On commence par avoir une idée.
Tout ne dépend pas de lui certes mais il y a des lignes de force qui se dessinent et des tendances de la personnalité qui s'imposent.
Emmanuel Macron, aujourd'hui, a fini par enlever le haut.
Une intelligence fulgurante. Une passion philosophique et conceptuelle, un goût des échanges et des dialogues sans exclusive.
Un être riche, avec l'illimité d'un esprit ouvert, face à la profusion du monde, à la complexité de la vie et à la pluralité de ses acteurs.
De la reconnaissance car il sait ce qu'il doit à François Hollande.
De l'orgueil bien placé car il sait ce qu'il vaut et ce que le président de la République lui a dû.
Créanciers l'un de l'autre en quelque sorte. Mais, au grand jamais, "l'obligé" de François Hollande.
N'ayant jamais mis sa langue dans sa poche, sa liberté sous l'éteignoir et sa conception du progressisme en veilleuse. A la fois loyal, longtemps, mais vigilant, critique, sans la plaie d'une quelconque inconditionnalité.
Sa fidélité, au fil du temps, a pris des coups, on lui a fait violence et le Premier ministre l'a souvent rendue méritoire. On comprend qu'elle n'ait pas été à toute épreuve. Mais Emmanuel Macron est cependant parvenu à distinguer jusqu'au bout la chaleur de la relation humaine de la lucidité de l'approche politique.
Le refus d'être enfermé dans des prisons dont, avant, il n'aurait pas décrété la nécessité. Une liberté d'expression qui était d'abord l'expression d'une liberté au coeur de son tempérament.
Aucune détestation de la médiatisation mais avec une apparente fraîcheur, une feinte naïveté qui ont du charme. Désiré, il se montre.
Des mondanités qui peuvent agacer. Mais partout avec une allure qui ne rompt pas avec une élégante discrétion. Des contraires qui ne "jurent pas". Une grâce qu'il ne devra pas dilapider.
Un ministre qui a eu du courage contrairement à beaucoup de ses collègues. Il n'a pas fui les contacts même les plus rugueux en même temps qu'il a accepté les mille douces servitudes d'une célébrité qui, très vite, l'a constitué comme un responsable à part. Il n'est pas tombé dans la démagogie républicaine consistant à valider des grossièretés, des vulgarités qu'on ne se sentait plus capable d'empêcher en rappelant, dépassant son cas, "qu'on ne traitait pas les ministres ainsi".
Atypique au sein du pluriel gouvernemental. Solidaire sans excès mais sincère aussi quand il affirme se méfier des aventures personnelles et faire fond sur le collectif. Convaincu également que le je n'a pas à être étouffé par le nous.
Mais il a démissionné - "pas un coup de poignard" (Le Point) mais un coup de cohérence. Dorénavant il est totalement comptable de lui-même.
Avec probablement cette ivresse face à un futur qu'il aura à modeler avec ses dons et ses faiblesses et cette crainte de n'être pas à la hauteur de ce qu'il se sent capable d'accomplir et qu'on attend de lui. Entre la bulle qu'il serait, moquée par certains et l'immense avenir présidentiel qui lui est prêté par d'autres, il y aura la réalité d'une quotidienneté où il devra penser, convaincre et se multiplier. Séduire non plus forcément par sa différence mais grâce à son identité propre.
Il a une sensibilité de gauche. Il est de cette mouvance si vague qu'elle permet toutes les partitions.
Il n'est pas socialiste.
Il a créé En Marche pour dépasser la droite et la gauche.
Il a dénoncé vigoureusement les conservatismes de la gauche orthodoxe et s'est trouvé vite confronté à la sympathie de la droite classique pour sa cause et ses provocations. Tout ce qui nuisait à François Hollande était parole bénie (Le Parisien).
Il pourfend le projet de Nicolas Sarkozy et sa démarche brutale et clivante mais, dans le même mouvement, impute au président de la République, avec lequel il a été à plusieurs reprises en désaccord, "d'avoir fait beaucoup de choses à moitié". Son constat dans l'euphémisme n'est guère brillant mais il ne paraît pas mettre en question le logiciel ni récuser le dogme ayant inspiré ces réformes inachevées (JDD).
C'est sans doute ce qui le distingue encore de la droite intelligente ou d'un centre autonome, pas mou au point de se ruer vers lui sans attendre comme s'il était une auberge espagnole fiable d'emblée et ouverte à tous les vents.
Où est Emmanuel Macron, alors, vraiment ? Dans une gauche qui n'existe pas, dans une droite qui aurait oublié le sommaire au profit de l'imaginatif ? Dans un Hollande moins bavard, plus actif, qui aurait réussi ? Dans un Juppé jeune qui serait, en plus, naturellement chaleureux ? Dans un passé lointain revisité ? Dans ce qui aurait pu ou dû être, ou dans un inconnu encore total ?
Il a conscience de son étrange ancrage puisqu'il ne veut rien moins que "changer la politique" ou "dénoncer le cynisme du système politique".
Cette aspiration à une révolution intellectuelle, morale, politique est-elle une habileté suprême pour continuer à faire comme avant - la France adore les subversifs de façade qui ne changent rien à la réalité des choses et à nos habitudes de citoyens ! - ou au contraire l'affirmation enfin claire que, malgré une déception largement majoritaire, un autre avenir est possible ? Avec des pratiques nouvelles, des pensées plus préoccupées de leur justesse que de leur capacité d'opposition et des chefs au sens propre incomparables ?
On saura bientôt.
Quand Emmanuel Macron va commencer à enlever le bas.
Sa force infiniment porteuse aujourd'hui est que la France a un besoin tellement éperdu de confiance et d'espoir qu'elle est prête aussi bien à s'abandonner à un pire programmatique qui n'a jamais été essayé, le Front national, qu'à un meilleur paré de l'aura de virtualités somptueuses : lui-même.
@Robert | 10 septembre 2016 à 12:38
répondant à Robert Marchenoir
N'insistez pas ! Il va vous traiter de psychopathe !
Rédigé par : Deviro | 10 septembre 2016 à 22:13
@ Robert Marchenoir | 09 septembre 2016 à 12:00
Il est évident que je ne suis guère surpris de votre longue réaction dont le contenu ne saurait réclamer de ma part un long développement, même si je reconnais volontiers la qualité de votre style et partage parfois certaines de vos analyses.
Néanmoins, lorsque vous écrivez : "Merci, Robert, de me donner l'occasion une fois de plus de dénoncer le chauvinisme fascistoïde franchouillard, vivace à gauche comme à droite comme au milieu, qui considère que la fermeture au monde extérieur est une marque de vertu -- mais uniquement lorsqu'elle concerne l'Amérique, bien entendu", il m'apparaît comme une évidence que vous ignorez volontairement ce qu'est l'intelligence avec une puissance étrangère, fût-elle alliée.
Par ailleurs, considérer que le responsable du site que j'ai cité serait "fascistoïde" est pour le moins fort peu convaincant dans la mesure où il s'agit d'André Bellon, ancien vice-président de l'Assemblée nationale et responsable également du site "Association pour une Constituante" (http://www.pouruneconstituante.fr/spip.php?rubrique66), défenseur d'une certaine idée de la République...
Mais je reste persuadé qu'il n'est pas utile de croiser les arguments avec vous car toute personne qui n'est pas convaincue par votre discours est nécessairement vendue à Moscou !
