Passionné par l'histoire, j'ai toujours été médiocre en géographie au point de bénir la modernité - c'est rare chez moi - qui nous permet par exemple de ne plus errer à pied.
Mais tout de même j'ai quelques notions sur la France.
Enrico Macias, lui, en manque.
Il a déclaré, sur la télé suisse romande RTS - excellente, à plusieurs reprises j'en ai bénéficié - que "si Marine Le Pen est élue en 2017, le lendemain je prends l'avion et je m'en vais... peut-être en Suisse, peut-être en Corse, peut-être en Israël" (Le Canard enchaîné).
Il doit prendre la Corse pour l'Algérie qu'il a dû quitter, qui a été française et ne l'est plus.
Cette intuition mise à part, un tel propos est affligeant.
D'abord à cause de la méconnaissance crasse qu'il révèle.
Ensuite parce qu'il nous fait tomber une fois de plus dans ce que certains artistes, plus ou moins people, adorent : fantasmer sur un avenir politique en cherchant à nous faire croire que leur absence nous manquerait. Alors que l'exil doré ou non d'Enrico Macias ne gênerait personne, pour rester poli.
Enfin c'est cette personnalité qui est invitée, promue, encensée, écoutée avec componction et gravité parce qu'elle a à la fois le coeur sur la main et industriel à force d'émotion, des larmes dans les yeux et la morale en bandoulière. Elle pétitionne, proteste, dénonce, manifeste et condamne. Pourfendre le FN est devenu le gagne-pain médiatique de ceux qui n'ont plus rien à se mettre sous l'esprit.
Et il ignore que la Corse est française !
J'ai parfois l'impression que les médias sont fascinés par les célébrités les plus surfaites, celles qui profèrent des provocations, des outrances, des bêtises comme elles respirent. Jacques Séguéla a été un parfait exemple de cette dérive.
Comme Enrico pense bien, on oubliera forcément ses limites en géographie.
Le Canard enchaîné appréhende souvent la politique par le petit bout de la lorgnette et sa dérision probablement accentue le triste sentiment que tout cela est une comédie, voire une farce. C'est dangereux. Parce qu'il faut saluer la masse de ceux qui se dévouent et sont utiles malgré les défaillances éthiques et professionnelles de quelques-uns à droite comme à gauche.
Mais, en même temps, cet hebdomadaire nous fait entrer dans la quotidienneté politique, médiatique et culturelle. Il lève des chapes de plomb, de silence, anodines ou sérieuses, et il permet au citoyen, qu'il tienne un blog ou non, d'approuver ou de contredire ce que sans lui il n'aurait jamais su. Ce n'est pas rien.
Enrico Macias, j'entends bien, n'est pas l'alpha et encore moins l'oméga de mes préoccupations mais, Flaubert de l'infiniment pauvre, je ne résiste pas à la volupté de discuter une part de ce monde où l'aberrant, l'insipide sont mis au niveau, trop souvent, de l'important.
Et on peut dépasser Enrico Macias. Grâce toujours au Canard, j'apprends que quelques sénateurs irresponsables prétendent mettre à bas la loi de 1881 sur la presse. Alors que, même vermoulue, elle demeure un bouclier de la liberté.
Il y a des anecdotes qui regardent la démocratie et sa défense.
Je bénis donc Enrico Macias et son absurdité. Si la Corse n'était pas française, elle, c'est sûr, nous manquerait.
Le spectre du FN, au même titre que le racisme, est souvent l'argument de ceux qui n'en ont plus...
Rédigé par : Patrice BALLETTI | 27 octobre 2016 à 15:52
Qu'il se casse en Corse.
L'Algérie serait encore mieux et plus plausible.
Rédigé par : christian botte | 20 octobre 2016 à 18:12
Gabrielle Estève dit "Enrico a eu de la chance de gagner de l'or sur le dos des malheureux pieds noirs, je n'ai pas eu connaissance qu'il ait aidé des pieds noirs dans le malheur, car il y en a plus qui sont revenus avec une valise qu'avec un camion de déménagement."
De toutes façons, lui comme Noah, ils ont juré et ne sont pas partis ; ils vivent richement, et est-ce que Noah aide les pays dans la ruine ? Et Zidane qui découvrit 52 ans après le départ des pieds noirs que SON pays était resté en chantier mais pire, que les plages servaient de poubelles géantes, l'a fait renoncer à donner quelques millions pour les aider. Enfin je vous rappelle que Zidane quand son équipe gagna la coupe, il y a longtemps, l'offrit "à mon pays l'Algérie" ; je ne l'ai pas digéré, il devrait être reparti, en souvenir du mal fait aux pieds noirs, on ne nous entend pas souvent, mais cela suffit maintenant, que les médias arrêtent de les encenser et de les sanctifier.
Rédigé par : gabrielle | 09 octobre 2016 à 20:11
@Giuseppe | 30 septembre 2016 à 13:57
La voix aux sonorités plutôt graves d'Anne Hidalgo ne semble pas appeler de la part de connaisseurs en la matière de remarques particulièrement négatives. Sauf à avoir une répugnance particulière pour les femmes dotées d'un timbre alto et leur préférer les sopranos très aiguës et coloratura.
