Henri Guaino est une nature.
Nul ne trouve grâce à ses yeux que lui-même. En tout cas dans le domaine politique.
François Fillon est catastrophique et va faire perdre la droite et Emmanuel Macron est pire que Marine Le Pen, c'est dire. La classe politique est nulle car elle ne comprend rien. La France est quasiment la propriété exclusive d'Henri Guaino (Le Figaro).
On aimerait l'aider et lui trouver, dans son désert, une personne à estimer, voire à admirer. Certes il y a eu Philippe Séguin mais à la longue celui-ci doit se sentir un peu seul dans le panthéon d'Henri Guaino car il ne croise que lui dans le royaume des nostalgies.
Durant quelques années Nicolas Sarkozy avait semblé faire l'affaire mais il n'a pas été à la hauteur de l'orgueil d'Henri Guaino qui, n'étant pas n'importe qui, ne veut pas être floué et condamné à passer de l'enthousiasme à une sorte de résignation. Il aspire au meilleur mais non au moins pire.
Cette personnalité que je connais, avec laquelle j'ai dialogué à plusieurs reprises, pourrait n'être qu'insupportable. Pourtant je n'ai jamais pu me déprendre d'une lucidité à son sujet, mais sympathique, presque complice.
Parce qu'il faut avoir du courage pour oser s'affirmer de cette manière. Soi évidemment supérieur à tous les autres ! Il y a dans cette présentation élogieuse de soi-même - et en même temps amère car on n'est jamais assez reconnu ni écouté - un élan, une force qui ne manquent pas d'allure puisqu'ils vont avoir pour rançon inévitable de la dérision, de la moquerie, du sarcasme.
Qu'importe puisqu'Henri Guaino sait ne pouvoir compter que sur lui-même et n'avoir que lui à porter aux nues !
Dans la brutalité avec laquelle il se pose dans l'espace public et médiatique, je n'irais pas découvrir de la timidité mais plutôt comme une arrogance qui saisit souvent les êtres d'origine modeste quand ils craignent de n'être pas perçus à leur juste valeur et qu'ils ont tant d'humiliations à rattraper, tant de temps perdu à regagner.
Comment ne pas éprouver pour ces machines humaines toutes de fragilités, aussi brillantes qu'elles soient sur le plan intellectuel - il va de soi qu'elles sont incomparables, indépassables sur ce plan ! - un zeste de tendresse, une fraternité émue car qui oserait prétendre être à l'abri de ces terrains mouvants où l'humain ne se sauve qu'en s'hypertrophiant ? Qui est à l'abri des brisures qui désaccordent ce qu'on est de ce qu'on voudrait être ?
Henri Guaino n'est-il pas aussi de ceux qui abusent de cette pensée du philosophe grec, si souvent citée, incitant au mépris de soi quand on s'examine et à sa glorification si on se compare ?
Je suis persuadé qu'il y a un peu de cela chez lui. Qui pourrait d'ailleurs le blâmer, sauf à être inconditionnel de tout ce qui n'est pas soi, d'être rassuré aisément face à beaucoup de politiques, de journalistes et d'une infinité de parasites gravitant dans la sphère publique sans autre légitimité que celle que l'aveuglement et leur vanité ont réussi à leur octroyer ?
Henri Guaino devrait seulement prendre acte de ce gouffre entre lui et certains autres mais ne pas se célébrer pour autant et cracher avec tant d'énergie sur la médiocrité des autres. C'est paradoxalement les honorer puisqu'ils sollicitent son dénigrement ! Il ne devrait pas ignorer que la modestie, au moins feinte, est le meilleur moyen, dans un monde qui raffole des nivellements, pour faire accepter sa supériorité puisqu'elle n'offense, ne blesse personne.
Mais Henri Guaino ne relève pas de ces tièdes qui sont étrangers à la passion, même à l'égard d'eux-mêmes.
Il ne poussera jamais l'amertume et la clairvoyance jusqu'à s'engloutir dans le même opprobre accablant tous les autres. Son masochisme aura toujours cette limite de s'arrêter à lui-même.
