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10 mars 2018

Commentaires

Béatrice Portinaro

@ Noblejoué

Je parlais du commentaire de Gladereau pour la concision et la précision.
Je vous souhaite de bonnes fêtes de Pâques !

Noblejoué

@ Béatrice Portinaro
"Peut-être que Monsieur Patrice Charoulet pourrait vous aider à vous concentrer sur ce que vous voulez dire... Les questions existentielles relatives à votre rapport au blog peuvent se résoudre avec un écoutant à votre disposition.
Exemple : j'avais écrit à Gladereau suite à son commentaire concernant son camarade Arnaud Beltrame : "je crois savoir d'où vous écrivez". Une autre personne a cru qu'il était un sous-fifre de ces rouges de Marchais. Il a donc été tenu de se justifier comme faisant partie du corps d'armée (gendarmerie) de Monsieur Beltrame.
Est-ce que cela vous donne une idée du peu de cas que vous et d'autres faites de commentaires précis et concis ?"

Je n'ai pas de question existentielles sur ce blog. Je ne vous confonds pas avec Patrice Charoulet, mais vous avez tous deux une façon, certes différente, mais une façon de juger les autres commentateurs qui ne me plaît pas.

"Est-ce que cela vous donne une idée du peu de cas que vous et d'autres faites de commentaires précis et concis ? Je comprends que vous êtes une personne généreuse qui ne demande qu'à s'ouvrir (sauf avec les handicapés qui...) cela vous parle-t-il ?"

Encore un jugement avec le "précis et concis". Je vais où la muse me mène, que cela ait l'heur de vous plaire ou non, que ce soit "précis et concis" ou pas selon vos critères.
Je n'ai pas prétendu être ou non quelqu'un de généreux, quant à la question des handicapés, je ne sais pas ce que vous avez en tête, alors là, c'est peut-être concis mais pas précis. D'ailleurs faites-vous jamais ce que vous demandez aux autres, type "précis et concis" ?

Quoi qu'il en soit, je suis au contraire pour la plus large intégration possible des handicapés : accès des magasins aux personnes à mobilité réduite, sous-titrage à la télévision et autre. Mais enfin, pour prendre des airs mystérieux, on peut espérer qu'il y ait, ça nous changerait, une idée, alors profitez de ma curiosité, dites-là donc.

"Je précise pour la modératrice que j'aime vous répondre pour la longueur de vos explications."

...qui développent une pensée : quand vous en aurez une, on parlera de ma manière de la développer ou de la compacter.
Je précise donc à la modératrice que je n'aime pas répondre à de la non-pensée, mais qu'il faut bien se défendre.

"Je vous propose aussi un miroir pour pouvoir contempler votre nombril.
"Pas cher, dis !" "et parce que c'est vous"."

Je ne fais pas semblant de ne pas m'intéresser à moi : la franchise vaut mieux que la perfidie de s'affirmer en jugeant tout le monde ou en attaquant certains voire de cumuler ces deux tares.

Béatrice Portinaro

@ Noblejoué

Peut-être que Monsieur Patrice Charoulet pourrait vous aider à vous concentrer sur ce que vous voulez dire... Les questions existentielles relatives à votre rapport au blog peuvent se résoudre avec un écoutant à votre disposition.

Exemple : j'avais écrit à Gladereau suite à son commentaire concernant son camarade Arnaud Beltrame : "je crois savoir d'où vous écrivez".

Une autre personne a cru qu'il était un sous-fifre de ces rouges de Marchais. Il a donc été tenu de se justifier comme faisant partie du corps d'armée (gendarmerie) de Monsieur Beltrame.

Est-ce que cela vous donne une idée du peu de cas que vous et d'autres faites de commentaires précis et concis ? Je comprends que vous êtes une personne généreuse qui ne demande qu'à s'ouvrir (sauf avec les handicapés qui...) cela vous parle-t-il ?

Je précise pour la modératrice que j'aime vous répondre pour la longueur de vos explications.
Je vous propose aussi un miroir pour pouvoir contempler votre nombril.
"Pas cher, dis !" "et parce que c'est vous".

Noblejoué

@ Béatrice Portinaro
"Et, donc, si Philippe Bilger ou la modératrice l'eussent considéré déplacé, ils me l'auraient fait savoir."

Vous rendez-vous compte que cet argument vaut aussi pour les commentaires de toutes les personnes dont vous critiquez les interventions ?

"Pour ne pas poster un commentaire qui dise la même chose qu'une autre personne, j'avais pris le temps de tout relire. Est-ce également votre règle en venant sur cet espace ?!"

Vous me testez ? Mais manque de chance, je lis tout le monde.
Et par curiosité, avant tout (je suis un vrai chat, la curiosité a tué le chat comme on dit) et par respect de chacun...

Tout cela ainsi que d'autres inspirations nourrit ce que j'écris ici... Ici, nous sommes libres, mais il y a toujours des gens voulant restreindre cette liberté, c'est agaçant. Tout le monde dit que la liberté, c'est bien. Cependant, aussitôt sort un ou plusieurs MAIS contre telle ou telle catégorie de personnes ou une personne désignée ou suggérée par telle ou telle caractéristique.

Je ne vous en demande pas tant : avoir remarqué que dans tous les domaines, je défends la liberté.
Mais je vous le dis, ce qui fait qu'il est fatal que je défende entre autres la liberté d'un espace de liberté. Pas exactement de convivialité même si rien n'interdit qu'on se montre amical... Mais de liberté, ce qui fait que tout le monde peut venir, et que presque rien n'étant interdit, chacun puisse choquer involontairement l'autre avec sa vérité, et malheureusement, pour certains, avec le désir de nuire.

Je suis comme je suis, que ça plaise ou non, et je laisse chacun être ce qu'il est, que ça plaise ou non.
Par amour de la liberté et préservation de cet espace et reconnaissance à ceux qui le rendent possible, c'est quand même la moindre des choses que je défende la liberté qui y règne.

Je le fais incidemment quand on attaque ma manière d'intervenir, et principalement quand on attaque une des possibilités de ce blog, telle que l'anonymat.
Peut-être pas autant que d'autres, il m'arrive de défendre des gens injustement attaqués.

Suis-je irréprochable ? Si on prend ce pourquoi on m'incrimine, oui... Si je pense à ce que je devrais plaider et mes réussites en la matière, on peut considérer que je ne mérite même pas de vivre.
D'un autre côté, de cela et d'autres choses, je ne mérite pas de souffrir, et l'opium malheureusement interdit serait une solution, un tout-m'est-égal élégant. Enfin... Comme je ne fais rien à moitié, tant que je ne suis pas dans l'indifférence, hardi, hardi, je me bats pour ce que je crois, que ce soit compris et admis ou non.

Béatrice Portinaro

Bien. Noblejoué.
Les billets sont écrits par Philippe Bilger. C'est donc à la lumière des événements concernant N. Sarkozy que j'avais relu le billet, écrit je le répète par Philippe Bilger. C'est donc à lui que je m'adressais.
Et, donc, si Philippe Bilger ou la modératrice l'eussent considéré déplacé, ils me l'auraient fait savoir.

Pour ne pas poster un commentaire qui dise la même chose qu'une autre personne, j'avais pris le temps de tout relire. Est-ce également votre règle en venant sur cet espace ?!

Noblejoué

@ Béatrice Portinaro
" J'aurais donné une appréciation quelconque ? Ou simplement fait un constat ? Soyez aimable de me le préciser."

Vous l'avez écrit oui ou non ?

"Les autres écrivent sur leurs problèmes du jour ou bien relatent encore leurs fixettes sur des sujets divers et variés."

Alors "appréciez" ou "constatez", querelle de mots, je dirais apprécier. Quand on dit qu'il fait mauvais, on apprécie ou on constate. A mon avis, on apprécie, mais bon... Et "fixette", c'est un mot drôlement laudateur. "Problème du jour" aussi, je crois, si on parlait de vos problèmes du jour, vous trouveriez que c'est une appréciation ou pire ?

"Je peux vous aider au besoin en vous offrant un mouchoir "qui se sent morveux se mouche"."

Mais c'est fou, de l'aide ! Je demande à quelqu'un que j'encourage de m'encourager et c'est silence radio, et vous, mais quelle bonté, vous m'aideriez, incroyable...
Ah c'était ironique. Cela me concerne, oui... Morveux, morveux, toujours vos termes dépréciatifs... Dans un espace de liberté d'expression, j'use de cette liberté en toute créativité, défend cet usage pour tous.

Certains veulent jouer aux petits chefs, je m'y oppose. Nous sommes libres par la grâce de Monsieur Bilger et nos textes ont meilleure allure par celle de Madame Bilger.
Mais ici comme ailleurs, il y a toujours des gens pour jouer les Procuste.

Béatrice Portinaro

@ Noblejoué

Vous n'êtes ni responsable du blog ni modérateur.

J'aurais donné une appréciation quelconque ? Ou simplement fait un constat ? Soyez aimable de me le préciser.
Je peux vous aider au besoin en vous offrant un mouchoir "qui se sent morveux se mouche".

Lucile

J'aurais dit Boileau. J'ai donc googlé "ennui, uniformité Boileau" et effectivement, la phrase est donnée comme une de ses citations. Mais sans autres références.

Noblejoué

@ Catherine JACOB
"Donc si Catherine Bréchignac a une bonne mémoire c’est ailleurs que dans les Fables que pourrait éventuellement se trouver la citation recherchée : L'ennui naquit un jour de l'uniformité , mais dans quoi ?"

