Lors d'une intervention à Champigny-sur-Marne à cause d'une rixe dans la soirée du 31 décembre, deux fonctionnaires de police - un homme et une femme - ont été gravement molestés et roués de coups par un groupe au sein duquel deux individus auraient été identifiés et placés en garde à vue (TF1).
A Aulnay-sous-Bois, le 1er janvier, deux policiers contrôlent le conducteur d'un scooter volé et l'un d'eux est frappé.
2018 commence comme 2017 n'a pas cessé de se gangrener : la police trop souvent attaquée avec malheureusement une présomption de culpabilité qui systématiquement pèse sur elle et le concours, pour tel ou tel motif, de telle ou telle personnalité, de tel artiste qui jugent d'une parfaite élégance de l'insulter par un tweet.
Sans oublier des sites d'information qui semblent plus détester les policiers que ceux qu'ils sont contraints d'interpeller.
Pour Champigny, le président de la République a dénoncé "un lynchage lâche".
Il y aurait "une vague d'indignations" après cette odieuse péripétie (Le Point).
Je crains, si nous ne restaurons pas les grands moyens légaux qui ont été supprimés au fil du temps par une gauche dogmatique - prête à tout pour contester l'enseignement d'un réel qui avait le front de ne pas correspondre à ses principes -, que nous soyons condamnés à perpétuité à ressasser, agression après agression, notre révolte puis notre impuissance, en espérant de l'autorité judiciaire la fermeté et la répression qui conviendraient, la culpabilité établie.
Ce serait déjà ne pas mesurer le gouffre qui sépare la police d'une partie politisée de la magistrature. Et par conséquent l'obstination de certains magistrats à incriminer la police... alors qu'ils ne seraient sans doute pas capables d'affronter les épreuves que ces policiers doivent surmonter et les défis que sans cesse ils ont à relever.
A partir du moment où le président de la République a construit sa fulgurante victoire et nourri ses huit premiers mois par le dépassement de la droite et de la gauche (puis heureusement par une influence prépondérante de la droite !), on peut se permettre de suggérer à Emmanuel Macron des avancées positives faciles à accomplir, parce qu'il s'agirait de bienfaisants retours en arrière. Le progrès, en effet, peut être derrière nous. Il y aurait un paradoxe à ce que le passé ait été plus corseté et vigoureux pour se protéger, alors que la situation l'exigeait moins, que le présent confronté à des réalités beaucoup plus habituellement périlleuses.
J'approuve le syndicat Alliance qui aspire au rétablissement des peines planchers. Je les ai toujours soutenues, contre le corporatisme judiciaire préférant son amour-propre à l'efficacité des lois, et la gauche qui a supprimé sans vergogne ce que Nicolas Sarkozy avait inspiré et qui était une arme pour la Justice et au bénéfice de la société. Il n'y avait pas tant à applaudir sous son quinquennat pour qu'on puisse ainsi se priver de sa très heureuse initiative législative. Et l'USM ose qualifier cette restauration nécessaire de "faux débat" !
Retournons encore plus en arrière.
Il convient également de faire revenir, du fond de l'opprobre où la gauche idéaliste l'avait fait tomber, la loi anti-casseurs. En effet, alors que la police est de plus en plus confrontée à des groupes violents et anonymes dans la concrétisation de leur haine, il n'est plus possible de se satisfaire d'une procédure qui ne parvient pas à individualiser les responsabilités. Avec l'extrême difficulté d'identifications rendues quasiment impossibles par un conglomérat massif et fuyant. Trop de transgresseurs échappent à la répression, protégés par les modalités d'une enquête qui devrait les accabler.
La loi anti-casseurs serait parfaitement adaptée à ces multitudes disparates, improvisées ou organisées, insaisissables grâce à leur nombre, animées par le seul objectif de "casser du flic", voire de tuer ces flics que le citoyen n'apprécie et ne remercie que lorsqu'il a besoin d'eux.
Pour que l'année 2018 ne soit pas seulement la continuation d'une autorité et d'une allure présidentielles mais la restauration ferme, persévérante et jamais honteuse d'une autorité de l'Etat, la police devra être au premier plan des préoccupations.
Dans un registre extra-ordinaire, l'état de droit s'est armé contre le terrorisme. Sur un plan ordinaire, il ne serait pas inutile de le renforcer notamment au bénéfice de la police et de sa sauvegarde.
Pour savoir si on peut la lyncher impunément ou si c'est un devoir et un honneur de la soutenir.
@ Mary Preud'homme | 06 janvier 2018 à 21:25
En ce cas, il suffirait de dire : j'ai un fils médecin, donc je sais poser un diagnostic médical.
Hé, ho, à d'autres hein !
Décidément, votre ignorance n'a d'égale que vous-même !
1° La statistique publique qui vous a été donnée sur les effectifs n'a pas pris en compte les élèves.
2° La statistique publique sur les effectifs a pris en compte les commissaires et officiers.
3° Wikipédia, je laisse ça aux atrophiés du bulbe !
4° D'ailleurs tout vous était indiqué dans mon intervention, y compris les sources officielles, Cours des comptes et Rapport du Sénat, comme quoi..
Nulle part, il n’est écrit que les francs-maçons pulleraient, mais que votre référence Alain Bauer en est un, et que de manière illégitime, immorale et par son réseau relationnel, du fait qu'il était conseiller de Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, parrain du fils de Manuel Valls qui lui-même est membre de ladite secte, il a été nommé par décret sur un poste de chercheur et cela sans aucune thèse de doctorat, pas une seule !
Le décret ne porte d'ailleurs aucun numéro, il est au nom du sieur, un décret rien qu'à lui tout seul.
- Décret du 25 mars 2009 portant nomination (enseignements supérieurs) - M. Bauer (Alain)
Journal Officiel du 29 mars 2009 :NOR: ESRH0904762D
Par décret du Président de la République en date du 25 mars 2009, M. Alain Bauer est nommé et titularisé en qualité de professeur du Conservatoire national des arts et métiers, à compter de la date de son installation, sur la chaire « criminologie appliquée ».
https://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?id=JORFTEXT000020446604
Rédigé par : Elusen | 08 janvier 2018 à 04:06
@Mary Preud'homme@Elusen | 06 janvier 2018 à 21:25
"Par ailleurs, sale temps pour la police de terrain, après Champigny, Aulnay-sous-Bois, de nouveau deux policiers sauvagement agressés à Argenteuil, tous fonctionnaires de sécurité publique, c'est-à-dire en tenue ou patrouillant en civil (BAC).
