yves | 15 juin 2016 à 18:35
@ Savonarole
Désolé, je l'ai connu sous Canal+ et j'en avais déduit sa couleur politique.
Pour Mermet j'étais persuadé que c'était sous Sarkozy mais après vérification c'est bien lors de cette présidence, Pascale Clark, étonnant comme le disait Desproges.
Rédigé par : Jean-Marc | 15 juin 2016 à 18:04
@PHansen
Michel Onfray est remarquable lorsqu'il dit comme je ne cesse de le faire ici depuis longtemps qu'"il n’y a pas de civilisation sans le grand texte religieux qui la rend possible" (dans Marianne). Par contre dans son émission "Le monde selon Michel Onfray", il enchaîne les catastrophes !
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 15 juin 2016 à 15:18
La suppression dans l'indifférence générale de CSOJ - hormis pour ses téléspectateurs assidus - en dit long sur la médiocrité de la caste médiatique régnant sur la télévision et grands médias. Bien évidemment M. Philippe Bilger, je partage entièrement les propos de votre billet.
Rédigé par : Trekker | 15 juin 2016 à 15:12
Que viennent faire dans votre billet : Vanessa Burggraf, Claire Chazal, Anne-Claire Coudray, Léa Salamé ! par ordre alphabétique... Aucune de ces journalistes n'anime une émission dite intellectuelle, seule.
Bon, F. Taddéï a rencontré l'inimitable comédienne Claire Nebout en l'invitant à CSOJ ! Cela n'a pas d'importance ou peut-être est-ce normal ?
Sinon, il paraîtrait que CSOJ était un gouffre à pognon.
Rédigé par : calamity jane | 15 juin 2016 à 13:41
Nous baignons dans l'idéologie, et idéologie est synonyme d'aveuglement et de mensonge.
Il est difficile de définir une idéologie dans laquelle on baigne soi-même aussi intimement. Mais je crois qu'on peut dire que c'est une idéologie de la liberté. Libéralisme, libre-échange, libertinage, libertarianisme... sont différentes formes de notre adulation de la liberté. Ils conduisent à la contrainte sinon à la soumission... Mais les grands prêtres de cette religion de la liberté sont si convaincus qu'ils la défendent qu'ils ne peuvent pas comprendre qu'ils l'assassinent...
Et c'est ainsi qu'on enferme au nom de la liberté, qu'on fait taire au nom de la liberté d'expression.
Etre libre, c'est être libre. Adorer la liberté ce n'est pas être libre.
Difficile à admettre sans doute mais c'est ainsi.
On ne se méfie jamais assez des idoles qu'on se fabrique.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 15 juin 2016 à 13:15
@ Jean-Marc
Je ne pense pas qu'il soit de gauche, il est neutre.
C'est le Monsieur Loyal des cirques de notre enfance.
Être neutre en France est une galère. On vous soupçonne immédiatement, c'est le côté soviet des Français.
Le fameux "en somme" de Karel Bartosek, mots clés pour vous enfoncer, si vous dites ceci, c'est qu'en somme vous pensez cela.
La France n'a jamais été désoviétisée (K. Bartosek "Le livre noir du communisme").
Plus curieusement, c'est sous la gauche qu'une charrette d'idoles de gauche aura été conduite à la guillotine, voyez Pascale Clark, la madone des bobos de France Inter, Daniel Mermet, Didier Porte, Paul Amar et quelques gugusses de France Culture, Philippe Lefait, qui aux "Mots de minuit" sur France 2 n'invitait que la smala d'Abdelkader pour faire le procès de la France, avec Manu Dibango au saxo, il y avait de quoi se tirer une balle avec nos impôts... Souvenez-vous des cris d'orfraie lorsque Sarkozy a demandé à Philippe Val le licenciement de France Inter de Didier Porte et Stéphane Guillon, sous la gauche ça fait pas une vague...
En revanche, la gauche a placé dans chaque émission populaire un commissaire du peuple, partout où il y a de l'audience.
Nicolas Domenach sur Canal et RTL, Jean-Jacques Bourdin, Patrick Cohen dans C à vous, Renaud Dély sur Arte, Serge July, Laurent Neumann, qui ne sait plus ou il habite tant ses participations à la gloire de la gauche sont étendues.
Et ce n'est pas en nous exhibant le sinistre Ivan Rioufol du Figaro qu'on va me convaincre du contraire.
Rédigé par : Savonarole | 15 juin 2016 à 12:26
La liberté d'expression a cessé dans les années 92-93, 1792-1793 ; l'étau se resserre sans cesse depuis 1945, et de nos jours plus que jamais depuis la loi Gayssot, jusqu'à la fin annoncée de la liberté d'enseignement.
Pour la pègre intellectuelle, il est logique que les débats n'aient lieu qu'à la marge, entre soi. "On ne peut pas laisser dire que..."
Par contre, nous sommes encore autorisés à ne pas regarder la farce, et à ne pas voter à gauche - encore que.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 15 juin 2016 à 11:55
En toute sincérité, je n'ai rien compris à ce billet, sauf qu'il y a une grande pagaille, que les gens qui pensent sont renvoyés, mais ceux qui ne pensent pas, ou mal, aussi, comme Elise Lucet, la championne de la non information ou Claire Chazal qui n'avait rien d'autre que sa figure pour plaire.
Ne regardant que très peu la télévision, la machine à décérébrer ne m'atteint guère, je crois.
Et puis, c'est tellement bon de voir un pays pourrir par la tête. Les ganaches gouvernent, les oscillographes branlent du chef, tout va bien, les sucreries obstinées des gens bien ne prévalent pas contre les briseurs d'hôpital.
La canaille est à la tête de l'Etat, et les ministres intègres sont soldés par l'étranger et les adeptes du croissant.
Comprenez-vous pourquoi on vend encore des croissants dans les pâtisseries ? C'est une insulte à l'Islam, ergo, les djihadistes doivent tuer les pâtissiers plutôt que les policiers, mais l'étrange lucarne continuera à nous prodiguer ses fadaises, ses informations tronquées, cette langue melliflue qui néglige une assassin prédicateur dévidant, devant le cadavre de sa victime sa profession de foi : tuer, tuer, tuer, tuer encore et toujours.
C'est ce que fit un jour un certain petit père Adolf et la télévision ne peut pas supporter que ce genre de vérité soit porté à la connaissance du vulgaire. Alors, dansez avec Nagui, pouffez avec Ruquier, indignez-vous avec le sinistre Caron, mais surtout ne pensez pas.
Je gage que Frédéric Taddéï sera bientôt dans un emploi autrement valorisant et qu'il saura, avec la même civilisation, regarder de très haut les ilotes du présent.
Rédigé par : genau | 15 juin 2016 à 11:30
Si on en vient à virer les animateurs de gauche, il faut comprendre les raisons sous-jacentes.
C'est vrai qu'il est intelligent et laisse la parole à tous, mais lorsqu'il est partisan d'une chose, le doute n'est plus.
Pour vous consoler vous pouvez l'écouter tous les soirs sur Europe1 à 20h.
Rédigé par : Jean-Marc | 15 juin 2016 à 10:51
C'est une affaire de visages. La société, privée de l'une ou de l'autre, ou demain d'un présentateur sémillant sur une autre chaîne, ne sera orpheline de rien de fondamental.
Il faut effectivement comprendre que les présentateurs se contentent de présenter - comme l'aurait dit monsieur de La Palice - un paquet d'informations (ou de désinformations) préparé en amont par une équipe spécialisée dans cette tâche (ou besogne).
Rédigé par : Exilé | 15 juin 2016 à 10:46