Sans doute seriez-vous peu satisfait que l'on vous traite "d'agent de la CIA". Et pourtant on peut bien finir par s'en poser la question en raison de vos constantes idéologiques dont on voit qu'elle sont bloquées et peu susceptibles d'évolution.
Rédigé par : Robert | 10 septembre 2016 à 12:38
@Robert | 08 septembre 2016 à 21:48
"Il n'y a pas que le financement des partis : il y a aussi certaines stratégies d'influence auxquelles Monsieur Sarkozy n'a pas échappé. A lire donc cet article : http://www.lecanardrépublicain.net/spip.php?article729 "
Mais c'est une excellente chose, que ce programme des visiteurs internationaux aux Etats-Unis ! Et c'est une excellente chose que Sarkozy, et d'autres dirigeants français, y aient participé... Cela leur aura permis, j'espère, d'être un peu moins stupides que l'anti-américain moyen de ce pays.
Merci, Robert, de me donner l'occasion une fois de plus de dénoncer le chauvinisme fascistoïde franchouillard, vivace à gauche comme à droite comme au milieu, qui considère que la fermeture au monde extérieur est une marque de vertu -- mais uniquement lorsqu'elle concerne l'Amérique, bien entendu.
Parce qu'aller rendre visite, contre l'avis des autorités françaises en général et du Quai d'Orsay en particulier, au boucher de Damas Bachar el-Assad, ça, bien sûr, c'est un programme de "visites internationales" que nos petits fachos tricolores considèrent comme tout à fait estimable...
Ou bien, aller "observer" le pseudo-référendum organisé par l'armée russe en Crimée occupée sur "l'indépendance" de ce territoire, quand on représente un parti candidat à l'élection présidentielle, c'est une "visite internationale" qui n'engage à rien.
Ou encore, aller déguster des vins criméens devant les caméras, pour légitimer l'annexion par la Russie de cette même Crimée, réalisée en violation flagrante du droit international, condamnée par la plupart des pays du monde dont la France (petit détail), lorsqu'on est député de la nation (comme dit l'ineffable Jacques Myard, membre du club des cireurs de pompes à Poutine), eh bien cela n'est pas du tout constitutif d'un acte de haute trahison.
Quel autre terme avez-vous pour qualifier le fait, pour des personnes représentant officiellement la France, d'aller dénigrer la politique étrangère de leur propre pays, à l'étranger, auprès des institutions mêmes d'une nation que la France combat ? Ce qui est inadmissible, c'est que ces personnages ne soient pas arrêtés et mis en prison dès leur retour sur le sol français. Ce qui est ahurissant, c'est que personne, en France, ne réclame une telle mesure. Et ça se dit patriote !...
Voyez-vous Robert, le problème avec des gros malins comme vous, c'est que vous ne faites pas la différence entre un parti "français" qui se fait financer par une puissance étrangère qui considère officiellement la France comme son ennemie (et fait tout ce qu'il faut pour le démontrer), et une personnalité française qui accepte une invitation à visiter une puissance étrangère qui est officiellement alliée de la France.
Visiter un pays étranger, c'est bien, Robert. Ca permet de rencontrer du monde. Ca permet de se rendre compte que la terre entière ne gravite pas autour du nombril franchouillard.
Dans le monde des gens libres et honnêtes dont les poutinistes ne font visiblement pas partie, inviter des gens chez soi pour leur faire découvrir son pays et tenter de s'en faire des amis, c'est une bonne chose, figurez-vous. C'est ainsi que se passent, et que doivent se passer, les relations entres personnes et nations civilisées.
Figurez-vous que la France, elle aussi, invite sur son sol des personnalités étrangères afin de leur faire découvrir le pays, et de tenter de se les attacher. Il ne faut pas ? C'est mal ? Vous préféreriez qu'on envoie des bombes atomiques sur les étrangers, pour leur apprendre ce que c'est que la France ?
L'influence, c'est bien, Robert. L'agression, la corruption, le mensonge, l'assassinat, c'est mal. Vous comprenez la différence ?
La conception que la Russie se fait des relations internationales, ce n'est pas d'organiser un programme de visiteurs internationaux pour tenter de séduire ses partenaires, c'est d'envahir en douce la Géorgie et l'Ukraine, c'est de menacer la Pologne d'invasion (la Pologne !... après tout ce que la Russie a fait à la Pologne !...), c'est de menacer les Etats-Unis d'annihilation nucléaire sur la chaîne de télévision la plus importante du pays, c'est de kidnapper un policier estonien en Estonie pour le fourrer en prison à Moscou, c'est d'assassiner des opposants politiques réfugiés à l'étranger, c'est de menacer militairement des pays aussi pacifiques que la Suède et la Finlande, c'est de saboter par des actes de cyber-guerre les élections américaines, c'est de faire du révisionnisme historique en prétendant désormais que l'URSS n'a jamais envahi la Pologne, c'est de kidnapper et de torturer sur le sol français, chez nous, Robert, à Strasbourg, un réfugié politique tchétchène officiellement accueilli par la France, parce qu'il a osé réclamer la mise en accusation de Vladimir Poutine pour crimes de guerre par le tribunal international de la Haye, etc., etc.
Vous comprenez la différence, Robert ? La fausse équivalence, éternelle saleté propagandiste des communistes et fascistes de tout poil...
Au demeurant, je vous "rassure", la tentative d'influence américaine sur Sarkozy, par ce programme de visiteurs internationaux, a été tout à fait vaine : il a rejoint le camp des caniches à Poutine qui s'en vont répétant partout que "la Crimée a toujours été russe" -- mensonge éhonté, aussi bien juridique qu'historique.
Ah, et tant que j'y suis, à titre préventif, à l'intention du prochain abruti qui me sortira le programme des Young Leaders, que certains ont découvert comme Marie Nunuche a découvert le loup un soir dans les buissons : le programme des Young Leaders est une opération bilatérale. S'il y a des "young leaders" français qui vont découvrir les Etats-Unis, il y a, de façon symétrique, des "young leaders" américains qui viennent chez nous découvrir la France.
Il ne faut pas ? La France ne doit pas tenter d'exercer une influence sur les Etats-Unis ? Elle ne doit pas tenter de promouvoir son point de vue, sa culture, ses intérêts, en tissant des relations personnelles et amicales avec des Américains susceptibles d'avoir du pouvoir un jour dans leur pays ? Ca aussi, c'est mal ? Vous préféreriez qu'on leur envoie des bombes sur la figure ?
Ce qui est sûr, c'est que Moscou, en effet, préférerait cette option... et fait tout, à travers ses canaux de propagande ouverts et cachés, ses agents d'influence stipendiés et la cohorte des idiots utiles qui les suivent, pour dresser les Européens contre les Etats-Unis. Et les Européens les uns contre les autres.
Voyez, par exemple, les outrances ouvertement xénophobes d'un Eric Verhaeghe à l'encontre de l'Allemagne sur son blog, qui dépassent très largement l'opposition raisonnée que l'on pourrait attendre d'une personnalité de son niveau.
Eric Verhaeghe, qui affiche une blogroll absolument minuscule, mais qui trouvait tout de même moyen, jusqu'à une date récente, d'y inclure le soi-disant "Saker francophone", antenne locale d'un blog mondial tenu par un militant poutiniste enragé, officiellement basé aux Etats-Unis. La biographie que le "Saker" diffuse de lui-même montre qu'il s'agit très probablement d'un agent d'influence professionnel stipendié par Moscou (*), et si ce n'est pas le cas, c'est un agent d'influence bénévole tout à fait performant, qui a bien mérité du Kremlin.
