On fait ce qu'on peut, modeste citoyen étranger à ce superbe pays et à cette grande puissance que sont les Etats-Unis, pour se persuader, avec parfois quelques preuves, que leur président est lucide, pertinent, capable d'une cohérence et apte à une politique. On a refusé de croire que derrière les mines, les foucades, le narcissisme et la désinvolture, il puisse n'y avoir rien d'autre qu'une personnalité erratique, convaincue que le monde lui doit beaucoup mais qu'elle n'a pas la moindre obligation à l'égard de l'univers.
J'ai admiré la patience du président Macron qui a tenté, à chaque fois qu'il l'a pu, de présenter à Donald Trump la rationalité et l'équilibre comme des défis à sa hauteur pour le garder comme partenaire à peu près fiable. La diplomatie de l'empathie semble avoir échoué. Broyer une main pour montrer qu'on ne craint rien a ses limites.
Le petit garçon caractériel Trump a pris le dessus mais je ne doute pas que l'intelligence et l'obstination d'Emmanuel Macron sont sans doute déjà en train de chercher quelle psychologie inédite il va pouvoir mettre en oeuvre.
Idiot ou génie ? s'interroge Valeurs actuelles en couverture de son dernier numéro.
Et si fou, fou à lier, à présider était l'appréciation juste ?
Tant que les anomalies perceptibles par tous paraissaient se cantonner à l'apparence et aux démonstrations superficielles d'une nature à l'évidence dominatrice et contente d'elle, on pouvait espérer que le fond de la politique n'en serait pas affecté, que les décisions capitales, notamment sur le plan international, n'en seraient pas gravement altérées. Plutôt, on supposait qu'il y aurait encore de la place, malgré l'envahissement des actions à mener et des choix à opérer par l'être et ses bizarreries, pour une forme de stabilité, un zeste de normalité.
La manière expéditive et brutale dont les uns succédaient aux autres, dans son cabinet et son gouvernement, à un rythme effréné était déjà plus que troublante, voire très préoccupante. Mais cela restait encore dans le registre interne.
Avec Donald Trump, sans tomber dans une psychologie de bazar, nous sommes confrontés à un président chez qui la personne, ses troubles et son hypertrophie occupent le champ de la vie politique tout entier. Ce sont eux qui président, gouvernent et imposent leur loi. D'où l'impossibilité, même pour des dirigeants chez lesquels l'ego n'est pas réduit à rien, à se mouvoir dans un espace où un autre, au demeurant partenaire irremplaçable, a quitté les rives de la discussion, la sphère de la contradiction et la technique de la négociation pour s'abandonner à un seul objectif, une unique ambition sans l'extériorisation desquels il est nu : être le plus intensément possible soi-même, ne rien concéder qui ne soit pas directement relié à son tempérament, à ses provocations et à ses voltes.
Le sommet du G7 l'a encore surabondamment démontré, l'obsession du président Trump - contraste dans les termes de plus en plus éclatant - est de se tenir toujours tout seul. Même pour les manifestations les plus dérisoires : il convient de se faire désirer, d'arriver en retard, de rompre le cours des habitudes pour que lui seul focalise quitte à être ciblé négativement, ce qui est une autre sorte d'hommage même pervers.
Sa victoire existe quand sa singularité est exhibée, quand il est parvenu à surprendre - au point que la surprise elle-même risque de devenir une routine - et que, contre toutes les attentes, après avoir laissé espérer un consensus, par sadisme il en détruit l'opportunité pour se retrouver sur un pavois, les autres défaits puisqu'il a gagné en se projetant en pleine lumière, lui magnifiquement seul contre tous, seul avec lui-même puisqu'il s'agit de l'exclusif compagnonnage admissible.
A peine a-t-on fait miroiter au sommet du G7 l'esquisse d'une possibilité de communiqué commun qu'on pouvait être assuré que pour se distinguer au sein d'un intolérable pluriel, le singulier pathologique de Donald Trump allait frapper. Cela n'a pas manqué (Libération).
On avait déjà analysé sa détestation des rencontres internationales à plusieurs puisque en principe, dans ces entretiens, les dirigeants et chefs d'Etat sont à égalité. D'où sa dilection pour les seules visites où sa présence est magnifiée, honorée, célébrée, où il n'y a que lui parce qu'il ne peut y avoir que lui dans un monde trop médiocre pour qu'il s'y commette avec d'autres.
