Des artistes et des intellectuels - une cinquantaine - ont signé un appel pour manifester le 5 mai contre la "politique libérale et autoritaire" du président de la République.
Il a été publié dans Libération et sur le site du magazine Regards, codirigé par la députée LFI Clémentine Autain.
Le 5 mai devra être "festif et revendicatif". Parce qu'il est clair que l'heure est grave et que la France est en péril !
Qu'on en juge par le ton de cet écrit alarmiste.
"Depuis un an les inégalités sociales et territoriales s'aiguisent, les services publics et les biens communs sont attaqués. Les libertés publiques et le droit d'asile sont menacés. La démocratie vacille. La colère s'exprime de toute part..."
Nous qui ne sommes ni intellectuels ni artistes, nous devons manquer de lucidité car les généralités sombres de ce tableau déprimant ne nous sont pas apparues. On devine avec quelle volupté militante on a décrit notre pays comme un enfer, en voie de total délitement et de déchéance démocratique !
Ces personnalités indignées vont suivre ce que le député LFI François Ruffin avait déjà proposé le 4 avril : "une grande manifestation nationale" le 5 mai.
Parmi elles il y a des maniaques des manifestes, pétitions et appels. Leur absence nous aurait presque fait de la peine tant leur nom était devenu une douce habitude pour des citoyens n'aimant pas être troublés et perdre leurs repères !
Je ne sous-estime pas l'odeur de poudre révolutionnaire et de lutte finale que ces intellectuels et artistes vont avoir le bonheur de sentir le 5 mai. Sortis des pensées et des spectacles en chambre, ils se projetteront dans la grande Histoire et on comprend que pour pouvoir jouir d'un tel frisson, il fallait bien tordre la réalité, caricaturer la politique, inventer un désastre national et accabler le président de la République.
En même temps comment ne pas leur pardonner, eux qui sont complètement égarés face à un univers du pouvoir qui ne ressemble pas à ce que leurs préjugés et leur sensibilité de gauche, voire d'extrême gauche les avait accoutumés à observer et à dénigrer ?
D'abord - ce n'est pas un détail pour moi et, je l'espère, pour eux -, le couple Macron, dans sa quotidienneté, est d'une intégrité absolue, règle rubis sur l'ongle toutes ses dépenses personnelles, des croquettes pour chien au dentifrice, et rembourse l'Etat quand il use des moyens de celui-ci à des fins privées. Ce retour de la pratique du général de Gaulle, en tout cas pour l'intendance, fait du bien à notre démocratie qui souvent s'indigne pour les transgressions minimes et tolère les graves.
Ensuite ces intellectuels et ces artistes - quelle présomption, d'ailleurs, que de laisser croire qu'il y aurait là comme par magie une source de vérité ! - n'ont pas d'autre opportunité que de s'en prendre directement au président de la République.
La ministre de la Culture est trop inconsistante pour qu'ils puissent concentrer et limiter leur hostilité à son niveau. Et pas assez remarquable pour les convaincre de seulement se suffire d'elle. Ils sont condamnés à sauter par-dessus cette erreur de "casting" pour cibler sans aucune nuance Emmanuel Macron. Ce qui est excessif est évidemment insignifiant.
Surtout, ce président, dont ils avaient tant espéré, le croyant sur le même moule qu'eux, est insupportable parce qu'il présente des qualités et des dispositions qui les mettent mal à l'aise et donc les incitent à une surenchère absurde.
Un intellectuel qui n'a rien à leur envier pour la vigueur et la complexité de la pensée, la réflexion sur le pouvoir et l'analyse de sa pratique. Ses cogitations ne sont pas seulement imprégnées d'abstraction généreuses, elles n'excluent pas le réel et sa dureté. Même si sur le plan politique elle est aussi critiquable qu'on veut, on ne peut mépriser cette personnalité.
Un président de la République qui accomplit ce à quoi il s'est engagé, qui assume la verticalité du pouvoir et, je suis navré de devoir le rappeler à ceux qui oublient trop vite le passé, s'efforce chaque jour de constituer l'apparence et l'allure comme des données consubstantielles à l'exercice du pouvoir.
Un chef de l'Etat dont même les pires adversaires reconnaissent le courage et qui ne cède pas à la moindre opposition.
Une volonté de tenir les deux bouts de la chaîne et, par exemple, de lutter contre l'immigration tout en respectant le droit d'asile. Mais en veillant à l'efficacité - dans un cadre républicain - de la lutte et à l'authenticité du droit d'asile. S'il n'avait été qu'un pur intellectuel, il lui aurait été si commode de s'en tenir au "il n'y a qu'à" !
Que ces intellectuels et artistes se rassurent : il y a encore de la gauche en Emmanuel Macron et par moments on a envie de le pousser avec une bourrade citoyenne pour l'inciter à ne pas placer du mauvais côté politique et social tout ce qui ne l'intéresse pas vraiment, par exemple la Justice.
Nulle obligation de faire preuve d'aveuglement à l'égard d'Emmanuel Macron pour juger détestable l'appel de ces personnalités s'illusionnant sur leur pouvoir. Parce qu'au fond ils envient et donc feignent de mépriser celui du président de la République. Qui n'aura pas peur le 5 mai.
@ duvent | 04 mai 2018 à 17:48
"(libera me Domine !), seriez-vous l'époux de la reine, l'époux de la reine, le roi M... ?"
Amen hélas !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 05 mai 2018 à 12:22
@ Robert Marchenoir
Dites donc, Marchenoir, seriez-vous susceptible ?
Moi, je ne le suis pas du tout, dès lors, j'ai été très amusée par mes épousailles avec Todd et qui vous voudrez...
Par ailleurs, que ayez raison ou tort n'interdit pas aux autres d'avoir un avis.
Je constate que vous n'aimez pas la soupe que vous servez abondamment et c'est normal, puisqu'elle n'est pas bonne...
Personne n'a ici d'obligation vis-à-vis de Marchenoir, c'est incroyable mais c'est vrai...
Si vous n'êtes pas satisfait des commentaires de certains, c'est que la fin du monde est proche...
Tout de même je m'interroge, depuis que vous m'avez mariée, j'aimerais beaucoup que vous me libériez d'un doute (libera me Domine !), seriez-vous l'époux de la reine, l'époux de la reine, le roi M... ? (La musique adoucit les moeurs !)
Rédigé par : duvent | 04 mai 2018 à 17:48
@ duvent | 04 mai 2018 à 11:16
Vous mentez, duvent, comme à votre habitude. Vous mentez, vous calomniez, bref vous trollez. Je vois mal comment je pourrais, ici, terroriser qui que ce soit. Vous êtes terrorisée par mes écrits ? Dans ce cas, je vous conseille de vous faire soigner. C'est un signe de pathologie mentale.
Contrairement à ce que vous prétendez, j'adore la contradiction. Le problème est que, sur le sujet dont il est question, personne ne m'a contredit, justement.
Pas plus Robert, qu'hameau dans les nuages ou que vous-même.
En revanche, ce que vous savez très bien faire, ainsi que les susnommés, c'est détourner la conversation au profit d'attaques personnelles. Ca, vous savez faire. Je dirais même que c'est tout ce que vous savez faire.
Robert a, ici, diffusé une fausse nouvelle dont j'ai prouvé le caractère fallacieux. Il ne m'a pas contredit : il s'est donné le ridicule de prétendre m'interdire de commenter ses commentaires. Et vous avez cru bon de hurler avec les loups.
Etes-vous l'épouse de Roland Hureaux, dont j'ai démasqué ici l'imposture ? Celle d'Emmanuel Todd, dont j'ai dénoncé la qualité d'agent d'influence russe ? Ou, simplement, un troll ordinaire de sexe féminin ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 mai 2018 à 15:44
@ Robert Marchenoir
Vous vous méprenez Marchenoir, et il semble que vous soyez totalement incapable d'accorder aux autres la moindre possibilité d'exister hors votre critère normatif, vous aimez à l'excès terroriser vos contradicteurs ce qui n'est pas particulièrement impressionnant venant d'un mégalomane tel que vous.
Je ferai cours et clair, les femmes sont des hommes comme tout le monde, l'idée que vous vous en faites nous dit qui vous êtes, et ce n'est pas un sujet de gloire...
Ici, M. Bilger permet à chacun l'expression qui lui convient le mieux, et qui ne vous satisfait pas, peut-être n'êtes-vous pas coutumier de l'échange respectueux, soit, mais dites-nous s'il vous plaît quelle loi vous autorise à imposer des règles décidées par vous seul en matière d'intervention ?
Sommes-nous à votre solde ? Etes-vous notre maître à penser ? Devons-nous vous rendre hommage ? Êtes-vous Dieu ? Je ne pense pas. Dès lors, il me semble que vous devrez faire l'effort d'admettre l'autre comme possible contradicteur, même si quelquefois c'est (horresco referens...) une femme. Tâchez de souffrir en silence, mon héros !
Rédigé par : duvent | 04 mai 2018 à 11:16
@ Robert | 03 mai 2018 à 15:28
"Je reste soucieux de civilité."
Mais bien sûr.... La "civilité" selon Robert :
"Tous ici connaissent votre prétention mégalomaniaque à disposer de la Vérité sur Tout et sur Chacun. Vos commentaires pisse-vinaigre ne sont, en ce qui me concerne, d'aucun intérêt."
Qu'est-ce que ça doit être, quand vous décidez d'être malpoli... En tous cas, il y a une chose dont vous ne vous souciez nullement, c'est la vérité. Nous attendons toujours vos preuves selon lesquelles Roland Hureaux aurait raison, lorsqu'il affirme que le New York Times a pratiquement passé sous silence la visite d'Emmanuel Macron à Washington.
Vous aurez du mal, puisque je viens de vous prouver le contraire. Mais étant, contrairement à vous, un esprit ouvert, je suis prêt à admettre mes torts si vous nous démontrez qu'Hureaux, et Boulevard Voltaire avec lui, disent vrai, et que les pièces que j'ai versées au dossier sont fausses. Après tout, nous sommes sur un blog juridique, n'est-ce pas ?
Apparemment, votre genre à vous, ce serait plutôt le mensonge onctueux et sucré ; suivi de "commentaires pisse-vinaigre", comme vous dites, lorsqu'on démasque votre malhonnêteté... C'est typique de tous les escrocs, qui parlent beau, puis se transforment en chiens éructants sitôt que leurs entourloupes sont éventées.