Je l'ai fait remarquer à Verhaeghe, et je constate que le lien vers le Saker a désormais disparu. En revanche, demeure le lien vers Les Crises.fr, autre relais français de la propagande poutiniste la plus fantaisiste et la plus enragée.
Le fait qu'une personnalité comme Verhaeghe, qui peut prétendre à un certain sérieux dans son domaine de compétence (la Sécurité sociale), puisse se compromettre, dans des sujets dont il ignore tout, avec des désinformateurs professionnels aussi manifestes que le Saker ou Les Crises.fr, montre assez le niveau de décadence où a plongé la société française.
___
(*) Né ou au moins élevé en Suisse, d'origine russe, ayant travaillé pour l'armée suisse, l'ayant quittée dans des conditions bizarres, et se consacrant, depuis, à la diffusion internationale (et ostensiblement "bénévole") de la propagande la plus outrancière en faveur du régime russe. Et aussi d'une propagande antisémite enragée, pour faire bonne mesure (mais attention : Monsieur dément ; Monsieur est "antisioniste").
Rédigé par : Robert Marchenoir | 09 septembre 2016 à 12:00
@protagoras
Pour l'instant je ne vois personne d'autre que Arnaud Montebourg.
Rédigé par : jlm | 08 septembre 2016 à 23:44
Je reste surpris de cette affirmation de Robert Marchenoir : "Le pauvre Sarkozy se fait amplement marteler à cause de cette fameuse affaire Bygmalion, où il n'est pourtant accusé que d'avoir trop dépensé - ce qui n'a évidemment rien à voir avec l'allégeance à une puissance étrangère".
Il n'y a pas que le financement des partis : il y a aussi certaines stratégies d'influence auxquelles Monsieur Sarkozy n'a pas échappé. A lire donc cet article : http://www.lecanardrépublicain.net/spip.php?article729
Et il n'est certes pas le seul et nombre de nos dirigeants, de droite comme de gauche, ont reçu cette formation.
Rédigé par : Robert | 08 septembre 2016 à 21:48
@ Claude Luçon | 08 septembre 2016 à 01:33
"...une très vieille église de la Via Appia Antica à Rome "
Où cela, par Jupiter ?
Rome est, à mes yeux, LA ville ; que n'ai-je l'opportunité d'un Stendhal d'y résider longuement...
"Un prédicateur, excommunié, qui finit pendu puis brûlé sur la place publique"
Oui, mais à Florence ; c'est quand même la classe !
@ jlm | 08 septembre 2016 à 12:04
"Quousque tandem abutere, Hollande, patientia nostra ?"
Qui en sera le Cicéron ?
Rédigé par : protagoras | 08 septembre 2016 à 18:10
Puisqu'on parle de la campagne électorale, il y a une question qui me tarabuste. Tout le monde, dans cette histoire, considère le Front national comme l'ennemi suprême et l'horreur absolue.
Pourquoi l'intégralité du spectre politique ne traîne-t-il pas le Front national dans la boue en lui reprochant de se faire financer par Moscou ? C'est quand même extraordinaire, quand on y songe.
Voilà, à ma connaissance, le seul parti politique français qui non seulement ne cherche pas à cacher qu'il est financé par une puissance étrangère hostile, mais qui en plus s'en vante ! Mieux, au moins un de ses responsables s'est personnellement enrichi grâce à l'argent russe à l'occasion de ce financement, et non seulement il ne le nie pas, mais il le revendique.
Il y a là de quoi massacrer le FN soir et matin, politiquement et médiatiquement. C'est beaucoup plus incriminant que je ne sais quelle accusation de n'être pas assez "républicain", slogan vague et improuvable parce qu'il ne veut rigoureusement rien dire.
Le pauvre Sarkozy se fait amplement marteler à cause de cette fameuse affaire Bygmalion, où il n'est pourtant accusé que d'avoir trop dépensé -- ce qui n'a évidemment rien à voir avec l'allégeance à une puissance étrangère.
Alors ? Pourquoi cette mystérieuse retenue ? Est-ce que de nombreux responsables chez Les Républicains croqueraient de l'argent russe eux aussi, sous d'autres formes ? Les Verts bénéficieraient-ils d'avantages cachés, de la part de Moscou, pour s'opposer aux gaz de schiste ? Serait-ce que la totalité des partis français ne se finance que grâce à l'argent de l'étranger, la Russie pour les uns, l'Afrique pour les autres, l'Arabie saoudite ou le Qatar pour je ne sais qui, et même (ils l'ont avoué avant de se rétracter) l'Iran pour Dieudonné, Alain Soral et leur éphémère "liste antisioniste" de 2009 ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 08 septembre 2016 à 17:25
Sarko veut renouer avec la Gendarmerie !
Après l'avoir évincée de l'Elysée, il prend conscience qu'il va en avoir besoin. 100 000 gendarmes et leurs familles ça pèse dans les urnes et ça fait réfléchir. Quelle misère que d'en arriver à faire l'aumône à ceux à qui on a fait un bras d'honneur.
Rédigé par : Jabiru | 08 septembre 2016 à 17:14
@Claude Luçon | 07 septembre 2016 à 00:06
Ma mère aussi est une bonne bridgeuse mais qui ne joue plus depuis le décès de son mari bilingue issu de deux grandes écoles d'ingénieur. Elle pourrait être votre sœur aînée ainsi que la fille de la nouvelle doyenne des Français.
Rédigé par : Catherine JACOB | 08 septembre 2016 à 17:06
@ Savonarole 08 septembre 2016 à 14:03
"Trop tard ! J'ai tout prévu à Haïti, dans un village Taïnos du groupe des Arawaks, pour faire plaisir à Mary."
Désolé ! Mes exigences ne sont pas négociables, je suis du genre dictatorial.
Cherchez-moi quelqu'une d'autre.
Savonarole ? C'est quand même un drôle de nom pour une agence matrimoniale ! Un prédicateur, excommunié, qui finit pendu puis brûlé sur la place publique, ce n'est guère encourageant pour la clientèle.
Rédigé par : Claude Luçon | 08 septembre 2016 à 15:06
Rédigé par Monsieur Exilé le 07 septembre 2016 à 16:41
Merci pour votre suggestion. Pour l'instant, je me contente de deux, trois emissions traditionnelles sur des radios "commerciales".
Pour rester dans le droit fil du sujet, quant au sosie de Monsieur Boris Vian, je lui souhaite comme a tout un chacun/e ici et en France ♪ "Tout Le Bonheur Du Monde" ♪ Les paroles du premier couplet entrant malheureusement particulierement en resonance en ce moment :-(
J'aurais aime ecrire cette chanson dont je partage le message pour les generations montantes.
https://www.youtube.com/watch?v=Z1H_UxE60xE
Rédigé par : Valerie | 08 septembre 2016 à 14:58
@Jabiru | 08 septembre 2016 à 13:15
Tout à fait d'accord.
Après l'attentat d'Atocha à Madrid, qui a fait 200 morts en 2004, l'Espagne a cessé de suivre les Américains et leur Tartarin de Tarascon en Irak. Treize ans sans attentats. Ça n'empêche pas l'Espagne d'être vigilante aujourd'hui.