Tout cela relèverait d'un triste et pitoyable vaudeville si ne surgissaient pas de cette hypertrophie du moi des décrets absurdes, des revirements subits, des fuites imprévisibles et des oppositions dictées seulement par la hantise de se distinguer. On parviendrait à lui offrir l'image d'accords où il serait pourtant la seule partie à les proposer puis à les signer que, les validant, sa joie serait immense : se contempler immense, superbe et tellement au-dessus des autres, dans le miroir du monde.
Mais les USA sont en cause. Un immense navire sans gouvernail ?
Au cours de sa prochaine rencontre avec le leader de la Corée du Nord - qui l'aurait cru il y a quelques mois encore - le plus fou des deux ne sera pas celui qu'on imagine.
La grande chance de Donald Trump est qu'il n'a pas eu de véritable rivale lors de l'élection présidentielle et que l'Amérique profonde qui l'a choisi continue à prendre ses coups de menton, ses airs de matamore et l'expansion délirante de sa nature pour une politique.
Quand on observe la montée de la folie à présider comme au spectacle.
@ Robert Marchenoir | 21 juin 2018 à 00:39
Un grand merci ! Si j'avais su que vous aviez répondu à Aliocha, je ne me serais pas donné la peine de le faire. Je crains que ce ne soit peine perdue.
À propos de votre commentaire sur les bienfaits du refoulement pour la civilisation d'après Freud, Carl Jung a développé la question sous le même angle que vous, mais je ne sais plus dans quel ouvrage.
Rédigé par : Lucile | 21 juin 2018 à 18:38
La séparation des parents en situation irrégulière et de leurs enfants étaient déjà d'actualité quand Obama était président et qu'un couple de Mexicains était reconduit à la frontière.
Personne ne disait rien quand Obama était président.
Rédigé par : vamonos | 21 juin 2018 à 15:58
@ Lucile
"Je parlais de l'enfer ici-bas. Nous vivons tous avec cette épée de Damoclès au-dessus de nos têtes."
Tout à fait d'accord avec vous, alors.
C'est pour cela - en plus du fait que ce soit un principe pour moi que chacun doive être laissé libre - que je trouve révoltant que les armes voire les méthodes de suicide soient si difficiles d'accès.
Est-il d'autre moyen d'échapper au pire que de le prévenir, et de prévention plus sûre qu'une solution romaine ?
Rédigé par : Noblejoué | 21 juin 2018 à 12:30
@ Noblejoué
Je parlais de l'enfer ici-bas. Nous vivons tous avec cette épée de Damoclès au-dessus de nos têtes.
Rédigé par : Lucile | 21 juin 2018 à 11:54
Levinas, "Quatre lectures talmudiques" :
"Qui ne pardonne l'offense faite aux hommes, offense son Dieu."
Ils gigotent, les suprématistes, ils se justifient, accrochés à l'hameçon de leur violence, balancier entre les insultes et le mépris, tentant à tout prix des catégorisations, et des tests de QI, et les antiracistes, et les gauchistes, élaborant des systèmes qu'il n'est même pas besoin de réfuter car, ayant perdu le sens de la relation, ils sont engagés dans la spirale obsessionnelle qui leur a fait perdre le contact à la réalité, n'ayant d'autre solution, ô la belle surprise, que le tous contre un, la belle et irréfutable alors unanimité.
A l'heure de la verticalisation de la courbe démographique, on ne peut que constater l'incapacité crasse, l'éternel retour du pire où l'homme blanc ne peut, alors qu'il a obtenu sa domination grâce à la révélation évangélique, que se précipiter au temps qui précède cette domination, cette révélation lui indiquant que sans partage, de ses connaissances, de ses richesses, de son progrès culturel, politique, industriel, c'est-à-dire sans renoncement à la domination, inscrite pourtant dans ses lois, qui exige que tous en ait leur part, il retournera à la pire des barbaries. Il sera, et à raison, contesté, entraînant alors, Trump en est le symptôme, le retour du totalitarisme, qui pulvérise la révélation, faisant de notre trésor le moteur du retour aux clans, aux mafias, aux sectes qui ne partagent que la volonté de s'entredétruire.
Elle est là, la défaite dont parle Sloterdijk, et il n’y aura de solutions que dans la mesure où, au lieu de toujours glorifier la force, avouer que nous sommes démunis dans notre incapacité à se passer d’elle, dans notre incapacité à pardonner, surtout à soi-même, pardonner notre incapacité à accéder à la seule solution, la seule protection pragmatique, qui est l’amour du prochain et le renoncement à le dominer, même et surtout s’il n’a pas accès à cette connaissance, à défaut de quoi, nous nous ravalons aux temps où nous n’y avions pas non plus accès.
