Ce titre, dans sa brutalité, pourrait laisser croire à une insensibilité de ma part. Ce n'est évidemment pas le cas mais il renvoie à la trop fréquente et terrible désillusion qui accable les victimes ou leur famille quand, espérant beaucoup de la cour d'assises, elles se retrouvent pourtant enfermées dans une douleur forcément étrangère aux coupables.
Il y a des poncifs qui sont imprégnés de compassion et d'une psychologie à la mode mais dont la banalisation est dangereuse et les effets dévastateurs. Parce qu'ils suscitent des fantasmes de consolation qui ne surgiront jamais du côté des criminels.
Qui n'a pas entendu, à la suite de tragédies de toutes sortes, ces expressions reprises et exploitées comme si elles constituaient une sorte de terreau obligatoire et de fonds commun : le deuil, pouvoir faire son travail de deuil, qu'on m'aide à faire mon travail de deuil... Elles ne sont pas ridicules malgré leur caractère mécanique et répétitif parce que les drames qui les inspirent ne sont malheureusement que trop vrais.
Je ne peux m'empêcher cependant d'éprouver une pitié anticipée quand je lis cette phrase de Marie-Rose Biétry, la mère de Christelle tuée en 1996 : "Il me doit la vérité sur la mort de ma fille". Elle fait allusion à Pascal Jardin accusé de meurtre et de viol et qui comparaîtra bientôt aux assises. Après avoir avoué, il semble s'être rétracté, malgré des analyses ADN, mais là n'est pas l'essentiel (Le Parisien).
Cet homme qui initialement s'était déclaré incapable d'expliquer son geste n'aura pas d'autre souci, demain, face à ses juges professionnels et populaires que de sauver sa mise et grâce à son avocat d'obtenir, s'il est déclaré coupable, la peine la moins lourde possible.
Je prévois déjà dans ma tête et en raison de mon expérience la plaidoirie qui sera prononcée.
Pascal Jardin, comme beaucoup d'accusés convaincus d'avoir perpétré un pire qui a dévasté des familles, même s'il revient sur ses dénégations, ne se sentira en aucun cas débiteur d'une quelconque "vérité" dont la formulation serait bienfaisante pour la mère de la victime. L'autarcie inévitable de cet homme pour sa propre sauvegarde et la capacité de malfaisance dont en 1996 il aurait fait preuve rendent inconcevable un souci qui dépasserait sa propre personne.
Coupable, il ne donnera rien à la mère de Christelle mais au contraire n'exigera que de la mansuétude ou, au comble de ses voeux, un acquittement.
Au-delà de cette démarche purement utilitaire, j'ai remarqué en de rares circonstances que des accusés même désireux d'aider à la restauration de ce qu'ils avaient détruit étaient impuissants ; parce que, constituant un insoluble mystère pour eux-mêmes, ils ne peuvent pas élucider celui qu'on leur impose d'éclairer.
Si une cour d'assises se laissait entraîner sur ce terrain de l'apaisement du deuil, elle manquerait son objectif fondamental qui est d'acquitter si l'innocence ou le doute l'emportent ou de condamner à hauteur du forfait.
Il y a des parties civiles qui sont tentées d'influencer sur ce plan ou des avocats qui essaient de faire jouer à leur client un rôle d'odieux manipulateur. Me Ursulet, lors du procès de Guy Georges, a cherché à faire de celui-ci le maître des débats en laissant espérer tout de lui. Heureusement le piège et donc cette indécence ont été en définitive évités.
A supposer que Pascal Jardin doive "la vérité" à la mère de la victime, il faudrait craindre que la cour d'assises se déplace de l'essentiel vers une périphérie douloureuse mais impossible à satisfaire.
Au fond, il devrait y avoir un point commun entre le coupable et sa victime, entre les accusés et les familles effondrées des victimes : l'exigence absolue de justice. On imagine comme les cours d'assises ont besoin du peuple pour relever cet exaltant et nécessaire défi.
@ popeye
C'est pour vous faire plaisir :
"...Quand le Fils de l’Homme au Calvaire,
Premier témoin de Dieu, sur sa croix expira,
Le rideau ténébreux du sombre sanctuaire
Dans le temple ébranlé du coup se déchira ;
Le jour entra tout pur dans l’ombre des symboles,
Les fantômes sacrés d’Oreb et de Sina
Pâlirent aux éclairs des nouvelles paroles.
Et le passé s’illumina !
O Christ, n’était-ce pas ton signe ?
N’était-ce pas pour dire à l’antique maison
Que de voiler le jour nulle arche n’était digne ;
Qu’une aube se levait sans ombre à l’horizon ;
Que Dieu ne resterait caché dans nul mystère ;
Que tout rideau jaloux se fendrait devant toi ;
Que ton Verbe brûlait son voile, et que la terre
N’aurait que ton rayon pour foi ?
Nouveaux fils des saintes demeures,
Dieu parle : regardez le signe de sa main !
Des pas, encor des pas pour avancer ses heures !
Le siècle a fait vers vous la moitié du chemin.
Comprenez le prodige, imitez cet exemple ;
Déchirez ces lambeaux des voiles du saint lieu !
Laissez entrer le jour dans cette nuit du temple !
Plus il fait clair, mieux on voit Dieu !..."
Alphonse de Lamartine — Recueillements poétiques
À M. de Genoude,
sur son ordination.
Rédigé par : Aliocha | 19 juin 2016 à 09:57
@ Popeye
Non, toutes les religions sont humaines et le christianisme n'est en rien une religion. Et je ne m'intéresse pas aux religions orientales dont les effets sont mineurs en France.
Rédigé par : Garry Gaspary | 18 juin 2016 à 11:04
Les bonnes blagues de la Madame pseudophobe !
J'ai bien écrit "qui la quittent en silence" !
J'ai bien écrit "fières, fiers d'en être"...!
Vous êtes lamentable de grossièreté et votre niveau de compréhension est dérisoire. Fichez-moi la paix.
Rédigé par : calamity jane | 17 juin 2016 à 20:05
@ Aliocha
Vous devriez reproduire des poèmes de Rabindranath Tagore ou tout simplement les poèmes des auteurs français.
