Pour aimer la controverse et n'avoir pas peur de la polémique, je ne les fuis pas dès qu'elles apparaissent.
Que je sois acteur ou téléspectateur, je ne les récuse pas par principe car la liberté d'expression est un bien trop précieux pour qu'on l'économise.
Mais je hais le sadisme sous toutes ses formes. Et surtout le sadisme médiatique. Celui-ci, quand il surgit en pleine lumière cynique, ne doit laisser personne indifférent au prétexte du dérisoire ou de l'insignifiance de la péripétie. Ces cruautés en valent bien d'autres.
Je sais que Christine Angot a été engagée par Laurent Ruquier, dans ONPC, pour faire advenir le pire et elle dépasse sur ce plan toutes les espérances.
En même temps elle fait partie de ces personnalités féminines intouchables, artistes, journalistes ou autres, qui bénéficient de ce privilège rare d'être célébrées à hauteur de leur médiocrité ou de leur arrogance. La mousse médiatique fait passer leur statut au rang de statue et quiconque s'aviserait d'émettre des réserves serait immédiatement taxé de misogynie.
Christiane Angot a eu un comportement honteux avec François Fillon, ne cesse de nous parler de son inceste dans ses livres et est une dialoguiste nulle dans le film de Claire Denis. Mais peu importe.
Elle se permet cependant, au nom de ce que vulgairement on attend d'elle, de faire plus que contredire : d'insulter et de bouleverser Sandrine Rousseau, ancienne secrétaire nationale adjointe du parti Europe Ecologie-Les Verts. Celle-ci a écrit un livre, "Parler" où, au sujet de l'affaire Denis Baupin, accusé de harcèlement par plusieurs femmes, elle cherche à convaincre celles qui ont été victimes de ce genre d'agressions de libérer leur parole (Le Parisien).
Quoi qu'on pense de sa démarche et de sa cause, elles ne sont pas honteuses et je ne vois pas au nom de quoi Christine Angot oppose avec fureur sa condition de victime et son obsession d'une souffrance solitaire et incommunicable pour fustiger une Sandrine Rousseau dont la position est honorable et susceptible en effet d'aider qui n'a pas le courage ni l'envie de demeurer tout le temps dans le pré carré de sa douleur.
Pathétique de constater à quel point cette invitée émue aux larmes était vouée au massacre, incapable par son tempérament et sa courtoisie de supporter une telle inégalité des armes.
Ce qui s'est déroulé au cours de cette émission, dans laquelle un duo confortablement fort s'en prend à une faiblesse tétanisée par le climat éprouvant et peu digne de ce cirque, a constitué une véritable non-assistance à invitée en danger. Une caractéristique de ces samedis soir où les questions sont narcissiques et les réponses à peine écoutées ou même empêchées.
A partir de la cour d'assises, pour avoir connu de multiples affaires de viol, je peux témoigner que l'objectif de Sandrine Rousseau est rien moins qu'absurde. Pour beaucoup des victimes, après l'enfermement initial en elles-mêmes, la première libération de la parole a été suivie - et le procès est un moment capital, avec la condamnation de l'auteur, pour qu'enfin elles se vivent comme victimes et non plus d'une certaine façon comme coupables - par des restaurations intimes, psychologiques et sociales.
Sandrine Rousseau m'a fait doublement pitié. A cause de ce qu'elle a subi hier et de ce qu'elle a enduré aujourd'hui.
Ce n'est pas parce que Marlène Schiappa a écrit au CSA pour dénoncer cette ignominie télévisuelle et que pour une fois elle a raison que je vais me priver d'intervenir (Huffington Post).
On ne m'enlèvera pas de l'idée qu'un monde médiatique qui facilite de telles dévastations et s'en repaît devrait être jugé avant de juger. D'opposer trop souvent son arrogance et son indécence à des détresses désarmées.
@ Herman Kerhost | 11 octobre 2017 à 23:15
(Avec un peu de retard...)
Merci pour le lien. J'ai écouté, mais ce ne sont que quelques dizaines de secondes, extraites de leur contexte.
Franchement, ce n'est pas suffisant pour réfuter tous les indices en sens contraire que j'ai présentés ici.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 15 mars 2018 à 03:36
@Robert Marchenoir
Voici une vidéo qui vous apportera peut-être un éclairage :
https://www.youtube.com/watch?v=CSxq2Th_5d0
Rédigé par : Herman Kerhost | 11 octobre 2017 à 23:15
La polémique suscitée par la violente altercation entre Christine Angot et Sandrine Rousseau a été analysée dans C à vous par Eric Naulleau et Sonia Devillers.
Rédigé par : finch | 08 octobre 2017 à 16:38
@ Tipaza | 06 octobre 2017 à 23:50
"C’est horrible ce que vous nous racontez sur les tueries de ces crustacés innocents"
Je sais, je sais, je pleure à chaque fois, mais c'est bon pour la santé :D
Mais faites attention à l'amour qui vous fera vivre dorénavant car parfois c'est, aussi, cruel...
Adeo
Rédigé par : breizmabro | 07 octobre 2017 à 07:28
"On ne m'enlèvera pas de l'idée qu'un monde médiatique qui facilite de telles dévastations et s'en repaît devrait être jugé avant de juger. D'opposer trop souvent son arrogance et son indécence à des détresses désarmées."
Là, M. Bilger vous écrivez ce que tant de monde pense.
En effet, ces personnages médiatiques n'éprouvent aucune empathie pour les victimes mais se repaissent de leurs souffrances par opportunisme professionnel ou personnel pour leur propre nombril et, sans pitié, s'acharnent à piétiner et piétiner jusqu'à ce que mort s'ensuive, sans prudence, sans respect pour les victimes.
Et après, ils oublient ou se planquent en attendant le prochain coup.
Sandrine Rousseau a fait preuve d'un grand courage - seule - d'autant plus que c'est, inconsciement, dans ce genre de blessure un premier élan pour expulser sa souffrance parce qu'elle ne veut pas la subir à vie.
Alors, certes pas habituel venant d'une personne connue et à la télévision, mais sur le bon chemin pour s'en sortir.
Christine Angot devrait y réfléchir.
Rédigé par : P.A. | 07 octobre 2017 à 03:15
@breizmabro | 06 octobre 2017 à 17:55
C’est horrible ce que vous nous racontez sur les tueries de ces crustacés innocents.
Pire que ce qui se passe dans les abattoirs.
J'ai déjà arrêté de manger de la viande, je ne mangerai plus de crustacés, et je vivrai d'amour et d'eau fraîche !
Vous connaissez le cri du homard ?
http://www.formatcourt.com/2012/12/le-cri-du-homard-de-nicolas-guiot/
Rédigé par : Tipaza | 06 octobre 2017 à 23:50
@ breizmabro | 06 octobre 2017 à 17:12
Et pourquoi donc, "non" ? C'est un peu péremptoire, comme affirmation. Une imposture littéraire, cela veut dire que c'est un mauvais écrivain qui a un succès immérité. Je ne l'ai pas lue, et je n'ai pas l'intention de le faire. Mais je fais confiance à ceux, nombreux, qui portent ce jugement. Il s'agit là du terrain artistique.
