Certes il s'agit, en effet, "d'une fin de règne" (Le Figaro).
Mais sans allure. Du Shakespeare médiocre revisité par Feydeau.
Ils attendent tous. Ils attendent tous la décision du président de la République. Il l'offrira - comme un cadeau si elle est négative mais personne ne croit qu'il aura ce courage et cette grandeur - entre le 1er et le 15 décembre. On saura dans quelques semaines. Le comble est que nous n'avons pas le moindre doute mais nous nous tenons dans une feinte impatience pour nous laisser croire que François Hollande pèse encore un peu sur l'avenir de la France.
Il n'aura plus le temps de bavarder avec des journalistes pour qu'un nouveau livre soit publié.
Il les fait attendre.
Ce n'est pas qu'à gauche que les personnalités politiques, celles qui comptent ou s'imaginent compter, se tiennent l'arme au pied, l'espoir en bandoulière. François Baroin attend la victoire de Nicolas Sarkozy pour devenir Premier ministre. Nicolas Sarkozy attend de faire craquer François Bayrou qui attend la défaite de Nicolas Sarkozy. Valérie Pécresse s'est engagée pour Alain Juppé et attend sa victoire. Beaucoup se fantasment déjà ministres et attendent la consécration. Des attentes délicieuses quand elles sont plausibles, douloureuses quand elles ne reposent sur rien.
Mais à gauche, ils sont tous suspendus au bon vouloir de François Hollande. Je le devine gourmand, cynique, critique face à la comédie du pouvoir. Le vrai, il le tient encore un peu. Mais quel régal, pour un pessimiste, de considérer le spectacle de ces marionnettes humaines qui n'aspirent qu'à la relève, au grand remplacement ou, quand ils sont lucides, modestes, à rendre la déconfiture la moins amère possible.
Emmanuel Macron attend que François Hollande se détermine.
Manuel Valls, entre loyauté et volonté de sauvetage, entre accablement et exaspération, entre antagonisme et réconciliation, attend que le président de la République sorte enfin de son autarcie, si méprisante au fond.
Jean-Luc Mélenchon fait mine de s'en moquer mais je suis sûr qu'il attend d'en découdre avec François Hollande et de faire bien mieux que lui au premier tour de 2017.
Arnaud Montebourg attend d'affronter le président de la République au premier tour de la primaire socialiste au mois de janvier 2017. Parce qu'il est convaincu de pouvoir le battre et que son talent sera supérieur au sien.
Ils attendent parce qu'aucun d'eux ne dissimule plus que l'actuel titulaire du pouvoir leur semble dépassé, hors d'usage pour la suite. Un François Hollande périmé.
Pourtant c'est lui encore qui les domine, qui les tient en haleine. Il attend celui qui le premier se lassera d'attendre. Ils dépendent de lui qui les maintient dans un suspens fébrile, pénible.
Puisqu'il les fait attendre et qu'ils ne peuvent faire autrement, pour la gestion de leur propre futur, que d'attendre le verdict qui sortira de sa bouche quand il l'aura décidé. Et seulement à ce moment-là.
En attendant Hollande...
Ils piaffent, ils souffrent, ils n'en peuvent plus. Ils pressentent que cette manière de les faire lanterner relève plus du vaudeville que du drame même si la France est l'enjeu tout là-bas, à l'horizon.
Quand un président de la République n'a presque plus rien à apporter à la République, il lui reste le plaisir pervers de qui n'a plus que son sadisme pour démontrer, se démontrer qu'il est encore vivant.
Puisqu'il leur fait mal et qu'ils l'attendent.
En attendant Hollande, aujourd'hui malgré l'apparence de sérieux c'est une farce.
Je me suis trompé : à peine du Shakespeare mais trop de Feydeau là-dedans !
Je vous invite à regarder mon commentaire du 13 novembre à 21h13.
Rédigé par : stephane | 01 décembre 2016 à 21:07
Hollande ne sera pas candidat et heureusement pour lui il réussira à fourguer la patate chaude.
Valls a peur qu'après avoir été candidat en 2017 et battu, Macron soit le candidat de 2022.
Je pense que Valls souhaite qu'un autre socialiste soit ratiboisé afin de prendre la tête du parti mais il a le chatterton Macron collé à la veste.
Comment faire ? La jouer loyal ? Faire l'erreur de Fillon ?
Ce qui est idiot c'est qu'en étant lucide au point de n'être pas candidat, Hollande serait un bon candidat.
Ne jetons pas tout : des taux bas, un déficit budgétaire bas, le coût de la dette qui diminue...
Soyons justes, mais le président, franchement, il est usé.
Ne vous est-il pas venu à l'esprit que Hollande aurait pu lui-même être l'auteur des tweets de Trierweiler ?
De la part d'un homme qui a tourné si rapidement les talons, rien ne devait plus nous surprendre.
