Je ne me lasse pas du plaisir de ces interminables petits déjeuners de vacances où on refait le monde et où la politique devient presque inéluctablement le sujet principal, comme si la quotidienneté oisive avait décidé de s'accorder à mes intérêts limités.
En même temps, durant cette période, comme l'actualité brute et factuelle est moins chargée, le citoyen passionné peut se nourrir de la substance d'entretiens ou de contributions d'un plus haut niveau que celui qu'en général les médias nous offrent. Ainsi Nicolas Sarkozy, Alain Juppé ou Emmanuel Macron apparaissent-ils non pas sous un jour nouveau mais comme des personnalités soucieuses d'enrichir notre connaissance d'elles ou d'amplifier nos interrogations.
Nicolas Sarkozy, à quelques jours d'intervalle, s'est livré avec talent à un exercice dont il raffole : décrire et expliquer ce qu'il est, jusqu'à ses goûts littéraires qu'il éprouve le besoin de nous communiquer avec une naïveté un peu scolaire, et sur le plan politique redonner confiance aux Français (Le Point, Valeurs actuelles).
L'ancien président, candidat explicite à la primaire LR dans quelques jours, vise à être une réponse. Il n'y a pas de sujet sur lequel il ne tranche pas. Fi des nuances et des tiédeurs ! La moindre hésitation serait coupable. Son programme est tout entier concentré sur lui et en lui avec une détermination et une assurance dont il espère qu'elles convaincront les Français. Il tente de mettre sur un plateau de la balance autant d'énergie et de vigueur, comme candidat renouvelé, que François Hollande a mis, selon lui, de mollesse et de faiblesse, en tant que président, sur l'autre.
Cette réponse qu'il affirme incarner, Nicolas Sarkozy la martèle avec constance, impétuosité comme si d'abord il cherchait à s'en persuader lui-même car à l'évidence, s'il feint de les balayer, les inquiétudes sur la validité de sa propre cause n'échappent pas à son intelligence.
Les Français ne veulent plus revoir le combat de 2012. Mais Nicolas Sarkozy invoque son lien particulier avec eux et il exploite jusqu'à l'usure le succès de son dernier livre et les rencontres multiples et enthousiastes qu'il permet et qui le rassurent. Assimilant la frénésie "people" à une adhésion civique et les selfies à des bulletins de vote.
Il parle comme le FN. Cette constatation de Nicolas Bay, Secrétaire général de ce parti, n'est pas fausse. En dehors de l'horrible parenthèse du terrorisme qui a contraint chaque responsable politique à durcir encore davantage des discours, pour certains déjà fermes, Nicolas Sarkozy reprend exactement les mêmes thèmes que le candidat de 2007 dont la campagne avait asséché le vivier du FN.
Hier c'étaient des espérances, aujourd'hui des redites, avec l'implacable conclusion qu'avec un FN déjà au plus haut, Nicolas Sarkozy ne pourra que tout au plus amplifier le lustre de ce parti en s'abandonnant à un mimétisme inopérant. Il ne distraira pas un électeur de Marine Le Pen mais en revanche il convaincra encore davantage les partisans de celle-ci que sa démarche constitue l'aveu d'une copie parce que l'original lui échappe.
Combien de fois Nicolas Sarkozy ne nous a-t-il pas affirmé qu'il avait changé ! Cette répétition est peu ou prou sa seule permanence. Alors qu'il suffit de le voir, de l'entendre ou de le lire, d'observer ses comportements publics de chef de parti, pour constater que le Sarkozy d'aujourd'hui est le même que celui d'hier et qu'il n'y a aucune raison pour que, si décevant dans sa pratique du pouvoir et si éloigné de la dignité républicaine, par magie il s'en soit rapproché dix ans plus tard.
D'autant plus qu'ayant empêché durant deux ans le moindre inventaire de son bilan et l'analyse critique de son échec, quand il a prétendu les accomplir à sa manière, il a occulté l'essentiel de ce qui lui avait été reproché et a été très indulgent avec lui-même.
C'est lui, toujours lui, en conviction, en volonté affichée, en dénonciation péremptoire et parfois sommaire, en certitude, en sentiment glorieux et anticipé de réussir un retour présidentiel.
Avec cette observation plus technique que politique. Son talent s'est émoussé et sa capacité de persuasion aussi. Rien que de plus normal que cette usure. Ce qu'on a trop entendu est de moins en moins audible et à force est de plus en plus mal dit.
Il vend la peau de l'ours, celle de ses adversaires qu'il traite avec désinvolture, presque condescendance. C'est sans doute leur chance. Ainsi, Nicolas Sarkozy prétendant avoir vaincu Alain Juppé virtuellement avant, ce dernier n'aura qu'à l'emporter réellement après s'il consent à mettre plus de passion dans la forme pour convaincre de la sagesse de son fond.
Mais Nicolas Sarkozy, qu'on l'apprécie ou non, est une réponse. Attention, ce n'est pas rien. A une France déprimée et sans espoir, il apporterait des remontants.
Emmanuel Macron, lui, est une question et il n'y a pas de caractère, de vision, de stratégie et de tactique plus aux antipodes de ceux de Nicolas Sarkozy si la comparaison a du sens. Du velours brillant après une grosse caisse pétaradante.
Emmanuel Macron est un mystère. A l'éclatante et brutale lumière de l'ancien président, il oppose une obscurité fine et complexe.
Il nous avait annoncé que la "couverture" de Paris Match et le reportage "intime" sur son couple avec photographies à l'appui ne se reproduiraient plus. On le voit, pourtant, avec sa belle épouse en couverture et on n'ignore rien de leur séjour à Biarritz dans la dernière livraison de cet hebdomadaire. Le rédacteur en chef photo de celui-ci affirme que le couple n'avait pas été informé de la publication de ces photos qui avaient été achetées. Vrai ou faux ? Mystère.
Ministre d'un gouvernement de gauche et se consacrant à sa mission avec une énergie et une compétence qui ne sont jamais banales, il a pourtant créé son mouvement En Marche un an avant l'échéance de 2017 alors qu'il est acquis pourtant qu'avec une primaire sur mesure, François Hollande se représentera. Pourquoi? Mystère.
Emmanuel Macron se revendiquant de gauche nourrit l'ambition de dépasser la droite et la gauche pour faire réfléchir ensemble des esprits et des clairvoyances, et rassembler des volontés, dans un cadre transpartisan. Avec "une naïveté assumée". S'il n'a pas l'audace dans tous les cas de figure de tenter sa chance en 2017, quelle serait alors, dans ce laps de temps gangrené par l'issue à venir, l'utilité de En Marche ? Pourquoi ? Mystère.
Si ce ministre brillant ne sort pas du rang, soutient à sa manière la campagne de François Hollande, faudra-t-il considérer qu'En Marche est le premier jalon d'une recomposition politique à laquelle il aspire comme d'ailleurs son adversaire Manuel Valls, rien n'étant pire que de se ressembler en étant condamnés à lutter sur un même terrain ? Conviendra-t-il d'appréhender son mouvement comme une offre intelligemment opportuniste, quel que soit le pouvoir de demain ? Pourquoi pas ? Mystère.
En ne faisant pas l'impasse sur la passion et le savoir philosophiques d'Emmanuel Macron, sur son indiscutable singularité dans l'univers politique - il a un discours de la méthode, un culte des idées générales et des concepts pas forcément opératoires qui le distinguent du politicien connecté seulement sur l'immédiat et son intérêt -, est-il permis, sans être qualifié de naïf, de prendre En Marche seulement pour une structure de fraternité intellectuelle et de liberté totale, se donnant le droit d'inventer l'avenir pour ne pas avoir le présent comme unique terreau et horizon étriqué ? Pourquoi pas ? Mystère.