Je parle, moi, du terrain social, moral et même politique. La plupart des gens qui entendent Angot à la télé, qui savent qui elle est ou qui ont un avis sur elle, n'ont pas lu ses livres (avis totalement pifométrique, basé sur zéro statistique ou étude du CNRS). Les téléspectateurs qui ont réagi à son attaque contre François Fillion, ou contre Sandrine Rousseau, se moquent bien de la qualité littéraire de ses livres.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 06 octobre 2017 à 19:52
@ fugace | 06 octobre 2017 à 13:38
"C'est aussi pratiqué en Bretagne ?"
Naturellement ! Les végétariens et végans ne mangent que du poisson et/ou des graines et fruits exotiques (importés par avion, sans se soucier de la pollution) "paske c'est bon pour la santé" :D
Par exemple ils/elles adoooorent les sushis, qui sont fabriqués avec du saumon préalablement tué, et les filets levés sur les bateaux de pêches (pas bretons ;)) pour que la chair reste ferme. (J'évite de vous parler des saumons d'élevage nourris à la purée de viande, ou pas ?)
Oui, c'est donc pratiqué en Bretagne et dans TOUS les grands restaurants du monde.
Il y a deux options : soit l'ébouillanter vivant avant de le couper en deux avant de le griller, mais bon...
Soit de le couper en deux, vivant, le griller ou le faire façon homard à l'américaine.
En même temps manger des huîtres c'est manger un mollusque VIVANT (perso j'ai une copine végétarienne, elle s'en fout total elle en gobe des dizaines ;)).
Bon, yen a qui les mettent dans un four avec une sauce persillée (sans les anesthésier préalablement) ils appellent ça "huîtres chaudes" ;)
Bon, pour les langoustines ou les crevettes que vous mangez parfois dans les restos de "fruits de mer", je vous rassure, elles sont mortes dans l'avion qui les ont amenées en France, AVANT d'être cuites. Ouf !
Maintenant, si vous avez des pt'tits boutons qui poussent ou mal au ventre... :(
Rédigé par : breizmabro | 06 octobre 2017 à 17:55
@ Robert Marchenoir | 06 octobre 2017 à 14:40
"Conclusion : nous sommes face à un cas spectaculaire d'hallucination collective, à une falsification médiatico-éditoriale extraordinairement réussie"
Non, je crois, comme le dit justement Eric Naulleau, que "Christine Angot est la plus grande imposture littéraire de ces cinquante dernières années", c'est tout.
Quant à son père il est mort depuis plusieurs années. M. Angot, fils d’un directeur Michelin, polyglotte et cultivé mais antisémite, a abandonné Rachel Schwartz enceinte de la fameuse Christine qui prendra le pseudo de son père et écrira cette histoire d'inceste pour le lui faire payer.
Personne ne sait s'il a lu le livre qui lui est dédié et si oui il n'en a fait aucun commentaire (à ma connaissance).
Rédigé par : breizmabro | 06 octobre 2017 à 17:12
@ breizmabro | 06 octobre 2017 à 08:10
"L'histoire des quartiers de mandarine."
Exactement. En dehors de tout le reste, ce détail signe l'invention. Résumons les faits :
"Tout le monde sait bien que", ou fait comme si, Christine Angot avait été victime d'abus sexuels de la part de son père. Or,
1. La source de cette conviction, en dehors de la rumeur publique, est un livre de fiction de la victime supposée, où celle-ci se met en scène sous son nom : "L'Inceste".
2. La page Wikipédia consacrée à l'auteur, extrêmement approfondie, ne mentionne aucune déclaration de Christine Angot disant : j'ai été victime d'abus sexuels de la part de mon père. Ni même d'allégation à cet effet venant de qui que ce soit. Sachant que le principe de Wikipédia est de ne rien publier qui ne soit appuyé sur d'autres sources.
3. La page Wikipédia consacrée à "L'Inceste" ne contient, elle non plus, aucune déclaration de son auteur affirmant avoir été victime d'abus sexuels de la part de son père (alors qu'il s'agit du thème même du livre) ; ni même d'allégation à cet effet venant de qui que ce soit.
4. Le site Web officiel de Christine Angot lui-même ne mentionne à aucun endroit qu'elle a été victime d'abus sexuels de la part de son père ; pas même dans la notice consacrée à son livre "L'Inceste", ainsi qu'on pourrait s'y attendre.
5. Christine Angot, dans une émission de télévision de 19 minutes consacrée au lancement de son livre, a constamment refusé de répondre aux questions insistantes de Thierry Ardisson, qui cherchait à savoir si le livre était basé sur des abus sexuels réellement infligés par son père. Elle a, à plusieurs reprises, suggéré qu'il ne s'agissait que d'un artifice littéraire. Elle a aussi refusé de répondre à sa question suggérant que l'histoire n'était qu'un truc marketing pour faire vendre le livre. Au milieu de nombreuses réponses évasives, elle a, une fois, répondu "non" à la question : le livre est-il le récit de votre inceste ?
6. Christine Angot, à de nombreuses reprises, a récusé le qualificatif d'autofiction appliqué à "L'Inceste", qui ouvrirait la possibilité qu'il soit basé sur des faits réellement vécus par l'auteur.
7. La page en langue anglaise de Wikipédia, consacrée à Christine Angot, évoque (contrairement à la page en français) la possibilité que les abus sexuels rapportés dans "L'Inceste" soient entièrement imaginaires.
8. Le correspondant français d'un quotidien britannique réputé, le Daily Telegraph, a lui aussi évoqué cette hypothèse. La presse anglo-saxonne a pour habitude de séparer, bien plus nettement que la française, les faits de l'opinion.
Conclusion : nous sommes face à un cas spectaculaire d'hallucination collective, à une falsification médiatico-éditoriale extraordinairement réussie. Celle-ci a fabriqué une victime entièrement imaginaire, pour le plus grand bénéfice financier de l'auteur, auquel l'opération a assuré un statut social durable de gourou des lettres françaises (ventes de livres, nombreux postes éditoriaux dans le monde de la culture, émissions diverses).
L'opération a aussi pour avantage de conforter l'idéologie de gauche dominante du politiquement correct, selon laquelle les femmes sont constamment sous la menace des hommes, qui sont des violeurs en puissance.
Elle a aussi pour but de prouver, par l'exemple, l'allégation selon laquelle la parole des "victimes" ne saurait être mise en doute, quand il s'agit des catégories protégées par le système : prolétaires, immigrés, jeunes, délinquants, handicapés, homosexuels -- et femmes au premier chef. De fait, dans le cas présent, si l'enfumage a réussi à ce point, c'est que tout le monde sentait bien qu'il était inconvenant de mettre en doute ce qui était manifeste chez Christine Angot -- et que pourtant elle ne disait jamais. Une femme violée, battue, maltraitée ne peut pas mentir. C'est la Victime par excellence.
L'opération, enfin, permet à ses organisateurs, et au public de dépravés qu'ils visent, de satisfaire leurs pulsions perverses en jouissant à la lecture des transgressions dont ils rêvent -- tout en faisant mine de les réprouver. Et tout en se payant la tête des "bourgeois coincés" auxquels ils ont joué un bon tour. Ces messieurs-dames gagnent sur tous les tableaux.
