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Entretenons la haine envers la Sécurité sociale ; cultivons le mépris de la fonction publique ; c'est une vertu et un devoir. Il n'y a pas d'autre chemin pour un homme d'honneur.
Une ex-employée de la Caisse régionale de la Sécurité Sociale des mines, dans le Nord, vient d'attaquer son employeur aux prud'hommes. Elle a effectué 1117 contrats à durée déterminée entre janvier 2002 et février 2014, pratiquement sans interruption.
En mars 2016, le Comité d'établissement SNCF des cheminots de la région de Metz-Nancy a été condamné à verser plus de 40 000 euros à une ancienne salariée, qui avait cumulé 184 CDD en douze ans.
En février 2011, La Poste a été contrainte de verser plus de 50 000 euros à une ancienne employée, qui avait fait 250 CDD en près de vingt-trois ans.
En décembre dernier, une maison de retraite "associative" de Bellegarde (Ain) a été condamnée à verser à une employée la somme de 28 000 euros. Celle-ci avait enchaîné une centaine de CDD en six ans. ("Maison de retraite associative" = entreprise de gauche, peuplée de crypto-fonctionnaires.)
C'est un minuscule échantillon, glané dans les gazettes du jour. L'été arrive, ami lecteur, et avec lui le temps des jeux frivoles sur ton blog préféré. A toi, donc, de trouver dans la liste ci-dessous les expressions n'ayant aucun rapport avec les événements sus-cités :
1. CAC 40.
2. Actionnaires.
3. Finance mondialisée.
4. Start-up.
5. Ubérisation.
6. Ecole de commerce.
7. Bourse apatride.
8. Banque Rothschild.
9. Grand patronat avide de profit.
10. Service public que le monde entier nous envie.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 24 juin 2017 à 21:18
Méfiez-vous sbriglia, la pisseuse a plus d'un tour dans son sac à main, et le silence de la dame me dit que j'ai peut-être visé juste.
Votre commentaire me laisse toutefois penser que j'ai bien fait de prendre le risque de tirer rapidement, sans cela vous m'auriez une nouvelle fois grillé la politesse...
Une question, sbriglia, serait-ce, vous aussi, le "prouvez-le !" qui vous y a fait penser ?
Rédigé par : Herman@sbriglia | 24 juin 2017 à 00:38
@ Noblejoué | 22 juin 2017 à 15:28
L’Académie française ne sert pas de juge de paix en la matière !
Sa mission est la grammaire, la poétique, l’éloquence et l’orthographe en accord avec l’étymologie par la création d’un dictionnaire.
https://frama.link/ATWGGh2C
Lettres patentes pour l’établissement de l’Académie françoise
Paris, janvier 1635, registrées au Parlement le 10 juillet 1637
« LOUIS, par la grâce de Dieu, Roi de France et de Navarre, à tous présents et à venir, SALUT. Aussitôt que Dieu Nous eut appelés à la conduite de cet État, Nous eûmes pour but non seulement de remédier aux désordres que les guerres civiles, dont il a été si longtemps affligé, y avoient introduits, mais aussi de l’enrichir de tous les ornements convenables à la plus illustre et la plus ancienne de toutes les monarchies qui soient aujourd’hui dans le monde. »
Signé : LOUIS Et sur le repli : Par le Roi. DE LOMÉNIE.
« XXIV
La principale fonction de l’Académie sera de travailler avec tout le soin et toute la diligence possibles à donner des règles certaines à notre langue et à la rendre pure, éloquente et capable de traiter les arts et les sciences. »
Signé : Le Cardinal de RICHELIEU Et scellé de ses armes.
Quant à votre fantasmagorique défi que j’aurais lancé à Catherine Jacob, il faudrait que vous le sourciez.
@ caroff | 22 juin 2017 à 17:09
En matière d’humour, il y a ceux, comme vous, qui rient à Bigard et d’autres à Raymond Devos.
@ Catherine JACOB | 22 juin 2017 à 20:20
La grossièreté n’étant pas prouvée et seulement subjective car relevant de votre affect.
Nulle part les diverses définitions ou étymologies n’ont indiqué que ce terme était grossier.
Sans compter que « mauvaise foi » est en rapport avec le bûcher, de vos vanités, pour faire autant référence à l’Inquisition.
Rédigé par : Elusen | 23 juin 2017 à 18:56
@Elusen | 22 juin 2017 à 12:17
Peut-être, en attendant, il n'y avait dans mon commentaire nulle prétention à un cours de linguistique mais à simplement mettre en lumière la grossièreté de l'expression "Tenancier du blog" que Pascale Bilger a eu la générosité de laisser passer. Mais bon, par un moment PB a été mis ici même à toutes les sauces et pas des plus ragoûtantes.
Je m'économiserai donc de mettre votre mauvaise foi, pour ne pas dire idiotie, en évidence.
Rédigé par : Catherine JACOB | 22 juin 2017 à 20:20
@ caroff
"Un contributeur qui ne comprend pas l'allusion aux ciseaux du censeur et qui n'a aucun sens de l'humour, est en fait un contre-butor !!"
Rires.
Si vous le permettez, j'utiliserai éventuellement cette expression.
Rédigé par : Noblejoué | 22 juin 2017 à 18:23
@ Elusen | 22 juin 2017 à 12:17
« …toutes les choses sont toujours plus complexes que vos prétentions. »
Il y a plus de choses sur la terre et dans le ciel, Elusen, qu’il n’en est rêvé dans votre philosophie.
Rédigé par : Tipaza | 22 juin 2017 à 18:01
@Noblejoué à propos d'Elusen
"Bref, il y a des raisons à la circonspection provoquée par votre intervention, raisons qui ne prêtent pas vraiment à rire."
Un contributeur qui ne comprend pas l'allusion aux ciseaux du censeur et qui n'a aucun sens de l'humour, est en fait un contre-butor !!
Rédigé par : caroff | 22 juin 2017 à 17:09
@Patrice Charoulet | 22 juin 2017 à 09:08
Louis-Ferdinand Céline disait de Paul Morand "il a jazzé la langue française".
Bel hommage, qui nous console de Danièle Obono qui veut rapper la langue française et qui est incapable de dire Vive la France ! (Députée Insoumise)
Rédigé par : Savonarole | 22 juin 2017 à 15:32
@ Elusen
"Cela rime à démontrer que vous ne maîtrisez rien et que toutes les choses sont toujours plus complexes que vos prétentions."
Rappeler les limites de Wikipédia, pourquoi pas ? Mais pourquoi prétendre que Catherine JACOB ne MAÎTRISE RIEN ? Le vocabulaire est chose imprécise et mouvante. L'Académie française sert de juge de paix... Parce qu'il est utile qu'il y en ait un. Pour fixer les définitions. Mais le problème de trop s'attacher à tout ça n'est pas tant la perte de temps mais qu'on s'énerve, et surtout qu'on en vient à oublier que le mot n'est pas la chose... En somme, il faudrait dire qu'on dit ceci ou cela dans tel sens ou tabler sur le fait que le reste du discours éclaire suffisamment.
Même le plus ignorant maîtrise certaines choses et Catherine JACOB est loin de l'être.
Quant à :
"Les choses sont toujours plus complexes que vos prétentions"
c'est vrai pour tout le monde.
En somme, soit vous enfoncez des portes ouvertes, soit vous exagérez...
N'oubliez pas non plus que vous aviez lancé un défi à Catherine JACOB mais que vous ne vous êtes pas plié au même exercice, probablement par incapacité.
Je ne dirais pas que vous ne maîtrisez rien mais que "les choses sont toujours plus complexes que vos prétentions."