Quant au troll féminin duvent (à l'origine, ce vice était essentiellement pratiqué par des hommes : encore une "victoire" des féministes !...), comme toutes les bigotes qui passent leur temps à écarter leur rideau et à médire sur quiconque traverse la grand'place, elle vit, elle aussi, de mensonge et d'hypocrisie en prétendant discerner une "grossièreté" et des "invectives vulgaires" dans mon texte, qui ne comporte rien de tout cela. La grossièreté, elle est dans votre comportement sur ce blog, duvent.
Amusant aussi, le socialisme incarné (comme on parle des ongles incarnés) de hameau dans les nuages, selon lequel, puisque lui n'écrit guère que des commentaires de quatre ou cinq lignes, tout le monde devrait limiter ses interventions à cette longueur. Sans compter qu'il est soumis à des souffrances atroces, parce qu'il doit tourner la roulette de sa souris pour passer les textes qu'il n'aime pas.
Depuis des millénaires, l'homme a souffert le martyre du fait de la famine, du froid, de la maladie, des guerres. Dans la France de 2018, des "anti-système", sûrs de leur bon droit, se plaignent parce qu'ils doivent imprimer, avec l'index, un mouvement de rotation à la molette de leur souris, afin de faire défiler des textes qui leur sont offerts gratuitement, et qui ne les intéressent pas spécialement.
Herman Kerhost avait raison de parler de chochottes. On pourrait aussi parler de vieux enfants gâtés.
Dans le même ordre d'idées, le camarade Achille nous informait tantôt que, lui-même ne prenant guère plus de cinq minutes à torcher ses interventions, eh bien il était absolument inadmissible que d'autres tentent de faire plus long et plus approfondi.
L'ode à la médiocrité et à l'égalitarisme, un vice qu'on ne rencontre à ce point dans aucun pays de la planète. Pas étonnant que nous soyons le seul pays dont le président ose dire : "Eh oui, que voulez-vous, je n'aime pas les riches !". Sans même plus se cacher derrière un quelconque prétexte de justice ou de générosité. La haine jalouse à l'état brut, et fière d'elle-même, en plus.
Le socialisme, il ne s'exprime pas seulement dans les bulletins de vote : il est vaporisé en d'épais nuages neurotoxiques au-dessus de notre pays, depuis 70 ans et plus. Les gens respirent socialiste, ils mangent socialiste, ils pensent socialiste, ils causent socialiste. Et ils ne s'en rendent même pas compte.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 mai 2018 à 00:00
@ duvent | 03 mai 2018 à 10:26
Vous avez en tous points formulé, mieux que je ne l'aurais fait, la réponse que j'aurais souhaitée aux propos de monsieur Marchenoir.
J'ai décidé désormais ni de lui répondre (ce serait perdre mon temps inutilement et j'ai bien d'autres priorités et occupations), ni de lire ses interventions.
Je reste soucieux de civilité et c'est le mot que je retiens de votre commentaire. Enfin je vous remercie très sincèrement de la vôtre : comme vous je me refuse à donner dans "l'invective vulgaire".
Rédigé par : Robert | 03 mai 2018 à 15:28
@ Claude Luçon
« Avec un alias pareil (...) »
Je ne me suis pas expatrié, je me suis contenté de fuir Paris, ses rats, ses socialistes et autres nuisibles...
Rédigé par : Exilé | 03 mai 2018 à 14:20
@ Robert Marchenoir | 03 mai 2018 à 02:48 @ Robert
Il n'existe pour Marchenoir que quatre possibilités pour ceux qui envisagent de le contredire :
1) la réfutation
2) la gratitude
3) le silence
4) celle de Robert ici.
Relisons pour notre plus grand plaisir la troisième possibilité qui est sans doute la meilleure : « Ne rien dire ». La solution la plus simple, la plus prudente et la plus universelle.
Tout cela est très rassurant, il m'avait semblé suite à l'intervention des défenseurs de Marchenoir que celui-ci était en difficulté, ou qu'une cabale s'était ourdie quelque part, peut-être en Russie...
Dès lors, il est peut-être envisageable, après cette vérification que Marchenoir bouge encore, de lui opposer un avis.
Que ses admirateurs soient sans inquiétude, il ne s'agit pas d'anéantir l'idole furieuse, non, il s'agit de ne pas partager cette vision binaire et certainement pathologique, dont la nuance réside dans l'absence de nuance.
Il n'est pas convenable de trouver appropriées les invectives et quiconque trouverait que la grossièreté a sa place dans les discussions ne saurait revendiquer la civilité.
Il est entendu que Marchenoir passe le plus clair de son temps à nous démontrer avec force la réalité de ses assertions, ce qui les rend suspectes c'est que sa propre argumentation ne lui suffise pas pour soutenir son propos, et qu'il pense utile et nécessaire de faire usage de l'injure.
Il y a là une inquiétude à avoir, en effet, quel but poursuit-il ? A ce jour, celui-ci est encore flou, inconsistant et loin d'être atteint.
Marchenoir voudrait-il nous persuader, nous séduire, nous gagner à sa cause ? Non, car il s'y prendrait autrement.
Marchenoir voudrait-il voir le monde entier baigner dans une vie heureuse ? Non, car il s'y prendrait autrement.
Marchenoir voudrait-il nous sauver, nous préserver, nous protéger ? Non car il s'y prendrait autrement.
Marchenoir voudrait-il nous voir partir en guerre ? Peut-être...
Dans ce cas il serait utile de nous faire la liste exhaustive de nos ennemis, afin que nulle surprise ne nous assaille lors de ce combat juste.
Je crois avoir compris que dans un premier temps la Russie est au sommet de cette liste délétère.
Pour ceux qui imaginent que seuls les arrogants, seuls les vaniteux, seuls les aboyeurs ont la raison et la force de leur côté, je dirai simplement qu'ils se trompent, et c'est assez pathétique de voir des têtes chenues se griser de l'invective vulgaire.
Rédigé par : duvent | 03 mai 2018 à 10:26
Ma souris a été prise au piège d'un certain commentaire. Sa roulette a cédé. Je ne vais pas en faire un fromage mais quand même c'est à la limite de la politesse d'occuper l'espace ainsi en ne laissant pas aux invités le temps de respirer, donnant un avis critique sur tous les plats, sur les manières, l'habillement, le mode de vie, la profession et les propos tenus à table et tout cela en jouant à l'invité mystère. Vivant aux Etats-Unis il voit chaque soir avec effroi le soleil décliner vers l'Empire du Mal. "Ils" ne vont pas le rendre. Ça et les attaques de renards.
A 2h48 du matin il n'y a plus de métro et notre hôte par éducation est obligé de l’héberger dans la chambre "d'ami".
https://www.youtube.com/watch?v=JELm6NkF7yY
Rédigé par : hameau dans les nuages | 03 mai 2018 à 10:11
@ Wil, le 02 mai 18h40
Oui, effectivement les Parisiens ont eu de la chance...
Mais en politique, finalement, le pire est toujours à prévoir.
Gérard Collomb, qui sait depuis longtemps que le ridicule ne tue pas, y est allé de sa petite formule en déclarant à la suite de ces événements : "Nous avons évité des morts et la guerre civile".
Bim, la voilà la formule magique, celle qui va pouvoir être recyclée à chaque fois qu'il faudra justifier la lâcheté, le laisser faire et le je-m’en-foutisme.
Les voitures qui crament au Nouvel An, les banlieues perdues, le foutoir de Calais, les ZAD, les diverses émeutes, nos futurs Gérard Collomb pourront toujours nous le ressortir "On n'a rien fait mais on a évité des morts et la guerre civile".
Alors, franchement, on n'est pas bien dans ce nouveau monde ?
Rédigé par : GLW | 03 mai 2018 à 08:14
@ Giuseppe | 02 mai 2018 à 15:12
Permettez-vous, je vous en prie, c'est en effet mon surnom... Je suis sûr que, dans votre activité professionnelle, vous avez dû vous appuyer bien plus long et plus compliqué.
En ce qui concerne d'hypothétiques coups sous la ceinture, j'ai déjà fait connaître la règle à laquelle je m'astreins : je respecte les lois du débat civilisé à l'occidentale, mais si un collègue s'avise de préférer les règles du MMA, je m'adapte.
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@ Robert | 02 mai 2018 à 11:14
Vous aviez différentes solutions pour réagir à mon commentaire :
1. Réfuter mes preuves, ou prouver les assertions de Roland Hureaux. Je mentionne cela pour mémoire, car je ne vois pas comment ce serait possible. Mais sait-on jamais...
2. Me remercier pour vous avoir fait découvrir votre erreur, et vous avoir évité de diffuser davantage cette fausse nouvelle. Cela aurait été la solution la plus normale, la seule qui aurait permis de témoigner de votre honnêteté -- et aussi, je m'empresse de préciser, celle que pratiquement personne n'adopte, en pareil cas, sur la blogosphère française.
3. Ne rien dire. La solution la plus simple, la plus prudente et la plus universelle.
4. Celle que vous avez choisie, qui vous ridiculise et qui prouve votre complicité avec les services secrets russes, et la désinformation qu'ils déversent sur la France. Elle est tellement mignonne, que je ne résiste pas au plaisir de l'encadrer :
"Je vous prierai de vouloir bien à l'avenir vous abstenir de commenter mes commentaires. Tous ici connaissent votre prétention mégalomaniaque à disposer de la Vérité sur Tout et sur Chacun. Vos commentaires pisse-vinaigre ne sont, en ce qui me concerne, d'aucun intérêt."
Il a dû vous échapper que je n'ai pas commenté votre commentaire, mais l'opération de désinformation organisée, ou relayée, par Roland Hureaux.
On admirera le culot de l'anonyme qui intervient dans un débat, et qui prétend interdire à qui que ce soit de le contredire. Sur Internet, en plus, où c'est techniquement impossible... C'est vous, le mégalomane. Vous vous prenez pour qui, exactement ?
Concernant le sujet qui nous occupe, il se trouve que je dispose, effectivement, de la vérité, et que vous avez tort. Pour une raison toute simple : je l'ai cherchée, et je l'ai trouvée. C'était à la portée de n'importe qui. Même de vous, qui sait ? Encore faut-il s'en donner la peine.
Maintenant, si vous avez des preuves que la vérité est différente, que ne les publiez-vous pas ?
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@ Herman Kerhost | 02 mai 2018 à 13:18
Merci pour ce moment, si j'ose dire. J'ignorais cette interview sur France Culture : j'évite d'écouter Emmanuel Todd. Il me donne la nausée.
