On est intéressé, convaincu par un ministre. On l'écoute ou on le lit égrener au fil des textes et des émissions son projet et pour peu qu'il ait du talent, de la sincérité et de la cohérence, on lui prête petit à petit une omnipotence qui va de pair avec l'espérance qu'il suscite.
Un ministre peut tout. On en est persuadé, au moins durant le temps où, ayant succédé à une personnalité au bilan médiocre, il fait feu de tout bois, propose à tout-va, semble, par sa seule présence, améliorer l'état du présent et garantir un futur rassurant.
Je songe par exemple à Jean-Michel Blanquer.
Puis, soudain, on découvre l'enfer du lycée polyvalent Maurice-Utrillo à Stains où à sa sortie, à cause de la guerre des bandes, "des jeunes essuient des menaces et des coups de marteau". Où étudier et enseigner relèvent d'un tour de force, presque d'un admirable masochisme. Où professeurs, élèves et parents sont perdus et se demandent si la France, l'Education nationale, ne les ont pas oubliés (Le Parisien). Parce que Stains est, dans le meilleur des cas, à leur périphérie. Comme un furoncle gênant, rien de plus, telle une anomalie qui ne bousculerait pas l'harmonie de l'ensemble !
Et je suis scandalisé. Ainsi un ministre ne peut rien.
On pourrait multiplier les exemples de ce gouffre entre des désastres ponctuels, concrets et quotidiens et des fonctions ministérielles dont on attend tout. Ce qui rend encore plus intolérables ces abstentions alors que le commun des citoyens les imagine capables du meilleur, même dans l'urgence.
Je sais bien que "de minimis non curat praetor" mais tout de même ! J'ai du mal à supporter que l'abstraction rutilante des programmes dissimule l'impuissance à l'égard des mille lieux où la démocratie, la tranquillité et l'école sont bafouées.
J'entends bien qu'il y a la pompe, la généralité, la gloire qui surgissent d'autant plus qu'on a su s'éloigner de la vulgarité de l'immédiateté et des proximités délétères.
On me rétorquera que la gestion des concepts et la préparation de l'avenir par un ministre représentent la meilleure méthode pour prévenir et apaiser, demain, les plaies effroyables du quotidien de Stains ou d'ailleurs. On sait bien que non en vérité. On les oublie, on les néglige.
En revanche prendre en charge ces dernières comme on peut n'interdirait pas de construire des "châteaux en France" et de s'enivrer de la pureté des idées formidables élaborées dans des bureaux qui ont chassé peu ou prou le souffle de la vraie vie. Parce que celle-ci ne laisserait plus la moindre place aux songes mais contraindrait à l'action brute, simple, efficace.
Je me souviens du très bon garde des Sceaux qu'a été Jean-Jacques Urvoas, avant l'intempestive immixtion de Thierry Solère, et de sa réaction quand je me suis indigné de ces matelas sur lesquels couchaient des détenus en lui prêtant toute latitude pour faire cesser cette indécence. Sa réponse revenait à me signifier qu'il partageait mon sentiment mais que le poids des structures, de la bureaucratie et des hiérarchies rendait impossible la moindre amélioration sur ce plan.
Un ministre peut tout, un ministre ne peut rien ?
Ni l'un ni l'autre apparemment.
Mais peut-être, plus désespérante pour la République, la certitude qu'il y a souvent la bonne volonté des ministres mais le constat triste de leur impuissance.
Qu'il y a la rue de Grenelle et Jean-Michel Blanquer mais aussi et en même temps Stains.
@ Claude Luçon | 13 avril 2018 à 17:03
"France 5 nous a offert récemment un documentaire titré "Qui a tué Néandertal ?", si le sujet vous intéresse. Le point sur les recherches dans divers laboratoires européens. Pas de réponse péremptoire, mais homo sapiens ne serait pas le coupable."
Il y a aussi "SAPIENS Une brève histoire de l'humanité" (Albin Michel), que je vous ai conseillé il y a quelques semaines.
Yuval Noah Harari donne ce point de vue page 29 :
"Mais si les Néandertal, les Dénisoviens et autres espèces humaines n'ont pas été purement et simplement assimilées par les sapiens, pourquoi ont-ils disparu ?
Forts de meilleures techniques, et de compétences sociales supérieures, les Sapiens étaient des chasseurs et des cueilleurs plus efficaces...
Moins doués, les Néandertal eurent de plus en plus de mal à se nourrir..."
Une autre possibilité est que la concurrence autour des ressources... La tolérance n'est pas une marque de fabrique du sapiens...
Cependant, si les populations n'ont pas fusionné, quelque gènes Néandertal chanceux ont eu la chance de monter dans l'Express Sapiens, après qu'il fut possible qu'un rejeton fécond naquit de la rare union d'un Sapiens et d'un Néandertal...
Double clic pour agrandir l'image :
Rédigé par : fugace | 26 avril 2018 à 03:14
@ Patrice Charoulet | 18 avril 2018 à 16:49
"Vous avez tort et j'ai raison."
Devant une telle puissance argumentative, je ne puis que m'incliner. Au passage, avec de telles méthodes de débat, je ne m'étonne plus que l'Education nationale soit dans l'état où elle se trouve.
"Tous les professeurs d'Université français, s'occupant du vocabulaire politique sont d'accord avec tous ces dictionnaires, et avec moi."
Donc, en fait, vous avez un fichier de tous les professeurs d'université français habilités à s'occuper du vocabulaire politique (ils ont une carte spéciale), vous leur avez adressé un mail collectif pour leur demander de trancher un différend que vous aviez avec un fâcheux nommé Robert Marchenoir, et ils vous ont, tous, répondu que la Faculté était de votre côté.
De plus, tous les professeurs d'université français sont d'étincelantes lumières de la pensée. Il ne figure, parmi eux, ni imposteurs, ni médiocrités, ni nullards émérites, ni militants communistes, ni falsificateurs manifestes, ni pipoteurs ignorants.
Auriez-vous l'amabilité de nous télécharger, sur un serveur publiquement accessible, votre fichier de sommités universitaires, ainsi que leurs mails de réponse ? Assortis d'une clé cryptographique permettant de les authentifier, naturellement.
"Vous êtes le seul, avec sylvain, à utiliser le mot au sens de 'qui est de gauche'."
Le seul sur ce blog, c'est possible. Je n'ai pas vérifié. Mais figurez-vous qu'il existe un monde habité, en dehors de ce blog. Peuplé de 65 millions de personnes, pour la seule France. Sans compter les autres pays francophones. Si vous sortiez un peu de votre trou, et de vos dictionnaires, vous vous apercevriez que nous sommes nombreux à employer le mot de gauchiste dans le sens de personne ayant des opinions de gauche, quelle que soit leur radicalité, ou leur modération.
Il y a une raison de fond à cela. Je vous l'ai déjà indiquée. Elle est liée au sens. Ceux qui emploient le mot de gauchiste de cette façon considèrent que l'idéologie de gauche possède une unité profonde, quelle que soit la radicalité avec laquelle elle s'exprime. Et que l'être-de-gauche est profondément nocif à l'humanité, comme à l'individu. Quelle que soit son intensité.
Prétendre interdire cet usage comme vous le faites, c'est tenter d'interdire l'expression de cette opinion, qui est parfaitement légitime, explicable et d'ailleurs expliquée.
C'est aussi tenter de légitimer le communisme, et par extension une gauche officielle, aimable, gentille, puisque c'est le parti communiste qui a inventé le mot de gauchiste dans le sens que donnent vos satanés dictionnaires. Précisément pour faire savoir que lui seul avait le pouvoir de décider quelle était la "bonne" gauche, tout ce qui était à gauche de lui étant gauchiste. (Ce qui était à sa droite, n'en parlons même pas : c'étaient des fascistes.)
Et je rappelle qu'un gauchiste, dans ce sens, était, à une époque, une personne qu'on avait le droit, et même le devoir, d'assassiner.
Encore une fois : ce sont les hommes qui font la langue. Les dictionnaires ne font qu'en constater l'usage. Il faut avoir une mentalité de flic pour utiliser le dictionnaire comme s'il était le code pénal. Je suis en avance sur le dictionnaire, voilà tout.
______
@ Zonzon | 19 avril 2018 à 09:32
Euh... non. Je ne réponds pas aux trolls.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 19 avril 2018 à 16:59
@ Robert Marchenoir
Je viens de prendre connaissance du commentaire du camarade Tomas (17 avril 20 h 41). Je suis effaré par son contenu. Je vous suggère respectueusement de bien vouloir avoir l’amabilité de me donner ma première leçon en répondant à ce triste sire.
En vous remerciant, etc.
PS : Au cas où vous auriez eu l’intention de rédiger une réponse à cet individu, inconnu de moi, sans être sollicité par votre serviteur, je vous demande de bien vouloir considérer ma démarche comme grossière et insensée et de la mettre sur le compte de mon irrespect juvénile.
Rédigé par : Zonzon | 19 avril 2018 à 09:32
@ Patrice Charoulet et Robert Marchenoir
Si les dictionnaires stricto sensu sont nécessaires, voire plaisants quand on ne cherche rien de précis mais qu’on s'y promène, il est un genre de dictionnaires qui lie le côté récapitulation du monde et fantaisie.
Ce sont les dictionnaires amoureux, où l'auteur parle d'un sujet qui le captive, censément de manière captivante, sous ordre alphabétique.
Un des meilleurs par Dominique Fernandez, l'inventeur du concept :
https://www.travessa.com.br/dictionnaire-amoureux-de-l-italie-coffret-2-volumes/artigo/5e23d418-c8db-4c53-8ab6-53182fe0a561
Le même dans "La perle et le croissant", que je considère être un livre euphorisant mais qu'on ne prescrira pas d'acheter dans les médias pour cette raison vu qu'il n'y a aucune histoire édifiante à la clé, m'a fait aimer le baroque.
A moins que si ? Il y a l'art admiré mais abordé sans peur dans les œuvres par l'écrivain et le photographe, et l'art de vivre baroque, trop complexe et au fond joyeux pour que je m'y lance sans inspiration.
Son dictionnaire de la Russie m'a moins plu, le sujet, l'inspiration ou le lecteur n’étaient pas à la hauteur de l'Italie.
Certains dictionnaires amoureux sont bien vides, d'autre remplissent les promesses de cette collection.
Rédigé par : Noblejoué | 19 avril 2018 à 05:29
@ Robert Marchenoir, 17 avril 17h11
Pour ne pas barber les lecteurs, je m'empêche souvent d'intervenir quand vous intervenez. Vous vous en prenez à dix personnes, ces temps-ci.
Dans un post où vous regroupez Aliocha, Mary Preud'homme et moi, je reçois un coup de griffe en passant, à propos de mon prétendu abus des dictionnaires.
Aucun livre ne rend plus de services que les dictionnaires, en France comme partout. Il importe beaucoup de savoir le sens ses mots dont on se sert. Le mot gauchiste est défini de la même façon par tous les dictionnaires français récents. Mais tous les professeurs d'Université français, s'occupant du vocabulaire politique sont d'accord avec tous ces dictionnaires, et avec moi.
Vous êtes le seul, avec sylvain, à utiliser le mot au sens de "qui est de gauche". Vous avez tort et j'ai raison. C'est aussi idiot d'utiliser le mot "gauchiste" que d'utiliser le mot "facho" pour parler d'un homme qui est de droite, de la droite gaulliste, libérale et républicaine. Certaines personnes, peu instruites de gauche ou d'extrême gauche (gauchiste, pour le coup) font cette erreur, en parlant ou en écrivant.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 18 avril 2018 à 16:49
@ Mary Preud'homme
"Sans renier la première, je faisais surtout allusion à la noblesse de cœur."