"Mourir pour la Patrie quel plus beau sort !", ça doit être un poète américain échevelé qui a dit ça...
Rédigé par : Savonarole | 08 septembre 2016 à 14:17
@Claude Luçon | 08 septembre 2016 à 01:33
Trop tard ! J'ai tout prévu à Haïti, dans un village Taïnos du groupe des Arawaks, pour faire plaisir à Mary.
Rédigé par : Savonarole | 08 septembre 2016 à 14:03
J'écoutais hier soir C dans l'air. Un spécialiste de l'islam expliquait que la France (5% des frappes et 95 % de communication) était devenue la cible n°1 des terroristes depuis 2012. Pourquoi 2012 ? C'est tout simplement la réplique de Daech aux actions guerrières décidées par F. Hollande au Proche-Orient.
Au lieu de s'autoriser à jouer les gendarmes du monde, avec toutes les conséquences qui en découlent aujourd'hui, il aurait mieux valu qu'il se consacre à engager les réformes de structures qui s'imposent en France pour remettre sur pied la croissance du pays. Il est à espérer qu'en 2017 il soit renvoyé dans ses foyers, ce que 85% des Français souhaitent d'après les derniers sondages. L'urgence étant de retrouver de la sérénité dans le pays et de retrouver un manager efficace avec lequel on pourrait retrouver de l'espoir.
Rédigé par : Jabiru | 08 septembre 2016 à 13:15
Quousque tandem abutere, Hollande, patientia nostra ?
Rédigé par : jlm | 08 septembre 2016 à 12:04
@ Savonarole | 07 septembre 2016 à 20:16
Merci !
Tendre pensée ! On pourrait en parler : bien sûr à vous de l'organiser, de couvrir les frais, tous les frais : transport, cérémonie, robe de mariée, déjeuner et soirée dans des lieux de mon choix, plus une longue lune de miel à Portofino ou Capri, en invitant tous les commentateurs réguliers du blog. Philippe et Pascale Bilger comme témoins, et vous comme le vieil oncle américain millionnaire et généreux, j'ai des goûts de luxe.
J'insisterai sur une très vieille église de la Via Appia Antica à Rome et la cérémonie conduite par un vieux pote à moi, archevêque, jésuite, italien, présentement herméneute du pape François.
Reste à savoir si Mary Preud'homme qui ne sait toujours pas à quoi je ressemble côté physique, et quelle descendance je traîne, n'ayant fourni aucune information à ce sujet. Je ne suis ni du type Quasimodo ni du genre George Clooney vieillissant, osera-t-elle tenter l'aventure ?
Alors allez-y, au boulot, c'est votre idée.
Cheers !
Rédigé par : Claude Luçon | 08 septembre 2016 à 01:33
Chouette, la TDM est revenue.
Les derniers posts étaient plutôt courts, tout miels et ramollos, c'était inquiétant.
- On va enfin enrichir de nouveau notre vocabulaire avec les nouvelles insultes...
Tout est dans l'ordre.
Rédigé par : Deviro | 07 septembre 2016 à 22:34
@ Tipaza @ JDR | 07 septembre 2016 à 15:41
Simple petit complément : si certains comme vous ou moi ont souhaité une Europe des Nations, d'ailleurs chère au Général, tous les textes constitutifs de l'UE en font une "Europe des États".
L'UE n'est donc qu'un super-Etat, complètement déconnecté des peuples qui la constituent. Ceci pour intégrer l'idée simpliste que "nation = nationalisme = guerre", alors que la nation (au sens des Lumières) en tant que telle n'est pas l'origine du nationalisme, ce qui est différent de l'acception germanique dont on a vu les effets...
Alors qu'il aurait fallu créer une Europe-Nation, mère des nations qui la constituent.
Mais là il convient de limiter les développements, car les colonnes de Monsieur Bilger n'y suffiraient pas !
Rédigé par : Robert | 07 septembre 2016 à 21:58
Claude Luçon et Mary Preud'homme c'est dans la poche, on va les marier, ils sont pas mignons ?
Y a-t-il ici un veuf qui veut épouser eileen ? Non ? Personne ? Bon...
Rédigé par : Savonarole | 07 septembre 2016 à 20:16
@ Mary Preud'homme | 07 septembre 2016 à 16:06
Vous écrivez :
1. Parole de "veuve"
2. Je me déclare en revanche totalement "incompétente"
Une partie du mystère s'éclaircit, au moins du côté genre.
Reste à savoir si le "Mary" est anglophone ce qui expliquerait "toutes vos outrances" à l'égard des Français. Pas Britannique toutefois, j'ai vécu et travaillé avec eux et eux sont généralement polis et réservés.
Que vous le croyez ou pas, peu m'importe, il n'y a rien de "fantasmé" dans ce que j'écris, j'ai bien vécu tout cela, je répondais seulement à une objection que m'avait adressée Catherine Jacob, simple courtoisie.
Rédigé par : Claude Luçon | 07 septembre 2016 à 20:10
@Claude Luçon | 07 septembre 2016 à 15:32
Se mettre nu à votre âge à minuit 06 devant une jeunette comme Catherine, est-ce bien raisonnable vous aurait dit votre défunte ! Parole de veuve qui finalement s'amuse beaucoup de vos souvenirs réels ou fantasmés !
Merci en particulier pour le post précité où vous faites (généreusement) étalage de votre vie, lequel m'a enchantée (et fait oublier soudain toutes vos outrances à mon endroit) bien que préférant de beaucoup pour ma part la musique en matière d'improvisation. Et concernant le sport non pas le fleuret qui remonte à ma prime jeunesse mais la natation et le tennis de table où je suis restée très pro. Question mytho mégalo, je me déclare en revanche totalement incompétente en raison d'une faiblesse congénitale sans doute héritée de mon père. Reconnaissant en revanche que vous excellez dans l'exercice, je dirai même qu'un comme vous sur ce blog, je n'en avais encore jamais rencontré. Ajouté à cela que j'ai un cursus minable et que je ne suis responsable de rien ou presque... Réflexion qui avait fait un jour beaucoup rire (lors de ma présentation à une assemblée savante) un potentat du nucléaire dont je ne citerai pas le nom par égard pour lui et... sa veuve.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 07 septembre 2016 à 18:52
@Valerie
Je viens a l'instant de "me brancher" sur la radio mentionnée (musique sacree en ce moment)... grâce a mon téléviseur !!
Voir (ou écouter) aussi :
http://www.radiocourtoisie.fr/
Rédigé par : Exilé | 07 septembre 2016 à 16:41
"Oncques villains n'aima noble femme"
Pour une phrase généraliste qui ne visait personne en particulier, mais ne faisait que rebondir (ironiquement) sur des remarques à l'humour savoureux attribuées à de Gaulle, j'ai eu droit aux attaques grossières de deux jean-foutre refoulés, dont l'un va jusqu'à s'en prendre à ma féminité, alors qu'il ne me connaît ni d'Eve ni d'Adam ; il m'aurait même vue sur Internet bien que je ne figure (en photo) nulle part, c'est dire le niveau de son délire sans doute dû à l'âge. Quant au second, il attaque une fois de plus ma famille comme si ses basses saillies à mon endroit, quand j'ai l'audace de mettre en doute ses informations, ne suffisaient pas à sa jouissance de pauvre frustré.