Vouloir faire "de la politique autrement", avoir déclaré "qu'on ne peut ni ne doit tout attendre d'un homme, et 2012 n'apportera pas plus qu'auparavant le démiurge", affirmer que "ceux qui disent qu'on ne pourrait pas confier le pays à quelqu'un de 38 ans sont les mêmes qui le gèrent depuis trente ans", dénoncer le fait que "nous sommes parmi les très rares pays développés dans lesquels un ancien président peut revenir en sauveur de son camp cinq ans après avoir été battu. C'est une preuve supplémentaire de l'épuisement de notre système politique " - sont-ce autant d'indices d'un détachement de la politique traditionnelle, sans ambition de conquête, ou au contraire l'aveu à la fois d'une conscience nette de ses aptitudes mais de l'obligation, aujourd'hui, pour les porter au comble présidentiel, d'inventer de nouveaux chemins et de donner l'impression aux citoyens qu'on n'est "pas tout à fait le même et pas tout à fait un autre" ? Pourquoi pas ? Mystère.
Emmanuel Macron est le ministre le plus courageux qui soit - il l'a démontré à plusieurs reprises - et en même temps il offre une personnalité qui porte le pluralisme en son sein, qui n'arrive pas tout armée dans l'espace républicain et fuit, sur beaucoup de sujets, les poncifs habituels, qu'ils soient ceux de la mansuétude et de la superficialité socialistes ou ceux du simplisme de droite. Que cache-t-il, qu'occulte-t-elle ? Une puissance formidable d'avenir ou un feu pétillant, étincelant de l'instant ? Une vraie chance, un leurre utile, une illusion trompeuse ? On ne sait. Mystère.
La réponse que Sarkozy prétend incarner est aux antipodes de la question que nous nous posons au sujet de Macron parce qu'il est lui-même une grille à déchiffrer.
Pour le premier, il n'est pas nécessaire d'y revenir. Il a déjà eu son heure de gloire et il piaffe de la revivre. Mais, pour le second, ce n'est pas un mince exploit de susciter tant de mystères, d'aiguiser notre impatience, de nous faire languir. Car il est le maître du jeu mais l'est-il de son je ? N'est-il pas dans cette zone délicieuse, incertaine et troublante où trop de possibles sollicitent un humain trop doué, trop riche ?
Nicolas Sarkozy devrait se poser quelques questions et Emmanuel Macron ne pas trop différer sa réponse.
Tout pour la France.
Rendez-vous en 2017.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 22 août 2016 à 23:51
Je sais bien que tout cela c'est de la politicaillerie, et qu'il ne faut pas y accorder trop d'importance... mais tout de même, on ne va pas bouder son plaisir : Macron rend visite au Puy du Fou... y déclare qu'il n'est pas socialiste... et se fait complimenter par Philippe de Villiers !
J'entends d'ici quelques belles têtes de gauchistes qui explosent comme des pastèques mûres ! Le court-circuit neuronal est insupportable !
Comment ! Emmanuel Macron, ministre de l'Economie du peuple de gauche, assiste à un spectacle nauséabond rappelant tellement les heures les plus sombres de notre histoire qu'aucun ministre socialiste ne s'y est jamais rendu depuis 35 ans, alors qu'il connaît un succès massif auprès des Français comme dans le monde entier !
Macron, qui représente le "néo-libéralisme" honni de tous les socialistes bon teint, qui est le cheval de Troie de "l'ultra-libéralisme" au sein d'un gouvernement socialiste, Macron, qui ose autoriser les autocars en France, rend visite au néo-nazi Philippe de Villiers, qui ne perd pas une occasion de cracher lui-même sur "la mondialisation ultra-libérale", et ils ont l'air de s'entendre très bien l'un et l'autre !
Si on ne peut même plus compter sur les gauchistes d'extrême droite pour couvrir d'insultes les faux socialistes issus de chez Rothschild, mais où va-t-on ma bonne dame ! C'est l'Apocalypse ! Tout fout le camp ! Georges Marchais et Maurice Thorez n'auraient jamais toléré un truc pareil !
Rédigé par : Robert Marchenoir | 20 août 2016 à 03:22
Et la névrose narcissique de Hollande on en parle quand ?
Tandis que la France en crève, tout est bon pour dissimuler ce problème central dont découlent et s'alimentent tous les autres !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 18 août 2016 à 23:24
@Denis Monod-Broca | 16 août 2016 à 18:28
Vous restez coi, car vous ne croyez pas en l'idée européenne définie par les pères de l'Europe et reprise par les papes depuis Jean-Paul II, qui serait l'incarnation terrestre de l'intuition évangélique, articulant le chrétien au grec, utopie je vous l'accorde mais si nécessaire au vu du cauchemar qui nous attend si nous continuons dans la voie actuelle. Les chapitres du Clausewitz de Girard, la France et l'Allemagne, le pape et l'empereur, sont à ce titre édifiants. Les nations sans l'Europe sont entraînées dans la lutte des empires et n'ont pas la dimension démographique ni géographique pour y résister.
Si l'Europe, même sans les Anglais, ne se fait pas, la prochaine montée aux extrêmes qui concernera la Chine et les USA n'aura aucun frein pour entraîner le monde vers la deuxième apocalypse qui alors l'attendra.
Si l'Europe se fait, elle entraînera dans sa résistance bon nombre d'émergents et saura parler aux peuples des puissances en question qui auront l'occasion d'exiger de leurs dirigeants délirants la prééminence de la démocratie, de la protection sociale et des droits de l'homme, pour encadrer l'économie de marché et la libre entreprise, qui n'est pas à remettre en question, au nom de la liberté, mais à borner dans son désir de puissance, par le Droit.
Cette Europe-là est un rêve de justice et ce rêve est, j'en suis sûr et c'est un acte de foi, à même de remobiliser les peuples pour et non contre quelque chose ou quelqu'un, de proposer à l'homme ce renversement indispensable à sa survie, transmuter l'amour de la puissance en ce qui serait l'accomplissement de sa mission dans l'évolution : la puissance de l'Amour.
Rédigé par : Aliocha | 17 août 2016 à 07:44
@ Aliocha
D'accord sur l'indispensable rôle de l'Etat mais quand vous écrivez que "c'est l'exacte mission de l'Europe, sortir de ce cercle infernal qui rentabilise les conflits et excite les clivages pour mieux vendre ses instruments de mort et garantir une croissance qui n'est que guerre déguisée en prospérité pour quelques-uns, au lieu d'emprunter la douce pente de la paix pour tous", je reste coi.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 16 août 2016 à 18:28
@breizmabro | 16 août 2016 à 09:21
Ne pas confondre les milliers de personnes venues en touristes ou en opportunistes à Lourdes avec les pèlerins de bonne foi !
Concernant les opportunistes et calculateurs (au passage vous avez oublié Cazeneuve) il est évident que nul ne les a aperçus en extase durant les derniers chapelets du 14 et 15 août, pas plus qu'à la piscine d'ailleurs !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 16 août 2016 à 14:59
@Robert Marchenoir
Votre réflexion concernant la vie de famille de nos présidents m'a fait réfléchir. L'opinion publique s'y est toujours intéressée depuis la femme de César jusqu'à Julie Gayet en passant par Machiavel.