Merci pour la précision. Qu'est-ce, selon vous, que la noblesse de cœur ?
Rédigé par : Noblejoué | 18 avril 2018 à 12:48
@ Noblejoué | 17 avril 2018 à 21:25
"Sinon, Mary Preud'homme parlait de la noblesse héréditaire vue positivement à ce que j'ai cru comprendre..."
Sans renier la première, je faisais surtout allusion à la noblesse de cœur.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 18 avril 2018 à 00:55
@ Mary Preud'homme
@ Robert Marchenoir
Mary Preud'homme parlait de saigneur et ça m'a fait sourire, un saigneur terriblement prédateur et sadique dans un univers décomposé s'imposait, à côté duquel tant d'autres paraîtraient gentils ou faibles ou bêtes, alors que ce personnage fait réellement vrai et peur :
http://www.genaisse.com/forums/viewtopic-14602.html
Je trouve les dix "Les Eaux de Mortelune" parfaits... Je pense que ceux qui estiment les cinq premiers meilleurs se sont trop habitués à la noirceur pour apprécier la relative éclaircie de la suite.
Je crois qu'ils n'ont pas applaudi le raccord lovecraftien non plus... Et pourtant... Mais cela nous entraînerait trop loin du côté du reclus ou maître de Providence et de Breccia.
"Les Eaux de Mortelune "surpassent "Le vent des dieux" des mêmes, où le dernier album est moins bien dessiné et coloré, dommage... Quant à ce qui suit, n'en parlons même pas, ça vaudra mieux.
Non plus que de la suite du tandem des Eaux, trop triste.
Sinon, Mary Preud'homme parlait de la noblesse héréditaire vue positivement à ce que j'ai cru comprendre...
Que pensez-vous de ce groupe social aujourd'hui ?
Rédigé par : Noblejoué | 17 avril 2018 à 21:25
@ Robert Marchenoir
Mais vous écrivez n'importe quoi, je me demande ce que vous aurait inspiré la Seconde Guerre mondiale. Allons-y point par point :
"Personne ne peut plus nier que l'immigration noire et musulmane provoque, littéralement, des fleuves de sang à travers toute l'Europe :
"épidémie de meurtres"
Le nombre de meurtres diminue en France depuis 1945, et tous les pays développés connaissent cette évolution. Dans deux tiers des cas, victime et assassin se connaissent.
"agressions en tout genre"
Je n'ai pas les statistiques (sujettes à caution, contrairement à celles des meurtres), mais cela a toujours existé, et la France n'est pas encore l'Afrique du Sud et le Brésil.
"défigurations à l'acide pour voler de simples scooters"
Combien de cas ?! Un fait divers ne crée pas un phénomène.
"viols suivis d'assassinat"
On connaît mal les statistiques des viols, mais de l'avis général l'augmentation de leur nombre semble liée au fait que les victimes déclarent davantage qu'avant. Là aussi, la grande majorité des agressions sexuelles a lieu entre personne se connaissant.
"guerre des gangs"
Rien de nouveau là non plus. Paul Carbone, Pierrot le Fou, Francis le Belge, Jacky le Mat, ça vous dit quelque chose ?
"émeutes ethniques réduisant en cendres de vénérables bâtiments qui avaient résisté aux raids aériens nazis"
Je ne savais pas que la cathédrale Saint-Paul et la basilique Saint-Denis avaient été incendiées par les foules immigrées de banlieue.
"égorgements islamiques"
Trois en deux ans, c'est vrai que les rivières de sang coulent...
"camions fonçant dans la foule, bombes en tout genre, décapitations, fusillades à l'arme automatique contre des civils désarmés.."
Seul point où vous avez raison, il y a une recrudescence d'attaques terroristes depuis trois ans. Ce n'est pas la première fois que notre pays ou l'Europe en sont victimes. Et ce ne sont pas vos solutions (qu'on aimerait bien connaître en détail d'ailleurs, mais on peut les supposer vu vos propos) qui changeront cet état de fait.
Donc je nie, et vigoureusement. Aveuglé par la haine et transi par la peur, vous écrivez n'importe quoi. Vous êtes vraiment le Zemmour du pauvre, je crois l'avoir déjà dit ici. Vu la qualité de la référence, ce n'est pas glorieux. Le libéralisme conservateur est vraiment une idéologie de malheureux frustrés, tous ceux que je connais sont plus sinistres les uns que les autres, tous des misanthropes ratés mettant sur le compte de la société leurs échecs personnels. C'est bien un point commun avec certains jeunes des banlieues d'ailleurs, mais franchement eux ont davantage d'excuses.
Rédigé par : Tomas @ Robert Marchenoir | 17 avril 2018 à 20:41
@ Mary Preud'homme | 17 avril 2018 à 12:38
Mais je ne cherche pas à dialoguer avec vous, Mary Preud'homme. Je cherche à démontrer la fausseté de vos écrits, et la malignité de vos procédés. Ainsi qu'à apporter, ici, un certain nombre d'informations et d'analyses. Figurez-vous que vous n'êtes pas la seule lectrice de ce blog.
Cela étant, je relève que nous avons désormais un troisième membre du club des copieurs-colleurs, et des amateurs de dictionnaires utilisés à tort et à travers : Patrice Charoulet, Aliocha, et maintenant Mary Preud'homme.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 17 avril 2018 à 17:16
@ Robert Marchenoir | 17 avril 2018 à 00:59
Vous perdez votre temps...
Je ne dialogue pas avec les délateurs, les menteurs, les falsificateurs, les dictateurs, les rabatteurs, les diffamateurs, les persifleurs, les verbiageurs, les rabâcheurs, les endoctrineurs, les flagorneurs, les empoisonneurs, les pinailleurs, les discutailleurs, les pleurnicheurs, les égorgeurs, les lécheurs, les escroqueurs, les négateurs, les inquisiteurs, les manipulateurs, les contrefacteurs, les provocateurs, les noircisseurs, les sectateurs, les discriminateurs, les "antisémiteurs", les "xénophobeurs", les racoleurs, les biaiseurs, les écorneurs, les écornifleurs, les ricaneurs, les torpilleurs, les enfumeurs, etc. etc.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 17 avril 2018 à 12:38
@ Mary Preud'homme | 16 avril 2018 à 09:51
"Comme quoi entre la race des seigneurs (dont je viens) et celle des saigneurs (dont vous êtes) il y a un monde... Sans oublier le fantôme d'Hitler que vous ressortez dès que vous perdez définitivement pied."
Ca y est, vous craquez, votre délire "anti-raciste" vous monte au cerveau, votre politiquement correct explose à nouveau sous ses contradictions : vous allez jusqu'à vous revendiquer raciste, pour le plaisir d'un mauvais jeu de mots ! Mais vous ne sauriez vous tromper davantage : la race des saigneurs, c'est vous. C'est vous et les vôtres qui ont provoqué les "rivières de sang" que le député britannique conservateur Enoch Powell nous annonçait, dès 1968, pour peu qu'il ne soit pas mis fin à l'immigration de masse.
A l'époque, cela paraissait une monstrueuse exagération. Pourtant, le peuple britannique le soutint massivement -- ce fut la classe politique qui brisa sa carrière, et son propre parti le poussa vers la sortie. Ce genre de choses, cela ne se disait pas. Ce n'était pas convenable.
Cinquante ans après, où en sommes-nous ? Eh bien, exactement là où Enoch Powell le prévoyait : "Enoch Powell was right", comme disent aujourd'hui les Britanniques. Enoch Powell avait raison.
Personne ne peut plus nier que l'immigration noire et musulmane provoque, littéralement, des fleuves de sang à travers toute l'Europe : épidémie de meurtres, agressions en tout genre, défigurations à l'acide pour voler de simples scooters, viols suivis d'assassinat, guerre des gangs, émeutes ethniques réduisant en cendres de vénérables bâtiments qui avaient résisté aux raids aériens nazis, égorments islamiques, camions fonçant dans la foule, bombes en tout genre, décapitations, fusillades à l'arme automatique contre des civils désarmés...
Le quotidien des électeurs d'Enoch Powell, persécutés par les immigrants noirs, présageait de façon saisissante celui qui est le nôtre aujourd'hui -- fors les rivières de sang, qui étaient encore à venir. Des millions de Français se reconnaîtront dans les histoires vécues qu'il rapportait à l'époque. Déjà, il réclamait non seulement la fin de l'immigration, mais aussi la remigration.
Attendre des excuses de la part de gens tels que vous, qui ont soutenu cette invasion, ce serait évidemment rêver en couleurs. On pourrait espérer, au moins, que face au résultat, ils aient la décence de la mettre en veilleuse. De se faire oublier. Pensez-vous !
Ca aura toujours l'insulte et la diffamation au coin des lèvres, jusqu'à son dernier souffle, histoire de donner le change, et de se donner le change. Il n'est jusqu'à Hitler que vous invoquiez à la rigolade. Comme si Hitler n'avait pas existé ! Comme si c'était un personnage de série télévisée !
Comme si, il y a plusieurs années déjà, dans telle ville d'Europe, telle dame juive, qui avait personnellement connu cette époque, n'avait pas dit : ça y est, j'ai l'impression que les années 30 recommencent ; l'effroyable antisémitisme musulman que je vois monter, tout autour de moi, me rappelle trait pour trait ce que j'ai vécu, au fil de la prise du pouvoir par les nazis.
Et dans leurs manifestations, les gentils immigrés qui viennent nous apporter les beautés du multiculturalisme, et occuper les postes de neurochirurgiens que nous serions bien incapables de tenir sans eux, hurlent, ouvertement, qu'ils veulent "finir le travail d'Hitler". Mais je suppose que c'est nous, les racistes...
L'enregistrement original du discours d'Enoch Powell, dit des "rivières de sang". Le texte intégral. La fiche Wikipédia. Et l'hypocrite émission commémorative que la BBC vient de consacrer au cinquantième anniversaire de ce discours, déclamé dans son intégralité par un comédien chevrotant, afin de le rendre plus ridicule. Avec les indispensables commentaires de journalistes expliquant à quel point ce texte était répugnant. Comme s'il s'agissait des notes explicatives de la réédition allemande de Mein Kampf. Et malgré ces précautions, il y eut des démarches de bonnes âmes pour faire interdire l'émission...
Il n'y a pas un mot à changer à ce texte. Un demi-siècle plus tard, il est toujours aussi actuel. Dans la lignée du récent billet de Philippe Bilger sur le ministère de la Culture, les anglophones apprécieront le style superbe d'Enoch Powell et sa diction magnifique, et mesureront ce que nous avons perdu depuis, dans l'art oratoire comme dans l'écriture. Chute à laquelle l'immigration n'est évidemment pas étrangère...