Aucune idée scientifique, je n'ai pas lu tous les livres et j'ai une mauvaise mémoire, mais une proposition : un puissant à qui on distribuait des plaisirs certes abondants mais répétitifs a lâché cette phrase promise à un brillant avenir.

J'ai repensé à votre histoire de dahu et de projection, et je pense que c'est tombé sur vous, à une époque où j'avais apparemment de l'idéalisme à gaspiller. Mais je n'aurai plus le défaut de qualités abolies.
Sur un mode plus comique, ne vous moquez pas de moi ou je vous appellerai mon Dahu !

Vous qui savez tout, parle-t-on de l'ennui en Chine et au Japon, et si oui, comment ? Et de dégradation et de pertes irréversibles ?

Catherine JACOB

@ Noblejoué | 23 mars 2018 à 16:34
« Comme a dit je ne sais plus qui "l'ennui naquit un jour de l'uniformité". »

« C’est un grand agrément que la diversité.
Nous sommes bien comme nous sommes.
Donnez le même esprit aux hommes ;
Vous ôtez tout le sel de la société.
L’ennui naquit un jour de l’uniformité. » cf. Les amis trop d’accord, ligne 244 ICI, 1719, Fable XV dernier vers, Antoine Houdar de La Motte (1672 – 1731) sur Wikisource.

Mais spontanément j’avais d’abord pensé à « Les Grenouilles qui demandent un roi », de La Fontaine (1621-1695) mais après vérification, il s’est avéré que si c’est l’idée, en revanche, de départ, ce n’est cependant pas le texte littéral.
« Les Grenouilles, se lassant
De l'état Démocratique,
Par leurs clameurs firent tant
Que Jupin les soumit au pouvoir Monarchique […]
Le Monarque des Dieux leur envoie une Grue,
Qui les croque, qui les tue,
Qui les gobe à son plaisir »
Fable déjà citée ici même quelque part.

Maintenant, je ne suis apparemment pas la seule à avoir pensé à La Fontaine. Cf à la fin du § « Les sciences humaines et sociales ne sont-elles pas délaissées ? », interview d’une académicienne et physicienne récemment citée par PB, Catherine Bréchignac, in l’Express du 19/10/2009.

Vu que ça me trotte encore quand même dans la tête en rapport avec La Fontaine je me suis mise en quête de l’élucidation de ce scrupule.

Je trouve donc sur un blog traitant de traductibilité : « Pourquoi vouloir uniformiser la langue française à tout prix. « L’ennui naquit un jour de l’uniformité » dit le poète (Sully Prudhomme). Pourquoi vouloir s’ennuyer ? » Lequel Sully Prudhomme, premier lauréat du prix Nobel de littérature en 1901, étant un poète ultérieur (1839- 1907), ne faisait sans doute que citer, mais qui ?

Idem pour l’attribution de la citation à Chateaubriand (1768 - 1848) sur un autre blog traitant de musique, à la date du 20/01/18 :
« Il est permis de s'en féliciter au nom de la démocratisation de la culture mais il est aussi possible de s'en lamenter face à l'uniformité qu'elle produit. " L'ennui naquit un jour de l'uniformité" (Chateaubriand). L'écrasante majorité des pianistes ne se rend même pas compte des limites des instruments qu'elle utilise puisqu'ils n'en connaissent pas d'autres depuis que leurs mains se sont posées sur un clavier acoustique. »

France Info a posé la question en date du 03/05/2016 mais la réponse est introuvable.
Bon, j’attendrai que cela me revienne en mémoire plus exactement.

D’après mon agrégé de Lettres de fils qui sait toujours tout, le mot "ennui" ne se trouve que deux fois dans les Fables :

1. « Une morale nue apporte de l'ennui:
Le conte fait passer le précepte avec lui. » (Livre VI, fable 1 : Le pâtre et le lion) - Ce qui quelque part me rappelle à moi aussi Lucrèce.

2. « Et pour tromper l'ennui d'une attente importune
Il entretint les Dieux, non point sur la fortune,
Sur ses jeux, sur la pompe et la grandeur des Rois
Mais sur ce que les champs, les vergers et les bois
Ont de plus innocent, de plus doux, de plus rare. » (Livre XII, 25 Philémon et Baucis.

Donc si Catherine Bréchignac a une bonne mémoire c’est ailleurs que dans les Fables que pourrait éventuellement se trouver la citation recherchée : L'ennui naquit un jour de l'uniformité , mais dans quoi ?

Noblejoué

@ Béatrice Portinaro
"Les autres écrivent sur leurs problèmes du jour ou bien relatent encore leurs fixettes sur des sujets divers et variés."

Vous oubliez la catégorie de ceux qui commentent les commentaires des autres ; vous devriez vous concerter avec Patrice Charoulet sur les mesures à prendre contre les gens qui font du hors-sujet autre que de critiquer les commentateurs. Les hors-sujet des autres : un problème ou une fixette, pour vous ?

Et puis il ne faut pas faire trop long, et puis ne pas avoir telle ou telle opinion, et puis...
Un jour, on finit, si on élimine et rend conforme, par se demander pourquoi tout le monde dit la même chose et qu'on s'ennuie partout et toujours.

Comme a dit je ne sais plus qui "l'ennui naquit un jour de l'uniformité". Ah, l'ennui, une de mes peurs. Je pense que bien des actes n'ont guère d'autre justification que de fuir l'ennui, même des meurtres... Mais quel meurtrier aurait le courage de l'avouer ? On veut du repentant, à la limite, du méchant, mais le pourquoi pas ? est insupportable.

Tenez, presque ça, un homme a brûlé le Pavillon d'or par "haine de la beauté", ses mots. Il s'est rétracté... Comment s'affirmer contre le monde entier, la beauté, les gens s'en moquent, en général, et heureusement, ceux que ça intéressent veulent la préserver. Mais Mishima a pris l'idée au sérieux et en a fait le, je ne les ai pas tous lus mais un certain nombre, plus beau de ses romans, lu et relu. Comme le film "La Corde", basé sur un fait réel, ces œuvres me parlent, détruire est plus facile que construire, ça permet la réflexion avant, la domination pendant, et si on n'est pas pris, pour toujours, comme et mieux que tout autre secret... Mais en somme, c'est par trop injuste, et ne prouve pas grand-chose, en fait, je ne vais pas approfondir ce dernier point, légèrement complexe, donc long à développer.

Mais bref, contrairement à ce que croit ma confidente, elle a un peu réagi au Spleen de Baudelaire, l'ennui peut conduire au pire... Au meilleur, aussi, la crainte de l'ennui et de l'angoisse ne cessent de motiver bien des gens à faire toutes sortes d'efforts, créatifs, entre autres.

Pour en revenir à vous, on a compris que vous lisiez ce blog depuis un certain temps, lancez-vous, sur le sujet du jour, sur vos problèmes, ou idées, enfin, au lieu de tendre à appauvrir ce lieu, enrichissez-le !
Critiquer est facile, ayez le courage de créer.

Béatrice Portinaro

J'ai relu ce billet et certains commentaires qui argumentent c'est-à-dire environ un quart des interventions.
Les autres écrivent sur leurs problèmes du jour ou bien relatent encore leurs fixettes sur des sujets divers et variés.

L'actualité concernant N. Sarkozy nous éclaire sur ses raisons cachées et pourquoi il a piétiné le référendum de 2005...

Catherine JACOB

@ Elusen | 19 mars 2018 à 21:17

Vous êtes sûr que vous avez lu le post auquel vous répondez ?

Aliocha

Hé, hé !
Elusen deviendrait-il proustien, donc chrétien ?
Félicitations à l'honorable honoraire et à sa si patiente épouse de laisser se déployer ici l'expression libre, les plus sévères contempteurs, suivant la spirale de leur ressentiment, atterrissent aux pistes de la vérité, suivant fatalement l'exemple de la pédagogie patiente et bienveillante.
Vive la démocratie.

Aliocha

Il n'est jamais trop tard pour entendre :

"Mais tant qu'il ne s'agit que de la vie, on se ruine, on se rend malade, on se tue pour des mensonges. Il est vrai que c'est de la gangue de ces mensonges-là que (si l'âge est passé d'être poète) on peut seulement extraire un peu de vérité. Les chagrins sont des serviteurs obscurs, détestés, contre lesquels on lutte, sous l'empire de qui on tombe de plus en plus, des serviteurs atroces, impossibles à remplacer et qui par des voies souterraines nous mènent à la vérité et à la mort. Heureux ceux qui ont rencontré la première avant la seconde, et pour qui, si proches qu'elles doivent être l'une de l'autre, l'heure de la vérité a sonné avant l'heure de la mort."

http://alarecherchedutempsperdu.org/marcelproust/464

Elusen

@ Catherine JACOB | 19 mars 2018 à 08:31

Il faut arrêter de se moquer du monde à un moment donné !
Le truc des femmes victimes, cela ne va pas le faire !
L’incitation à la haine envers les hommes doit cesser !

Dans tous vos discours de féministe, il suffit de remplacer homme par juif, noir, arabe, musulman et brutalement nous voyons l’employeur de votre ségrégationnisme envers les hommes.

Toutes les femmes ne sont pas victimes et tous les hommes ne sont pas coupables !

Les mensonges sur la différence de salaire doivent cesser étant donné que les salaires sont indexés sur des conventions collectives ou des grilles indiciaires qui interdisent toute discrimination.