Je remercie mes contradicteurs de savoir me pousser dans mes retranchements, j’avoue n’avoir à partager que ce que je ressens, obscurément même si je sais que ce que je ressens est puissant, et qu’il est l’heure de ne pas céder, et de se rappeler, infatigablement, cette réalité à laquelle l’Occident jour après jour est convoqué, que les offenses que nous nous infligeons ne sont qu’une faible tentative pour ne pas y faire face, préférant sombrer en nos luttes intestines pour mieux ne pas assumer cette vérité insoutenable :
« L'Évangile est la dernière et merveilleuse expression du
génie grec, comme l'Iliade en est la première ; l'esprit de
la Grèce s'y laisse voir non seulement en ce qu'il y est
ordonné de rechercher à l'exclusion de tout autre bien « le
royaume et la justice de notre Père céleste », mais aussi
en ce que la misère humaine y est exposée, et cela chez un être divin en même temps qu'humain. Les récits de la
Passion montrent qu'un esprit divin, uni à la chair, est
altéré par le malheur, tremble devant la souffrance et la
mort, se sent, au fond de la détresse, séparé des hommes
et de Dieu. Le sentiment de la misère humaine leur donne
cet accent de simplicité qui est la marque du génie grec, et
qui fait tout le prix de la tragédie attique et de l'Iliade.
Certaines paroles rendent un son étrangement voisin de
celui de l'épopée, et l'adolescent troyen envoyé chez
Hadès, quoiqu'il ne voulût pas partir, vient à la mémoire
quand le Christ dit à Pierre : « Un autre te ceindra et te
mènera où tu ne veux pas aller. » Cet accent n'est pas
séparable de la pensée qui inspire l'Évangile ; car le
sentiment de la misère humaine est une condition de la
justice et de l'amour. Celui qui ignore à quel point la
fortune variable et la nécessité tiennent toute âme
humaine sous leur dépendance ne peut pas regarder
comme des semblables ni aimer comme soi-même ceux
que le hasard a séparés de lui par un abîme. La diversité
des contraintes qui pèsent sur les hommes fait naître
l'illusion qu'il y a parmi eux des espèces distinctes qui ne
peuvent communiquer. Il n'est possible d'aimer et d'être
juste que si l'on connaît l'empire de la force et si l'on sait
ne pas le respecter.
Les rapports de l'âme humaine et du destin, dans
quelle mesure chaque âme modèle son propre sort, ce
qu'une impitoyable nécessité transforme dans une âme
quelle qu'elle soit au gré du sort variable, ce qui par l'effet
de la vertu et de la grâce peut rester intact, c'est une
matière où le mensonge est facile et séduisant. L'orgueil,
l'humiliation, la haine, le mépris, l'indifférence, le désir
d'oublier ou d'ignorer, tout contribue à en donner la
tentation. En particulier, rien n'est plus rare qu'une juste
expression du malheur ; en le peignant, on feint presque
toujours de croire tantôt que la déchéance est une
vocation innée du malheureux, tantôt qu'une âme peut
porter le malheur sans en recevoir la marque, sans qu'il
change toutes les pensées d'une manière qui n'appartient
qu'à lui. Les Grecs, le plus souvent, eurent la force d'âme
qui permet de ne pas se mentir ; ils en furent
récompensés et surent atteindre en toute chose le plus
haut degré de lucidité, de pureté et de simplicité. Mais
l'esprit qui s'est transmis de l'Iliade à l’Évangile en
passant par les penseurs et les poètes tragiques n'a guère
franchi les limites de la civilisation grecque ; et depuis
qu'on a détruit la Grèce il n'en est resté que des reflets.
Les Romains et les Hébreux se sont crus les uns et les
autres soustraits à la commune misère humaine, les
premiers en tant que nation choisie par le destin pour être
la maîtresse du monde, les seconds par la faveur de leur
Dieu et dans la mesure exacte où ils lui obéissaient. Les
Romains méprisaient les étrangers, les ennemis, les
vaincus, leurs sujets, leurs esclaves ; aussi n'ont-ils eu ni
épopées ni tragédies. Ils remplaçaient les tragédies par les
jeux de gladiateurs. Les Hébreux voyaient dans le
malheur le signe du péché et par suite un motif légitime
de mépris ; ils regardaient leurs ennemis vaincus comme
étant en horreur à Dieu même et condamnés à expier des
crimes, ce qui rendait la cruauté permise et même
indispensable. Aussi aucun texte de l'Ancien Testament
ne rend-il un son comparable à celui de l'épopée grecque,
sinon peut-être certaines parties du poème de Job.