Comme quoi politique et musique font rarement bon ménage ! Et encore moins pour les non initiés...
Rédigé par : Mary Preud'homme | 30 septembre 2016 à 21:57
Cher Philippe,
A quoi ressemble l'intention d'écorcher un artiste ?
Un artiste qui a apporté son soutien à Sarkozy et à Hidalgo ?
Un artiste qui s'engage dans la lutte contre les extrêmes ?
N'avez-vous pas confondu la Corse et l'Ecosse qui est un pays ?
Il existe parfois trop de sévérité dans vos approches.
N'oubliez pas le soleil et la chaleur que nous a donnés ce chanteur et souhaitons-lui tout le bonheur du monde.
françoise et karell Semtob
Rédigé par : semtob | 30 septembre 2016 à 20:09
Enrico Macias n'aime pas le Front National, il se sent mal à l'aise à cause de toutes les preuves d'antisémitisme affichées pendant de longues années. Marine Le Pen voudrait nous persuader que la page est tournée ; mais Enrico Macias en doute et il n'est pas le seul.
Rédigé par : vamonos | 30 septembre 2016 à 11:19
@ Exilé 29 sept 2251
Quel transfert ??!! Plutôt désaccordé dans la société qui se profile. Ce qui pour un musicien est une petite mort...
EM aurait simplement dit qu'il ferait son עליה (Aliyah)si MLP était élue présidente.
Le retour à la terre promise est le vœu pieux de beaucoup de juifs, à défaut de pouvoir retourner dans leur pays natal (ce qui est son cas) ou de se sentir à l'aise dans le pays où ils ont vécu.
Rédigé par : Mary Preud'homme (diaspora) | 30 septembre 2016 à 10:40
@Mary Preud'homme
Par ailleurs, Enrico Macias (né en décembre 1938) a quitté l'Algérie avec toute sa famille en juillet 1961 (il avait alors 22 ans) à la suite de l'assassinat de son mentor et futur beau-père Raymond Leyris par un fedayin du FLN (M'Djaker) et de menaces de mort à l'encontre de tous ses proches.
Sa famille et lui ont eu alors de sérieuses raisons pour fuir devant les menaces du FLN.
Mais pourquoi se croit-il obligé de nous faire croire que, cinquante ans plus tard, il serait menacé par le F (pas L) N qui ne lui veut pourtant aucun mal ?
S'agit-il de ce que l'on appelle un transfert ?
Rédigé par : Exilé | 29 septembre 2016 à 22:51
@ Tomas | 28 septembre 2016 à 14:46
Votre commentaire m'a connecté à une ancienne chanson sans doute de l'époque de celles d'Enrico Macias. J'ai quitté mon cher pays, Paroles : Guy Favereau
En effet l'Auvergne aussi un pays !
Interprètes nombreux dont https://www.youtube.com/watch?v=tR99Nu9pdt0
en comparaison à la Chanson Adieu mon Pays (EM)
Rédigé par : fugace | 29 septembre 2016 à 15:01
Ça, c'est fait. Voyons la suite.
Rédigé par : Catherine JACOB | 29 septembre 2016 à 13:45
Les appelés du contingent recrutés comme instituteurs dans les SAS (Sections administratives spécialisées) créées par le ministre de l'Algérie résident de 1955 à 1956 étaient bien sûr exonérés du service militaire, leur mission d'enseignant étant assimilée à un service national fort utile à la pacification. Leur tâche consistait à éduquer les enfants et les femmes habitant dans les zones rurales ou isolées qui étaient historiquement sous-administrées et majoritairement sinon exclusivement peuplées de musulmans (communes mixtes, douars, mechtas et djebels). Elles étaient principalement localisées dans l'Est, c'est-à-dire la Kabylie et le département de Constantine. Pour sa part Gaston Ghrenassia (alias Enrico Macias) a exercé à Chelghoum Laïd dans le Constantinois. C'est donc lui faire un mauvais procès que prétendre qu'il se serait dérobé à ses obligations militaires. Mais bon, quand on veut salir tous les moyens sont bons !
Par ailleurs, Enrico Macias (né en décembre 1938) a quitté l'Algérie avec toute sa famille en juillet 1961 (il avait alors 22 ans) à la suite de l'assassinat de son mentor et futur beau-père Raymond Leyris par un fedayin du FLN (M'Djaker) et de menaces de mort à l'encontre de tous ses proches. Leyris, alias Cheikh Raymond, musicien au faîte de sa gloire étant soupçonné d'appartenir aux unités territoriales, sorte de milice paramilitaire qui organisait des expéditions punitives contre le FLN.
Quant au talent de Macias, notamment comme guitariste, il est remarquable. Le nier reviendrait à ne rien connaître à la musique, sinon être d'une parfaite mauvaise foi. Ajouté à cela ses compositions originales sur le mode judéo-arabe et orientaliste, mais aussi flamenco flamboyant style Gipsy Kings etc. A côté de nombreux succès de variétés qui font de lui un artiste contemporain authentique et reconnu, quand bien même on ne l'aimerait pas pour tout autre raison ne se rapportant en rien à son talent de musicien et de chanteur.