A moins que demain vous ne désiriez les écrire dans la langue de Mahomet.
Rédigé par : popeye | 17 juin 2016 à 15:34
"Autrement dit ce sont celles et ceux qui l'aiment qui partent..." (cj 14:52)
A commencer par ces milliers de jeunes qui partent faire le djihad sans doute ?!! De grands amoureux de la France - assurément - qui vont revenir un de ces quatre, kalach en bandoulière et ceinture d'explosifs pour faire le grand nettoyage au nom d'Allah !!!!!!!!!!
Rédigé par : Mary Preud'homme | 17 juin 2016 à 15:34
"La France tu l'aimes ou tu la quittes" point barre.
Laissons donc de côté celles et ceux qui aiment profondément la France et qui la quittent en silence. Parmi lesquels bon nombre contribua à son redressement, en tout cas a partagé ses peines et joies. Celles et ceux qui en furent fières, fiers d'en être parce que d'après ses
lois d'égalité, liberté, fraternité que demander de plus pour vivre ensemble.
Autrement dit ce sont celles et ceux qui l'aiment qui partent.
Mais comme il est dit qu'il n'est pas de chagrin à quitter ceux que l'on aime parce qu'on les emporte avec soi... elles, ils quittent une forme de haine qui s'installe.
Rédigé par : calamity jane | 17 juin 2016 à 14:52
@ Garry Gaspary | 17 juin 2016 à 08:33
En somme, pour vous, toutes les religions sont bonnes sauf le christianisme.
Et l'hindouisme et le bouddhisme ? Ils n'apparaissent pas dans votre accusation.
Vous n'avez pas répondu à ma question du 16 juin 2016 à 11:51 : "quelle est votre religion ?" - à moins que vous n'ayez honte de le dire ?
Rédigé par : Popeye | 17 juin 2016 à 12:31
Le temple dont parlait Jésus, c'était son corps.
Donc le nôtre, de temple, et de corps, si nous trouvons la juste distance, entre judaïsme et islam, de la charité. La christianisation permet alors aux danseurs de fil que nous sommes, fil de l'amour du prochain, de ne pas tomber dans l'enfer réciproque du jugement, et de l'aimer, ce prochain, comme nous-même.
Mais, pour cela, il faut avoir la capacité de renoncer aux idées fausses de sa propre supériorité, au romantisme de se croire différent et autonome, à cette illusion millénaire et menteuse qui mène l'humanité à sa perte.
Désir insatisfait (LV)
Je suis absent et le désir alors
Fait s’éteindre mon âme.
La rencontre ne me guérit pas,
Car il persiste dans l’absence et la présence !
Sa rencontre produit en moi
Ce que je n’avais point imaginé.
La guérison est un mal nouveau
Qui provient de l’extase.
Car moi, je vois un être,
Dont la beauté s’accroît,
Éclatante et superbe,
À chacune de nos rencontres.
On n’échappe pas à une extase
Qui se trouve en affinité
Avec la beauté s’intensifiant
Jusqu’à l’harmonie (nizhâm) parfaite.
Ibn'Arabi, l'interprète des désirs.
Rédigé par : Aliocha | 17 juin 2016 à 10:05
Deux grands dangers menacent la France :
- Le terrorisme islamiste : l'islamoterrorisme qui gagne du terrain face à nos petites nations frileuses laxistes complices et soumises.
- Le terrorisme syndical incarné par la CGT et ses cousins batards antifas casseurs d'extrême gauche qui détruisent l'économie du pays : le Cégéterrorisme.
Mais comment faire quand un Etat est figé de trouille face aux ligues et meutes droits de l'hommistes, aux merdias de gauche, aux intellos bobos parigots de gauche, aux associations antiracistes gauchistes, aux juges rouges du SM mur des cons, aux élus FDG NPA, toute cette smala nauséabonde qui crache son venin sur la France, qui surveille, guette et dénonce les moindres faits et gestes "excessifs" des forces de l'ordre mais qui jamais ne condamne les casseurs, les appels à la haine, les destructions ?
J'ai une solution radicale : enfiler les casques et les bottes et remettre au pas toutes ces ordures par la force ; toute autre méthode sera vaine.
Rédigé par : sylvain | 17 juin 2016 à 09:17
@ Popeye
Les vraies religions sont celles qui humanisent l'être par l'acte, celles qui créent l'individualité face à la divinité (judaïsme, islam) ou face au monde (athéisme). La christianisation n'est qu'abrutissement, beaufisation qui créent la communauté qui fuit l'individualité et le monde par l'idéalisation, autrement dit, par une représentation du monde qui n'est en rien factuelle : négation totale de l'individualité par sa culpabilisation, vérité qui n'en est factuellement pas une, justice qui n'en est factuellement pas une, charité qui n'en est factuellement pas une, etc., bref, langage, parler, philosophie qui ne sont fondées que sur le néant.
Il fut un temps où la christianisation avait un effet sur les vraies religions. Mais force est de constater que ce temps est révolu...
Il a fallu deux mille ans pour que l'Eglise archaïque s'effondre et renaisse de ses cendres dans l'Etat moderne. Et il n'a fallu guère plus de deux cents ans pour que l'Etat moderne s'effondre à son tour.
Le temps s'accélère...
Rédigé par : Garry Gaspary | 17 juin 2016 à 08:33
@Seraye Yves | 16 juin 2016 à 18:53
"Oui mais il faudrait d'abord virer du pouvoir Hollande et ses complices... car c'est là que tout se fermente et se met en application.
Hollande n'a pas été choisi par erreur par ceux qui l'ont "amené" à l'Elysée, ils savaient qu'il obéirait aux ordres et qu'il n'y a qu'une chose qui l'intéresse dans la vie "sa petite personne"."
Si vous remplacez "Hollande" par "Sarkozy", le fond de votre commentaire ne changera en rien... !
Rédigé par : Deviro | 16 juin 2016 à 23:10
@ anne-marie marson
"Est-ce que sans le savoir, nous ne sommes pas tous désormais fichés "M" (comme Mécréant ou Maudit), ou fiché "P" (comme Policier) ?"