Comparer des femmes à mi-temps avec des hommes à plein temps est aberrant !
La disparité se calcule sur un taux horaire !

Et le truc de la parité, va falloir aussi arrêter les âneries là-dessus !
Je n’ai pas le souvenir que les ségrégationnistes féministes la demandent pour les éboueurs, les déménageurs, les égoutiers, etc.

Imaginons, si 17% de femmes ont un doctorat en physique nucléaire ou des particules, comment pourrions-nous avoir 50% de femmes exerçant à parité ?

La comparaison homme/femme en devient complètement imbécile, car dans les professions, il faut avant tout comparer au nombre de diplômés !

Si vous exigez 50% de femmes pilotes de ligne et qu’il n’y a que 9% de femmes diplômées, comment peut-on accuser de sexisme ?

- En 2014, 63% des magistrats sont des femmes, aucune parité, mais cela n’a pas l’air de vous gêner.

- En 2015, 66,8% des pédiatres étaient des femmes, mais où se trouve la parité ?
https://frama.link/sBrNmEVu

- En 2017, 68,3% des enseignants sont des femmes, aucune parité, mais aucun problème pour vous.
https://frama.link/o2Cn1PNm

Balancer des statistiques sans parler des hommes victimes de violences conjugales ou de violences sexuelles prouve bien votre ségrégation.
Quand vous balancez des sondages sur les violences, il est surprenant que vous ne parliez jamais de la note N°12.
- Sur 100 victimes de violences sexuelles, 26% sont des hommes.
- Sur 100 victimes de violences sexuelles dans le ménage, 18% d'hommes.
- Sur 100 victimes de violences conjugales 34% sont des hommes.
Votre lepénisme, c'est de nous dire que c'est un point de détail ?!
https://frama.link/1mJEnvLm

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 19 mars 2018 à 06:50

Très bien, nous avons donc confirmation : il ne faut mépriser ni Lénine, ni les agresseurs sexuels en série, ni les nécrophiles.

Sinon, c'est qu'on méprise Monseigneur Aliocha, docteur en rené-girardologie, proustologie et blaise-pascalogie. Et même, j'oubliais : en droit constitutionnel suisse, discipline fort confidentielle, on en conviendra.

Je ne vois pas le rapport avec la choucroute, mais d'un autre côté, je n'ai pas lu René Girard. Je n'ai d'ailleurs pas, non plus, "relu" Proust récemment -- personne ne lit Proust en France, à moins de vouloir passer pour un insondable plouc : tout le monde le "relit".

Catherine JACOB

@ Robert Marchenoir | 19 mars 2018 à 01:18
"Jimmy Savile(...)avant de mourir paisiblement de vieillesse il y a peu"

En 2011.
Il paraît aussi qu'"il a utilisé sa notoriété pour lever des fonds destinés à des œuvres charitables pour un montant estimé à 40 millions de £ et fut pour cela décoré de l'ordre pro merito Melitensi."
Malheureusement, ce n'est qu' "un an après sa mort qu'il est révélé dans le documentaire, L'Autre Visage de Jimmy Savile, diffusé sur la chaîne de télévision ITV, qu'il avait été un « prédateur sexuel » d'adolescentes dans les années 1960 et 1970. Si à ce moment-là seulement cinq femmes ont témoigné sur ce qu'elles avaient subi, on estime à environ 300 le nombre des victimes potentielles de Savile.
Le scandale pris de l'ampleur avec le recensement de plus de 500 victimes de tout âge. Les faits, très graves, se sont produits dans les hôpitaux où il était bénévole. »

C'est fou cette histoire. Donc 2011 + 1 = 2012 - 1960 soit 52 ans après les faits présumés on apprend qu'un désormais défunt aurait pu agresser impunément cinq cents personnes de tout âge sans jamais avoir été réellement inquiété ??

On va dire qu'Harvey Weinstein avec ses douze agressions joue petit bras, là.

Bon, je sais qu'il ne faut pas plaisanter avec ce genre de choses, mais on ne peut pas s'empêcher de penser à Gilles de Montmorency-Laval, plus connu sous le nom de Gilles de Rais (ou Retz) condamné avec ses deux valets à être pendus, puis brûlés et dont le souvenir mythifié aurait inspiré la "Barbe bleue" et sa proximité d'avec Jeanne d'Arc titillé les imaginaires.

« Dans son Essai sur les mœurs (1756), Voltaire évoque laconiquement ce personnage comme un supplicié ayant été accusé de magie, et d'avoir égorgé des enfants pour faire avec leur sang de prétendus enchantements. »
« Sur la base de ce bref passage, notre auteur a été présenté par certains partisans de l'innocence de Gilles comme leur plus fameux précurseur. Mais bien qu'il émette des réserves quant à la culpabilité du seigneur de Tiffauges — autre nom de Gilles de Retz —, Voltaire évite de se prononcer définitivement sur la question. Sa brève mention du procès d'octobre 1440, parmi d'autres procès médiévaux d'hérésie et de sorcellerie, lui aurait donc essentiellement permis de vilipender le fanatisme composé de superstition et d'ignorance ».

Une cour arbitrale réunie en 1992 entame une « révision » du procès de 1440 qui aboutira à l'acquittement du seigneur de Tiffauges , révision d'une « portée d’ordre purement moral, symbolique... et médiatique. »

« Nonobstant, le médiéviste Jacques Chiffoleau a rappelé que (...) les accusations lancées contre ce compagnon de Jeanne d'Arc et maréchal de France, forment en réalité ce qu’on appelle un triptyque obligé dont l'origine est très ancienne et qui unit très étroitement :
1º) la rébellion, c'est-à-dire le refus intériorisé de l'ordre légitime ;
2º) le pacte avec le diable, qui donne des pouvoirs magiques ;
3º) les actes contre nature, [telle] la sodomie
; ».
« Cet historien précise toutefois qu'en insistant sur le poids de la procédure et sur les modèles très forts qui gouvernent alors les juges , il ne prétend pas — en tant qu'historien — délivrer une vérité judiciaire sur les procès. »

La différence est d'importance dès lors que non seulement les experts de diverses origines appelés de nos jours à apporter leur concours dans telle ou telle affaire en font régulièrement royalement fi, mais également chaque petit justicier de notre grand tribunal médiatique dont les ressorts s'articulent tant sur l'opinion du jour que sur des conciliabules secrets avec de petits réseaux privés détenteurs de fichiers illicites jamais réactualisés, qui se livre sournoisement sur ce fondement fantaisiste à des actes susceptibles, le cas échéant, de l'envoyer devant une cour d'assises.

PS : Une adresse à toutes fins utiles, celle de STOP VIOLENCES http://stop-violences-femmes.gouv.fr/ ainsi que le 3919. Ou encore celle du CNIDFF de Moselle http://www.infofemmes.com/v2/p/Lutte-contre-les-violences/10 ou http://www.infofemmes.com/v2/p/Contact/cidff-de-la-moselle-metz/2336 et aussi Mouvement du Nid 57, 1 rue Châtillon 57000 METZ tél : 0678405751

Aliocha

Vous vous tortillez au bout de l'hameçon, Marchenoir, à ne pas répondre sur l'essentiel, et préférez nous décliner comme à l'accoutumée votre longue liste de boucs, lassante ankylose qui, toujours, aboutit aux mêmes impasses de la négation méprisante de vos contradicteurs.

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 18 mars 2018 à 19:19
"C'est votre mépris qui est une erreur..."

Vous êtes aussi péremptoire que résolu à ignorer le sens de ce qu'on vous dit.

"Ah, quand même, Pascal comme terrain partagé, et réponse autre que le mépris."

Vous devriez nettoyer vos oreilles, vos yeux, votre cerveau et deux ou trois autres choses. Si vous n'avez vu, jusqu'à présent, que du mépris dans mes réponses à votre égard, c'est que vous devriez essayer le chinois, ou le moldo-valaque, à la place du français. Il est clair que vous ne connaissez rien à cette langue.

J'ai écrit : "Il est juste et bon que les personnes méprisables soient méprisées." Et je le maintiens.

Si vous avez pris cela pour vous, c'est que vous êtes d'un narcissisme qui touche à la pathologie.

Vous seriez donc en train de nous dire qu'il ne faut pas mépriser Lénine, ce monstre qui est responsable de 100 millions de morts dans le monde ?

Vous êtes en train de nous dire qu'il ne faut pas mépriser Jimmy Savile, cet animateur-vedette de la BBC britannique, qui a utilisé son immense popularité auprès des amateurs de musique pop, dans les années 60, pour commettre des agressions sexuelles à l'encontre de centaines de très jeunes filles, en toute impunité, et même à l'encontre d'adolescentes handicapées, hospitalisées dans des établissements dont il était le bienfaiteur honoré à travers tout le pays, et où il possédait même un bureau ? Et qui s'est même livré à des actes de nécrophilie dans les morgues de ces mêmes hôpitaux, parvenant, malgré les soupçons, à échapper à toute poursuite, avant de mourir paisiblement de vieillesse il y a peu ?

Aliocha

@ Robert Marchenoir

Ah, quand même, Pascal comme terrain partagé, et réponse autre que le mépris, car c'est votre mépris qui est une erreur et vous empêche de déceler une démarche de conciliation là où votre susceptibilité ne voit que tentative de vexation.