Quant aux déçus, n'oubliez pas sa seule vraie promesse : si vous votez pour moi, je battrai Nicolas Sarkozy.
Rendons-lui ce posthume hommage, il a tenu son engagement.
Rédigé par : stephane | 13 novembre 2016 à 21:25
@Caroline | 05 novembre 2016 à 21:53
"Je n'ai pas vu dans ce blog de réponse à ma question en ce qui concerne la parution du livre des deux journalistes du Monde."
Faut vous réveiller plus tôt et vous coucher très tard, sinon on ne suit pas.
Rédigé par : Savonarole | 06 novembre 2016 à 17:57
@ anne-marie marson | 06 novembre 2016 à 10:45
Bonjour,
Hollande n'est pas celui que vous croyez. C'est tout d'abord un pleutre qui a fait carrière comme d'autres fonctionnaires qui gravissent les échelons avec le temps. Rappelez-vous comment il était estimé par ses compagnons du PS : une fraise des bois, une coui...molle.
Mais ce pleutre de nature est aussi un pervers et un diabolique ce qui se marie fort bien avec la lâcheté.
D'ailleurs ne faisait-il pas une confidence à Valérie en traitant le peuple de sans-dent, lui un soi-disant socialiste.
C'est pour cela que je dis qu'il me dégoûte !
Rédigé par : agecanonix | 06 novembre 2016 à 17:13
Est-ce que le tweet de V.Trierweiler était une trahison, ou bien la dégradation "normale" de la vie politique française ?
Je ne pense pas que le livre des deux journalistes du Monde soit une trahison.
F.Hollande n'est ni naïf ni imprudent. Il a besoin d'argent pour sa campagne électorale, et ce livre va lui en rapporter, au mépris de la police, de l'armée, de ses collaborateurs et finalement des citoyens.
Rédigé par : anne-marie marson | 06 novembre 2016 à 10:45
Je n'ai pas vu dans ce blog de réponse à ma question en ce qui concerne la parution du livre des deux journalistes du Monde.
J'ai comme l'impression d'une trahison de leur part. FH a été naïf et imprudent, d'accord. Néanmoins, soixante heures de confidences, de confiance, d'intimité et sortir ce livre (pas à n'importe quel moment) ? Je me pose la question de la déontologie !
Et pourquoi ce titre ? Recueillir des informations, faire semblant d'être en proximité bienveillante avec le président...
Que pensent mes amis de ce blog ?
Rédigé par : Caroline | 05 novembre 2016 à 21:53
Il semble que certains attendent F.Hollande au tournant.
En particulier J.Quatremer vendredi soir dans l'émission 28 minutes, un J.Quatremer scandalisé des révélations de F.Hollande.
En particulier, le fait que F.Hollande dise à des journalistes qu'il a commandité des assassinats politiques, ou qu'il ait montré aux journalistes les plans de l'armée.
Ces informations contenues dans le livre ont fait, curieusement, peu de bruit médiatique.
Il faudra peut-être attendre que F.Hollande se représente à la présidentielle pour que d'autres journalistes lui posent la question.
Rédigé par : anne-marie marson | 05 novembre 2016 à 20:21
@ Achille | 05 novembre 2016 à 15:28
Votre avis vaut aussi pour vous-même, mon pauvre Achille, et ne sous-estimez pas votre vulgarité, c'est mon avis !
Rédigé par : agecanonix | 05 novembre 2016 à 19:32
@fugace | 05 novembre 2016 à 14:57
Les policiers de la Sécurité publique (hormis les membres de la BAC) opèrent en tenue. De même que les CRS. Tandis que pratiquement toutes les autres unités appartenant à la PJ, DCRI, service de protection des personnalités etc. travaillent en civil, ce qui n'est pas nouveau sous le soleil et a toujours existé pour des raisons qui paraissent évidentes.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 05 novembre 2016 à 18:36
@agecanonix | 05 novembre 2016 à 13:53
Merci, précieux document, mais il y eut une suite...
En 1945, Mitterrand rejoint Henri Frenay, Compagnon de la Libération, au ministère des prisonniers et déportés, il s'y refait une virginité de résistant de la première heure, éblouissante conversion, qui fait l'admiration des gâteux vichysso-gaullistes d'aujourd'hui qui pleurent à chaque lettre envoyée à Anne Pingeot...
Offenbach et ses danseuses, jambes en l'air, est le meilleur historien français, tout y est...
Rédigé par : Savonarole | 05 novembre 2016 à 16:51
@fugace | 05 novembre 2016 à 14:57
Exact, moi-même je ne porte plus la croix du Christ sur mes épaules pour aller à la boulangerie acheter mes pains au chocolat.
Rédigé par : Savonarole | 05 novembre 2016 à 16:34
@agecanonix | 05 novembre 2016 à 13:53
Vous qui semblez savoir tant de choses, vous en ignorez une qui me paraît importante. L’insulte n’a jamais été un argument, tout juste un petit moment où l’on peut donner libre court à sa vulgarité, mais surtout elle dessert toujours celui qui la profère qui passe pour un gros bourrin.