Eh oui, je suis une femme épanouie et j'ai la chance d'avoir des enfants et petits-enfants brillants et bien dans leur peau. Ce qui fait manifestement des envieux, y compris sur ce blog à en juger par le nombre de fois où il a été fait allusion (d'un ton sarcastique ou avec méchants sous-entendus) à la maman du commissaire divisionnaire.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 07 septembre 2016 à 16:06
Trekker | 07 septembre 2016 à 00:12
"Décidément quel que soit le sujet du billet de notre hôte, vous ne pouvez pas résister à nous écrire votre couplet sur le communisme ou Poutine voire les deux. Tenteriez-vous d’expier un long passé de militant lénino-stalinien ? Il est bien connu que les défroqués sont les plus virulents adversaires de leur ex-église".
Ecoutez, mon bon Trekker, je vous propose un deal. Vous la bouclez quand je parle de la Russie, et je m'abstiens de vous casser les pieds quand vous nous jouez sans cesse les anciens combattants d'Algérie ou d'ailleurs.
Remarquez que pour l'instant, je tiens ma partie du deal. Je ne vous ai jamais reproché de nous les briser menues avec votre Algérie, moi. Mais croyez bien que je pourrais. Il me semble l'avoir amplement démontré. En tant que militaire, vous devriez comprendre le concept de dissuasion, il me semble.
Puisque ça a l'air de vous intéresser, non, je n'ai jamais été "militant lénino-stalinien" (quelle curieuse formulation !). En revanche, vous, je suis moins sûr. L'application avec laquelle vous vous employez à récuser toute mise en accusation du communisme, ou de ses successeurs au pouvoir en Russie, me paraît franchement suspecte.
Voyez-vous, mon bon Trekker, le concept de c'est çui kidi kyé, si prisé de nombreux gros malins dans votre genre, me paraît mieux cantonné aux cours de récréation et aux enfants de moins de sept ans.
Moi, je suis un homme simple : quand on s'oppose au communisme (ou à la tarte aux choux), j'ai tendance à en conclure qu'on est anti-communiste (ou anti-tarte aux choux).
Quand on s'oppose à ceux qui s'opposent aux communistes, j'ai tendance à en conclure qu'on nourrit des complaisances envers le communisme. Et non l'inverse.
Vous ne seriez pas le premier, dans l'armée françouése. C'est fou, le nombre d'officiers à la retraite (dits pudiquement deuxième section) qui se recyclent dans la "géopolitique", comprendre : le soutien apporté à la propagande du Kremlin, et la réhabilitation du communisme. Les milieux militaires français sont infiltrés de façon fort préoccupante par Moscou.
J'y vois aussi le traditionnel blues de l'officier à mi-parcours : bénéficiant, de façon scandaleuse, d'une retraite parfaitement prématurée, des centaines de fonctionnaires de cette catégorie ne savent trop quoi faire de leur temps, et par conséquent cèdent au vice politique. Le militaire pense toujours qu'il saurait (bien évidemment) mieux faire que tous ces imbéciles d'hommes politiques, et que ça saute.
Ajoutez à ça l'anti-américanisme ambiant, et nous avons tous ces gens qui se prennent pour des recours de la nation, et qui nous expliquent que si seulement on leur demandait leur avis (ce dont fort heureusement personne ne s'avise), eh bien ils sauteraient dans le plumard à Poutine, entraînant la nation derrière eux, et tout irait soudain beaucoup mieux.
Bien entendu, ma proposition d'ancienne date vaut toujours : si vous avez quelque chose d'intelligent à dire sur la Russie (ou simplement de patriotique), vous êtes mon invité.
Mais il faudrait, pour cela, que vous cessiez de jouer les petits flics de pâtés d'immeubles de la RDA venant reprocher aux gens de ne pas dire que du bien du communisme, de ses représentants et de ceux qui s'emploient à le réhabiliter.
Au fait, ça ne vous gêne pas trop de prendre la défense d'un homme qui a réhabilité le pacte soviéto-nazi ? Après que Poutine a déclaré, par deux fois au moins, que l'URSS avait eu raison de s'allier avec Hitler (chose absolument impensable même en Union soviétique après la mort de Staline), c'est un tribunal russe qui vient de condamner un homme pour avoir rappelé que l'URSS avait envahi la Pologne, et avait donc une responsabilité directe dans le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale.
Comme aux plus beaux jours de la dictature soviétique, il s'est trouvé un "professeur d'université" pour venir "témoigner", devant le tribunal, que cet épisode de l'histoire n'avait jamais existé.
Il y avait le révisionnisme pro-nazi, nous avons maintenant le révisionnisme pro-communiste. Robert Faurisson n'est pas seul.
Au moins, Faurisson a-t-il le courage de s'exposer à la vindicte publique et aux condamnations judiciaires, en assurant tout haut que les chambres à gaz n'ont jamais existé.
Les néo-communistes péteux n'ont même pas ce douteux courage : ils osent venir vous reprocher de trop parler du communisme et de la Russie, mais c'est uniquement lorsqu'on en dit du mal, naturellement ! Je n'ai jamais vu un Trekker s'indigner lorsqu'un commentateur dit du bien du régime russe. Là, soudain, ce ne sont plus des "couplets", ce sont des interventions pleines de pertinence et de sagesse.
Le plus drôle est qu'ils ne se rendent même pas compte de l'énormité de leurs ficelles. Ca fait plus d'un siècle que leurs amis nous jouent ce pipeau, et ils croient sincèrement qu'on va encore s'y laisser prendre.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 07 septembre 2016 à 15:59
@caroff
J'espère pour ma part que cette mise au point n'est pas simplement inspirée par la perspective d'avoir à rendre compte devant la justice de sa fameuse phrase qui l'amenait tout droit à la condamnation tant elle était explicite.
Avez-vous entendu le silence assourdissant des habituels soutiens de Robert Ménard qui s'est même offert une leçon de morale par le vice-président du FN ?
Bravo l'artiste !
Rédigé par : Marc GHINSBERG | 07 septembre 2016 à 15:41
@ Jean-Dominique Reffait | 07 septembre 2016 à 01:30
« L'histoire de la France nous montre, y compris sous l'Ancien Régime, que la société a globalement progressé par accélération des changements et par pauses …/… L'un et l'autre sont indispensables à l'évolution dynamique d'une nation. »
J’ai bien aimé ce paragraphe, mais c’est après que vous vous égarez, pour avoir oublié la dernière phrase du paragraphe.
Car enfin les évolutions, réformes suivies de pauses, avaient pour but le Royaume puis la Nation (qui au fil des changements de régime se sont confondus), jusqu’à aujourd’hui. Le Royaume est devenu la Nation, mais il l’était déjà avant.
Tout le problème est qu’il n’est plus question de Nation, mais d’une dilution du pays (vous remarquerez que j’abandonne le mot Nation que nos politiques n’usent plus) dans un ensemble technocratique, régression démocratique, qui sous l’apparence d’une confédération qui se voudrait fédération, ne sert les intérêts que d’un pays à la finalité mercantile, l’Allemagne.
Celle-ci ne s’est pas encore donné une vision historique sinon celle de reprendre le contrôle de l’U.E. après avoir eu l’habileté de faire installer la BCE sur son sol. Je sais bien que la BCE est indépendante, mais en tant qu’historien vous savez bien que les choses ne sont pas si simples.