Quant aux versets, je ne suis pas sûr que "Au nom de Dieu tout-puissant..." puisse être entendu par tous comme article de loi, car il s'agit du préambule auquel je suis certain que vous êtes aussi sensible que moi.
Comme quoi, Pascal et le préambule helvète pourraient être la base de résolution de dissensus pourtant sévères, que la force du mépris ne devrait pas négliger, au risque de nous faire éluder la justice.
On appellerait cela les conditions d'un débat équilibré, puisque le terme de respect vous irrite, en évitant les débordements entraînés par nos désaccords.

Robert Marchenoir

@ Noblejoué | 17 mars 2018 à 04:46
"Par cette intervention entre autres vous prouvez que vous n'êtes pas pour le règne de la force mais de ce que vous estimez être la justice."

Mais bien évidemment. Je pensais que cela était évident ; votre commentaire m'épargne la peine d'avoir à le souligner.

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 16 mars 2018 à 22:26
"Si je comprends bien votre réponse, vous seriez pour une modification de ce verset du préambule suisse..."

Non, justement, vous n'y comprenez rien.

L'une des raisons de votre incompréhension est que vous n'arrivez pas à distinguer les différents ordres de la pensée et de l'activité humaine. La preuve est que vous parlez de versets s'agissant de la constitution suisse. Une constitution n'a pas de versets ; elle a des articles. Cela montre que vous ne faites pas la différence entre une religion et un système d'organisation politique.

Ensuite, vous nous collez une citation de Pascal, que je trouve fort juste. Et vous en concluez que je suis dans le faux. Avec votre ironie corrosive habituelle, que vous prenez à tort pour de l'esprit.

Achille

@ Catherine JACOB | 17 mars 2018 à 08:21

Je vous rejoins bien sur ce point. Metz est une ville merveilleuse. Je le dis d’autant plus librement que je ne suis pas natif de cette ville que j’ai appris à aimer avec le temps et qui est pleine de charme avec ses vieux quartiers et ses espaces verts.
Nombre de petits commerçants nous confectionnent des produits délicieux. Je souscris à toutes les petites boutiques que vous avez citées et je trouve personnellement désolant que trop de gens préfèrent acheter leur pain, leur fromage, leur viande et leurs fruits et légumes dans les grandes surfaces par pure commodité et aussi sans doute pour faire des économies, alors que des artisans aux doigts d’or peuvent leur offrir de petites merveilles.

J’apprécie également votre humour tout en finesse, beaucoup trop rare à mon goût dans vos commentaires. J’avoue que, pour une fois j’ai lu votre commentaire jusqu’au bout avec plaisir. Un régal !

Catherine JACOB

@ sbriglia | 16 mars 2018 à 16:01
"Mon charcutier a plus d'éducation... pour paraphraser une commentatrice.
Mais il a, lui, la chance de ne pas avoir été longtemps aux écoles..."

C'est quoi ce mépris des charcutiers qui sont censés être étonnamment bien élevés mais c'est parce qu'ils n'auraient pas été longtemps à l'école ?
Vous seriez étonné des qualifications générales des gens des métiers de bouche si vous vous intéressiez effectivement à eux autrement que pour vous en servir comme de moyen de contraste et en faire en somme de bons sauvages à la Rousseau.

Puisqu'Achille connaît bien Metz, il doit connaître la pâtisserie qui a longtemps été en face de l'entrée de la gare et se trouve maintenant sur le côté de la BPLC depuis que ce quartier est en grande réhabilitation.
Eh bien le maître pâtissier est un artiste de sculpture sur glace, a longtemps remporté des prix lors de concours, y compris au Japon il me semble, et fait des œuvres magnifiques.

Le charcutier de la rue du Grand Cerf, en face de l'hôtel de Gournay, est un MOF, un peu plus bas dans la rue vous avez un autre meilleur ouvrier de France en pâtisserie. Je n'apprécie pas trop certaines élucubrations, mais j'adore ses cakes et je sais de quoi je parle car moi aussi je fais des cakes (et pas le cake...).
Voici d'ailleurs ma 'tronche' de cake qui par l'effet d'une paréidolie fait penser à un cygne. Il a été fait grâce aux conseils avisés de ma môman, mais il n'empêche que c'est du boulot ! Le voici entier :

Dans la même rue du Grand Cerf, il y a le boulanger dont la baguette a été primée comme la meilleure baguette de Lorraine, et quand vous passez devant sa boulangerie, vous êtes obligé(e) d'entrer tellement ça sent bon le vrai bon pain. Et vous pensez peut-être que pour qu'une boutique marche, il est de nos jours inutile d'avoir été à l'école ? Redescendez sur terre ! En fait, c'est des gens comme ça qu'il nous faudrait à la tête des Etats, des gens dont la seule fierté est d'être appréciés de leurs clients parce qu'ils ne se moquent pas du monde ! De bons produits, du savoir-faire, de l'amabilité et une comptabilité, c'est beaucoup moins évident qu'on ne le pense.

Le boucher alsacien de ma maman en a fait un burn-out qui a duré plus de six mois et sa malheureuse épouse a dû faire tourner la boucherie toute seule, mais ce n'est pas toujours simple de manager des garçons bouchers quand on est une femme... Quand le maître-boucher est revenu dans sa boutique, tout a recommencé à tourner rond !
Mais bon, il faut payer le prix. Au Luxembourg, le salaire mensuel de départ d'un jeune cuisinier est supérieur de 500€ à celui d'un jeune ingénieur en France. Hein. Y a pas se secret !

Les apprenties de mon coiffeur sont bachelières ! Certaines étaient spécialisées par un moment dans le massage du cuir chevelu qui fait un bien fou et libère des tensions. Mais bon, là on sort des métiers de bouche.

Noblejoué

@ Robert Marchenoir 17 mars 2018 à 00:12

Je ne crois pas que le prêchi-prêcheur de notre blog s'en apercevra, mais par cette intervention entre autres vous prouvez que vous n'êtes pas pour le règne de la force mais de ce que vous estimez être la justice.


Robert Marchenoir

@ sbriglia | 16 mars 2018 à 16:01
"Mon charcutier a plus d'éducation... pour paraphraser une commentatrice. Mais il a, lui, la chance de ne pas avoir été longtemps aux écoles..."

Je n'ai pas interrogé mon charcutier sur son éducation, mais lorsqu'il est parti à la retraite, et qu'il a mis sur la balance mon dernier morceau de porc, il pesait exactement 1,005 kilo.

Moi, je dis : c'est un métier. Aucun rapport avec Abou Dabi, quoique, en réfléchissant...

Aliocha

@ Robert Marchenoir

Si je comprends bien votre réponse, vous seriez pour une modification de ce verset du préambule suisse :
...sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,
...
qui deviendrait selon votre politique :
...sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la faiblesse de la communauté se mesure au mépris du plus fort de ses membres,
...

Ce qui, en ma nébuleuse de hamster stakhanoviste, m'amène naturellement à Pascal :

"Justice, force.

Il est juste que ce qui est juste soit suivi ; il est nécessaire que ce qui est le plus fort soit suivi.

La justice sans la force est impuissante ; la force sans la justice est tyrannique.

La justice sans force est contredite, parce qu'il y a toujours des méchants. La force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force, et pour cela faire que ce qui est juste soit fort ou que ce qui est fort soit juste.

La justice est sujette à dispute. La force est très reconnaissable et sans dispute. Aussi on n'a pu donner la force à la justice, parce que la force a contredit la justice et a dit qu'elle était injuste, et a dit que c'était elle qui était juste.

Et ainsi, ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste."

Aussi peut-on conclure à l'aulne du mépris de votre science politique, mon cher, que vous êtes très fort, c'est-à-dire très injuste, dans le sens parfaitement à côté de la plaque.

Noblejoué

@ sbriglia
"Quand un dépressif chronique rencontre un bas bleu c'est tout l'espace de convivialité du blog qui est pollué."

Espace de convivialité, vous m'en direz tant ! On croirait qu'il n'y a pas de torrents d'insultes, de polémiques où ce ne sont pas les idées mais les personnes, et autres joyeusetés, ici, pour qu'on ne trouve rien de pire que le dialogue que vous critiquez.
Ici ou ailleurs, on ne s'en prend pas à ceux qui attaquent les autres mais à ceux "dépressifs" et "bas bleu" mal vus car différents et présumés faibles... Pollution ? C'est votre façon de faire qui pollue le monde.

C'est marrant comme quelqu'un qui n'apporte rien de substantiel aux débats croit s'affirmer en attaquant. Mais une attaque n'est ni une idée, ni un style, en fait, rien...
En plus... Me critiquer, à la limite, pourrait se comprendre, parce que les dépressifs peuvent déprimer*, encore que je ne me résume pas à cela, mais passons... Mais Catherine JACOB ! Elle vous apporte la connaissance et un style vivant. Si ça ne vous plaît pas, on se demande qui elle peut bien polluer. A moins que la connaissance ne soit toxique ?

C'est, entre autres, à cause de gens comme vous qu'on peut être déprimé, les humains ne valent vraiment pas grand-chose en général, merci d'en fournir encore une preuve pour les sceptiques.

Mais ça ne veut pas dire incapable de rendre les coups : pour vous attaquer à quelqu'un de dépressif, donc en position de faiblesse, et à une femme qui ne se cache pas d'être plus qu'érudite, donc en positon de faiblesse car mal vue par trop de gens comme vous, vous vous en prenez à des gens qui ne vous ont rien fait, et ce parce qu'ils vous semblent faibles et donc incapables de vous répondre, vous êtes méprisable.

* Pas vous, les gens empathiques.