Simple petit conseil, non pas d’ami, faut pas non plus exagérer, mais qui j’en suis sûr, vous sera certainement profitable si toutefois vous êtes en mesure de le suivre.
Rédigé par : Achille | 05 novembre 2016 à 15:28
@Savonarole | 04 novembre 2016 à 18:50
Une coupe à réaliser probablement avec beaucoup plus de difficulté que la tonsure qui eut aussi sa mode en des temps qui nous échappent.
Mais pourquoi donc empêcher les gens de s'habiller comme il veulent ?
Même "des" policiers en sont réduits à ne plus porter qu'un simple brassard, et se déplacent dans des voitures banalisées. Il y a quelque chose qui ne tourne plus rond depuis quelques lustres, mais ça on s'en était aussi aperçu !
Rédigé par : fugace | 05 novembre 2016 à 14:57
@ Achille | 04 novembre 2016 à 21:38
Ëtre pétainiste en 2016 ne veut rien dire, j’aime parfois citer des textes afin de rectifier des erreurs de transcription de la part de certains commentateurs, je l’ai fait pour des phrases du Général de Gaulle.
Et puis, à cette époque je n’étais pas né et mes futurs parents ne vivaient pas en France, mais j’admire le courage de Pétain dans les conditions où il a fait don de sa personne.
J’admets donc être pétainiste, si cela vous fait plaisir, mais à une seule condition c’est que vous admettiez être un… et un gros !
Pour mémoire... c’était Mitterrand.
Sous le régime de Vichy, il travaille de janvier à avril 1942 à la Légion française des combattants et des volontaires de la révolution nationale en tant que contractuel.
…/…
À la même époque, il ne fait pas mystère de son admiration pour le Maréchal Pétain. Il écrit ainsi à sa sœur, le 13 mars 1942 : « j'ai vu le maréchal au théâtre [...] il est magnifique d'allure, son visage est celui d'une statue de marbre. »
Dans une lettre du 22 avril 1942, il avoue encore n'être pas particulièrement inquiet du retour aux affaires, intervenu quelques jours auparavant, de Pierre Laval qui doit selon lui faire ses preuves …/…
Le 15 octobre 1942, François Mitterrand est reçu par le Maréchal Pétain avec plusieurs responsables du Comité d'entraide aux prisonniers rapatriés de l'Allier.
Année 1943
François Mitterrand démissionne du Commissariat en janvier 1943, après le remplacement de Maurice Pinot, un vichysso-résistant, par André Masson, un partisan de la collaboration. Il conserve cependant un poste à la tête des centres d'entraides.
Au printemps, parrainé par deux membres de La Cagoule (Gabriel Jeantet, membre du cabinet du Maréchal Pétain, et Simon Arbellot), il est décoré de la francisque
Fin de citation
En France sous la Cinquième République le socialisme n’existe pas, il est le rassemblement des crétins opportunistes sans scrupules !
Rédigé par : agecanonix | 05 novembre 2016 à 13:53
@ Tipaza | 04 novembre 2016 à 16:14
Nous serions donc gouvernés par des femmes, et c'est seulement maintenant que nous nous en rendrions compte !
Rédigé par : fugace | 05 novembre 2016 à 00:23
Pour les maniaques des chiffres et des promesses chiffrées, les comptables pointilleux, les scrutateurs sourcilleux.
La vérité n'est pas toujours au fond d'un verre, ni au bord du comptoir, encore moins sur les plateaux télés, certainement au bout du stylo, celui du besogneux, mais tellement peu digeste.
http://www.luipresident.fr/
Rédigé par : Giuseppe | 04 novembre 2016 à 22:16
Xavier Nebout, agecanonix, Jean le Cauchois, trois pétainistes nostalgiques des heures sombres de la collaboration.
Eh oui, Philippe Pétain on y revient. On est mal, chef, on est très mal !
Rédigé par : Achille | 04 novembre 2016 à 21:38
Le plus sympathique de la soirée ce fut Michaël Darmon, il a toujours l'air de porter une kippa sur la tête, il en a la trace, on dirait qu'il l'a enlevée juste avant l'émission.
Rédigé par : Savonarole | 04 novembre 2016 à 18:50
@Savonarole 17:34
"Avec leurs implants dentaires soigneusement blanchis, leurs coiffures Franck Provost, nos quinquas-sexagénaires dépassaient en âge tous les candidats d'hier soir."
Les quinquas-sexagénaires, du grand Savonarole. Et que dire des sexas-septuagénaires dont je suis, qui le savent, ne sont implantées nulle part (question denture, cheveux, oreilles, seins, etc.) et qui plus est s'en tamponnent et ne s'en portent pas plus mal.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 novembre 2016 à 18:49
@Lucile | 04 novembre 2016 à 11:42
Notre Sainte Inquisition avait coutume de brûler de temps en temps quelques pétasses hurleuses en les accusant d'être des sorcières, c'était avant l'invention diabolique de la télévision. Elles sont de retour.