Rédigé par : Mary Preud'homme (El Porompompero !) | 29 septembre 2016 à 13:41
@ Trekker | 29 septembre 2016 à 00:54
Oui, je sais bien que vous avez raison sur le fond, mais je suis comme un vieux chat teigneux, couvert de cicatrices, le poil tout gris mais les griffes toujours bien acérées.
Alors quand Philippe me refile une souris, ou plutôt un rat dans ce cas-ci, sans que j'ai eu à le chasser moi-même, ne m'enlevez pas le plaisir de jouer avec, en aiguisant mes griffes.
Rédigé par : Claude Luçon | 29 septembre 2016 à 12:09
@ caroff | 29 septembre 2016 à 09:29
Merci de la précision !
J'aurai dû comprendre que vous pratiquiez le sarcasme comme moi.
La prochaine fois appelez-moi Papy, il y a quatre générations, bientôt cinq, qui le font, pas Papou, ça prête à confusion.
Rédigé par : Claude Luçon | 29 septembre 2016 à 11:50
@caroff
Il n'a pas la moindre chance d'obtenir une nationalité qui en outre ne lui permettrait, via son passeport, de voyager qu'avec extrême difficulté !
Cette question du passeport, même français, propre à des personnes nées en Algérie avant 1962 est parfois source de problèmes pour certains de nos compatriotes.
En effet, leur lieu de naissance est identifié de façon actuelle avec le code « DZ » propre à l'Algérie.
De ce fait, qui éveille une certaine suspicion chez les agents de l'administration étasunienne, les Français se trouvant dans ce cas peuvent se voir exposés à des formalités d'entrée plus tatillonnes que pour ceux nés en France...
Rédigé par : Exilé | 29 septembre 2016 à 11:36
@Claude Luçon
"Pour la nationalité algérienne, désolé je ne peux rien y faire, il faudra que vous la demandiez à quelqu'un de compétent.
Puis-je suggérer l'Ambassade d'Algérie ?"
Il n'a pas la moindre chance d'obtenir une nationalité qui en outre ne lui permettrait, via son passeport, de voyager qu'avec extrême difficulté !
En fait je signalais ironiquement qu'Enrico n'est ni Kabyle, ni pied-noir puisqu'il fait partie de ces familles installées en Algérie (Numidie) avant l'arrivée des Arabes !
Si son pays d'origine était plus fréquentable qu'Israël, je ne doute pas qu'il veuille revoir la terre de ses ancêtres, popopodi !!
Rédigé par : caroff | 29 septembre 2016 à 09:29
Voilà une raison de plus de voter MLP.
Bon vent vers Israël sa vraie patrie, au pied noir qui ne s'est jamais mouillé autrement qu'avec des larmes en forme de biftons.
D'autres se sont moullés pour lui, comme Hélie de Saint Marc, mais aussi comme Salan, Challe, Zeller et Jouhaud, les héros oubliés de l'honneur.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 29 septembre 2016 à 06:33
@Tipaza
Le Brevet Elémentaire (BE) est un diplôme sur lequel il est inscrit "Instituteur" et/ou "Institutrice"... Pour la bonne et simple raison qu'il englobe dans son programme toutes les matières du français à la musique et qu'il était décerné au compte-gouttes !
Après quoi, trois années de pratique en charge d'une classe !
L'Ecole Normale d'Instituteurs qui vous oblige à connaître par coeur E. Zola, n'apporte rien de plus aux diplômés du B.E..
Quant à E. Macias il a pu mettre du beaume au coeur de celles et ceux qui avaient quitté leur pays mais dans des conditions plus difficiles sans doute que lui qui en maîtrisait la langue.
Rédigé par : calamity jane | 29 septembre 2016 à 05:17
@ Claude Luçon | 28 septembre 2016 à 19:49
"Il y a des imposteurs qu'il faut exposer, cher Trekker, ici comme ailleurs, surtout lorsque l'imposture frôle la traîtrise et la lâcheté…"
Désolé mon cher Doyen, c’est faire trop d’honneur à ce genre d’individu !
Cette girouette médiocre tente d’exister médiatiquement au travers de ses prises de positions politiques pour le moins contradictoires, à défaut - depuis près de deux décennies - de pouvoir remplir même des «Olympia» de province.
Rédigé par : Trekker | 29 septembre 2016 à 00:54
@caroff | 28 septembre 2016 à 22:12
"Né à Constantine, Gaston Ghenassia, alias Enrico Macias, est Kabyle comme moi Papou !! Juif algérien il est à ce titre fondé à obtenir la nationalité algérienne !"
Oui, je sais tout cela, tous ces détails et d'autres sont sur Google qui a beaucoup de choses à dire sur Gaston Ghenassia, pas très flatteuses pour la plupart. Mais en quoi cela l'empêchait-il de porter l"uniforme en 1959-61 et de défendre son pays pour lequel des Durand et des Dupont chrétiens ont été envoyés de France pour mourir à sa place ?