Je n'en sais rien. Ce que je sais, c'est que puisque nous n'avons pas le droit de porter d'armes, à part les policiers, certes premiers menacés, sous sommes sans défense. Ce qui ne peut que donner une mentalité de soumis. A qui ? Dans le meilleur des cas, à l'Etat, comme si avec le non équilibre des pouvoirs et la soif d'homme providentiel, nous n'étions pas assez dans une position de sujet et non de citoyen. Ou pire, aux terroristes. L'homme est un animal à outil, sans l'outil de violence face à des violents, il est réduit à la condition donc à la mentalité de proie. On a parlé de finlandisation de nations faibles face à l'URSS, on peut dire finlandisation des citoyens par la menace terroriste.
On dira que je ne fais pas confiance à l'Etat. Quand on voit que le Président actuel fait une loi Travail où il y a inversion des normes quand il s'était engagé à ne pas le faire, quand on voit qu'on passe une loi en catimini pour étendre la nationalité française en plein afflux de réfugiés se comportant plus mal que ne le firent jamais d'autres réfugiés, eh bien, je dis qu'il n'y a pas de quoi avoir confiance... De toute manière, nos dirigeants d'autrefois, quand je lis la nostalgie politique ici, je ne vois pas de quoi, n'ont pas su nous éviter l'Occupation. Gabegie.
Rédigé par : Noblejoué | 16 juin 2016 à 22:05
@ Seraye Yves | 16 juin 2016 à 18:53
Encore faudrait-il que ceux qui l'ont élu reconnaissent leur énorme bourde doublée d'aveuglement (d'autant plus incompréhensible et fautif s'ils se revendiquent de droite). Un choix par défaut uniquement dicté par la haine de Sarkozy. Le plus grave, c'est que certains s'apprêtent à récidiver en raison (ou déraison) de la haine irrationnelle du même, alors que la patrie en danger devrait au contraire amener à la prise de conscience et au rassemblement de toutes les bonnes volontés décidées à faire échec à la lèpre islamo-gauchiste qui nous enserre de toutes parts et menace de détruire notre civilisation et nos valeurs pour y substituer les leurs, en premier lieu l'adhésion au djihad. En somme nous reconquérir de l'intérieur comme je l'ai souvent entendu dire, naïvement, à Evry ou ailleurs, par des gamins ignares auxquels on avait bourré le crâne dans les mosquées. Il en est hélas de même de nombre de nos curés et évêques ralliés qui se laissent prendre à ces nouveaux discours trompeurs sur la prétendue proximité et tolérance des héritiers de la religion du Livre. Autant de naïfs qui, sous couvert de charité chrétienne, en viennent à pactiser avec les tenants les plus rétrogrades de l'intégrisme musulman censés représenter le dernier rempart contre l'athéisme, alors qu'il ne sont en fait que leurs ennemis jurés et de ceux qui aliment en tout premier lieu les guerres saintes, l'antisémitisme et massacrent les chrétiens de par le monde, notamment ceux d'Orient. Une réalité que beaucoup auraient intérêt à découvrir et à méditer pour en saisir tout le sens et la dangerosité aliénante. En lisant et relisant par exemple les œuvres de Jacques Ellul que j'ai souvent cité et qui s'avère avoir été, au fil de ce que je constate d'années en années, un grand visionnaire, hélas méconnu et snobé. Se souvenir en particulier de sa prédiction (hautement prémonitoire) des avanies qui allaient bientôt s'abattre sur notre pays (dont le déferlement islamiste allié à cette subversion de reconquête avec l'aval bienveillant d'une partie de la hiérarchie catholique), avertissement qui est hélas devenu une réalité et menace de saper aujourd'hui à plus ou moins court terme les plus sûrs fondements de notre civilisation judéo-chrétienne.
Par ailleurs, parfaite votre lettre du 14 juin dernier à FH, mais la lira-t-il et quelle sera la réponse bateau faite par l'un de ses nombreux chargés de mission affectés à la tâche de dépouiller les innombrables missives adressées à ce roi Pétaud qui semble n'avoir que faire des suppliques et innombrables doléances adressées par des sans-dents !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 16 juin 2016 à 21:33
@ Robert
"En écho à votre conclusion, Monsieur Bilger : "il devrait y avoir un point commun entre le coupable et sa victime, entre les accusés et les familles effondrées des victimes : l'exigence absolue de justice. On imagine comme les cours d'assises ont besoin du peuple pour relever cet exaltant et nécessaire défi"
Je retiens ce cri du cœur de Philippe Bilger : "On imagine comme les cours d'assises ont besoin du peuple pour relever cet exaltant et nécessaire défi".
Le problème c'est que nos cours d'assises sont sourdes aux cris du peuple... ce cri est justice par-dessus tout... que les coupables soient véritablement punis... que les peines infligées ne soient plus réduites... que les avocats ne soient plus une entrave à la justice... que les procureurs n'obéissent plus au pouvoir débile qui nous condamne tous à l'injustice !
Nous sommes un pays, une ethnie à la dérive et qui du fait de sa situation actuelle vivra sous la tutelle d'autres populations et d'autres lois !
Le problème est là, une justice inopérante est celle d'un peuple en déconfiture !
Que la justice fasse son mea culpa et combatte le pouvoir politique au lieu de lui obéir et alors nous pourrons commencer à espérer... mais il est trop tard. La mutation vers l'absurde est en marche et notre pays va disparaître !
Rédigé par : Seraye Yves | 16 juin 2016 à 19:43
@ Mary Preud'homme | 16 juin 2016 à 18:11
"Quant à faire le ménage c'est à l'Etat de s'y coller en commençant par mener une guerre sans merci à l'Islam radical qui gangrène outre la société, nombre de nos institutions. Exiger en outre des musulmans de France qu'ils collaborent pour mettre un terme à toute cette propagande antifrançaise diffusée dans les mosquées"
Oui mais il faudrait d'abord virer du pouvoir Hollande et ses complices... car c'est là que tout se fermente et se met en application.
Hollande n'a pas été choisi par erreur par ceux qui l'ont "amené" à l'Elysée, ils savaient qu'il obéirait aux ordres et qu'il n'y a qu'une chose qui l'intéresse dans la vie "sa petite personne".