"Ainsi vous instruire sur ce que serait ou non la liberté d’expression, serait vouloir faire usage de ciseaux."
Vous devez comprendre que les gens ont peur de la censure, symbolisée par les ciseaux pour des raisons évidentes.
Vous maîtrisez, je le reconnais, certains textes. Mais tout texte n'est rien sans son contexte.
Pour ce qui concerne ce blog.
Il faut que vous sachiez qu'il a une histoire. J'étais loin d'être là au début ! Mais quelqu'un a envoyé des appels au meurtre pour voir si cela serait censuré.
Quelqu'un a fait pire, que je ne vais même pas dire de peur que cela donne de mauvaises pensées à d'autres. Un peu en dehors de cela, une personne écrivant sous son patronyme a vu sa famille menacée. Plus banalement, certains réclament de loin en loin davantage de censure.
Bref, il y a des raisons à la circonspection provoquée par votre intervention, raisons qui ne prêtent pas vraiment à rire.
Sur le seul texte, vous auriez peut-être eu les rieurs de votre côté, question coiffeur. Mais la crainte générale pour la censure et celle en particulier de voir un espace de liberté et de paix troublé, font qu'on peut en douter.
Rédigé par : Noblejoué | 22 juin 2017 à 15:28
@ Patrice Charoulet
"...être écrasé sous le poids du loisir" (Paul Morand)
Cela fait deux fois que vous citez l'indémodable Paul Morand.
Bravo, je le préfère à Sacha Guitry et aux affligeantes métaphores d'Oscar Wilde.
Grand coureur de jupons, Paul Morand s'était exclamé dans un de ses livres "elle était belle comme la femme d'un autre !"...
Rédigé par : Savonarole | 22 juin 2017 à 14:42
@ Patrice Charoulet | 22 juin 2017 à 09:08
Une sagesse à imiter !
Rédigé par : Noblejoué | 22 juin 2017 à 14:30
@Achille 20.06 8:26
Bonjour Achille
Les résultats des rapports de force dans les entreprises sont fonction de la qualité des interlocuteurs, de leur appartenance syndicale, des moyens des entreprises et de la confiance entre négociateurs.
Selon que les syndicalistes sont issus des courants dits "révolutionnaires" ou "réformistes", les approches sont différentes, plus fines ou plus musclées c'est selon.
Ce que j'ai retenu à l'occasion des conflits du travail c'est que le discours pratiqué en privé était souvent différent que celui affiché en public, chacun évitant de perdre la face vis-à-vis de son camp sachant qu'à la reprise du travail il fallait retravailler ensemble. Agir honnêtement et à la loyale en respectant l'adversaire du moment est une bonne garantie pour soigner les plaies après conflit. On connaît les travers et les dérives de la CGT et de SUD, que pèsent-ils réellement ? Beaucoup moins que ce qu'ils affichent ! Par contre ils restent très actifs dans de nombreuses commissions paritaires et notamment dans les conseils de Prud'hommes où leur combat est bien souvent de défendre l'indéfendable au détriment des arguments de droit. La réforme Macron et les prochaines ordonnances devraient recadrer les dérapages qui plombent surtout les petites entreprises et qui freinent l'embauche.
Rédigé par : Jabiru | 22 juin 2017 à 14:06
@ Catherine JACOB | 21 juin 2017 à 23:53
Cela rime à démontrer que vous ne maîtrisez rien et que toutes les choses sont toujours plus complexes que vos prétentions.
Rédigé par : Elusen | 22 juin 2017 à 12:17
@Patrice Charoulet
"En matière de (bonne) langue française, qui est juge ? L'Académie, le Littré, le Robert, le Larousse, le TLF (en ligne), les divers dictionnaires de difficultés de la langue française...? Allez savoir !"
C'est l'Académie française qui statue en dernier ressort dans le cadre du dispositif d'enrichissement de la langue française :
http://www.academie-francaise.fr/la-langue-francaise/terminologie-et-neologie
Rédigé par : caroff | 22 juin 2017 à 11:56
Votre intéressant dialogue avec M.Mailly a permis à plusieurs contributeurs d'échanger des avis sur l'emploi d'un mot... de contributeur.
En matière de (bonne) langue française, qui est juge ? L'Académie, le Littré, le Robert, le Larousse, le TLF (en ligne), les divers dictionnaires de difficultés de la langue française...? Allez savoir !
Dans un moment d'égarement (avais-je mal dormi ?), j'ai eu l'idée, un jour, de chercher noise à un contributeur sur l'emploi de "circonvolutions", qui me semblait devoir être remplacé, dans le contexte, par "circonlocutions". Echange d'arguments, d'autorités, de références, de liens... Je ne recommencerai plus. Nous sommes réconciliés, Dieu merci. Ce n'est, au fond, pas le lieu. Et il faut vraiment "être écrasé sous le poids du loisir" (Paul Morand) pour s'adonner à ces puérilités.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 22 juin 2017 à 09:08
@Elusen | 21 juin 2017 à 12:08
« Vous n’avez pas la maîtrise du mot tenancier »
Voyons un peu ces références dont vous vous autorisez pour apprécier ma compétence linguistique :
1- Dictionnaire de moyen français (1330-1500) tout d’abord : Accès refusé. Puis en allant sur la page d’accueil et son moteur de recherche :
«TENANCIER, subst. masc.
[GDC : tenancier ; FEW XIII-1, 220 : tenere ; TLF XVI, 52a : tenancier]
DR. FÉOD. "Celui qui tient en roture des terres dépendant d'un fief, moyennant un cens ou d'autres redevances" Etc..
Ais-je bien lu « droit féodal »? Or, n’est-il pas mentionné ICI : «Etant donné que nous ne sommes plus au temps de la féodalité ».
Donc s’il y a une logique à votre reproche messire, je ferais erreur et nous nous situerions entre le Moyen Âge central (XIe – XIIIe siècle) et le Moyen Âge tardif (XIVe – XVe siècle).»
—Holà, manant ! Sais tu bien à qui tu t'adresses ?—
Idem pour
2a- Dictionnaire de L'Académie française, 4th Edition (1762) :
«TENANCIER, IÈRE. s. (Page 811)
TENANCIER, IÈRE. s. Terme de Droit. Celui, celle qui tient des terres en roture, dépendantes d'un fief auquel il est dû des cens ou autres droits. Il a fait assigner les tenanciers, pour lui passer déclaration.»
Ainsi que pour
2b- Dictionnaire de L'Académie française, 8th Edition (1932-5) :
«TENANCIER, IÈRE. (Page 2:646)
TENANCIER, IÈRE. n. T. de Jurisprudence féodale. Il se disait de celui, de celle qui tenait des terres en roture, dépendantes d'un fief auquel il était dû des cens ou autres droits. Il fit assigner les tenanciers pour lui passer déclaration.
Il se dit aujourd'hui du fermier d'une petite métairie dépendante d'une plus grosse ferme.
Il se dit encore d'une personne qui tient, qui gère certains établissements ; il a alors le plus souvent un sens péjoratif. Le tenancier d'un bar, d'une maison de jeu, d'une maison publique.»
Ais-je bien lu « certains établissements » ?
N’est-il pas mentionné ICI : «, « tenancier » est soit péjoratif, vu qu’il s’agit de la gestion de « certains » établissements etc. »
Voyons donc le
3- CNRTL que vous citez également :
• « TENANCIER, -IÈRE, subst.