Je ne vois pas les jeunes Israéliens aussi juifs que lui fuir leur pays lorsqu'il est en danger, bien au contraire, ils prennent les armes, garçons et filles ! Depuis 1948 le Papou que je suis supposé être les voit, là-bas, génération après génération, et ils y restent, pourtant ils sont peu nombreux et entourés de musulmans hostiles comme l'était Gaston.
Pour la nationalité algérienne, désolé je ne peux rien y faire, il faudra que vous la demandiez à quelqu'un de compétent.
Puis-je suggérer l'Ambassade d'Algérie ?
Pour votre information je suis né dans la vallée de la Loire, un vrai Gaulois, pas en Papouasie où, c'est d'ailleurs étrange, je n'ai jamais mis les pieds.
Rédigé par : Claude Luçon | 28 septembre 2016 à 23:35
Excellent billet.
Mais attention Philippe, si Enrico a ses entrées chez Isabelle Huppert, ce sera définitivement non.
Rédigé par : stephane | 28 septembre 2016 à 23:10
@Claude Luçon
"Né en 1938 en Kabylie, il la quitte en 1961, à 23 ans.
Puis il vient pleurer en France, en toute sécurité, la perte de son pays, de sa Kabylie.
Il avait 23 ans !
Pourquoi n'a-t-il pas revêtu l'uniforme, à 20 ans, comme les soldats du contingent et n'est-il pas resté à leurs côtés pour la défendre, SA Kabylie ?"
Né à Constantine, Gaston Ghenassia, alias Enrico Macias, est Kabyle comme moi Papou !!
Juif algérien il est à ce titre fondé à obtenir la nationalité algérienne !
Rédigé par : caroff | 28 septembre 2016 à 22:12
Pas de panique... c'est du Enrico dans le texte.
Ces pseudo-artistes intellos un tantinet philos pourraient même rentrer chez eux... pas grave...
Ne pas oublier BHL dans la valise !!
Rédigé par : Pierre | 28 septembre 2016 à 20:17
@ Trekker
Généralement d'accord avec vous, pas cette fois-ci à propos de Macias, le Kabyle chantant a bien toute sa place ici.
Car il faut se pencher sur son cas.
Né en 1938 en Kabylie, il la quitte en 1961, à 23 ans.
Puis il vient pleurer en France, en toute sécurité, la perte de son pays, de sa Kabylie.
Il avait 23 ans !
Pourquoi n'a-t-il pas revêtu l'uniforme, à 20 ans, comme les soldats du contingent et n'est-il pas resté à leurs côtés pour la défendre, SA Kabylie ?
Des dizaines de milliers de ces soldats sont morts pour le pays de Macias et pourtant ce n'est pas sur eux qu'il pleure, il pleure sur son propre sort.
Non seulement il ne s'est pas battu mais il a commis quelques excès avant de s'appeler Macias, excès qui l'ont sans doute poussé à quitter Constantine pour Paris. Serait-il un tantinet trouillard, Enrico ?
Philippe Bilger, comme Enrico Macias, est titulaire de la Légion d'honneur. Il l'a méritée en assurant notre sécurité sans trop penser à la sienne, sans arme, en mettant des voyous, des meurtriers, des violeurs... derrière les barreaux de prisons.
Macias l'a mérité pourquoi ? Pour toutes ses larmes ? Tout en comptant les dizaines de millions qu'il gagnait ? Bien au-delà du salaire d'un magistrat.
Il y a des imposteurs qu'il faut exposer, cher Trekker, ici comme ailleurs, surtout lorsque l'imposture frôle la traîtrise et la lâcheté.
Rédigé par : Claude Luçon | 28 septembre 2016 à 19:49
Attention, tous ceux qui critiquent ou ridiculisent Enrico ici, dont je suis, y compris Philippe, doivent faire amende honorable, voici ce que nous révèle Wikipedia :
"En 1985, il reçoit la Légion d’honneur des mains du Premier ministre français Laurent Fabius. Il est promu au grade d’officier en avril 2007."
Il a la Légion d'honneur et, comme disait Sacha Guitry, nous devrions avoir confiance, d'autant plus qu'Enrico est Officier.
Nous n'avons rien compris, il se bat pour la Patrie.
Il ne lui suffit plus que de dire qu'il votera pour Hollande pour contrer Marine et le voilà Commandeur, peut-être même Grand Officier si Hollande bat Sarkozy. Fabius est toujours là pour le promouvoir aux grades plus élevés.
D'ailleurs pour quelle raison ces légionnaires-là ne défilent-ils pas le jour du 14 Juillet ? On voit bien Enrico en tête, porteur du drapeau, défilant au son de "Adieu mon pays".