Dans ce que Machiavel dit sur la manière d'obtenir et de conserver le pouvoir, il note que le prince doit à la fois se faire obéir et aimer. Il est plus intéressant pour lui de susciter la crainte que l'amour, néanmoins il est très important qu'il ne suscite ni haine ni mépris. Il doit donc entretenir son apparence et montrer qu'il aime la "vertu" (au sens large). Il doit avoir le soutien de sa communauté, et la meilleure communauté sur laquelle il puisse s'appuyer est le peuple, dont il doit nécessairement être aimé. Il doit par conséquent avoir une bonne réputation qui le fasse apprécier et respecter. Machiavel distingue la sphère privée de la sphère publique, mais l'homme privé en entrant dans l'État ne l'est plus. Pour Machiavel ce sont les individus qui sont privés plusles au contraire de la politique et de l'État. Les hommes sont des entités privées puisqu'ils représentent leur famille composée des biens de l'homme et des femmes et il faut que l'État évite le contact avec ces composantes afin de ne pas susciter l'animosité. Le couple de Gaulle l'avait bien compris, le couple Merkel également.
En conclusion je suis d'accord avec vous quand vous dites que ça ne devrait pas entrer en ligne de compte, mais d'accord aussi avec Machiavel quand il dit que le mélange des genres a comme corollaire une forme de mépris, ou d'animosité. il me semble que c'est aux hommes d'Etat à ne pas se fourvoyer à l'insu de leur plein gré dans les media sur des sujets autres que politiques.
(Je n'indique pas mes références, je suis allée fouiller dans Wikipédia, j'étais certaine que Machiavel avait des choses intéressantes à dire sur le sujet !)
Rédigé par : Lucile | 16 août 2016 à 11:59
@ Giuseppe | 15 août 2016 à 16:01
"Et Hollande qu'en est-il ? (...)"
Les p'tits joueurs comme Juppé vont à Lourdes prier pour un miracle, et les "rouleurs" comme Sarko vont au Lavandou parce qu'il peut y aller en vélo.
Hollande joue chez les pros, il va chez le pape.
La tournée des popotes miraculeuses a commencé ;-)
Rédigé par : breizmabro | 16 août 2016 à 09:21
Comme si l'économie de marché devait forcément exclure la puissance de l’État, seul à même de garantir le Droit, et de borner les appétits des win winers qui, sans Lui, font de la terre un champ de ruines. C'est encore une affaire de lien, équilibre d'une relation entre la liberté d'entreprendre et la juste redistribution des profits engendrés, garant de la paix au bénéfice de tous. Que les profits soient imposés à l'endroit où ils sont générés et qu'il y ait une paroi de verre entre les banques de dépôt et les banques d'investissement, voilà qui suffirait à assainir la relation entre l’État et les intérêts privés, évitant que la production de la montagne des richesses n'engendre le trou des ressentiments générateurs de violence.
C'est l'exacte mission de l'Europe, sortir de ce cercle infernal qui rentabilise les conflits et excite les clivages pour mieux vendre ses instruments de mort et garantir une croissance qui n'est que guerre déguisée en prospérité pour quelques-uns, au lieu d'emprunter la douce pente de la paix pour tous.
Rédigé par : Aliocha | 16 août 2016 à 09:08
@Robert Marchenoir
..."Macron nous ramène où nous en étions dans les années 20"...
Dans les années 1920 quand nous serons bientôt en 2020 !
L'accompagnant dans cette démarche la nouvelle mouture de la loi El Khomri et les dix heures de travail journalier des apprentis...
Le manque de culture politique et/ou historique, la non estime du peuple, font de Monsieur Macron le champion du mépris pour tout ce qui n'est pas son milieu...
Et d'aucuns osent dire qu'il dit tout haut ce que d'autres pensent tout bas ! Nous comprenons que "d'autres" signifie hommes ou femmes politiques et constatons la distance qui les sépare de leur pays, leur peuple et de leurs intentions clamées ici et là.
Il ramène le pays dans les années 1920 ! car la nouveauté c'est bien de nous montrer les guiboles de son épousée, ce qui le ramène au niveau de l'ordinaire cad en vacances au bord de l'eau avec la vanité à peine voilée du j'ai de bonnes raisons d'avoir choisi cette personne !
Vraiment mdr.
Rédigé par : calamity jane | 16 août 2016 à 05:53
Exilé | 15 août 2016 à 19:15
Les jeunes Français qui se rendaient en Angleterre dans les années soixante avaient souvent l'occasion d'y découvrir un réseau dense de « diligences » (coaches) reliant les villes entre elles, alors que ce concept était totalement inconnu en France.
En effet, et à l'époque la Grande-Bretagne était pourtant en plein dans sa mouise marxiste ; c'est dire si, question communisme, nous enfonçons les rosbifs les doigts dans le nez !
Cela explique d'ailleurs que ce soit un chauffeur d'autocar britannique qui ait réalisé ce site historique amateur qui rappelle à tout le monde à quoi ressemblait, jadis, un réseau de transports en commun par autocar dans notre belle France en noir et blanc :
http://www.countrybus.co.uk/index.htm
Le sommaire pour la France est ici :
http://www.countrybus.co.uk/france.htm
Imaginez la même chose avec les véhicules d'aujourd'hui, infiniment plus confortables et moins polluants, et la réservation par Internet ; vous aurez une idée ce que pourrait être le plaisir et la facilité de voyager à travers la France, y compris pour les plus âgés et les plus modestes. A côté, le train SNCF, c'est une véritable punition qui n'en finit pas.
Notez la remarque de l'auteur du site (qui vous a peut-être trimballé en ce temps-là) :
"A l'époque, jusqu'en 1974 [en France], il faut que l'autocar porte un disque coloré. Le disque signifie le genre de travail qu'il pourrait assurer. Cette exigence résulte de l'acte de 1934 pour la coordination de transports, une législation faite pour restreindre l'expansion des lignes des cars pour le profit du rail."
1934, déjà ! Quatre-vingts ans d'oppression communiste ! Quatre-vingts ans à casser les pieds aux gens dans l'unique but de préserver un monopole communiste ! Et pourtant, les photos et les horaires collectionnés par ce brave homme montrent à quel point, même avec une législation liberticide, le réseau d'autocars de l'époque faisait figure de miracle de commodité, par rapport à ce que nous connaissons aujourd'hui.
On ne se rend pas compte à quel point la gauche a appauvri et opprimé la France... Vous rendez-vous compte à quel point nous avons régressé depuis 1934 ? Les autocars Macron, c'est nécessaire, mais c'est une toute petite tentative de regagner le terrain perdu.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 16 août 2016 à 03:49
@Mary Preud'homme 15 août 2016 à 22:28
Ni l'un, ni l'autre ne sont mes favoris. Trop peu de bonnes idées germent dans leurs têtes pour gagner le fauteuil présidentiel. La France a besoin d'une très forte personnalité pour sauver la France sans amener une guerre civile et une économie s'effondrer. Leur jeu politicien ne me convient pas, j'ai le droit, non ? Pour ne pas perdre la face, NS avance sur les pas de MLP et cette dernière cherche à récupérer les électeurs chrétiens depuis les attaques commis par ces criminels d'islamistes radicaux. Tout est calculé pour racheter une certaine crédibilité.
Rédigé par : Ellen | 16 août 2016 à 02:28
Les Français ne voudront pas de quelqu'un qui préfère le Lagarde et Michard aux rires d'enfants.