Comme l'explique Nigel Farage, l'un des initiateurs du Brexit, Enoch Powell était une homme d'une envergure exceptionnelle. Dès l'âge de cinq ans, il lisait le grec ancien. A vingt-cinq ans, il devint le plus jeune professeur d'université de l'Empire britannique, à Sydney. Il apprit l'ourdou dans l'espoir de devenir vice-roi des Indes. A soixante-dix ans, il entamait l'apprentissage de l'hébreu, sa quatorzième langue. Le théoricien du libéralisme Murray Rothbard le considérait comme le meilleur candidat pour diriger la Grande-Bretagne. Bref, c'est d'un homme politique comme lui que nous aurions besoin...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 17 avril 2018 à 00:59
@ Mary Preud'homme
Belle hypocrisie Mme Preud'homme. Je ne vois pas très bien comment Thomas Sowell n'était pas dans votre viseur pour l'infect "blanchi jusqu'à l'os", lorsque vous répondiez au commentaire de Robert Marchenoir.
Dans ce commentaire, seul le nom de Sowell fut cité en contre-exemple de votre idole Senghor, et si ce n'était lui le "blanchi jusqu'à l'os", à qui donc pensiez-vous ?
Par ailleurs, qu'est-ce que ça peut bien me faire que vous empruntiez cette terminologie à un certain Carl Brouard ? Pardonnez-moi mais je ne connais absolument pas ce gugusse.
Et puis que voulez-vous dire ? Que vous n'êtes pas l'auteur de cette phrase ? Que si je dois en vouloir à quelqu'un ce n'est pas à vous mais à "Carl Brouard", parce que vous, vous l'écrivez mais ne le pensez nullement ?
Et si je suis incapable de "comprendre le sel" de votre illustration, auriez-vous l'amabilité de m'en faire découvrir la vertu qui m'aurait échappé ?
Rédigé par : Herman Kerhost | 16 avril 2018 à 14:04
@ Robert Marchenoir | 15 avril 2018 à 23:43
Eu égard à vos relations, Joey Starr, Houria Bouteldja, Dieudonné, Jean-Vincent Placé, Poutine le couteau entre les dents dont vous devez avoir la marionnette chez vous tant il vous obsède, pas sans cause que vous ayez la hargne et la haine en permanence, ne vous référant qu'à des atrabilaires mal embouchés de votre acabit... Sans oublier le fantôme d'Hitler que vous ressortez dès que vous perdez définitivement pied...
Comme quoi entre la race des seigneurs (dont je viens) et celle des saigneurs (dont vous êtes) il y a un monde...
Rédigé par : Mary Preud'homme | 16 avril 2018 à 09:51
@ Mary Preud'homme | 15 avril 2018 à 17:39
Je ne vais pas m'amuser à relever toutes vos sottises, ni toutes vos calomnies. Cependant, puisque vous croyez utile de grimper au cocotier en jouant les indignées, afin d'accuser Herman Kerhost d'être "une engeance de vipère doublé d'un fieffé menteur", je vous conseillerais de vérifier que vous avez les fesses propres auparavant. C'est bien vous qui avez prétendu à mon sujet :
"Ce seraient les ethnies que vous considérez (dans leur ensemble) comme la lie de la société qui devraient disparaître (c'est la lutte finale etc.) pour ne garder que du bien blanc."
Comme vous dites : une engeance de vipère doublé d'une fieffée menteuse. Je n'ai évidemment jamais dit cela. Mais ce sont les procédés habituels des "anti-racistes" en peau de lapin, directement hérités des communistes, au passage : attribuer à ceux qui, fort légitimement, veulent être maîtres chez eux, et mettre fin à l'invasion migratoire, des intentions génocidaires qu'ils n'ont jamais eues.
Essayez de trouver autre chose, parce que le truc des zeurléplusombres, ça ne marche plus. Vous n'impressionnez plus personne avec vos calomnies éventées. Une écrasante majorité d'Européens sont opposés à l'immigration de masse, et en particulier à celle de vos amis "bien noirs", comme vous dites. Et c'est leur droit le plus strict.
C'est d'autant plus malhonnête de votre part, que les premières victimes de votre rage immigrationniste sont les mêmes que visait Hitler : les Juifs.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 15 avril 2018 à 23:43
@ Ange LERUAS | 15 avril 2018 à 02:16
Comme vous le savez, dans notre civilisation, le paysan n'est pas grand-chose et ça remonte à loin ; comme vous le savez, dans les trois fonctions, celle de production, donc surtout le paysan car longtemps on n'a pas fait tellement plus que l'agriculture, est la dernière. Première fonction, le prêtre, deuxième, le guerrier, troisième, le producteur.
J'accélère... On a fini par célébrer des producteurs, mais c'étaient les ouvriers, avec une révolution communiste à la clé. Bien sûr, puisqu'on y croit moins, on les laisse tomber.
Et donc, même chez les urbains qui n'en sont pas conscients, il reste quelque chose du mépris contre les paysans que certains ne seraient pas fâchés de voir disparaître au nom d'un monde ouvert ou pour une question de rentabilité économique.
Cependant, la redécouverte de la nature, de la mémoire et du terroir, la défense des minorités, or les paysans sont une minorité, et dans une certaine mesure des victimes puisque bien des paysans se suicident, lézardent cet antique mépris.
Je ne doute pas que hameau dans les nuages n'y contribue avec talent sur ce blog.
Rédigé par : Noblejoué | 15 avril 2018 à 20:53
@ Herman Kerhost | 15 avril 2018 à 17:01
Vous êtes une engeance de vipère doublé d'un fieffé menteur. Jamais parlé de Thomas Sowell en ces termes.
Quant à la citation "blanchi jusqu'aux os" je l'ai empruntée à Carl Brouard pour illustrer un propos que vous êtes manifestement trop obtus et sectaire pour en comprendre le sel !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 15 avril 2018 à 17:39
@ Robert Marchenoir
Sans évoquer le passage où, le 14 avril 2018 à 10:10, Mme Preud'homme a osé qualifier Thomas Sowell de "blanchi jusqu'à l'os".
Thomas Sowell, donc, est un traître à sa communauté ! Il ne peut être qu'un "bounty", un noir à l'extérieur, mais blanc à l'intérieur.
Pas sûr que Christiane Taubira aille aussi loin, mais ce n'est pas exclu...
Rédigé par : Herman Kerhost | 15 avril 2018 à 17:01
Enfer et putréfaction ! Je pensais avoir touvé la recette pour éradiquer définitivement les sornettes "anti-racistes" : préparer deux volumes de charouletium, ajouter un volume de preudomium, approcher une fine tige de marchenoirite (prévoir l'équipement de protection adapté), et... blaaam ! Le politiquement correct explose violemment sous l'effet de ses propres contradictions.
Hélas ! Le ventre est encore fécond, etc. J'aperçois, au loin, le hideux taureau du politiquement correct qui s'avance à nouveau. Il trottine mollement, sa queue frémit, se soulève, et... splaaatch ! une énorme bouse fumante orne à nouveau cet amical cénacle. (A l'article Excréments de taureau, le Trésor de la langue américaine indique : invraisemblables sottises -- familier.)
Approchons-nous prudemment. La matière me semble en état sur-critique. Je pense que nous n'aurons même pas besoin de charouletium pour amorcer la réaction :
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Mary Preud'homme | 14 avril 2018 à 20:35
"Que vient faire dame Taubira dans cette galère ! On ne voit que trop à vos références totalement hors sol et déconnectées du sujet - ne craignant pas d'amalgamer une desouche comme moi, mais néanmoins ouverte d'esprit, avec une Guyanaise militante pur jus - le genre de commentateur de totale mauvaise foi, ignorant et inculte que vous êtes !"
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Quouâââ ? Qu'entends-je ? Que vois-je ? Vous êtes une Desouche ? Et Christiane Taubira est une Guyanaise ? La Guyane, c'est la France, Madame ! Honte à vous ! Vous êtes de quelle souche ? La souche blanche ? Je rêve, ou vous venez de traiter Taubira de né... ? Vous ne voulez pas que je vous prête un sac de bananes, aussi ? Raaacisss !
Pour la peine, je vous condamne à un stage de rééducation de trois mois au vivre-ensemble et à l'ouverture à l'Autre, animé par Jean-Vincent Placé (attention, il met les mains partout). Et pas de blagues, hein ? Je veux voir votre certificat d'assiduité signé par Danièle Obono, Houria Bouteldja et Dieudonné.
Tant que j'y suis, il me reste une place dans le stage de quinze jours de féminisme intersectionnel dirigé par Joey Starr : je vous inscris. Il va vous remettre les idées en place, moi je vous le garantis !
Comment osez-vous exhiber votre privilège blanc sous le nez de Christiane Taubira, une femme de couleur héroïque, qui se bat contre une double oppression : celle de la toxicité masculine imposée par le patriarcat, et celle du racisme néo-colonial ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 15 avril 2018 à 15:33
@ Robert Marchenoir | 14 avril 2018 à 21:16
Bas les masques blancs !
Je me suis beaucoup amusée en vous lisant, vous posant cette fois paradoxalement en défenseur des opprimés au QI pourtant très inférieur selon vous, notamment les Noirs.
Un retournement de veste acrobatique sinon inespéré qui mérite des encouragements, eu égard à ce que vous aviez écrit jusqu'alors sur le sujet. Si si ! Vous êtes sur la bonne voie du parfait petit antiraciste socialo-compatible... Continuez !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 15 avril 2018 à 12:56
@ mélange | 14 avril 2018 à 18:38
Vous avez raison je suis bien de la branche pithécanthrope puisqu’issu d’au moins treize générations de paysans et de ce fait plus cultivateur que culturé mais avec, je l’espère, toujours ce bon sens paysan.
Je ne regarde ni à droite ni à gauche ni au centre mais regarde l’avenir en face et le présent sous tous ses aspects, sachant que le paysan qui ne cultive pas ne se nourrit pas.
Vous qui êtes culturé pouvez-vous me dire pourquoi le paysan qui a produit toute sa vie les besoins des autres actifs ou inactifs, ne doit vivre dans sa vie que de peu de la production des autres et que très très peu à la retraite ; contrairement à d’autres, comme nos élus, qui toute leur vie profitent, sans peu produire : si ce n’est pas, en plus, en mettant des bâtons dans les roues, en décourageant les entreprenants, en œuvrant pour être peu compétitif ou créer des déficits et de la dette ?
Si vous n'avez pas compris la question je la reformule :
pourquoi le paysan qui cultive ses pensées n'en vit pas alors que l'élu qui cultive les siennes en vit plus que très bien ?
Vous avez pour prédiction mon enfouissement dans la vase, un autre, il y a quelque temps, disait que je ne touchais plus terre et me mettait en garde de ne pas trop m’élever de crainte que comme Icare je perde mes ailes. En fait le paysan est indécrottable du plancher des vaches et sait rester au ras des pâquerettes. Mais, après tout, ce qui importe, ce n'est pas la personne mais ses idées et savoir écarter celles sans intérêt et garder celles qui ont un espoir d'avenir.
Rédigé par : Ange LERUAS | 15 avril 2018 à 02:16
@ Patrice Charoulet | 14 avril 2018 à 15:22
@ Mary Preud'homme | 14 avril 2018 à 10:10
Eh bien, je crois que la démonstration est faite. Nous connaissons désormais votre objectif.
Le mien est d'arriver à la paix civile. D'assurer la sécurité des Français et des habitants du pays.
Le vôtre ? Depuis quatre jours que nous discutons de l'impuissance du gouvernement à juguler la violence dans les écoles, vous n'avez pas eu un mot, un seul, pour les élèves du lycée de Stains, leurs camarades de toute la France, ou les élèves de Los Angeles auxquels j'ai fait allusion.
Vous n'en avez rien à faire, qu'ils se prennent des coups de marteau sur la tête en allant étudier, et qu'ils glissent sur des flaques de sang en rentrant en classe.