Dans tout cela, personne ne se préoccupe du père de Christine Angot, qui, lui, a réellement existé, et est peut-être encore de ce monde. Mais que vaut un père ? Le politiquement correct nous a bien enseigné que le patriarcat était la pire des abominations.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 06 octobre 2017 à 14:40
@ Robert Marchenoir - 05 octobre 2017 à 18:16
"- Thierry Ardisson : Vous dites, page 26 : "Moi-même, à 14 ans, je voulais devenir écrivain. Je voulais démarrer très fort. J'ai pensé à l'inceste. J'ai séduit mon père." Donc, voilà. Je veux dire, on se demande. On se demande : est-ce que c'est du marketing, est-ce que c'est du..."
Alors pour devenir écrivain, elle serait allée en conscience sur le chemin. Sans aller au bout du chemin.
Comme ici (pour l'image, mais pas pour le son) en chanson :
https://www.youtube.com/watch?v=LE06lqT0Y2g
@ breizmabro | 06 octobre 2017 à 08:10
Un homard séparé de sa moitié, sans douleur donc puisque pas de cri ?
https://www.youtube.com/watch?v=hVmtKfUzvqQ
C'est aussi pratiqué en Bretagne ?
Rédigé par : fugace | 06 octobre 2017 à 13:38
@ Robert Marchenoir | 05 octobre 2017 à 00:01
Oh la, oh la Robert, ne nous fâchons pas, je plaisantais. En réalité je suis comme vous convaincue de ne pas l'être par la harpie Angot et SON inceste, l'histoire des quartiers de mandarine posés sur le sexe de son père m'a suffi à trouver la ficelle un peu grosse (!) et à déposer ce bouquin dans l'endroit qui lui était dédié : le lieu d'aisance :D
Angot n'est pas tombée le nez dans le ruisseau de la faute à Rousseau, chez Ruquier, et son hystérie professionnelle restera intacte tant qu'elle aura des livres à vendre. Point.
Adéo ar wech all ;)
@ Claggart | 05 octobre 2017 à 12:17
Pour les bulots je partage votre opinion, du reste les pêcheurs les utilisent comme appât.
Quand ils ont su que ça se vendait ils en rient encore :D
Pour les tourteaux je ne sais trop, je n'en suis pas friande, je préfère l'araignée (cuite par mes soins evel just ;))
Adéo ;)
Rédigé par : breizmabro | 06 octobre 2017 à 08:10
P. Sébastien était venu dans cette émission pour défendre son oeuvre "Le vrai goût des tomates mûres" et une forme de violence-light cad cul-nu-coups-de-martinet et tabassages alcoolisés de matches de rugby.
Y. Moix avait essayé de défendre la réalité selon laquelle la violence ne pouvait être light (qui oralement dont laït et qui sans tréma donne lait proche de laid). L'écrivain (!) s'était confondu en explications vaseuses jusqu'à ce que L. Ruquier lui fasse comprendre que Monsieur Moix savait de quoi il parlait.
Il ressort de ce passage que d'aucuns n'écoutent pas les arguments de l'interlocuteur n'imaginant qu'il ait à en connaître et puisse initier et/ou approfondir l'échange...
Que fera Madame Rousseau lorsqu'elle entendra des personnes dont l'histoire des faits serait autrement délicate ? avec les mots violents qui accompagneraient les récits ?
J'ignore tout de la littérature de Madame Angot. Mais, lorsqu'elle dit à Madame Rousseau qu'avec la violence subie chaque femme arrange son silence, elle est plus proche du réel vécu que l'injonction du titre du livre : "Parler".
Rédigé par : calamity jane | 06 octobre 2017 à 07:45
@ caroff | 05 octobre 2017 à 14:55
Merci. Vous confirmez donc mon pressentiment (jusqu'à plus ample informé, jusqu'à ce que quelqu'un apporte une preuve contraire) : 1) cette femme est folle, 2) il y a de fortes chances que son prétendu inceste avec son père n'ait jamais existé, puisqu'elle-même refuse obstinément de le confirmer, alors que Thierry Ardisson ne cesse de l'interroger sur ce point, tout au long de ces 19 minutes d'émission que vous nous indiquez -- émission réalisée à l'occasion du lancement de son livre "L'Inceste".
https://www.youtube.com/watch?v=jPE1Uscd1AA
Moyennant quoi, tout le monde est persuadé que Christine Angot est une pauvre victime (et je l'étais moi-même hier encore), parce que son père l'aurait violée quand elle était adolescente. En plus, je me rends compte que j'avais déjà vu cette émission. Le pouvoir de suggestion de la machine médiatique est véritablement effrayant.
Je transcris tout de même ici certains échanges de cette interview. L'écrit est le médium de la raison...
Sur le point 1, le déséquilibre mental manifeste de cette dame, Thierry Ardisson cite un passage du livre (dont la narratrice est une femme dénommée Christine Angot) : "Je suis folle. Vraiment folle. Je ne toucherai qu'un petit public de détraqués dans mon genre, si je continue."
Christine Angot, alors, renchérit : elle se félicite d'avoir reçu une lettre de lectrice qui se flattait de faire partie de ce public de détraqués.
Sur le point 2, la question de savoir si ce fameux inceste a oui ou non existé :
Ardisson évoque l'idée que L'Inceste est une oeuvre "d'autographie" ou "d'autofiction" (donc, une version romancée de faits réels vécus par l'auteur).
Angot rejette fermement ces deux notions.
-- Thierry Ardisson : Vous racontez votre inceste ?
-- Christine Angot : Non !
A un ou deux moments, Angot prononce les mots "mon inceste", mais dans un contexte qui ne permet pas de dire qu'il a eu lieu.
-- Christine Angot : Il y a [dans le livre] une association qui est faite entre le terme d'inceste et le terme d'homosexualité. Et puis Noël, au milieu, qui est là. La fête de Noël.
Notez bien : le terme d'inceste.
-- Thierry Ardisson : Quand on lit le bouquin, on se demande si c'est de la fiction, si c'est de l'autofiction, si c'est du témoignage, on n'en sait rien, en fait. C'est ce qui fait le charme du livre, en plus.
-- Christine Angot : Alors, du témoignage, ça, alors là... vous vous doutez bien que c'est la dernière chose qui puisse... non, quoi, que, vraiment, non, parce que sinon, c'est pas possible...
-- T.A. : Pourquoi c'est pas possible ?
-- C.A. : Parce que sinon, il n'y a pas d'écrivain.
-- T.A. : Quand on voit une fille, dans le bouquin, qui s'appelle comme vous, et qui est vous, et qui avoue ce qui est avoué dans ce bouquin, la première question qu'on se pose, c'est : est-ce que c'est vécu, ou pas ?
-- C.A. : Ah, mais ça c'est pas... la question n'est pas là ! La question, c'est de dire : c'est de la littérature ! C'est tout !
-- T.A. : Vous dites, page 26 : "Moi-même, à 14 ans, je voulais devenir écrivain. Je voulais démarrer très fort. J'ai pensé à l'inceste. J'ai séduit mon père." Donc, voilà. Je veux dire, on se demande. On se demande : est-ce que c'est du marketing, est-ce que c'est du...
-- C.A. : Mais est-ce qu'on se demande vraiment ?
-- T.A. : Ben oui, moi je me le demande : est-ce que c'est de la création littéraire, est-ce que c'est de la réalité ?