A. − Subst. masc., DR.
1. [Sous l'Ancien Régime] Celui qui possédait en roture des terres dépendantes d'un fief auquel étaient dus des cens ou autres droits. De l'autorité seigneuriale, il subsistait une part de la justice, la police du village, des prérogatives honorifiques, des monopoles comme la chasse (...), le servage, surtout dans le centre et l'est de l'Europe, et enfin la propriété éminente du sol que traduisaient les redevances réelles des tenanciers (LEFEBVRE, Révol. fr., 1963, p. 51).
♦ Franc tenancier. Celui qui tenait une terre en roture, mais qui en avait racheté les droits (BOUILLET 1859).
2. Mod. Fermier d'une petite métairie dépendant d'une grosse ferme (CAP. 1936). Les agents des landlords ayant conseillé à la duchesse de Sutherland de consacrer ses terres à l'élevage du mouton plutôt que de les laisser à des tenanciers qui payaient mal leurs fermages (BRUNHES, Géogr. hum., 1942, p. 279).
B.− Subst., lang. admin., ou parfois péj. Celui, celle qui gère, qui tient un établissement soumis à une autorisation d'ouverture et à une surveillance des pouvoirs publics. Tenancier, tenancière de bar, de café, d'hôtel, de maison de jeux, de maison publique. Ce devait être quelque tenancière de grande maison de filles, une maquerelle en voyage (PROUST, Sodome, 1922, p. 858). La bonne femme, c'était la tenancière du bistro (BEAUVOIR, Mandarins, 1954, p. 199).
− P. anal., sans valeur péj., surtout au fém. Tenancière de cabinets, de lieux d'aisance, de chalet de nécessité; tenancière de vestiaire. Le jeune homme passe devant la boutique. Il remarque la tenancière. Un simple journal à demander le matin et l'après-midi, voilà un commencement de relations qui se change en une cour (BOURGET, Actes suivent, 1926, p. 83). »
Ais-je bien lu « B lang. admin., ou parfois péj. Celui, celle qui gère, qui tient un établissement soumis à une autorisation d'ouverture et à une surveillance des pouvoirs publics. » ?
Or, n’est-il pas mentionné ICI « soit purement administratif s’agissant des établissements soumis à la réglementation ou à la surveillance des pouvoirs publics et dont l'ouverture est soumise à autorisation. »
Et enfin à quoi rime la consultation du
D’où
4- dictionnaire de französiche etymologie soit :
Question1 : « A quoi jouez-vous exactement ? »
Question2 : « de quoi exactement, je n’aurais pas la maîtrise, selon vous ? »
Rédigé par : Catherine JACOB | 21 juin 2017 à 23:53
@ caroff | 21 juin 2017 à 18:36
Ainsi vous instruire sur ce que serait ou non la liberté d’expression, serait vouloir faire usage de ciseaux.
Pourquoi, auriez-vous des problèmes avec vos cheveux ?!
Sans compter que vous allez jusqu’à ignorer l’autre dans cette liberté, donc son droit de réponse que garantit tant la liberté que le droit français.
Quant à Mafia et Coterie, vous êtes toujours en dehors de la maîtrise de la signification des termes, même en tentant une approche raciste avec votre : Al Husein au prétexte que vous seriez un ignorant qui s’ignore, amalgamant Cymraeg brittonique et Arabe !
Mafia : http://www.cnrtl.fr/lexicographie/Mafia
Coterie : http://www.cnrtl.fr/lexicographie/coterie
@ Giuseppe | 21 juin 2017 à 09:37
Je suis amené à relever que vous ne maîtrisez rien en ce qui concerne la statistique publique du vote et pas plus sur les populations.
Il faut toujours retenir que les gens naissent, atteignent l’âge du droit de vote à 18 ans et qu’après ils meurent.
Du fait de cette inconstance, il est matériellement impossible de faire des projections sur le vote.
Les personnes ayant voté FN en 2002, étaient-elles toutes encore en vie pour voter FN en 2017 ?
Sont-ce les mêmes électeurs ?
Vous faites la même aberration que Le Figaro qui a pondu, avec l’aide d’un truc appelé institut de sondage, une pseudo-étude dans laquelle ils affirmaient que si le vote sur le traité de Maastricht avait lieu en 2015, le non l’emporterait à plus de 60%.
Or de 1992 à 2015, nous avons ¼ de siècle, donc des millions de mort, des millions de naissance et de personnes obtenant le droit de vote.
Ainsi parler des 60% qui voteraient non, alors qu’une partie des gens qui ont voté en 1992 ont trépassé et que les autres n’étaient pas nés, cela relève de la psychiatrie.
Là, vous ne savez même pas utiliser les taux sur les inscrits, les votants et qui s’appliquent à tous les partis :
Législatives 2017 : https://frama.link/z4BYZYJ5
Présidentielles 2017 : https://frama.link/x8Grnu1H
Bien évidemment, votre activité n’a aucun rapport avec le sujet du fil de discussion.
Rédigé par : Elusen | 21 juin 2017 à 22:35
@ Elusen
"Toute chose a un commencement et une fin."
A moins que l'univers ne soit infini mais vous me direz que l'univers n'est pas une chose.
Enfin, qu'importe. Il n'y a pas d'appel au meurtre. C'est au moins une limite. Mais d'un autre côté, dans l'intérêt de la liberté et du débat d'idées, la liberté est très large.
"Sauf à répondre de l’abus de cette liberté, ainsi les injures, les diffamations, les dénonciations calomnieuses, les divulgations de fausses informations, les incitations à la haine, les troubles à l’ordre public sont un abus."
A supposer que la police n'ait rien de mieux à faire que de traquer les gens pour leurs imperfections de débatteurs, croyez-vous qu'on reproche à notre hôte, par exemple, au hasard, "les divulgations de fausses informations" ?
Devrait-elle vérifier, par exemple, toutes celles de Robert Marchenoir, les vôtres et celles des autres sur les fonctionnaires, la sécurité sociale et le reste ? Il faudrait qu'il fasse mieux qu'un directeur de journal, quand on voit ce qu'ils diffusent !
Alors de deux choses l'une, soit on fait semblant de débattre comme dans bien des blogs, soit notre hôte, qu'il en soit remercié, nous permet de le faire dans la plus grande liberté possible.
Rédigé par : Noblejoué | 21 juin 2017 à 21:24
@ Elusen | 21 juin 2017 à 12:08
Je ne sais pas vous mais moi avec cette chaleur j'ai dû pailler mes pieds de tomates. Aucun rapport mais c'est pour dire...
Rédigé par : hameau dans les nuages | 21 juin 2017 à 20:08
"Pietri S, Colette, eileen, et maintenant "Elusen"... est donc de retour.
Et sans "lol" et autre "ha ha ha" s'il vous plaît !
Les vacances sont déjà finies..."
J'y ai aussi pensé... mais la logorrhée n'est pas la même.
Ni le style.
Rédigé par : sbriglia @ Herman K. | 21 juin 2017 à 20:08
@Elusen (Al Husein ?)
"Vous semblez ne pas savoir ce que serait la liberté d’expression. Toute chose a un commencement et une fin."
Je pense que la canicule qui règne sur la France a des répercussions fâcheuses sur votre état mental !
Il est pourtant simple de comprendre que le seul maître à bord (après Dieu, bien entendu) du blog "Justice au singulier", j'ai nommé Philippe Bilger, est susceptible de mettre fin à la liberté d'expression qui y règne à la satisfaction de l'immense majorité des contributeurs.
J'ai l'impression que le maniement d'une paire de ciseaux vous démange, mais je doute que ce soit ici que vous trouverez matière à étancher votre soif du dernier mot !!