Voulant singer le modèle démocratique anglo-saxon du fast-checking elles nous infligent le modèle français d'accusateur public de type Fouquier-Tinville.
Avec Apolline de Malherbe ce fut hier soir le procès de Lavoisier, "A mort ! Personne n'a besoin de scientifiques !"...
Il fut guillotiné.
Avec leurs implants dentaires soigneusement blanchis, leurs coiffures Franck Provost, nos quinquas-sexagénaires dépassaient en âge tous les candidats d'hier soir.
La télévision française s'aperçoit-elle de son ridicule ?
Rédigé par : Savonarole | 04 novembre 2016 à 17:34
@Tipaza | 04 novembre 2016 à 16:14
En voilà au moins un que le "sexe à pile" de Hollande subjugue et éclaire !
Il n'empêche que celle que ce moiprésident satrape a le mieux "baisée" jusqu'à présent demeure la France ! Savoir si elle s'en remettra et en combien de temps ?!
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 novembre 2016 à 16:56
@ agecanonix à 14:15
Merci pour votre texte historique destiné à charles. Le maréchal Pétain a été utile à la France : tous les Français qui ont vécu, encore très jeunes ou déjà âgés, l'époque 1940-1945, en conviennent ou en conviendront, même à retardement : je suis de ceux-là.
@ sbriglia à 15:59
"vous entendrez(...)son cheval hennir"
Ne s'est-il pas modernisé avec l'achat d'un coupé Mazda, pour élargir son rayon d'action ?
Rédigé par : Jean le Cauchois | 04 novembre 2016 à 16:55
@ fugace | 04 novembre 2016 à 15:07
En ce qui me concerne, j’ai partagé l’émission avec la Grande Librairie sur la 5 qui parlait de la poésie et des femmes. De quoi parler effectivement.
Au détour d’un zapping, je suis tombé sur Julie Gayet lisant une fabulette érotique. Brusquement ma très mauvaise opinion sur Hollande a fait place à une certaine admiration.
J’ai pour habitude de juger en partie les hommes en fonction de leur compagne. C’est souvent éclairant.
Un homme qui a pour maîtresse une pareille perle doit avoir des talents cachés, et ne peut pas être complètement mauvais. Il faut dire qu’elle bénéficiait du contraste avec les deux harpies journalistes du débat, plus NKM.
Mon jugement était donc biaisé, d’autant plus qu’on ne sait pas sur quelle compagne Hollande doit être jugé, Julie, Valérie, Ségolène, et les autres.
Décidément même en amour ce diable d’homme dissimule parfaitement bien, tout en étant d’un éclectisme impressionnant.
Rédigé par : Tipaza | 04 novembre 2016 à 16:14
@fugace
"@ Savonarole | 04 novembre 2016 à 13:41
Ah que j'aimerais vous avoir comme voisin, pour démarrer la journée avec plus que le sourire"
Oui, enfin... lorsque pour la cinquantième fois vous entendrez la porte claquer et son cheval hennir, lorsque vous le verrez partir sabre au clair avec ses gants beurre frais à toute heure du jour et de la nuit, qu'il affichera "ne plus me déranger" alors qu'ayant oublié vos clés vous frapperez à sa porte, sans doute déchanterez-vous !
Je plaisante : c'est un homme délicieux, d'une culture rare, d'une ironie féroce mais jamais méchante, toujours le premier à s'effacer devant les dames et dont les commentaires me font, à l'instar de ceux de Marchenoir, jubiler !
Il y en eut un autre, il y a longtemps, sur ce blog, du même tonneau : Aïssa... Il manque.
Rédigé par : [email protected] | 04 novembre 2016 à 15:59
@ Tipaza | 04 novembre 2016 à 13:50
La qualité médiocre des journalistes m'a permis de partager l'émission avec la neuf, où Nice a aussi beaucoup déçu.
@ Giuseppe | 04 novembre 2016 à 13:40
Quand un vrai génie apparaît en ce bas monde, on peut le reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui. (Jonathan Swift)
J'avais sorti (ici) cette citation en son temps, à propos de l'anti-Sarko primaire.
Mais je doute que l'on puisse la réutiliser pour F.H., encore que...
L'avenir proche nous le dira. Surtout s'il y va hors primaires !
@ Savonarole | 04 novembre 2016 à 13:41
Ah que j'aimerais vous avoir comme voisin, pour démarrer la journée avec plus que le sourire.
@ Lucile | 04 novembre 2016 à 11:42
Que ce soit la 2 ou BFMTV, les journalistes ne savent que faire et entretenir un spectacle. Pas de cirque, mais pas loin. D'ailleurs pourquoi "débat" ?