Bref, de quel progrès pouvons-nous parler, dès lors que l’objet auquel il pourrait s’appliquer, la Nation, est en voie d’extinction.
Vous avez vu la dernière déclaration de Hollande au Vietnam :
« La France, c’est une idée, bien plus qu’une identité »
Un Président qui n’a pas une relation « charnelle » avec la nation ! Chaque jour qui passe me conforte dans le mépris de marbre que j’ai pour l’individu.
Vous imaginez Philippe Auguste, Louis XIV, les soldats de l’An II affrontant l’ennemi aux cris de « Vive la Nation » à Valmy, déclarer benoîtement la nation c’est une idée !
Quant à de Gaulle, il parlait de « ce cher et vieux pays », comme d’un ancêtre qu’il aimait et respectait.
Bon, je ne veux pas faire trop long.
Je veux simplement dire qu’il ne saurait y avoir de progrès sans une Nation et un Peuple pour le porter.
Tant que nos « chers » politiciens, jeunes ou moins jeunes, considèreront le progrès au sens technocratique et non au sens historique de la Nation, il n’y aura pas de progrès.
Rédigé par : Tipaza @ JDR | 07 septembre 2016 à 15:41
@ Trekker | 07 septembre 2016 à 00:12
Merci du conseil mais ne vous inquiétez pas j'ai connu pire, j'ai détaillé cela en réponse à Catherine Jacob.
@ Mary Preud'homme
A la demande, justifiée, de Catherine Jacob, je me suis dénudé, enfin verbalement, sur ce blog, je vous défie donc, "Dame" Mary Preud'homme, d'en faire autant.
Les escrimeurs portent un casque mais ils l'enlèvent entre les duels.
Rédigé par : Claude Luçon | 07 septembre 2016 à 15:32
@Xavier Nebout
Vous esquivez le débat en vous situant sur un terrain métaphysique.
Vous avez écrit : "La France est un pays de blancs catholiques dans lequel les autres sont les bienvenus à condition de ne pas les emm..."
Remplacer dans mon message précédent athée par juif, protestant ou musulman. J'aurais pu écrire exactement la même chose.
Rédigé par : Marc GHINSBERG | 07 septembre 2016 à 15:18
@Marc Ghinsberg
"Rétropédalage de Robert Ménard. Une longue explication qui s'imposait. Dont acte.
https://twitter.com/robertmenardfr/status/773421258579009536"
Je ne pense pas que ce soit un rétropédalage, mais un commentaire de texte pour les mal-comprenants dont vous faites partie !
Rédigé par : caroff | 07 septembre 2016 à 15:04
« ...un meilleur paré de l'aura de virtualités somptueuses : lui-même. »
Ah, cher PB, vous vouliez donc parler des forces de l’argent ?
http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2016/09/07/25002-20160907ARTFIG00096-francois-bayrou-etrille-macron-le-candidat-des-forces-de-l-argent.php
…Et moi, pauvre crétin, qui ne voyait là qu’enflure de la phrase !
Il faut que vous m’aidiez à remettre d’aplomb mon logiciel politique : à côté de l’Institut de la parole, disposez-vous d’un Institut de science politique ?
Savonarole me disait en privé que je regardais trop votre doigt alors que vous montriez les espaces infinis de la politique...
Rédigé par : sbriglia | 07 septembre 2016 à 11:29
@vamonos | 06 septembre 2016 à 21:15
Mais non mais non cher vamonos, ce troll islamiste vous mène par le bout du nez comme tous ici ; moi au contraire je m'en amuse et souhaite qu'il continue car il est la démonstration de tout ce qui sent mauvais chez un humain et donc l'exemple même à ne pas suivre ; c'est un chien sombre abandonné au fond d'une fosse septique obscure et malodorante ; ayons un peu de compassion pour ce malheureux qui a trouvé refuge chez Bilger, le seul sur tous les blogs assez magnanime pour le garder même si ce débile mental lui mord la main en permanence.
Allez Gaspounet, nonosse ! va chercher ! chrétien, beauf, FNiste... Kss kss !
Rédigé par : sylvain @ vamonos | 07 septembre 2016 à 10:13
@Marc GHINSBERG
Pas si simple et intéressant.
Un athée niant l'indéfinissable, ne sait par définition pas au juste pourquoi il est athée - en fait, il rejette plus ou moins consciemment ce qui dépasse sa raison.
Si bien que la très grande majorité des athées se retrouvent quand même à l'église pour les enterrements, et pas seulement comme s'ils se rendaient dans un bureau administratif ou pour faire plaisir "aux autres", mais avec la religiosité dans l'âme - aux limites de la conscience, certes innavouée mais bien réelle et à laquelle ils sont attachés.
Et n'est-ce pas cet attachement qui définit une nation ?
Certains ne vont pas à l'église, mais reportent la cérémonie avec la même religiosité dans un cimetière.
En fait, il n'y a de vraiment athées que ceux qui n'entourent la mort d'aucun cérémonial visible ou invisible, et qui jettent les cendres de leurs défunts dans une poubelle, c'est-à-dire quasiment aucun.
L'athée est un orphelin de sa conscience.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 07 septembre 2016 à 10:07
@ agecanonix | 06 septembre 2016 à 18:28
"...la folie de Marisol Touraine qui issue d'une famille de médecins voulait se venger de cet ordre..."
Mme Touraine porte également une très lourde hérédité, en la personne de son lamentable paternel, Alain Touraine, dont la vacuité n'a d'égale que la notoriété...
Quant au devenir pénal de son fils (qui, rappelons-le, a "secoué une vieille" pour quelques dizaines d'euros)...
Dans une discussion très récente "de comptoir" avec un représentant syndical hospitalier (donc a priori peu suspect de complaisances droitissimes...), celui-ci m'a déclaré : "c'est un désaxée, pour qui les Pokemons à l'hôpital sont plus importants que les vagues de suicides au sein du personnel hospitalier".
Rédigé par : protagoras | 07 septembre 2016 à 09:59
Rétropédalage de Robert Ménard. Une longue explication qui s'imposait. Dont acte.
https://twitter.com/robertmenardfr/status/773421258579009536
Rédigé par : Marc GHINSBERG | 07 septembre 2016 à 09:40
Jean 3
Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d'où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'Esprit...
...Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes? 13Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel. 14Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé, 15afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle...
...Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. 17Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. 18Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. 19Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. 20Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées; 21mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en Dieu...
C.Q.F.D
Beaucoup préfèrent les ténèbres de leurs obsessions.
Rédigé par : Aliocha | 07 septembre 2016 à 08:37
Ce Macron, avec sa photogénie et sa naïveté rafraîchissante que l'on voudrait voir réussir, me rappelle une jolie chanson de Belle and Sebastian:
https://m.youtube.com/watch?v=wcKsxHURj24
La chanson dit bien que dans la réalité, il n'a pas l'ombre d'une chance.
Mais comme ça vient d'un groupe qui parle de lui-même et qui a fini par avoir pas mal de succès, qui sait...
Rédigé par : Alex paulista | 07 septembre 2016 à 07:37
Belle définition de Macron par le chroniqueur de La Croix, François Sureau :
"Macron, c'est la goutte de citron sur l'huître politique"
Rédigé par : Paul Duret | 07 septembre 2016 à 05:07
Philippe, si vous restez enfermé, au moins dans l'analyse, dans le clivage gauche-droite, vous passerez effectivement à côté du véritable clivage historique qu'E. Macron remet sur la table : les progressistes et les conservateurs.