Ce qui doit vous réjouir !!"
De joie, notre Elusen va reprendre deux fois de la galette pour fêter ça !
Rédigé par : sylvain | 07 janvier 2018 à 08:30
@ Elusen
Dans vos chiffres censés englober tous les effectifs de la police et non les seuls personnels de terrain, vous avez juste oublié de citer les commissaires et hauts fonctionnaires - environ 1700 - c'est-à-dire le personnel du premier corps de la police nationale (conception et direction) dont mon propre fils et l'un de mes cousins font partie. C'est dire si je me tiens informée de longue date sur la question.
Alors cessez je vous prie de vous ridiculiser plus longtemps en nous récitant Wikipédia qui n'a toujours pas compris par exemple que les commissaires ne portaient plus de képis depuis une bonne trentaine d'années, mais des casquettes.
Au passage, revoyez aussi (à la baisse) vos chiffres sur les officiers de police qui sont totalement erronés (consultez plutôt les statistiques du SNOP ou de Synergie). Et notez enfin que les ADS et cadets ne sont pas fonctionnaires, mais auxiliaires de police en CDD et sans pouvoir réel.
Le paradoxe est justement que l'on ait réduit considérablement le nombre des commissaires et officiers (hautement formés) pour créer des postes d'ADS ignares à la pelle ! Une idée pondue sous le gouvernement Jospin pour faire allégeance aux gauchistes qui ne juraient que par une police à l'image des cités à problèmes. Au lieu de créer plus de postes de gardiens de la paix (recrutés par concours après le bac) et formés un an en école de police.
Quant aux francs-macs qui selon vous pulluleraient dans la police haut de gamme, je vous laisse à vos délires paranoïaques !
Par ailleurs, sale temps pour la police de terrain, après Champigny, Aulnay-sous-Bois, de nouveau deux policiers sauvagement agressés à Argenteuil, tous fonctionnaires de sécurité publique, c'est-à-dire en tenue ou patrouillant en civil (BAC).
Ce qui doit vous réjouir !!
Rédigé par : Mary Preud'homme | 06 janvier 2018 à 21:25
@ Mary Preud'homme | 05 janvier 2018 à 14:24
Je puis affirmer que c'est vous qui ne savez point lire, car je vous ai donné les effectives sur le terrain étant donné qu'aucune loi, aucun article de droit, ni du Code déontologique de la police, n'interdit à un policier d'être sur le terrain.
Ah, Alain Bauer, franc-maçon et pas franc du collier, ancien chef de sa secte, n'a aucun doctorat, juste un réseau relationnel, il a été nommé par décret de Nicolas Sarközy de Nagy-Bocsa, alors président de la République, sur un post de chercheur, sans avoir passé aucun concours, ni été auditionné par un collège de chercheurs universitaires.
Alors votre référence...
L'ignorance, c'est fou quand certaines en font un savoir.
Rédigé par : Elusen | 06 janvier 2018 à 18:19
@ hameau dans les nuages | 05 janvier 2018 à 13:46
Ô Ding Ding, le robot du village dans les nuages, aurais-je parlé des cités ?
Aurais-je parlé d’aménagement du territoire ?
Aurais-je parlé de mixité sociale ?
Ben non !
C’eût été tout de même étrange que de constater la vieillesse et ses facultés amoindries sur un blog.
Je ne finirai point avec le village dans les nuages, mais avec : ding, dang, dong, plus dansant.
https://www.youtube.com/watch?v=MlGvQL1FQfE
Rédigé par : Elusen | 05 janvier 2018 à 16:22
"Il me semble qu'il y a une grosse erreur de diagnostic... A moins que vous ne fassiez une projection !?"
Rédigé par : Mary Preud'homme | 05 janvier 2018 à 01:54
Bon.
Votre message du 04 janvier 2018 à 19:24
"Qualifiée d'infréquentable par un habitué (d'un certain âge) du blog, de sotte par un autre et à présent d'idiote, me voilà donc habillée pour l'hiver au retour d'un long périple où je n'ai rencontré que d'authentiques sympathisants de ma personne atypique."
Pas une demande de sympathie, ça ?
Et une autre louche :
"Il est vrai qu'entre-temps, renversée par une chauffarde ivre alors que je roulais en VTT, j'avais échappé à la mort grâce à un réflexe d'ex-parachutiste (coucou Trekker) avec saut par-dessus le guidon et roulé boulé pour éviter l'écrasement fatal... Mon casque n'ayant pas résisté, il m'en reste (peut-être) quelques séquelles ignorées !!"
Je me projette peut-être dans la mesure où je sais ce que c'est que souffrir, mais j'avais bien quelque raison de croire que vous désiriez des encouragements, non ?
Comme vous aimez la musique et ne détestez pas les images, j'en ai pris de fort belles pour vous, mais après tout, je ne vais pas être plus mélomane que les mélomanes !
Et selon vos désirs et en suivant votre comportement, je vous retire ma sympathie sans problème.
Rédigé par : Noblejoué | 05 janvier 2018 à 15:07
@ Elusen | 05 janvier 2018 à 09:18
J'ai parlé d'effectifs sur le terrain. Vous ne savez même pas lire un post correctement. Et pour ce qui est des chiffres, il me semble que j'ai été très optimiste à en juger par ce qu'écrit Alain Bauer etc.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 05 janvier 2018 à 14:24
@ Elusen
@ Tomas
Vous connaissez cette blague pied-noir : vous prenez une assiette à soupe, vous la remplissez d'eau et vous saupoudrez avec du poivre moulu. Puis vous humectez votre doigt avec du liquide vaisselle tout en déclarant "Je suis Jean-Marie" vous approchez votre doigt de la surface de l'eau... et vous en constatez l'effet.
Eh bien maintenant c'est l'effet inverse. A Toulouse il y avait le quartier du Mirail de sinistre réputation. Un quartier comme d'autres vu sa conformation comme étant à l'origine selon monsieur Collomb de la délinquance.
La municipalité a pris le taureau par les cornes et a reconstruit au milieu d'une zone pavillonnaire un nouveau quartier avec des immeubles flambant neuf. Ma fille y habitait et j'ai donc pu assister quartier Borderouge à l'érection d'un nombre impressionnant de grues autour de la station de métro.