PS : Mafia = coterie
Rédigé par : caroff | 21 juin 2017 à 18:36
Pietri S, Colette, eileen, et maintenant "Elusen"... est donc de retour.
Et sans "lol" et autre "ha ha ha" s'il vous plaît !
Les vacances sont déjà finies...
Rédigé par : Herman Kerhost | 21 juin 2017 à 14:15
@ Catherine JACOB | 21 juin 2017 à 07:36
Vous n’avez pas la maîtrise du mot tenancier :
- Dictionnaire de 1330 : https://frama.link/RBKma9X5
- Dictionnaire de l’Académie française de 1792 à 1935 :
https://frama.link/XSy8EhW9
- Dictionnaire du CNRS : http://www.cnrtl.fr/lexicographie/Tenancier
Et selon le dictionnaire étymologique et historique du galloroman (français et dialectes d’oïl, francoprovençal, occitan, gascon)
Cela vient de : Tenere -- des pages 209 à 223.
« être le tenant, avoir le plus d’influence dans une maison ». page 220
https://apps.atilf.fr/lecteurFEW/lire/131/209?DMF
@ caroff | 21 juin 2017 à 09:08
La mafia est une organisation criminelle, ainsi en droit qualifier de mafia s’apparente à une dénonciation de crime imaginaire, pour l’heure d’une diffamation est une atteinte à l'honneur.
Vous semblez ne pas savoir ce que serait la liberté d’expression.
Toute chose a un commencement et une fin.
Les concepts sont tributaires de leurs définitions, ce qui ne sert pas votre harangue.
Pour avoir une liberté, en l’occurrence d’expression, il faut être né, mais bien plus encore, avoir les capacités cognitives qui permettent de l’appréhender, donc ne pas avoir trois ans, ni dix ans, hetc.
La mort est une limite fatale à la liberté d’expression et à toutes libertés.
Il faut nécessairement l’accorder à l’autre pour qu’elle soit porteuse de sens.
Constitution française – 1er livre (partie) de 1789 :
=> Art. 4. - « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi. »
=> Art. 11. – « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. »
https://frama.link/QH7e9shH
Sauf à répondre de l’abus de cette liberté, ainsi les injures, les diffamations, les dénonciations calomnieuses, les divulgations de fausses informations, les incitations à la haine, les troubles à l’ordre public sont un abus.
Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse et qui s’applique à toute expression publique.
Paragraphe 3 : Délits contre les personnes.
=> art. 29 « Toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation. La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l'identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés.
Toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l'imputation d'aucun fait est une injure. »
Et les articles qui suivent indiquent que c’est du pareil au même pour les services public, personne en mission de service public, etc.
https://frama.link/dO_hj41w
La liberté d’expression a donc bien un début et une fin !
Rédigé par : Elusen | 21 juin 2017 à 12:08
Si les gens se sont laissés bercer pendant les présidentielles par la douce musique de Mélenchon, la réalité a vite rattrapé l'ego surdimensionné de celui-ci qui en devient détestable.
Le mouvement de la France Insoumise retombera sans aucun doute, il n'affiche plus que 12% ce qui semble être le plus proche de ce qu'il est réellement.
Mélenchon a la grosse tête ! Pas bon pour les débats à venir. Croyant se démarquer et souvent être absous de ses outrances verbales, aujourd'hui il sombre dans la bêtise crasse, celle qui vous enfonce, son électorat commence à s'en éloigner, il attend autre chose que de la boue qui colle aux semelles de ceux qui veulent bien l'accompagner.
S'il continue il sera à fuir.
Rédigé par : Giuseppe | 21 juin 2017 à 09:37
@Elusen
"Il n’y a aucune vérité dans les injures et diffamations que vous avez préalablement posées, d’ailleurs la Cour de cassation n’en pose aucune, elle !"
"Mafia" est-ce une description ou une insulte ?
A part ça, ce blog administré par Philippe Bilger et son épouse offre un espace d'écriture et d'interpellations qui titillent tous les amoureux de la liberté de pensée.
Vous n'en faites visiblement pas partie !
Rédigé par : caroff | 21 juin 2017 à 09:08
Que nous revienne le temps où les échanges étaient musclés mais se faisaient en fraternité sur cet espace...
"Allô Tenancier ? Votre établissement il ferme à quelle heure du soir ? J'ai un compte à régler avec "X" il faudrait me le vider des puristes et autres touristes et passants..."
Autant attribuer tout cela à l'inhabituelle chaleur pour empêcher l'envie d'aller voir ailleurs à quel niveau se situerait la fameuse "liberté d'expression" !
Rédigé par : calamity jane | 21 juin 2017 à 08:40
@Elusen | 20 juin 2017 à 19:40
« ...le tenancier du blog »
Etant donné que nous ne sommes plus au temps de la féodalité, « tenancier » est soit péjoratif, vu qu’il s’agit de la gestion de « certains » établissements, soit purement administratif s’agissant des établissements soumis à la réglementation ou à la surveillance des pouvoirs publics et dont l'ouverture est soumise à autorisation. Vu que les premiers ne sont pas autorisés, il s’agit des restaurants et autres débits de boissons. Or, ne sont servis ici que les mots de la parole, écrite en l’espèce. Vous pensez donc que certaines plumes seraient serves ici ?
@Robert Marchenoir | 20 juin 2017 à 16:06 @ genau | 20 juin 2017 à 11:54
« "Ancien président de TASS, combien de fois n'ai-je pas dû déloger la représentante des organismes sociaux qui s'installait à la place du Ministère Public..."
Hein ?!?... Ai-je bien compris ? Vous êtes un ancien président de tribunal de la Sécurité sociale ? et vous confirmez mes propos, pire : vous les aggravez ? »
J’ignorais que le ministère public était représenté aux audiences du TASS. Quant à « la » représentante des organismes sociaux, j’ignorais qu’une seule représentante avait pouvoir pour l’ensemble des organismes sociaux : CPAM, URSSAF, caisses de retraite, divers RSI etc. Comme quoi, on ne sait pas tout.
Accessoirement, dans le tribunal de genau, où étaient le greffe, les avocats et les représentants élus des assurés ? Parce que vu que chacun s'y installait à sa guise, pourquoi pas les avocats dans les embrasures des fenêtres à l’affût l'été du moindre courant d'air, le greffe à la place de la défense et les représentants des assurés sur les marches ? Tant qu'on y est.
Rédigé par : Catherine JACOB | 21 juin 2017 à 07:36
@ caroff | 20 juin 2017 à 23:35
Il n’y a aucune vérité dans les injures et diffamations que vous avez préalablement posées, d’ailleurs la Cour de cassation n’en pose aucune, elle !
De plus, vous mettez un commentaire alors que l’arrêt que vous citez ne parle absolument pas de la sécurité sociale, mais d’une complémentaire santé ! Donc pas la sécurité sociale !
Une complémentaire de droit privé et de statut exclusivement privé, à but lucratif.
AG2R Reunica Prévoyance
https://www.infogreffe.fr/entreprise-societe/333232270-ag2r-reunica-prevoyance-33323227000038.html
Elle-même une structure de La Mondiale, entreprise privée à but lucratif :
https://www.infogreffe.fr/entreprise-societe/775625635-la-mondiale-591096D003970000.html
La CJUE a répondu qu’une complémentaire santé obligatoire auprès d’un seul assureur respectait les traités si cela relevait qu’un accord collectif :
Affaire C-437/09 - AG2R Prévoyance contre Beaudout Père et Fils SARL
http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=CELEX%3A62009CJ0437
Vous avez loupé le mot complémentaire, ou alors cela relève d'une malhonnêteté intellectuelle.