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 16 mars 2018 à 07:16

Encore faut-il que l'autre soit respectable. Je n'ai jamais prôné le "respé". Il est juste et bon que les personnes méprisables soient méprisées.

Noblejoué

@ Catherine JACOB
"« Pourquoi ne pas faire un dossier de vos victoires ? »
Beaucoup plus intéressant et plus productif serait, je pense, de faire le dossier des détails qui tuent."

Vous avez des problèmes avec des gens qui ne veulent pas vous écouter. C'est un genre de confrontation, avec ses victoires et ses défaites. Non ? Malgré cet échec fondamental, ne pas être admise, vous avez prouvé que vous aviez raison à différentes occasions, ce qu'on peut appeler victoires.
Si vous préférez "détails qui tuent", libre à vous, j'applaudis, ça fait très roman policier, d'ailleurs il y a des points communs entre la science et la résolution d'énigmes policières, réelles ou fictionnelles.

Pourquoi envisager le monde en terme de victoires et de défaites ? Eh bien déjà, quand il s'agit de confrontation, cela me paraît la réalité fondamentale, et autre chose, cela renvoie à l'idée de stratégie.
Donc appelez votre dossier comme vous voulez, mais faites-en un, et numérisez-le pour avoir au moins une sauvegarde, comme en donnez ou du moins une partie, pour convaincre vos interlocuteurs de vos capacités par des preuves qui certes, existent, mais que selon les cas ils ne connaissent pas forcément, ou bien, si, mais en diminuent la portée comme on écarte et minore tout ce qui ne rentre pas dans les cases.

"Le dossier des détails qui tuent", ou quelque chose de plus diplomatique, je pense que vous devriez toujours l'avoir sur vous, et si possible sous différentes formes, parce que vous ne pouvez pas savoir quand vous pourriez en avoir besoin.
Ce n'est pas la mot qui compte, sauf là, en discutant, pour vous faire plaisir, ou ailleurs, pour être diplomate avec les gens, c'est la chose. A mon avis, il faut toujours l'avoir sur vous, au moins sur une clé USB. Ce que j'en dis... C'est pratique et les gens sont fascinés par ce genre de choses, une clé qui contient des informations ! Magique.

"« Il faut répéter pour que ça rentre ! »
Hum ! Prenez un morceau de musique, le plus productif, ce n’est pas que le prof vous joue dix fois la même mesure difficile pour voir si au bout de la dixième fois ses doigts ne vont pas fourcher et s’il ne va pas commettre une fausse note, mais c’est que quand il vous a donné un exercice à faire, vous l’ayez fait dix fois comme indiqué, avant de vous pointer à la leçon."

Ce n'est pas à vous que je vais apprendre qu'il faut compenser tant qu'on peut la nullité de ses élèves...
Il faut compenser dans la vie, la nullité des élèves pour certains profs, la nullité de certains profs pour certains élèves.

Comme vous êtes, vous, le professeur, dont je découvre que ses élèves peuvent être aussi retors que ses pairs, je me concentrais sur l'aspect élèves nuls, d'accord ? Et encore, je ne prenais cela que pour ce qui vous pèse le plus, à savoir la mauvaise volonté de vos pairs.
Bon alors, d'abord, désolé que vous soyez cernée par une mauvaise volonté tout azimut ! Mais je suppose que les élèves casse-pieds ne sont pas le plus important pour vous, la recherche prime, et que vous tenez votre public, si rétif qu'il soit, bien en main. La recherche prime ? Souvent chez les chercheurs, de plus vous en parlez beaucoup et de façon captivante... Comment croire que vous ne manifestez pas ces qualités partout ? Achille en vous disant "érudite" vous rabaissait quelque peu, parce que savoir n'est pas tout, chercher et trouver du nouveau, et enseigner, dans un cas accroisse, dans l'autre, transmet la connaissance. Cela va plus loin que d'avoir son cabinet de curiosité, qu'il soit physique ou mental.

Dans un monde de magie, on dirait de ne pas sortir sans baguette et potion, dans un monde de western, sans un colt, dans votre monde de recherche où on vous dénie vos capacités quoique vous en ayez fait la preuve... On ne sort pas sans ? Eh bien sans lesdites preuves.
Vous avez l'habitude de compenser la nullité de certains élèves en montrant que, oh, quand même, c'est moi le prof, voyez les connaissances ? Vous pouvez faire de même avec vos preuves, eh quand même, vous l'avez peut-être oublié (ou plutôt ne pas vouloir s'en souvenir mais on ne le dira pas..) mais j'ai trouvé un détail qui (regardez sur votre écran, LA). S'imposer par la science et par la preuve. Votre science est en vous... Mais la preuve ? Ce pourquoi je vous recommande de la porter toujours sur vous.

Parce que je ne demande pas mieux que de m'instruire et de vous renvoyer la balle, c'est très plaisant, mais aussi incroyable que ça paraisse, je pense aussi à vous et à la science.
Et donc, il faut avoir raison ici, mais aussi et surtout face à vos détracteurs.

Bon, j'ai fait ce que j'ai pu en ce sens, voyons, plus drôle pour moi, de plus près, votre dernière trouvaille.

"D’où sort cette qualification de « tunique », le déterminer serait beaucoup plus intéressant que de savoir si l’auteur est bigleux au point de confondre les corbeaux avec les lapins et mon tout avec les crapauds et de lui conseiller de mettre ses lunettes."

Exact. Condamner les gens est facile et n'apprend rien sur les mentalités.

"Or donc, soleils ? pommes d'or ? Mais bon, cela excède notre propos qui est de « trouver le détail qui tue », autrement dit celui dont le décryptage est potentiellement la solution du problème qu’on cherche à résoudre.
Par ex. qui, quoi, comment, pourquoi et d’où sort cette dénomination de « tunique » !!"

Je vais être honnête : toutes vos définitions étaient très intéressantes, et le problème brillamment résolu, mais vous vous arrêtez au moment le plus intéressant pour moi, et je crois pour vous :

"Ce qui moi, à titre personnel, m’intéresse c’est que ce mûrier est censé pousser sur une île également représentée dans le jardin sec issu du jardin taoïste, lequel n’est pas sans rappeler quelque part le fabuleux jardin des Hespérides situé dans cette région extra-océanique réservée uniquement aux immortels, qui plus est dans la proximité du lieu où Atlas est réputé porter la voûte céleste."

Alors continuez s'il vous plaît. Vous savez bien que tout ce qui a trait à l'immortalité m’intéresse ! J'aime aussi beaucoup les histoires et les correspondances possibles entre les différentes légendes du monde. Arrêter de parler là serait par trop cruel !

sbriglia

"Je ne sais pas trop ce qui vous est arrivé le 10 septembre et à vrai dire je ne veux même pas le savoir."
Rédigé par : Achille @ Noblejoué

Il faut imaginer le hamster de Noblejoué heureux...

Quand un dépressif chronique rencontre un bas bleu c'est tout l'espace de convivialité du blog qui est pollué.

J'ai l'impression de voir de grossiers personnages se vautrer sur les canapés, déverser leur diarrhée et s'offusquer de ceux qui leur font gentiment remarquer certaines règles de bienséance...

Mon charcutier a plus d'éducation... pour paraphraser une commentatrice.

Mais il a, lui, la chance de ne pas avoir été longtemps aux écoles...

Catherine JACOB

@ Noblejoué | 15 mars 2018 à 20:11
« Pourquoi ne pas faire un dossier de vos victoires ? »

Beaucoup plus intéressant et plus productif serait, je pense, de faire « le dossier des détails qui tuent ».

Par exemple, dans la pièce de soie peinte réputée être la plus ancienne pièce de soie au monde ayant pu être conservée – grâce à la composition du sol du lieu d’enfouissement, si vous écoutez les spécialistes de taphonomie, enfin peu importe ici –, celle de Mawangdui donc, il est indiqué dans la présentation critiquée qu’il s’agit d’une tunique.

D’où sort cette qualification de « tunique », le déterminer serait beaucoup plus intéressant que de savoir si l’auteur est bigleux au point de confondre les corbeaux avec les lapins et mon tout avec les crapauds et de lui conseiller de mettre ses lunettes.

En effet, les descriptions en anglais parlent de « banner » et les descriptions en français, reprennent ce terme dans son acception française de « bannière ».
Or, dire « bannière » et dire « tunique », ce n’est pas du tout la même chose dans la mesure où une tunique est un vêtement dans lequel on se glisse, donc qui a une forme particulière et une bannière, outre qu’elle renvoie à du signifiant autre que sa propre dénomination, n’a qu’une épaisseur et on peut éventuellement s’en draper mais pas s’y glisser.

En quoi ce mot de « tunique » est-il le détail qui tue ? Déjà pour s’écarter d’une traduction de « banner » et donc de l’idée suivante :
« La Bannière de Mawandui :Technique millénaire , harmonise le corps, le mental et l'esprit. Yi Jin Jing etc. » et donc s'écarter de l’alchimie taoïste, il faudrait le mentionner en justifiant de s’en écarter pour proposer autre chose, ce qui, dans l'article en question, n’est pas le cas.

De plus, le chinois donne sous la publication du cliché, cette explication T型帛画, soit « Pièce de soie en forme de T, tissée - selon cette technique basique qui croise un fil de chaîne avec un fil de trame , et peinte», et de même le japonais qui donne 「帛画」 sans autre mention de la forme T.