Rédigé par : Claude Luçon | 28 septembre 2016 à 18:17
Enrico raisonne en oriental, en sentimental, à l'image de sa célèbre chanson intitulée justement l'Oriental. Inutile donc d'attacher une quelconque importance à tout ce qui ne ressort pas de son art de guitariste (talentueux, si si !) ou de chanteur (sur le retour). De même qu'il ne viendrait à l'esprit de personne d'accorder le moindre crédit aux jugements péremptoires d'un politicien en matière de musique, de cuisine ou de tricot. Mais se contenter d'en rire s'il en venait à vouloir imposer ses choix ou ses préférences par le biais d'un chantage puéril !
Comme (s'agissant de Macias) partir en Corse, en Suisse ou en Israël par dépit... Pas très gentil au passage pour les trois région ou pays précités qui n'ont nullement vocation à accueillir tous les saltimbanques frustrés et autres déracinés en manque de reconnaissance éternelle.
A noter que si Enrico continue de soutenir Sarkozy, il va lui falloir aussi revoir sa charte de bonne conduite citoyenne pour rester dans les clous (de son maître) lors des prochaines élections présidentielles où une entente des droites se dessine pour gagner (au final) ladite élection. Dont on n'est pas sûr à cent pour cent que NS soit finaliste.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 28 septembre 2016 à 18:04
C'est un billet réjouissant, sans grande portée si ce n'est railler avec sourire toute une corporation de people qui sont les Tartarin de notre pays.
Le Palmipède, comme le fait notre hôte, s'en fait une douceur de temps à autre, rien d'important... Quoique révélateur d'un recoin de l'âme de l'individu. Ce qui est sûr c'est qu'ils ne seront jamais des Albert Schweitzer.
Décidément trop bêtes et indécrottables abonnés aux quolibets des internautes décorés par eux avec générosité.
Rédigé par : Giuseppe | 28 septembre 2016 à 17:50
Bon à défaut de la géographie il est qu'il doit apprendre aussi à compter. Sauf que dans ce cas, je pense qu'il en avait cerné tous les risques et comptait bien rembourser un prêt... avec les intérêts de la banque.
Bref à l'insu de son plein gré il s'est fait rouler dans la farine, ce qui a un côté quelque peu savoureux pour quelqu'un qui investissait "à l'étranger".
http://www.insolentiae.com/pauvres-riches-epargnants-la-banque-landsbanki-renvoyee-en-correctionnelle/
Dans le fond s'il veut quitter le pays, nombreux sont ceux qui vont l'aider à boucler ses valises, surtout sur les réseaux sociaux où bon nombre de bénévoles se sont proposés.
Voracité et rapacité financière quand tu nous tiens.
Il est des déclarations comme celle qui fait dire "retenez-moi ou je fais un malheur !" qui ne mangent pas de pain.
Ils adorent notre pays, mais encore plus l'argent, le vil argent, leur veau d'or à eux.
Rions un peu plus, je crois qu'il a chanté "donnez... donnez... ", lui à part l'heure il n'a pas donné grand-chose.
Rédigé par : Giuseppe | 28 septembre 2016 à 17:27
C'est formidable les périodes pré-électorales : on y redécouvre Kirk le centenaire Spartacus sur un fauteuil roulant comparant Trump et Hitler et notre œil de velours national qui hier pleurait à l'idée de quitter sa maison de Saint-Tropez, escroqué qu'il avait été par de méchants banquiers luxembourgeois...
Attendez les Arditi et autres Py : on en frissonne d'avance !
Rédigé par : sbriglia | 28 septembre 2016 à 17:24
Un instant, j'ai cru avoir la berlue, lorsque vous écrivez :
"Enfin c'est cette personnalité qui est invitée, promue, encensée, écoutée avec componction et gravité parce qu'elle a à la fois le cœur sur la main et industriel à force d'émotion, des larmes dans les yeux et la morale en bandoulière. Elle pétitionne, proteste, dénonce, manifeste et condamne."
Comme c'est avec ces mots que vous caractérisez ordinairement les artistes de gauche, j'ai cru qu'Enrico Macias était passé à gauche ! Vous me rassurez finalement, c'est pour tout le monde, et les tares qui, tel jour, sont l'apanage du magistère moral de la gauche, sont interchangeables, tel autre jour, concernant une personnalité de droite ! Ouf !
Parce que c'est déjà assez compliqué à gauche aujourd'hui, que chacun veuille bien garder ses petites nuisances chez lui et qu'Enrico Macias continue de soutenir N. Sarkozy me convient pleinement. De Suisse ou de Corse me va encore mieux, même si je me rends bien compte que ma cruauté à l'égard de ces populations inhospitalières est excessive.
Rédigé par : Jean-Dominique Reffait | 28 septembre 2016 à 17:05
Enrico Macias prévient qu’il émigrera en cas de victoire du FN, désolé mais ce non événement ne méritait pas l’honneur de figurer dans un billet de notre hôte. Se rappeler la phrase de Talleyrand : Tout ce qui est excessif est insignifiant.
Rédigé par : Trekker | 28 septembre 2016 à 17:01
Je croyais que le FN était Algérie Française...
Comme quoi, tout passe, tout lasse.