Tout ce qui vous intéresse, c'est qu'on ne dise pas du mal des Noirs. Et plus généralement, des minorités ethniques. C'est que rien ne puisse être dit qui mette à mal votre hypocrite et funeste idéologie "anti-raciste".
Vous n'en avez rien à faire, des Noirs, des Arabes, des Juifs et de leur bien-être. Nul besoin d'études du CNRS pour savoir qu'un nombre significatif (si ce n'est la majorité) des élèves du lycée de Stains appartiennent à ces fameuses minorités ethniques.
Ce sont elles, les premières victimes de la guerre des gangs dénoncée par Le Parisien. Guerre des gangs, en langage médiatique, c'est une façon polie de dire : les Noirs se massacrent entre eux à coups de couteau (en région parisienne, à Londres...), ou à coups de pistolet (aux Etats-Unis).
Aux Etats-Unis, vous avez aussi des gangs latinos. Ce ne sont pas les moins cruels. Mais dans la plupart des cas, il s'agit de guerres intestines au sein d'une même minorité ethnique.
Vous n'avez eu, l'un et l'autre, pas un seul mot pour discuter du sort de ces élèves, en France ou aux Etats-Unis, quelle que soit leur race ou leur couleur de peau ; pour proposer des moyens aptes à faire cesser ces violences.
L'article américain auquel j'ai renvoyé, je vous le rappelle, indique que l'ensemble des parents d'élèves des écoles protégées par des gardes armés se félicitaient de cette situation. Parents d'élèves qui, eux-mêmes, étaient noirs en quasi-totalité !
Mais que vous importe l'avis des Noirs qui sont les premiers à souffrir de ce genre de situation ? Tout ce qui vous intéresse, c'est votre petit confort moral. Tout ce que vous trouvez à dire, au bout de quatre jours d'intense discussion sur le sujet, c'est : "raciste" !
Bien sûr, ni l'un ni l'autre n'avez répondu à ma question : pourquoi faudrait-il tolérer l'immigration de masse ?
Continuons donc à fermer les yeux et à ne rien faire : avec un peu de chance, la situation se règlera d'elle-même. Et continuons à nous gratter le nombril en excipant de notre supériorité morale ; à chaque fois que quelqu'un tentera d'aborder le sujet, appliquons la recette bien connue en hurlant : "racisss ! racisss ! racisss !...". Et maintenant, dans la bouche de la guitaro-contre-alto-parachutiste à la retraite : "communisss !" (extrêmement crédible, en ce qui me concerne...).
Ah, les cochons ! Ah, les hypocrites !
Rédigé par : Robert Marchenoir | 14 avril 2018 à 21:16
@ mélange | 14 avril 2018 à 18:21
Que vient faire dame Taubira dans cette galère !
On ne voit que trop à vos références totalement hors sol et déconnectées du sujet - ne craignant pas d'amalgamer une desouche comme moi, mais néanmoins ouverte d'esprit, avec une Guyanaise militante pur jus - le genre de commentateur de totale mauvaise foi, ignorant et inculte que vous êtes !
De profundis etc.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 14 avril 2018 à 20:35
LA FISCALITÉ INOPÉRANTE POUR PALLIER LE MANQUE DE MOYENS !
Cette réalité est loin des dogmes qui sont les nôtres mais Einstein ne disait-il pas : « Seules les idées contrariant les idées reçues ont un espoir d’avenir'' ?
Le présent sujet et celui qui a précédé tournent autour du manque de moyens pour parfaire notre vie dans la société nationale. Je suis intervenu pour tenter de faire comprendre que la fiscalité était un système inopérant pour y parvenir et que nous devions changer de vision pour avoir une vision plus réaliste sur notre vie sociétale.
J’aimerais conclure en essayant de résumer en moins de mots possibles l’essentiel de l’économie qui doit être en phase avec les réalités que nous observons et qui devrait vous faire comprendre que l’économie non seulement peut être rationnelle mais aussi se comprendre en moins d’une heure, sauf à vous blogueurs de démontrer et argumenter les erreurs qui se seraient glissées dans ce qui suit.
Toute théorie restant vrai tant qu'il n’est pas démontré une seule fois qu’elle est fausse.
Abordons la fiscalité à partir de la fiscalisation sur la base du patrimoine et donnons-nous 500 mots pour expliquer l’essentiel de l’économie de notre vie en société dans une nation.
Top départ.
Tout prélèvement fiscal qui devient une contribution à une consommation mutuelle ou collective ne sera jamais payé par un morceau du patrimoine mais uniquement par un revenu du contribuable lequel, en principe, a un patrimoine proportionnel à son revenu (rétribution ou attribution). Ce qui rend indifférent de taxer le patrimoine ou le revenu sauf si taxer le patrimoine, du fait que "toute action entraîne des réactions qui s'opposent à l'action pour trouver un nouveau équilibre'' est une loi en physique ; en économie : la réaction peut aller jusqu’à ce l'effet obtenu soit contraire à l'effet attendu. Nous ne nous étendrons pas sur les nombreuses conséquences des fiscalisations de toutes sortes basées sur le patrimoine dont l'utilisation nécessite de nombreux contrôles, mais aussi des besoins de dérogations pour ceux qui ont un patrimoine et peu de revenu.
Non seulement la fiscalité du patrimoine est inique mais toutes la fiscalité est inutile parce que contraire aux observations que nous faisons de notre organisation de vie en société dans la nation où
1) Les actifs (physiques, intellectuels, financiers) produisent 100 % de la production nationale pour une valeur égale aux RÉTRIBUTIONS. Et là s’utilisent des valeurs - fonction de circulation.
2) Après échange d’exportation et d’importation, la consommation nationale devient la production nationale non exportée plus les importations et là, la consommation prend pour valeur RÉTRIBUTION plus ATTRIBUTIONS et la valeur est une fonction de partage entre actifs avec leurs rétributions et inactifs avec leurs attributions.
3) Puis il est demandé que chacun participe à un même temps de production pour les dépenses mutuelles ou collectives. C’est une CONTRIBUTION sur la base des RETRIBUTIONS et des ATTRIBUTIONS qui correspond, à la fois, à ce % de temps et au % de consommations mutuelles ou de consommations collectives par rapport à la totalité de la consommation nationale.
L’essentiel de notre économie se résume à cela. Et ce rajout :
La solidarité de ceux plus aptes à capter les progrès de la société envers les moins aptes à le faire.
Pour le reste, la dette, le déficit, le manque de compétitivité, le besoin de délocalisation, il suffit de comprendre que la monnaie a deux fonctions, celle de circulation, celle de partage et que la notion d’emprunt permet de consommer plus que produit et ce surplus est produit par un autre ou une autre nation. Dans ce cas la dette envers cet autre ou autre nation est de rendre à cet autre ou cette autre nation la production qui correspond à nos consommations supplémentaires que cet autre ou cette autre nation avait différées.
Nous avons tout dit sur ce qui doit être connu sur l’économie.
Il suffit alors pour finir de comprendre et pouvoir expliquer aux autres : de différencier les trois composantes de l’économie :
L’économie de production / consommation
L’économie patrimoniale
L’épargne : une interface entre les deux économies citées ci-avant.
Quant au manque de moyens (insuffisance de consommation), il suffit de produire les usages qui nous font défaut !
Rédigé par : Ange LERUAS | 14 avril 2018 à 20:33
Noir et Blanc, quelle plaie, je crois devoir en dire un mot quand je pense "noir sur blanc, tout fout le camp, à propos du vin", passons à cause du sujet quand je n'ai pas fait de mélange... Mais n'est-ce pas un bon repas et ce vin qu'on boit quand on veut être heureux qui me donne une bienveillance suffisante pour intervenir tout à fait sur les nuages en plein orage ?
Ainsi donc, on ne va pas, j'espère, contester que CE NOIR a fait preuve d'éminentes qualités intellectuelles et sauvé bien des vies :
http://lencrenoir.com/charles-drew-du-sang-pour-tous/
Pour la petite histoire, une femme noire m'a sauvé la vie quand, je suis souvent dans les nuages - patience vous autres, je vais peut-être en crever ! - je n'ai pas vu venir un tramway, en m'en avertissant à temps.
Elle m'a avertie alors qu'elle aurait pu présumer que la plupart des Blancs la jugeant plus bête qu'eux, je ne méritais pas son aide... N'est-il pas difficile d'aider qui on peut présumer de mépris ?
Je n'avais pas besoin de ça pour ne rien avoir contre les Noirs et trouvait un peu bête que cela me soit arrivé à moi, mais finalement, je m'en sers ici. Espérons que cela aidera un tant soit peu les Noirs.
Bon, on pourrait aussi considérer qu'un raciste n'aurait pas mérité d'aide... Mais ce n'est pas si simple : ce sont nos ancêtres qui ont inventé cette idée et il est difficile de se détacher des ancêtres. Nous leur devons tant ! Mais la gratitude ne doit pas tendre à nous rendre injuste.
Je ne prétends pas m'y connaître en génétique, mais sauf erreur, il semble que plus personne ne croie que les sangs noir et blanc différent, et qu'il existe un quasi-consensus sachant s'il est vrai qu'il y a un mouvement inverse depuis un certain temps, sur l'inexistence des races.
Et sauf à la guerre où on est bien forcé de bombarder de manière indiscriminée coupables et innocents, écrasant l'ennemi si on ne veut pas finir esclave, il faut considérer les individus.
Qui voudrait être jugé sur statistique, par exemple au tribunal, être présumé coupable ? Et même dans les débats, excommunié.
Ainsi donc, faisons crédit à chaque humain d'intelligence à moins de preuve de bêtise, à chaque débatteur de bonne foi jusqu'à preuve du contraire.
J'ai vraiment le vin Hemingway-Mary Poppins, moi... Pourquoi se déchirer ? Il y a des solutions qu'on peut adopter en contournant les polémiques raciales et autres.
J'étais contre car j'aurais détesté en porter, mais il faudrait sans doute en passer par des uniformes par les élèves, évidemment, sanctuariser l'école autant que possible... D'autres idées ?
Rédigé par : Noblejoué | 14 avril 2018 à 20:04
@ Ange LERUAS | 14 avril 2018 à 15:58
Cela devient grotesque, plus vous vous enfoncez plus la vase fait remonter à la surface des effluves malodorantes.
Des fois on se dit, c'est un lycéen, d'autres fois c'est un gars du PC ou bien un mélenchoniste mais au fond n'est-ce pas simplement un macronien, en marche, qui se rattache à la branche pithécanthrope (on parle beaucoup de préhistoire sur ce blog).
Que voulez-vous dire, que nous sommes tous des c... sauf vous, mais cela en ce qui me concerne je le sais depuis longtemps.
Rédigé par : mélange | 14 avril 2018 à 18:38
@ Mary Preud'homme | 14 avril 2018 à 17:41
Quel mauvais caractère (pour ne pas offusquer VOS commentateurs) vous avez de la chance que madame Pascale Bilger coupe systématiquement ce que j'ai envie de vous dire crûment.
Vous êtes le double de madame Taubira avec la haine en bandoulière, j'aimerais vous voir en bicyclette avec Patrice Charoulet sur votre porte-bagages.
Laissez les racistes où ils sont il n'y en a pas sur ce blog sauf vous et lui peut-être.