La gauche est née du progressisme et, par réaction, la droite est née du conservatisme. Ceux qui veulent bouger les choses pour les améliorer et ceux qui souhaitent gérer la continuité des évolutions naturelles.
La gauche française, trop influencée par le marxisme, s'est fossilisée dans des postures conservatrices en s'appuyant notamment sur un syndicalisme marxiste et une fonction publique pléthorique et surpuissante.
La droite française, trop influencée par les théories libérales anglo-saxonnes, s'est découvert une vocation réformatrice, non plus pour progresser mais pour inverser les progrès obtenus : elle est devenue rétrograde ou réactionnaire.
Ce n'est pas ainsi qu'un pays avance.
L'histoire de la France nous montre, y compris sous l'Ancien Régime, que la société a globalement progressé par accélération des changements et par pauses permettant de gérer ces changements. Philippe Auguste révolutionne l'administration du royaume, bouscule la féodalité et ses successeurs, conservateurs, loin d'abroger les réformes, consolident l'administration sans entamer de nouveaux chantiers institutionnels. Louis XVIII ne revient pas sur les réformes napoléoniennes, il les gère et les pérennise.
Cette alternance entre progressistes et conservateurs est saine, elle instaure une respiration politique : un sprint suivi d'une pause. L'un et l'autre sont indispensables à l'évolution dynamique d'une nation.
Force est de constater aujourd'hui que la notion de progrès a disparu en politique au profit exclusif de la notion de réforme, fin en soi alors que la réforme ne devrait être que le moyen du progrès. Aujourd'hui on réforme, on ne sait guère trop pourquoi si ce n'est pour mettre son nom sur un texte de loi. Gauche et droite réforment sans prendre en compte les notions essentielles de progrès ou de conservation.
Il me semble - je puis me tromper car c'est encore un discours parcellaire - que c'est vers cette restitution du clivage initial que tend E. Macron. Rebattre les cartes pour discerner qui est progressiste, qui est conservateur et, optionnellement, qui est rétrograde. Je ne mettrai pas de nom sur ces clivages tant le personnel politique me paraît désordonné idéologiquement. Qui serait progressiste à droite ou au centre ? Je ne sais. J'ai plus de facilités à détecter les conservateurs à gauche car je me les coltine depuis fort longtemps !
Rédigé par : Jean-Dominique Reffait | 07 septembre 2016 à 01:30
@ Claude Luçon |e 06 septembre 2016 à 19:19
Cher doyen en âge de ce blog, vos propos sur la féminité de Mary Preud’homme, qui ne sont peut-être pas infondés bien qu’elle revendique un fils commissaire de police, vous vaudront d’être encore plus maudit que moi et objet de son ire à vie, car cette dame ou supposée telle a la rancoeur plus que tenace. Pour infiniment moins que vos propos, j'ai fait l’expérience de sa hargne !
@ agecanonix |e 06 septembre 2016 à 16:29
« …je suis dans une logique gaulienne, je vous dis que vous et votre parti peu recommandable c'est la chienlit... vous détruisez notre beau pays pour des intérêts et des connivences malsaines ! »
Exact mais cela ne serait pas trop grave si la droite dite de gouvernement n’avait fait pareil et surtout ne s’apprêtait à se retirer dans cette voie. Ce ne sont pas ses prosternations à Colombey-les-Deux-Eglises qui risquent de lui insuffler même un dixième de volontarisme gaullien !
Hollande, Sarkozy, Juppé et Macron - pour se limiter aux candidats ayant quelques chances de figurer au deuxième tour - derrière leurs façades, la seule chose qu’ils savent valoriser n’est et ne sera que la même médiocrité politique : renoncement et reniement face à l’Europe actuelle, mondialisme, immigration, pétromonarchies, etc.
@ Robert Marchenoir |e 06 septembre 2016 à 15:40
« Le soutien au régime russe, peut-être ? Ah non, suis-je bête, Mélenchon est aussi un fan du Kremlin, de même que Sarkozy et une belle brochette de son parti... et ne parlons pas du "CAC 40", que le FN affecte de fustiger, mais qui soutient la Russie lui aussi… »
Décidément quel que soit le sujet du billet de notre hôte, vous ne pouvez pas résister à nous écrire votre couplet sur le communisme ou Poutine, voire les deux. Tenteriez-vous d’expier un long passé de militant lénino-stalinien ? Il est bien connu que les défroqués sont les plus virulents adversaires de leur ex-Eglise.
Rédigé par : Trekker | 07 septembre 2016 à 00:12
@ Catherine JACOB
Vous avez raison, j'y avais pensé, alors voici l'essentiel :
Né début 1930 (d'après ma mère : par accident dû à la Grande Dépression de 1929), fils et frère de résistants, ingénieur de formation (2 titres en France, 1 aux USA, 1 au Canada), ai servi dans la Royale comme Officier Ingénieur, trilingue français-anglais-italien, carrière dans l'ingéniérie surtout pétrolière, mais aussi nucléaire, céramique et métallurgique, entièrement passée à l'étranger, dirigeant spécialisé dans l'implantation de sociétés en pays étrangers à partir de 1965, dans l'ordre : Hollande, Koweït, Ethiopie, Mozambique, Italie, Somalie, Nigeria, Algérie, Grande-Bretagne, Bahreïn, Canada, re-Algérie, Iran, re-Nigeria, USA, et visité une trentaine d'autres pays pour raisons professionnelles, mais toujours côté ouest du globe...
Retraité depuis 1995.
Veuf d'une seule épouse, née Italienne en Erythrée, après 52 ans de vie commune et heureuse vécue sur la moitié ouest du globe.
Toujours gaulliste depuis 1940, ayant vu mon père sauter de joie en lisant vers le 23 juin la déclaration de Charles de Gaulle du 18 Juin 1940, après l'avoir vu pleurer de honte en écoutant Pétain le 17 juin. Son héros est resté le mien.
Pour notre pays à la demande des autorités concernées : président du bureau de vote pour l'indépendance de l'Algérie à In Amenas, Dept des Oasis, Sahara en juillet 1962 ; consul honoraire de France à Bahreïn en 1968 ; conseiller du commerce extérieur de la France au Nigeria en 1986.
Pour plus de détails je suis sur Facebook.
J'espère que ce résumé vous permettra de savoir maintenant qui je suis.
Je cavale toujours à 86 ans mais moins vite.
Un détail : passionné de bridge j'ai horreur du nouveau système dit de "La Nouvelle Super" majeure cinquième, qui a transformé un jeu de société pour personnes de bonne compagnie en une sorte de concours d'entrée à une grande école. Plus de bavardage possible, silence total imposé. Dont je me suis consolé en bavardant avec vous tous sur le site de Philippe Bilger, même avec Garry Gaspary.
J'en profite pour remercier Philippe et Pascale Bilger pour leur hospitalité et leur patience à notre égard.
Rédigé par : Claude Luçon | 07 septembre 2016 à 00:06
Rédigé par Dame Catherine JACOB le 05 septembre 2016 à 20:56
Je viens a l'instant de "me brancher" sur la radio mentionnee (musique sacree en ce moment)... grace a mon televiseur !!
Il s'agit du canal 146 pour les possesseurs d'une antenne satellite.
Sinon pensez aux telechargements/"podcasts" des emissions qui vous epargnent les publicites braillardes/vulgaires et permettent de "zapper" les passages ennuyeux.