-- C.A. : Alors ça pose la question du marketing, est-ce que si on veut vraiment vendre quelque chose, pourquoi pas, alors, finalement. Peut-être que de vivre l'inceste, c'est une bonne méthode de marketing.
-- T.A. : Oui.
-- C.A. : Ca c'est une vraie question qui se pose, eh bien, je la pose.
-- T.A. : Et alors ?
-- C.A. : Eh bien, posons-la. Posons-la. Ouais, ouais.
Intervient alors un autre invité, Dieudonné : "Cette phrase-là, c'est de l'humour."
-- Christine Angot : Cette phrase-là, c'est : je vais dire ça, comme ça ils le diront pas. Mais ils le disent...
-- Thierry Ardisson (avec un grand sourire) : on est cons...
Je fais tout pour que les gens comprennent que c'est arrivé, je laisse les gens dire que c'est arrivé, et quand on me demande, je refuse obstinément de dire que c'est arrivé. Moyennant quoi, je joue à la victime, je réclame même le monopole de la victime, je dénie publiquement aux autres de revendiquer le statut de victime -- et au passage j'insinue que tous les hommes sont des gros cochons, et j'enfonce le clou du politiquement correct exigeant des hommes qu'ils s'excusent pour tous les crimes de la terre, y compris ceux qu'ils n'ont pas commis.
En revanche, dans cette émission, elle ne fait pas beaucoup de difficultés pour reconnaître, à demi-mot, que la relation homosexuelle dont elle fait état, dans son livre, a bel et bien existé. De là à imaginer qu'elle a inventé de bout en bout son histoire d'inceste, parce qu'elle hait les hommes et qu'elle a trouvé là un bon moyen de s'en venger...
Vous m'excuserez, mais quand on évoque des faits éventuels qui sont pénalement répréhensibles, et moralement condamnés par tous, la moindre des choses est que la victime alléguée vienne dire noir sur blanc : j'accuse telle personne de m'avoir fait subir telles exactions.
Et encore, cela ne suffit pas, car sinon tout le monde pourrait accuser tout le monde : les tribunaux doivent se prononcer. Il ne manque pas de femmes ayant porté de fausses accusations de viol, et condamnées en justice pour cela.
Christine Angot a-t-elle porté plainte dans cette affaire ? S'il y a prescription, si l'auteur allégué est décédé, la moindre des choses en tous les cas est de revendiquer ses accusations. Pas de susciter des rumeurs, puis de se refuser à les confirmer.
Encore une fois, je suis prêt à ce que l'on me présente des preuves contraires. Je ne fais que découvrir cette histoire. Hélas, ce que l'on connaît de la perversion des moeurs publiques me fait croire à la véracité de l'hypothèse que je viens de présenter.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 05 octobre 2017 à 18:16
@Robert Marchenoir
En 1999, on devinait que cette femme avait un sérieux grain :
https://www.youtube.com/watch?v=jPE1Uscd1AA
et que ça ne s'est pas amélioré en 2017...
https://www.youtube.com/watch?v=CSxq2Th_5d0
J'ai voulu savoir ce qui valait à cette personne l'appellation d'"écrivain" en feuilletant son bouquin : je suis arrivé à la même conclusion qu'Eric Naulleau : "C'est peut-être la plus grande imposture littéraire de ces cinquante dernières années en France..."
Rédigé par : caroff | 05 octobre 2017 à 14:55
@ Ellen | 04 octobre 2017 à 12:35
"Nous faisons des hommes sans coeur et attendons d'eux vertu et hardiesse. Nous tournons l'honneur en dérision et sommes choqués de trouver des traîtres parmi nous." C.S.Lewis
De lâche à traître, combien de pas ?
@ jack | 04 octobre 2017 à 15:07
"Ce garçon aime le buzz"
S’il y a un psy dans la salle, pourrait-il nous éclairer sur ces spectacles affligeants, dont semble se régaler L.R. en premier ?
@ bernard - 04 octobre 2017 à 17:13
"Par ailleurs comment est-ce possible qu'il reste des volontaires pour alimenter les délires de cette émission indigne ? "
S’il n'y avait que celle-là !
Phénomène de société en déliquescence, que nombre d'intellectuels d'horizons divers pourraient nous expliquer. Les remèdes existent, mais ils tueraient les malades. Alors d'autres médecins utilisent ce qui pourrait s'apparenter à de l'homéopathie. Une guérison en douceur et sur le long terme. Ce n'est pas nouveau, et ça semble marcher du tonnerre de dieu.
@ breizmabro | 04 octobre 2017 à 17:28
J'ai aussi imaginé que notre hôte, admiré de Chacha, pourrait faire à ce dernier un joli cadeau à l'occasion de Noël prochain : "son dernier livre dédicacé."
Charge à Chacha de nous faire l'honneur de la dédicace en fin d'année.
Rédigé par : fugace | 05 octobre 2017 à 14:22
Bonjour à tous et à vous Monsieur Bilger,
Je prends la peine d'écrire quelques lignes car je ne suis pas d'accord avec vous. Certes, le spectacle télévisuel est souvent affligeant, la logique du "buzz" source de toutes les vulgarités et Christine Angot, que je ne connais pas vraiment, sûrement un peu conforme à tout ce que je lis ici ou là.
Mais j'ai écouté le passage incriminé. Christine Angot reproche à Madame Rousseau l'expression "formés pour accueillir la parole" alors qu'elle parle des psy qui aident les victimes d'agressions sexuelles.
Comme Christine Angot, je trouve que "formés pour accueillir la parole" est une expression typique du charabia mielleux de la bien-pensance.
Sandrine Rousseau est douce, on a envie de l'écouter et de la défendre, mais C. Angot qui n'est sans doute pas sensible au charme de S. Rousseau, a raison de dénoncer ces propos qui dissimulent tout et nimporte quoi.
Ça veut dire quoi "former pour accueillir la parole" ?
Former des gens à accepter n'importe quelle parole pourvu qu'elle soit larmoyante ?
Former des gens pour qu'ils "accueillent", comme on accueille un enfant, n'importe quelle ineptie ? n'importe quel propos ?
C. Angot a raison de se révolter. Pour vivre il faut du caractère, du tempérament, de la force. Il ne faut pas tout attendre des autres, il ne faut pas seulement savoir se plaindre.
Quelle tristesse ces réactions de vierges effarouchées par un peu de fermeté de caractère.
C. Angot a peut-être beaucoup de défauts, mais elle a raison de se moquer de cette "psychologisation" à outrance, de ces larmes télégéniques indignes d'une ex-femme politique, et de toutes ces logorrhées d'enfants-rois devenus adultes à leur insu.
Rédigé par : Jean Michel | 05 octobre 2017 à 14:04
@breizmabro 04 octobre 17h28
Les langoustines sont jetées vivantes dans l'eau bouillante, evel just ! Les langoustines glacées sont bonnes pour les plateaux de fruits de mer, pour les clients des bars à huîtres, avec en prime les ignobles bulots, justes bons à faire de la bouit pour les morues.