Qu'il prenne garde cependant au risque qu'un jour on pourrait lui demander les preuves de l'excellence qu'il s'attribue et qu'alors il ne suffirait plus de s'afficher exceptionnel mais de le démontrer !
Après le mari de Penelope, le prédicateur fou à la mode nord-américaine, la multiplication des pains et le roi c’est moi, j’attends la suite avec curiosité.
Rédigé par : Catherine JACOB | 21 février 2017 à 17:30
Monsieur Philippe Bilger je ne vous savais pas si rancunier, vous n’avez donc pas pardonné à Henri Guaino d’avoir mis sa plume au service de Nicolas Sarkozy président. Il aggrave son cas à vos yeux en ne se ralliant pas à François Fillon !
Un peu de modération et de compassion à son égard, comme dans le cochon il ne faut pas tout jeter chez Guaino. Certes son passage bien trop long chez Sarkozy est loin d’avoir amélioré son discours politique et sa modestie !
Rédigé par : Trekker | 21 février 2017 à 17:25
@Yves | 21 février 2017 à 13:58
Galzi n'est jamais haineux, toujours incisif.
Un des meilleurs. Il va chercher la bonne interrogation, sans détours, sans gesticulations, précis et efficace.
Rédigé par : Giuseppe | 21 février 2017 à 17:20
@Giuseppe 20 février 22:45
Merci de nous avoir orientés, au risque d'un hors-sujet, vers l'interview de T. Solère par O. Galzi sur i-Télé.
À vous lire, je craignais le pire : un questionneur haineux, un répondeur en difficulté.
Que nos lecteurs se rassurent, aillent nombreux visiter l'émission et ils entendront des questions pertinentes et des explications utiles concernant la candidature Fillon.
Rédigé par : Yves | 21 février 2017 à 13:58
Seul au sommet d'une montagne d'une île déserte, il ne risque pas de renconter Rama Yade. Et pourtant, ils pourraient se mettre d'accord pour admettre que le candidat de la droite et du centre a été élu démocratiquement par une part non négligeable des Français. Toutes les voix vont compter pour contrer l'extrême droite et la gauche bipolaire.
Renoncer au projet démesuré d'obtenir 1,82 % des suffrages serait une bonne chose qui permettrait à M. Guaino de prendre une douce retraite sans avoir à ruminer sa défaite humiliante.
Rédigé par : vamonos | 21 février 2017 à 13:51
Et quand on regarde François Bayrou on ne trouve plus Henri Guaino si prétentieux, finalement.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 21 février 2017 à 13:46
Il devait déposer plainte lundi puis aujourd'hui, le Volatile tremble de toutes ses plumes.
Sans divisions il a le mérite de la constance, je suis seul mais debout.
Rédigé par : Giuseppe | 21 février 2017 à 11:07
Les ego surdimensionnés parlent aux ego surdimensionnés.
Malheureusement, Guaino n'est pas assez rentré dans l'Histoire.
Tant mieux pour lui et sa légendaire assurance : elle avait priorité, et il n'avait pas mis son clignotant.
Rédigé par : Jean-Yves BOUCHICOT | 21 février 2017 à 11:04
Je ne sais que peu de choses de M. Guaino, et il m'est assez peu sympathique... Pourtant, votre façon condescendante de l’analyser me le fait prendre en prédilection.
Je n’aime pas cet homme qui au fond n’a pas les qualités qui m’intéressent et me persuadent, mais je ne trouve votre billet ni juste ni subtil, il y manque la hauteur de vue et la bienveillance, car l’homme d’où qu’il vienne, n’est-ce pas, est une pauvre chose qui s’accroche lamentablement à des hochets, et s’exhorte à sa grandeur.
Je dirai donc pour soutenir un « pauvre » qui ne s’est pas trop mal défendu, qu’il peut être aussi un rustre et aussi longtemps qu’un « nanti » ne verra aucun inconvénient à être le ventre plein et toujours à terre, pourvu qu’il y ait quelques avantages… La caque sent toujours le hareng disait la petite demoiselle du couvent des oiseaux !