Rédigé par : Elusen | 21 juin 2017 à 03:25
@ Giuseppe | 20 juin 2017 à 20:35
Et c’est pourtant vrai, il n’a jamais vu un contrat de travail relevant du Code du travail puisque c’est un fonctionnaire !
Qu’il est soumis à la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires.
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000006068812
Par contre l’autre, celui qui le dénonce, a aussi été journaliste, donc a eu un contrat de travail.
Il a été maire, sénateur, président d’un Conseil général, ministre, il est député, il a donc établi et fait signer des contrats de travail à la pelle car il a embauché, en tant qu’employeur.
En tant que député et sénateur, il a eu à préparer et voter des lois sur les contrats de travail.
Voilà donc la stupidité du lien et du propos du blog hébergé sur Mediapart !
Rédigé par : Elusen | 20 juin 2017 à 23:39
@Elusen
"Les diffamations publiques, injures publiques, incitations à la haine envers le Sécurité Sociale, URSSAF et ses personnels sont atterrantes."
De quoi parlez-vous ?
En fait, la vérité semble vous chagriner !!
Sur le monopole de la Sécu et l'impossibilité de mise en concurrence :
https://www.courdecassation.fr/jurisprudence_2/chambre_sociale_576/349_7_36312.html
Commentaire :
"L’intervention de l’autorité publique qui est à l’origine de la création d’un droit exclusif doit avoir lieu dans le respect de l’obligation de transparence découlant de l’article 56 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, et ne doit pas avoir un effet d’exclusion à l’égard des opérateurs établis dans d’autres États membres et qui seraient potentiellement intéressés par l’exercice de cette activité de gestion."
Rédigé par : caroff | 20 juin 2017 à 23:35
Jean-Claude Mailly, sa chevelure et ses lunettes de jeune communiant.
Cedric Villani, son air juvénile de premier de la classe et ses cravates improbables
A priori ils n'étaient pas faits pour se rencontrer... Quoique...
Rédigé par : Giuseppe | 20 juin 2017 à 21:50
@Achille | 20 juin 2017 à 09:12
Personne ne vous interdit de parler de ce qui vous passe par la tête... Je crois que vous êtes un mélomane averti ?
Rédigé par : Noblejoué | 20 juin 2017 à 21:19
Salutaire sans aucun doute.
https://blogs.mediapart.fr/front-de-gauche-marseille-centre/blog/200617/melenchon-villani-davi-je-regrette-deja-mon-vote-de-dimanche
Rédigé par : Giuseppe | 20 juin 2017 à 20:35
@ caroff | 20 juin 2017 à 14:34
Je suis excessivement surpris de voir que le tenancier du blog publie des propos attentatoires aux personnes, aux personnels, mais peut-être que ses divers titres, même honoraire, ainsi que ce réseau le protègent.
Les diffamations publiques, injures publiques, incitations à la haine envers le Sécurité Sociale, URSSAF et ses personnels sont atterrantes.
Les gens ne veulent pas être victimes de la haine, mais ils aiment vomir la leur.
Le retour du bâton peut faire mal.
=> Cependant, aux deux personnes qui affirment avoir eu des problèmes et qu’elles étaient dans leur bon droit, elles ne prouvent rien.
Donnez-nous accès à vos dossiers que nous puissions juger sur pièces.
La Sécurité sociale est en mission de service public, elle est à but non lucratif.
Donc pas d’actionnaires, d’investisseurs à rémunérer, juste le bien commun.
=> Ces deux personnes affirment, sans rien connaître au droit, qu’avec une entreprise à but lucratif du secteur concurrentiel, cela ne se serait jamais passé.
Ouch !
Apparemment, elles ne connaissent absolument rien au droit des contrats du Code civil et encore moins le Code des Assurances.
Si cela avait été dans un contrat de droit privé du secteur concurrentiel et sous le Code des assurances, c’est un procès qui aurait eu lieu, avec tous les frais qui vont avec.
Sans compter qu’ils auraient certainement été condamnés à payer les frais de dépens de la partie adverse, donc les frais d’avocats et de procédure de cette assurance du secteur privé concurrentiel.
Sans compter tous les frais de l’assureur de relance par courrier, par huissier etc., qui peuvent atteindre très vite plusieurs milliers d’euros.
=> Mais surtout, ce qu’ils ignorent de manière splendide, c'est qu'ils seraient dans une mouise indescriptible, car le code des assurances est sans appel.
1° le contrat d’assurance prenait fin après un délai de 30 jours.
2° ils auraient dû payer l’intégralité du contrat d’assurance d’un coup et non plus des cotisations par mois.
3° ils auraient été dans un fichier et auraient dû obtenir de l’assureur avec lequel ils auraient eu un problème un document de situation pour pouvoir reprendre un nouveau contrat chez un autre assureur.
4° aucun autre assureur privé concurrentiel à but lucratif n’a d’obligation d’accepter des personnes ou un contrat avec qui que ce soit.
5° si par hasard un assureur privé concurrentiel à but lucratif accepte, ce serait avec une prime d’assurance trois ou quatre fois supérieure, puisque client à risque.
6° logiquement, aucun assureur privé concurrentiel à but lucratif n’aurait accepté de les prendre pour client.
Ainsi, ils n’auraient aucune assurance retraite, assurance perte d’emploi, assurance maladie.
7° s’ils avaient une petite entreprise, elle aurait été en faillite.
Rédigé par : Elusen | 20 juin 2017 à 19:40
@ genau | 20 juin 2017 à 11:54
"Ancien président de TASS, combien de fois n'ai-je pas dû déloger la représentante des organismes sociaux qui s'installait à la place du Ministère Public..."
Hein ?!?... Ai-je bien compris ? Vous êtes un ancien président de tribunal de la Sécurité sociale ? et vous confirmez mes propos, pire : vous les aggravez ?
Moi, je ne suis qu'un pauvre imbécile qui observe ce qui se passe autour de lui et tente de comprendre comment les choses fonctionnent ; mais si un ancien responsable de l'institution lui-même nous confirme à quel point l'édifice est pourri...
"Il était acquis que l'URSSAF ne recevait jamais aucune lettre. J'ai fait le test pour un certain nombre de clients, dans une vie antérieure : 'Ah non, monsieur, nous n'avons pas cette lettre.' - 'Madame, j'ai envoyé par AR et j'ai l'AR en main, signé par.' - 'Ah oui, en effet, je la vois.' "
J'ai fait le test personnellement avec le service des impôts. Ayant envoyé une déclaration quelconque en recommandé avec accusé de réception, je n'ai jamais reçu ce dernier.
J'ai donc téléphoné à la dame, qui m'a dit fort aimablement (contrairement à votre butor de l'URSSAF) : mais certainement, nous avons bien reçu votre courrier, cependant nous ne renvoyons jamais l'accusé de réception car cette possibilité nous a été retirée.
Moi : "Gnééé ?..."
La dame : explication confuse, d'où j'ai compris (mais je peux me tromper) que les agents des impôts utilisaient leur service postal interne pour envoyer des lettres recommandées gratos à leur usage personnel, suite à quoi on leur a supprimé le service, et centralisé la réception des lettres à un autre endroit afin de mettre fin à ces abus.
Du coup, j'ai déposé une réclamation tout à fait officielle à la Poste, où après enquête tout aussi officielle on m'a fait parvenir une confirmation officielle que ma lettre recommandée avait bien été reçue.
Tout cela n'entraînant aucun gaspillage de fonds publics bien évidemment, et aucune perte de temps pour le cochon de citoyen et néanmoins tribuable.