Rédigé par : mélange | 14 avril 2018 à 18:21
@ mélange | 14 avril 2018 à 12:18
Qui a dit que quand on n'avait rien à dire il valait mieux fermer sa ...... (je vous fais grâce de la suite par respect pour nos hôtes et contributeurs), dont la plupart ont fort bien compris le sens de mon intervention. Qui est d'ailleurs à la portée d'un enfant de 9 ou 10 ans.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 14 avril 2018 à 17:41
L’immigration
Le racisme et l’antiracisme ne se conjuguent pas et comme la faute de l’un ne peut effacer la faute de l’autre, l’analyse de l’immigration ne peut se faire à partir de sentiments mais qu'à partir de faits et effets sur la nation.
Une nation se caractérise par des équilibres tels que :
* équilibre des devoirs et des droits de chacun
* équilibre d’un budget
* équilibre de la balance commerciale
* équilibre de la balance du tourisme
* équilibre de sortie et entrée de devises
* équilibre de la balance des travailleurs détachés
* équilibre entre émigration et immigration
* équilibre écologique.
pour ne citer que les plus importants.
Chaque déséquilibre dans ces équilibres a des conséquences dont certaines sont négatives et nous touchent économiquement ou socialement.
Un déséquilibre de l’immigration / émigration a pour obligation :
1) à partir de l’équilibre des droits et devoirs des citoyens, à ce que l’ensemble des immigrés produisent pour l’ensemble de la nation autant que les autochtones produisent pour eux.
Peut-être ignorez-vous cette équation ?
Pourtant n’avez-vous pas observé ce qui suit : que chacun ne satisfait ses besoins en biens et services que si les autres les produisent et ceci implique :
a) un devoir de produire pour les autres.
b) un droit de consommer, à l’équivalent de sa production, la production des autres.
Sans devoirs n’existent pas de droits.
Pour assurer le surplus de production nécessaire à un surplus d’immigration cela nécessite une anticipation de l’outil de production et du patrimoine capable de les accueillir : c’est-à-dire une planification qui prend en considération les capacités de production des immigrés et la compatibilité de ces capacités avec les besoins de l’ensemble de la population nationale donc que la production nationale soit orientée exclusivement vers les besoins des consommateurs.
Cette anticipation existe-t-elle ?
2) équilibre entrée et sortie de devises :
Théoriquement vous devriez savoir que toute production nationale, unitairement, a une valeur qui devient la valeur que le consommateur paye pour satisfaire ses besoins en biens et services.
Le remplacement de nos exportations par nos importations (à balance commerciale équilibrée) ne change rien à la masse de valeur disponible à partir de nos productions nationales pour acquérir la masse de nos consommations (production nationale moins exportation plus importation) que cette consommation se fasse soit familialement, soit mutuellement soit collectivement.
Supposez maintenant que des émigrés à qui revient une partie du prix payé par les consommateurs, soit par l’intermédiaire des rétributions de leur travail ou des attributions sociales, n’utilisent pas ces rétributions ou ces attributions pour acquérir une consommation nationale mais envoie cet argent à l’étranger :
Résultat : la disponibilité d’achat consommations nationales est réduite, restent donc des invendus : c’est une production à ne plus faire et du chômage à la clef.
Ceci serait un moindre mal si cet argent à l'étranger servait à acquérir nos exportations. Ce qui n'est pas cas, puisque notre balance commerciale est déficitaire ce qui veut dire que nationalement nous consommons plus que l'équivalent de nos productions : non pas à cause de l'immigration mais à cause d'autres facteurs mis en place volontairement et je dis bien, volontairement, par nos gouvernances.
Si le surplus d'immigration était accueilli et se traduisait par un équilibre entre leurs productions et leurs consommations avec aucune fuite de devise vers l'étranger ce serait déjà une condition nécessaire de résolue mais elle n'est pas suffisante.
Si notre vie est faite de consommation elle se fait aussi dans un cadre patrimonial soit naturel soit construit.
Dans un précédent commentaire il a été traité du cadre naturel et de l’impérative obligation de limiter la population en fonction des capacités de régénération de Dame Nature. Cette obligation nous a portés à la conclusion que l’immigration était la conséquence d'une surpopulation dans les pays en surnatalité.
En ce qui concerne le patrimoine bâti des nations d’accueil, il est celui qui résulte de siècles de civilisation et de progrès.
L’immigré arrive les mains dans les poches et ne peut avoir un patrimoine et à supposer que restant sur place il procréait (s'il est d’une culture qui pousse à la natalité) au-delà des possibilités d’accueil : il manque du patrimoine dans la nation dont les plus vulnérables qui en font partie en sont victimes.
Pour peu que les têtes bien pensantes n'accusent pas le système pervers de l'immigration non contrôlée et non anticipée, mais accusent quelques boucs émissaires, nous laissons alors le champ libre aux racistes ethniques et aux racistes antiracistes qui mettent de l'huile sur le feu, ne voyant plus la réalité en face derrière leurs prismes idéologiques déformants. Dans ce cas il ne peuvent régler le problème de surpopulation et encore moins les raisons de nos déficits, nos dettes, notre chômage...
Occupé à allumer des feux ou tenter de les éteindre, il ne vous reste pas une heure à perdre pour pendant cette heure-là regarder les réalités d’organisation de notre vie en société nationale, à côté d’autres nations qui ont aussi une vie nationale qu’elles organisent souverainement et sans qu’il y ait une harmonisation fiscale s’il se sait que la monnaie a eu une fonction de circulation des productions dans les nations et entre nations et une fonction de partage de consommation exclusive à la nation qui pratique son partage de la consommation nationale.
Bien entendu votre préjugé, qu’en une heure il ne s’apprend rien en économie, est si fort que sans tenter de perdre cette heure-là, vous affirmez savoir alors que vos écrits démontrent le contraire et vous partagez en cela le savoir de votre élite.
Je ne sais plus lequel de vous me demandait qui sont ceux qui ont voté pour Sarkozy, puis Hollande et dernièrement pour Macron, ce serait le résultat à la fois d’un hasard consécutif au nombre de candidats d’une primaire, nombre de candidats au premier tour des présidentielles puis, et surtout des préjugés des uns et des autres qui choisissent, parmi les candidats, celui qui partage le plus leurs préjugés.
Nos présidents sont élus en fonction de préjugés qui sont loin des réalités.
Résultat : ce sont donc des préjugés qui décident de ce qu'est notre société et non ce que nos observations constatent.
Observations et constatations qui demandent une heure pour en faire le tour et vous permettent de réécrire la réalité de notre vie sociétale que vous êtes à même de redécouvrir si vous abandonnez vos préjugés.
Rédigé par : Ange LERUAS | 14 avril 2018 à 15:58
Ne voulant plus répondre à Robert Marchenoir, qui me fatigue un peu, je le fais quand même en invoquant quelques personnes.
RACE / RACISME
Nègres. S'étonner de ce qu'ils parlent français. (Flaubert)
*
Il n'y a sur la terre ni Blancs, ni Noirs, il y a des esprits. (Hugo, 1860)
*
Si les nègres font partie de l'humanité, ils sont nos égaux. (Victor Schoelcher)
*
Nous ne sommes pas une race, mais une nation. (Barrès, 1902)
*
Il n'y a qu'une seule race : l'humanité. (Jaurès)
*
Nos races ? Nous sommes toutes les races. (Henri Barbusse, 1916)
*
C'est précisément parce que la France n'est pas une race qu'elle est si humaine.(André Suarès, 1917)
*
Ces questions de suprématie de races sont niaises et dégoûtantes. (Romain Rolland)
*
Moins le Blanc est intelligent, plus le Noir lui paraît bête. (Gide, 1926)
*
(Les Etats-Unis) En cette terre d'égalité et de liberté vivent treize millions d'intouchables. Ils se nomment eux-mêmes des « citoyens de troisième classe ». Ce sont les Noirs. (Sartre, 1945)
*
L'antisémitisme ne rentre pas dans la catégorie des pensées que protège le droit de libre opinion. (Sartre)
*
La peau blanche n'est pas un certificat de bonne vie et moeurs, mais qu'on m'en excuse, la peau noire ou brune, non plus. (Jacques Soustelle, 1957)
*
Le racisme n'est rien d'autre qu'une généralisation hâtive et haineuse.
(Claude Roy, 1960)
*
Le racisme, c'est le refus de connaître. (Michel Jobert)
*
Les racistes sont des gens qui se trompent de colère. (Senghor)
*
J'adhérerai à l'association SOS Racisme le jour où ils mettront un « s » à « racisme ». (Pierre Desproges)
*
Le racisme est une lèpre. (Mitterrand, 1984)
*
Les races humaines n'existent pas. (Maurice Auroux, 1984)
*
Il faut distinguer le racisme de supériorité, de domination, de conquête, d'extermination, d'une part, et la xénophobie d'autodéfense, de rejet, de protection, d'autre part. (Jean Daniel, 1985)
*
Le postulat d'inassimilabilité est au coeur de la pensée raciste. (Taguieff, 1991)
*
(Aujourd'hui) « Solution finale » se prononce « Purification ethnique ».
(Claude Roy, 1994)
*
Klu Klux Klan.- Klub de Kons à Kagoules. (Calaferte)
*
La lutte, ignoble, des races... (Régis Debray, 1998)
*
Le raciste est mal dans sa peau. C'est pourquoi il en veut à la peau de l'autre (quand il ne veut pas, tout simplement, lui faire la peau). (Sollers, 1998)
*
Chaque antisémite a son bon Juif. (Patrick Modiano)
*
La préférence nationale est un des noms du racisme. (Michel Soudais)
*
Je suis sans doute le goy de France qui reçoit le plus de courrier antisémite. (Guy Bedos)
*
En étant anti-israélien, on peut être élégamment antisémite. (Roger Cukierman, 2002)
*
(Au Rwanda) L'un des plus grands crimes de notre temps, cet immonde racisme entre populations noires, fut perpétré dans l'indifférence générale.
(Jacques Julliard, 2002)
*
Ceux qui n'aiment pas les Juifs ressemblent comme des frères à ceux qui n'aiment pas les Arabes. Ils ont le même visage, celui de la bêtise. (Sarkozy, 2003)
*
Le racisme est la forme la plus aiguë de la haine sociale. (Dominique Lecourt, 2004)
*
Le Code noir, c'était la barbarie codifiée. (Jacques Vergès, 2006)
*
Les races n'existent pas, mais le racisme existe. (Robert Badinter, 2008)
*
L'Occident n'a pas le monopole du racisme. (Finkielkraut, 2012)
*
Le racisme est un danger qui existe en chacun d'entre nous. (Henri Guaino, 2015)
*
Les Arabes et les Berbères sont de race blanche. (Jean-Louis Bourlanges, 2015)
*
La critique d'une religion n'est pas du racisme. (Eric Zemmour, 2017)
Rédigé par : Patrice Charoulet | 14 avril 2018 à 15:22
@ Mary Preud'homme | 13 avril 2018 à 17:30
Hé bé, vous en savez des choses.
J'ai connu Senghor à Dakar en assistant à l'un de ses discours fleuve (deux jours), par contre je n'ai pas connu Hitler.