Rédigé par : duvent | 21 février 2017 à 10:25
Je comprends un peu Henri Guaino. Voilà un homme brillant, même s’il a raté par trois fois le concours de l’ENA, (mais vu ses origines modestes, sans doute ne disposait-il pas des mêmes égards de la part du jury que d'autres candidat "mieux nés") et qui se retrouve soudain propulsé collaborateur d’un président de la République et quel collaborateur, celui qui écrit ses discours, ce qui n’est pas rien.
On peut comprendre que faisant l’essentiel du boulot, il ait décidé de se mettre à son compte. (Après tout, les discours d’un président c’est ce qui reste quand il quitte le pouvoir et sombre dans l’oubli)
Et l’opportunité qui s’offre à lui cette année est exceptionnelle, vu que toutes les grosses pointures ont été éliminées, sauf peut-être François Fillon. Mais ce dernier se débat comme un beau diable dans sa peu glorieuse affaire d’emplois présumés fictifs mais légaux.
A un moment où la France cherche désespérément un homme providentiel pour nous sortir des trente années d’incurie qui l’on conduite là où elle est en ce moment, cela peut donner des idées à ceux et celles qui nourrissent de grandes ambitions et se croient investis d’une mission divine.
Le seul problème pour Henri Guaino est qu’il est désespérément seul et doit tout faire lui-même. A part peut-être quelques intimes, n’y a pas de « guainoistes ». Il ne dispose pas de colleurs d’affiche, de distributeurs de tract, de chauffeurs de salle. Les locations de salles et de bus sont chères, sans parler du buffet et des gadgets à distribuer à l’entrée des meetings pour motiver les gens qui seraient attirés par ses discours. Et vu ses petites indemnités de député on ne voit pas comment il peut s’en sortir.
Être bon, même très bon, ne suffit pas aujourd’hui, il faut avoir les moyens financiers de ses ambitions.
Rédigé par : Achille | 21 février 2017 à 06:09
Comment auriez-vous aimé être au service de quelque grand homme...!
Rappeler les origines "modestes" d'Henri Guaino, comme il est de coutume de le faire pour d'autres tels Eric Dupond-Moretti ou encore Michel Onfray, pour de quelque manière lui reprocher une capacité à être dans son temps ne me paraît pas indispensable pour le cas qui nous occupe afin d'habiller François le Tartuffe (avec "2F" telle sa société de conseil)...
"Qu'importe puisqu'Henri Guaino sait pouvoir compter sur lui-même et n'avoir que lui à porter aux nues".
Mais quel talent que de n'entraîner personne dans sa chute ! pour peu qu'il y en ait une...
Rédigé par : calamity jane | 21 février 2017 à 04:21
Impeccable Galzi devant un T. Solère transpirant de sueur sur son front.
Guaino a raison de demander des comptes, il a l'amour de l'argent des pauvres qui se sont élevés à la force du poignet : il dit qu'il n'est pas assez payé, que cet écosystème est à revoir, sans doute trop nombreux pour les parlementaires, deux Assemblées - pas loin de 1000 ! - et dorés sur tranche.
Le temps d'écrire ces quelques mots et Solère a dû changer de chemise, elle était trempée... Et prêt à renoncer à son régime spécial de retraite qui ferait vivre quelques sans-dents avec 42 années de cotisations au compteur de leur pension.
Rédigé par : Giuseppe | 20 février 2017 à 22:45
@ Tipaza
"Henri Guaino fait partie de ces serviteurs qui s’honoreraient de servir un grand homme, et qui ne l’ayant pas trouvé continue inlassablement une quête illusoire, puisqu’il est bien connu qu’il n’existe pas de grand homme pour son valet."
Il y a des gens qui sont faits pour être des valets, d'autres pour être des barons loyaux... Je ne sais pas comment est Guaino, mais il me semble capable de se dévouer à un grand homme.
Au fait, ce n'est pas parce qu'on dit qu'il n'y a pas de grand homme pour son valet que c'est vrai, et il y a aussi des gens qui savent estimer les valets estimables.