On voit aussi, dans ce micro-événement, que les agents des impôts sont au-dessus de la loi : ils ont le pouvoir de recevoir des lettres recommandées sans signer l'accusé de réception, et en disant au facteur d'aller se faire voir. Essayez donc d'en faire autant...
Le citoyen doit alors prendre un fonctionnaire (le postier) pour taper sur l'autre (l'inspecteur du fisc). Vous comprenez pourquoi la solution réside dans une diminution drastique du nombre des fonctionnaires.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 20 juin 2017 à 16:06
@ Robert Marchenoir | 20 juin 2017 à 11:58
« Vous ne comprenez décidément rien à rien. »
Et vous, vous comprenez tout à tout !
« ...oppression étatique »
Voilà un slogan publicitaire !
Prouvez-le !
« ...pinaillage administratif »
Qui vous aurait, en ce lieu, demandé de remplir un dossier et de recommencer parce que vous auriez pris le mauvais formulaire ?
Qui a fait un référé suspension à votre endroit ?
« ...extorqué aux Français »
Là clairement vous ne débattez pas, vous êtes un idéologue, vous êtes là pour vendre une idéologie.
« autiste »
Quel respect pour des personnes qui ont un handicap, en faire une injure !
« Vous êtes vous-même le symptôme »
Trouble congénital + diagnostic médical + symptôme, c’est la technique du régime du IIIe Reich pour exterminer les tziganes et les juifs, c’est la technique utilisée au Rwanda dans le génocide.
Et pour le reste : moi je, moi je, moi je !
Rédigé par : Elusen | 20 juin 2017 à 15:30
@ genau | 20 juin 2017 à 11:54
La distinction entre public et privé n’a rien à voir avec le marxisme !
Mais plus avec la distinction : Common Law et droit germanique que d’autres dénomment : romano-germanique.
Combattre les inégalités et la pauvreté - les Etats-Unis face à l'Europe
http://editions.flammarion.com/Catalogue/hors-collection/combattre-les-inegalites-et-la-pauvrete
Julien Damon :
https://www.cairn.info/revue-horizons-strategiques-2006-2-page-48.htm
Rédigé par : Elusen | 20 juin 2017 à 15:20
@genau
"Il est clair que les gens de l'URSSAF sont les pires qu'on puisse fréquenter : souvent intellectuellement malhonnêtes, dominateurs et sûrs de leur impunité, tant leur employeur est politisé, infiltré jusqu'à la moelle par les politiciens les plus douteux et les syndicalistes les plus feignants."
J'ai eu moi aussi, dans une vie antérieure à me frotter à cette mafia.
Patron d'un bureau d'études, j'ai eu la visite de ces gens qui après vérification des cotisations dues m'ont facturé environ 3000 FF (c'était dans les années 1980). Mon expert comptable a refait les calculs pour me démontrer que l'URSAFF s'était manifestement trompé. M'assurant que je gagnerai il m'a incité à les inviter à revoir leurs conclusions. J'ai simplement reçu une injonction de payer cette somme sans aucune justification en réponse à mes arguments.
Il s'agit donc d'une organisation qui se situe au-dessus des règles communes...
J'ajoute que dans une économie de marché (affreusement néo-libérale pour parler comme Mélenchon), chaque citoyen devrait avoir le choix d'une assurance choisie en fonction de son âge, de sa santé et des risques qu'il entend assurer ou non. C'est actuellement impossible...
Que les salariés de la CAF relèvent du secteur privé n'enlève rien au scandale qui est de nous imposer un assureur unique aux coûts de fonctionnement non contrôlés.
Dans le cas d'une assurance auto ou d'une assurance habitation tout le monde a le choix, mais pour l'assurance maladie ou l'assurance-chômage c'est la secte communisante qui nous est imposée.
Rédigé par : caroff | 20 juin 2017 à 14:34
Mailly : même question que pour le Vatican, "combien de divisions" ? Pour le Vatican, il subsiste cependant une croyance, des milliards de fidèles. Pour Mailly : une simple survivance administrative, non représentative. Mais une estrade qui permet aux permanents de parler aux frais de l'Etat, de la formation professionnelle et du paritarisme éculé.
Une antique présomption irréfragable de représentativité. Un point c'est tout.
Rédigé par : jack | 20 juin 2017 à 14:24
@ Catherine JACOB & Savonarole
Soulages est l’homme des contrastes.
Il est célébré partout comme étant l’homme du noir absolu, si je puis dire, et pourtant il a été aussi et en même temps, l’homme du blanc absolu, par son travail sur les vitraux de l’Abbatiale Sainte-Foy de Conques.
Une Abbatiale à visiter, remarquable de beauté austère, elle était un passage obligé sur le chemin de Compostelle.
http://www.tourisme-conques.fr/fr/histoire-patrimoine/eglise-abbatiale/vitraux-soulages.php
Rédigé par : Tipaza | 20 juin 2017 à 14:05
J'ai écouté Jean-Claude Mailly avec un grand intérêt. Merci de sa clarté.
Il préfère la négociation au conflit. Il donne le sentiment positif et optimiste qu'on peut faire converger les intérêts opposés et le court terme avec le long terme, avec un peu de raison et de bonne volonté de part et d'autre. C'est une bonne base de négociation, et on souhaite que ce soit une stratégie gagnante.
Mais jusqu'à quel point ? N'y a-t-il pas une différence entre les négociations concernant les salariés de la fonction publique et ceux du privé ? Comment la concurrence, ou la surenchère, jouent-elles entre les divers syndicats ? La base des adhérents est-elle toujours d'accord avec cet esprit de négociation, et le souci de l'intérêt commun ? Certaines réponses de JC Mailly peuvent sembler un peu trop bien rodées.
À l'entendre on est convaincu de l'importance des syndicats pour une résolution paisible des conflits sociaux, et il met la stratégie de son syndicat en valeur. Au total, difficile de ne pas acquiescer, quoique la vision puisse paraître idéalisée.
Rédigé par : Lucile | 20 juin 2017 à 13:54
@Elusen | 20 juin 2017 à 05:28
Vous ne comprenez décidément rien à rien. Je vous explique pourquoi votre pinaillage administratif masque la réalité de l'oppression étatique, et vous nous remettez une couche dix fois plus épaisse de pinaillage administratif pour bien montrer l'étendue de votre science fonctionnariale -- sans répondre à une seule de mes objections. Vous faites partie du "service public", je suppose ?
Le problème est justement que a) il y ait matière à étaler tant de science administrative, b) il y ait des millions de gens comme vous, payés par l'argent extorqué aux Français, pour connaître cette science et avoir tout le loisir de l'expliquer. De façon aussi autiste que vous, sans vous sentir le moins du monde obligé d'écouter les objections de vos concitoyens. Vous êtes vous-même le symptôme.
Il serait évidemment futile de réfuter votre pataphar étatiste, mais juste pour le plaisir : vous prétendez : "Le délire sur les personnels de la sécurité sociale, on peut faire la même chose avec les sociétés de recouvrement ou les huissiers de justice ! Ne payez pas votre facture SFR et nous verrons ensuite !"
Bah non, justement. On ne peut pas faire la même chose avec les sociétés de recouvrement ou les huissiers de justice. La dernière fois qu'un huissier de justice a prétendu me casser les pieds pour récupérer de l'argent au bénéfice d'un assureur privé, je lui ai dit d'aller se faire voir, et je n'en ai jamais plus entendu parler. Ah ! j'ai changé d'assureur, aussi. Chose impossible avec la Sainte Sécu. La notion de concurrence, vous connaissez ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 20 juin 2017 à 11:58
@ Elusen
@ Robert Marchenoir
Bon, il est vrai qu'en France, héritière de concepts marxistes tenaces, la distinction entre le public et le privé est difficile, voire illusoire.