Rédigé par : Seraye Yves | 16 juin 2016 à 18:53
En écho à votre conclusion, Monsieur Bilger : "il devrait y avoir un point commun entre le coupable et sa victime, entre les accusés et les familles effondrées des victimes : l'exigence absolue de justice. On imagine comme les cours d'assises ont besoin du peuple pour relever cet exaltant et nécessaire défi", ce besoin d'une Justice rigoureuse, notamment pour la défense des principes fondamentaux de notre système institutionnel, l'entretien fait par Jean-Paul Brighelli de Lydia Guirous, auteur de "Je suis Marianne" me semble en montrer les insuffisances ressenties par les membres de ce Peuple français si peu écouté de nos politiciens :
http://blog.causeur.fr/bonnetdane/%c2%ab-je-suis-marianne-%c2%bb-001202.html
Rédigé par : Robert | 16 juin 2016 à 18:53
@anne-marie marson
Ce n'est pas très difficile de suivre un policier jusqu'à son domicile ou de guetter sa sortie au petit matin. Ce qui est plus rare c'est de s'en prendre aussi, physiquement, à son entourage. Jusqu'alors les proches d'un policier connu et opérant surtout en sécurité publique faisaient plutôt l'objet de menaces, intimidations (tags sur leur voiture, pneus crevés ou vitres brisées). Il est vrai aussi que l'on recommande aux enfants de policiers opérant dans certaines zones de dissimuler le métier de leurs parents sinon c'est l'enfer !
Dans le cas de ce commandant de police (et non commissaire) il faut bien admettre que l'on a franchi un palier dans la crapulerie en le poignardant sauvagement puis en allant tranquillement égorger sa femme à leur domicile en présence d'un enfant de trois ans...
On sait aussi qu'il y a des listes de policiers, gendarmes etc. qui ont un contrat sur leur tête... Il serait donc temps de se réveiller et de traquer sans relâche les commanditaires de ces futures tueries ! Quant à faire le ménage c'est à l'Etat de s'y coller en commençant par mener une guerre sans merci à l'Islam radical qui gangrène outre la société, nombre de nos institutions. Exiger en outre des musulmans de France qu'ils collaborent pour mettre un terme à toute cette propagande antifrançaise diffusée dans les mosquées et salles de prières et s'engagent à faire respecter partout la laïcité. Et ceux qui ne sont pas d'accord, narguent, harcèlent et menacent les personnels qui ont pour mission de faire respecter la loi, dehors et sans billet de retour ! Etre aussi beaucoup plus exigeant concernant l'acquisition de la nationalité française...
"La France tu l'aimes ou tu la quittes !" Point barre !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 16 juin 2016 à 18:11
@Mary Preud'homme | 14 juin 2016 à 21:27
"D’après une source policière, Larossi Abballa faisait l’objet de plusieurs fiches S (pour « sûreté de l’Etat ») établies par la DGSI et la SDAT. « C’est le cas de milliers de personnes en France et ce n’est pas une preuve de culpabilité », est-il précisé. Par qui ?
Pas une preuve de culpabilité jusqu'au passage à l'acte, hélas, où les mêmes qui nous ont affirmé main sur le cœur que les fichés S n'étaient pas potentiellement dangereux viendront nous dire le contraire à la prochaine action terroriste et jouer les indignés et les défenseurs zélés de l'ordre et du droit !
Au fait le commandant de police Salvaing avait deux enfants, un étant issu d'une précédente union."
Ce qui m'inquiète, c'est que ce commissaire de police ait pu être repéré, surveillé jusqu'à chez lui par son assassin. C'est donc un crime prémédité.
La maman d'un policier m'avait dit un jour que son fils, devenu policier, avait déménagé pour qu'on ne sache pas qui était sa famille. Elle était très au courant de la situation à venir.
Est-ce que sans le savoir, nous ne sommes pas tous désormais fichés "M" (comme Mécréant ou Maudit), ou fiché "P" (comme Policier) ?
Est-ce que Google Map et Google Car n'ont pas aidé les terroristes des terrasses et du Bataclan à faire des repérages ?
Rédigé par : anne-marie marson | 16 juin 2016 à 15:44
Pour compléter mon post du 15 juin 18:34
Il va de soi que si des dégradations avaient été causées par des manifestants syndicalistes et non des "casseurs professionnels", les responsables syndicaux, organisateurs de la manif et de quelque chapelle qu'il soit, doivent formellement dénoncer ce genre de conduite et exclure les fauteurs de trouble de leurs syndicats.
Chacun ayant le devoir de mettre de l'ordre dans sa boutique pour rester crédible.
Rédigé par : Jabiru | 16 juin 2016 à 14:23
Je ne souhaitais initialement pas réagir à ce billet et aux commentaires. Toutefois, vous faites là, Monsieur Bilger, œuvre de magistrat. Certes un procès en assises n'est pas destiné principalement aux victimes pour les "aider à faire leur deuil", expression livrée ad nauseam par les médias comme si ce devait être là la fonction de la Justice.
Il reste un aspect que vous n'évoquez pas : la fonction pédagogique du procès en assises, dont l'une des facettes est de donner un exemple de la justice qui passe, avec sa dureté légale. Or on ne peut que constater qu'à présent les sanctions, même en assises, n'ont plus aucune fonction dissuasive.
Je viens de lire un article de Marc Rameaux intitulé : "Inverser la peur",
http://le-troisieme-homme.blogspot.fr/2016/06/inverser-la-peur.html .
J'ai fait le lien avec votre billet en me posant cette simple question : devra-t-on attendre que cette femme admirable soit assassinée pour traduire les auteurs en cour d'assises et avec quelle sanction ? Faudra-t-il, comme pour le couple de policiers dernièrement assassiné, voir les responsables politiques et autres sociologues toujours prompts à des explications compassionnelles, psychologisantes et socio-économiques verser des larmes de crocodile et laisser la situation continuer sans changement de fond ?
Oui notre société est malade, moribonde et prête soit à l'asservissement par ses élites, soit à l'éclatement ou à la guerre civile par défaut de références et abandon du principe même d'autorité. Elle en crève par la grâce de nos sociologues et politiciens apprentis-sorciers béats et toujours satisfaits d'eux-mêmes.