Rédigé par : Alex paulista | 15 août 2016 à 22:59
@Ellen | 15 août 2016 à 09:28
Depuis quand le meilleur copie-t-il le moins bon ? Il faut réfléchir un minimum avant d'écrire et surtout rester objectif, indépendamment de ses sympathies, antipathies, opinions etc.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 15 août 2016 à 22:28
@Robert Marchenoir
Au passage, pour rigoler un peu, je signale que l'incontestable progrès des autocars Macron nous ramène là où nous étions aux alentours des années 1920. C'est dire le chemin qui nous reste à parcourir pour reconquérir notre liberté.
Les jeunes Français qui se rendaient en Angleterre dans les années soixante avaient souvent l'occasion d'y découvrir un réseau dense de « diligences » (coaches) reliant les villes entre elles, alors que ce concept était totalement inconnu en France.
Rédigé par : Exilé | 15 août 2016 à 19:15
Denis Monod-Broca | 15 août 2016 à 15:55
On s'en fiche de Macron - et de sa femme, et de ses autocars.
Ah, non, non, pas de ses autocars ! Je reconnais que l'autocar à Macron c'est pain bénit pour les chansonniers, mais s'il fallait retenir un seul bienfait de la présidence Hollande, ce serait celui-ci : les autocars Macron.
Les autocars Macron, c'est la démonstration par a + b que le libéralisme ça marche, et que c'est ce qu'il faut à la France. C'est la preuve par l'exemple que le libéralisme c'est ouine-ouine, et que c'est l'étatisme qui tue la France.
Bon, Macron ne s'est pas outrageusement foulé pour trouver ça : la beauté de l'autocar privé contre l'ignominie du rail communiste, c'est quelque chose qui figure dans des milliers de rapports d'experts depuis des décennies. Et puis, tout comme le faux libéral Sarkozy, il s'est empressé de tapisser ses autocars de toute une série d'exceptions, pour ne pas faire de la peine aux millions de communistes qui tiennent "ce pays" par les parties sensibles.
Mais enfin, il nous a apporté les autocars, et c'est plus qu'on n'en peut dire de centaines, de milliers de politiciens de gauche, de droite, du milieu et de je ne sais où. Quand on marche dans la nuit noire, le moindre porteur de lumignon est un bienfaiteur qu'il serait odieux de moquer, au prétexte qu'on ne voit pas les projecteurs de 10 000 watts.
Au passage, pour rigoler un peu, je signale que l'incontestable progrès des autocars Macron nous ramène là où nous étions aux alentours des années 1920. C'est dire le chemin qui nous reste à parcourir pour reconquérir notre liberté.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 15 août 2016 à 18:04
Françoise Mallet-Joris vient de décéder.
Il ne fait pas bon mourir au 15 août car tout le monde s'en fiche.
Son oeuvre ne figurera pas dans la bibliothèque d'Alexandrie.
Cette dame a eu trois époux et quatre enfants, puis une longue liaison avec Marie-Paule Belle, cherchez l'erreur, les siamoises Semtob nous expliqueront ça.
Alors donc, les papys retraités de Pompidou et Giscard ou Mitterrand, allez-vous nous faire suer longtemps avec le couple Macron ?
On ne vous a pas entendus dans les années 70...
Rédigé par : Savonarole | 15 août 2016 à 17:56
@ Trekker | 15 août 2016 à 15:31
"Macron a épousé son professeur de 24 ans son aînée, ne désire pas et ne peut avoir d’enfant d’elle (cas pas si rare chez des couples n’ayant guère de différence d’âge)...
Eueueuh, je ne sais l'âge que vous avez mais je suppose/crois que Madame Macron est surtout ménopausée et que c'est la raison pour laquelle elle ne peut avoir d'enfant avec lui.
Du coup votre : "cas pas si rare chez des couples n’ayant guère de différence d’âge" me semble un tantinet, disons... inconvenant ;)
Rédigé par : breizmabro | 15 août 2016 à 16:20
Ils sont tous devenus bigots, Juppé c'est Lourdes tant qu'à faire, Sarkozy pas trop loin des plages et du bling bling, lui a choisi la messe du Lavandou.
Si cela continue à ce rythme, le pape va recevoir en masse des candidatures pour de futures audiences. Politique et religion sont les deux mamelles de la France. Et Hollande qu'en est-il ? Silence radio, il convole sans doute en toute discrétion, lui dans tous les cas occupe le siège et c'est tous les jours qu'il se rend à confesse.
Rédigé par : Giuseppe | 15 août 2016 à 16:01
Et la politique, bordel !?...
Sommes-nous encore une nation capable de penser, parler et agir, c'est-à-dire capable d'avoir une politique, ou ne sommes-nous plus qu'une peuplade juste apte à faire cercle autour de son roi et, quand l'envie lui prend, à lui lancer pierres et crachats ?
On s'en fiche de Macron - et de sa femme, et de ses autocars - et de Sarkozy - et de ses femmes, et de ses rodomontades.
On aimerait entendre des propositions, des propositions fondées sur un constat lucide des choses telles qu'elles sont, des propositions respectant les principes qui sont les nôtres, des propositions montrant une route, un avenir, un espoir, pour la France et le monde...
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 15 août 2016 à 15:55
@ Robert Marchenoir |e 14 août 2016 à 23:17
"Entre Macron qui a épousé son professeur de 24 ans son aînée, Hollande qui ne s'est jamais marié et Sarkozy qui l'a fait plusieurs fois, aucun ne semble trouver grâce aux yeux des Français. Depuis quand ceux-ci se sont-ils transformés en conseillers conjugaux improvisés et en inspecteurs vétilleux des draps présidentiels ?…….. ou plutôt si : des maîtresses, mais à côté, de la main gauche, comme le petit père Chirac, à qui on n'a jamais reproché son manque de "responsabilité", son "immaturité" ou son "mépris des valeurs familiales", et qui pourtant sautait sur tout ce qui bougeait autour de lui, au vu et au su de tout le monde - et en particulier de son épouse."
Pour une fois encore totalement d’accord avec vous ! Toutes les frasques de nos politiques ne sont que vétilles, si aux yeux de certains elles sont semi-cachées et qu’ils donnent l’illusion que le modèle familial traditionnel est respecté.
Macron a épousé son professeur de 24 ans son aînée, ne désire pas et ne peut avoir d’enfant d’elle (cas pas si rare chez des couples n’ayant guère de différence d’âge), et semble lui être fidèle (quasi péché au regard de nombre de ses concurrents passés et actuels), en quoi tout cela influe-t-il sur ses aptitudes à briguer de hautes fonctions ?
Etrangement tous ceux qui ne sont que sarcasmes sur sa situation matrimoniale ne trouvaient aucune incompatibilité entre les ambitions politiques affichées, et les pulsions sexuelles insatiables, d’un DSK. Ces dernières pouvant amener à douter de l’équilibre psychologique du personnage, et le mettre en situation fâcheuse dans l’exercice de ses fonctions : ce fut le cas lors de sa présidence du FMI. Sa réputation largement usurpée de grand économiste, propagée par tous nos médias (de L'Obs au Figaro), et être l’époux d’une journaliste ayant peu d’écart d’âge avec lui, cela lui valait l’absolution pour toutes ses frasques et dont nombre ne relevaient pas de la séduction !
Rédigé par : Trekker | 15 août 2016 à 15:31
@Robert Marchenoir-14 août 2016 à 23:17
Très bien résumé, tout est clairement dit. Certains s'y reconnaîtront dans leur lâcheté.
Rédigé par : Ellen | 15 août 2016 à 15:24
50 ans et toutes ses dents et... 74 ans... Je peux tout comprendre mais à un moment les courbes vont se croiser mais pas dans le bon sens.