Il est précisé que cette pièce de soie fait 2m05 de haut (donc, bonjour la tunique...) et 0,95 m dans la plus grande largeur, celle de la barre de la forme T.
Il est expliqué en japonais que les huit ronds sont les neuf soleils descendus par l’archer Hòuyì (羿) toutefois sans qu’on s’interroge sur la disparition du neuvième soleil, mais on en déduit que le feuillage auquel s’enroule le dragon est donc le Fusang, résidence des dix corbeaux d’or, sans se demander pourquoi ce feuillage ressemble davantage au rinceau d’une mosaïque romaine qu’à la représentation traditionnelle chinoise du Fusang présumé être un mûrier et dont les branches se présentent en forme de tresse.

Ce qui moi, à titre personnel, m’intéresse c’est que ce mûrier est censé pousser sur une île également représentée dans le jardin sec issu du jardin taoïste, lequel n’est pas sans rappeler quelque part le fabuleux jardin des Hespérides situé dans cette région extra-océanique réservée uniquement aux immortels, qui plus est dans la proximité du lieu où Atlas est réputé porter la voûte céleste.
On a également en effet dans cette pièce de soie, la représentation d’un « porté » dont spontanément, quand j’en ai eu isolé la figure, j’ai nommé le fichier « Atlas ».

Or donc, soleils ? pommes d'or ? Mais bon, cela excède notre propos qui est de « trouver le détail qui tue », autrement dit celui dont le décryptage est potentiellement la solution du problème qu’on cherche à résoudre.
Par ex. qui, quoi, comment, pourquoi et d’où sort cette dénomination de « tunique » !!

« On vous écarte au nom de l'argument d'autorité de n'être pas spécialiste, répliquez par celui d'avoir prouvé que vous allez néanmoins au cœur des choses.
Comme vous avez dû le constater dans votre formation pour adultes »

Ou pas… !
Avec les adultes c’est très compliqué parce qu’ils ont des idées très arrêtées sur la façon dont ils doivent être enseignés et souvent ce qui les intéresse c’est de faire voir qu’on ne la leur fait pas, comme on dit, plutôt que d’apprendre réellement quelque chose, d’où on se demande ce qu’ils font là. Quand ils sortent leur propre batterie de tests perso afin de tester le prof, on commence à le comprendre… Alors qu’avec les jeunes, le prof a dit que c’est comme ça qu’il faut faire, donc on le fait et on est content ensuite de constater que ça marche et on continue, ou alors on décide que le prof fait ch.er et on f..t le b…el ou on fait le malin, ce qui sur ce dernier plan ne change pas beaucoup des adultes.

« Il faut répéter pour que ça rentre ! »

Hum ! Prenez un morceau de musique, le plus productif, ce n’est pas que le prof vous joue dix fois la même mesure difficile pour voir si au bout de la dixième fois ses doigts ne vont pas fourcher et s’il ne va pas commettre une fausse note, mais c’est que quand il vous a donné un exercice à faire, vous l’ayez fait dix fois comme indiqué, avant de vous pointer à la leçon.

Aliocha

Vous éludez, Robert Marchenoir, le hamster en témoigne ; le mépris ne cache que le gouffre de vos inimitiés.

...déterminés à vivre ensemble leurs diversités dans le respect de l'autre et l'équité,
...

N'est pas Suisse qui veut.

Noblejoué

@ Catherine JACOB
"Donc la personne en question a identifié la base Langues O et admis que la nouvelle présentation était beaucoup mieux, mais « Comment est-ce possible que Catherine-San ait fait aussi bien. » Cette fois-ci c’est cité textuellement.
Et donc, une fois, deux fois, trois fois je veux bien mais au bout d'un moment ça devient nettement plus lassant que ne le sont nos posts respectifs pour le sire yamamotokaderaté, ou du moins qu'il le prétend."

Pourquoi ne pas faire un dossier de vos victoires ? On vous écarte au nom de l'argument d'autorité de n'être pas spécialiste, répliquez par celui d'avoir prouvé que vous allez néanmoins au cœur des choses.
Comme vous avez dû le constater dans votre formation pour adultes, il faut répéter pour que ça rentre ! Les résumés ne sont pas tout à fait sans mérite pour cela non plus. Alors, faites pareil pour vous... Je sais que ce n'est pas pareil, cela vous remet en question. Et c'est lassant, mais vous avez le courage de le faire.

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@ Achille
"Le mieux serait que vous fassiez comme la grande majorité des commentateurs, exprimer votre opinion sur le billet du jour. Et même s’il le faut vous accrocher avec ceux qui ne partagent pas votre opinion, ce qui est plutôt fréquent sur ce blog."

Soyez honnête, c'est surtout la baston qui vous amuse, n'est-ce pas ? Eh bien, j'y vais quand il le faut absolument.
Je vous aime bien quand même, moi aussi.

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 15 mars 2018 à 13:40
"Comme à l'habitude, vous ne retenez que ce qui arrange vos dithyrambes, et la glose sur les couleurs de peau ne saurait cacher la vacuité de vos propositions... La vacuité de vos brillants diagnostics qui, pour finir, ne donnent l'impression qu'ils ne servent qu'à passer vos nerfs."

Parmi vos nombreuses et savantes lectures, vous chercherez le sens du mot projection. Vous faites la preuve, une fois de plus, que vous êtes totalement incapable de débattre, et que vous n'êtes ici que pour nous infliger une purée discursive sans queue ni tête, étaler votre fausse culture, prendre à partie les autres commentateurs et arguer sur eux de votre supériorité morale.

Catherine JACOB

@ Noblejoué | 15 mars 2018 à 12:57

Quand je dis "vous" dans le post de référence, je ne parle pas de vous personnellement, il s'agit d'un emploi dit explétif. J'aurais peut-être dû dire "on" de façon donc indéfinie. C'eût peut-être été plus clair.

@ Noblejoué | 15 mars 2018 à 13:42

Ce que j'ai voulu dire, c'est qu'il est particulièrement ignoble d'insulter sous un masque des gens dont l'identité est connue. A fortiori quand les reproches sont infondés et, qui plus est, qu'on le sait pertinemment.

Sinon s’agissant des gens qui racontent n’importe quoi à l’aveuglette, voici un ex. d'article en français traitant de l’une des tombes de la nécropole dite de Mawangdui (soit 馬王堆: le Tertre funéraire ou tumulus de MAWANG qui date du IIe siècle av. notre ère). On y trouve une pièce de soie peinte réputée être la plus ancienne pièce de soie ayant pu être conservée. Voici comment elle est présentée dans cet article. Je n’ai pris que le bas du tissu en capture d’écran avec son texte de présentation. Or, quand on veut bien regarder attentivement, voici ce qu’on voit en réalité : . Donc non pas deux corbeaux, mais un corbeau, réputé à trois pattes mais qui n’en a que deux, neuf soleils réputés être dix et côté lune, un lapin et un crapaud et non pas un deuxième corbeau. Mais comme je ne suis pas sinologue, je n’ai pas à me mêler d’y voir autre chose que ce qu’y voit la sinologie française académique. A fortiori de me poser des questions. Par ex. pourquoi deux au lieu de trois et pourquoi neuf au lieu de dix qui représentent les nombres traditionnels que je n’ai pas non plus le droit de questionner. Et c’est bien ça qui m’énerve, parce que tout est à l’avenant et si un fâcheux tombe par un heureux( ?) hasard sur le présent post, il dira « Ah oui, tiens c’est juste, mais elle l’a copié quelque part, car comment serait-ce possible que Catherine-san ait une vision claire des choses. »

Mutatis mutandi c’est ce qu’une personne que je ne peux pas nommer ici, m’a sorti à propos d’une présentation des Kanji que j’avais à la base reprise des Langues O, et après l’avoir travaillée, nettement améliorée. Donc la personne en question a identifié la base Langues O et admis que la nouvelle présentation était beaucoup mieux, mais « Comment est-ce possible que Catherine-San ait fait aussi bien. » Cette fois-ci c’est cité textuellement.
Et donc, une fois, deux fois, trois fois je veux bien mais au bout d'un moment ça devient nettement plus lassant que ne le sont nos posts respectifs pour le sire yamamotokaderaté, ou du moins qu'il le prétend.

Achille

@ Noblejoué | 15 mars 2018 à 13:42

Je ne sais pas trop ce qui vous est arrivé le 10 septembre et à vrai dire je ne veux même pas le savoir. Que vous fassiez une fixette sur l’érudition de Catherine JACOB (que je me garderai bien de contester) ne doit pas vous faire oublier que vous êtes ici sur un blog, pas sur un forum où chacun raconte sa vie, ses petites misères et autres confidences personnelles.

Je ne vois pas vraiment ce que vient faire la culture des champignons japonais dans un billet traitant du discours de Nicolas Sarkozy à Abou Dabi.

Le mieux serait que vous fassiez comme la grande majorité des commentateurs, exprimer votre opinion sur le billet du jour. Et même s’il le faut vous accrocher avec ceux qui ne partagent pas votre opinion, ce qui est plutôt fréquent sur ce blog.

Ceci étant, je vous aime bien, Catherine JACOB et vous, mais parfois vous êtes franchement pénibles !

Noblejoué

@ Achille | 15 mars 2018 à 09:10

Si on est soporifique, tant mieux, ceux qui ont du mal à s'endormir n'ont qu'à nous lire au moment opportun !

Sans rire, il vaudrait mieux pas que nous échangions nos adresses. Que les gens arrêtent, c'est TROP TARD. D'ailleurs qu'est-ce qui ne l'est pas pour moi depuis le 10 septembre ? Plus d'enthousiasme, il en aurait fallu pour une démarche vers l'autre, pour déposer mon masque.