Il est profondément pénible, pour un patriote, d'entendre un traître à la nation se pavaner des dizaines de minutes durant à la radio ou à la télévision d'Etat, pour cracher sur son pays, calomnier les Français, diffamer la politique étrangère de son gouvernement, et se faire le porte-parole des intérêts d'une puissance étrangère qui se livre à une guerre hybride contre la France et ses alliés.
Je n'ai pas pu tout écouter, c'était trop pour moi. Mais j'ai quand même relevé :
"La Russie ne menace aucunement l'Angleterre."
Bah non, à part se livrer à une attaque à l'arme chimique sur son sol, interdite par toutes les conventions internationales, et à part avoir tenté de truquer les résultats des élections de 2017 en sa faveur, par au moins 6 500 faux comptes Twitter automatisés, la Russie ne menace pas l'Angleterre. Prends-nous pour des imbéciles, tiens...
"Cette russophobie, cette fixation pathologique..."
Voilà, voilà... Etre opposé au gouvernement russe, c'est être un malade mental. Back to the USSR... où les opposant politiques étaient enfermés en hôpital psychiatrique.
"Je discutais avec mon copain Olivier Berruyer..."
Olivier Berruyer, officiellement, n'est qu'un "actuaire d'assurances", comme il l'annonce partout. Emmanuel Todd est un intellectuel avec tous les certificats qui vont bien, il a le CV, etc. Par quel miracle Berruyer est-il le "copain" de Todd ? Les hasards de la vie n'interdisent certes pas les amitiés entre personnes issues de milieux différents, mais tout de même...
Emmanuel Todd, malgré sa qualité manifeste d'agent d'influence du Kremlin (il émarge à Sputnik), possède un certain niveau culturel et intellectuel. Olivier Berruyer est l'auteur d'un site de propagande et de désinformation nommé Les Crises.fr, qui se caractérise par un niveau qu'on qualifiera, avec indulgence, d'assez bas de plafond. A l'exception de sa formation d'actuaire, il n'a aucune référence universitaire à son actif dans les domaines dont il se prétend le spécialiste, aucun article scientifique, aucun ouvrage de référence publiés en histoire, en relations internationales, en russologie, aucun poste d'enseignement, rien.
Par quel miracle ces deux-là sont-ils devenus "copains", sinon par le fait qu'ils seraient, tous les deux, des agents d'influence pilotés, dirigés et stipendiés par les services secrets russes, et non pas de simples idiots utiles ? C'est déjà évident pour Todd ; la caution donnée par ce dernier à Berruyer, alliée au caractère outrageusement poutiniste et mensonger des Crises.fr, amène à confirmer ce soupçon. Todd poursuit :
"Le niveau intellectuel des diplomates russes et des dirigeants russes est très supérieur à celui des Occidentaux. [...] Ils ont une vision du contrôle de soi. C'est ce qu'ils appellent professionalisme."
"Si vous êtes du côté russe, vous êtes dans un univers de rapport de forces rationnel et de maîtrise de soi. Si vous êtes dans le camp occidental, vous êtes dans un univers de passion incontrôlée, qui renvoie à des troubles psychiques que vous ne comprenez pas."
Les Russes sont grands, forts, blonds, intelligents, cultivés, aryens et maîtres d'eux-mêmes. Les Occidentaux sont faibles, tarés, ignorants, irrationnels, mûs par leurs humeurs, décadents, mentalement dérangés, et, pour tout dire, un peu juifs sur les bords.
"Toutes ces histoires de poison..."
Oui. Ce sont des histoires de poison. Le citoyen britannique Sergueï Skripal et sa fille n'ont pas été victimes d'une tentative d'emploisonnement par Moscou au novichok, arme neurotoxique, exclusivement et clandestinement produite par les Russes. Ce sont les Anglais eux-mêmes qui ont empoisonné l'un de leurs citoyens, qui est de surcroît l'un des transfuges les plus précieux du FSB russe, juste pour embêter Poutine et atténuer le succès de la coupe du monde de foot, qui doit se tenir en Russie (c'est l'une des 29 histoires à dormir debout, toutes différentes, diffusées par Moscou pour se dédouaner de son crime).
Un autre citoyen britannique, Alexandre Litvinenko, également transfuge des services secrets russes, n'a pas été empoisonné au polonium radioactif en plein coeur de Londres, par l'espion du FSB Andreï Lougovoï, et ce dernier n'a pas été "élu" membre de la chambre des députés russe, dans le seul but de lui garantir l'immunité parlementaire.
D'ailleurs, Lénine n'a pas créé, en 1921, un laboratoire unique au monde, destiné à assassiner à l'aide de poisons inconnus, rares ou indétectables, les ennemis du régime. Et ce laboratoire n'a pas permis l'assassinat d'un nombre considérable d'opposants, sous l'URSS puis sous le régime poutinien. A domicile comme à l'étranger.
Tout ça, c'est des "histoires", nous assure le grand universitaire français spécialiste de la Russie Emmanuel Todd. Contrairement à ce qu'ont établi depuis longtemps tous les historiens sérieux de la Russie, sans compter les transfuges des services secrets russes et des pays de l'Est. Et les archives qu'ils ont apportées avec eux.
Entendre tout cela, c'est aussi écoeurant que devait l'être, je suppose, d'entendre des personnalités françaises de la collaboration se répandre sur les ondes nazies. Le fait que ce monsieur puisse parader ainsi devant tous les micros et toutes les caméras, sans être appréhendé par les agents du contre-espionnage, montre assez que nous vivons en pays occupé.
Occupé par qui ? Eh bien, par les communistes et leurs descendants, qui éprouvent une affinité instinctive avec le régime poutinien qui allie l'autoritarisme, la haine de la liberté, le mépris de la vérité, le mépris de son propre peuple, le mépris de la vie humaine, la haine de l'Occident et en particulier des Etats-Unis, la réhabilitation du communisme, celle du nazisme et celle du tsarisme -- c'est-à-dire, pour une bonne part, la glorification du despotisme, de la cruauté et de la servitude.
Il est curieux qu'on nous casse les oreilles avec les "néo-nazis", les "néo-conservateurs" et les "néo-libéraux", mais qu'on ne nous parle jamais des néo-communistes, qui sont bien plus puissants et dont l'appellation, elle, est parfaitement justifiée : tout en conservant les principes du communisme (dictature exercée au nom de la libération des peuples, égalitarisme pour les autres et privilèges pour soi, haine de la démocratie et de la liberté, amour du mensonge, de la violence physique et de l'assassinat), ils en ont remplacé les bases théoriques obsolètes (le messianisme de la classe prolétaire, laquelle a trahi leurs attentes) par d'autres catégories sociales qu'ils manipulent dans le but d'asseoir leur pouvoir, les fameuses "minorités" : immigrés, femmes (!), homosexuels, handicapés -- et, maintenant, les animaux et la "planète". Comme ces derniers ne peuvent pas parler, au moins, on n'est pas embêtés...
Cela n'empêche pas les néo-communistes de rejoindre bien souvent la nouvelle extrême droite, qui ne partage pas toujours les opinions de ses nouveaux amis sur les "minorités", mais qui se retrouve avec elle sur la question russe, la haine de l'Amérique, de la démocratie et du libéralisme, et, en définitive, sur l'essentiel : la primauté de la force sur le droit, des chefs sur la masse servile, du mensonge sur la vérité, de la pensée magique sur la raison.
Et parfois, même, sur l'antisémitisme.
Ce curieux mariage est bien représenté par Roland Hureaux, le (poussif) désinformateur dont je viens de crever le minable ballon -- et je dois remercier Robert pour m'en avoir fourni l'occasion. Se disant gaulliste social, il a milité à la fois au RPR et chez Chevènement. C'est donc un homme de drouache. Il appartient à la droite de gauche. Mais celle-ci est un ensemble plus large, qui comprend toute la droite dite "de gouvernement"...
Aucune appellation ne convient véritablement pour ces gens-là. La plupart se reconnaîtraient sous l'appellation de souverainistes, mais c'est un peu culotté pour des gens qui se font, pour la plupart, les ventriloques serviles des intérêts russes contre la politique étrangère de leur propre pays. On peut dire rouges-bruns (mais tous ne sont pas aussi extrémistes), anti-système (ce qui, du coup, ne veut rien dire), anti-libéraux (un groupe nettement plus large)... Je propose d'ajouter à la liste : gaullo-communistes, bleus-blancs-rouges-bruns et fascistes modérés.
La première désignation a l'avantage d'une certaine pertinence historique (tous ces gens-là veulent retourner à l'époque prétendument paradisiaque où ces deux partis tenaient, en effet, le haut du pavé) ; la seconde présente l'inconvénient d'être fallacieuse (ces gens ne sont pas des patriotes, ce sont des collaborateurs, ce sont les pétainistes d'aujourd'hui et les communistes du pacte hitléro-stalinien) ; c'est la troisième, sans doute, qui est la plus proche de la vérité.
On pourrait dire, aussi : mussoliniens, d'autant que Mussolini n'était pas spécialement antisémite. Mais le personnage n'évoque plus grand'chose aujourd'hui.
Au passage, on sondera la profondeur de la décadence française en mettant en regard le cynisme et les mensonges de Roland Hureaux avec son parcours : ce monsieur est tout de même ancien de l'Ecole normale supérieure de Saint-Cloud, agrégé d'histoire, ancien de l'ENA et ancien préfet.
Si (hypothèse d'école), il venait à se défendre en disant : écoutez, j'ai repris ces informations de telle source que je croyais fiable, ou même : de telle personne que je connais bien et en qui j'ai toute confiance -- alors que tout le monde est au courant de l'opération de désinformation massive menée par les services secrets russes contre l'Occident, et de ses méthodes -- ce serait un peu comme si un ancien commissaire de police, pris sur le fait en train d'acheter un iPhone flambant neuf, dans une ruelle sombre, au tiers de sa valeur, à un inconnu qui exige un paiement en liquide, protestait : comment vouliez-vous que je sache qu'il était volé ? je croyais faire une bonne affaire, voilà tout !
Emmanuel Todd n'a même pas ces hypothétiques pudeurs. Il déclare, dans cette interview de France Culture :
"Moi, je rêverais d'avoir une décoration russe pour services rendus à la paix."