Romains et Hébreux ont été admirés, lus, imités dans les
actes et les paroles, cités toutes les fois qu'il y avait lieu de
justifier un crime, pendant vingt siècles de christianisme.
De plus l'esprit de l'Évangile ne s'est pas transmis pur
aux générations successives de chrétiens. Dès les
premiers temps on a cru voir un signe de la grâce, chez les
martyrs, dans le fait de subir les souffrances et la mort
avec joie ; comme si les effets de la grâce pouvaient aller
plus loin chez les hommes que chez le Christ. Ceux qui
pensent que Dieu lui-même, une fois devenu homme, n'a
pu avoir devant les yeux la rigueur du destin sans en
trembler d'angoisse, auraient dû comprendre que seuls
peuvent s'élever en apparence au-dessus de la misère
humaine les hommes qui déguisent la rigueur du destin à
leurs propres yeux, par le secours de l'illusion, de l'ivresse
ou du fanatisme. L'homme qui n'est pas protégé par
l'armure d'un mensonge ne peut souffrir la force sans en
être atteint jusqu'à l'âme. La grâce peut empêcher que
cette atteinte le corrompe, mais elle ne peut pas
empêcher la blessure. Pour l'avoir trop oublié, la tradition
chrétienne n'a su retrouver que très rarement la
simplicité qui rend poignante chaque phrase des récits de
la Passion. D'autre part, la coutume de convertir par
contrainte a voilé les effets de la force sur l'âme de ceux
qui la manient.
Malgré la brève ivresse causée lors de la Renaissance
par la découverte des lettres grecques, le génie de la
Grèce n'a pas ressuscité au cours de vingt siècles. Il en
apparaît quelque chose dans Villon, Shakespeare,
Cervantès, Molière, et une fois dans Racine. La misère
humaine est mise à nu, à propos de l'amour, dans l'École
des Femmes, dans Phèdre ; étrange siècle d'ailleurs, où,
au contraire de l'âge épique, il n'était permis d'apercevoir
la misère de l'homme que dans l'amour, au lieu que les
effets de la force dans la guerre et dans la politique
devaient toujours être enveloppés de gloire. On pourrait
peut-être citer encore d'autres noms. Mais rien de ce
qu'ont produit les peuples d'Europe ne vaut le premier
poème connu qui soit apparu chez l'un d'eux. Ils
retrouveront peut-être le génie épique quand ils sauront
ne rien croire à l'abri du sort, ne jamais admirer la force,
ne pas haïr les ennemis et ne pas mépriser les
malheureux. Il est douteux que ce soit pour bientôt. »
http://teuwissen.ch/imlift/wp-content/uploads/2013/07/Weil-L_Iliade_ou_le_poeme_de_la_force.pdf
Rédigé par : Aliocha | 21 juin 2018 à 09:49
@ Lucile
"Mais si, j'ai peur de l'enfer".
Je suis triste que vous viviez avec l'idée de cette épée de Damoclès et vous prie donc de bien vouloir m'excuser de l'avoir évoqué. Enfin, il y a aussi le paradis, alors :
http://www.rivagedeboheme.fr/pages/arts/oeuvres/le-jardin-de-paradis-paradiesgartlein-v-1410-20.html
Rédigé par : Noblejoué | 21 juin 2018 à 05:03
@ Aliocha
N'essayez pas de penser à la place de Levinas, c'est mon conseil. D'après ce que j'ai lu de lui, il n'appréciait pas la naïveté, vraie ou fausse, ni l'infantilisme.
La position morale, me semble-t-il, consiste déjà à ne pas falsifier la vérité. Dans la réalité, il y a des gens plus futés que d'autres, des enfants et des adultes intellectuellement plus ou moins doués. C'est injuste mais c'est comme ça. Ce qui serait immoral, et niais, serait de mentir à ce sujet ; cela prouverait que pour accorder autant de valeur aux uns qu'aux autres, on devrait se raconter que les qualités intellectuelles sont les mêmes chez tout le monde. Or la valeur d'un être humain ne se mesure pas à son QI, ni à sa beauté, ni à sa force physique, ni à son sexe, ni à sa race, ni à son âge. Et, ajouterait Saint Paul, même pas à ses mérites non plus. Si l'un de vos enfants est meilleur élève que son frère, refusez-vous de reconnaître cette différence de peur de préférer celui qui réussit le mieux, de lui accorder plus de valeur ? C'est cela être chrétien ?