J'espère donc que Guaino se trouvera un grand homme, et les grands hommes des valets et des barons loyaux.
Rédigé par : Noblejoué | 20 février 2017 à 22:21
« Qu'il prenne garde cependant au risque qu'un jour on pourrait lui demander les preuves de l'excellence qu'il s'attribue et qu'alors il ne suffirait plus de s'afficher exceptionnel mais de le démontrer ! » (PB)
Que voilà un coup de griffe bien terrible, à l’égard d’un idéaliste qui n’en mérite pas tant.
Henri Guaino fait partie de ces serviteurs qui s’honoreraient de servir un grand homme, et qui ne l’ayant pas trouvé continue inlassablement une quête illusoire, puisqu’il est bien connu qu’il n’existe pas de grand homme pour son valet.
Considérant alors que ce qu’il a vu des hommes qu’il a servis, doublement petits parce que vus par le petit bout de la lorgnette du serviteur et parce qu’ils furent réellement petits, ne valait pas son dévouement, il en a conclu qu’il pouvait faire au moins aussi bien qu’eux et certainement mieux.
Il faut laisser ce doux utopiste à ses illusions, en espérant qu’elles ne l’entraînent pas dans un délire mégalo qui lui serait dommageable.
Il ne le mérite pas. Je l’aime bien.
On ne risque rien à aimer un utopiste, à condition qu’il ne sorte pas de son utopie.
Rédigé par : Tipaza | 20 février 2017 à 20:00
Henri Guaino et l'orgueil du pauvre... Cet amour-propre, voire cette prétention un rien ombrageuse, cette crainte de montrer les faiblesses de la carapace qu'il s'est forgée. Comme une revanche à prendre sur son destin d'enfant sans père, élevé par deux femmes modestes auxquelles il dit tout devoir.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 20 février 2017 à 19:59
Pour les Présidentielles, l'incertitude est telle que le suspens sera le même qu'au moment du tirage du Loto. Les boules tournent dans le bocal, le piston s'élève et miracle une première boule sort du lot. Est-ce la bonne ?
Rédigé par : Jabiru | 20 février 2017 à 19:55
"...cracher avec autant d'énergie sur la médiocrité des autres..."
Le problème c'est qu'il n'est pas seul dans cet exercice.
S'il y a autant de candidats, à droite comme à gauche, c'est bien le problème : leur ego incommensurable.
Henri Guaino a au moins une grande qualité à mes yeux, celle d'être fidèle à ce qu'il pense quitte à se sentir bien seul dans cet univers politique ou chacun est capable de dire tout et son contraire dans une même phrase. En cela le freluquet Macron, qui espère ratisser large, excelle.
Certes, je ne voterai pas pour lui, car je sais que ce serait un vote pour rien mais je déplore que parfois dans une famille politique, pour des raisons purement racoleuses de voix, les leaders préfèrent faire des appels du pied à des personnages troubles ou sans convictions plutôt qu'à de fiers collègues bien plus compatibles.
Par ailleurs, je peux comprendre que M. Guaino soit immensément triste de voir son pays partir en vrille au nom d'une modernité absurde, et bradé par excuse du colonialisme. Par contre, il doit quand même bien comprendre que le modèle social, aussi formidable soit-il, ne pourra perdurer en l'état, sauf à ruiner la France qui travaille.
Si je devais citer un seul homme politique respectueux de la France, je citerais Henri Guaino, parce que j'en ai plein le dos de tous ces racoleurs prêts à renier leur pays, leur culture, leur Histoire pour paraître citoyens du monde... Tout sauf cette engeance.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 20 février 2017 à 18:50
J’ai un souvenir précis d’Henri Guaino, qui m’a donné une première impression du personnage. Elle ne m’a plus quitté ensuite.
C’était un article des Echos il y a environ quinze ans, c’était la première fois que je voyais le nom de cet homme.