Au moins, sous l'URSS, les chefs du parti communiste "français" étaient-ils décorés en secret par l'URSS. A notre époque de déboutonnage et de cynisme généralisé, les traîtres ne cherchent même plus à se dissimuler. Quoi d'étonnant, alors qu'il a dit encore pire, au sujet de la guerre d'agression, d'invasion et d'annexion menée par la Russie contre l'Ukraine :
"Oui, je suis tout à fait capable de dire que je souhaite une victoire russe !"
Etant donné la culture historique d'Emmanuel Todd, il n'y a pas de doute qu'il a voulu, par là, faire une allusion aussi délibérée que cynique et provocatrice à la célèbre déclaration de Pierre Laval :
"Je souhaite la victoire de l’Allemagne, parce que, sans elle, le bolchevisme, demain, s’installerait partout."
Les appellations de pétaino-communistes, de facho-communistes, d'hitléro-communistes sont, on le voit, parfaitement justifiées pour ces gens-là.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 03 mai 2018 à 02:48
@ GLW
"Le 1er mai à Paris, des ultra-gauche mènent une guérilla dans les rues au nez et à la barbe des forces de l'ordre...
Et aujourd'hui, le Préfet de Police de Paris explique en décodé que finalement les CRS et autres Gendarmes mobiles ne servent à rien sur ce genre de manif..."
Les Parisiens ont eu de la chance que les Black Blocs ne soient "que" 1 200 et n'aient pas décidé d'envahir Paris et qu'ils manquent assez d'ambition pour se contenter de ravager seulement le boulevard de l'Hôpital.
Dormez en paix braves gens, la "fermeté" à la Macron est là pour vous protéger...
https://www.youtube.com/watch?v=8v77VIxElwM
Rédigé par : Wil | 02 mai 2018 à 18:40
@ Robert Marchenoir | 01 mai 2018 à 21:23
Bob - je me permets - j'ai beau me dire que je ne tiens pas la distance mais je m'accroche, je lis, un combat aux poings c'est le KO assuré, heureusement l'arbitre est là pour en sauver quelques-uns, attention aux coups en dessous de la ceinture ils sont interdits, ceci dit vous êtes le Sugar Ray Robinson de ce ring, "the greatest" en son temps.
Je suis sonné mais j'ai tenu jusqu'au bout.
Rédigé par : Giuseppe | 02 mai 2018 à 15:12
@ Robert Marchenoir | 01 mai 2018 à 21:23
Il y a aussi l'interview de Todd sur France Culture, mise en ligne sur YouTube par son ami... Olivier Berruyer, où après nous avoir faire croire (une fois de plus !) qu'il était du côté du monde anglo-saxon, il vante le régime de Poutine et nous raconte, très tranquillement, qu'il va "déjeuner régulièrement à l'ambassade de Russie" où il constate que "le niveau intellectuel des diplomates russes est très supérieur aux Occidentaux" (à 9'35") :
https://www.youtube.com/watch?v=iEldyA6jvJs
Rédigé par : Herman Kerhost | 02 mai 2018 à 13:18
@ Claude Luçon, le 02 mai 2018 à 00h27
Vous dites n'importe quoi.
Chacun est libre d'être d'accord ou pas avec les motifs des manifestations.
La manifestation autorisée est d'ailleurs un droit reconnu.
Par contre, maintenir l'ordre est uniquement du ressort de l'Etat qui doit veiller à la sécurité de tous les citoyens, même ceux qui défilent dans un cortège syndical.
Le ministre de l'Intérieur, le Premier ministre et le président de la République ont failli à leur mission et ceci de façon lamentable.
Rédigé par : GLW | 02 mai 2018 à 11:51
@ Robert Marchenoir | 01 mai 2018 à 21:23
Je vous prierai de vouloir bien à l'avenir vous abstenir de commenter mes commentaires.
Tous ici connaissent votre prétention mégalomaniaque à disposer de la Vérité sur Tout et sur Chacun.
Vos commentaires pisse-vinaigre ne sont, en ce qui me concerne, d'aucun intérêt.
Rédigé par : Robert | 02 mai 2018 à 11:14
@ Exilé | 01 mai 2018 à 19:51
Avec un alias pareil je n'ai jamais pensé que vous étiez français ni que vous viviez en France !
Je ne vous comptais pas parmi les 67 millions.
Rédigé par : Claude Luçon | 02 mai 2018 à 10:04
Une longue démonstration jubilatoire, étayée comme il se doit, qui se termine benoîtement par :
« Je dois vous quitter maintenant parce que j’ai rendez-vous à l’ambassade de Russie ».
La flèche qui foudroie !
Deux victimes au tapis !
Rédigé par : Zonzon | 02 mai 2018 à 09:50
Des artistes et des intellectuels - une cinquantaine - ont signé un appel pour manifester le 5 mai contre la "politique libérale et autoritaire" du président de la République.
Quand cessera-t-on de sortir du placard ces zartistes et ces zintellectuels en boîte, prêts à servir à chaque fois que des manipulateurs préparent un mauvais coup ?
En quoi ces gens-là représentent-ils une quelconque référence morale ou autre, par rapport à des millions d'autres Français qui sont loin d'être idiots et qui souvent les dépassent largement en matière de comportement dans la vie et de respect des valeurs voire des vertus authentiques ?
Rédigé par : Exilé | 02 mai 2018 à 09:43
Rire ou pleurer... Sans doute les deux mon Colonel.
A Notre-Dame-des-Landes, 100 baltringues arrivent à humilier 2500 gendarmes...
Toulouse, trois jours d'émeute pour le contrôle d'une femme voilée. Bagnolet, une guerre des gangs depuis plusieurs semaines, le chaos...
Le 1er mai à Paris, des ultra-gauche mènent une guérilla dans les rues au nez et à la barbe des forces de l'ordre...
Et aujourd'hui, le Préfet de Police de Paris explique en décodé que finalement les CRS et autres Gendarmes mobiles ne servent à rien sur ce genre de manif, leurs interventions pouvant même être désastreuses pour cause d'effets collatéraux...
Il est donc urgent de prendre contact avec Melle Cerise du célèbre groupe d'assurances pour être au moins remboursé des dégâts résultant du manque de courage de ce gouvernement et de ce chef d'Etat.
@ Breizmabro
Merci Madame, serviteur.
Rédigé par : GLW | 02 mai 2018 à 09:12
"Emmanuel Macron aura très peur le 5 mai !"
Pas si sûr !
Ceux qui auront le plus peur sont tous ceux qui ont un bureau ou un magasin sur le chemin de la manifestation.
Après le succès des casseurs aujourd'hui ils vont en redemander.
Il est étonnant de constater que les gros bras de la CGT sont beaucoup plus vaillants quand il s'agit de déshabiller un dirigeant d'Air France que de s'organiser pour contrer les casseurs qui ridiculisent leur défilé supposé pacifique.
Le 5 mai on verrait très bien Clémentine Autain en Jeanne d'Arc (elle ressemble d'ailleurs à Jean Seberg, une des premières Pucelles d'Orléans hollywoodiennes) charger les Black Blocs figurant les Anglais, et l'hologramme de Mélenchon (il ne faut pas lui en demander trop côté courage) en Dauphin Charles un foulard rouge au cou.
Artistes, intellectuels et syndicalistes n'ont pas encore compris, ou le font délibérément, ou sont incapables de penser - le plus probable -, qu'ils envoient systématiquement nos policiers au casse-pipe à chaque manifestation !
Quand on est bête, on est bête ! (J'avais un autre qualificatif en tête mais Pascale veille !)
Rédigé par : Claude Luçon | 02 mai 2018 à 00:27
@ Claggart (01 mai 2018 à 00:03)
"Mais comment donc ose-t-on commenter sur les croquettes du chien Macron le jour anniversaire de Camerone !"
Tout fout le camp, en effet cher monsieur !
Merci d'y avoir pensé.
Cordialement
Rédigé par : antoine marquet | 02 mai 2018 à 00:04
@ Robert | 01 mai 2018 à 11:27
"[Sur Macron,] on se garde bien de rapporter les avis de la presse étrangère. Sur ce point, un avis comme celui de Roland Hureaux mérite attention car il revient sur les points que j'avais soulignés, avec les mêmes réserves, voire en plus critique."
En effet. Il mérite attention, car il révèle que Roland Hureaux est un menteur, un producteur de désinformation, un fabricant (ou un relais) de fausses nouvelles destinées à manipuler l'opinion. Il nous offre un excellent cas d'école pour apprendre à débusquer les fake news.
Vous nous dirigez vers cet "article" de Roland Hureaux, publié sur son propre blog :
http://roland.hureaux.over-blog.com/2018/04/macron-chez-trump-valeurs-partagees-valeurs-bafouees.html
Il a été repris, sous une forme abrégée, par un site phare de "réinformation", Boulevard Voltaire, ce qui lui donne une diffusion plus importante (4 600 consultations à cet instant) :
http://www.bvoltaire.com/macron-chez-trump-valeurs-partagees-valeurs-bafouees/
Roland Hureaux prétend :
"Aujourd’hui la grande presse française vante de manière unanime la réussite de la visite de Macron aux Etats-Unis, la chaleur de l’accueil et l’importance de l’événement. Et naturellement, il ne faut rien en croire."
"Il fallait donc se tourner vers la presse américaine pour en savoir un peu plus. Et là, surprise, le New York Times, grand journal de référence s’il en est, ne parle pas de cette visite, sauf un dessin très méchant pour Macron le deuxième jour, les dépêches de Reuter, très factuelles, n’étant reproduites que sur le site."
"Le reste de la presse anglo-saxonne a été fort discrète. Pour la plupart des Américains, dût notre fierté nationale en souffrir, cette visite aura été un non-événement."
Il y a un seul bémol dans cette brillante "analyse" : elle est basée sur des faits entièrement inventés.
Une simple recherche sur le site du New York Times montre que le journal a consacré pas moins de 8 articles à cette visite d'Etat, certains fort longs, abondamment illustrés et tous écrits par les journalistes de la rédaction (contrairement aux mensonges de Roland Hureaux, il ne s'agit pas de dépêches d'agence).
La couverture a commencé la veille de l'arrivée d'Emmanuel Macron à Washington, et s'est achevée le lendemain de son départ. Soit 5 jours de couverture pour une visite de 3 jours. Un travail de grande ampleur, justifié par l'importance de l'événement pour les Etats-Unis.