Par contre chez nous certains pêcheurs mettent le gros dormeur dans l'eau froide, et les y maintiennent 25 mn après ébullition.
kenavo distro
Rédigé par : Claggart | 05 octobre 2017 à 12:17
« Sandrine Rousseau : non-assistance à invitée en danger ! »
Rassurez-vous Sandrine Rousseau n’est plus en danger. Certes elle s’en est pris plein la tête lors de son échange avec Christine Angot, mais depuis, elle qui n’était connue que de quelques intimes, est invitée par tous les médias et fait le buzz sur Twitter.
La vente de son livre est assurée et quand vous prononcez son nom, les gens savent de qui vous parlez, ce qui n’était pas le cas voici une semaine.
A quelque chose malheur est bon dit un vieil adage...
Rédigé par : Achille | 05 octobre 2017 à 09:27
@Jean le Cauchois | 04 octobre 2017 à 20:43
""Autrefois, il y avait à la TV de superbes émissions littéraires" (Ellen)
"Il y a encore La grande librairie, le jeudi soir"."
Très gentil à vous, merci. Je n'y manquerai pas. Je vais la regarder.
@breizmabro | 03 octobre 2017 à 16:30
"Nous ne sommes que le résultat de notre éducation" (version psy de ce que disait le philosophe Helvétius (1715))
Helvétius parlait en son nom et en son temps. En 1715, les gens n'avaient rien de ce que nous avons à notre disposition, TV, smarphones, Internet, mondialisation, libre échange, pays sans frontières, lois, et puis encore la drogue, l'alcool en abondance, l'islamisme radical, les attentats sauvages...
Entre 1715 et 2017, les époques et l'histoire ont changé de visage.
C'est très fréquent et ne peut s'appliquer à tous. Il suffit d'observer certaines familles avec plusieurs enfants où l'éducation est supposée être la même. Eh bien, on s'aperçoit que l'un est doué pour les études et est d'une grande sensibilité et gentillesse, l'autre est bagarreur, n'écoute rien et n'en fait qu'à sa tête, un troisième est en conflit permanent avec les parents et se fiche de tout, préférant les jeux électroniques sinon c'est la crise de nerf garantie, et enfin le quatrième cesse la scolarité avant terme et commet des délits pour finir en taule. Certes, l'éducation à la maison et le premier pilier porteur de toutes les bases, puis l'école et les mauvaises influences et enfin tout ce que l'on voit et entend à la télévision qui n'est pas fait pour une bonne éducation. Ca fait beaucoup...
Rédigé par : Ellen | 05 octobre 2017 à 07:42
@ breizmabro | 04 octobre 2017 à 17:28
"Là Robert vous me (nous) faites marcher ? ;) .Christine Angot a ECRIT un livre sur SON inceste intitulé 'L'Inceste'"
Non, apparemment c'est Christine Angot qui vous fait marcher, vous. Je sais bien qu'elle a écrit ce roman ; je viens de le citer. Je vous signale qu'un roman, c'est une oeuvre de fiction.
Toute l'ambiguïté vient de ce qu'elle laisse entendre que ce roman est basé sur des faits autobiographiques réels, mais qu'elle ne l'a jamais dit explicitement. En tous cas, pas à ma connaissance. Je viens de chercher rapidement, et je n'ai rien trouvé. En revanche, j'ai trouvé pléthore d'écrits journalistiques selon lesquels Angot ferait de "l'auto-fiction", et en même temps pléthore de déclarations d'Angot elle-même selon lesquelles elle n'en fait pas. Angot passe son temps à noyer le poisson sur la véracité de ce fameux inceste.
Ce qui est sûr, c'est qu'il y a toute une opération médiatico-éditoriale pour faire croire qu'elle a été violée par son père -- mais sans jamais le dire noir sur blanc. Visiblement, ça rentre comme dans du beurre puisque "tout le monde sait bien que" Angot a été violée par son papa : c'est votre cas, c'était mon cas il y a quelques heures encore, mais où sont les faits ?
Quand, où, Angot a-t-elle dit : mon père m'a violée -- en dehors de son roman, évidemment, qui ne compte pas : elle-même passe son temps à dire que c'est de la littérature, qu'il ne faut pas le prendre au pied de la lettre, tout en laissant dire le contraire.
Je pensais que vous aviez des informations à ce sujet, visiblement vous n'en n'avez pas plus que moi. Lisez mes précédents commentaires pour plus d'explications.
D'ailleurs, je pose la question à la cantonade : qui a lu ou entendu une interview d'Angot se déclarant victime d'inceste de la part de son père, racontant les circonstances ? Qui peut nous indiquer le média, la date, nous donner un lien ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 05 octobre 2017 à 00:01
@ Ellen à 12:35
"Autrefois, il y avait à la TV de superbes émissions littéraires"
Il y a encore La grande librairie, le jeudi soir. Il y a une grande différence entre François Busnel et Laurent Ruquier : le premier sait mettre ses invités en valeur ; le second ricane de lui-même et sous-traite l'échange avec les invités à des chroniqueurs maintenant choisis pour leur style et leur culture adaptés "Ruquiercompatible". Ce n'est pas le même auditoire. Vous me donnerez - si vous le voulez - votre avis demain soir, bien que ce soit une émission dont on parle peu le lendemain.
Rédigé par : Jean le Cauchois | 04 octobre 2017 à 20:43
Complément : l'interview des Inrocks de Sandrine Rousseau après le débat.
Rédigé par : finch | 04 octobre 2017 à 19:46
"@ breizmabro | 03 octobre 2017 à 16:30
Pouvez-vous nous dire d'où vous viennent ces informations sur l'inceste supposément subi par Christine Angot ? Ne voyez pas une intention polémique à ma question, je cherche à m'informer."
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 octobre 2017 à 16:54
Enfin, Bob, elles sont dans les archives du KGB !
Rédigé par : sbriglia @ Robert Marchenoir | 04 octobre 2017 à 19:28
@ Claggart | 04 octobre 2017 à 09:58
Pour la cuisson des langoustines je milite avec vous !
Il faut, pour avoir de bonnes langoustines bien cuites,
- faire bouillir de l'eau
- la saler (genre obtenir une eau de mer dans la casserole), éventuellement poivrer
- dès que l'eau est à ébullition, plonger les langoustines dedans.
- dès que l'eau REMONTE en ébullition, sortir vite fait les langoustines
Ainsi, si vos langoustines étaient vivantes avant la plonge (je sais c'est cruel mais les végétariens s'en fichent, leur truc c'est la viande, du coup mes homards, mes langoustines, mes araignées de mer et moi on leur dit merci de ne pas nous pourrir les restes de nos plaisirs avant de rencontrer un fou furieux qui n'est ni végétarien ni vegan, juste un (des) voyou recyclé dans la "mouv"(ance) :(
...elles seront fermes et délicieuses, soit tièdes, soit froides, avec ou sans mayonnaise.
Adéo Claggart ;)
@ Franck Boizard | 03 octobre 2017 à 07:03
"Vous faites partie des "salauds" puisque vous permettez à cette émission de faire de l'audience en la regardant. Éteignez votre télévision. Les petits ruisseaux font les grandes rivières. Si tout le monde faisait ainsi, cette émission n'existerait plus.
Éteindre la télévision, c'est si difficile ?"
M... alors, vous vivez où ? Vous n'avez qu'une chaîne ? La 2 ? Même en taule ils/elles regardent LA chaîne indispensable culturellement, je veux dire Canal Plus :D
Moi j'dis ça j'dis rien mais perso j'ai arrêté de regarder l'émission de Ruquier depuis Salamé.