Imaginez la troisième "conversation", en fait sept conversations successives de vingt minutes chacune, sur la chaîne de notre hôte. Ca aurait quand même sacrément une autre gueule.
Rédigé par : fugace | 04 novembre 2016 à 15:07
@ sbriglia | 04 novembre 2016 à 14:01
Hollande devait quand même être naïf pour ne pas s'attendre à être jugé sur les extraits croustillants.
Seulement l'ultra-minorité lit les livres avant d'en parler.
Rédigé par : Alex paulista | 04 novembre 2016 à 15:02
@Lucile
"Mais pourquoi certains journalistes crient-ils aussi fort ?"
Parce que ça cache le vide de leur pensée !
Rédigé par : caroff | 04 novembre 2016 à 14:39
@Michel Deluré | 04 novembre 2016 à 08:47
Vous m'avez(bien) compris !
D'ailleurs son dernier livre (que je n'ai pas acheté, ni lu), n'annonce-t-il pas - de ce que j'en ai entendu dire - cette solution 3, à le lire entre les lignes ?
Comment appelle-t-on déjà ceux (et celles) qui ne changent pas d'avis ?
@Aliocha | 04 novembre 2016 à 09:16
Je mets le lien qui m'a permis de partager paroles et musique.
http://www.paroles.net/alain-bashung/paroles-comme-un-lego
et par Alain Bashung aussi :
https://www.youtube.com/watch?v=nlkBV-5imBg
@ Claude Luçon | 04 novembre 2016 à 11:21
Et Copé alors ?
J'aime bien le tribun, mais dans ma grande entreprise, on appelait ce style, les "baisenriant". Que doit-il-donc corriger politiquement en priorité pour remonter dans une empathie plus largement partagée ?
Rédigé par : fugace | 04 novembre 2016 à 14:22
@ Lucile | 04 novembre 2016 à 11:42
Lorsqu'elles ne peuvent plus se faire entendre elles hurlent à la mort, mort dont elles se gavent de leur vivant en accusant ceux à qui elles doivent tout !
Des nez crochus aux doigts très puissants et armés de griffes courbes, longues et acérées !
Ceux-là même qui voulaient l'Europe des peuples pour mieux les dominer, les noyer et les remplacer temporairement par d'autres populations moins évoluées mais plus malléables !
La preuve s'étale maintenant partout sous nos yeux avec le ravissement servile et épouvantable de nos présidents et de leurs smalas qui obéissent aux ordres d'extermination de nos populations !
@ charles | 04 novembre 2016 à 09:39
"A l'appel de M. le président de la République, j'assume à partir d'aujourd'hui la direction du gouvernement de la France. Sûr de l'affection de notre admirable armée, qui lutte avec un héroïsme digne de ses longues traditions militaires contre un ennemi supérieur en nombre et en armes, sûr que par sa magnifique résistance elle a rempli son devoir vis-à-vis de nos alliés, sûr de l'appui des anciens combattants que j'ai eu la fierté de commander, sûr de la confiance du peuple tout entier, je fais à la France le don de ma personne pour atténuer son malheur.
En ces heures douloureuses, je pense aux malheureux réfugiés, qui, dans un dénuement extrême, sillonnent nos routes. Je leur exprime ma compassion et ma sollicitude. C'est le cœur serré que je vous dis aujourd'hui qu'il faut cesser le combat.
Je me suis adressé cette nuit à l'adversaire pour lui demander s'il est prêt à rechercher avec nous, entre soldats, après la lutte et dans l'honneur, les moyens de mettre un terme aux hostilités.
Que tous les Français se groupent autour du gouvernement que je préside pendant ces dures épreuves et fassent taire leur angoisse pour n'écouter que leur foi dans le destin de la patrie."
Philippe Pétain, communément appelé le maréchal Pétain, né le 24 avril 1856 à Cauchy-à-la-Tour et mort le 23 juillet 1951 à Port-Joinville, sur l'île d'Yeu, est un militaire, diplomate et homme d'État français.
Rédigé par : agecanonix | 04 novembre 2016 à 14:15
Ah, chère Lucile, combien je suis en accord avec vous et il est bon que ces critiques viennent d'une femme : Ruth E. et Apolline de M. sont insupportables, la première en tant que madame Michu, la seconde tête à claques interrompant sans cesse et écoutant à peine les réponses...
@Claude Luçon
Fillon m'a conforté dans ma décision de lui apporter ma voix. Le Maire, mon poulain de cœur, est encore trop tendre.
Et alors qu'il a été sans doute au-dessus du lot, la germanopratie des journaleux continue à prétendre que Juppé a été le plus convaincant ! Affligeant !
PS : J'ai dévoré le livre des deux compères sur Hollande : finalement, dernière page tournée, je ne comprends pas pourquoi c'est l'hallali sur Hollande qui m'apparaît ici plutôt sympathique et fin négociateur. Marc Ghinsberg n'a pas tort.