Le 22 avril : Macron prend un risque en faisant la cour à Trump, avec de maigres résultats jusqu'à présent. Par Alissa J. Rubin et Adam Nossiter. Cet article, rédigé à Paris, comprend une vidéo de 3 mn, réalisée avec soin, signée Ainara Tiefenthäler : Ce qu'il faut savoir sur la relation entre Trump et Macron.
Le 23 avril : Emmanuel Macron tentera de convaincre Trump de ne pas rompre l'accord avec l'Iran sur le nucléaire. Par Peter Baker et Julie Hirschfeld Davis.
Le 23 avril : Le couple présidentiel bouleverse la tradition pour son premier dîner d'Etat. Par Katie Rogers.
Le 24 avril : Le premier dîner d'Etat de Trump : tous les détails (et quelques suppositions). Par Katie Rogers.
Le 24 avril : La "bromance" : Trump et Macron à nouveau réunis. Par Julie Hirschfeld Davis et Katie Rogers.
Le 24 avril : Trump se dit ouvert à un "nouvel accord" contraignant pour l'Iran. Par Peter Baker et Julie Hirschfeld Davis.
Le 25 avril : Macron critique la politique de Trump dans son discours au Congrès. Par Julie Hirschfeld Davis.
Le 26 avril : M. Macron à Washington. Editorial anonyme de la direction du journal, représentant l'opinion du quotidien en conclusion de la visite présidentielle. La présence de ce texte prouve l'importance que le New York Times accorde à l'événement, contrairement aux calomnies de Roland Hureaux.
Et c'est sans compter le fameux "dessin très méchant", qui a été publié, en effet (un dessin de presse, en général, est fait pour caricaturer les travers des politiciens...).
Mensonge, également, l'affirmation de Roland Hureaux selon laquelle "pour la plupart des Américains, dût notre fierté nationale en souffrir, cette visite aura été un non-événement". A en juger par les "preuves" qu'il fournit lui-même, c'est-à-dire le seul New York Times, les commentaires des lecteurs sont très nombreux sous ces différents articles.
Et, si les opinions sont contrastées, un nombre significatif sont élogieuses pour Emmanuel Macron : n'oublions pas que le New York Times est un journal de gauche. Beaucoup de ses lecteurs expriment leur haine de Trump dans leurs commentaires, et voient dans le président français un exemple modérateur et socialiste qui reflète leurs convictions.
Mensonge, également, l'assertion selon laquelle le journal papier n'aurait pas publié les articles consacrés à la visite de Macron, copiés à la va-vite à partir de dépêches de Reuters, et que ceux-ci ne se trouveraient que sur le site Web. Le contraire est explicitement mentionné à la fin des articles, avec, même, le numéro de la page et le titre de la version papier s'il est différent !
Il s'agit donc, ici, d'une opération de désinformation manifeste, délibérée et spectaculaire, tellement elle est mal ficelée et facile à débusquer. Hélas ! la crédulité de nos contemporains est telle (pour ne pas parler, dans de nombreux cas, de leur malveillance) que fort peu de gens procèdent, par eux-mêmes, aux vérifications les plus élémentaires, et que tout cela rentre comme dans du beurre.
Avant même de vérifier les faits, de nombreux signes auraient dû alerter le lecteur sur la faible crédibilité de l'auteur de ce prétendu "article". Chaque ligne est suspecte. Commençons par le commencement :
"Il y a quelques années, pour se faire une idée point trop partiale des événements, il suffisait de croiser Le Monde et Le Figaro, les plus méfiants jetant à la rigueur un coup d’œil sur L’Huma et Présent."
Balivernes. Il n'y a jamais eu un "bon vieux temps" où la "grande presse" disait exclusivement la vérité, avec une objectivité totale. Hier n'était pas le temps des médias honnêtes, tandis qu'aujourd'hui serait le temps des médias remplis de mensonges.
Prétendre que pour connaître les faits, il faut prendre les médias de gauche, les médias de droite et faire la moyenne, c'est se moquer du monde. Et quelqu'un qui prétend qu'il fallait (au bon vieux temps de la toute-puissance du PCF) "jeter un coup d'oeil sur l'Huma" pour corriger les "mensonges" du Monde et du Figaro, c'est évidemment quelqu'un dont il faut se méfier dès l'abord.
"Aujourd’hui, la grande presse française vante de manière unanime la réussite de la visite de Macron aux États-Unis, la chaleur de l’accueil et l’importance de l’événement. Et, naturellement, il ne faut rien en croire."
J'avoue ne pas être en mesure de dire si la "grande presse française" a vanté de manière unanime la réussite de cette visite. Je doute fort qu'il n'y ait eu aucune nuance, ni aucune divergence d'opinion.
Mais ce qui dénote sans le moindre doute le pipoteur, le militant qui déforme les faits pour servir sa cause, c'est l'allégation selon laquelle "naturellement", il ne faudrait rien en croire. Et pourquoi donc ? Sur quelles sources se fonde Monsieur Hureaux, habituellement, pour nourrir sa profonde expertise, sinon la "grande presse française" ? Il est le chef des services secrets, et il dispose de son réseau d'espions personnel à travers le monde ?
Tous les gros malins qui passent leur temps à dire que "naturellement", les grands médias mentent, s'abreuvent matin et soir à ces fameux médias. Dans lesquels 98 % des informations sont exactes, je dirais, à la louche. Comment Hureaux sait-il que Macron est président de la République, d'ailleurs ? Peut-être que c'est Poutine qui tient le poste, et que la presse nous a menti ?
Tous ces gens-là confondent, en général, opinions et informations. Mensonges et absence d'informations sur certains points. Ce n'est pas du tout la même chose...
"L’actuel président étant soutenu par la quasi-totalité des médias, ce qui n’était sans doute arrivé à aucun chef d’État depuis Napoléon III, ces dithyrambes étaient prévisibles."
"Sans doute" : on sent tout de suite l'historien rigoureux, le polémiste qui vérifie tous les faits sur lesquels il s'appuie. Quant à affirmer que "la quasi-totalité des médias" soutient Macron... Y compris Mediapart ? Y compris L'Humanité, tiens ! qui existe toujours ? Y compris Boulevard Voltaire, sur lequel la prose douteuse de Monsieur Hureaux est propulsée, et qui est un média lui aussi ? Y compris Causeur ? Y compris Atlantico ? Y compris Le Monde Diplomatique, ce torchon d'extrême gauche ? Pour ma part, j'écoute régulièrement BFM, supposé être à la botte d'Emmanuel Macron, et j'y entends tous les jours des invités et même des chroniqueurs d'extrême gauche qui le traînent dans la boue.
"Il fallait donc se tourner vers la presse américaine pour en savoir un peu plus."
Ah bon ? Roland Hureaux, souverainiste, gaulliste et grand anti-américain devant l'Eternel, se tourne vers la presse américaine, maintenant, pour connaître la vérité ? C'est quand ça l'arrange !
"Et là, surprise, le New York Times, grand journal de référence s’il en est, ne parle pas de cette visite, etc."
Le New York Times est un grand journal de référence s'il en est. Donc, Roland Hureaux, qui se positionne solidement du côté de la "vraie droite" en France, prend comme "référence", aux Etats-Unis, le journal que la droite américaine passe son temps à dénoncer comme un torchon gauchiste. Crédible...
"Les dépêches de Reuters, très factuelles, n’étant reproduites que sur le site."
Notez les deux amusantes sottises franchouillardes contenues dans cette courte phrase : une dépêche "très factuelle", ça ne compte pas, ce n'est pas du bon journalisme ; ce qui a du poids, c'est quand on met beaucoup d'opinion dans un billet de blog, avec énormément de n'importe quoi dedans.
Et le site Web du New York Times, c'est évidemment une poubelle inconvenante pour les gens bien, les gens qui sortent de l'ENA comme Hureaux : la référence, c'est le journal papier avec de l'encre qui tache. Hureaux ne s'est pas rendu compte que depuis des années, c'est maintenant l'inverse...
D'ailleurs, comment Roland Hureaux peut-il savoir que le quotidien n'a pas parlé de la visite de Macron aux Etats-Unis dans l'édition papier (ce qui, comme nous l'avons vu, est de toutes façons faux) ? Il est abonné à l'édition papier du New York Times, qu'il reçoit tous les matins par porteur spécial ? Ca aussi, c'est crédible...
"Le reste de la presse anglo-saxonne a été fort discrète. Pour la plupart des Américains, dût notre fierté nationale en souffrir, cette visite aura été un non-événement."
Vous noterez la confusion entre "anglo-saxon" et américain. L'Anglo-Saxonie, c'est un pays, sa capitale est Washington. Et bien sûr, il faut faire confiance à Roland Hureaux pour s'être appuyé l'essentiel de "la presse anglo-saxonne" (soit des centaines de médias à travers les Etats-Unis, l'Angleterre et l'Australie) et en être sorti avec cette brillante conclusion. S'il l'a compulsée avec le même soin que le New York Times, le résultat doit être fameux...
Une fois de plus, la loi de Brandolini se vérifie : "La quantité d'énergie nécessaire à réfuter une ânerie est supérieure d'un ordre de grandeur à celle qui suffit à la produire." D'où l'extraordinaire efficacité de la désinformation par Internet.
Reste à savoir si Roland Hureaux est un désinformateur bénévole, un idiot utile au service des intérêts russes, dont on reconnaît ici les thèmes traditionnels : la presse occidentale passe son temps à mentir, Emmanuel Macron est un envoyé du diable, la France est un petit pays minable et ridicule dont le monde entier se moque, les Français ont tout intérêt à s'éloigner des Etats-Unis qui les méprisent et à sortir de l'OTAN ; ou bien s'il est un agent d'influence piloté directement ou indirectement par Moscou, et rétribué en nature ou en espèces.
Cela, en réalité, n'est qu'un détail de l'histoire de l'impérialisme russe et de ses méthodes de subversion à l'étranger, car cela revient au même. Les idiots utiles porteront la même responsabilité, vis-à-vis de l'histoire, que les agents d'influence qui vous disent sans le moindre complexe, à l'antenne de Radio Courtoisie : je dois vous quitter maintenant, car j'ai rendez-vous à l'ambassade de Russie (phrase que j'ai personnellement entendue, dans la bouche d'un des abonnés de l'antenne).
Rédigé par : Robert Marchenoir | 01 mai 2018 à 21:23
@ Wil | 30 avril 2018 à 22:09
Je sais je ne suis pas très futée, mais il se trouve que je n'ai pas voté Macron, l'escroquerie étant trop visible cette fois-ci.