Ceci dit je regarde d'autres chaînes à cette heure-là qui sont, parfois, intéressantes... quoique.. Mais bon ce n'est que de la télé, celle qui sert à vendre du coca, des assurances ou des vérandas Akena entre Super Nanny ou un match de foot :D
@ Robert Marchenoir | 04 octobre 2017 à 16:54
"...d'où vous viennent ces informations sur l'inceste supposément subi par Christine Angot ?"
Là Robert vous me (nous) faites marcher ? ;)
Christine Angot a ECRIT un livre sur SON inceste intitulé "L'Inceste" (11,89 € et vous pouvez l'offrir à Chacha ;)) vendu à 50 000 exemplaires, qui l'a fait connaître du "Tout Paris" boboïsant, lui donnant le statut qu'elle a aujourd'hui chez Ruquier : radoteuse et verbeuse.
(Certains disent qu'elle écrit avec ses pieds, mais bon je ne suis pas pédo..logue ;))
Rédigé par : breizmabro | 04 octobre 2017 à 17:28
Trois impressions :
Le premier responsable est celui qui embauche ce genre de furie narcissique avec l'aval complaisant de la direction de la chaîne.
Triste évolution du service public audiovisuel.
Par ailleurs comment est-ce possible qu'il reste des volontaires pour alimenter les délires de cette émission indigne ?
Rédigé par : bernard | 04 octobre 2017 à 17:13
@ breizmabro | 03 octobre 2017 à 16:30
Pouvez-vous nous dire d'où vous viennent ces informations sur l'inceste supposément subi par Christine Angot ?
Ne voyez pas une intention polémique à ma question, je cherche à m'informer.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 octobre 2017 à 16:54
Madame Angot a un comportement odieux. Elle ne respecte pas ses interlocuteurs. Elle fait du spectacle : elle simule l'effarouchement provoqué par des paroles de Sandrine Rousseau. On croit rêver... De quel droit Madame Angot agresse-t-elle Sandrine Rousseau, dix fois plus intelligente et posée qu'elle ?
Pauvre Ruquier, son émission bat de l'aile. Ce garçon aime le buzz. Alors il pensait que Madame Angot ferait l'affaire. Mais ONPC est trop nul. Je ne peux plus regarder.
Rédigé par : jack | 04 octobre 2017 à 15:07
Aller chez ce fou Ruquier pour promouvoir son livre s'est se faire incendier à l'avance. Sandrine Rousseau n'imaginait pas un instant que la névrosée hystérique l'attaquerait aussi violemment. Le problème de la névrosée c'est qu'elle n'a pas réglé ses comptes avec son père incestueux et n'a pas suivi de thérapies chez son psy. Elle prend le public et les invités à témoin pour se soigner. Quelle gourde !!
Autrefois, il y avait à la TV de superbes émissions littéraires. C'était un plaisir de les écouter. Chacun parlait de son livre et de l'histoire vécue calmement sans attaquer l'autre. Dommage, ce qui était beau a disparu des écrans parce qu'il fallait créer du sensationnel idiot et remplir les caisses avant d'éduquer le public. On a le résultat : idiotie, violence, vulgarité à tous les niveaux. Une chose me choque : que les politiques aillent dans cette stupide émission ONPC, mais à les observer de près ils se couchent devant Ruquier et répondent à des questions stupides alors même que devant le micro des journalistes les mêmes entretiennent la langue de bois ou esquivent les réponses que nous sommes en droit d'attendre. Bande de lâches.
Rédigé par : Ellen | 04 octobre 2017 à 12:35
Léa Salamé défend Christine Angot.
De toute façon Léa Salamé n'est pas non plus ma tasse de thé.
Rédigé par : Catherine JACOB | 04 octobre 2017 à 12:30
@Catherine JACOB 03 octobre 22h49
C'est bien sûr Madame de Saint-Ange qu'il fallait lire ; quant à Madame Saint-Ange et sa "Bonne cuisine", il m'arrive de le consulter pour des recettes de cuisine bourgeoise d'avant-guerre et d'y trouver quelques trucs amusants, telle la manière de tuer l'anguille :
"Saisissez-la par la queue en l'enveloppant d'un torchon et assommez-la contre un mur ou la pierre d'évier"
Par contre sa façon de cuire les langoustines 15 minutes est totalement inadmissible, quelques minutes étant suffisantes.
Rédigé par : Claggart | 04 octobre 2017 à 09:58
Oui Solon, c'est exact. Pourquoi Ruquier casserait-il son jouet...
Que penser de ceux qui regardent, demandez-vous ?
Ne pensez pas, laissez chacun faire à sa mode.
Ma mode à moi c'est d'attendre la prestation de l'invité(e) politique et puis de remonter sur ma montagne où il n'y a pas de TV.
Cette fois-ci, ayant entendu cette histoire de clash, je voulais voir comment France 2 allait se sortir d’affaire… je suis tombé dans le piège et suis resté jusqu’à la fin.
Con un jour con toujours.
Rédigé par : Jean-Paul Ledun @ Solon | 03 octobre 2017 à 23:22
Cette émission télévisée me semble n'être rien d'autre qu'un tribunal. Trop de "clashes" grèvent l'existence de cette émission, il faut me semble-t-il en revoir le concept.
Je soutiens de tout mon esprit Sandrine Rousseau face à son interlocutrice qui n'a pas l'intégrité de la parole pour oeuvrer dans cette émission !
Rédigé par : Cyril Lafon | 03 octobre 2017 à 23:07
@Claggart | 03 octobre 2017 à 13:33
"Comme institutrice j'avoue avoir une préférence pour Madame de Saint-Ange.
Mme Saint-Ange et sa batterie de cuisine ou Mme de Saint-Ange, la libertine du boudoir ?
Rédigé par : Catherine JACOB | 03 octobre 2017 à 22:49
Quand vous voulez vous pouvez me prendre en photo en train de pleurer.
Ah ben oui, mais ça marche pas, t'es un mec blanc de plus de 40 ans.
Ah bon ?! Donc je suis discriminé.
Rédigé par : Wil | 03 octobre 2017 à 20:09
Dans le dernier ONPC, une agressée a été agressée par une agressée. Pitoyable spectacle que ce jeu de rôle de procureurs inassouvis, assoiffés de sang qui n'a pas manqué de gicler sur le plateau tel de modernes arènes de Rome. Une mise à mort à la Cicéron. Avec Moix et Angot en vedettes principales.
Face à ces procureurs partiaux, méchants et veules, Sandrine Rousseau est restée dans la dignité. Sa cause était juste, noble. Elle voulait délivrer un témoignage pour que d'autres femmes puissent, le cas échéant en pareille situation de détresse, en profiter.
L'ignoble Moix a nié la valeur de témoignage de son livre😠en ne retenant sournoisement que le discours de la femme politique, très éloigné—selon lui—de la parole décrivant la réalité vécue par l'écrivain. La suffisance niaise à la puissance dix ! Mise en pleurs par le voyou, Sandrine Rousseau n'a pu que répliquer avec sincérité : "Je ne peux pas entendre que j'ai un discours là-dessus. C'est l'histoire que j'ai vécue que je raconte !"