Tout est dorénavant neuf, aux normes nouvelles... Cela n'a pas traîné... Les gens vont fuir...
https://www.ladepeche.fr/article/2018/01/03/2715121-a-borderouge-les-habitants-craignent-de-devenir-un-nouveau-mirail.html
Vous pratiquez la taqîya mais de moins en moins de gens sont dupes.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 05 janvier 2018 à 13:46
@ Mary Preud'homme | 04 janvier 2018 à 20:47
"Même si dans les commissariats ou les gendarmeries l'on se contrefiche du patronyme ou de la couleur de peau de tel ou tel au moment de comptabiliser le nombre des fonctionnaires ou militaires victimes de racailles contestataires de l'ordre et des lois républicaines (au minimum 15 000 par an, ce qui rapporté au personnel de terrain, environ 100 000 hommes et femmes, est énorme)."
Mis à part que bon nombre de plaintes de ces policiers sont des faux, uniquement pour augmenter leurs émoluments de fin de mois, ils s’en vantent assez fréquemment au sein de l’UNSA !
Vos 15 000, ce n’est pas le minimum, apparemment vous ne savez même pas lire la statistique publique !
Les derniers chiffres des années passées étant autour de 13 300 allant même jusqu'à parler d'une baisse ; vous avez augmenté le chiffre de 13%.
1 - Quant aux effectifs personne n’a l’air de le savoir !
Un rapport du Sénat sur la sécession de 2015-2016, N°164, pose même la question à savoir si quelqu’un le sait.
Le sénateur Philippe Dallier : Avez-vous une idée claire des effectifs réels ?
2 - Un rapport de la Cour des comptes de mars 2013 évalue en se basant sur des données peu fiables de 2011.
- Police : 101 655 gradés et gardiens + 11 809 officiers + 12 340 adjoints de sécurité =
125 804 temps plein
- Gendarmerie : 6 617 officiers + 72 200 sous-officiers + 14 053 gendarmes = 92 870 temps plein.
- Soit un total de : 251 608 temps plein.
Et non vos 100 000 !
Rédigé par : Elusen | 05 janvier 2018 à 09:18
@ sylvain | 04 janvier 2018 à 20:43
À l’origine, chrétien et crétin c'est le même mot, faut tout de même le rappeler !
http://www.cnrtl.fr/etymologie/cr%C3%A9tin
Rédigé par : Elusen | 05 janvier 2018 à 07:46
"J'ai cherché quelque chose de "réconfortant" pour vous" (Noblejoué/4 janvier 2018 à 21:37)
Il me semble qu'il y a une grosse erreur de diagnostic... A moins que vous ne fassiez une projection !?
Rédigé par : Mary Preud'homme | 05 janvier 2018 à 01:54
@ Mary Preud'homme
Ben il suffit de regarder Pascal Praud sur CNews ou d'en regarder le compte rendu sur le site Arrêt sur images, la page est malheureusement payante. Si vous voulez savoir comment s'est déroulée la soirée, vous pouvez aussi lire le Libération d'aujourd'hui (vous avez droit à quatre visites gratuites par semaine), pour comprendre qu'il s'agit d'un malheureux fait divers dont il serait abusif de tirer des conclusions hâtives sur la haine de la France des jeunes de banlieues, la prétendue invasion musulmane de notre pays et tout le reste.
@ sylvain
Moi aussi je suis "blanc, chrétien et hétéro" et même père de famille, mais je ne vois pas où est le mérite, franchement. Et pas de droite, non, vous l'aurez compris, de moins en moins même.
Pour autant, je ne suis pas du côté des lyncheurs ni des tabasseurs de policiers. Mais je ne supporte pas ces réactions imbéciles d'hommes politiques qui réagissent à chaud sans rien savoir, non plus que ces clameurs d'indignation vertueuse à chaque fois qu'un policier est victime de son devoir. Enfin bon je perds mon temps à vous répondre vu votre crasse obstination de bas du front, je vous laisse dans votre bauge intellectuelle. Vous n'êtes pas franc, vous êtes grossier et impoli, nuance, même si c'est votre droit le plus strict !
Rédigé par : Tomas | 05 janvier 2018 à 00:44
@ Mary Preud’homme
J'ai cherché quelque chose de réconfortant pour vous dans la musique, voyons quoi, si on vous repousse et que personne ne vous soutient ?
Finalement, Blanche Neige chassée par sa méchante belle-mère rencontre les gentils nains. Nous les voyons danser sur la parole, dans un des plus beaux passages de ce spectacle :
https://www.youtube.com/watch?v=AHXT8q69kWY
Rédigé par : Noblejoué | 04 janvier 2018 à 21:37
Alors que Mohamed, Mouloud et toute la smala la tabassent, Ali la sauve nous apprend Tomas sans rire ! Question à notre fufute du blog Bilger, comment donc se prénomme la policière lynchée, Véronique ou Fatima, sans oublier le nom de c'lui qui a filmé la scène pour se faire du blé et dans la foulée nous apprendre l'âge du capitaine de police au nez cassé ?
Sacré Tomas, toujours prêt à délirer ou inventer du moment qu'il s'agit de nier l'évidence ou se faire mousser ! Et le nom de l'homme qui vous a tout rapporté en exclusivité quel est-il siouplait ?
Même si dans les commissariats ou les gendarmeries l'on se contrefiche du patronyme ou de la couleur de peau de tel ou tel au moment de comptabiliser le nombre des fonctionnaires ou militaires victimes de racailles contestataires de l'ordre et des lois républicaines (au minimum 15 000 par an, ce qui rapporté au personnel de terrain, environ 100 000 hommes et femmes, est énorme).
A bon entendeur...
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 janvier 2018 à 20:47
@ Tomas | 04 janvier 2018 à 19:25
Bon on a bien compris, pas la peine de tergiverser 107 ans ni faire des ronds de jambe, ni tortiller du popotin, Tomas est du côté du lynchage de la police et non du soutien.
Que de palabres en vain, que de gaspillage de salive et d'encre d'imprimante pour tourner autour du pot en expliquant hypocritement qu'on est pour tout en étant contre ; des faux derches comme Tomas, y en a plein les gauchisseries de France de Navarre et de navarin d'agneau. Tomas est gauchislamiste anti-France anti-blanc anti-chrétien mais n'a pas le même courage comme moi quand je clame haut et fort avec fierté que je suis de droite ultra, blanc de souche, chrétien, hétéro etc. ; c'est la différence avec un faux cul et un mec franc direct comme moi.