Quelquefois, les critères formels ou processuels ne rendent pas compte de l'esprit de leur exercice. Bien sûr qu'il s'agit de droit privé formellement mais où vous vous heurtez à une puissance supérieure à celle de l'Etat.
Il est clair que les gens de l'URSSAF sont les pires qu'on puisse fréquenter : souvent intellectuellement malhonnêtes, dominateurs et sûrs de leur impunité, tant leur employeur est politisé, infiltré jusqu'à la moelle par les politiciens les plus douteux et les syndicalistes les plus feignants.
Rappelez-vous l'affaire Lucet à Marseille... le nombre de permanents syndicaux, les folles dépenses immobilières et la pléthore de personnel inutile. Il était acquis que l'URSSAF ne recevait jamais aucune lettre. J'ai fait le test pour un certain nombre de clients, dans une vie antérieure : "Ah non, monsieur, nous n'avons pas cette lettre." - "Madame, j'ai envoyé par AR et j'ai l'AR en main, signé par." - "Ah oui, en effet, je la vois." Ce sont des méthodes de voyou minable, que même le fisc renonce à employer. C'était devenu tellement drôle qu'on s'amusait à leur envoyer des voeux de bonne année par LRAR.
Ceci n'entache pas leur statut légal mais déforme leur image. Cela peut aller jusqu'à l'usurpation de fonctions : ancien président de TASS, combien de fois n'ai-je pas dû déloger la représentante des organismes sociaux qui s'installait à la place du Ministère Public, ou carrément tentait de siéger à côté du tribunal, pour ne rien dire des toilettes extravagantes arborées par les "dames".
L'affrontement prenait un tour extrêmement virulent parfois. Combien de fois, le même représentant demandait des renvois sans raison, décourageant le plaideur qui n'en pouvait mais. J'ai obtenu même en tant qu'avocat, contre la CAF qui avait fini par perdre son procès, des dédommagements au titre de l'article 700 NCPC, jamais payés, évidemment, les seigneurs ne daignent pas honorer les plaideurs. On arrivait à rectifier, mais encore fallait-il avoir le caractère pour ça et se moquer de sa carrière, car, en coulisse, ça râlait ferme.
Ceci ne nie en rien le but essentiel de ces organismes qui progressivement mangent toutes les ressources de la Nation, tout en lui procurant une sécurité que personne n'est décidé à abandonner, c'est donc la puissance quasi régalienne qui engendre cette arrogance, et ainsi seront les députés de M.Macron dans quelques années, à l'instar de leur chef qui est né avec ça dans son berceau. On verra les résultats, enfin, vous, parce que moi... je serai sans doute loin, par bonheur.
@Catherine JACOB
La plupart des références Soulages sont inexploitables pour cause d'erreur de contenu, pas grave, ce qui est visible est merveilleux. J'aime Soulages à partir de Saint Bertrand de Comminges et je hais Basquiat qui cultive la vulgarité ; la noblesse du street art (alors à peine naissant) est pervertie. En outre, c'est un pur produit de l'art spéculatif, on n'a aucune référence de la base culturelle populaire de Basquiat.
Rédigé par : genau | 20 juin 2017 à 11:54
@Achille | 20 juin 2017 à 09:12
« Catherine JACOB et Savonarole qui nous parlent de peinture et semblent éprouver une totale indifférence à l'entretien de l'invité. »
Je ne sais qui est indifférent à quoi, très cher.
Rédigé par : Catherine JACOB | 20 juin 2017 à 11:53
Catherine JACOB et Savonarole qui nous parlent de peinture et semblent éprouver une totale indifférence à l'entretien de l'invité.
Ils me font penser à ces élèves qui se désintéressent complètement du cours dispensé par leur professeur et préfèrent regarder par la fenêtre le beau paysage qui se profile dans le lointain.
Quant aux œuvres de Pierre Soulages, je dois avouer qu’elles me sont totalement hermétiques. Mais sans doute ne possédé-je pas ce sens de l’observation, ce goût du petit détail et autres subtilités qui ne sauraient être captés que par les grands esthètes. 😀
Rédigé par : Achille | 20 juin 2017 à 09:12
@ Jabiru | 19 juin 2017 à 13:59
Depuis le départ de Bernard Thibault qui était un bon orateur, possédant en outre une bonne connaissance du mécanisme syndical, la CGT n’a cessé de se décrédibiliser.
- Avec Thierry Lepaon d’abord qui a été vite débarqué suite à ses goûts pour le faste, matérialisés par les travaux d’aménagement de son appartement et la rénovation de son bureau, aux frais de ses camarades syndiqués. Mais il a très vite retrouvé un pied-à-terre avec sa nomination à la présidence de l'Agence nationale de lutte contre l'illettrisme par le gouvernement en place. Eh oui, il faut savoir entretenir les bonnes relations avec le premier "fouteur de m…" de France qu’est la CGT, pour obtenir la paix sociale, au demeurant fort relative.
- Avec son successeur Philippe Martinez ensuite, qui me fait penser à Peppone, le maire de Brescello, un petit village très tranquille de la plaine du Pô. Grand admirateur de Staline, ce qui était le cas de tous les camarades travailleurs de l’époque.
Par la suite certaines révélations ont montré que le "petit père des peuples" si vénéré, était, en fait, un grand malade et un dictateur de la pire espèce.
Les discours et entretiens de Philippe Martinez sont basiques. Sans originalité, sans élégance, bref du brut de fonderie (pour emprunter un vocabulaire de travailleur). On dirait du Mélenchon mais sans le talent oratoire. C'est le tribun des "illettrés" dirait notre président.
Rédigé par : Achille | 20 juin 2017 à 08:26
@ Pierre Blanchard | 19 juin 2017 à 14:05
La RFA n’existe plus ?!
Oh ben ça alors !
Faut vite le dire au professeur Rainer Arnold de l’Université de Regensburg !
Les conséquences de l’unification sur la constitution allemande.
http://www.persee.fr/doc/ridc_0035-3337_1992_num_44_3_4539
Et pis, alors, il faut vite le dire à tous les Allemands, parce que la loi fondamentale allemande, leur constitution, n’a pas l’air d’être informée !
Grundgesetz für die Bundesrepublik Deutschland
« Article 20 [Fondements de l'ordre étatique, droit de résistance]
(1) La République fédérale d'Allemagne est un État fédéral démocratique et social. »
https://www.bundesregierung.de/Webs/Breg/FR/Dossiers/LoiFondamentale/_node.html
@ Robert Marchenoir | 19 juin 2017 à 17:38
Ainsi j’aurais créé l’État français... et c’est moi qui enfume ?! Bravo !
À défaut d’enfumer, c’est peut-être vous le combustible !
Commencez par définir l’État !
Ce n’est pas un être organique !
Cela ne pousse pas sur les arbres !
C’est un concept !
Un concept de gestion du pouvoir.
Le pouvoir des individus qui composent une communauté, c’est donc une structure qui a à charge de gérer au nom des personnes, des individus, en leur pouvoir, par dérogation.
L’assurance auto peut parfaitement être gérée par une Mutuelle !
Il y a le Code des assurances et le Code de la mutualité.
L’assurance-maladie, c’est une assurance, les salariés payant des cotisations et non un impôt.
http://www.universalis.fr/encyclopedie/assurance-histoire-et-droit-de-l-assurance/
Une assurance peut être obligatoire, tout comme les parents ont des obligations envers leurs enfants.