Rédigé par : mélange | 14 avril 2018 à 12:18
@ Robert Marchenoir
Vous êtes manifestement très doué pour noyer le "poison" ! Bien que vous n'en soyez pas conscient, vos démonstrations qui n'en finissent pas s'apparentent à des raisonnements (inversés) empruntés au marxisme. Autrement dit une parodie de raisonnement où cette fois ce seraient les ethnies que vous considérez (dans leur ensemble) comme la lie de la société qui devraient disparaître (c'est la lutte finale etc.) pour ne garder que du bien blanc, du bien propre, "du blanchi jusqu'aux os", avec peut-être quelques échantillons de sauvages bien polis, bien gentils comme otages en souvenir du bon vieux temps où on les exhibait "cheunous" dans des cages !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 14 avril 2018 à 10:10
@ Wil | 14 avril 2018 à 00:03
Intéressant, même si je pense qu'on fait fausse route en interdisant la drogue, mais c'est un autre débat... A mon avis, la question est : veut-on ce qu'on veut, se donne-t-on les moyens de sa politique ?
Mais je crois qu'il vaudrait mieux se servir de tels moyens contre les djihadistes, attaquer ceux qui nous attaquent.
J'aimerais que les autres donnent leur opinion sur la question, on verra bien.
Rédigé par : Noblejoué | 14 avril 2018 à 06:30
@ Mary Preud'homme | 13 avril 2018 à 01:21
"Dites plutôt que vous préférez botter en touche et ridiculiser votre contradicteur faute de pouvoir lui répondre sur une question de fond susceptible de mettre à mal certains de vos préjugés, notamment ceux à l'égard des Noirs."
@ Patrice Charoulet | 13 avril 2018 à 08:54
"Grand merci, Madame. Votre interprétation est la bonne. J'avais fait la même lecture sur ce point. Ces questions, loin d'être 'idiotes', sont embarrassantes pour certaines personnes ayant de certaines idées que l'on hésite à qualifier."
***
Très bien. Puisque vous y tenez tellement, je vais repasser la dixième couche. Et je vais mettre les finitions. Ma politique est de résister aux provocations, d'éviter les redites aux honorables lecteurs de ce blog, et de renvoyer à ce que j'ai déjà écrit cent fois ici même, et qui n'a jamais été réfuté. Mais si on insiste, j'ai le coeur sur la main et je suis tout prêt à rendre service.
Je vais donc vous expliquer pourquoi la question de Patrice Charoulet est idiote. Les gens normaux me pardonneront l'enfoncement de quelques portes ouvertes. Le sujet de la discussion était ce passage du billet de Philippe Bilger :
"Puis, soudain, on découvre l'enfer du lycée polyvalent Maurice-Utrillo à Stains où à sa sortie, à cause de la guerre des bandes, 'des jeunes essuient des menaces et des coups de marteau'. Où étudier et enseigner relèvent d'un tour de force, presque d'un admirable masochisme. Où professeurs, élèves et parents sont perdus et se demandent si la France, l'Education nationale, ne les ont pas oubliés. Parce que Stains est, dans le meilleur des cas, à leur périphérie. Comme un furoncle gênant, rien de plus, telle une anomalie qui ne bousculerait pas l'harmonie de l'ensemble !"
Billet faisant référence à cet article du Parisien :
http://www.leparisien.fr/societe/un-lycee-au-coeur-de-la-guerre-des-bandes-violences-au-quotidien-08-04-2018-7653723.php
Je renvoie donc à cet article de Taki's Magazine :
http://takimag.com/article/gates_n_guns_in_the_ghetto_david_cole/print
Aucun des "anti-racistes" patentés abonnés à ce blog, ni vous-même, ni Patrice Charoulet, ni personne d'autre, n'a remis en cause la réalité des faits cités dans ces articles.
L'ensemble du billet de Philippe Bilger traite du sujet suivant : comment se fait-il que le gouvernement semble impuissant à agir, face aux maux les plus graves de notre société ? Et en particulier, dans l'Education nationale ?
L'article que j'indique, et dont je pousse l'obligeance jusqu'à fournir une synthèse en français, relate des faits, prouvant qu'il existe une solution très simple, ayant fait la preuve de son efficacité, qui a permis en Californie (Etat de gauchistes, au passage) de résoudre le problème évoqué au lycée de Stains : les violences incessantes provoquées par des minorités ethniques.
Cette solution consiste à placer un petit nombre de gardes de sécurité privés, munis d'une arme à feu, dans les écoles pourvues de minorités ethniques significatives. Et, bien sûr, à disposer de lois libérales, et non pas socialistes, autorisant la détention d'armes à feu par les citoyens, et leur emploi en légitime défense. L'article montre que cette mesure, simple, pacifique et peu coûteuse, réduit les violences à quasiment zéro.
Sur quoi, Patrice Charoulet me demande :
"Portez-vous, Robert Marchenoir, le même jugement sur les deux Noirs Senghor et Bokassa, et sur les deux Blancs sœur Emmanuelle et Hitler ?"
Quel est le bon sang de bonsoir de rapport avec la choucroute ? Aucun. Pas le moindre. C'est une question idiote. Une question qui obéit à cette bonne vieille tactique communiste : quand vous êtes incapable de réfuter l'adversaire, changez de sujet. Faites diversion. Hurlez très fort en sommant l'interlocuteur de se prononcer sur une question prétendument "embarrassante". Il en faut beaucoup plus pour m'embarrasser, mais ça ne fait rien, il y a toujours un volontaire qui s'y colle.
Senghor a trouvé un moyen de pacifier les lycées des banlieues françaises ? Bokassa faisait du trafic de drogue à Villeurbanne ? Hitler militait pour l'immigration de masse en France, et les "droits civiques" aux Etats-Unis ? Soeur Emmanuelle était pionne au collège Maurice Thorez de Clichy-sous-Bois, fréquenté par "cinquante nationalités", comme disent les imbéciles heureux, et elle est parvenue à y faire régner la paix, l'amour et les petits oiseaux ?
Rien. Nib. Que dalle. Aucun rapport. Alors évidemment, les gros malins dans votre genre, et dans celui de Patrice Charoulet, tentent de faire oublier ce faisant, mais sans avoir le courage de le dire, ni de l'expliquer (car ils échoueraient immanquablement), les faits incontestables suivants :
Les violences fréquentes, extrêmes et intolérables qui se produisent dans les écoles françaises (et ailleurs dans le pays, et dans toutes les nations occidentales) n'ont pas lieu dans les zones habitées exclusivement, ou quasi-exclusivement, par les populations indigènes, blanches, occidentales, d'origine européenne et de culture chrétienne ou juive.
Elles ont lieu systématiquement, de façon vérifiable à travers tout le continent européen et même au-delà, dans les zones peuplées par des minorités ethniques significatives, quand ce n'est pas des majorités, issues de certaines zones du monde bien particulières : Afrique noire, Maghreb arabo-musulman, monde musulman de façon générale (Moyen-Orient, Turquie, Balkans, sous-continent indien, Asie centrale), Amérique centrale et du Sud.
Au sein de ces minorités, les populations issues d'Afrique noire, sont, en moyenne, encore plus violentes que les autres. Cela est établi de façon incontestable par les statistiques officielles sur la délinquance quand elles font état de l'origine raciale (ce qui n'est pas toujours le cas), et par d'innombrables études, articles, témoignages et observations.
En moyenne veut dire exactement cela. Un enfant des écoles pas spécialement éveillé sait ce que veut dire en moyenne. Vous-même et Patrice Charoulet, ainsi qu'un vaste cortège de gros malins qui font semblant d'être plus bêtes qu'ils ne le sont, agissent comme s'ils ne le savaient pas.
En moyenne signifie que si un Blanc, en moyenne, a un quotient intellectuel de 100, cela ne signifie pas que tous les Blancs ont un quotient intellectuel de 100.
Cela signifie aussi que, si je vous sors de mon chapeau un Blanc qui a un quotient intellectuel de 150, et un autre qui a un quotient intellectuel de 80, ça ne change rien au fait que la moyenne du quotient intellectuel des Blancs est de 100.
Ce sont des notions logiques qu'un jeune enfant a déjà maîtrisées, normalement. Sur ce blog, fréquenté par de nombreuses personnes âgées, il y a visiblement des vieillards qui n'ont pas encore compris cela -- ou qui, plus vraisemblablement, font semblant de ne pas le comprendre.
Il en ressort que le Patrice Charoulet, avec ses gros sabots, qui me sort son Léopold Sédar Senghor et son Adolf Hitler, et qui tente de me faire dire que y'a des Noirs gentils aussi, et y'a des Blancs méchants aussi, pose une question doublement idiote et se moque ouvertement du monde. Et vous aussi.
Puisqu'il y a des Noirs gentils aussi (et des Arabes gentils, et des Tchétchènes gentils...), alors, il ne faudrait pas adopter les mesures dont il est démontré qu'elles ont pacifié les écoles noires américaines ? Puisqu'Hitler a existé (scoop pour vous : il est mort), alors il faudrait accepter l'immigration de masse, l'idéologie multiculturaliste, la religion de l'excuse sociale et les lois prétendument "anti-racistes", qui briment la liberté d'expression, la liberté d'association et le droit de propriété, fondements de la démocratie, du vote libre et éclairé, et de la souveraineté ?
Où voulez-vous en venir exactement ? Qu'essayez-vous de démontrer ?
Au demeurant, l'increvable Lépold Sédar Senghor est un bien mauvais exemple, si vous voulez nous convaincre de la gentillesse et du génie noirs. Senghor, pour commencer, serait resté un inconnu si la colonisation ("raciste", nous dit-on) n'avait pas eu lieu. Ensuite, c'était un socialiste, ce qui ne correspond pas exactement à ma définition de la gentillesse et de l'intelligence.
Enfin, c'était un raciste, un suprématiste noir, peut-être modéré, mais incontestable. Trouvez-moi un poète européen qui ait fait sa marque de fabrique de la "blanchitude"... Shakespeare a passé son temps à vanter la race blanche ? Homère a pincé sa lyre pour chanter la couleur de sa peau ? Non. En revanche, le politiquement correct se pâme devant le "poète noir" Senghor et sa "négritude"... Sur celle-ci, je relève cet amusant passage de Wikipédia :
"Le concept de négritude est repris par Léopold Sédar Senghor dans ses Chants d'ombre, qui l'approfondit, opposant 'la raison hellène' à 'l'émotion noire' :
'Nuit qui me délivre des raisons des salons des sophismes,
des pirouettes des prétextes, des haines calculées des carnages humanisés
Nuit qui fond toutes mes contradictions, toutes contradictions dans l'unité première de ta négritude.'"
D'accord. Donc en fait, nous les Européens, nous sommes des ratiocineurs grecs stériles, tandis que l'homme noir, avec son incomparable "émotion", nous est infiniment supérieur. Le carnage blanc est "calculé" (Hitler, Poutine), tandis que le massacre noir est "émotif", donc infiniment plus respectable (Rwanda, lycée de Stains, Ilan Halimi, Sarah Halimi, extermination des fermiers blancs au Zimbabwe et en Afrique du Sud, infanticides pour cause de "sorcellerie" en Angleterre, massacres racistes anti-blancs dits Zebra killings aux Etats-Unis...).
En fait, Senghor me donne raison. "L'homme noir", comme on dit pompeusement, n'a pas sa place en Occident, fors quelques exceptions qui doivent rester en tout petit nombre. La civilisation occidentale est basée sur la "raison héllène", et Senghor lui crache dessus au profit de "l'émotion noire". Ca ne peut pas marcher. Vous ne pouvez pas assurer la bonne maintenance des centrales nucléaires au moyen de "l'émotion noire".