Bon, je ne deviens pas socialiste pour autant mais je n'aime pas hurler avec les chacals et les faux culs.
Rédigé par : sbriglia | 04 novembre 2016 à 14:01
@ agecanonix | 04 novembre 2016 à 10:09
"Pourquoi ne pas les juger et les condamner à la prison éternelle ?"
Parce que les prisons sont déjà pleines !
Rédigé par : Claude Luçon | 04 novembre 2016 à 13:59
@ Lucile | 04 novembre 2016 à 11:42
Je suis tout à fait d’accord, Ruth et Apolline ont été imbuvables.
J’attendais un billet sur le débat pour en parler.
Elles ont confondu le rôle de modératrice indispensable pour lancer un sujet et répartir convenablement la parole avec le rôle d’un journaliste faisant une interview, c’était très clair, elles interviewaient.
Elles criaient parce que les candidats ne répondaient pas comme ils auraient dû le faire dans une interview.
Et puis vous connaissez la blague des couples qui se déchirent : "on s’entend bien parce qu’on crie fort" !
NKM m’a surpris également.
Elle a abandonné sa tenue de petit chaperon rouge aux dents de loup, pour une tenue blanche de vestale, et un maquillage blanc qui la rendait blafarde, blême, livide ou même légèrement verte selon la position de la caméra.
Très mauvaise prestation visuelle, elle peut changer de coach dans ce domaine.
Et puisque Shakespeare était au programme du billet précédent, sa diatribe haineuse et pleine de hargne anti-FN à la fin, avait un air des sorcières de Macbeth.
Elle a le droit d’être anti FN, mais ce serait mieux si elle le faisait avec une élégance féminine qui la distinguerait de la vindicte masculine classique.
Mais en politique la femme est un homme comme les autres !
Rédigé par : Tipaza | 04 novembre 2016 à 13:50
Il a dû y avoir une éruption de l'Etna en Sicile pour expliquer le silence de notre hôte...
Je l'imagine, couvert de cendres, tels les gisants de Pompéi, gravant dans un dernier instant sur une tablette de marbre "Ave Juppé !"...
Rédigé par : Savonarole | 04 novembre 2016 à 13:41
Pierre Laurent a compris que pour FH c'était la fin, le désastre annoncé alors il va proposer à ses troupes de soutenir Mélenchon.
Les places, les bonnes places aux législatives vont être chères et il sait désormais que pour lui il n'y aura même pas de miettes.
Soutenir Mélenchon plutôt que FH c'est s'assurer de conserver malgré tout certains avantages.
FH va se retrouver tout seul, le génie de la tactique, isolé comme Napoléon, il n'aura même pas droit à son île d'Elbe, tellement les épaufrures des âmes chez certains sont visibles, la descente aux enfers est entamée.
La défaite annoncée, la fin sera terrible.
Rédigé par : Giuseppe | 04 novembre 2016 à 13:40
FH sera candidat. Il a des chances, à mes yeux, d'être au second tour. Je trouve très péremptoires ceux qui prétendent le contraire. Son bilan n'est pas aussi mauvais que l'on essaye de nous le faire croire à coups de sondages répétitifs.
Apolline de Mauvaises herbes, voilà une personne qui porte bien son nom !
Comment peut-on s'autoriser à faire un numéro face aux candidats à la fonction suprême ?
Le numéro de "je sais tout j'ai bien lu mes fiches donc je coupe la parole à qui je veux", les Français n'en ont rien à cirer !
Ruth, brave Ruth, idem ! BFMTV a simplement oublié d'ajouter deux pupitres ou alors il n'y avait plus de place pour que ces deux braves dames jouent également à la candidate.
Quant à Monsieur Darmon, chef de la rédaction politique de i-Télé (rien que le titre m'amuse) c'est encore pire ! Lui, les questions de fond, il y a longtemps qu'il ne sait plus ce que c'est. Il ne connaît plus que le fond et des questions polémiques de personnes. Eh bien qu'il y reste au fond !
Dans les journalistes nuls, il est en tête des sondages !
Rédigé par : Jean-Paul Ledun | 04 novembre 2016 à 13:30
@ Lucile | 04 novembre 2016 à 11:42
"Mais pourquoi certains journalistes crient-ils aussi fort ?"
Pour couvrir le bruit de l'oreillette qui leur souffle la question à poser ?
Ooooh que je suis méchante :-D
Rédigé par : breizmabro | 04 novembre 2016 à 13:24
Hier soir le climat entre Juppé et Sarkozy est resté feutré ce qui pourrait signifier qu'aucun des deux ne souhaite insulter l'avenir.
Dans ces milieux il est nécessaire de veiller à ne pas contrarier les renvois d'ascenseurs qui peuvent rendre de grands services.