Pas grand monde doit savoir sauf ceux qui ont emprunté la même route qu'eux, le reste, tout le reste c'est parler quand on n'a rien à dire.
Rédigé par : Giuseppe | 15 août 2016 à 14:33
@Herman Kerhost 15 août 2016 à 11:26
"Pitié, rendez-nous le septennat, tous les cinq ans c'est trop ! Pourquoi pas dix ans, tiens ?"
Surtout pas ! Un mandat de cinq ans, éventuellement renouvelable ou pas est préférable que de subir pendant sept ou dix ans un exécutif incompétent et qui a trompé son monde. Personne n'aime être sous la torture longtemps. Le pire est de s'endormir sur ses lauriers et dire "ça va mieux" alors que la France est en ébullition et à sang depuis quatre ans.
Un jour, une personne (un amiral que j'ai bien connu) m'a demandé si je votais, puis a ajouté : si vous ne vous occupez pas de la politique, la politique s'occupera de vous. En peu de mots, j'ai vite saisi le message, c'est clair !
Ce n'est pas la politique qui est fatigante, mais les hommes politiques et leurs discours hypocrites.
Rédigé par : Ellen | 15 août 2016 à 13:47
Il y avait une chanson que chantait Serge Reggiani ("Il suffirait de presque rien") qui disait (extrait) :
"...vois les rides qui nous séparent
A quoi bon jouer la comédie
Du vieil amant qui rajeunit
Toi-même ferais semblant d´y croire
Vraiment de quoi aurions-nous l´air
J´entends déjà les commentaires
"Elle est jolie, comment peut-il encore lui plaire
Elle au printemps, lui en hiver"
Chanson réaliste comme on disait dans l'temps ;-)
La photo, sans doute volée puisque M. Macron veut protéger sa famille, m'a fait penser à cette chanson.
Certes sa femme est "bien conservée" comme disent les femmes "vénères" de ne pas l'être (si la photo n'est pas reshopée), mais quand même...
Ceci dit, s'ils sont bien ensemble "pourvu que ça dure..." et que l'homme de soixante ans qui n'a jamais eu envie de se promener au bras d'une jolie femme de 35 ans lui jette la première pierre ;-)
Rédigé par : breizmabro | 15 août 2016 à 12:20
@Xavier NEBOUT 15 août 2016 à 10:53
Ca vous gratte ou ça vous démange ? Moi je privilégie l'esprit, le coeur et l'intelligence, et vous vous descendez en dessous de la ceinture. Vous devez être très malheureux de ce côté-ci. Faites-vous aider et vous serez moins acariâtre.
Rédigé par : Ellen | 15 août 2016 à 12:06
Je trouve assez lamentable pour ne pas dire plus les critiques dont font l'objet Emmanuel Macron et sa femme quant à leur différence d'âge.
E. Macron est courageux de se montrer en photo avec sa femme en sachant que des crétins ne vont pas se gêner de leur jeter des propos minables dans les commentaires de blog. Ne parlons pas de ce qui se dit au comptoir des bistrots, mais ce qui s'y dit au moins n'en sort pas.
Rédigé par : Herman Kerhost | 15 août 2016 à 11:26
Pitié, rendez-nous le septennat, tous les cinq ans c'est trop ! Et pourquoi pas dix ans, tiens ?
Ras le bol de la politique tous les matins, que ce soit avec Sarkozy, Hollande, Valls... ils me gonflent tous !
Rédigé par : Herman Kerhost | 15 août 2016 à 11:12
@Ellen, genau
Si le bon sens populaire préconisait depuis l'éternité de se marier avec un écart d'âge de dix, quinze ans entre homme et femme, c'était parce que cela comblait à la fois l'écart de maturité et la fragilité physique ; et c'est malheureux d'avoir à le dire.
Il faut ne pas voir plus loin que le bout de son nez pour ne pas savoir que se marier avec une femme de vingt-quatre ans plus âgée, cela peut encore faire illusion à 20/44 ans, mais qu'à 50/74 ans, la catastrophe se sera produite depuis longtemps.
Il faut en outre être sérieusement faible d'esprit (au sens d'intention sur soi), pour ne rien vouloir savoir des problèmes que soulèveront les problèmes de descendance.
Bref, comment ne pas voir que ce Macron capable de mettre sa vie en l'air pour une tocade, si ce n'est celle d'autres par la même occasion, n'est qu'un pauvre type aux prises avec de gros problèmes psychiques voire mentaux.
Quant à ses convictions politiques, elles sont assurément guidées par la tolérance socialiste à la dégénérescence, car à droite, il se ferait payer sa tête tous azimuts.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 15 août 2016 à 10:53
@semtob 15 août 2016 à 01:12
Quoi !? Emmanuel Macron 39 ans, est un puceau dites-vous ? L'homme en pleine fleur de l'âge aurait bien des choses à vous apprendre. Suivez mon regard ! Comme quoi il vaut mieux balayer devant sa porte que de répéter les potins des voisins ignorants.
M. Bilger, pardonnez à tous ceux qui dérapent sur votre billet. Certains ont allumé la brèche et ça se termine par une bataille de polochons.
Rédigé par : Ellen | 15 août 2016 à 10:35
@Ellen | 15 août 2016 à 09:28
Je n‘aurais pas mieux dit !
@genau | 14 août 2016 à 18:38
C’est sans doute mon côté Montebourg, champion du « made in France ».
Rédigé par : Achille | 15 août 2016 à 10:24
Sarkozy, Juppé, Hollande, tous des "has been" moralement corrompus et ayant prouvé leur incapacité et leur incompétence, dont les Français, très majoritairement, ne veulent plus. Le Maire, Macron ? Encore de jeunes branleurs qui ont à faire leurs preuves dans des postes politiques d'envergure.
Alors qui ? Ben voyons, il n'y en a qu'une de valable : Marine ! Il lui faut être au second tour devant Hollande ou un autre gauchiasseux. Elle aura alors des chances de l'emporter. C'est pourquoi il faut tout faire, tout organiser pour que la droite continue à s'entretuer afin qu'elle arrive décimée à l'élection.
Marine élue, je sais ce qui va se produire. Cela a été dit plusieurs fois déjà sur ce blog. La gauche va essayer de déclencher une insurrection armée pour tenter de s'y opposer. A propos de la gauche française dans son état actuel, je vous invite à lire l'article suivant :
"http://ripostelaique.com/lhomme-de-goche-2016-est-un-traitre-qui-na-aucune-chance-de-survie.html"
Il est écrit par un ancien syndicaliste du livre CGT, un rouge donc, qui a viré sa cuti. Il écrit également sur le site "Boulevard Voltaire" à côté, et aussi souvent, que notre ami Philippe Bilger. Sent donc un peu le soufre, mais pas trop.
Retour sur l'insurrection à venir, si Marine est élue. Tenez-vous bien, les cocos. L'Armée française, si dénudée soit-elle, y compris ses maigrichonnes réserves, s'y prépare, au moins moralement. L'insurrection armée sera réprimée, conformément à la loi républicaine, et dans le strict respect de celle-ci, sans mollesse, sans pitié, sans compromission.
Rédigé par : Yssandre | 15 août 2016 à 10:16
Pourquoi donc s'acharner à se demander si untel est de gauche ou de droite, c'est la même chose. Tous les deux ont le syndrome lénino-marxiste chevillé au corps, la haine des gens qui réussissent en dehors de l'Etat, gravement mussoliniens en cela "Tout par l'Etat, rien hors l'Etat, rien contre l'Etat", et comme tels (chouette, l'enthymème), un tantinet fascistes.