Rédigé par : Robert | 16 juin 2016 à 12:22
@ Garry Gaspary 16 juin 2016 à 09:50
"Mais les vraies religions résistent d'autant mieux à cette christianisation qu'elle n'a effectivement jamais été aussi ouvertement faible et fragile."
Puis-je vous demander quelle est cette vraie religion que vous nommez et qui est probablement la vôtre ?
Rédigé par : Popeye | 16 juin 2016 à 11:51
@ Seraye Yves
Le Christ est non seulement mort en France, mais il n'y a surtout jamais été vivant. La France est avant tout la fille aînée de l'Eglise. Et l'Etat n'est rien d'autre que la sécularisation de l'Eglise qui aurait, sans elle, disparu. La séparation de l'Eglise et de l'Etat n'est que ce qui a permis la survie de l'Eglise dans l'Etat.
C'est ce qui explique que la foi de frère Nebout en l'Eglise soit parfaitement identique à celle de frère Paulista en l'Etat.
C'est ce qui explique que des couples gays aient obtenu de l'Etat ce que l'Eglise leur avait toujours refusé.
C'est ce qui explique que le pape actuel qui se prend pour le Christ soit excommunié par les chrétiens de France parce que sa doctrine est contraire à celle de l'Etat français.
C'est ce qui explique que tous les tenants d'un Etat fort ne cessent d'invoquer les racines chrétiennes de la France, ne cessent de rappeler qu'avoir hier été soumis à l'Eglise, c'est aujourd'hui être soumis à l'Etat.
C'est ce qui explique que la laïcité à la française reste en fait une tentative de christianisation des vraies religions de France. Mais les vraies religions résistent d'autant mieux à cette christianisation qu'elle n'a effectivement jamais été aussi ouvertement faible et fragile.
@ vamonos
Je sais ce qu'est la charité et vous ignorez tout de ce qu'est la charité chrétienne.
Rédigé par : Garry Gaspary | 16 juin 2016 à 09:50
@Garry Gaspary
"Mais notre hôte se trompe sur la fonction de la charité chrétienne qui n'a jamais été de soulager la douleur de ceux qui souffrent mais bien de souligner l'innocence de l'Eglise dans cette souffrance, puisque l'Eglise étant la communauté du Bien absolu, aucune souffrance ne peut en découler."
On reprend depuis le début. La charité est l'amour du prochain sans rien attendre en retour.
La charité chrétienne est un type d'action qui se situe à l'opposé d'un assassinat réalisé par un terroriste musulman qui égorge une innocente en espérant obtenir en récompense une place au paradis.
Je ne désespère pas de raviver la flamme de l'esprit sain qui est en sommeil dans le corps de Garry Gaspary.
Rédigé par : vamonos | 15 juin 2016 à 23:32
@ Jabiru
La Hollandie et le PS vivent leurs derniers moments (crapuleux) et tentent tout et n'importe quoi pour survivre de leurs larcins, leurs subterfuges, leurs tromperies, leurs soumissions à d'autres !
Nous devrions collectivement avoir honte d'être dirigés par de telles erreurs de la nature !
J'ajoute qu'il m'est insupportable de savoir que Hollande à la fin de sa "magistrature" (fumiste) aura droit à plus de 35 000 € de retraite par mois... plus le reste comme VGE et les autres !
Ce n'est plus supportable, nous sommes devenus le modèle de l'escroquerie politique dans le monde... vivre cela après des êtres comme Voltaire c'est irrespirable !
Rédigé par : Seraye Yves | 15 juin 2016 à 19:12
S'agissant des dégâts occasionnés à l'occasion des manifestations, je viens d'entendre que le chef de l'Etat et son Premier ministre mettaient en cause la CGT et envisageaient de faire payer par ce syndicat le montant des dégâts. Je ne suis pas personnellement, et loin de là, un fan de ce syndicat dit révolutionnaire, mais je considère que sur ce point le pouvoir se trompe de cible. J'ai eu l'occasion aujourd'hui même de discuter avec un militant de ce syndicat qui a participé à la manif d'hier à Paris et qui m'a déclaré que le service d'ordre de son syndicat avait fait tout son possible pour protéger les salariés qui manifestaient mais qu'il avait été complétement débordé par les casseurs professionnels qui ont débarqué en fin de cortège pour exécuter leurs basses œuvres. Une question qu'il se pose, pourquoi les forces de l'ordre n'ont-elles pas réussi à stopper les casseurs qui ont envahi les lieux et pourquoi aussi peu de casseurs interpellés ? Quant à interdire d'autres manifs, sur le papier c'est facile mais sur le tas c'est bien plus difficile à faire respecter et on le constate tous les jours. Encore des décisions prises à la va-vite et qui ne peuvent qu'exaspérer et échauffer les esprits. Beaucoup de manifestant sont paraît-il surpris du délai qui s'écoule entre l'apparition sur le terrain des casseurs et les charges engagées pour les stopper. On ne sait manifestement pas tout.
Rédigé par : Jabiru | 15 juin 2016 à 18:34
@Garry Gaspary
De grâce laissez l'Eglise, le Christ et Dieu en dehors de l'Etat.
Vous êtes resté à une époque monarchique et vous n'avez pas compris ce qui s'est passé depuis... La franc-maçonnerie et les bouffeurs de curés ont karchérisé la religion chrétienne sur le sol de France.
Le Christ est mort en France, seules subsistent les cathédrales et les églises... et les gens au pouvoir sont principalement des athées ou d'une autre religion qu'il ne faut pas nommer !
Cela explique la progression de l'Islam !
Je fais une prière "arrêtez de dire des c....ries" !
Rédigé par : Seraye Yves | 15 juin 2016 à 18:04
@calamity jane
Bien vu pour la branche !
Rédigé par : Jabiru | 15 juin 2016 à 17:25
Selon une source de plus en plus opaque, alias mariamontessori, pour ne nommer que le dernier pseudo en date de ce troll vibrionnant tous azimuts, Aska Diakité, victime des fusillades du 13 novembre 2015 serait en fait la cousine de calamity jane qui aurait emprunté -subrepticement - l'identité de Lassana Diarra !