Le candidat Fillon, très factuel dans ses réponses et argumentations, a repris de bonnes couleurs mais celles-ci ne sont pas encore suffisantes pour lui permettre d'accéder à la seconde place. Rien n'est joué, même si Juppé semble être le meilleur vote utile pour nous débarrasser du clan Hollande.
Rédigé par : Jabiru | 04 novembre 2016 à 11:56
Décidément, les journalistes, s'ils lisent ce blog, vont penser que j'ai une dent contre eux, mais j'ai trouvé Ruth Elkrief et Apolline de Malherbe imbuvables hier, surtout cette dernière qui malgré son beau prénom n'a rien de solaire. On aurait dit une gardienne hurlante et implacable de camp de travail. Ruth Elkrief aussi hurlait à pleins poumons, comme si elle n'avait pas de micro. Toutes deux, bien décidées à prendre le dessus, imposaient un rythme effréné, ne laissaient pas terminer leurs phrases aux orateurs, et se battaient pour étouffer leur parole, Elkrief en mode gouailleur, Malherbe en mode accusateur. Le tout en parlant aussi vite que possible, pour en placer le maximum dans un minimum de temps, comme si la parole était une question de quantité. Toutes les deux une vraie punition. Tuantes. Mais pourquoi certains journalistes crient-ils aussi fort ?
Rédigé par : Lucile | 04 novembre 2016 à 11:42
Après avoir regardé le deuxième débat de la primaire LR hier soir et lu les commentaires ce matin, Philippe va devoir réviser ce billet, plus optimiste, et le titrer :
En attendant Fillon, enterrons Hollande !
Les sondages placent Fillon en tête comme vainqueur du débat, 33% sur Le Figaro qui jusqu'ici ne lui laissait guère de chance, même Eric Zemmour est impressionné.
Depuis quelque temps je tape et retape ici : votons Fillon !
Je ne suis plus seul.
Il faut toujours écouter les vieux presque sages !
Rédigé par : Claude Luçon | 04 novembre 2016 à 11:21
Des pauvres types et des "salopards" à la tête d'un pays cela ne donne généralement rien de bon !
Paris déverse ses poubelles sur la province et pourtant pauvre province elle est déjà proche de l'asphyxie ! Pourquoi ne pas les renvoyer d'où ils viennent ? Pourquoi ne vont-ils pas en Chine ou au Pérou ?
Nous sommes ruinés, maltraités, accusés de "tout et de rien" alors pourquoi payer nos hommes politiques qui sont les fautifs de ce désordre ? Pourquoi ne pas les juger et les condamner à la prison éternelle ?
Rédigé par : agecanonix | 04 novembre 2016 à 10:09
@ Xavier NEBOUT | 03 novembre 2016 à 23:15
"Le peuple maudit qui a tué son Roi parce qu'il était trop bon, et renié celui qui lui avait fait don de sa personne en sachant qu'il serait considéré comme un traître à la fin d'une guerre inéluctablement perdue par les Allemands"
Don de sa personne... enfin de beaucoup d'autres aussi, des Français, des étrangers ont été "offerts" aux Allemands pour un "voyage" dans l'Est...
Quant à lui ce fut un séjour à l'île d'Yeu, ce qui est plutôt agréable et vivifiant comme séjour.
Vous me permettrez de relativiser voire nier le "don de sa personne"...
Rédigé par : charles | 04 novembre 2016 à 09:39
@Patrice Charoulet | 03 novembre 2016 à 17:48
Cioran aurait lu dix fois la Recherche ! Moi qui n'en suis qu'à la troisième et qui me révèle encore à moi-même au coin de l'un ou l'autre pilier de cette cathédrale féconde, je mesure le chemin qui me reste à parcourir pour saisir ce qui motive, ici, mes interventions. Et quoique le diable n'y ait sans doute grand-chose à voir, la citation de "l'apiculteur" de Bashung m'avait été suggérée par ces mots d'Eluard cités par un autre commentateur :
"Éclipses fatales aux forts
Degrés d'hermine sacrifiée"
Je trouvais que ces deux vers rentraient en résonance avec ceux de la chanson de Bashung qui est, comme souvent dans les productions actuelles, plus plaisante à entendre qu'à lire, notamment la guitare, bien que la marguerite qui s'effeuille au ralenti en ces temps sans vainqueur - ni proie, ni prédateur - éclaire à mon sens du sang de la pure hermine qui tache la robe des forts, cette fatalité qui les éclipse. Et comme vous me faites l'honneur de vous interroger sur les motivations de mes aléatoires interventions ici, je ne peux m'empêcher d'en rajouter une couche, à mon sens jetant sur le même sujet la lumière de ma généreuse faiblesse :
"La faiblesse des tout-puissants
Comme un Lego avec du sang
La force décuplée des perdants
Comme un Lego avec des dents..."