Cette fameuse "émotion noire" qui est la cause directe de la sur-criminalité de la même couleur (autrement dit : incapacité à maîtriser ses émotions, à réfléchir à long terme, à faire passer la raison avant l'émotion, à sacrifier un profit à court terme en échange d'un bénéfice plus important mais retardé).
Alliée, bien sûr, à l'intelligence inférieure, en moyenne, de la population noire, largement établie et confirmée par la science, qui n'est "contestée" que par des idéologues gauchistes (dont certains votent à droite, ce n'est pas la question).
Il y a des Noirs intelligents comme il y a des Blancs abrutis, certes. On le constate ici. Les exceptions ne réfutent pas la règle générale, c'est-à-dire la moyenne.
Tant qu'à chercher une exception pour vanter les mérites noirs, Patrice Charoulet aurait mieux fait de citer Thomas Sowell. Ah ! évidemment, il est américain, libéral et aussi "raciste" que moi. Ses livres de philosophie politique et d'économie sont autrement plus importants que les vers frelatés de la marionnette françafricaine Léopold Sédar Senghor, qu'on nous brandit sans cesse sous le nez.
Thomas Sowell (noir, donc) trouve normal que les chauffeurs de taxi américains (généralement issus de minorités ethniques, au passage) ne s'arrêtent jamais lorsqu'il les hèle dans la rue. Cette affreuse manifestation du "racisme endémique" aux Etats-Unis est bien connue, et souvent dénoncée.
Sowell dit : ça me casse les pieds, mais je ne peux pas leur en vouloir. Ils ont raison. Leur prétendu "racisme" est parfaitement rationnel. Vu l'énorme sur-criminalité noire, prendre le risque de s'arrêter pour prendre un Noir, pour un chauffeur de taxi, c'est sacrifier sa recette, dans le meilleur des cas, et, au pire, mettre sa vie en danger.
Vous avez d'autres questions idiotes ?
Maintenant, moi, j'ai une question pour Patrice Charoulet et Mary Preud'homme : vous vous prétendez tous les deux de droite, vous commentez sur un blog qu'on ne m'en voudra pas de qualifier de centre-droit (au moins), les sondages montrent que les Français sont très majoritairement opposés à l'immigration de masse et à la délinquance qui en découle, ils montrent même que les Français de droite sont majoritairement en faveur de la remigration ; pourquoi, de votre part, cette curieuse insistance à noircir les Blancs et à blanchir les Noirs, si je puis m'exprimer ainsi ?
Pourquoi cet empressement systématique à dénoncer un prétendu "racisme" des autochtones qui n'existe que dans votre imagination, et à tenter de détourner la conversation à chaque fois qu'on attire l'attention sur les méfaits de la population issue de l'immigration, et plus particulièrement de sa composante noire ?
Et j'ai une autre question : donnez-moi une raison, une seule, pour maintenir l'immigration de masse en général, et en provenance d'Afrique noire en particulier.
En essayant de "mettre à mal vos préjugés", comme vous dites à l'instar des gauchistes, y compris les gauchistes de droite -- mais eux n'ont jamais de "préjugés", bien sûr : leurs opinions, aussi peu étayées soient-elles, sont toujours la vérité, par définition. Surtout lorsqu'elles concernent le sujet tabou de la race.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 14 avril 2018 à 01:14
@ Noblejoué
Je vous réponds parce que vous avez la seule question intéressante. Et c'est la logique même.
Les autres sont dans leur délire d'intellos égocentriques qui se prennent pour Zola ou je ne sais quoi et ils ne valent pas la peine que je leur réponde.
"@ Wil | 11 avril 2018 à 23:32
Que préconisez-vous pour la banlieue ?"
Une razzia de l'Etat. Un "vidage" total de la racaille des banlieues même si ça doit faire la guerre urbaine contre les dealers et mettre des familles sur la paille. Une réhabilitation de la loi républicaine quel qu'en soit le prix.
Des morts ? OK. La République française et sa loi doivent prévaloir partout sur le territoire français. Point barre !
A Trappes, il y a des années, dans la cité de La Commune (où se passait le film la Smala et où Canal + vient de faire une série je crois), il y avait tellement de trucs dégoûtants dans les caves des immeubles qu'ils ont viré tout le monde et ont détruit deux des tours.
Malheureusement, il reste la plupart des cités de Trappes où prospèrent les djihadistes en toute impunité puisqu'ils tiennent Hamon qui a été catapulté là au début des années 2000 par Aubry mais qui n'y connaît rien mais il sait qu'il a besoin des musulmans pour être élu.
Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise...
Rédigé par : Wil | 14 avril 2018 à 00:03
@ Claude Luçon | 13 avril 2018 à 17:03
"France 5 nous a offert récemment un documentaire titré "Qui a tué Néandertal ?", si le sujet vous intéresse. Le point sur les recherches dans divers laboratoires européens. Pas de réponse péremptoire, mais homo sapiens ne serait pas le coupable."
Excellent documentaire riche d’interrogations et d’hypothèses, mais qui ne tranche pas sur la disparition de Neandertal : du très bon travail de scientifique, et qui réconcilie avec la télévision.
Rédigé par : Trekker | 13 avril 2018 à 23:13
Un ministre peut autant qu'il a de crédits. Vu les marges financières de l'Etat, M. Blanquer ne peut pas envoyer en une semaine une escouade de 10 profs et 20 pions formés en ZEP, pas plus que le ministre de la Justice ne peut meubler correctement les prisons. Le ferait-il qu'il s'attirerait des critiques, la moitié des Français considérant que les détenus sont trop bien traités dans nos prisons.
@ Savonarole
Taki's Magazine est une revue alt-right, c'est-à-dire de petits mâles blancs frustrés, conditions nécessaires pour embrasser ce brouet idéologique. Valeurs actuelles est plus à la base une revue de bourgeois vieille France désolés de l'anarchie gauchiste des années 60, ça explique la différence de ton.
Mais quand je lis que c'est une revue sérieuse, je me gausse. J'ai lu un jour un article qui dénonçait les turpitudes migratoires allemandes et parlait d'un certain Scheuble, qui n'était autre que le ministre allemand des Finances d'alors, un certain Wolfgang Schäuble qui est l'équivalent en terme de notoriété et de surface de Juppé, on va dire. Ce n'était pas une faute de frappe, l'erreur se répétait à chaque emploi du nom.
Ce serait comme un article de politique française parlant d'Alain Jupay : face à une telle erreur, il est difficile ensuite d'accorder foi aux hypothèses débitées par les auteurs.
Il en faut plus pour me choquer. Ce sont des lectures de demi-mesure !
Rédigé par : Tomas | 13 avril 2018 à 21:35
@ aux amateurs de préhistoire
"Qui a tué Néandertal ?" France 5
De bons souvenirs de fouilles archéologiques sur le site de Tautavel avec le super professeur Henry de Lumley !
Imaginez 400 marches à gravir pour fouiller la grotte de la Caune de l'Arago et ses industries du Paléolithique inférieur, faunes, restes humains anténéandertaliens et structures d'habitat du célèbre homme de Tautavel et dormir sur les bords du Verdouble. Descendre des seaux et les tamiser dans les gorges. Cartographier les découvertes quotidiennes.
Pour les amateurs de géologie, industries sur galet, quartz bleuté blanc translucide, quinze variétés de calcaire, jaspe brun à nodules, silex, recristallisation de calcite, lame, nodules de silex, microfossiles.
Eureka, une dent de tigre au bout du pinceau, emmenée au Musée de Tautavel.
La faune de ce site compte des lions des cavernes sans crinière, des canidés, des chevaux, des lynx, des hyènes, des ours. L'exploration des pollens est considérable.
françoise et karell Semtob
Rédigé par : semtob | 13 avril 2018 à 20:37
Un Président peut presque tout s'il en a les moyens !
Le nôtre en a la volonté. Pour l'instant la main ne tremble pas, qu'il continue avec fermeté, c'est ce que beaucoup attendent de lui.
Marre du laxisme envers les professionnels du désordre.
Rédigé par : Jabiru | 13 avril 2018 à 18:34
@ un passant | 13 avril 2018 à 11:13
"...comparer les blancs et les noirs au travers d’exceptions ?"
De ce que l'on entend par exception :
Si l'on se réfère à l'exemple cité par Patrice Charoulet, Senghor fait bien figure d'être d'exception, eu égard à son talent d'écriture et à sa valeur humaine rapportée aux épreuves traversées pour s'élever et triompher du racisme, là où le criminel nazi Hitler n'est en revanche qu'un individu banal, refoulé et repoussant qui "représente" la lie de l'humanité ayant entraîné dans son sillage, du fait de ses délires racialistes et mortifères, des millions de gens non moins ordinaires, frustrés et médiocres que lui. Une opération de génocide et de nettoyage ethnique sans précédent, censée purifier de leurs souillures ces assassins robotisés et déments que furent les suppôts de cet assassin fanatique fou avide de sang non aryen.
Tout cela pour rappeler que la couleur ne fait pas l'homme au sens noble et universel du terme ; pour ne citer que quelques noms, Gandhi, Mère Teresa, Pasteur M.L King, Mandela, de Gaulle, sœur Emmanuelle ou Jean-Paul II continuent de faire eux sans conteste, figure de femmes ou d'hommes d'exception de notre époque contemporaine.
De même que ceux et celles qui bien que dans l'ombre continuent de poursuivre leur œuvre dans tous les domaines.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 13 avril 2018 à 17:30
@ Sinanthrope | 12 avril 2018 à 20:30
"Nous n’avons pas tous eu les mêmes parents et Néandertal n’était pas un immigré, il était un pur produit de l’Europe. Cro-Magnon pourrait être à l’origine de sa disparition."
Sinanthrope ?
Je m'incline devant un grand ancêtre de Confucius ?
Il y aurait donc une espèce humaine d'origine chinoise ?
Eric von Däniken lui, voit plutôt nos origines du côté de Mars ou Vénus... ou plus loin !
"Quant au reste vous pouvez continuer à rêver de vos trente-quatre années passées en Afrique, mais n'en faites pas un théorème sur la croissance ou la décroissance démographique en général."
On ne rêve pas de l'Afrique, elle n'est plus le Paradis !
Si toutefois elle l'a été !
Voyez dans quel état elle est aujourd'hui !
On en revient avec des tas de bébêtes qui ont migré dans vos entrailles et se rappellent à votre bon souvenir sous forme cauchemardesque.
Ceci dit je ne regrette pas les 34 années.
J'y ai même rencontré David Livingstone aux chutes du Zambèze, il y était depuis un siècle et s'était "bronzifié".
Par contre j'ai rencontré Dr Schweitzer un peu plus loin à l'ouest qui lui était toujours bien en chair à Lambaréné.
"Le temps n'appartient qu'à Dieu."
Seriez-vous créationniste ?
Blague à part, France 5 nous a offert récemment un documentaire titré "Qui a tué Néandertal ?", si le sujet vous intéresse.
Le point sur les recherches dans divers laboratoires européens.
Pas de réponse péremptoire, mais homo sapiens ne serait pas le coupable.
Néandertal se serait probablement éteint tout seul en raison d'une démographie devenue trop faible pour causes de consanguinité et de cannibalisme, et avec l'aide des glaciations.
Vous trouverez les détails sur Google sous le titre du documentaire.
Un peu ardu à suivre mais intéressant.
Rédigé par : Claude Luçon | 13 avril 2018 à 17:03
@ Savonarole | 13 avril 2018 à 14:58
Excellentissime Savonarole, on sent que le bac approche, vous êtes en avance dans vos révisions.