Quant à Christine Angot, elle a été égale à elle-même. Passons sur sa contestation du mot "écrivaine" qu'elle a déniché dans le livre. Elle préfère, pour une femme, qu'on emploie le mot "écrivain". C'est étrange pour la vaine "écriveuse" qu'elle est. Ensuite, elle a déliré sur une phrase qu'a osé prononcer S. Rousseau : "Former pour accueillir la parole. Cela n'existe pas… C'est comme ça ! Il faut se mettre cela dans la tête ! Je ne peux pas entendre cela ! …Je retourne dans ma loge." 😜…qu'on convoque le psychiatre séance tenante !
On a bien reconnu la repoussante Christine Angot de la campagne présidentielle qui avait violemment agressé François Fillon, au point de le rendre sympathique et de le faire remonter dans les sondages. Elle lui avait lancé, outrée… : "Vous ne vous êtes pas retiré. Vous êtes toujours là !». Un comble😄pour l'auteure du livre Le marché des amants (…tout un programme !), grand wizard français du Cucul Klan. Eric Naulleau a heureusement déposé le verdict : "Christine Angot est peut-être la plus grande imposture littéraire de ces cinquante dernières années en France." Et encore, dire cela, c'est faire révérence !
On la vire quand ? Si elle reste, plein de téléspectateurs déserteront ONPC.
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l'interview des Inrocks de Sandrine Rousseau après le débat.
Rédigé par : finch | 03 octobre 2017 à 17:06
@ sylvain | 03 octobre 2017 à 11:28
Quelquefois, comme vous mais en d'autres termes, je me dis qu'il existe des victimes coupables.
Venir à cette émission (enregistrée avant diffusion) pour des raisons mercantiles je dis : pourquoi pas, business is business, en sachant que vous allez être brocardé(e), raillé(e) par des chroniqueurs dont c'est la fonction, le codicille contractuel.
Mais du coup pleurer parce qu'on s'est fait, logiquement, brocarder, railler, comme prévu, devient de la manigance, voire du calcul.
Bref : de la télé ;)
Rédigé par : breizmabro | 03 octobre 2017 à 17:01
En ce qui concerne Mme Angot, il me semble que la qualification d'écrivain est exagérée. Ses écrits sont tellement vains qu'il vaudrait mieux envisager d'utiliser le vocable de romancier par charité. Quoique le terme de gribouille soit le plus approprié.
Mais par les temps qui courent, Mme Angot aura peut-être la vanité de postuler à un siège de l'Académie française, il y en a de vacants. Dans cette vénérable assemblée, les femmes sont bien moins nombreuses à siéger que les hommes. Si Mme Angot parvenait à faire valoir les exigences liées à la parité, elle pourrait créer la surprise ; scandale garanti.
Rédigé par : vamonos | 03 octobre 2017 à 16:45
Christine Pierrette Schwartz a pris un nom littéraire, et c'est son droit, celui de son père, Pierre Angot, qui les avait abandonnées elle et sa mère avant sa naissance, sans la reconnaître.
Son père ne la reconnaîtra que des années plus tard, il sera convaincu dès lors, et convaincra la femme qu'il avait abandonnée, que sa supériorité sociale lui permettait de s’affranchir de l’interdit fondamental.
La femme abandonnée, la mère de la petite Christine Schwartz, fermera les yeux sur les agissements de Pierre Angot dont elle reconnaîtra plus tard qu'elle avait succombé à sa supériorité intellectuelle.
Christine Schwartz ne se remettra jamais de l'attitude d'une mère qu'elle avait adorée pendant plus de dix ans.
Après... Christine Angot collaborera régulièrement à Télérama ou à Libé (entre autres).
Elle va finir dans une télé "pop" avec l'image d'une maltraitante.
"Nous ne sommes que le résultat de notre éducation" (version psy de ce que disait le philosophe Helvétius (1715))
Christine Schwartz, fille de Pierre Angot, en est devenue le 30 octobre 2017 la preuve vivante.
Rédigé par : breizmabro | 03 octobre 2017 à 16:30
@ sylvain
Bien, il y a encore des gens dans ce pays qui ont le courage de leurs opinions.
Ils sont tellement peu nombreux que je n'irais pas jusqu'à dire que tout n'est pas perdu mais ça fait plaisir de savoir que ça existe encore.
Un berger vaut mieux qu'un troupeau de moutons.
Rédigé par : Wil | 03 octobre 2017 à 15:36
@fugace
"La liberté d'expression est un bien trop précieux pour qu'on l'économise."
Malgré leur incapacité à communiquer et à s’unir, leur souffrance à toutes deux saute au visage, de même que leur colère de ne pas être entendues"
C'est, à mon avis, le contraire qui est vrai...
Dilapider ce qui est précieux est un signe, non ?
D'ailleurs, si plutôt que d'encombrer l'espace de liberté par des lapalissades, des trivialités et des imbécillités, quelques-uns faisaient l'effort de n'user de la liberté qu'à-propos, il se pourrait que le SENS nous apparaisse.
Il est évident, n'est-ce pas, que l'échange entre ces personnes est affligeant parce que vide, parce que rempli de comédie, de suffisance, et d'imposture, et qu'il aurait été heureux qu'en leur place se tiennent quelques personnes dont la pensée frappée au coin du bon sens et de l'honnête réflexion aurait eu l'avantage d'instruire les pourceaux qui se gavent du néant de l'être.
Mais voyez ce sylvain et sa réponse à Diogène, n'est-ce pas le nec plus ultra de la liberté donnée aux chiens et comme dirait Céline, peu "accort" : "l'amour c'est l'infini mis à la portée des caniches"...
Rédigé par : duvent | 03 octobre 2017 à 15:31
Décidément nous sommes bien dans ce monde de nantis... très sûrement de fainéants et d'hypocrites de ce milieu franchouillard des "QU'EST-CE QU'ON EST BIEN ENTRE NOUS".
Que de circonvolutions, de précautions, de politesses, d'adoucissements, pour nous dire et dénoncer des comportements, des attitudes, des propos et des actes d'anormaux jouisseurs... experts en prosélytisme de leurs petites vies contre-nature mais... qui tiennent le PAF dans leurs petites mains sales et leurs bouches putrides.
Et puis osons la question qu'aiment tant les Français : combien gagnent tous ces pourrisseurs ? qui plus est se gavent avec l'argent du service public des Français ?
Pourquoi les gens normaux ne fuient-ils pas ces plateaux nauséabonds ou alors y vont droit dans leurs convictions... et puis dénoncent et défoncent les faussaires bouffons et pontifiants ? Mais là manque un élément pas du tout dans l'air du temps... le courage.
Il est vrai qu'il se trouvera toujours une assoce et un magistrat de la justice française bringuebalante... pour lui la faire fermer, le punir et le taxer.
Oui décidément le France est un pays riche, où tout est permis pour certains mais... interdit au bons sens, au vrai travail et à la normalité.
Rédigé par : kacendre | 03 octobre 2017 à 15:19
"A quand C. Angot sur la chaîne YouTube de P. Bilger, pour une découverte en profondeur ?"