Code civil – art. 371-2 :
« Chacun des parents contribue à l'entretien et à l'éducation des enfants à proportion de ses ressources, de celles de l'autre parent, ainsi que des besoins de l'enfant.
Cette obligation ne cesse pas de plein droit lorsque l'enfant est majeur. »
Ainsi selon vos turpides, du fait que c’est une obligation, que vous pouvez aller en prison pour délaissement de mineur, ce ne sont donc pas vos enfants, mais ils sont la propriété de l’État, vos enfants sont des fonctionnaires !
Le Tribunal des affaires sociales n’a jamais eu pour juridiction suprême le Conseil d’Etat, mais la Cour de cassation, c’est donc du droit privé et non du droit public.
Dans les contrats d’assurance multirisques, ou dommages, l'assurance contre les actes de terrorisme est obligatoire, imposée par le droit, non pas votée par l’État, mais les assemblées législatives telles que la CSG elle aussi votée par les assemblées législatives.
Vous ne pouvez refuser de la payer !
L’État finançant des fonds d’aide aux victimes du terrorisme, avec l’argent de l’impôt, ferait selon vous des victimes du Bataclan des fonctionnaires ?!
Nous atteignons le summum de l’absurde !
Puis le délire sur les personnels de la sécurité sociale, l’on peut faire la même chose avec les sociétés de recouvrement ou les huissiers de justice !
Ne payez pas votre facture SFR et nous verrons ensuite !
Les employés de la sécurité sociale ne sont pas des fonctionnaires, ils ne relèvent pas de l’ordre judiciaire administratif, ne passent pas par Tribunal administratif, Cour d’appel administrative et Conseil d’État, mais par les prud’hommes et donc à terme la Cour de cassation, ils relèvent du Code du travail et non du statut des fonctionnaires.
Rédigé par : Elusen | 20 juin 2017 à 05:28
@Catherine JACOB | 19 juin 2017 à 18:52
Bel éclairage. Merci.
Comme vous je n'apprécie pas outre mesure Basquiat.
J'en ai trop vu dans les années soixante-dix dans les galeries de Johannesburg, Pretoria, Salisbury (Rhodésie) ou au Mozambique.
Votre tableau de Soulages est magnifique, mais il déçoit lorsqu'il abuse de ses tartines de noir. Dès qu'on ajoute une touche d'or, ça change tout.
Décidément, vous avez un immense univers artistique et une magnifique palette culturelle.
Mon univers est plus restreint, peinture orientaliste, art africain, céramique chinoise, Iran, Espagne, voire la Gazette de l'Hôtel Drouot.
Rédigé par : Savonarole | 19 juin 2017 à 23:07
@Savonarole | 19 juin 2017 à 12:48
"...c'était avant une sorte de Basquiat avec de jolies couleurs"
N'allez pas lancer le PNF à l'assaut d'une éventuelle plus-value chez les Bilger !
D'après l'actualité du marché de l'art dans Le Figaro (2013 toutefois), "Basquiat est un nom en or. Selon le classement Artprice, l'artiste est devenu le numéro un des ventes d'art contemporain dans le monde en 2011 et 2012. La star la plus disputée des enchères pour être dans le top ten des plus grands collectionneurs.
En quinze ans, la cote de Basquiat a connu un bond sans précédent. À sa mort, en 1988, ses œuvres ne dépassaient pas les 100 000 dollars. Depuis, elles ont franchi la barre des dix, vingt, trente millions, pour atteindre un record à 48,8 millions de dollars en mai dernier, à New York, pour Dustheads, une toile de 1982 estimée par Christie's 25 à 35 millions de dollars."
Ceci étant, indépendamment de la cote, même en n'en ayant vu qu'une partie, ça ne me parle pas pour Basquiat et je pense que ce peintre n'est pas le style de nos hôtes. Maintenant, ce que j'en dis... Mais moi aussi je me suis cependant demandé de qui ça pouvait être. Après tout, peut-être avons-nous affaire non seulement à un écrivain, mais également à un peintre...
Quant à Marie Laurencin la cote semble tourner autour de 30 000€, c'est donc davantage imaginable côté prix, mais ce n'est pas le style non plus, je pense.
Pour ma part, si j'en avais les moyens, je m'offrirais bien un Pierre Soulages.
Et puisqu'on est dans les jaunes, un 30 Octobre 1958 où le jaune brise le noir, Ou un Outrenoir comme cette irruption de la lumière ou encore ce 11 juillet 1987 qui fait penser à la réflexion de la lumière dans certaines pierres précieuses.
Par exemple, ici ou encore sous cet angle, comme dans le tableau l’éclair et le ciel orageux sont dans la pierre (les diamants noirs sont à l’honneur dans la création de bijoux contemporaine, mais ce n’en est pas un, sinon, je n’vous dis pas le prix ! c'est un saphir noir de ceux que les Thaïlandais font parfois passer pour des diamants noirs après les avoir chauffés !!) et Ici la lumière joue comme dans le tableau du 11 juillet 1987 qui pourrait en être comme un agrandissement.
Rédigé par : Catherine JACOB | 19 juin 2017 à 18:52
@Elusen | 19 juin 2017 à 11:34
Magnifique numéro d'enfumage. Vous pratiquez le pinaillage habituel des étatistes, qui tirent parti de l'effroyable complexité du mammouth qu'ils ont engendré pour nous faire croire que l'eau est sèche, et que l'Etat n'opprime pas les Français alors qu'il met partout ses grosses mains pleines de doigts.
Ainsi, pour vous, l'assurance-maladie en France serait semblable à l'assurance auto : fournie par un organisme privé, constitué de salariés de droit privé. Seul "petit" détail, elle est obligatoire (bah oui, comme l'assurance auto, et alors ?), et, autre "petit" détail, elle est fournie par un "assureur" unique qui a le pouvoir de vous fourrer en prison, si jamais vous tentez de souscrire un contrat auprès de l'un de ses concurrents. Encore un "détail", son budget est voté par l'Etat, et contrairement à ce que vous suggérez, son financement est assuré par l'impôt (la CSG, c'est quoi ? une cotisation volontaire, comme le denier de l'Eglise ?).
Il faut vraiment se moquer du monde pour prétendre que la Sécurité sociale ne fait pas partie du secteur public, sous prétexte que, théoriquement, d'une certaine manière et dans une certaine mesure, ses employés sont "de droit privé". Ils sont "de droit privé" jusqu'à ce que vous ayez un conflit avec eux, et alors... vous êtes jugé par un tribunal d'exception, le tribunal de la Sécurité sociale (supprimé seulement l'année dernière ; reste à voir ce qui lui succédera).
C'est un peu comme si j'étais plombier, que vous soyez mécontent de la façon dont j'ai débouché vos toilettes, que vous me fassiez un procès, et que je vous fasse juger par le tribunal des plombiers.
Evidemment que les employés de la Sécu sont des fonctionnaires. Ils sont même pires que des fonctionnaires, car justement, ils échappent, dans une large mesure, aux rares garde-fous qui protègent les citoyens contre l'arbitraire des fonctionnaires, précisément parce qu'ils sont fonctionnaires.
Demandez à n'importe qui qui a eu affaire à la Sécurité sociale ou à l'URSSAF : à côté de ses employés, les inspecteurs du fisc sont des anges.
Le reste de votre démonstration est à l'avenant : prétendre que Pôle emploi serait un organisme privé, c'est véritablement insulter les Français en les prenant pour des imbéciles, en plus de les opprimer en les condamnant au chômage et à la stagnation chroniques.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 19 juin 2017 à 17:38