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http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2017/02/27/31003-20170227ARTFIG00138-les-cesar-une-morale-a-geometrie-variable.php
Rédigé par : vamonos | 02 mars 2017 à 10:26
Je n'ai pas regardé car j'en ai marre d'entendre des gens qui détestent la France causer dans le poste.
Rédigé par : bob | 27 février 2017 à 15:37
Cette cérémonie s'est déroulée normalement donc ! même sans président !
Le corporatisme appartient à ce milieu et de ce fait pourquoi une cérémonie de l'entre-soi ne pourrait-elle pas entendre des messages politiques et/ou sociétaux ?!
@boureau
Le Film français était il y a quelques années le magazine de l'industrie cinématographique française.
Aujourd'hui, il est celui "du web et de l'audiovisuel".
Rédigé par : calamity jane | 27 février 2017 à 07:49
Globalement d'accord sur le décryptage, par contre trop proche de l'œil qui enregistre l'image, ce qui enlève de la souplesse à l'intervention, lui donnant un air un peu brutal.
Ceci dit rien de nouveau sous le soleil, dans un monde où il faut être vu et faire pleurer dans les chaumières.
Rédigé par : Giuseppe | 25 février 2017 à 21:51
@Achille
@vamonos
Rien à ajouter. Si ce n'est qu'il y a belle lurette - comme vous le dites joliment - que le cinéma français n'est plus un 'art'.
Moins snobs que nous, les Américains ont toujours parlé d'une industrie et non d'un art. Industrie qui en France est largement subventionnée par le contribuable au-delà du raisonnable pour le plus grand profit de quelques producteurs.
Quant à Isabelle Huppert, l'intello-bobo-icône du cinéma français, je crois qu'elle mériterait plus un 'Gérard' qu'un 'César' pour l'ensemble de sa carrière !
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 25 février 2017 à 20:28
@ breizmabro | 25 février 2017 à 16:00
Rassurez-vous, je doute que le Palmipède remonte jusqu'à moi. Je suis un trop petit poisson pour lui ! ☺
Rédigé par : Achille | 25 février 2017 à 18:07
Bruno Masure, né le 14 octobre 1947 à Lille ; Philippe Bilger, né le 31 août 1943 à Metz = quatre petites années de différence et cela donne le droit au premier de tweeter au second d’« aller au lit Papy » pour exprimer un désaccord ? Mais est-ce qu’il a pensé lui-même à changer ses couches le Lillois ?
Rédigé par : Catherine JACOB | 25 février 2017 à 17:52
Il manquait les soutiens de Jacqueline Sauvage et l'hommage au Vieux Fusil.
Rédigé par : stephane | 25 février 2017 à 17:46
Oulaya Amamra, une des actrices de "Divines", film récompensé lors de cette très ennuyeuse cérémonie, est l'auteur de tweets racistes qu'elle a dû supprimer précipitamment.
Grande amie de Mehdi Meklat, fripouille antisémite, elle fait partie de la diversité "provocatrice" qui plaît tant à ce petit monde de l'entre-soi cinématographique qui ne survit que grâce à l'argent public.
Je pense que c'était la dernière fois que je m'infligeais cette pénitence : regarder ces gens commenter l'actualité (Traoré, Théodore, Trump) du haut de leur insuffisance !
Rédigé par : caroff | 25 février 2017 à 16:33
@ Achille | 25 février 2017 à 14:33
Bon, Achille, si vous êtes mon porte-parole, dites-le moi... mais gaffe aux emplois fictifs ;-))
Adeo
Rédigé par : breizmabro | 25 février 2017 à 16:00
@vamonos | 25 février 2017 à 12:03
Mille fois d'accord ! Huppert dont le succès me surprend, alors qu'elle joue faux comme un instrument mal accordé.
Rédigé par : Giuseppe | 25 février 2017 à 15:51
Bonjour,
Cela fait belle lurette que je ne regarde plus les César, tout comme d’ailleurs le festival de Cannes et autres cérémonies consacrées au cinéma.
L’ego des personnalités du monde du spectacle, plus communément appelés « people » (un anglicisme ça fait toujours chic), dépasse en fatuité celui des hommes et femmes politiques qui pourtant n’est pas mince.
Leur nombrilisme donne le vertige, leur entre-soi condescendant est tout simplement horripilant. Et comme si cela ne suffisait pas, il faut toujours qu’il y ait deux ou trois de ces stars du moment qui profitent de cette cérémonie consacrée à leur art pour glisser à un public qu’il sait tout acquis à leur cause, leur vision empreinte d’un humanisme de bobos, sur un événement qui a défrayé la chronique.
Et la cérémonie de cette année n’a pas échappé à la règle. Il a fallu qu’un acteur au demeurant sympathique et même talentueux se soit cru obligé d’évoquer les malheurs du pauvre Théo, victime d’une matraque mal maîtrisée. Enfin quand je dis « pauvre » c’est une façon de parler, puisque les mêmes médias qui se sont précipités à son chevet pour écouter ses malheurs, nous disent aujourd’hui que sa famille est impliquée dans une sombre affaire d’abus de confiance et d’escroquerie.
Cas qui n’est certainement pas isolé. Voilà donc où passent les subventions versées généreusement à certaines associations plus ou moins bidon, censées apporter la paix sociale dans les cités…
Là aussi il y a peut-être des choses à faire dans la gestion de l'argent public.
Rédigé par : Achille | 25 février 2017 à 14:33
La cérémonie des César est exaspérante, à l'image d'Isabelle Huppert, l'exhibitionniste à laquelle il ne faut pas toucher.
Rédigé par : vamonos | 25 février 2017 à 12:03