Dès lors, comment s'en étonner, papa Adolf et frère Benito étant tous les deux férus d'islam, ce qui irrite Sidi Tariq, on a le cercle parfaitement ubuesque des démocrates gourmands de collectivisme, comme l'écrit Papy Valéry dans ses Mémoires pour l'avoir constaté de visu.
Sans doute, le collectivisme français est-il relativement doux, mais grincheux et bassement fonctionnaire bien qu'en cette mouvance surnagent quelques génies de l'organisation et de lucides administrateurs de la compétence nationale, de telle sorte qu'en gros nous pouvons dormir tranquilles.
Je lis que des femmes syriennes ont brûlé leur burqa, à la libération de je ne sais quelle ville. Montage ? Bluff ? Hoax ? Peu importe, elles n'auraient pas dû, mais bien les offrir à leurs coreligionnaires françaises qui s'en délecteraient et notamment la pauvre El Khomri la "brave fille" dit-on dans le Milieu, cocue, battue et contente.
Ceci pour avancer que le livre de Pierre Jacquemain paru ces jours-ci, obtenu en privilège, mais sans envoi, traite sans ambages Hollande d'homme de droite, Alors, pourquoi ratiociner sur une opposition ; un homme un vote un président : Francesco des Pays-Bas, de droite pour les vrais gens de gauche et de gauche pour les vrais gens de droite. Efferalgan ?
Rédigé par : genau | 15 août 2016 à 10:15
@Robert Marchenoir | 14 août 2016 à 23:17
"Entre Macron qui a épousé son professeur de 24 ans son aînée, Hollande qui ne s'est jamais marié et Sarkozy qui l'a fait plusieurs fois, aucun ne semble trouver grâce aux yeux des Français. Depuis quand ceux-ci se sont-ils transformés en conseillers conjugaux improvisés et en inspecteurs vétilleux des draps présidentiels ? "
Vous allez bien vite en besogne, mon cher. De ces trois personnages publics, seuls deux sont concernés par la fonction présidentielle.
D’autre part, l’inspection des draps ne concerne traditionnellement que ceux du lendemain de la nuit de noces en tant que preuve de la virginité de l’épousée. Là aussi, nous sommes a priori, loin du compte.
Enfin, si la gestion des affaires du pays satisfaisait les Français, ils ne seraient pas obligés d’investiguer jusque sous les matelas pour dénicher le petit pois qui blesse.
Je précise l’allusion qui fait référence au conte d’Andersen, La princesse au petit pois dont voici le bref résumé Wikipédia : « Dans un lointain royaume, un prince est à la recherche d'une princesse parée des plus belles qualités pour l'épouser. Il voulait épouser ce qu'il appelle une "vraie princesse". Bien qu'on lui présentât des princesses, aucune ne trouvait grâce à ses yeux, car aucune ne lui semblait être une "vraie princesse".
Une nuit d'orage, une jeune femme trempée qui dit être une princesse se présente à la porte du château pour demander l'hospitalité. La reine, bien décidée à trouver une épouse digne de son fils, l'accueille et la fait dormir sur une pile de 20 matelas et de 20 édredons en plumes d'eider sous laquelle elle avait auparavant placé, à dessein, un petit pois. Le lendemain matin, lorsque la reine demande à la princesse si elle a bien dormi, celle-ci lui répond qu'elle a passé une nuit épouvantable, gênée qu'elle a été par la présence de quelque chose de si dur que son corps est couvert d'hématomes. Une peau aussi sensible ne pouvait être que celle d'une authentique princesse. Persuadé alors de sa délicatesse, le prince l'épouse et le petit pois devient une des pièces maîtresses du musée royal. »
Qui donc place des petits pois sous les matelas de l’Elysée de telle sorte qu’au matin, nos délicats hommes politiques ne sont plus bon à rien ?
La cueillette des petits pois dont on fait la soupe d’oie aux petits pois semble même intégrée à certains programmes Erasmus. C’est dire si le pois c’est quelque chose !
Rédigé par : Catherine JACOB | 15 août 2016 à 09:31
@semtob 15 août à 01:12
"Eh oui, il n'y a qu'un candidat qui puisse apporter des réponses, et c'est Nicolas Sarkozy. Macron a prouvé son incompétence en économie et en diplomatie. En dehors de son caractère opportuniste et narcissique, la majorité des Français voit en lui un puceau."
Comme vous y allez ! Heureusement que la mémoire ne flanche pas chez tout le monde. Sarkozy, seul candidat qui puisse apporter des réponses ? Lesquelles ? Celles copiées sur le FN en grande partie et depuis quelques mois pour aller dans le sens de la majorité des Français qui n'en peut plus de voir deux opportunistes nacissiques à la tête de l'Etat ? NS et FH sont deux grands menteurs qui ne regardent que leur nombril. Pour ne pas rester en queue de peloton Sarkozy est prêt à se vendre pourvu qu'on l'aime, qu'on lui dise t'es le meilleur, t'es le plus beau, t'es notre sauveur, et blablabla. Dites-moi, vous n'en avez pas marre de manger un plat réchauffé puis servi cramé au bout de la troisième fois ? Entre les paroles et les actes, je préfère les actes.
A force de tourner en rond et toujours avec les mêmes, on va tous agoniser. Ouvrons portes et fenêtres pour faire rentrer un nouvel air.
Macron aura 39 ans en décembre cette année et c'est un garçon intelligent et loin d'être opportuniste. C'est un âge où on s'affirme, où on veut montrer que l'on peut être capable de faire mieux que les précédents qui ont tous échoué et nous ont emmenés au fond du gouffre. Alors pourquoi ne pas laisser à E. Macron une chance ne serait-ce une première fois et l'aider dans ses projets qui sont loin d'être idiots ? Attendez encore quelques semaines. Les primaires n'ont pas encore commencé que déjà vous démolissez celui qui n'a pas encore mis sur la table tous ses projets.
Rédigé par : Ellen | 15 août 2016 à 09:28
Cher Philippe,
Eh oui, il n'y a qu'un candidat qui puisse apporter des réponses et c'est Nicolas Sarkozy.
Macron a prouvé son incompétence en économie et en diplomatie. En dehors de son caractère opportuniste et narcissique, la majorité des Français voit en lui un puceau de la politique. Certes, il plaît aux journalistes femmes, et alors, cela ne lui confère absolument pas les qualités d'un présidentiable !
Il saura rejoindre Nicolas Sarkozy. Il a déjà travaillé avec lui.
Vous n'avez pas l'impression qu'au jeu des essais et erreurs les Français n'ont pas assez donné ?
Au parking les beaux parleurs, les charmeurs des plages et en route vers l'action, la prise de décision, les objectifs, la clarté.
Maintenant considérer ou oser la comparaison entre un parti extrémiste et le parti républicain, c'est presque vouloir faire passer les anges pour des canards sauvages. Le parti extrémiste qui vise la présidence aurait donc l'envie de faire avancer le projet européen, aurait donc renoncé au protectionnisme dont les effets commencent à se voir avec l'expérience du Brexit.
Les syndicalistes de gauche, les militaires, les enseignants, les personnes âgées, les agriculteurs, les libéraux regrettent le quinquennat de Sarkozy, alors que nous subissions la plus grave crise économique depuis les années trente.
La seule réponse : Nicolas Sarkozy qui saura trancher et relancer notre pays.
françoise et karell Semtob
Rédigé par : semtob | 15 août 2016 à 01:12
Bonsoir ! J'ai une gêne au @genau...