Rédigé par : anne-marie marson | 01 mai 2018 à 21:01
@ Mitsahne | 01 mai 2018 à 18 :19
« Or, qu’a fait le Président à peine installé ? Il a laissé partir son très supérieur chef d’Etat-Major, le général de Villiers. »
Laissé partir… C’est comme ça que vous appelez ça vous.
« C’est le plus sûr chemin vers la Grande Pagaille qui verra le peuple excédé faire justice lui-même, ce qui entraînera encore plus de violences, puis plus de répression dans une marée sans fin. »
C’est effectivement ce qu’il pourrait y avoir à craindre. Espérons toutefois que vous ayez tort.
Rédigé par : Catherine JACOB | 01 mai 2018 à 20:18
@ Claude Luçon
« Marianne, notre mère à tous »
La vôtre peut-être, en ce qui me concerne je préfère rester orphelin...
Rédigé par : Exilé | 01 mai 2018 à 19:51
APRES LES BELLES SCENES PARISIENNES DU 1er MAI 2018
Quelques avertissements passés :
Les moutons s'attroupent. (Rivarol)
*
La foule, ce juge grossier et vil... (Musset, 1831)
*
La foule hurle, elle hue, elle brise, elle vole. (Veuillot, 1857)
*
Je méprise et crains la foule. (Tocqueville)
*
Un amas d'hommes peut faire une redoutable bête. (Alain)
*
L'âge où nous entrons sera véritablement l'ère des foules. (Gustave Le Bon, 1895)
*
Céder une fois à la foule, c'est se condamner à lui céder toujours. (Gustave Le Bon, 1913)
*
L'homme faisant partie d'une foule cesse d'être lui-même. Il redevient un primitif. (Gustave Le Bon, 1913)
*
Excitabilité, fureurs subites, inaptitude au raisonnement, crédulité sans bornes, intolérance excessive, obéissance servile aux meneurs constituent les caractères principaux des foules. (Gustave Le Bon, 1913)
*
J'ai toujours eu l'horreur des foules. (Bloy, 1915)
*
Les foules sont folles. (Raphaël Enthoven, 2015)
Ajout : Quelques navrantes foules de supporteurs de football donnent aussi, parfois, des sentiments voisins aux observateurs peu portés au grégarisme.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 01 mai 2018 à 19:27
Admirable billet de genau (13h35).
Une partie du désordre actuel vient de ce que le pouvoir n’arrive pas à hiérarchiser les priorités des urgences puisque tout est urgent, et c’est bien là le drame. Dans son souci de bien présenter son action, il oublie ce que genau appelle ‘’le commandement expliqué’’. Et ce ne sont pas les ministricules embauchés à la va-vite pour services électoraux rendus qui seront capables d’éclairer le peuple français dans leur jargon technocratique inclusif.
Dans toutes les grandes écoles, on vous apprend que la première qualité du chef est de savoir s’entourer de gens plus compétents que soi puisque nul ne peut être omniscient. Or, qu’a fait le Président à peine installé ? Il a laissé partir son très supérieur chef d’Etat-Major, le général de Villiers. Puis il a nommé Hulot et Collomb, ministres d’Etat, d’excellents hommes au demeurant mais certainement pas faits pour être ministres. Puis quelques subalternes dont Le Figaro a osé dire que personne ne pouvait donner leur nom après un an d’exercice, sauf à signaler quelques bourdes et bévues, soyons charitables et polis. Trouille et incompétence seraient-elles l’héritage cinquantenaire de Mai 68 ?
A l’heure où j’écris ces lignes, les forces de l’ordre s’empoignent au pont d’Austerlitz avec des centaines de casseurs et racailles gauchisantes qui profitent des manifs syndicales pour tout saccager et faire des millions de dégâts qui seront payés, au final, par les contribuables. N’était-ce pas prévisible ? N’aurait-il pas mieux valu interdire toute manifestation ? Les casseurs-agitateurs font la loi en ce moment, casqués, entraînés avec la ferme volonté de « casser du flic » avant pillage. C’est le plus sûr chemin vers la Grande Pagaille qui verra le peuple excédé faire justice lui-même, ce qui entraînera encore plus de violences, puis plus de répression dans une marée sans fin.
La jeunesse d’Emmanuel Macron saura-t-elle prévenir ces extrémités ou en venir à bout dans un minimum de dommages ? Il faut briser le syndrome de Malik Oussekine qui paralyse nos ministres de l’Intérieur lesquels assistent impuissants à la déprime généralisée des policiers et à une vague de suicides jamais aussi importante. Ce qui est très grave et mauvais signe.
Ce qui n’empêchera pas Mgr Gaillot, évêque de Gap, d’accompagner de Menton à Paris quelques centaines d’immigrés dits réfugiés dits clandestins, en toute charité communautariste et humanitaire. Paix mes brebis, le voici l’agneau si doux… L’imbécile.
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Et aussi un excellent commentaire de Giuseppe (14h19) qui m'a fait bien rire aux dépens de celui que j'ai appelé Hercule Fécond (plus facile pour les rimes riches !) pendant tout son quinquennat.
Rédigé par : Mitsahne | 01 mai 2018 à 18:19
@ Giuseppe | 01 mai 2018 à 14:19
Giuseppe calmez-vous !
Les femmes sont le sujet du moment ! Pas Hollande.
Hollande nous a abandonnés !
Un playboy qui a abandonné Ségolène, Valérie et, pire, Marianne, notre mère à tous, nous ses 67 millions d'enfants, en nous laissant sans le sou !
Un infidèle absolu ! Un père indigne !
Des trois, seule Marianne a demandé le mariage sans se rendre compte qu'il n'était pas fait pour.
Qui devrait s'en soucier c'est Julie ! Pas vous.
Sarkozy lui au moins épousait les siennes et ce sont ses femmes qui le quittaient, Marianne a demandé le divorce et a refusé une nouvelle demande en mariage et pourtant il la courtisait toujours sérieusement.
Quant à Macron, à peine la quarantaine, il vit avec la même femme depuis 25 ans, la seule, l'unique et est passé directement au statut de grand-père !
Il est effectivement plus rassurant... pour les jeunes générations !
Bien que pour ceux entre ?? Un président du genre coucou ?
Il va nous falloir veiller sur nos nids ou plus exactement nos tirelires !
Rédigé par : Claude Luçon | 01 mai 2018 à 15:42
« La Macronie, paradis des technocrates et des énarques, adore les usines à gaz. Le prélèvement de l’impôt à la source sera son chef-d’œuvre. En attendant, le futur service national universel obligatoire s’annonce gratiné. Ce lundi, les Républicains ont dénoncé le flou du projet, alertant sur un dispositif "très cher" et qui nécessiterait "un déploiement humain important". Ces remarques sont pertinentes : le service est évalué à près de trois milliards d’euros par an et rien n’est dit de l’encadrement, que l’armée ne semble pas décidée à assurer » (Ivan Rioufol le figaro 30.04.2018)
Ce qui est certain c’est que les propriétaires de ces usines à gaz sont masqués quand ils attaquent les finances publiques pour en voler le maximum au détriment de ceux qui sont taxés.
En un mot un seul : Macron est maintenant l’un des chefs de la bande des Rapetou (le retour de Borloo le prouve). Pourra-t-il encore pendant quatre années échapper à la colère légitime du peuple de France ?
Nous ne sommes plus une République il faut le comprendre, le dire et vouloir réformer cette désorganisation nationale qui ne profite qu’aux escrocs !
La pensée « complexe » est une pensée inintelligible, qui ne peut pas être comprise tellement elle est absurde, dans le cas qui nous préoccupe on peut penser qu’elle est le fruit d’un esprit tortueux, sans logique et qui ne se révèle que dans l’ombre d’une pièce de théâtre pour crétins endimanchés !
https://www.youtube.com/watch?v=SyTX3T0UltM
Rédigé par : agecanonix | 01 mai 2018 à 15:29
@ DAUMONT
« Quant à Madame Autain, elle fut la seule à refuser la levée de l'immunité parlementaire des élus FN ayant publié texte et photos contre Daech.
Rien que pour cela, HONNEUR. »
Comme quoi les hommes - et même les femmes ;-) - ne sont jamais entièrement mauvais...
Rédigé par : Exilé | 01 mai 2018 à 14:26
C'est le 1er mai, ne ménageons pas notre peine, Hollande par ci, Hollande par là qui nous ferait croire qu'il aurait été le Président des pauvres aujourd'hui, maigre consolation pour celui qui avec sarcasme ironisait en privé sur les sans-dents.
Hollande a été le Président des riches, le replet de la République n'avait aucune pudeur à profiter d'un système, il n'est pas revenu sur l'utilisation de la Lanterne, il n'a pas pris le train bien longtemps, son problème c'est qu'il voulait faire pauvre, il n'est qu'un bourgeois de l'ENA, un poulet d'élevage au tout-aliment, aux compétences de fonctionnaire du Trésor ou de notaire de province et sa dactylographe.
Jamais il n'a eu de vision de son poste, alors qu'il y avait le feu en la demeure il se promenait rue du Cirque comme un collégien, il fait une déclaration de patrimoine qui pue l'arrangement avec son ex, qu'il retourne en Corrèze et qu'il y reste.
Macron a une qualité, pour le reste il fait comme il peut, donne d'un côté reprend de l'autre, mais au moins il avait la vision qu'il fallait changer, bouger, froisser de la tôle s'il le fallait mais surtout éviter le pusillanime de celui qui fait croire qu'il était son mentor.
Macron prend tout à contre-pied, et le capitaine de pédalo s'insurge, essaye d'exister alors que plus personne ne veut de lui 10% le soutiennent encore mais tous les autres le renient.
Vite fuyons Hollande et sa première dame éphémère de pacotille, calife d'un pouvoir inexistant, sa synthèse pour mou pour un PS moribond avant l'heure, était bien l'image de l'homme et le gominé Cambadélis d'une autre époque qui n'ont rien vu venir, pauvres d'eux la terre tourne et ils ne savaient pas.
Le Président des pauvres vit-il dans sa tente de jardin, car si on lui parlait de sardines pour la piqueter, il est capable de vous répondre qu'on les trouve en boîtes dans les rayons de supermarché, sans rire.
Rédigé par : Giuseppe | 01 mai 2018 à 14:19
Désolé M.Bilger, mais voir des gogos parisiens piégés par la com de Macron, c'est pathétique.