Rédigé par : sylvain | 04 janvier 2018 à 20:43
@ Mary Preud'homme | 04 janvier 2018 à 19:24
Faut dire, si vous lisez autre chose que ce qui fut écrit, que vous allez même jusqu’à inventer ce qui aurait été écrit, il devient légitime de se poser la question quant à une éventuelle idiotie.
@ sylvain | 04 janvier 2018 à 15:34
Le raciste de base convaincu qu’en dehors de lui il n’y a aucune vérité, mais manque de chance pour lui, j’ai la plainte imprimée en ma possession, donc juridiquement inattaquable. Faut dire que de sa névrose obsessionnelle il n’a toujours pas réussi à caser : islam, gauche, hémorroïde et clafoutis !
Rédigé par : Elusen | 04 janvier 2018 à 20:09
@ hameau dans les nuages
J'avoue que non, je n'ai jamais fait dans la voyouserie. Mais l'affaire de Champigny est celle d'une fête ayant mal tourné car mal organisée, d'une intervention de police ayant échoué (les CRS ont balancé des lacrymos dans une salle de 700 personnes) avec une conclusion hélas prévisible quand on connaît l'intelligence des groupes d'adolescents.
Et celui qui a sauvé la policière s'appelle Ali, au passage.
Le traitement médiatique de ce fait divers rappelle plus celui de Russia Today qu'autre chose, en fait. On tire d'un fait divers des conclusions hâtives qui permettent de justifier ses opinions, c'est bien pratique !
Rédigé par : Tomas | 04 janvier 2018 à 19:25
Qualifiée d'infréquentable par un habitué (d'un certain âge) du blog, de sotte par un autre et à présent d'idiote, me voilà donc habillée pour l'hiver au retour d'un long périple où je n'ai rencontré que d'authentiques sympathisants de ma personne atypique.
Il est vrai qu'entre-temps, renversée par une chauffarde ivre alors que je roulais en VTT, j'avais échappé à la mort grâce à un réflexe d'ex-parachutiste (coucou Trekker) avec saut par-dessus le guidon et roulé boulé pour éviter l'écrasement fatal... Mon casque n'ayant pas résisté, il m'en reste (peut-être) quelques séquelles ignorées !!
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 janvier 2018 à 19:24
@ caroff | 04 janvier 2018 à 00:14
D'après les dernières informations diffusées, il semblerait que l'attaque des policiers ait été perpétrée par des personnes qui se sont vu refuser l'entrée à un réveillon africain, et non kabyle. On conviendra que cela ne change guère le diagnostic, mais que bien au contraire cela le confirme...
Je ne suis pas à l'origine de la première information, qui a été diffusée par divers blogs "nauséabonds". J'ai pris la précaution d'écrire "apparemment" parce que je n'avais pas en mains la vérification certaine, mais si j'ai répercuté cette allégation c'est que bien des éléments correspondaient : même date, même commune, même rue, et jusqu'au nom de la salle (Espace Lincoln), qui est bien celui qu'on voit sur les photos diffusées par "les médias du système".
Cependant, Le Monde a, depuis, indiqué que l'affiche de la fameuse "fête" promettait non pas des chanteurs kabyles, mais "une ambiance hip hop / dance hall / zouk / afrobeat / bouyon".
Tandis que L'Express parle maintenant d'une "soirée 'Faceblack' ", organisée par L'Arche de l'Alliance, "à l'origine, une église évangélique basée à Kinshasa (RD Congo) qui défend une lecture différente de la Bible". Voilà qui se précise...
Et L'Express donne même le numéro de la rue : 11, rue Benoît Frachon.
Il est donc probable qu'il y ait eu deux réveillons "ethniques" organisés l'un à côté de l'autre, dont l'un, l'africain, a suscité la tentative de meurtre des policiers. Il suffirait de vérifier sur Google Street, ce que n'importe qui peut faire.
On notera l'énorme hypocrisie de L'Express, qui, bien qu'il lâche le morceau sur les détails "nauséabonds" que les autorités ont cherché à cacher dans un premier temps, s'empresse de se raccrocher aux branches en précisant que "les invités de toutes les origines étaient admis" dans cette "soirée Faceblack", qui, "malgré son nom, n'était pas discriminatoire concernant l'origine ethnique des hôtes".
On respire : vu que théoriquement, des notaires du XVIe arrondissement de Paris s'appellant de La Tour du Pin auraient pu se rendre à cette soirée, ce n'est pas si grave si des hordes de Noirs déchaînés, issus de l'immigration, ont tenté de tuer à coups de pied et de barres de fer deux policiers français, dont une femme jetée à terre.
Je vous conseille d'écouter intégralement la relation des faits par ce témoin (non noir, mais sans doute issu de l'immigration néanmoins) : écoutez bien la façon dont il commence par, apparemment, déplorer l'agression, pour finir par l'excuser, puisque des policiers sont intervenus pour rétablir l'ordre.
En somme, si l'on suit la logique de ce "monsieur", il faudrait que nous laissions les "immigrés" s'entretuer et laisser libre cours à leurs envies de destruction et de violence, faute de quoi ils seraient "bien obligés" de se retourner contre la police.
L'éternelle logique tribale et anti-occidentale qui prévaut au sein de l'immigration, et qui est parfaitement incompatible avec notre civilisation.
(Je précise que je n'ai pas regardé les vidéos de l'attaque, et que je n'ai pas l'intention de le faire. Si des lecteurs y ont discerné l'absence complète de personne à la peau noire, et au contraire des détails distinctifs suggérant que nous avons affaire à des royalistes français depuis douze générations, ils sont aimablement invités à le faire savoir.)
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 janvier 2018 à 18:56
@ Mary Preud'homme | 04 janvier 2018 à 14:48
Le gugusse, ai-je écrit, m’a frappé et a transformé sa ceinture en arme. Il y a donc violence volontaire avec arme à mon endroit, avec coups et blessures sur ma personne, constatés tant par l’incompétente police de France, que par le médecin de l’unité médico-judiciaire.
Sans compter que nulle part, il n’est écrit que l’agresseur aurait été filmé.
Comme quoi, vous avez perdu une occasion de vous taire.
N’est pas idiote qui veut... heuuu, apparemment si !