Rédigé par : calamity jane | 15 août 2016 à 00:31
Funeste caractéristique de l'époque que celle qui consiste à juger les dirigeants politiques par leurs femmes.
Entre Macron qui a épousé son professeur de 24 ans son aînée, Hollande qui ne s'est jamais marié et Sarkozy qui l'a fait plusieurs fois, aucun ne semble trouver grâce aux yeux des Français. Depuis quand ceux-ci se sont-ils transformés en conseillers conjugaux improvisés et en inspecteurs vétilleux des draps présidentiels ?
La sale manie gauchiste de psychanalyser tout le monde à bout portant a certainement joué. Mais enfin, il fut un temps où l'on se contentait de demander aux dirigeants de bien diriger. Jadis, les Français se flattaient même de ne pas juger leurs chefs à l'aune de leur vie privée. Il y avait la politique, et puis il y avait le reste. Seuls les Américains, ces imbéciles, étaient "puritains", et demandaient des comptes à leur président pour s'être livré, dans son bureau, à des activités qui ne se pratiquaient, naguère, qu'avec des prostituées.
Aujourd'hui, tout le monde se prend pour un directeur des ressources humaines du CAC 40, et se livre à cette déplorable habitude consistant à pratiquer la transparence totale sur le moindre candidat à un emploi de coursier. Votre vie nous appartient, parce que, vous comprenez, vous allez peut-être porter les valeurs de l'entreprise, donc il est important que nous sachions ce que vous faites dans votre chambre à coucher.
Mais le facteur le plus important est sans doute que les Français demandent à leur président d'incarner à leur place les vertus qu'ils ont eux-mêmes abandonnées depuis longtemps. Ils exigent de leurs candidats à l'Elysée qu'ils se conforment au modèle de papa, maman, la bonne et moi, à l'heure où plus personne ne vit ainsi.
Donc : une femme, épousée, ni trop jeune ni trop vieille, des enfants, pas de maîtresses, ou plutôt si : des maîtresses, mais à côté, de la main gauche, comme le petit père Chirac, à qui on n'a jamais reproché son manque de "responsabilité", son "immaturité" ou son "mépris des valeurs familiales", et qui pourtant sautait sur tout ce qui bougeait autour de lui, au vu et au su de tout le monde - et en particulier de son épouse.
Les Français veulent un demi-dieu à leur tête : un homme parfait, doté d'une famille exemplaire mais séducteur, cultivé mais homme d'action, distingué mais bagarreur dans l'arène internationale, proche du peuple mais doté d'un gros charisme, admiré par les étrangers mais défendant les intérêts de la France...
Ca ne va pas être possible : regardez-vous.
Au demeurant, il faut être tordu pour consacrer sa vie à la politique et chercher à diriger un pays entier. Demander, en plus, aux candidats à la fonction suprême d'avoir une vie familiale conventionnelle jusqu'à la caricature, c'est un manque de sagesse caractérisé.
Que nos dirigeants s'emploient à bien remplir les fonctions dont ils sont chargés, c'est cela qui compte et c'est déjà bien difficile. Après, chacun se débrouille pour mener sa vie dans le contexte parfaitement anormal du combat politique.
A cet égard, une curiosité excessive est indécente, des exigences déraisonnables sont pure folie.
Et puis, prenez garde que vos exigences ne soient satisfaites. Que dis-je : elles le sont déjà. Quand Sarkozy nous assure, en conférence de presse, "qu'avec Carla, c'est du sérieux", ou que Hollande fait un communiqué à l'AFP pour annoncer qui partage et qui ne partage pas son lit, cela "rabaisse la fonction présidentielle". C'est bien comme cela qu'on dit, n'est-ce pas ? Ne demandez pas, et vous n'obtiendrez pas. Il faut savoir ce que l'on veut.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 14 août 2016 à 23:17
@ Xavier Nebout
Vous voilà bien sévère. Répudieriez-vous Diane de Poitiers après son interversion de rôle avec M. de Brézé, bon, je vous laisse Henri VIII, mais je garde Mahomet, le poilu gérontophile.
S'il est vrai que ce sont souvent les hommes qui sont plus âgés c'est qu'ils ont l'argent, rien de plus. Or, Mme Macron est charmante, apparemment sans fortune tapageuse, fichtrement bien entretenue et soignée. Il n'y a rien là-dedans de vilain et puis, entre nous, de quoi je me mêle ?
Rédigé par : genau | 14 août 2016 à 22:54
@Ellen | 14 août 2016 à 17:04
Entièrement d'accord avec vous. J'allais faire un commentaire dans ce sens mais vous m'avez devancé. Mais venant de XN il ne faut pas s'étonner de ce genre de propos stupides.
Rédigé par : Achille | 14 août 2016 à 22:34
@Xavier NEBOUT | 14 août 2016 à 10:27
"Il en faut peu pour révéler ce que vaut un homme politique.
Au mois de juillet, E. Macron a fait plaisir aux avocats en étendant leur monopole aux appels en matière sociale."
A savoir ?
Rédigé par : Catherine JACOB | 14 août 2016 à 21:52
"...avec sa belle épouse en couverture..." (PB).
Euh... A la décharge de notre hôte on peut comprendre qu'avec l'âge on les trouve toutes belles...
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NS ne sera pas le futur président car en somme ce serait se renier, les selfies c'est pour les copains et les réseaux sociaux, mais dans le fond plus personne ne veut de lui, tous de se demander comment l'en éloigner.
FH est dans la même posture, sauf qu'il sera légitime dans son camp, ce qui pourrait le faire réélire. Diable ! Dire que l'on devra reconstruire avec des matériaux obsolètes, le guerrier guimauve avec son casque sur le nez et le vindicatif dont plus personne ne veut. Drôle d'avenir, drôle d'histoire pour un pays qui joue à cache-cache avec son devenir.
Le pays a peur de se renouveler, BLM est un faire-valoir, NKM la grande bourgeoise intellectuelle court après des soutiens qui viendront sans doute mais elle n'incarne pas l'état du pays.
Alors ? Plus l'échéance approche moins on y voit clair.
La lutte finale sera féroce, le FN tapi dans son coin écorchera au passage ce qui se présentera, et dans le fond tout le monde inquiet de la posture de celui-ci et du niveau des sondages à venir.
Rédigé par : Giuseppe | 14 août 2016 à 20:39
Sarkozy versus Macron, la belle affaire !
Abonné à Valeurs actuelles, je n'ai même pas regardé les pages consacrées à Sarko, j'ai déjà donné.
Quant à Macron, un type qui sort quelques propos timidement iconoclastes sur l'économie, mais qui ne dit mot d'une vision de la France, de l'immigration, de l'islam, etc.
Un gus marié avec sa maman, qui fuit toute responsabilité...
Une pure création médiatique.
Bref, entre les branquignols de l'UMP, Sarko, Juppé, Le Maire, NKM et les pieds nickelés de la gauche, qui ont tous participé aux différents gouvernements qui, depuis 42 ans, ont conduit la France vers le désastre que nous vivons, nous sommes mal barrés.
Rédigé par : Philippe Dubois | 14 août 2016 à 19:55
@ eileen : trop tard, page disparue.
@ Franck Boizard : bravo, bravissimo, je lis des ouvrages de physique à la place.
@ Denis Monod-Broca : chic, encore un qui a tout compris. Hélas !
@ Marc Ghinsberg : très juste, en tout cas, meilleur scenario.