Je pense que RM instaure ce débat pour combattre l'inauthenticité en vigueur quand on aborde ces sujets, et parce qu'il estime que l'immigration actuelle met en danger notre mode de vie. Je ne pense pas qu'il soulèverait la question si une bonne proportion de jeunes hommes africains, Maghreb compris, n'avaient l'intention de venir s'installer en Europe, au besoin illégalement, et si on ne nous avait pas seriné que c'était une chance pour nous. RM le fait en polémiste, à sa façon, certainement dure pour ceux dont il parle, mais à mon avis moins cynique que la fausse commisération de gens socialement compétitifs pour eux et pour leurs enfants, mais qui font semblant de ne pas l'être. Opprobre pour opprobre, les "mâles blancs" se rebiffent, ça vous étonne ? Personnellement je ne fais pas tourner le débat autour du QI, ni du QI moyen par race, mais je vois que les Anglais et les Américains réfléchissent au QI et à la manière dont il se répartit, et ce n'est pas inintéressant. À vrai dire, toute société qui veut assurer son avenir, cherche naturellement à développer ses atouts et réfléchit aux moyens d'y parvenir. C'est d'ailleurs ce qui la rend attractive aux yeux des candidats à la naturalisation.
Je serais intéressée si les contradicteurs de RM lui présentaient des arguments solides. Jusqu'ici, ils ont surtout cherché à l'invectiver.
Quant à moi, je n'appartiens à aucun clan. Dois-je me justifier auprès de vous de ne pas m'opposer avec véhémence à Savonarole ou à Robert Marchenoir ? Est-ce une faute morale ? Je suis très contente de m'être réconciliée avec Savonarole. Pour autant, je ne suis pas mariée avec lui comme vous l'insinuez de temps en temps. J'ai un mari (immigré) qui est aussi mon meilleur ami sur terre, je n'ai pour l'instant pas d'autre idylle en vue, et cela depuis quelques dizaines d'années maintenant.
@ Noblejoué
Merci pour ce morceau magnifique.
Mais si, j'ai peur de l'enfer, des guerres, du mensonge, de l'oppression, de la cruauté, de la souffrance, des mauvais traitements, de l'injustice, de la décrépitude, de la laideur, de la misère, de tout ce qui fait de la vie un fardeau.
@ Mary Preud’homme
Tout à fait d'accord, le QI n'a rien à voir avec les profils de postes ni avec celui des candidats. Et nous connaissons les idioties, ou l'esprit retors, de gens réputés intelligents. N'empêche que pour mesurer les capacités d'abstraction, c'est le moins mauvais des tests. Mais ça ne va pas plus loin. Il ne mesure aucunement la motivation, qui est essentielle professionnellement, ni les aptitudes au travail de groupe, aux contacts, à la prise de responsabilité, à la gestion du stress, à la résolution des conflits, ni l'ouverture d'esprit.
Rédigé par : Lucile | 21 juin 2018 à 01:58
@ Aliocha | 20 juin 2018 à 08:40
"Lucile va-t-elle avoir le courage minimal ou redescendre l'échelle avec Savonarole sous les insultes et les torrents d'opprobre de notre écolier, dont on espère que les évolutions de l'EN lui refuseront le passage en 6ème ?" [ça, c'est moi.]
Mon Dieu, qu'il est bête... bête et hargneux... bête et hypocrite... Comment est-il possible d'être sot à ce point ? Vous faites un concours avec Charoulet, ou quoi ?
Mon commentaire approuve celui de Lucile, l'amplifie, rebondit sur ses propos et tente d'ouvrir de nouvelles perspectives à partir de l'opinion de Freud qu'elle a rapportée. Cela vous incommode-t-il tant que deux personnes qui s'apprécient (pour ma part, en tous cas) tiennent une conversation normale, amicale et libre ?
Il faut absolument que vous vous interposiez, pour tenter de semer la zizanie là où il n'y a que de l'estime et un échange de bon aloi ? Où voyez-vous "des insultes et des torrents d'opprobre" ? On peut avoir la citation ? Vous qui êtes si fort en copier-coller, cela devrait être dans vos moyens ?
Savonarole et moi, nous nous apprécions, également, et ça aussi, ça a l'air de vous déranger. Il faut absolument que vous tentiez d'insinuer le contraire ?
Vous êtes un f... de m..., Aliocha, sous vos airs doucereux de bisounours, qui a le culot de se revendiquer du christianisme, en plus ! Vous savez ce qu'elle dit, la Bible, des gens comme vous, qui tentent de créer des dissensions là où il n'y en a pas ? Vous savez ce qu'elle dit, des calomniateurs et des diffamateurs dans votre genre ?