Rédigé par : Elusen | 04 janvier 2018 à 17:36
Je suis resté plié en douze à la lecture du message d'Elusen 04 janvier 2018 à 03:42 ; j'en ai lu des c... mais là il bat des records.
k.verne est tombé dans le panneau, Savonarole a eu la réponse la plus originale à son bobard.
Rédigé par : sylvain | 04 janvier 2018 à 15:34
@ Elusen | 04 janvier 2018 à 03:42
Je serais curieuse de connaître le nom de ce commissariat qui a du temps à perdre avec des matamores tels que vous ?
A vous lire, vous n'étiez pas victime mais témoin et vous vous substituez à la dame soi-disant agressée et sommez les agents, toutes affaires cessantes - on imagine en quels termes - de se transporter sur le lieu de l'agression présumée, non sans avoir rapporté vos hauts faits.
C'est du "Robot" des bois revisité votre histoire, avec Germaine en Marianne. Ou quand Marie-Pervenche au masculin mène l'enquête, on peut s'attendre à toutes les invraisemblances et fanfaronnades. Trop de feuilletons télé nuisent au simple bon sens, on ne le dira jamais assez et lorsque le gauchisme post-soixante-huitard s'en mêle, cela tourne au délire paranoïaque comme ici !
A noter que le shérif du coin a (semble-t-il) fait preuve de patience avec un "client" tel que vous. J'en connais au moins deux (commissaires et fins juristes dont un ex-magistrat) qui vous auraient viré bien avant !
Imaginez le même individu se présentant aux urgences d'un hôpital et exigeant qu'une personne qu'il vient d'assister pour une raison quelconque (avec enregistrement, vidéo, codex, dictionnaire médical et serment d'Hippocrate à l'appui) soit opérée sur-le-champ ?
Quant à l'agresseur présumé qui s'est laissé arracher son bonnet et filmer sans moufter (quel sketch !) c'était finalement un tout petit joueur face à un gaillard comme vous !!
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 janvier 2018 à 14:48
@ Elusen | 04 janvier 2018 à 03:42
Pour une fois vous m'êtes sympathique.
Rédigé par : k.verne | 04 janvier 2018 à 12:45
@ Elusen | 04 janvier 2018 à 03:42
Je suis déçu, je vous voyais plutôt égorger le bonhomme en hurlant Allah est grand !
Rédigé par : Savonarole | 04 janvier 2018 à 10:09
@ Tomas | 04 janvier 2018 à 00:03
Ah les mécanismes mentaux de ces djeuns, vous les connaissez bien à n'en point douter ! Ce sont même des gens comme vous qui détiennent la clef pour les remonter comme des coucous. Ce n'est pas pour rien que La France Insoumise et les cocos ayant perdu l'électorat populaire se rabattent sur le vivier migratoire.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 04 janvier 2018 à 10:04
@ Exilé 03 janvier 20:12
D'accord avec vous sur cette constatation.
Rédigé par : Jabiru | 04 janvier 2018 à 09:10
À quoi sert l’actuelle police ?
Commencez d’abord par y répondre !
Leurs compétences si pathétiques, aïe, aïe, aïe !
Alors que je rentrais chez moi, j’entends courir derrière moi. Le bruit s’arrête et j’entends comme si l’on m’interpellait : « aidez-moi s’il vous plaît ».
Je me retourne et je vois un type qui a attrapé une femme, il cherche à la jeter à terre.
La femme avec des larmes aux yeux me regarde et dit : « aidez-moi, je ne sais pas qui est ce type, il me veut du mal ».
J’interviens en criant une phrase très comme sur le coup de la surprise : « mais qu’est-ce que vous faites, lâchez immédiatement cette femme ! ».
Je fonce sur le type et me mets de force entre lui et la dame, je le repousse et dit à la dame : « allez-y, partez ! ». Le type veut à tout prix rattraper cette femme et je l’empêche, puis il décide de m'attaquer, alors je lui rends le coup ayant eu la pratique de la self-défense.
Le type s’arrête, surpris que je rende les coups et que cela lui face mal, alors il se met à regarder par terre, il cherche quelque chose, je ne sais pas quoi, puis il retire sa ceinture et la transforme en arme pour me battre avec, je me mets à lui attaquer les arcades sourcilières, me disant que s'il saigne, cela va l’inquiéter et il va arrêter ; cela marche.
Je comprends à ce moment qu’en fait il cherchait un objet par terre pour me battre avec, comme il a transformé sa ceinture en arme, je suis rassuré, car cela signifie qu’il n’en a aucune sur lui.
Alors, je lui arrache son bonnet, il beugle : « rends-moi mon bonnet » ce à quoi je lui réponds : « non ! tant que je n’arrive pas à bien identifier votre visage ». Je lui jette son bonnet par terre, il le ramasse et se casse.
Avec la dame, préalablement agressée, nous nous rendons immédiatement au commissariat de police qui a tout simplement refusé de prendre la plainte. Il s’agissait apparemment sur cette dame d’une tentative de viol, mais les flics s’en tamponnent, ils refusent même de venir dans la rue qui est à quelques mètres du commissariat pour au moins contrôler le type.
Ils finissent par devenir menaçants, injurieux pour que l’on parte. Nous nous en allons, mais je reviens deux heures après avec le Code de procédure pénale et l’article 15-3 qui interdit à la police de refuser les plaintes.
Ils m’ont fait attendre plus de six heures sur un banc avant de prendre la plainte.
Pendant la déposition, la policière a refusé de noter que six heures auparavant ses collègues avaient refusé d’intervenir et de prendre la plainte, je hausse le ton en lui disant que c’est une atteinte à une liberté individuelle faite par une personne dépositaire de l’autorité publique et que c’est passible de sept ans de prison.
Je l’informe que j’enregistre depuis le début, j’y vais au culot en lui disant que contrairement à la légende l’article 226-1 du Code pénal n’interdit pas d’enregistrer, mais interdit de faire une atteinte à l’intimité de la vie privée et qu’il n’y a rien d’intime entre elle et moi, j’ajoute que les articles 122-5 et 122-7 du même Code m’autorisent à le faire par la notion de légitime défense à juste proportion, me permettant d’établir la preuve d’un délit commis par elle.
Elle finit par mettre dans la plainte que je suis venu six heures auparavant et que ses collègues ont refusé la plainte et nous ont chassés.
L’agresseur et les poulets, les cocottes, les dindons, ont-ils eu un problème ?
Pas un seul !