Bonjour l'embrouille !
Rédigé par : Mary Preud'homme (carton rouge !) | 15 juin 2016 à 13:21
Entendu hier, sur une chaîne d'info continue : soixante-quinze mille manifestants selon la Police, un million selon les syndicats.
Question : la Police n'arrive pas à contenir soixante-quinze mille personnes en procession syndicale ?
De l'art de couper la branche sur laquelle on est assis.
Rédigé par : calamity jane | 15 juin 2016 à 13:04
@ sbriglia
Notre hôte vient ici nous dire qu'un procès d'assises n'a pas comme but de soulager la douleur des victimes par charité chrétienne, car, si tel était le cas, un bon verdict ne découlerait pas, comme certains abrutis le proposent, après une mise sous sérum de vérité du présumé coupable, mais serait plutôt l'injonction de la mise sous morphine à vie de la famille de la victime. Quitte à user des drogues, autant le faire de manière vraiment charitable...
Mais notre hôte se trompe sur la fonction de la charité chrétienne qui n'a jamais été de soulager la douleur de ceux qui souffrent mais bien de souligner l'innocence de l'Eglise dans cette souffrance, puisque l'Eglise étant la communauté du Bien absolu, aucune souffrance ne peut en découler. De la même façon, c'est bien l'innocence de l'Etat que tout procès vient rappeler dans le constat que le crime est toujours d'origine individuelle, jamais d'origine sociale. Nous sommes donc toujours dans la notion de charité chrétienne, aucunement dans une pratique de la justice, comme notre hôte le suggère.
La justice ne peut être rendue dans une société fondamentalement inégalitaire, fondamentalement inhumaine, donc fondamentalement christianisée, seul l'Etat aujourd'hui et l'Eglise hier peuvent y être complètement célébrés par le rituel cyclique qui vient conclure à leur innocence à partir de la définition même de leur sainteté et de leur mystère. Car, comme vous le rappelle frère Alex paulista, chercher à comprendre le crime, c'est chercher à comprendre la Trinité, c'est chercher à comprendre les mystères de l'Etat ou de l'Eglise. C'est finalement se prendre au mieux pour un surhomme si Dieu est mort, au pire pour Dieu.
Frère Paulista n'a pas peur de comprendre, frère Paulista a peur de la disparition de l'Etat dans la compréhension de ses mystères. Et frère Paulista a bien raison, car seul un tribunal révolutionnaire est capable de mettre à jour les raisons du crime et de faire disparaître l'Etat qui le fait perdurer.
Rédigé par : Garry Gaspary | 15 juin 2016 à 12:07
Retour inespéré de la madame pseudophobe ! qui attaque sans arguments.
Rappel : Lassana Diarra a perdu sa cousine lors des fusillades du 13 Novembre 2015 et poste un message.
Ce n'est pas important. L'essentiel est que la madame pseudophobe puisse se raconter en méprisant les autres.
Rédigé par : mariamontessori | 15 juin 2016 à 09:23
@ Mary Preud'homme | 14 juin 2016 à 20:17
Ce n'est pas parce qu'on ne se répand pas sur des blogs qu'on ne compatit pas. La pudeur n'est pas expressive.
Rédigé par : breizmabro | 15 juin 2016 à 09:23
La torture et les souffrances psychologiques des parents de la jeune victime tuée lâchement par un sadique en 1997 sont une deuxième mort. Dix-sept ans de recherches épisodiques pour enfin avoir pensé en dernier lieu et bien tardivement à faire un rapprochement circonstancié à la suite de son dernier divorce et déménagement. Comment est-ce possible dans une affaire de viol et d'assassinat que la justice ait pu perdre certaines pièces à conviction et des scellés alors que ce sont des pièces maîtresses à la manifestation de la vérité et à une plus proche identification du coupable ? Je ne m'explique pas une telle négligence dans une affaire aussi grave.
Si l'ADN n'existait pas, certains assassins seraient encore dans la nature.
Rédigé par : Ellen | 15 juin 2016 à 07:57
@ Mary Preud'homme
"Mais à quoi bon témoigner. On va encore m'accuser de me répandre et raconter ma vie !"
Votre témoignage est intéressant. Et comme disait Cocteau, "ce qu'on te reproche, cultive-le, c'est toi".
Rédigé par : Noblejoué | 14 juin 2016 à 22:19
On peut tortiller tant qu'on veut, à la base, la Justice est une vengeance publique. Toi, le citoyen, vous, la famille, le clan, enfin, le groupe de la victime, vous n'avez pas le droit de vous faire justice... Donc, c'est à l'Etat, seul ayant droit de la violence, de l'exercer.
L'Etat, à l'origine, basique, rétablit l'ordre... Après, qu'on lui demande, peu à peu :
- 1 Frapper le vrai coupable. Donc fin de la torture, de prendre quelqu'un au hasard et le déclarer coupable pour calmer la foule.
- 2 Garantir des droits au coupable. Ne plus torturer le coupable, épargner sa vie, et même, folie, laisser sortir de tôle les criminels les plus dangereux.
- 3 Réparer la victime. Comme on ne peut pas encore ressusciter les morts, du moins soigner les victimes, non seulement physiquement, financièrement, mais aussi psychologiquement, notamment par l'aveu circonstancié du criminel, voire, soyons fou, sa demande de pardon.
Dans ce cadre, la question est : "que doit le criminel ?", c'est-à-dire qu'est-ce que le transgresseur doit au groupe en général et à ses victimes ou aux proches de celle-ci, qui sont, à vrai dire, aussi, des victimes.
Comme je n'ai plus d'idée, j'arrête net.
Rédigé par : Noblejoué | 14 juin 2016 à 21:55
D’après une source policière, Larossi Abballa faisait l’objet de plusieurs fiches S (pour « sûreté de l’Etat ») établies par la DGSI et la SDAT. « C’est le cas de milliers de personnes en France et ce n’est pas une preuve de culpabilité », est-il précisé. Par qui ?
Pas une preuve de culpabilité jusqu'au passage à l'acte, hélas, où les mêmes qui nous ont affirmé main sur le cœur que les fichés S n'étaient pas potentiellement dangereux viendront nous dire le contraire à la prochaine action terroriste et jouer les indignés et les défenseurs zélés de l'ordre et du droit !