Il expliquait qu’il ne fallait pas s’obnubiler de la dette publique : l’Etat était endetté mais les Français étaient riches. Quand l’Etat ne trouverait plus de créanciers, il lui suffirait de se servir dans le patrimoine des Français par une taxe appropriée (je ne suis pas sûr du chiffre, quelque chose comme 10 % de tous les patrimoines). Cette taxe n’était pas destinée à relever la France d’une guerre mais à passer par pertes et profits des décennies de gabegie, de clientélisme, d’avantages indus, d’intérêts particuliers largement servis, de politiques bancales.
Estomaqué par cette mentalité de voleur de grand chemin étalée aussi cyniquement, j’ai regardé plusieurs fois le nom de l’auteur de cet indigne torchon. Je ne l’ai pas oublié.
*************
Nota : Henri Guaino a raison de dire que les députés français ne sont pas assez payés. Il pourrait ajouter qu'ils sont trop nombreux et bénéficient de trop d'avantages occultes et de petits arrangements, ceci compensant cela.
Notons aussi qu'un parlementaire américain a entre 7 et 10 assistants.
Bref, moins de députés, mieux payés, de manière plus transparente, et mieux assistés.
Rédigé par : Franck Boizard | 20 février 2017 à 18:26
Comme aurait pu dire Montebourg, son plus grand obstacle est lui-même.
Rédigé par : Giuseppe | 20 février 2017 à 18:05
@sbriglia 14:38
Je suis rarement en accord avec vous mais là, vraiment, vous m'avez fait rire !
Rédigé par : Gavot | 20 février 2017 à 16:55
On aime vos analyses, ça calme dans ce b... de pré-présidentielles et que vont-ils tous faire dans cette galère ? Tous ces candidats (j'ai cru lire 59 ou 79 prétendants) ont-ils autant d'ego, et de finances ?
Rédigé par : Pierre | 20 février 2017 à 16:05
Ras-le-bol de voir Henri Guaino venir montrer sa longue mine de misanthrope sur les plateaux de télévision. Cet atrabilaire devrait prendre pension à la Comédie-Française pour y jouer Alceste et y déclamer :
« Tous les hommes me sont, à tel point, odieux,
Que je serais fâché d’être sage à leurs yeux. »
Il pourrait, de plus, y rencontrer un ancien Premier ministre se couvrant de gloire dans le rôle de Tartuffe.
Rédigé par : Marc GHINSBERG | 20 février 2017 à 16:00
M. Guaino est ce député qui trouve que les représentants de la nation ne sont pas assez bien payés.
Reconnaissons-lui au moins le courage d'oser le dire franchement à la télévision !
Rédigé par : Tomas | 20 février 2017 à 15:57
Ce portrait, très fouillé, de M. Guaino, est d'abord, pour nous, l'occasion d'écouter, pour certains, de réécouter, pour d'autres, le dialogue, sans égal, que vous aviez eu avec lui et qu'on trouvera sur YouTube.
Qu'aurait été NS sans les remarquables discours écrits pour lui par M. Guaino ?
Mais aussi, qu'aurait fait NS, sans les conseils lucides que lui a prodigués M. Buisson ? Il est encore temps de lire le livre qui dit tout ce qu'il faut savoir là-dessus.
https://www.amazon.fr/cause-du-peuple-Patrick-BUISSON/dp/2262069360/ref=sr_1_1?s=books&ie=UTF8&qid=1487601499&sr=1-1&keywords=patrick+buisson
Rédigé par : Patrice Charoulet | 20 février 2017 à 15:20
M.Bilger, toujours enthousiasmée par vos propos, vos écrits... Dans ce monde où les valeurs se sont envolées et où de telles pensées argumentées et fondées ne sont accessibles qu'à peu de personnes.
On se sent tellement en décalage avec la société actuelle où le paraître et le superficiel sont partout.
Merci à vous.
Rédigé par : Christine | 20 février 2017 à 14:48
"Henri Guaino n'est-il pas aussi de ceux qui abusent de cette pensée du philosophe grec, si souvent citée, incitant au mépris de soi quand on s'examine et à sa glorification si on se compare ?"
Talleyrandos ?
Rédigé par : sbriglia | 20 février 2017 à 14:38