Rédigé par : Elusen | 04 janvier 2018 à 03:42
Cher Philippe,
Oh ! Sainte Mère, fallait-il plus se magner pour offrir sur un plateau, réponse plus prompte. Nulle poterie ni sot démon dans nos dires. Trop de B.P. dans le sablon de la crypte. Tous les canards enchaînés se sont envolés à la Saint Martin.
Nous ne connaissons qu'un Philippe, n'en prenez pas ombrage. Bonne soirée.
françoise et karell Semtob
Rédigé par : semtob | 04 janvier 2018 à 00:37
@ Claude Luçon | 03 janvier 2018 à 15:56
"...travailler à nettoyer des véhicules au cœur du Sahara, et y vivre, vous apprend que sécurité va de pair avec solidarité. Pas d'armes, un seau d'eau comme fusil, une brosse comme grenade et un Kärcher contre mitrailleuse. "
Problème que vous sous-estimez, cela demandera au minimum un sous-officier ou caporal-chef pour encadrer chacun de ces délinquants : surveiller la bonne exécution de ces travaux, éviter des dépradations sur le matériel, et des fugues-désertions !…
Quand on sait que nos effectifs militaires sur le terrain sont fort contraints, et que de plus des gardiens de prison coûtent moins cher que des militaires en OPEX...
Mais peut-être avez-vous dans vos relations quelques mécènes millionnaires, qui se feraient un plaisir de financer une telle opération ?
Rédigé par : Trekker | 04 janvier 2018 à 00:15
@ Robert Marchenoir
"Des Algériens (ou originaires d'Algérie) sèment donc le désordre et la destruction parmi les leurs, avant que certaines personnes, non identifiées pour le moment, tentent de tuer des policiers français lors de la même émeute -- et tout cela se passe rue Benoît Frachon, chef communiste bien connu avant et après la Seconde Guerre mondiale. Donc, l'un des responsables de la création de la prison socialiste nommée France aujourd'hui."
Ce n'est pas une information diffusée dans les médias autorisés, mais elle est diablement intéressante !
C'est vous le véritable "Décodex" !!
Merci donc !
Rédigé par : caroff | 04 janvier 2018 à 00:14
@ louis-ferdinand
Vous perdriez votre temps de toutes façon. Mais allez-y, faites-vous plaisir, si ça vous soulage, vous ferez un pas vers la compréhension des mécanismes mentaux des petits voyous de banlieue !
Quant à notre camarade béarnais, il sait parfaitement ce que je pense de tout ça ! Pas mal le clip des Brigandes de l'autre jour, il y a des perles dans le répertoire de ces troubadours des temps modernes !!
Rédigé par : Tomas | 04 janvier 2018 à 00:03
@ semtob | 03 janvier 2018 à 20:49
Je veux bien interpréter que votre précision constitue une réponse négative indirecte sur le questionnement qui me venait, la jeune femme NKM n'étant pas cette ancienne 2e adjointe littorale puis 1e adjointe et finalement trahie.
Vous pensez que c'est plus élégant de vous adresser à M. Bilger en me condamnant à ramasser la réponse que vous laissez tomber au sol : alors ne jouez plus les parangons de vertu urbaine, du moins trouvez de meilleures occasions car pour ce coup du mépris vous introduisez une offense que je n'avais nullement méritée. Ou alors faites apparaître explicitement au pied de vos homélies un avertissement comme : "Nous ne répondons pas aux interpellations de qui ne nous a pas été présenté".
Rédigé par : infra-rouge | 03 janvier 2018 à 22:36
Cher Philippe,
En précision de notre commentaire sur votre billet, toute ressemblance avec une autre affaire n'est pas le sujet.
Il s'agissait de l'évocation de l'agression inadmissible de Nathalie Kosciusko-Morizet dont les conséquences pour la personne victime et pour d'autres femmes politiques n'ont pas été assez mesurées à leur degré de gravité par certains magistrats.
françoise et karell Semtob
Rédigé par : semtob | 03 janvier 2018 à 20:49
@ Jabiru
"C'est à l’État de prendre toutes mesures pour éradiquer ces bandes violentes qui ont la haine de la police."
Certes, certes...
Mais le mal est beaucoup plus profond que ces épiphénomènes de bandes, et puisque vous reprenez l'image de l'iceberg, c'est toute une population qui, sans nécessairement passer tous les jours à l'acte, hait non seulement la seule police mais la France dans son ensemble, cette haine étant d'ailleurs parfois hélas entretenue par certains enseignants félons dans des écoles financées par le contribuable.
Rédigé par : Exilé | 03 janvier 2018 à 20:12
@ Exilé | 03 janvier 2018 à 10:27
Ce véhicule n'est pas mal non plus
https://www.youtube.com/watch?v=_S3fgFG3HAg
Rédigé par : Philippe Dubois | 03 janvier 2018 à 19:27
@ Savonarole | 03 janvier 2018 à 00:03
Je vous remercie de tenir à ma place mon journal de campagne. J'avais pour ma part oublié cet épisode.
On remarquera une fois de plus qu'à Champigny-sur-Marne, les médias (informés par la police) ont omis dès le début l'information la plus importante. On nous a parlé de "soirée privée" (un peu comme si Chanel organisait une sauterie au Crillon), de fête "dans un hangar" (qui donc organise des fêtes dans un hangar ?), d'événement "non déclaré en préfecture" (l'étatisme reprenant très vite ses droits : organiser un truc en France sans prévenir les fonctionnaires, vous n'y pensez pas !)... tout, sauf l'information essentielle qui n'a filtré que dans un second temps : il s'agissait apparemment d'un réveillon kabyle, d'un événement commercial avec entrée payante (donc, pas du tout privé, si ce n'est qu'il était réservé, de fait, à une communauté ethnique).
http://www.parisetudiant.com/etudiant/sortie/reveillon-kabyle-a-champigny-2018.html
Imagine-t-on les historiens nous parler d'un épisode des guerres de religion, sans mentionner si ce sont les protestants ou les catholiques qui ont flanqué la pâtée à l'autre bord ? Imagine-t-on un chroniqueur de la guerre de Crimée (l'autre...) nous relater une offensive sans préciser si elle fut le fait des Russes ou des Français ? Non, bien sûr !
En revanche, quand il s'agit d'exactions commises par des malfaiteurs issus de l'immigration, là, soudain, on nous tire le tapis sous les pieds, et l'élément explicatif essentiel est escamoté.