Au fait le commandant de police Salvaing avait deux enfants, un étant issu d'une précédente union.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 14 juin 2016 à 21:27
@ Seraye Yves
Mais que diable Freud vient-il faire dans notre discussion ?
Sans doute est-ce une façon alambiquée de dire que je suis atteint d'une psychopathologie m'empêchant de penser juste...
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 14 juin 2016 à 20:31
@breizmabro | 14 juin 2016 à 16:46
De plus en plus Bécassine vous, à l'image de l'autre nunuche qui s'est exprimée ici même pour nous faire étalage d'une parentèle circonstancielle et imaginaire (jusqu'aux arrière-cousins) censée en baver. Et manifestement ignorante, sinon inconsciente qu'un tel drame puisse toucher des personnes qui sont réellement passées par là, faire revivre un vécu et donner tout son sens à un témoignage spontané, sans volonté aucune de faire pleurer dans les chaumières ! Ce que Savonarole, entre autres, a compris en dépit de son ironie parfois mordante mais toujours réglo et fraternel sur l'essentiel ! Merci à lui, c'est un frère et un seigneur.
Et si vous vous vous taisiez, ma chère quand vous n'avez rien d'autre à faire passer que des messages négatifs ou bassement railleurs... Pensez plutôt aux deux orphelins de ce commandant de police et au garçonnet de trois ans qui en outre a perdu sa maman !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 14 juin 2016 à 20:17
@Seraye Yves | 14 juin 2016 à 17:58
OK, mais Hollande s'en tamponne comme de l'an 40 de toutes ces victimes du terrorisme ; seul les calculs politiques l'intéressent ; il fait des déclarations officielles de compassion, tout comme Valls et Cazeneuve, pour consoler l'opinion ; ces traîtres à la France n'ont qu'un but : faire monter le FN, énerver les citoyens, créer un climat délétère de guerre civile et appeler au sursaut national contre ce même FN au deuxième tour, sachant qu'il est à la tête d'un peuple avachi soumis qui acceptera de souffrir encore cinq ans avec ces ignobles individus machiavéliques.
Rédigé par : sylvain @ Seraye Yves | 14 juin 2016 à 19:38
@ sylvain
Cher ami, voici texte que je viens d'envoyer à Hollande.
Monsieur Le Président de la République Française,
Voici une lettre que vous lirez peut-être si vous avez le temps.
Notre peuple souffre depuis plusieurs décennies du fait de mauvais choix que nos Présidents successifs ont faits pour notre destin commun et vous semblez amplifier ce mal par vos actes cachés et votre utilisation de nos armées et de nos finances publiques… Mais ce qu’il y a de pire c’est votre volonté de détruire ce qui fait notre nation, c’est-à-dire notre ethnie d’origine judéo-chrétienne qui s’est formée avec le temps et qui a l‘honneur d’appartenir au royaume des ex-Lumières intellectuelles.
Nous avons suivi avec patience vos mésaventures, soit burlesques, soit dramatiques, vos tripatouillages de l’information, vos hérésies, vos dépenses pharaoniques !
Mais aujourd’hui je vous demande pourquoi avez-vous initié ce texte dont j’extirpe la connaissance et qui est le suivant :
"Il y a quelques semaines, une loi visant à élargir les conditions d'obtention de la nationalité française, par le droit du sol, allait être votée en catimini. Depuis peu, c'est officiel !
Dorénavant la loi n°2016-274, publiée le 8 mars 2016 au Journal officiel, entre en vigueur.
Quelques points essentiels à retenir sur cette trahison de l'État…
Cette loi crée une nouvelle forme d'acquisition de la nationalité française : un droit du sol dérivé, indirect, transmis par le lien de fratrie, qui ne nécessite pas d'être né sur le territoire français, mais d'avoir un frère devenu lui-même français par le droit du sol !...
Un étranger en situation irrégulière en France qui n'a pas les moyens personnels d'être soigné dans son pays d'origine, obtient également le droit à une régularisation et donc d'être soigné en France. C'est du grand art politique : on ne soigne plus les Français qui n'en ont pas les moyens (soins dentaires et oculaires trop onéreux, déremboursement de nombreux soins ou médicaments…) mais on laissera n'importe quel étranger devenir Français pour se faire soigner.
De plus, en vertu de l'article 17 de cette loi, les étrangers devront attendre seulement un an, et non plus cinq ans, pour se voir délivrer un titre de séjour de quatre années, au lieu d'une seule précédemment.
L'article 33 chamboule le dispositif de lutte contre l'immigration irrégulière. Il supprime la rétention administrative de cinq jours pendant laquelle le préfet peut décider de garder un étranger en situation irrégulière en rétention, le temps d'organiser son départ.
Celle-ci passe à 48 heures, une durée bien entendu insuffisante pour organiser le retour d'une personne dans son pays.
Inutile de préciser combien cette loi va attirer de migrants économiques, alors que le vase est déjà plein et que la crise migratoire est au centre de toutes les préoccupations.
Pourquoi une telle loi ?
La course aux voies électorales ne semble même plus, à ce niveau-là, être une explication suffisante. Il est clair que le pouvoir en place a bel et bien dans l'optique de finir son quinquennat avec un superbe « bouquet final », venant résumer son parcours en assassinant la France !
Mais que faisait l'opposition au moment de ce vote de destruction ? Seul un Républicain était présent dans l'hémicycle : scandaleux cet absentéisme de nos élus !!...
Autres complices à dénoncer : les merdias !
A peine un ou deux quotidiens ont fait état de cette loi. Aucune chaîne de télé… Monsieur Pernaut - entre autres - nous fait volontiers faire le tour des marchés de France, mais pour ce qui est de l'essentiel, nada !
Rien non plus sur les ondes radio… On lamine le pays et personne ne réagit !
Pétain avait été jugé et condamné pour haute trahison… un tel verdict devrait s'appliquer également à Bouboule 1er et sa troupe de saltimbanques !
"J'ai mal à ma France !" (dixit Gilles Verdez)
La loi est bien passée... il ne nous reste plus qu'à pleurer, comme d'hab !