Rédigé par : lambda | 01 mai 2018 à 14:09
Un intellectuel qui n'a rien à leur envier pour la vigueur et la complexité de la pensée, la réflexion sur le pouvoir et l'analyse de sa pratique.
Ah ! Encore cette complexité de la pensée...
Une pensée complexe est tout simplement une pensée non aboutie, elle contient encore des zones d'ombre et des points non éclaircis.
Et ce qui n'est pas clair n'est pas français, comme le rappelait Rivarol.
Rédigé par : Exilé | 01 mai 2018 à 13:48
Cette manifestation n'a pas d'importance : c'est une effluve corporelle du régime républicain.
Quant aux Macron, comme des Hollande, des Sarkozy etc. jusqu'aux de Gaulle, peu importe qu'ils règlent leur électricité, leurs cosmétiques ou qu'ils dépensent en maquillage, de toutes façons, de ce dernier ils ont un grand besoin, surtout au moral.
Avoir en face de soi des Ruffin, Autain, Le Foll et C°, ça ne dérègle pas un mouvement de l'horlogerie en exercice.
Mais comme la tendance est de revenir aux masques, même après le carnaval, parlons-en : qui, un jour, décidera d'exposer aux "gens" les conséquences des choix opérés, en établissant des raisonnements fondés. Une décision, une portée, ainsi raisonnent-ils tous. Or, même le plus ignoble des révolutionnaires sait bien que si ça ne marche pas comme il le souhaite, il lui faudra accentuer la pression légale pour forcer le passage. Au pire, on a les Soviétiques et les Chinois, sur le plan intellectuel, on a l'Islam. Pour les Russes, ça a failli marcher, si ce n'avait été la ruine du pays au quotidien, pour les Chinois, si ce n'avait été l'intelligence de Chou et son testament politique, fait d'horreur intellectuelle mais de merveilleuse clarté. Pour l'Islam, ça marche encore, parce que les conditions d'intoxication sont répandues sur le monde entier mais ne trouvent pas plus de réponse autre que mollassonne dans le public.
Dernièrement, dans Le Monde des Religions, je lisais l'opinion d'un musulman enseignant d'université qui protestait que l'Islam souffrait de pudibonderie, et que la liberté sexuelle l'amodierait au monde moderne. Pour une religion dont la racine et les Hadiths ruissellent de menstrues, lochies, sperme en goutte ou en gerbe, en toucher ou pénétration, il y a de quoi être interloqué. On aimerait une lecture publique par Autain, ça lui déboucherait les écoutilles comme disait Eddy Mitchell.
Mais le syndrome est le même, vérité unique, venant d'un Vojd, d'un Guide Suprême ou d'un dieu (pas de majuscule, ça ne sert à rien).
Les Macron sont en train de tomber dans ce piège. Lui grand administrateur, grand financier, n'a pas saisi que ce qu'il appelle démocratie devait s'orienter vers le commandement expliqué, c'est-à-dire qu'il a oublié les leçons d'Aristote et pratique l'ironie cynique pour tancer les plus faibles.
Sans doute, la modification des esprits est-elle devenue impossible. La vertueuse Suède est en proie à des démons nouveaux, en stigmatisant le coût de la vieillesse quand la France en est à barguigner sur le coût des lunettes ou s'emmêle les pieds sur le dernier espace de liberté : circuler, boire et fumer. N'essayons pas d'invoquer la liberté de parole ; les tribunaux maintenant se penchent sur l'intention répréhensible et une ministricule cède à la trouille pour exclure Charles Maurras des personnalités mémorables. Tout a été dit sur ces sujets. C'est tout de même plus structurant que la vocation de Macron à faire l'opinion à partir de ses factures de dentifrice. Pour autant, cet aspect est bien digne d'intérêt en ce qu'il nous désigne comme cibles consentantes.
Rédigé par : genau | 01 mai 2018 à 13:35
Le Président qui annonce pas de congés pour sa fonction, depuis l'Australie :

Cette année le muguet est un peu en retard, craintif de tous ces changements en peu de temps qui ont troublé un rythme de pousse pépère.
Rédigé par : Giuseppe | 01 mai 2018 à 12:56
@ Achille | 01 mai 2018 à 08:10
Alors là je vous approuve. Tous ces nuls et tristes opposants rejetés au deuxième tour de la présidentielle n'ont qu'un seul objectif : se venger en mettant une grosse pagaille pour neutraliser E. Macron et ses ministres. JL Mélenchon, L. Wauquiez, Marine Le Pen et tous leurs moutons tondus défilant comme un troupeau, malheureusement mal gardé, n'ont toujours rien compris à la personnalité solide et déterminée du jeune Président Macron. Eh bien oui, ça leur fait tout drôle de voir que Macron ne cède rien ni à gauche ni à droite tant que l'anarchie et le désordre persisteront et tant que tous ces syndicats prendront les usagers en otage, leur menant la vie de plus en plus dure et coûteuse.
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@ anne-marie marson
"Doit-on annuler les élections présidentielles pour les fraudes électorales qui viennent d’être découvertes ?"
Vous plaisantez j'espère ! Il n'y a aucune fraude électorale, c'est juste une ristourne sur la location de la salle pour remercier E. Macron d'avoir eu le courage et la force de balayer les anciens tocards installés au pouvoir depuis plus de trente-cinq ans avec des privilèges colossaux (tout gratuit pour eux), nous laissant une France ruinée et presque islamisée.
Je n'ai voté au second tour pour personne, mais je dois reconnaître que malgré le fait d'avoir piqué les sous sur la CSG aux pauvres retraités, ce qui n'est pas bien du tout, Macron, dans d'autres domaines ne réussit pas trop mal. Alors laissons-lui sa chance et permettons-lui d'aller jusqu'au bout de ses réformes pour juger des résultats qui seront plus visibles à la fin de son quinquennat.
Joyeux 1er mai à tous !
Rédigé par : Ellen | 01 mai 2018 à 12:23
Ah si M. Macron pouvait aussi revenir à la politique étrangère du Général de Gaulle !
On l'attend sur la Syrie, l'Iran et la Palestine.
Quant à Madame Autain, elle fut la seule à refuser la levée de l'immunité parlementaire des élus FN ayant publié texte et photos contre Daech.
Rien que pour cela, HONNEUR.
Rédigé par : DAUMONT | 01 mai 2018 à 12:08
Nombreux sont les commentateurs de ce blog à na pas être convaincus par monsieur Macron. Il ne s'agit pas d'une simple détestation personnelle, mais bien d'une analyse qui aboutit à des avis négatifs plus que positifs.
Certes monsieur Macron s'est, contrairement à son prédécesseur, bien revêtu de l'habit présidentiel et, pour ce qui est de la forme, reste difficilement critiquable.
Néanmoins, comme je l'ai dit dans mon précédent commentaire, il lui reste à faire la preuve qu'il saura entraîner les autres pays européens à le suivre dans ses choix politiques, tant européens que de politique strictement étrangère. Son exercice est parfait au plan médiatique, tout au moins en ce qui concerne les médias français. Mais l'on se garde bien de rapporter les avis de la presse étrangère.
Sur ce point, un avis comme celui de Roland Hureaux mérite attention car il revient sur les points que j'avais soulignés, avec les mêmes réserves, voire en plus critique :
http://roland.hureaux.over-blog.com/2018/04/macron-chez-trump-valeurs-partagees-valeurs-bafouees.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail
L'après-visite à monsieur Poutine nous en montrera sans doute un peu plus sur sa capacité à influencer ses homologues ou à se situer dans la position traditionnelle de la France en matière d'affaires étrangères : le refus d'un alignement systématique sur l'une des parties, notamment les États-Unis qui sont son modèle absolu - peut-être plus ceux d'Obama que de Trump, tout autant que les choix de la Russie, voire de l'Allemagne de madame Merkel. Le traitement de l'affaire iranienne ne manquera pas d'être un moment de vérité.
Rédigé par : Robert | 01 mai 2018 à 11:27
Tant que l'on y est, puisque c'est d'actualité avec l'introduction de l'ours, le Berger fait plutôt figure de rapace que de mammifère plantigrade.
http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2017/03/22/presidentielle-decouvrez-le-patrimoine-declare-par-jean-lassalle,2108711.php
Sa triste longévité politique de gardien de troupeau, ainsi que celle de René Dosière grand pourfendeur de la dépense publique qui passait à la caisse sans sourciller, ni l'un ni l'autre n'ont remis en cause un système de repus.
Heureusement Macron a fait plus en un an que ces politiques inodores sous plusieurs décennies.
Egratignés par le Palmipède et La Nouvelle République des Pyrénées, ils cachent sous leur rondeur un appétit de petits bourgeois digne des fables de La Fontaine.
Au fait quand on tape le nom du berger https://www.hatvp.fr/consulter-les-declarations/ rien ne figure... Bizarre ?...
Rédigé par : Giuseppe | 01 mai 2018 à 10:59
"Ce retour de la pratique du général de Gaulle, en tout cas pour l'intendance, fait du bien à notre démocratie"
Précisons, nous dit René Dosière, que ce n'est que l'année prochaine que le président payera sa taxe d'habitation pour son logement élyséen, et ce ne sera pas une révolution puisque c'était déjà le cas sous Nicolas Sarkozy et François Hollande.
L'utilisation de l'eau ou de l'électricité, dont René Dosière avait suggéré à l'équipe Macron qu'elles soient payées également par le président n'a, semble-t-il, pas été entendu.
Il est donc inutile de "flatter le col" de M. Macron pour des faits que ses prédécesseurs appliquaient déjà, en toute discrétion, ce qui n'est visiblement pas le cas de ce parvenu président.
Rédigé par : breizmabro | 01 mai 2018 à 10:47
Pour une fois je me suis pris à lire tous les commentaires adossés à l’article de notre maître, cet éloge substantiel du prince de la ComCom.
C’est raide !
Sans nuances !
Sauf peut-être quelques gentillesses parsemées çà et là par des âmes sensibles.
Pourtant, qu’y a-t-il de nouveau depuis 1974 - mon année de référence - où l’on vit arriver à la tête de la nation un jeune aristocrate sémillant, souple et bondissant dont on avançait dans les salons que sa qualité principale était l’intelligence ?
Rien !
Une demi-douzaine tout de même !
Ne serait-il pas temps de reconsidérer la question de la désignation de ces messieurs ?
Hou la la ! Dans quoi il s’embarque le Zonzon ?