Des Algériens (ou originaires d'Algérie) sèment donc le désordre et la destruction parmi les leurs, avant que certaines personnes, non identifiées pour le moment, tentent de tuer des policiers français lors de la même émeute -- et tout cela se passe rue Benoît Frachon, chef communiste bien connu avant et après la Seconde Guerre mondiale. Donc, l'un des responsables de la création de la prison socialiste nommée France aujourd'hui.
Voilà quelques-uns des éléments essentiels à la compréhension de cet événement...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 03 janvier 2018 à 19:20
@ hameau dans les nuages | 03 janvier 2018 à 10:05
Vous avez de la chance de pouvoir dire à Tomas ce que vous pensez.
En ce qui me concerne il m'est interdit par madame "le censeur" de dire "pov mec" à ce misérable personnage.
Rédigé par : louis-ferdinand | 03 janvier 2018 à 19:16
@ Savonarole | 03 janvier 2018 à 00:03
JDR, celui qui a fait pschitt après les présidentielles ! Sans doute dépité de ne pas avoir eu droit à un petit poste auprès de son idole tant célébrée Macron !
Alors que c'est plutôt un honneur de ne pas figurer parmi les toutous du président.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 03 janvier 2018 à 17:17
Bonjour Philippe,
On soutient... par la corde avec laquelle on les a pendus.
La France quoi.
Rédigé par : Jérôme | 03 janvier 2018 à 16:30
Quand un colonel, sur ce blog, peut préconiser la torture de suspects, comment s'étonner qu'on lynche ?
La torture, le lynchage sont vite arrivés, il faut bien de la responsabilité pour les éviter.
Un colonel, qui n'est pas à la guerre, pas secoué par les circonstances, pas dans un groupe, un chef, ce qui individualise, qui nous parle à tête reposée... pas un individu lambda dans un groupe furieux... fait l'apologie de la torture.
Dans ce climat d'irresponsabilité, qu'attendons-nous donc de bandes de jeunes mal intégrés, alors ?
Or je gage que dans le feu de l'action, les meilleurs pourraient lyncher - une raison pour avoir quelque réticence à entrer dans un groupe, et si on doit y être, y être, si j'ose dire, sans y être, avec un écart mental.
Il ne semble pas en plus qu'on ait eu affaire à des "meilleurs" dans le cas du lynchage commis sur la police.
Torture, lynchage : deux inacceptables.
Est-il pire de faire des horreurs avec "l'excuse" d'être entraîné par une dynamique de groupe, ou de le préconiser avec "l'excuse" de ne pas les faire, en laissant le soin à d'autres ?
A mon avis, cela se vaut, moralement.
Alors pourquoi ne pas vouloir interdire certains propos ?
Dans l'intérêt supérieur de la liberté.
Et parce que entre le propos et l'acte, il peut s'interposer d'autres propos, d'autres influences, c'est la dynamique du TEMPS.
De sorte que deux actes peuvent être aussi mauvais en morale mais qu'on interdise l'un, le lynchage, et pas l'autre, les propos inclinant à la torture - ce pourrait être au lynchage ou à d'autres choses semblables.
Deux choses sont aussi mauvaises en éthique, mais leur conséquence est différente : certaine dans le cas de l'action, incertaine dans le cas de l'incitation.
C'est pourquoi on doit toujours réprimer le certain, tandis que l'incertain est moins sûr - disons que pour moi, la liberté d'expression prime.
On ne s'en sortira pas en mélangeant tout, je crois : politique répressive, indignation morale et amour de la police.
Je veux dire que ces trois éléments peuvent se nuire entre eux et qu'il faut peut-être en tenir compte.
Morale.
Il y a des choses toujours inacceptables, sur quiconque, lynchage et torture. Il ne faut les tolérer de personne sur personne.
Comment expliquer qu'il ne faut pas transgresser en commençant à dire qu'en fait il y a des cas plus graves - contre la police - et moins graves - les autres ?
Désolé, si on veut établir un absolu, on s'y prend mal.
Autre chose, si nous, nous avons le goût de la police, une préférence pour les policiers, chez certaines populations, c'est l'inverse.
Alors en croyant aider la police, nous allons contre elle en semblant préférer ce que d'autres, au contraire, détestent.
Amour de la police.
Je ne vais pas examiner pourquoi, allons à plus important : aider la police. Oui, comment la soutenir ?
Il n'y a pas de miracle, avec des moyens... Et culturellement : il faudrait qu'on cesse de mépriser, de manière diffuse, la police. Si même ici, chez des gens en général bien intégrés et souvent conservateurs, on peut lire que le niveau de la police, bof, comment croire que cela ne légitime pas chez de moins intégrés une détestation antérieure de la police ?
Si je suis pour la liberté d'expression, cela ne veut pas dire que je pense que les mots n'ont aucune conséquence, loin de là...
Sur ce blog, nous sommes plus libres qu'ailleurs.
La liberté est mère de responsabilité, soyons responsables.
Pour la politique répressive, je n'ai pas étudié les peines planchers, alors je passe mon tour.
Rédigé par : Noblejoué | 03 janvier 2018 à 16:18
@ Trekker | 03 janvier 2018 à 00:33
Je ne veux pas faire des soldats de nos délinquants, c'est pourquoi j'ai appelé ma suggestion "mobilisation pénale", travailler à nettoyer des véhicules au cœur du Sahara, et y vivre, vous apprend que sécurité va de pair avec solidarité. Pas d'armes, un seau d'eau comme fusil, une brosse comme grenade et un Kärcher contre mitrailleuse.
Un compromis entre les Bat' d'Af' et ce que faisait un millionnaire afro-américain de Chicago qui envoyait à ses frais les jeunes afro-américains délinquants faire un séjour dans un village perdu en brousse au Kenya.
En ajoutant le fait que nous n'avons plus de place dans les prisons.
Rédigé par : Claude Luçon | 03 janvier 2018 à 15:56
Meilleurs vœux à Monsieur et Madame Bilger, ainsi qu'à tous les lecteurs de ce blog.
Le Premier ministre a écarté le retour des peines planchers.
L'année commence bien mal pour la France. Dommage.
Rédigé par : Florence | 03 janvier 2018 à 15:40
@ Savonarole
La "division blindée Marchenoir" n'est qu'un tigre de papier.
Rédigé par : Paul Duret | 03 janvier 2018 à 15:18
On médit de ces petits jeunes, ils ont de la culture, ils connaissent Sacha Guitry : « Mon père disait : "Certes, on ne frappe pas un homme à terre. Mais alors, quand ?" ».