Il va y en avoir du monde à tondre à la Libération !"
Fin de citation
Monsieur le Président, je vous demande solennellement, êtes-vous un ennemi de la France ou êtes-vous incapable de la comprendre et de la diriger à moins que vous n‘en vouliez que le chaos (mais à plus de 35 000 € par mois de retraite ce serait un gâchis pour vous) !
Dans l’attente de votre réponse,
Je vous prie de croire, Monsieur le Président, à ma tristesse infinie.
Yves Seraye
Rédigé par : Seraye Yves | 14 juin 2016 à 19:18
Que celui qui après avoir tenté de lire la loi que dénonce sylvain en allant sur Légifrance, et notamment en faisant une recherche sur "soins", n'a pas envie de distribuer quelques pains lève le doigt...
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 14 juin 2016 à 19:15
@Mary Preud'homme | 14 juin 2016 à 11:37
"Mais à quoi bon témoigner. On va encore m'accuser de me répandre et raconter ma vie !"
Mais non, pas du tout, au contraire.
Que valent ces façades de marbre qui publient un commentaire tous les mois, vers 00h00, pour nous infliger un pensum moralisateur de gauche ? En tablier et fil à plomb, il se regarde dans le miroir. Champigny-sur-Marne nous est une terre étrangère.
Une touche personnelle est la bienvenue, j'aime savoir ce qu'Alex paulista au Brésil pense, ou l'expérience d'Exilé, avec zenblabla je revisite l'araméen, sans évoquer Catherine Jacob qui nous manque et dont on espère toujours une illustration du Kamasutra japonais d'Hiroshige sous l'ère Meiji.
Rédigé par : Savonarole | 14 juin 2016 à 19:07
@Exilé | 14 juin 2016 à 18:03
L'article 411-4 aurait pu s'appliquer pour ce qu'il a fait avant, sa participation à la filière djihadiste : il aurait pris trente ans de placard et n'aurait pas pu commettre son crime atroce.
Je ne sais pas si la trahison est nommée comme telle dans le CP ou si elle est justement remplacée par cette appellation d'intelligence avec une puissance étrangère.
Pour le reste, je suis bien d'accord avec vous.
Le calamiteux regroupement familial du couple infernal Giscard-Chirac et un code de la nationalité aberrant ont conduit à cette situation, encouragée par tous les gouvernement UMPS depuis 42 ans.
Rédigé par : PhD | 14 juin 2016 à 18:53
@Denis Monod-Broca
Je ne vous répondrai plus, mais un conseil consultez un excellent spécialiste du sujet qui s'appelle, si ma mémoire est bonne, Freud ...
Je n'ai plus son adresse mais vous la trouverez sur internet !
Rédigé par : Seraye Yves | 14 juin 2016 à 18:40
@PhD
Le fait d'entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d'agression contre la France, est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d'amende.
Mais le stade de l’intelligence, c'est-à-dire la fourniture de renseignements, avec ce qu'il faudra bien un jour ou l'autre se résoudre à appeler l'ennemi est carrément dépassé dans le cadre du crime commis par Abbala, qui relève de la trahison pure et simple.
Comment qualifier autrement, le fait de voir en temps de guerre un Français (ou du moins un porteur de papiers français) abattre des gens qui sont supposés être ses compatriotes pour le compte de l'ennemi ?
En allant plus loin, ne faudra-t-il pas s'intéresser aussi un jour au cas de tous ceux qui - politiques ou agents de l’État - ont facilité par bêtise ou par idéologie l'émergence de telles situations pourtant prévisibles par tous ceux qui possèdent un minimum de culture historique ?
Rédigé par : Exilé | 14 juin 2016 à 18:03
@ sylvain
Merci pour votre information et nous ne pouvons que constater que François Hollande et sa bande ne sont que des traîtres à la patrie !
Qu'en pensent nos généraux s'ils savent encore lire ?
J'ai déjà eu l'occasion d'écrire à Hollande et je vais lui demander (au vu de votre texte) pour qui travaille-t-il ? La France ou ses envahisseurs !
Effectivement, Pétain aura été jugé coupable pour moins que cela !
Rédigé par : Seraye Yves | 14 juin 2016 à 17:58
Ils s'attaquent maintenant à des représentants de l'ordre public avec des objectifs ciblés. Un enfant de trois ans vient de perdre ses parents dans des circonstances atroces tout simplement parce que son père était commandant de police et sa mère fonctionnaire de police. Il va bien falloir qu'un jour l'Etat privilégie l'anticipation pour mettre hors d'état de nuire, avant qu'ils ne passent à l'action, ceux qui ne visent qu'à détruire notre société. Et ça c'est le boulot des Services, à condition qu'ils en reçoivent le feu vert. Et je ne doute pas un seul instant que nous en ayons les moyens.
Rédigé par : Jabiru | 14 juin 2016 à 17:55
@PhD 14 juin 2016 à 16:59
En effet, vous avez parfaitement raison de rappeler à ceux qui concoctent de nouvelles lois et rarement appliquées qu'il existe déjà et depuis des lustres des lois bien plus intelligentes et mieux adaptées aux circonstances actuelles telles que vous décrivez. Pourquoi alors l'Etat et la justice ne les appliquent-ils pas ?
Rédigé par : Ellen | 14 juin 2016 à 17:52
@ sbriglia | 14 juin 2016 à 17:03
On ne peut pas expliquer l'inexplicable, réparer l'irréparable.
L'essentiel est alors de sanctionner par la privation physique de liberté, et une telle sanction doit venir du peuple pour prendre toute sa force.
Quant au Tribunal de commerce, l'inexplicable y est moins présent, et la réparation est souvent possible.
Rédigé par : Alex paulista | 14 juin 2016 à 17:48
@ Seraye Yves
Mais contre quelle tyrannie devrions-nous former nos bataillons ?
C'est nous qui imposons au monde, armes à la main, capitaux en bandoulière, notre vision du monde, nos règles (ou absence de règles), notre raison du plus fort, notre cupidité, nos mœurs...
Et puis enfin... "leurs" attentats font beaucoup moins de victimes que "nos" bombes, que nos drones et que tout le reste.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 14 juin 2016 à 17:47