Vous avez l'arrogance d'écrire : "Quant à moi, je réitère ma condamnation". Mais qui croyez-vous que "votre condamnation" puisse intéresser ? Vous vous prenez pour le Pape, maintenant ? Et c'est vous qui osez me reprocher une "morgue" parfaitement imaginaire ?
Ce qui serait intéressant, éventuellement, ce serait d'avoir vos arguments sur tel ou tel sujet évoqué ici, par Philippe Bilger (tant qu'à faire...) ou par l'un de ses commentateurs. Je n'ose dire : vos informations, ce serait trop vous demander.
Mais "votre condamnation" ? Vous aussi, vous vous prenez pour Napoléon ?
Vous osez vous poser, ici, en parangon de la tolérance et de la charité, et depuis près d'un an, vous utilisez mon nom comme une poupée vaudou dans l'un de vos commentaires sur deux, pour faire reluire ce que vous prétendez être votre belle âme ?
Allez prendre une douche, allez vous confesser, allez vous enfermer dans un couvent en faisant voeu de silence pendant un an, pour vous purifier de vos dégoûtantes pratiques, et ensuite nous pourrons, peut-être, croire à vos protestations de vertu. Si elles disparaissent. Vous n'êtes pas plus un saint que n'importe qui, ici.
Je relève aussi cette insondable imbécillité de votre part :
@ Aliocha | 20 juin 2018 à 21:52
"Peut-être comprendrez-vous quel courage il faut pour s'opposer aux arguments racistes, émis au nom de l'idéologie chrétienne et de la supériorité de la race blanche."
C'est sûr que pour être "anti-raciste", aujourd'hui, en France, il faut être extrêmement courageux ! Ce sont les émetteurs d'opinions "anti-racistes" qui risquent le harcèlement sur Internet, la fermeture de leur compte Twitter ou Facebook, les menaces de mort, les convocations répétées par la police, des poursuites judiciaires, des amendes en série, la perte de leur emploi, l'ostracisme social, la destruction de leur carrière, la ruine, voire l'agression physique, quand ce n'est pas le viol ou le meurtre !
Ce sont les opinions "anti-racistes" qui sont extrêmement mal vues dans l'Eglise de France, qui ne sont jamais professées par les évêques et qui peuvent vous valoir l'excommunication !
Pour dire exactement le contraire de la vérité avec componction, vous êtes très fort...
Quant aux "arguments racistes" que j'aurais émis ici "au nom de la supériorité de la race blanche", il se trouve que je viens de démontrer la fausseté des arguments "anti-racistes" au nom de la supériorité de la race noire...
Mais vous non plus, vous ne savez pas lire, ni réfléchir... Vous êtes simplement une machine, un automate, un logiciel qu'on a programmé pour diffuser la propagande "anti-raciste" quoi qu'il arrive, tout en restant totalement étanche au monde qui vous entoure.
______
@ Mary Preud'homme | 20 juin 2018 à 21:39
"Le paléontologue américain Stephen Jay Gould affirmait dans son livre la Mal-mesure de l'homme que 'l'intelligence générale était simplement un artefact mathématique, et que son utilisation n'était pas scientifique, mais culturellement et socialement discriminatoire'."
Oui. Ce monsieur fait partie de la longue cohorte des faux intellectuels mais vrais gauchistes, qui s'emploient à diffuser la propagande politiquement correcte au lieu de respecter la démarche scientifique.
Au cas où vous ne l'auriez pas remarqué, les universités d'Europe et d'Amérique du Nord sont désormais occupées, c'est le terme exact, par des brigades de soi-disant professeurs qui sont avant tout des terroristes intellectuels du néo-communisme.
Si vous-même aviez la moindre notion de ce qu'est la démarche scientifique, vous vous demanderiez en quoi un paléontologue serait qualifié pour dire, à rebours de ce que les hommes savent depuis des milliers d'années, par l'expérience et par la science, que l'intelligence n'existe pas.
Un psychologue pourrait être qualifié. Un médecin pourrait être qualifié. Un spécialiste de la biochimie humaine pourrait être qualifié. Mais un paléontologue ?
Si votre approche était respectueuse de la science, vous considéreriez comme éminemment suspecte une phrase où figure le mot "paléontologue" (qui désigne le praticien d'une branche de la science, donc), suivie non seulement d'une assertion se voulant scientifique, mais étayée sur rien ("l'intelligence générale est simplement un artefact mathématique"), mais aussi d'une affirmation n'ayant rien à voir avec la science, et tout à voir avec la politique et l'idéologie ("l'utilisation de la notion de science n'est pas scientifique, mais culturellement et socialement discriminatoire").