Quant aux discussions "face-a-face" sur un blog de lecture publique... de surcroit aisement traduisible en anglais donc lisible de par le monde entier... ?!?!
"Une photo, une date,
C'est à n'y pas croire
C'était pourtant hier,
Mentirait ma mémoire
Et ces visages d'enfants,
Et le mien dans ce miroir"
Merci a Dame Celine pour l'interpretation et au Sieur Jean-Jacques pour les magnifiques et si justes paroles.
Rédigé par : Valerie | 06 septembre 2016 à 23:59
Garry Gaspary continue d'insulter les chrétiens en général et ceux de ce blog en particulier. Puisque la liberté d'expression s'applique à ce collaborateur des musulmans intégristes alors que l'état d'urgence est en vigueur, il est tout à fait envisageable que moi aussi je me mette à insulter cet être abject dont la place est au fond d'une fosse à purin.
Je suis pleinement conscient qu'il faudrait lui pardonner car il a une vie sexuelle compliquée. En effet, apostat de son état, il est contraint par de vieux musulmans lubriques de faire des gâteries dont je ne préciserai pas ici la nature exacte par égard pour la correctrice émérite de ce blog.
Toutefois il me semble obligatoire de préciser que Garry qui nous insulte à chacun de ses commentaires, a pris l'habitude de se livrer à des ébats sexuels avec des marcassins morts. Il est donc à la fois zoophile, pédophile et nécrophile. Dans ses conditions, son âme est en danger irréversible, il n'a plus rien à perdre et il continue de nous agonir d'insultes.
Rédigé par : vamonos | 06 septembre 2016 à 21:15
Alea jacta est, Macron s'est assis à la table des joueurs, il va être intéressant de voir comment il va placer ses pions.
Il fait la course devant FH - là c'est facile - il va devoir convaincre du côté de Juppé et même Sarkozy qui s'agite plus que jamais.
Il y a du monde sur le tapis vert, les mises montent, NS sent qu'il est capable plus que jamais de l'emporter, parce que malgré tout c'est un lutteur. Il revient d'arrache-pied, au dernier moment personne ne fera confiance au maire de Bordeaux.
A gauche Mélenchon est au taquet, Montebourg trop évanescent, la dureté de l'impact fera le vainqueur, NS est capable de rucks, il a affûté les crampons, malheureusement pour Macron qui n'aura pas eu le temps d'apprendre les règles, aura-t-il le temps de monter des longs pour terrains boueux, et lui en laisseront-ils tous le loisir ?
Rédigé par : Giuseppe | 06 septembre 2016 à 20:55
@Mary Preud'homme
"Et je dirai même plus, les Français sont en majorité des veaux de race blanche !"
Et vous vous êtes une vache (ou une mule ??) de quelle nationalité ?
Encore qu'on peut avoir des doutes sur votre sexe puisqu'il y a un/une Mary Preud'homme sur Internet qui ressemble à un homme.
On comprend que vous soyez aigre, ce n'est pas la première fois que vous avez des mots peu aimables à notre égard, nous Français de toutes les couleurs.
Ne pas savoir quel est son sexe doit effectivement vous donner de très sérieux complexes et certains problèmes dans vos relations intimes.
On se doit donc d'être compatissant et d'avoir un tantinet de pitié à votre égard.
Rédigé par : Claude Luçon | 06 septembre 2016 à 19:19
La fusée Macron ça peut aussi faire pschitt sans être abracadabrantesque !
Rédigé par : Jabiru | 06 septembre 2016 à 19:06
@ Xavier NEBOUT | 06 septembre 2016 à 10:49
J'ai pris bonne note de votre incise... malheureusement dans tous les domaines l'équipe antinationale de Hollande a aggravé nos malheurs... à croire que ses ministres sont des fous ou des malades !
La majorité des Français n'ont pas pu suivre ce qui s'est passé dans la plupart des domaines. Sur le site de Philippe Bilger nous avons pu être éveillés dans la partie pénale... Grâce à mon épouse médecin j'ai pu suivre la folie de Marisol Touraine qui issue d'une famille de médecins voulait se venger de cet ordre émérite... ce qu'elle a réussi en partie !
Quant à moi j'ai pu m'apercevoir que Sapin, Macron et Moscovici étaient des nuls... ce que tout le monde pense sans pour autant être un spécialiste !
Hollande lui est un envoyé spécial de Satan en France !
Rédigé par : agecanonix | 06 septembre 2016 à 18:28
@Robert | 06 septembre 2016 à 16:52
Je ne connaissais pas ce site, merci, je le consulterai à l'avenir.
Rédigé par : Savonarole | 06 septembre 2016 à 17:21
Je lis sur Le Point en ligne :
"Poitiers : faute de pouvoir être transféré, un multirécidiviste est libéré d'office.
L'administration pénitentiaire n'a pas pu assurer le transfert de cet homme accusé d'avoir agressé un Vendéen à coups de couteau. Il a donc été libéré".
http://www.lepoint.fr/
C'est paraît-il à cause d'une réforme datant de 2011 et qui ne fonctionne pas bien. Le cas serait de plus en plus fréquent. Avons-nous vraiment besoin d'un super génie pour gouverner la France, et remettre de l'ordre dans un pareil foutoir ? À mon avis nous avons plutôt besoin de quelqu'un qui ait du bon sens, de la conscience professionnelle et suffisamment d'autorité sur ces agents de l'État surdoués de la résistance passive, dangereux pour l'ordre public, et pas gênés de toucher leur salaire malgré leur mentalité de saboteurs. Les Français payent pourtant assez cher leurs diverses administrations pour exiger qu'elles fonctionnent normalement.
Le multirécidiviste est libre, mais toujours inculpé, c'est un spécialiste du coup de couteau.
Rédigé par : Lucile | 06 septembre 2016 à 17:16
A la lecture d'un grand nombre de commentaires, je constate finalement que l'impact d'Emmanuel Macron n'est pas aussi important que j'aurais pu le penser ! Du moins sur les commentateurs de ce blog. Incontestablement, Robert Ménard a beaucoup plus frappé les esprits. EM a donc encore beaucoup de chemin à parcourir pour faire passer ses messages et je crains que quelques nouvelles unes de Paris Match en tenue légère avec madame ne suffisent pas !
Rédigé par : Michel Deluré | 06 septembre 2016 à 16:58
Pour faire suite au commentaire de Savonarole | 06 septembre 2016 à 13:34 qui, après avoir cité Pierre Moscovici, le commissaire européen qui s'adresse à son homologue français dans la langue de Shakespeare, écrit : "Et pendant ce temps-là, on vous mène par les naseaux, comme on mène la vache au taureau...", on se trouve là dans une critique du fonctionnement de l'UE dont E. Macron reste un prototype de haut fonctionnaire particulièrement compatible.
Effectivement, cette expression, certes triviale, remet la situation en perspective, en évoquant sa vraie nature. Je demande à Monsieur Bilger de m'excuser d'user de liens Internet, mais cela facilite le renvoi vers des articles qui me semblent être de fond. Voici donc ce texte qui remet les situations en parfaite perspective :
http://www.pouruneconstituante.fr/spip.php?article1238
La description du système, bien que le titre soit caricatural, me semble montrer une certaine forme de réalité que nombre de commentateurs partagent.
Rédigé par : Robert | 06 septembre 2016 à 16:52