J'ai bien ri.
Rédigé par : Giuseppe | 13 avril 2018 à 16:44
@un passant (@ Ange LERUAS)
"Dommage vous recommencez à dériver à partir de la moitié de ce nouveau commentaire. Où voulez-vous en venir ?"
Il s'entraîne pour le bac philo dans deux mois, il va se prendre une tôle.
Rédigé par : Savonarole | 13 avril 2018 à 14:58
@ Ange LERUAS | 13 avril 2018 à 10:42
Dommage vous recommencez à dériver à partir de la moitié de ce nouveau commentaire.
Où voulez-vous en venir ?
Rédigé par : un passant | 13 avril 2018 à 12:36
@ la mésange | 12 avril 2018 à 21:43
Bravo pour votre excellent commentaire. Vous pouvez l’envoyer à Hollande, son adresse est connue. Je lui avais écrit à l’Elysée lorsqu’il était notre lamentable président, pour lui dire ce que je pensais de lui (courriel qu’il n’a jamais dû lire).
Moi je le trouve toujours le même c’est-à-dire : répugnant.
@ Patrice Charoulet | 13 avril 2018 à 08:54
@ Mary Preud'homme | 13 avril 2018 à 01:21
Auriez-vous un lien commun pour vouloir entraîner notre bon Marchenoir sur un sujet interdit, sous peine d’être brûlé sur le bûcher de notre société hexagonale, qui consiste à comparer les blancs et les noirs au travers d’exceptions ?
Rédigé par : un passant | 13 avril 2018 à 11:13
La culture et le cultuel en balance.
Le cultuel bien souvent, à son l'origine, avait pour mission de vulgariser des pratiques sages de cette époque qui était très difficiles à expliquer : les sciences n'étant pas encore là pour expliquer certains phénomènes.
Mais hélas des humains pervers ont détourné les intentions d'intérêt général pour en faire des profits individuels ou d'identité communautaire. Saint Paul qui pour évangéliser ne pouvant y parvenir chez les juifs enseigne au non-juif la haine du juif, Mahomet qui après avoir jeûné quarante jours comme Jésus, se réfugie comme dans une grotte, comme Saint Jean et comme ce dernier nous parle apocalypse, après avoir été visité par l'ange Gabriel, comme Abraham et Marie, puis chassé de La Mecque s'en va à Médine et vieillissant avec le désir de conquérir La Mecque change de Coran.
L'écrit cultuel est historiquement conforme à la culture de ces temps mais si la culture au fur et à mesure du temps avec l'évolution des sciences s'est amendée, le cultuel est resté figé aux circonstancialités de ces temps anciens. Le cultuel est présenté comme un droit divin et les sciences une perversion. La culture s'adapte aux circonstancialités, à l'évolution des sciences ou au mode de changement de vie. Il est compréhensible, à une époque que le Juif et le musulman proscrivent le porc dans ces peuples nomades pour ne pas propager des épidémies. Le chrétien devenu romain et sédentaire n'avait plus ce risque, il ne le proscrit pas. Par contre ce dernier par carence impose le poisson le vendredi et l'interdiction de la viande ce jour-là. Les circonstances changeant de pratique, l'obligation se change en coutume.
Le cultuel et le culturel ne s'opposent pas, la civilisation gréco-latine est devenue gréco-latine-judéo-chrétienne mais sans que l'une impose à l'autre autre chose que la culture de l'époque. Notre civilisation peut très bien devenir gréco-romaine, judéo-chrétienne, musulmane. Mais à la même condition d'être compatible avec la culture. Ce n'est pas insurmontable quel que soit son cultuel, une très grande majorité y adhère. Mais ce qu'il faut reprocher à cette majorité c'est de ne pas se croire systématisée en qualité cultuelle communautaire par les autres communautés, mais de prendre conscience que ce vivre ensemble oblige chaque communauté à combattre avec ferveur ses extrémistes et cette ferveur est absente.
Pousser chaque communauté à cet objectif devient alors du domaine du culturel de son enseignement.
Pour revenir à nos défis en particulier celui de la surpopulation vis-à-vis de la conservation de notre planète qui se heurte à ce cultuel : il faut y pallier par la culture et notamment celle des circonstancialités qui nous obligent par souci écologique à la dénatalité et à remplacer la procréation cultuelle par le besoin de préserver l'homme et ses croyances sachant bien que l'apocalypse n'est qu'une invention de Saint Jean, comme la fiscalité est une invention qui pollue le vrai sens de notre société qui est de solidarité.
Notre problème est bien celui de la surpopulation. Il est indécent de dire que cette surpopulation est due aux progrès de la médecine, faux de dire que c'est l'insuffisance de guerre, les guerres faisant de moins en moins de morts, immoral de vouloir la pratique de génocide, la seule cause de la surpopulation reste donc la surnatalité sachant que la stabilité est assurée par un quota de femmes de moins de 11 % dans la tranche d'âge de 0 à 20 ans, dans les circonstances présente de moyenne d'âge, et la dépopulation demande à descendre en dessous : ce qui fait que la polygamie est sans incidence.
Le culturel se doit donc de vulgariser des évidences circonstantielles et ne pas attaquer de front la procréation mais de s'appuyer sur les nécessités écologiques qui au fur à mesure du temps doivent s'adapter aux circonstances.
Ce n'est pas en constatant la présence de chômeurs que l'on peut, par le partage du travail, satisfaire tous les besoins, pour lesquels chacun de vous demande des moyens supplémentaires. L'intérêt général prône sur l'intérêt particulier.
Ce n'est pas par la confrontation des communautés que se créera le vivre ensemble, ce n'est que par l'éradication des extrémistes dans chacune des communautés. L'intérêt général prône sur l'intérêt particulier.
La semaine dernière dans le village a eu lieu une manifestation contre l'extension de la création d'une colline, pour enfouir nos déchets.
Tous voulaient qu'elle se fasse chez les autres. Combien, d'après vous, se disait MES déchets ? Combien se sont engagés à moins en produire ? Nous sommes tous dépendants de notre culture telle qu'elle nous est enseignée.
Encore cette même semaine il a été question d'une taxe dans des secteurs inondables pour des bassins de rétentions rendus obligatoires par une sur-construction obligatoire par le fait d'une surpopulation, mais pas que, puisque notre population augmente de 0,3 % par an soit 0,3 % d'habitat supplémentaire, le maire en autorise en dix ans 25 % pour relancer le bâtiment, devoir créer des équipements publics supplémentaires ? Où passer le cap des 5000 pour ?
Mais d'où vient cette population en sus des 0,3 % si ce n'est par le dépeuplement ailleurs où là vont régner des fermetures d'école et ailleurs la désertification de services publics demandant des re-créations par des moyens supplémentaires etc.
On veut 25 %¨de locatif public qui produisent peu de rentrée fiscale, alors que deux tiers de la population sont propriétaires et beaucoup désirent l'être ; veut-on supprimer le locatif privé et se priver de source fiscale ? Croit-on par ces méthodes améliorer le vivre ensemble ?
La culture avec un grand C sélective et individualiste doit-elle nous faire oublier la culture du quotidien et de l'intérêt général ?
Rédigé par : Ange LERUAS | 13 avril 2018 à 10:42
Mais revenons au sujet du billet, si vous le voulez bien.
En 2008, Mme Alliot-Marie, ministre de l'Intérieur, avait mis la pression ! Les sabotages et lignes de TGV avaient brusquement cessé !
Pour rappel des faits, en 2008, les passagers de plus de 150 trains, des Thalys, des TGV avaient subi des retards importants sur les réseaux férroviaires en raison de sabotages.
Pour rappel des preuves accumulées pendant l'enquête, la voiture de Coupat suivie de celles des enquêteurs avait traversé un grand nombre de fois les voies des trains à grande vitesse.
Pendant dix ans la pègre gauchiste n'a eu de cesse de critiquer le dossier de l'instruction afin de sauver le soldat Coupat. Cet ancien doctorant en sociologie n'a pas soutenu sa thèse, était devenu épicier dans un village, a toujours continué son combat contre la société à laquelle il doit tout. Depuis toujours, il mord la main qui l'a nourri, éduqué, soigné. Et il en sera fort probablement toujours ainsi.
En 2018, le procès des saboteurs séditieux est devenu celui de la brigade antiterroriste.
Les prévenus ont été relaxés et peuvent continuer à proclamer qu'il ne faut rien lâcher. Comme un hamster qui court à perdre haleine dans sa petite cage ciculaire pour aller nulle part, la principale ex-prévenue, ex-concubine déclare à qui veut l'entendre que la lutte continue. Elle ne construit que de la provocation, de la lutte et de la rancoeur, elle ne va nulle part.
En vertu de la sacro-sainte séparation des pouvoirs, la Justice a considéré qu'elle devait libérer les mutins mis hors d'état de nuire par le ministre de l'Intérieur.
Pour Mme Alliot-Marie, le groupe de Tarnac était constitué de terroristes, tandis que pour la Justice, dix ans plus tard, il ne s'agissait que de trublions dont la dangerosité non criminelle n'a pas été prouvée.
Merci, Mme Alliot-Marie, d'avoir fait cesser le trouble réel à l'ordre public.
Alors oui, un ministre peut tout dans son petit pré carré et ne peut rien à l'échelle du monde.
Rédigé par : vamonos | 13 avril 2018 à 10:09
Puis, soudain, on découvre l'enfer du lycée polyvalent Maurice-Utrillo à Stains où à sa sortie, à cause de la guerre des bandes, "des jeunes essuient des menaces et des coups de marteau". Où étudier et enseigner relèvent d'un tour de force, presque d'un admirable masochisme. Où professeurs, élèves et parents sont perdus et se demandent si la France, l’Éducation nationale, ne les ont pas oubliés.
Il ne faut pas oublier non plus que dans les années 80, des urbanistes et des architectes un peu déjantés ou du moins totalement ignorants de l'évolution de la composition démographique de la France se sont piqués - nous pouvons nous demander de quel droit - de vouloir « ouvrir l'école sur la ville », sans que personne ne sache très bien ce qui pourrait justifier cette formule tombée du ciel.
Depuis, la rubrique des faits divers nous relate des incidents liés non pas à des débordements de l'école en direction de « la ville », mais plutôt le contraire, l'école cessant d'être un sanctuaire dédié en principe à la seule acquisition du savoir pour devenir le terrain de jeu - ou le champ de manœuvres - d’éléments de la société qui ne sont pas parmi les meilleurs.
Encore le résultat du travail de ces apprentis sorciers qui dans différents domaines dont celui de la politique nous pourrissent la vie pour faire parler d'eux en faisant n'importe quoi.
Rédigé par : Exilé | 13 avril 2018 à 09:03
@ Mary Preud'homme 13 avril, 1h31
Grand merci, Madame. Votre interprétation est la bonne. J'avais fait la même lecture sur ce point. Ces questions, loin d'être "idiotes", sont embarrassantes pour certaines personnes ayant de certaines idées que l'on hésite à qualifier.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 13 avril 2018 à 08:54
"Le temps n'appartient qu'à Dieu.
Rédigé par : Sinanthrope | 12 avril 2018 à 20:30"
Dieu pour qui croit en lui ne serait-il pas plutôt hors du temps et de l'espace ?
Rédigé par : Mary Preud'homme | 13 avril 2018 à 03:25