Il vous reste à nous démontrer (à vous, et non à Stephen Jay Gould), pourquoi il ne faudrait pas procéder à une discrimination culturelle et sociale. Toute l'histoire de l'humanité montre, au contraire, que la sagesse et le génie humains consistent à discriminer à bon escient. Et que rien de bon, de beau et de grand ne s'obtient sans une discrimination de tous les instants.
Evidemment, cela heurte de front les intérêts politiques de vos amis les Noirs. Mais vous pourriez au moins avoir l'honnêteté de reconnaître que vous parlez au nom des intérêts politiques du lobby noir, et non au nom de la science ou de la vérité.
Les intérêts politiques superficiels et à très court terme, d'ailleurs. Car le gauchisme, l'immigrationnisme, le multiculturalisme et "l'anti-racisme" vont directement à l'encontre des intérêts du groupe humain constitué par les personnes de race noire. Et différents intellectuels noirs l'ont affirmé avant moi. Mais vous n'avez pas l'air de vous en être aperçue. Votre tribalisme exacerbé, fanatique et irréfléchi vous en empêche.
Comme beaucoup de gens, vous avez du mal à séparer votre vie privée de votre politique. Je vous rappelle néanmoins que la seconde est exactement le contraire de la première. Si l'on parle de vie publique, si l'on parle d'intérêt général, ce n'est pas un hasard. Seuls sont qualifiés pour parler de politique ceux qui sont capables de faire cette distinction.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 21 juin 2018 à 00:39
Vous avez quand même compris cela, Lucile, peut-être comprendrez-vous quel courage il faut pour s'opposer aux arguments racistes, émis au nom de l'idéologie chrétienne et de la supériorité de la race blanche, on a vu où ça menait par le passé, et voilà qu'on recommence.
Demandez à Mary, ou à Césaire, ou à Levinas ce qu'ils en pensent.
Rédigé par : Aliocha | 20 juin 2018 à 21:52
@ Lucile en passant
Le paléontologue américain Stephen Jay Gould affirmait dans son livre la Mal-mesure de l'homme que "l'intelligence générale était simplement un artefact mathématique, et que son utilisation n'était pas scientifique, mais culturellement et socialement discriminatoire"... ajoutant que les scores de QI sont des indicateurs médiocres de l'intelligence complète d'un individu... et s'avèrent notamment dans l'incapacité de prédire comment une personne qui les réussit se comportera dans une profession particulière.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 20 juin 2018 à 21:39
@ Lucile
Je ne comprends pas non plus ce qu'a voulu dire Aliocha, mais je suppose qu'il a voulu bien faire... Soit vous ne craignez pas l'enfer, soit vous faites semblant de rien, ce que je trouve bien beau dans les deux cas.
Comme vous vous comportez bien avec une inspiration religieuse, quoi de mieux que de vous envoyer du Bach également inspiré par le christianisme ?
https://www.youtube.com/watch?v=tdLCcQixNvg
Rédigé par : Noblejoué | 20 juin 2018 à 21:02
@ Aliocha | 20 juin 2018 à 08:40
Rien compris ! Quel courage ? Quelle échelle ?
Quand vous ne vous grisez pas de clichés et de citations, vous vous exprimez sous forme allusive. Top fort pour moi, ça me dépasse. Je note tout de même que vous semblez vous préoccuper du salut de mon âme et vous en suis fort reconnaissante.
Rédigé par : Lucile | 20 juin 2018 à 18:08
Lucile va-t-elle avoir le courage minimal ou redescendre l'échelle avec Savonarole sous les insultes et les torrents d'opprobre de notre écolier dont on espère que les évolutions de l'EN lui refuseront le passage en 6ème ?
Quant à moi, je réitère ma condamnation à l'écoute éternelle des génies de l'humanité qui, comme les juifs, ont su de la discrimination épouvantable qu'ils ont subie faire une force positive et féconde :
https://www.youtube.com/watch?v=FEPFH-gz3wE
Rédigé par : Aliocha | 20 juin 2018 à 08:40
Un immense Trump hier devant les caméras du monde entier, impassible, sourire aux lèvres devant les quelques singes hurleurs qui essayaient en vain de le déstabiliser au sujet des cages de mineurs mexicains séparés de leurs parents indignes qui mettent leur progéniture en danger, sachant que la frontière US est un véritable champ de mines pour ceux qui veulent s’y aventurer.