Rédigé par : antonia | 28 septembre 2016 à 16:51
Bonjour,
Je pense qu’Enrico Macias doit être copain avec le président nationaliste de l'assemblée de Corse Jean-Guy Talamoni qui compare la Corse à l'Algérie française et qui a dit lors d’une interview en janvier 2016 que la France était "un pays ami".
Il est loin le temps ou Enrico nous chantait cette magnifique chanson :
♫Les gens du Nord
Ont dans leurs yeux le bleu
Qui manque à leur décor
Les gens du Nord
Ont dans le cœur le soleil
Qu'ils n'ont pas dehors
Les gens du Nord
Ouvrent toujours leurs portes
A ceux qui ont souffert
Les gens du Nord
N'oublient pas qu'ils
Ont vécu des années d'enfer
Si leurs maisons sont alignées
C'est par souci d'égalité
Et les péniches
Pauvres ou riches
Portent le fruit de leurs efforts ♫
Il est vrai que depuis, les temps ont bien changé. Les gens du Nord ne sont plus ce qu'ils étaient.
Rédigé par : Achille | 28 septembre 2016 à 16:02
La légende, écrite par Enrico Macias, veut qu’il ait été instituteur en Algérie.
Enrico n’a pas été instituteur, il a été instructeur, ce qui est différent.
Les instructeurs étaient pourvus du brevet d'études du premier cycle (BEPC), du brevet élémentaire (BE), ou de la première partie du baccalauréat, et n’étaient pas passés par une école normale d’instituteur.
Ils étaient particulièrement affectés dans des zones rurales, où ils devaient assurer la formation des enfants algériens qui le plus souvent ne parlaient pas français.
Par la suite les instructeurs sont devenus des instituteurs, mais cette régularisation est venue après l’indépendance et a touché les instructeurs rentrés en France qui souhaitaient poursuivre le métier.
Je me demande si Enrico a la deuxième partie du baccalauréat. Je n’en jurerais pas, mais je crois qu’il ne l’a pas, ce qui explique sa volonté de paraître instituteur, donc plus diplômé qu’il ne l’est, et qui explique également quelques lacunes sur les départements et régions françaises.
Ceci dit, le travail d’instructeur était un travail difficile, il faut le reconnaître.
Dans l’ambiance de lamentations, de repentance, etc., dans laquelle nous sommes, ça ne m’étonnerait pas qu’il change son CV pour revendiquer un altruisme qu’il cachait jusqu’à présent.
Il doit peser les avantages et inconvénients d’une absence de diplôme, et d’un travail pour gagner sa vie, devenu un « dévouement ».
Rédigé par : Tipaza | 28 septembre 2016 à 15:57
Et si c'était dit comme au second degré, parce qu'il aime la Corse et comprend la différence entre la mentalité FN et la mentalité Sisco ?
Rédigé par : Alex paulista | 28 septembre 2016 à 15:23
Savoureux, j'ai bien ri... Bravo !
On remarquera que ce sont toujours des Français de fraîche date, n'ayant aucune racine gauloise, qui menacent les premiers de "quitter la France si MLP arrivait au pouvoir".
Ils se bousculent au portillon...
Ces Français du Décret Crémieux nous amusent.
Ainsi, Pierre Arditi menaçait de "prendre le maquis", on l'imagine sur le plateau des Glières par -20° aux prises avec son sèche-cheveux pour se faire un brushing. Ou alors, dans un autre style, Yannick Noah partant pour New York sans passer par Bercy pour régler ses ardoises.
Heureusement Eric Zemmour est plus proche de Marc Bloch que tous ces rigolos.
Rédigé par : Savonarole | 28 septembre 2016 à 14:56
Au risque de choquer, le pense que la Corse n'est effectivement pas francaise mais... corse, tout betement. Depuis le fameux article "qu'est-ce qu'une nation" d'Ernest Renan, nous vivons dans le mythe d'une France dont tous les citoyens seraient unis dans la communion du drapeau, alors que bien entendu il n'en a jamais rien ete, la France est eminemment complexe et toujours fractionnee en de multiples identites regionales. Curieux de voir que notre conception de la nation est nee juste pour justifier l'appartenance de l'Alsace a la France !
La Corse est une ile qui a ete rattachee recemment a la France et a conserve contrairement a la plupart des autres regions l'usage de sa langue. Sur le continent, les Corses pratiquent le meme communautarisme que les Aveyronnais ou les differentes populations immigrees qui se succedent sur le sol de notre beau pays depuis la fin du XIXe siècle. Et vous le remarquerez, ils ont elu un militant nationaliste pour diriger leur ile en 2015. Politiquement la Corse fait partie de la France, mais culturellement les Corses sont une minorite nationale, concept juridique que nous n'admettons pas, prisonniers que nous sommes de la belle fiction renanienne. Enrico Macias a donc raison quand il fait de la Corse une terre non-francaise, d'ailleurs la lecture de cet article du journal So Foot achevera de vous convaincre, c'est edifiant :
http://www.sofoot.com/au-fait-ils-sont-pour-qui-les-corses-pendant-le-mondial-185568.html
Rédigé par : Tomas | 28 septembre 2016 à 14:46
Pour une fois, une seule, une petite anecdote personnelle qui montre que la géographie n’est pas le fort des Français.