Comme un Lego, Manset-Bashung.
https://www.youtube.com/watch?v=nlkBV-5imBg
Rédigé par : Aliocha | 04 novembre 2016 à 09:16
@Achille
La peste ou le choléra, excellente analyse que je partage.
Ce qui est rassurant c'est que le Congrès a les moyens de tempérer les éventuelles ardeurs néfastes.
Rédigé par : Jabiru | 04 novembre 2016 à 09:12
@ fugace 03/11 13/44
Votre solution 3 ne peut s'envisager que si FH ne passe donc pas par la case "Primaires" de la gauche, ou de ce qu'il en reste. Or, que je sache et sauf à avoir mal compris ou entendu, notre Président s'est engagé à en passer par ce tamis. Mais, me direz-vous, il peut toujours changer d'avis et n'en serait pas à son premier reniement d'engagement !
Rédigé par : Michel Deluré | 04 novembre 2016 à 08:47
En attendant Hollande-Godot, grande soirée au Cirque d'Automne-BFMTV, hier 3 novembre 2016 avec "café, vanille et chocolat" à gogo !
Fin de règne, tentatives de résurrection et nouvelle race de cheval pour l'écuyère !
Rédigé par : calamity jane | 04 novembre 2016 à 07:54
"...à peine du Shakespeare mais trop de Feydeau là-dedans !"
Mais non.
Ni Shakespeare, ni Feydeau, juste l'ordinaire de la vie politique française.
"Il n'aura plus le temps de bavarder avec des journalistes pour qu'un nouveau livre soit publié."
Mais enfin ce bavardage incessant est la définition même, la structure même, de la vie politique confondue avec la vie médiatique depuis des décennies.
La seule différence réside dans le fait que le bavardage incessant entre le Président, en réalité entre l'ensemble des politiques dits de premier plan et les médias, a été publié, transgressant ainsi la loi d'airain, combien implicite, des off et des entre-soi.
Le théâtre de l'ordinaire règne. Rien de plus, rien de moins.
Pourquoi vous offusquez-vous de ce que vous savez parfaitement du politique ?
Rédigé par : Véronique Raffeneau | 04 novembre 2016 à 07:45
De tous les présidents sortants, je crois que, s'il devait annoncer une candidature, F. Hollande serait celui qui l'aura annoncé le plus tôt dans le calendrier de l'élection. L'impatience est compréhensible mais n'est pas pour autant légitime.
Un président qui annonce une nouvelle candidature cesse de gouverner, les décisions ne sont plus prises et c'est pourquoi il est sage d'annoncer ou non une telle candidature le plus tard possible pour ne pas enrayer la machine gouvernementale trop longtemps.
Il ne s'agit donc pas d'un caprice pervers : en annonçant sa décision à la mi-décembre, F. Hollande l'aura fait beaucoup plus tôt que ses prédécesseurs, contraint sans doute par sa piètre situation politique et la nécessité de respecter le principe des primaires, mais le pays a aussi besoin d'être gouverné jusqu'au bout.
Rédigé par : Jean-Dominique Reffait | 04 novembre 2016 à 00:35
@Franck Boizard
Le problème n'est pas le socialisme, mais la démocratie ainsi que Maurras vous le rappelait.
Jadis, quand les hommes étaient des humains, comme disait l'Indien d'Amérique, le chef était nommé par les anciens avec l'aide du sorcier qui voyait clairement dans les auras.
Mais les hommes ne sont plus des hommes, et en premier lieu, le peuple maudit qui a tué son Roi parce qu'il était trop bon, et renié celui qui lui avait fait don de sa personne en sachant qu'il serait considéré comme un traître à la fin d'une guerre inéluctablement perdue par les Allemands tant il suffisait de regarder une mappemonde pour le présager (témoignage de l'ambassadeur d'Espagne notamment cité par Henri Amouroux).
Alors vive Hollande !
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 03 novembre 2016 à 23:15
Bonsoir
J'ai lu récemment "Les décombres" de Rebatet et il y a un peu plus longtemps, "L'étrange défaite" de Marc Bloch.
Ces deux livres insistent, pour la période 1936-1939, sur le décalage entre une montée des périls terrifiante et les petits jeux de politicaillerie mesquine, les magouilles et les embrouilles des politiciens français des deux grands blocs dits de gouvernement.
Quand on regarde aujourd'hui le spectacle offert par les pitres de l'UMP et assimilés d'un côté et par les branquignols du PS de l'autre, il est difficile de ne pas faire le parallèle.
Et franchement, ça fout la trouille.
Rédigé par : Philippe Dubois | 03 novembre 2016 à 22:14
Il est tout de même surprenant de constater qu'un ectoplasme dont la science a beaucoup de mal à prouver l'existence, à l’instar du boson de Higgs, puisse susciter autant de commentaires.
Comme l'aurait dit William : « Beaucoup de bruit pour rien »...
Rédigé par : Exilé | 03 novembre 2016 à 21:55