"Mais bon, un jour ou l'autre, il faut grandir et poser les masques".

...a dit Catherine JACOB, à quelqu'un d'autre, ce qui peut avoir plusieurs significations... Je ne sais plus qui a dit qu'on ne sort de l’ambiguïté qu'à son détriment, ce n'est pas faux non plus.
Comme j'ai un côté enfant et un côté prudent, ça me fait deux raisons de rester dans l'ombre.

Si j'avais cru gagner une belle amitié, ou si j'avais besoin de l'avis de quelqu'un pour quelque chose de sinon secret, du moins discret, tout ne se met pas sur la table avant d'être prêt dans la vie, j'aurais pu prendre un risque... Mais là ! Rien que l'idée de faire une démarche de ce genre me répugne et me fatigue, parce qu'elle vulnérabilise et n'a pas de sens, c'est comme si au lieu de se tuer pour une raison, on le faisait par ennui, tiens, cela passera le temps, un beau jour.

Or je crois au sens. Moins aux gens. Il ne faut pas inverser les rôles, franchement, il faudrait que quiconque s'engage à respecter le secret de mon identité, ne pas répéter ce que je dis, ne pas jouer les inquisiteurs et ne pas m’agresser.
Qui ferait ça pour moi ? Si quiconque est ainsi envers quiconque, il mérite des éloges. Encore faut-il que je puisse me fier à quelqu'un, et ce n'est pas gagné... Mais de toute façon, je n'intéresse personne, et c'est bien reposant. De l'avantage d'être soporifique !

Aliocha

@ Robert Marchenoir

Comme à l'habitude, vous ne retenez que ce qui arrange vos dithyrambes, et la glose sur les couleurs de peau ne saurait cacher la vacuité de vos propositions.
Je vais donc répéter, comme à l'habitude, ce qui fonde mes convictions, et que je vous avais déjà soumis, sans qu'alors vous ayez daigné répondre.

Les principes que je défends sont l'économie de marché, au nom de la liberté, bornée par la protection sociale, les droits de l'homme, et la démocratie.
Ces notions sont parfaitement défendues ici, dans leur expression européenne, seule échelle permettant à l'heure de la mondialisation, leur garantie :

https://video-streaming.orange.fr/actu-politique/michel-rocard-l-europeen-dechaine-l-integrale-VID00000012m1P.html

L'idéologie que Rocard y développe correspond à mes convictions, qu'il me semble retrouver dans le "en même temps" macronien et qui est, puisque vous honorez les Suisses de votre admiration, excellemment formulé dans le préambule de leur Constitution, expression quasi poétique des valeurs fondamentales que l'Europe, à mon sens, reste la seule à pouvoir défendre :

Préambule

Au nom de Dieu Tout-Puissant !

Le peuple et les cantons suisses,

conscients de leur responsabilité envers la Création,

résolus à renouveler leur alliance pour renforcer la liberté, la démocratie, l'indépendance et la paix dans un esprit de solidarité et d'ouverture au monde,

déterminés à vivre ensemble leurs diversités dans le respect de l'autre et l'équité,

conscients des acquis communs et de leur devoir d'assumer leurs responsabilités envers les générations futures,

sachant que seul est libre qui use de sa liberté et que la force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres,

arrêtent la Constitution que voici :
...

Voilà ma roue de hamster, mon cher, qui tourne effectivement à vide face à la vacuité de vos brillants diagnostics qui, pour finir, ne donnent l'impression qu'ils ne servent qu'à passer vos nerfs.

Noblejoué

@ Catherine JACOB | 15 mars 2018 à 07:58

Que vous dire ? Je ne crois pas tout mélanger, ni vous à plus forte raison. Un collage ne veut pas dire un vol, ainsi ma confidente a copié deux artistes en les citant en sus de sa création personnelle.
Par contre, des gens de son groupe l'ont copiée, elle, sans faire mention de leur source ni des sources de la source. Mais elle est tellement merveilleuse qu'elle a toujours une attitude parfaite sans condamner les autres si elle signale leur comportement, je crois, dans une description honnête du monde. Et quelle manière de raconter !

Cependant, à un moment j'ai omis de citer des auteurs si connus que je croyais que cela coulait de source. Est-ce que beaucoup de gens commettent cette erreur ou que vous devinez que je serais capable de ce genre de bourde ? Bon, alors j'essaie de toujours préciser, même si je crains qui me dira, "mais c'est trop évident".
Et la lourdeur, c'est terrible, non ?

Cette erreur fait que je me demande si je ne pourrais pas vous demander de trancher entre tous les cas que vous avez dit en cas de doute.

Catherine JACOB

@ yamamotokaderaté | 15 mars 2018 à 11:52

Vous sortez d'où exactement ? = Quel était votre pseudo précédent et depuis quand êtes-vous lecteur sous quelque pseudo que ce soit, de ce blog ?

"En matière de guillemets, hum, il me semble que vous les oubliez en permanence, en outre laissez les Chinois en paix vous avez assez des Japs !"

jean-christophe ? filou ? etc. ? etc. ?

"Et puis faire une plaisanterie sur les champignons blancs ça ne fait pas rire les Japonais (Hiroshima mon amour) et Sarkozy n'aime pas les champignons !"

Concernant ce qui en français est désigné sous l’expression de « champignon atomique », les Japonais parlent par métaphore, de キノコ雲 → KINOKO-GUMO (soit KINOKO pour champignon et KUMO pour nuage) et non pas de white mushroom.
Vous saisissez la différence ? Oui, non ?

D’où savez-vous que Sarkozy ne goûte pas les mushrooms ?

Enfin, il est possible que je cite beaucoup, avec guillemets lorsque je n’ai pas eu besoin de rectifier le texte cité, et la raison principale en est la suivante :
1. J’ai appris à m’éviter et à éviter à mon éventuel lecteur, les affirmations arbitraires.
2. Dans mes domaines de compétence ainsi que dans ceux auxquels il m’arrive de m’intéresser à une occasion ou une autre, en l’espèce la production et le commerce des champignons comestibles de grande consommation, j’observe régulièrement que des gens censés être des experts commettent de telles énormités, dues soit à des défaillances de mémoire, soit à un défaut de vérification, soit à une paresse de mise à jour de connaissances, que de rendre visible l’accès à une information simple est une manière de leur dire, quand on veut s’éviter de dire une grosse co…rie, ou d’imputer à autrui son propre manque de connaissances en le critiquant mal à propos, on peut de nos jours le faire très facilement et ce n'est pas parce que le savoir vient d'ailleurs que de notre propre gibecière ( = contenant d'un savoir glané et ou élaboré précédemment à son emploi en telle ou telle circonstance), que ça dispense de penser et/ou réfléchir à ce qu'on dit.

3. Prendre le temps de rechercher et/ou vérifier de quoi étayer une opinion et mettre en forme un § documenté réutilisable au besoin tel quel avec guillemets ou via une réappropriation plus ou moins élargie, est une déformation professionnelle. J'ai cependant la prétention de croire qu’elle est préférable à celle de ceux qui pensent que la vérité ou l’exactitude des faits procèdent sui generis de leur propre génie.

yamamotokaderaté

@ Catherine JACOB | 14 mars 2018 à 21:38

En matière de guillemets, hum, il me semble que vous les oubliez en permanence, en outre laissez les Chinois en paix vous avez assez des Japs !

Et puis faire une plaisanterie sur les champignons blancs ça ne fait pas rire les Japonais (Hiroshima mon amour) et Sarkozy n'aime pas les champignons !

Achille

@ yamamotoqaderaté | 14 mars 2018 à 13:07

Il est vrai que si Catherine JACOB et Noblejoué pouvaient échanger leur adresse e-mail ou leur 06, via l’intermédiaire de Pascale Bilger, cela permettrait de libérer le blog de leurs conciliabules interminables et particulièrement soporifiques.
Heureusement un petit coup de doigt glisseur et on passe au commentaire suivant…

Catherine JACOB

@ Noblejoué | 15 mars 2018 à 03:09

Je crois qu'il faut faire la différence entre un auteur, des travaux scientifiques et une info crédible dans tel ou tel domaine.

Quand, à la façon des anciens, vous citez un auteur sans guillemets et sans l'identifier, de nos jours c'est une tromperie, vu que rares sont les lecteurs qui identifient tout seuls, même les classiques.
Quand vous vous attribuez les travaux d'autrui c'est en plus un dol.
Quand vous reprenez une info, avec ses guillemets lorsque vous en reprenez le texte tel quel, ou sans lorsque vous le modifiez et qu'il ne s'agit pas d'un travail universitaire, il est de nos jours difficile d'en citer également l'auteur initial, vu que vous pourrez retrouver la même info, dans le même texte, sans auteur, sur un nombre impressionnant de sites différents.

Noblejoué

@ Catherine JACOB, suite (mon ordinateur a eu besoin de redémarrer, je ne le contrarie pas...)

En fait, on peut dire que vous avez su faire d'une faiblesse une force... Vos pairs ne vous accueillent pas parmi eux ? Vous faites de la formation pour adultes, que ce soit professionnellement ou ici.
Est-ce que "tout ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort" ? J'ai toujours pensé que ça sonnait bien, mais qu'enfin, je ne dis pas pour vous, mais d'autres, si on a quelque chose de brûlé en soi, on peut toujours rester plus ou moins impassible entre la mort et le diable, on ne peut prétendre en sortir renforcé. J'espère toutefois que vous êtes bien dans le cas supposé par Nietzsche.