Ayant été muté en Alsace, je déménage donc.
Et je me prépare à partir en précédant le déménageur, à qui je donne les indications sur le point d’arrivée, un petit village au nom imprononçable évidemment.
Le plus naturellement et le plus sérieusement du monde, le chauffeur me demande les papiers pour passer la douane !
Je lui explique avec moult ménagement que l’Alsace c’est la France. « Vous êtes sûr ? » me dit-il.
Comme j’ai longtemps confondu la Réunion et la Martinique, ça ne m’a pas complètement surpris.
Du lointain Sud-Ouest à l’Alsace profonde il y a environ 1000 km, de quoi justifier une légère erreur sur le tracé des frontières, à quoi s’ajoute une aversion pour la géographie que je constate avec plaisir, partagée avec tout à la fois un chauffeur de poids lourd et un avocat général.
Rédigé par : Tipaza | 28 septembre 2016 à 14:14
Enrico a été un instituteur français. C'est une chance qu'il ait changé de profession, faute de quoi des générations d'enfants auraient appris avant l'heure l'indépendance de la Corse.
Pour venir à l'essentiel, cet homme est irresponsable de propager à l'étranger l'idée que l'ennemi des braves Français de culture judéo-chrétienne est le FN. Comme si les milliers de juifs français faisaient l'alya chaque année pour fuir les violences des troupes de Le Pen ou la crainte de ces violences.
Macias nous était sympathique tant qu'il pleurait son pays disparu (la faute au FN ?), qu'il roucoulait à l'orientale et qu'il prêchait la concorde et l'amour entre les "enfants de tous pays".
Mais cette fois-ci, comme je l'ai entendu d'un ministre mexicain parlant d'un de ses collègues, il a "pissé à côté du pot".
Rédigé par : Yves | 28 septembre 2016 à 13:42
Inriiicôôô ? popodi ! Encore un résistant anti-FNiste ? On ne va pas s'en remettre nous les FNistes blancs de droite chrétiens hétéros racistes islamophobes homophobes etcétérophobes... Doit-on retenir notre souffle nous, dans nos permanences FNisées ? Jusqu'en 2017 ? Ma qué dolor ! Il y aurait donc des pieds noirs parmi tous ces pieds nickelés anti-FN ?
Au fait, ce "Inriicôô" est-il christianisé, islamisé, déchristianisé, boudhinisé, vichnouisé, Jéhovisé, Shivanisé, Krischnisé, etcétérisé ??
Kss kss Gasparry, mon imamou préféré, on attend les résultats de ton enquéquette kss kss !
Rédigé par : sylvain | 28 septembre 2016 à 13:42
J'ai parfois l'impression que les médias sont fascinés par les célébrités les plus surfaites, celles qui profèrent des provocations, des outrances, des bêtises comme elles respirent.
Pour qui sait que les médias se sont arrogés le droit de conditionner l'opinion selon certaines lignes directrices, ce n'est pas surprenant, ces célébrités sont en effet des vecteurs utiles, leurs admirateurs acceptant d'entendre de leur bouche ce qui les choquerait parfois si cela provenait d'une autre source.
C'est vrai pour les acteurs, les chanteurs, les sportifs et autres intellectuels (sourire)...
D'un autre côté, pour pouvoir bénéficier des faveurs des médias, ces célébrités sont tenues de donner des gages en faisant une profession de foi publique anti-FN.
Eh oui, ça se passe comme cela en France, terre de liberté (surveillée)...
Rédigé par : Exilé | 28 septembre 2016 à 13:16
Sauf erreur de ma part, Enrico avait déclaré avoir été instituteur en Algérie avant de devenir chanteur. A trop fêter les enfants de tous pays il a dû abuser de l'anisette avant de se confier au journaliste.
Rédigé par : Jabiru | 28 septembre 2016 à 13:13
Ici c'est Enrico Macias qui donne son indépendance à la Corse, probablement parce qu'il croit que la Corse est un morceau de l'Algérie profitant de la dérive des continents pour le suivre après son départ.
Il n'y a pas si longtemps Depardieu s'en allait chez Poutine en nous traitant de tous les noms, pensant sans doute qu'il lui fallait ajouter le caviar et la vodka à son régime alimentaire pour soigner son anorexie.
Nasri ne veut plus jouer pour l'Equipe de France, bien que personne ne le lui demande, mais sans doute parce qu'il est accouplé avec une oie qui insulte la France par peur d'être gavée.
Marion Cotillard, après son oscar pour La Môme, une insulte pour Piaf et Cerdan pour ceux qui ont vu Edith Piaf sur scène et Marcel Cerdan sur le ring, nous explique que l'attaque sur les tours jumelles le 11 Septembre était une implosion oeuvre de la CIA et de George W. Bush, l'implosion d'un building d'après elle commençant par le haut, elle en est sûre car son haut à elle, vide, risque d'imploser à tout moment sans l'aide de la CIA, sous la simple pression atmosphérique.