Prenons les choses abruptement. Au deuxième tour 2017 nous avions le choix entre deux candidats - comme chacun sait ! Parlant « sous le contrôle » du spécialiste des dictionnaires je soutiens qu’il y a dans la phrase précédente un mot qui est à sa place mais qui choque, sauf à le prendre dans un sens purement formel sans relation aucune avec le réel/vécu : le mot choix !
Ceux qui ont suivi depuis le début n’ont pas besoin d’explications supplémentaires (que les autres aillent s’acheter du QI, c’est la mode en ce moment), ils voient là où le bât blesse et point n’est besoin de leur souffler la solution : il faut augmenter sans faiblir le nombre des candidats.
Ensuite, le principe admis, ce n’est plus qu’une question de goût, d’inclination, de nuances.
Pour ne pas donner le sentiment que nous parlons pour ne rien dire, proposons ce canevas, pas plus absurde que n’importe quel autre : un premier tour à 1 000, un second à 100, un final à 10. La nouveauté essentielle résiderait dans la désignation des 1 000 candidats du premier tour. Ceux-ci ne seraient pas élus démocratiquement – c’est-à-dire par les citoyens inscrits sur des listes dites électorales qui balancent négligemment un bulletin dans une boîte à fente sans même parfois lire le nom inscrit sur le bout de papier – mais inscrits sur une liste d’aptitude. What ? Disons que pour en être, la lecture quotidienne du « Monde » ne suffirait pas.
Une seconde nouveauté pourrait être retenue : la suppression du tour électif final, les dix restants seraient appelés à former une direction collégiale exerçant le pouvoir en lieu et place d’un seul homme, si imposant soit-il !
Ce que j’en dis, tout ça, c’est du rêve !
Rédigé par : Zonzon | 01 mai 2018 à 10:21
Macron et sa bande se moquent de nous... encore une de plus, les prix à la pompe :
"Depuis le 1er janvier 2018, le gouvernement a augmenté la TICPE, taxe sur les produits pétroliers, et la taxe carbone ; +10% de taxe pour le gazole par exemple, et ce n'est pas fini. La fiscalité dans son ensemble représente environ deux tiers du prix des carburants. "
Je ne comprends pas que Macron et Môman ne soient pas encore virés avec pertes et fracas au lieu de se balader en permanence ! Stop aux escrocs ! Stop à la presse propagande ! Stop aux grands souteneurs d'imposteurs (dont celui qui ne veut pas qu'on le nomme - le Vautrin de Macron) !
Rédigé par : agecanonix | 01 mai 2018 à 10:21
Finalement qui n’aime pas Emmanuel Macron aujourd’hui ?
- Les gens de droite genre Wauquiez, Le Pen et Cie qui sont prêts à voter contre des projets comme la loi Asile, qu’ils auraient adoptée sans difficulté s’ils avaient été au pouvoir. C’est dire le degré de mauvaise foi de ces gens-là.
- Les gens de la gauche archaïque genre NPA et LFI qui veulent nous ramener à un régime collectiviste où l’Etat est à la tête d’une armée de fonctionnaires avec du service public à tous les étages. Bref un régime de type cubain ou vénézuélien si cher à J-L Mélenchon et dont on peut voir les résultats aujourd’hui.
Et puis il y a ceux qui se sont fait avoir comme au coin d’un bois à la dernière élection présidentielle, à savoir François Hollande et sa clique de copains, Michel Sapin, Christian Eckert, Le Foll et Jean Passe. Ceux-là en ont vraiment gros sur la patate,.
Il faut entendre leurs persiflages lors des interviews. Avec leur mine déconfite, ils font peine à voir.
Le pire étant bien sûr, François Hollande lui-même qui perd toute dignité, si toutefois il en a eu un jour, et nous étale au grand jour son aigreur sous la forme de blagounettes qui ne font rire que lui et ses affidés.
Tout cela est bien pathétique.
Rédigé par : Achille | 01 mai 2018 à 08:10
Suite à mon commentaire sur les remises illégales dont aurait bénéficié Macron lors de la campagne présidentielle.
Vous allez voir ce que c'est que du journalisme indépendant à la française.
A partir de la 34:30 de la vidéo ci dessous.
https://www.france.tv/france-5/c-a-vous/saison-9/480395-integrale-nathalie-schuck-et-me-nathalie-bucquet.html
Vous avez vu comme c'est beau le journalisme indépendant à la française à la 37e minute ? Cohen et Schuck, ces soi-disant journalistes qui dès qu'on met en cause leur idole du moment Macron, volent à son secours avec les arguments les plus pourris comme : "C'est le PNF qui décide"... Ben oui, comme pour Fillon quoi. Sauf que Fillon, ça a pris deux jours pour que le PNF décide de se saisir de son cas et que là on est sûr que personne ne va plus en parler.
Et c'est des gens comme ça qui passent leur temps à faire de la morale, à se croire le centre du monde et veulent imposer leur idéologie politique et suicidaire au monde.
Au poteau !
Rédigé par : Wil | 01 mai 2018 à 01:03
Mais comment donc ose-t-on commenter sur les croquettes du chien Macron le jour anniversaire de Camerone !
Rédigé par : Claggart | 01 mai 2018 à 00:03
@ anne-marie marson
""Doit-on annuler les élections présidentielles pour les fraudes électorales qui viennent d’être découvertes ?"
Oui, cela me paraît une bonne idée."
HAHAHA !
https://www.youtube.com/watch?v=W2ZmTMzN5NY
Encore une qui se dit après avoir voté pour un escroc : "M*rde, je suis fait bai...!"
Ca ne doit faire que la cinquième fois au moins.
Je l'ai dit ici depuis des années que ceux qui allaient voter Macron allaient le regretter.
Tiens en parlant du "grand" Tino Rossi et de son "papa Noël" qui avait porte ouverte chez Drucker dans les 70's, un vioque "que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître", parenthèse dégoûtante et bien française malheureusement : Tino le fasciste qui a passé la guerre à crier son admiration pour Mussolini dans le Tout-Paris médiatique, artistique et mondain et qui s'est caché à la Libération dans une de ses baraques de la Côte d'Azur où sont venus le chercher de soi-disant résistants qui auraient fait honte à mon grand-père et c'est pour ça que j'en parle, qui ont emmené lui le beau Tino à la prison et qui ont... violé la sublime actrice Mireille Balin qui était sa petite amie du moment et qui n'a jamais plus eu un rôle correct après la guerre et a sombré dans l'alcool elle aussi et qui en a crevé TOUTE SEULE pendant que le beau Tino faisait son Papa Noël.
C'est ça la France.
Rédigé par : Wil | 30 avril 2018 à 22:09
A vouloir faire trop normal, trop peuple, le résultat est terrible.

Au prix du figaro et de son coup de ciseau, personne n'aurait critiqué le prix équivalent en costumes.
Ceci est à l'image de notre ex qui plutôt que de se concentrer sur son toupet aurait mieux fait de choisir les bons tissus, est-ce que Castaner fait mal rasé ? Par contre il arbore de beaux costumes d'un bleu lumineux, ma voisine raffole des deux, de Castaner et de ses costumes, pas de l'autre bien évidemment.
Emmanuel Macron devrait être plus attentif, il ne faudrait pas qu'il nous prenne trop pour des imbéciles, d'abord il n'est pas Mongénéral il ne nous a sauvés de rien du tout, il a quand même reçu un beau pays en gage, endetté mais à qui l'on fait crédit à bon prix.
Ses partenaires de jeu sont très amicaux mais au final le sourire n'est pas argent comptant, Trump a dit niet et Merkel non, et là il a entendu très clairement que personne n'est dupe, ni les gens, ni les présidents.
Les paillettes débordantes à tout-va ont la limite de la brosse qui permet de les enlever du costume, la preuve, le geste de Trump époussetant la veste à l'épaule de Macron.
Et certains ignares de penser qu'il simulait l'enlèvement de pellicules... Trump est un entrepreneur rompu aux négociations, il sait choisir ce qu'il faut pour son pays et il sait également se servir de ses mains, et pas que pour congratuler.
Rédigé par : Giuseppe | 30 avril 2018 à 21:40
Clémentine Autain c'est la Jeanne d'Arc de l'extrême gauche.
Fille d'artistes bourgeois d'extrême gauche (quasiment un pléonasme),qui grâce à papa et à sa belle petite gu*ule à eu sa chance quand elle était gamine de faire dans la vie comme beaucoup d'autres, vedette sans talent ; puis a sagement préféré faire des études en attendant que les amis de papa lui proposent un tube digne de son "talent" ; et là, comme dit Ardisson... c'est le drame ! TIDIIIIN !
La jolie Clem' se fait violer (il n'y a pas à plaisanter là-dessus, c'est terrible et je compatis) mais elle découvre, comme quoi elle s'en moquait un peu avant, que selon elle et pour résumer sa pensée, "les hommes sont tous des salauds et les femmes sont leurs victimes", qui rejoint celle qu'elle tenait de papa (sacré héritage...) : "les riches sont des salauds et les pauvres sont leurs victimes".
Et hop, voici donc la Clem' partie en croisade !
Et avec sa belle gueule, nul doute qu'elle va faire un malheur à la TV même si elle est complètement idiote. Au contraire.
Bref, C.Autain coche toutes les cases de l'égérie d'extrême gauche. Elle est une femme, elle est victime du "mâle", elle est soi-disant d'extrême gauche mais elle a une mentalité assez gamellarde de bourgeoise pour se présenter sur les listes du PS à Paris, elle est féministe mais ne dénonce jamais les viols par des étrangers et leurs trouve toujours des excuses sociales... et surtout, elle est jolie !
Ben oui, comme diraient Séguéla et Macron : "Peu importe ce qu'on vend du moment qu'on a un beau spot publicitaire !"
Evidemment, comme disait le philosophe français Bertrand Cantat avec Noir Désir avant d'être trop ou pas assez défoncé on ne sait plus et de défoncer la gueule de sa copine à coup de poings : "Tout passe, tout casse, le joint, le cul lasse", et maintenant, comme nous tous Clémentine Autain vieillit.
Il va falloir en trouver une autre parce que c'est sûr que c'est pas Garrido qui va la remplacer.
Merci Clem' pour ce moment.
Rédigé par : Wil | 30 avril 2018 à 21:26
@ agecanonix | 30 avril 2018 à 17:02
"Doit-on annuler les élections présidentielles pour les fraudes électorales qui viennent d’être découvertes ?"
Oui, cela me paraît une bonne idée.
Rédigé par : anne-marie marson | 30 avril 2018 à 21:07