Et que le vent tourne.

Le livre sur les champignons croisait plusieurs sujets et avait une approche vraiment inhabituelle, en serait-ce un signe ? Je l'espère en tout cas, pour le monde et singulièrement pour vous.
En tout, il y a des forces d'uniformisation, par exemple, et sans qu'il y soit de sa faute mais l'excès de son succès, l'influence de Parker en vin ou la manie de les boiser, même avec des copeaux, et des résistances à cette pesanteur, on dira, voyons, la redécouverte de vieux cépages, terroirs et l'essai de refaire du franc de pied.

La logique de ma prose veut que je vous souhaite la santé et autres vœux qu'on porte d'un cœur plus joyeux en groupe devant un bon verre qu'ailleurs, mais comme on ne sait jamais si cela ne sera pas mal pris dans un autre contexte, ce n'est, après tout, comme d'ailleurs tout ce que j'aurais pu avancer, qu'une suggestion.

Noblejoué

@ Catherine JACOB
"Vous connaissez l'usage des guillemets ? Ils indiquent qu'effectivement les extraits entre guillemets sont des citations d'un autre auteur que vous-même. Depuis quand est-il interdit de citer autrui afin de ne pas chercher à NE donner l'illusion que l'on est cultivé(e) ?"

En fait, il y a pire. Des gens qui ne disent pas que leur pensée vient de tel ou tel auteur, et qu'on peut prendre, à première vue, d'un créateur, puis croire qu'ils sont, c'est toujours ça, cultivés, mais en fait, loin de ce qu'on aurait pu supposer... En somme, deux couches d'illusions masquant, si ce n'est du vide, du pas grand-chose.
Ceci dit, il ne s'agit pas forcément d'intention de tromper mais de confusion mentale et autre limitation, et mieux vaut cela que rien du tout, sans compter qu'une relative appétence pour la culture permet toujours de progresser un tant soit peu.

Pourquoi, en effet, devriez-vous enfouir votre culture comme la lumière sous le boisseau ? Encore, si vous la présentiez avec lourdeur, on comprendrait la réaction, confondant une présentation fastidieuse avec la culture elle-même, mais là...
Les gens attaquent toujours ce qui est différent d'eux. En plus, ils sont incohérents : ils reprocheront les manques, de culture, par exemple, des uns, et l'excès, comme s'il pouvait exister, des autres. Enfin, ce qui compte est de condamner, ce pourquoi Nietzsche avait toutes les apparences du vrai quand il disait qu'on avait inventé la morale pour ce bel office.

Les Japonais ont de de la chance de vous avoir... Ce n'est pas que les cultures d'Afrique noire m'intéressent plus que ça, mais enfin, je regrette pour la défense des Noirs et de la diversité culturelle qu'ils n'aient personne comme vous pour essayer de combattre les préjugés.
Je dois quand même dire que ceux qui s'y essaient quand même ont du mérite.

Robert Marchenoir

@ Aliocha | 14 mars 2018 à 07:34

J'ai déjà prévenu, ici, que je n'étais pas candidat à la présidence de la République. Je ne me sens donc nullement requis de proposer des "solutions" pour tout et n'importe quoi, des cors aux pieds à la paix dans le monde.

De façon générale, je vous conseillerais de vous méfier des personnes qui ont des "solutions" à tout, même si elles ne se présentent pas aux élections.

Cependant, je m'étonne que vous découvriez mon intérêt pour les qualités civiques suisses ou américaines. J'en ai souvent parlé ici. Cela n'a d'ailleurs pas grand rapport avec mon portrait de Nicolas Sarkozy. Le type de corruption qu'il incarne, celui du lobbyiste en faveur d'intérêts étrangers, est largement représenté aux Etats-Unis.

Et je ne vois pas en quoi le fédéralisme serait un antidote à la corruption. La Russie est (sur le papier) une République fédérale ; c'est pourtant l'un des pays les plus corrompus du monde. Je ne vois pas non plus le rapport entre l'équilibre des pouvoirs au sein de l'Union européenne et l'une des grandes interrogations politiques de notre époque, celle qui oppose la démocratie libérale traditionnelle aux nouvelles "démocraties illibérales" (si cet oxymore a un sens), dirigées par des chefs autoritaristes qu'on appelle, faute de mieux, "populistes".

Cela, c'est un vrai débat, qui préoccupe les peuples occidentaux en ce moment, et qui pose en effet des questions fondamentales. Nicolas Sarkozy a fait semblant d'aborder cette question à Abou Dabi, alors qu'il s'est contenté, en réalité, de promouvoir ses intérêts financiers personnels d'attaché de presse de luxe (et, accessoirement, de confirmer ses propres tendances autoritaristes) : voilà quel était l'argument de mon commentaire.

Puis-je, d'ailleurs, vous faire remarquer amicalement qu'il est un peu gonflé de votre part de me réclamer des "solutions", alors que d'une part, vous-même, vous n'en proposez aucune (ou alors, si nébuleuses qu'elles sont parfaitement incompréhensibles) ; et que d'autre part, lorsque j'en propose, comme sur la question de l'immigration que vous évoquez ici, vous vous contentez de les dénigrer avec l'éternelle ironie qui, en France, passe trop souvent pour de l'esprit, sans vous donner la peine de réfuter le moindre de mes arguments.

Au fait, pourquoi parlez-vous, ici, de "couleur de peau" ? Non seulement il n'en est question ni dans le billet de tête ni dans mon commentaire, mais je n'ai jamais, sur ce blog, parlé de couleur de peau. J'ai parlé de race, ce qui est tout à fait différent. Ce sont les "anti-racistes" autoproclamés qui prétendent que la race n'est qu'une question de couleur de peau.

Et donc "n'a aucune importance", et, simultanément, "n'existe pas" (il faudrait savoir...). Il y a, au contraire, des hommes de nombreuses races différentes qui ont une couleur de peau identique.

Si les gens comme vous écoutaient réellement les "racistes" comme moi, et se pliaient à l'obligation morale de tenir compte des faits et des arguments qu'on leur expose, alors vous cesseriez de tourner en rond comme un hamster dans sa roue, en répétant toujours les mêmes mots-clés dans les mêmes circonstances, et on pourrait peut-être commencer à tenir une vraie discussion.

Quant à ma philosophie de politique générale, elle est libérale-conservatrice. Je n'en ai jamais fait mystère. Tous les "diagnostics" et même les "solutions" que j'ai pu proposer ici vont dans ce sens.

Catherine JACOB

@ yamamotoqaderaté | 14 mars 2018 à 13:07

Vous connaissez l'usage des guillemets ? Ils indiquent qu'effectivement les extraits entre guillemets sont des citations d'un autre auteur que vous-même. Depuis quand est-il interdit de citer autrui afin de ne pas chercher à NE donner l'illusion que l'on est cultivé(e) ?

Ça faisait longtemps que je n'avais pas été agressée par un tr.. d. c.l sur ce blog. Ça me manquait !
Et puis franchement, ce pseudo en forme de blague raciste éculée, ça faisait rire mes camarades d'école à la maternelle du temps où on pouvait rire de tout et n'importe quoi. Mais bon, un jour ou l'autre, il faut grandir et poser les masques.

Noblejoué

@ Catherine JACOB
"On pourrait croire qu’il s’agit là d’une chose naturelle et commune. Détrompez-vous. Ces gens-là se rencontrent rarement et sont d’autant plus précieux"

Si vous saviez ce que je pense de la plupart des gens ! En contraste, des meilleurs, d'où, parfois, un enthousiasme mal perçu. Plus aucune importance... J'ai cru bien faire en vous soumettant des idées pour percer les barrières d'incompréhension du monde, puis avoir mal fait, je ne sais vraiment plus.

Parfois, on est coincé, tenu d'agir sans certitude, et quoique innocent, obligé de s'excuser... Imaginez voir un homme se débattre dans l'eau en poussant des cris.
On peut penser qu'il se noie, et ne l'a pas fait exprès. S'il vous dit que si, il se suicidait et que vous l'avez condamné à la prolongation de son malheur ? Je m'excuserais le plus possible alors que je n'aurais pas pu agir autrement, même pas dans l'ignorance de la possibilité d'erreur, mais parce que laisser se noyer qui veut vivre est plus probable et pire.

Voilà, voilà, j'ai peur de mal faire en vous soumettant les idées qui peuvent me venir, et de plus mal faire en m'abstenant. A vrai dire, je m'étonnerais que personne n'ait eu la moindre inspiration, mais si on jouit éventuellement des découvertes des chercheurs ou des écrits des romanciers et autres essayistes, les créateurs n'ont qu'à crever. Si vous saviez ce que je pense des gens ! Mais en somme, ils ne se sont pas créés, et le mépris est une facilité, alors j'essaie de ne pas en penser ce qui me vient spontanément à l'esprit mais de chercher les causes du désastre.
Ou sinon, de me divertir, à ce propos, je redis que j'apprécie beaucoup la connaissance et le style que vous nous fournissez... Je ne vais pas mesquinement vérifier s'il peut y avoir, parfois du copier coller : savoir extraire l'information, savoir citer est aussi créer.

Espérons que nous tirions tous le maximum de vos interventions, et si le monde était un tant soit peu juste, que quelque éditeur traînant sur ce site vous donne carte blanche.

Que vous souhaiter ? D'être toujours inspirée et qu'on vous rende justice.

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