Jean-Vincent Placé, fort de son expérience de comptable, déclare qu'il n'acceptera jamais la fracturation hydraulique, sans doute par peur de tomber dans la fracture, mais quel soulagement ce serait pour nous, surtout si elle se refermait sur lui.
Cantona, footballeur émérite, coqueluche des Britanniques, converti au cinéma, déclare que nous sommes tous racistes, dont lui on suppose.
Ribéry, footballeur émérite également, mais coqueluche des Bavarois, qui ne doit pas lire ce blog ne sachant pas lire, nous présente sa propre amélioration de la langue française, la ribrylangue, bien que Philippe et Pascale insistent pour conserver le bon vieux français.
Et ce n'est qu'un échantillonnage.
Nos "célébrités" sévissent dans toutes les disciplines et sciences : géographie, sociologie, génie civil et architecture, exploration pétrolière, métallurgie, grammaire...
Pourtant aucun d'eux n'a été à l'école de Najat, mieux vaut d'ailleurs qu'ils n'y aillent pas, Dieu seul sait les âneries qu'ils pourraient alors révéler au Canard enchaîné.
Rédigé par : Claude Luçon | 28 septembre 2016 à 13:12
Ça se corse.
Je ne suis pas particulièrement un fan d’Enrico Macias. Pour autant je ne le tiens pas pour un imbécile. Son premier métier était instituteur. Sans doute a-t-il appris aux petits Algériens "nos ancêtres les Gaulois". Évidemment Enrico sait bien que la Corse appartient à la France depuis que Gênes la lui a cédée en 1768.
Mais voilà, il sait aussi ce que c’est qu’un « Pinzutu », c’est ainsi que les Corses désignent un Français du continent. Il sait que la Corse a une tradition de résistance, voire de rébellion. Elle a par ailleurs accueilli beaucoup de pieds noirs après la guerre d’Algérie. Et si l’on en croit les gazettes, le FN n’y est pas toujours apprécié. Marine Le Pen et Louis Aliot se seraient faits refouler cet été d’un restaurant à Saint-Florent, une des stations les plus chics de l’île. C’est pourquoi Enrico la cite comme un lieu possible d'exil.
Comme dirait l’autre, entre Enrico et le FN, ça se corse !
Rédigé par : Marc GHINSBERG | 28 septembre 2016 à 13:08
Cette note sur Enrico est savoureuse.
S'il n'avait pas été sépharade le "haricot" serait resté dans sa cosse.
Mais comme la TV et la presse en ont fait le plein, il est inutile de penser que les ânes se transformeront en lapins.
Rédigé par : mariane | 28 septembre 2016 à 13:07
Enrico Macias, encore un berbère judaïsé comme Eric Zemmour ! Il avait voulu revoir son pays natal en partant avec Sarko en voyage officiel en Algérie en 2007, mais les autorités algériennes bien connues pour leur ouverture d'esprit et leur grandeur d'âme, n'ont pas voulu de lui...
Pourtant il est plus algérien que tous les anciens du FLN réunis !
Le problème avec Enrico c'est qu'il semble limité en tout, en dehors de la chanson naturellement !
Rédigé par : caroff | 28 septembre 2016 à 13:05
Cher PB,
Voilà un billet qui ne fera pas partie des 100 meilleurs ! La modernité nécessite-t-elle de commenter n'importe qui, disant n'importe quoi ? Mais c'est la liberté des Français, depuis 1881 !
Rédigé par : Jean le Cauchois | 28 septembre 2016 à 13:01
Un accord avec vous sur ce billet, y compris sur le Canard qui, s'il n'existait pas ou plus, nous manquerait, à l'instar de la Corse !
Rédigé par : Robert | 28 septembre 2016 à 12:33
Macias ou Hulot ou apparentés ne sont que des saltimbanques qui voudraient "poéter plus haut que leur luth"...
Rédigé par : protagoras | 28 septembre 2016 à 12:26
Ah bon, si le FN passe Enrico quittera la France ? J'en doute. J'ai déjà entendu Enrico Macias tenir à l'antenne les mêmes propos en 2002, puis en 2007. Serait-ce juste pour relancer les médias par crainte d'être oublié de son cher public ? Rassurez-vous, il ne quittera jamais la France, cette France qu'il aime tant et qui lui a tout donné, comme il dit. Les artistes sont un peu tous pareils. Dès que l'on ne parle plus d'eux, ils s'invitent à faire du buzz pour tenter d'exister parmi nous, sinon c'est la déprime assurée. Je conseillerais à Enrico de se mettre à l'écriture et nous sortir de beaux poèmes comme il sait si bien le faire.
Rédigé par : Ellen | 28 septembre 2016 à 12:12
Vifs compliments pour ce billet plein d'humour, ou que j'ai pris pour tel !
Il faut comprendre Enrico, quand on est bon comme le pain on est approximatif comme la mesure du meunier...
Mais il vrai que la Corse elle-même a des doutes sur sa qualité française (certes récente).
Rédigé par : duvent | 28 septembre 2016 à 11:57