@ caroff 1 : devrait développer. @ caroff 2 : et après ? On joue au scrabble ?
@ Xavier Nebout 1 : l'anti-Ghinsberg, ben oui, ça se tient. Xavier Nebout 2 : Fi donc, vous dédaignez Diane de Poitiers.
@ vamonos : ça c'est le western in sweet Gallia.
@ breizmabro : où ? Mais au b... voyons.
@ calamity jane : le pire n'est pas toujours certain.
@ Achille : français jusqu'au bout des ongles. Ca se fait rare.
@ Deluré : c'est sérieux, mais ça n'avance pas. Fric, corruption et coups tordus.
@ Claude Luçon : heureusement que vous n'en êtes pas l'évêque, il passerait un sale quart d'heure le Micromégas.
@ jack : ça se peut, et ça serait drôle de voir la tronche des Français.
My own foreseeing : victorious Hollande, just for the funny side of the threat.
Et toutes mes excuses pour la ballade des gens désespérés.
Rédigé par : genau | 14 août 2016 à 18:38
En résumé, l'un radote, l'autre s'entoure de mystère, et les deux ne disent rien. Tout cela est aussi vide que les images de style publicitaire où ils apparaissent.
Plutôt déprimant.
Comme de critiquer Macron parce qu'il a une femme plus âgée que lui, quelqu'un ayant dit un jour que c'était pour se rassurer comme une honte, comme si chacun n'essayait pas de se rassurer. Mais j'ai une autre idée. Macron croit visiblement qu'il a un trop-plein d'idées pour sauver le pays, eh bien, il croit peut-être aussi avoir un trop-plein d'énergie pour cela comme aussi pour soutenir sa femme, plus âgée que lui, de sa jeunesse... Il y aurait là une cohérence.
Ce ne serait pas antipathique, mais bon, voyons la cohérence, l'invention des idées politiques, des actes... Les "mystères" se décantent avec le temps.
Rédigé par : Noblejoué | 14 août 2016 à 18:16
@ caroff | 14 août 2016 à 10:34
En lisant le texte de Marc Ghinsberg on en dégage plus un sentiment de désespoir que de plaisanterie.
Les Américains ont le problème d'avoir à trancher entre Hillary Clinton et Donald Trump, Marc Ghinsberg nous prédit le duel Hollande-Sarkozy, comme toujours, hélas, nous prenons modèle sur les USA.
Rédigé par : Claude Luçon | 14 août 2016 à 17:28
Emmanuel Macron est le ministre le plus courageux qui soit - il l'a démontré à plusieurs reprises - et en même temps il offre une personnalité qui porte le pluralisme en son sein, qui n'arrive pas tout armée dans l'espace républicain et fuit, sur beaucoup de sujets, les poncifs habituels, qu'ils soient ceux de la mansuétude et de la superficialité socialistes ou ceux du simplisme de droite.
J'ignore s'il est vraiment courageux, admettons-le, toujours est-il que le temps n'est plus aux subtilités à propos d'un quelconque pluralisme magique, d'un espace républicain mythique, ou bien des caractéristiques supposées de la vraie gauche et de la fausse droite mais désormais - puisque nous avons changé d'époque ces dernière semaines - aux résolutions dépourvues de tout esprit de compromission ou de modération qui s'imposent désormais pour mener avec détermination et sans états d'âme une lutte qui s'annonce implacable.
Le problème est que ce genre de situation ne figurait manifestement pas au programme de l'ENA.
Mais là où nous aurions besoin d'un Churchill, on nous sort des apparatchiks de l'arrière-boutique, tel un stock de Polichinelles à grelots...
@Xavier Nebout
Se marier avec une femme de 20 ans son aînée, c'est de l'irresponsabilité à l'égard de tous y compris de l'autre et de soi-même, de l'immaturité limite débile, et en somme de l'imbécillité.
Agatha Christie conseillait aux femmes d'épouser un archéologue - ce qui était son cas - en leur disant : « plus vous vieillirez, plus il vous aimera ».
Rédigé par : Exilé | 14 août 2016 à 17:24
Ça me paraîtrait tout de même un peu embêtant de voter pour un mystère. Certes le risque provoque une certaine ivresse, mais autant avoir une idée pas trop ambiguë de la personne qu'on élit. En ce qui concerne la naïveté, assumée ou pas, à la tête de l'Etat, elle m'inspire une grosse inquiétude, suis-je normale ? Mais ce ne sont que des supputations dans le vide, puisque Macron ne se présentera pas à la présidentielle. Je ne sais pas trop quoi penser de sa jolie épouse, qui, enseignante, a laissé un élève adolescent lui faire la cour. Ah l'amour, l'amour... Tiens, le photographe de Paris Match fait encore poser ses modèles comme dans les années 50. Bizarre tout ça.
Les Anglais, eux, ont dit : "Theresa May est ennuyeuse, elle a l'air d'une maîtresse d'école, mais c'est ça qu'il nous faut".
Rédigé par : Lucile | 14 août 2016 à 17:20
Enfin une bonne nouvelle. Le tribunal administratif a conforté l'arrêté municipal de la mairie de Cannes pour l'interdiction des burkini sur les plages et lors des baignades en mer. Villeneuve-Loubet, près de Nice, a emboîté le pas dans le même sens. J'espère que toutes les mairies prendront le même arrêté municipal pour dire non au burkini et que tous les tribunaux administratifs départementaux se mettront d'accord pour soutenir cette décision. Une nouvelle provocation risque de mettre une poudrière dans l'ordre public. Si la France est forte, comme dit Hollande, alors prouvons tous à ces provocateurs islamistes que nous ne sommes pas des soumis ni des mollassons ni des faibles.
L'incroyable : les associations de la communauté musulmane et le CRIF veulent déposer plainte pour discrimination. Je répète, si plainte il y a, alors poubelle !!
@Xavier NEBOUT 14 août 2016 à 15:11
Hello ! Seriez-vous macho à ce point ? Dites-moi en quoi Emmanuel Macron serait-il irresponsable que d'aimer une femme, jolie en plus, de vingt ans son aînée et de l'avoir épousée ? Macron, lui au moins a le sens des vrais sentiments, comme dans "Autant en emporte le vent". Et ce n'est pas à vous de le juger et de l'insulter. Macron, lui au moins est fidèle à sa belle et n'envie pas d'autres hommes de chasser au berceau. Ce n'est pas son truc !!
Je vous renvoie la balle. Pierre Moscovici, 57 ans, chauve, moche, coureur de jupons, divorcé laissant trois enfants, puis séparé d'avec une jeune femme de 25 ans, blonde, très jolie, intelligente, cultivée, qu'il ne méritait d'ailleurs pas, Moscovici s'est remarié en juin 2015 avec une femme âgée de 35 ans et pardon, inspectrice des finances. Pour garder la caisse du ménage ? On verra combien de temps ça va durer...
Et que penser de F. Hollande, de DSK, et de tant d'autres. Beurk !!
Rédigé par : Ellen | 14 août 2016 à 17:04
Sarko est allé rencontrer au Maroc le roi en juin 2015 et plus récemment un prince Saoudien. Je me demande si c'est pour obtenir des financements.
Hollande rêve d’être réélu en passant "par un trou de souris", vaste programme. Macron marche au bras de maman vers on ne sait où. Rien qui fasse sens ...Fillon est inaudible alors qu'il a de bonnes idées mais peut-être pas la volonté de les mettre en œuvre. Tout ça finira mal.
Rédigé par : Paul | 14 août 2016 à 16:23