Pour le reste, l'ordre juste a une valeur en soi. Protéger les innocents, punir les méchants, n'a besoin d'aucune autre justification que l'amour de la Justice.
Est-ce que nos dirigeants ont au cœur la Justice ? Cette justice simple et de bon sens, qui laisse aux individus leur responsabilité, cette justice de juge de paix ? Bien sûr que non.
Ils ont une notion abstraite de la justice collective qui ne peut que créer l'injustice réelle pour les individus.
Quand on pense de travers, ce qui devrait être clair pour tous se brouille et les problèmes les plus simples deviennent insolubles.
Rédigé par : Franck Boizard | 03 janvier 2018 à 13:53
Ce matin sur France Inter, une déclaration martiale de notre Premier ministre Edouard Philippe. Il nous annonce que les auteurs des faits évoqués par notre hôte seront sévèrement sanctionnés, mais en même temps se refuse à rétablir les peines planchers : angélisme ou duplicité politicienne ?
@ Savonarole | 03 janvier 2018 à 00:03
"Qui se souvient de Jean-Dominique Reffait sur ce blog ?Il nous avait daubés avec son patelin de Champigny-sur-Marne, sa biodiversité ethnique, son vivre ensemble, l'intégration heureuse, United Colors of Benetton"
Dans son temple du G.O., il doit être trop occupé à ressasser ses planches traitant du vivre ensemble dans sa paisible ville de Champigny-sur-Marne. En autre celle des multiples violences policières auxquelles sont confrontés les d’jeunes de sa ville. Ils sont immédiatement stigmatisés pour avoir tendu une main secourable, certes un peu virile, à deux policiers dont une se roulait volontairement à terre
JDR quand allez-vous de nouveau ici faire souffler l’esprit du Grand architecte, afin de contrer toute la fachosphère qui y sévit impunément ?
Rédigé par : Trekker | 03 janvier 2018 à 13:43
@ Exilé 02 janvier 2018 19:46
Je respecte vos propos sur le Front National, par contre je ne pense pas que ce parti soit en mesure de régler les problèmes actuels.
Les événements violents de ce début d'année ne sont malheureusement que la partie émergée de l'iceberg ainsi que ces zones de non droit dans lesquelles les policiers ne pénètrent que la peur au ventre comme le souligne très clairement le journaliste Bruno Dive dans son édito du jour.
C'est à l'Etat de prendre toutes mesures pour éradiquer ces bandes violentes qui ont la haine de la police. Et c'est bien sûr au président de la République de lancer vigoureusement les opérations destinées à ce que force reste à la loi. Et c'est aux résultats qu'il sera jugé.
Rédigé par : Jabiru | 03 janvier 2018 à 13:17
Je tiens, Monsieur Bilger, à vous féliciter pour votre intervention ce matin dans le débat de Radio Classique entre 9 heures et 9 heures 30. J'en ai partagé le moindre mot. Je vous remercie d'avoir eu le courage intellectuel d'aller à contre-courant de la doxa actuelle.
Il est évident que votre proposition de rétablir, non seulement les peines-planchers, mais surtout la loi anti-casseurs, reste particulièrement iconoclaste, singulièrement dans la magistrature. On trouvera toujours des âmes charitables pour considérer que les dispositions d'une loi de cette nature contreviendront aux principes législatifs européens et donc, à moins d'une situation gravissime peut-être à l'occasion de la libération à haut risque de Notre-Dame-des-Landes, votre proposition a peu de chance de revoir le jour ! Encore que ! L'on a bien vu renaître l'état d'urgence sous l'ère Hollande. Alors, espérons...
Rédigé par : Robert | 03 janvier 2018 à 11:43
Dans les facs et aux alentours, sur les murs, dans les endroits visibles, des dessins enjoignent aux passants de : "Ne pas parler à ces voisins". Les voisins sont des policiers schématisés avec des matraques, des groins de porc, des casquettes fascistes.
Ainsi font, font, font les petites marionnettes gauchistes qui se défoulent en distillant de la haine avant d'aller se sustenter au restaurant du CROUS.
Ainsi font, font, font les petites marionnettes gauchistes avant d'aller dormir dans leur chambre de résidence universitaire.
Rédigé par : vamonos | 03 janvier 2018 à 11:34
Le délit de contrôle au faciès est interdit, pourtant il donne de super résultats. Comme dirait Zemmour et la majorité de l'opinion publique dont moi-même, il est prouvé, chiffré, avéré que toutes ces bandes ont une caractéristique commune : les mêmes faciès. Parcourez les vidéos d'émeutes, de caillassages, de tabassages de flics, de pompiers, d'agents de l'Etat, on se rend bien compte que ce ne sont ni des Viets ni des Incas ni des Inuits ; et comme les prisons sont pleines de ces faciès, on peut en déduire qu'il est urgent de rétablir la présomption de culpabilité et leur supprimer le droit à la présomption d'innocence qui ne fait qu'aggraver la criminalité générée par ces individus aux mêmes faciès.
Les bisounours gauchistes intellos bobos et leur culture humaniste de l'excuse du crime ont beaucoup de sang sur les mains, pendre ces cancrelats par les pieds jusqu'à ce que leur cervelle putréfiée s'échappe par les narines et les oreilles serait une bonne avancée pour une vraie justice et dépolluerait le climat social.
Allez-y chers flics, ne perdez pas votre temps aux carrefours à emm... des pauvres papys souchiens blancs qui vont jouer à la belote, leur faciès ne représente aucun danger.
Rédigé par : sylvain | 03 janvier 2018 à 10:49
@ Paul Duret
On ne se présente pas à deux face à une centaine de gars éméchés.
Ensuite, je m'étonne qu'ils n'aient pas essayé de se dégager. Ils n'ont pas de Flash-Ball ou de Taser ?
Et pour commencer, il est des endroits de ce qui fut jadis la France où l'on ne doit pas s'aventurer en voiturette familiale même sérigraphiée.
Voilà ce qui convient un peu mieux (pardon pour la réclame) :
http://www.lencoarmor.com/
Ceci dit, il est des pays comme justement les États-Unis d'Amérique où dans un cas similaire à celui de Champigny la police aurait immédiatement tiré de façon réflexe.
Rédigé par : Exilé | 03 janvier 2018 à 10:27