Rédigé par : fugace | 03 octobre 2017 à 14:21
Il y a des limites à ce que l'on peut demander à notre hôte de supporter et s'il s'avérait que PB a beaucoup péché, ce dont je doute, on peut imaginer Saint Pierre lui demander, avant de lui ouvrir les clés du paradis, de recevoir sur sa chaîne YouTube :
Christiane Taubira,
Francis Szpiner,
Christine Angot,
...liste non exhaustive mais déjà ces trois-là lui vaudraient assurément rémission de toutes ses fautes.
Rédigé par : sbriglia | 03 octobre 2017 à 15:08
"La liberté d'expression est un bien trop précieux pour qu'on l'économise."
"Malgré leur incapacité à communiquer et à s’unir, leur souffrance à toutes deux saute au visage, de même que leur colère de ne pas être entendues"
Extrait de http://cheekmagazine.fr/societe/christine-angot-sandrine-rousseau-viol-onpc/ par Myriam Levain, dont je partage les points de vues.
J'ai regardé cette émission entièrement après l'avoir de nombreuses fois fuie ces derniers mois. De temps en temps l'invité(e) politique seulement me retient pour tout ou partie de son intervention. Mais je sais et peux facilement interrompre mon apport à l'audimat.
Ceci étant C. Angot que je me suis imposé de connaître mieux, non pas comme écrivain, mais comme personne, par l'intermédiaire de cette émission, me conduit à penser qu'elle n'a pas tout faux. Il est vraisemblable que la manière dont elle s'y prend pour donner (voire imposer) ses idées sont d'une violence qu'un psy pourrait fort bien expliquer et justifier.
Et si l’écorché vif n’était que celui (ou celle) qui se laissait voir au-delà de son apparence ?
A quand C. Angot sur la chaîne YouTube de P. Bilger, pour une découverte en profondeur ?
Rédigé par : fugace | 03 octobre 2017 à 14:21
En effet, l'envahissement de la télévision par des émissions dont le moteur est l'humiliation publique est proprement insupportable. Il en dit long sur notre état moral.
Afin de remplir mon mandat attribué par personne, consistant à évoquer la Russie à n'importe quel propos, je soulignerai qu'il en va de même chez nos amis pou-pou, poutinistes. La télévision d'Etat (beaucoup plus contrôlée par le pouvoir que chez nous) y est farcie d'émissions où est invitée une victime, dont la mission est de s'en prendre plein la g... Sauf que là, c'est littéralement.
Non seulement la totalité des participants du "débat" se coalisent contre elle, non seulement un ou deux olibrius judicieusement choisis se mettent à lui hurler littéralement dessus, mais bien souvent, elle finit par se prendre des coups de poing sur le plateau.
L'autre différence étant que le prétexte le plus fréquent à l'humiliation publique n'est pas la sexualité, mais la politique et l'impéralisme de Moscou. Le bouc émissaire du jour est en général un "Ukrainien" ou un "Américain" -- ou des personnes censées défendre les intérêts de ces deux catégories d'Untermensch. Inutile de dire qu'il s'agit vraisemblablement de comparses, dûment rémunérés à cet effet.
Ce long détour n'est pas destiné uniquement à maintenir bien au chaud les électrons de chez M. et Mme Bilger, mais à souligner que ceux qui s'imaginent que la Russie-de-Poutine est le garant des "valeurs traditionnelles", des "valeurs familiales" ou des "valeurs chrétiennes", et que c'est elle qui nous sauvera de l'effondrement civilisationnel en cours, se fourrent le doigt dans l'oeil jusqu'à l'omoplate -- dans l'interprétation la plus charitable pour eux.
Nous ne devrons compter que sur nos propres forces ; c'est évidemment moins confortable que de compter sur un sauveur étranger.
Pour en revenir à nos énergumènes à nous, ce n'est un secret pour personne que les personnalités en vue surveillent de près les pages Wikipédia qui les concernent, voire interviennent dans leur rédaction. Je constate que ni la page Wikipédia de Christine Angot (pourtant fort longue), ni celle consacrée à son roman L'Inceste, ni même son site officiel, n'affirment que l'auteur a été victime d'inceste de la part de son père.
Il se trouve c'est sur cette allégation implicite, et scandaleuse, que Christine Angot s'est appuyée pour construire son personnage, vendre ses livres, acquérir un confortable statut social et justifier ses insolences. Je ne crois pas être le seul à avoir tenu pour acquis, jusqu'à présent, que Christine Angot a été violée par son père. Philippe Bilger a la même conviction, si je comprends bien. Désormais, je m'interroge.
Notons que la page anglaise de Wikipédia sur Christine Angot, elle, pose ouvertement la question : "Elle s'est fait connaître grâce à son roman L'Inceste, qui relate une relation incestueuse avec son père. Ce thème était déjà présent dans plusieurs de ses livres, mais on ignore s'il s'agit d'autofiction ou de faits réels."
Peut-être sommes-nous réellement en train de revivre les zeurléplusombres de notristouâr. Peut-être va-t-il falloir réellement écouter à nouveau la BBC pour apprendre ce qui se passe chez nous.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 03 octobre 2017 à 14:18
@Catherine JACOB - 3 octobre 9 h 38
Merci d'enseigner aux ignares de ce blog qui étaient Sade et Sacher-Masoch, mais comme institutrice j'avoue avoir une préférence pour Madame de Saint-Ange.
Rédigé par : Claggart | 03 octobre 2017 à 13:33
@ Savonarole, hier à 23:38
"Se mettre dans un état pareil devant une Bécassine du c.."
J'ai appris, en regardant La grande librairie (il y a bien deux semaines), une expression peut-être plus appropriée = "elle était gentille du corsage", prononcée avec un oeil coquin par Erik Orsenna. Mais voilà, cher Savonarole, tout le monde ne peut pas avoir des expressions académiques !
Rédigé par : Jean le Cauchois | 03 octobre 2017 à 13:29
"On ne m'enlèvera pas de l'idée qu'un monde médiatique qui facilite de telles dévastations et s'en repaît devrait être jugé avant de juger."
On ne m'enlèvera pas de l'idée que ceux qui regardent de telles dévastations et s'en repaissent devraient être jugés avant de juger.
Rédigé par : Clafoutis | 03 octobre 2017 à 12:28
@ Wil | 02 octobre 2017 à 20:38
"La société médiatique actuelle n'a qu'un but, détruire "l'homme".
Tous les jours on a sur toutes les chaînes de France un reportage ou je ne sais quoi pour dire combien l'"homme", le mâle, est une ordure.
Et bien, qu'ils viennent essayer de me détruire, moi le blanc hétéro macho sexiste raciste d'hyper droite fasciste homophobe chrétien islamophobe, je les attends, mais je les préviens qu'ils devront s'attendre à de cruelles désillusions.
Signé "le casque", comme en mêlée
Rédigé par : sylvain | 03 octobre 2017 à 12:00
@ sbriglia, jacobien ou jacobiste ? | 03 octobre 2017 à 09:55
« N'ai-je pas le droit, moi aussi, de jouer les Catherine Jacob ? »
Ne vous flattez pas ! Il manque l’essentiel, les images. Je veux dire les idéogrammes, sans lesquels le texte serait incompréhensible évidemment.
D’ailleurs je commence toujours par les lire, et après si les idéogrammes m’ont convaincu, je passe au texte syllabique.
Rédigé par : Tipaza | 03 octobre 2017 à 12:00