Étonnant que les ligues de la bien-pensance merdiatique mondiale ne condamnent que Trump et non le président mexicain responsable de la mise en danger de son peuple ; humanisme bisounours à sens unique, le méchant facho réac populiste identitaire nazi c’est l’Américain, la gentille victime c’est le Mexicain.
Pourvu que Trump tienne bon et n'infléchisse pas sa politique migratoire, il nous montre l’exemple à suivre, à nous les pétochards européens collabos soumis à l’invasion islamiste.
Très bonne initiative aussi de se retirer de ce cloaque de faux culs de l’ONU et ses préférences victimaires : le méchant Israélien et le gentil Palestinien.
Du grand Trump ! Pour lui je ferai une exception concernant mon rêve de képi, ça nous priverait de sa coiffure géniale qui ressemble à un pied de nez à tous ces guignols trumpophobes.
Rédigé par : sylvain | 20 juin 2018 à 08:30
@ Lucile | 19 juin 2018 à 14:06
"L'une de mes petites-filles explique la baisse de niveau observée et largement publiée dans l'opinion américaine par le fait que, dit-elle, les gens sont maintenant intelligents pour d'autres choses qu'autrefois."
Votre petite-fille formule là l'une des énièmes variations du déni de l'existence de l'intelligence, de son importance, de ses variations entre les hommes ainsi qu'au cours du temps.
"Freud expliquait la réussite intellectuelle et artistique de l'Occident par la frustration sexuelle, due au fait que l'âge du mariage, de la fondation d'une famille (et de la fornication...) vient longtemps après la puberté."
Une façon plus précise de décrire ce phénomène est d'opposer les races (eh oui... encore... désolé) qui ont une stratégie de reproduction intensive, et celles qui ont une stratégie de reproduction extensive.
Les premières font moins d'enfants, et investissent beaucoup dans leur éducation (entendre par là le sens originel du terme, pas uniquement l'Education nationale et son sacro-saint budget). Les secondes font plus d'enfants, et leur accordent moins d'importance. S'ils survivent, tant mieux. Sinon, on en fera d'autres.
Parmi les races à stratégie de reproduction intensive, se trouvent la race juive et la race blanche. La célèbre "mère juive" ne vient pas de nulle part.
Parmi celles à stratégie de reproduction extensive, se trouvent la race arabe et la race noire. L'islam encourage la maltraitance infantile. Le fameux proverbe africain, disant qu'il faut tout un village pour élever un enfant, est une manière habile de maquiller le fait que personne ne s'en occupe, et qu'ils courent tout seuls entre les cases (ou entre les barres de HLM).
C'est bien l'une des raisons pour lesquelles ce sont les enfants noirs qui tombent des fenêtres de ces mêmes HLM, de façon tout à fait disproportionnée. Comment le sait-on ? Eh bien, parce que les affiches de prophylaxie officielles contre cette étrange épidémie montrent... des enfants noirs. Contrairement au politiquement correct, qui remplace le noir par le blanc, dans la "communication", à chaque fois que cela risquerait de montrer les Noirs sous un mauvais jour. Comme la diffusion de ces affiches en réserve la vue, en pratique, aux populations concernées, les autorités peuvent, pour une fois, dire la vérité.
Les deux stratégies reproductives se "défendent", en termes évolutifs, par rapport à l'environnement, etc. Ce qui est certain, c'est que seule la stratégie à fort investissement parental dans chaque enfant permet d'aboutir aux sommets de la civilisation occidentale.
Encore faut-il, pour qu'elle reste efficace à long terme, que la partie supérieure de la race blanche, la crème de la crème, en quelque sorte, continue à faire un nombre suffisant d'enfants.
Or, le remplacement tendanciel du christianisme par le socialisme, en Europe comme aux Etats-Unis, fait que les basses classes se reproduisent plus que les autres. Tandis que les Blancs les plus intelligents font un enfant (ou 1,5), tardivement. Quand ils ne vont pas l'adopter en Afrique... C'est la thèse présentée par le film Idiocracy, sur le mode de la comédie.
Un autre point crucial est que la création et le maintien de la civilisation occidentale exigent, non seulement un bon niveau moyen d'intelligence, mais la présence d'un nombre significatif de génies. Des gens qui sont très à droite sur la courbe de Gauss de l'intelligence.
Les Noirs n'en produisent aucun. Il n'y a pas de génies noirs. Pour s'en convaincre, il suffit de consulter les nombreuses listes d'inventions dues aux Noirs -- établies par des Noirs, bien entendu, dans un but d'auto-célébration raciale.
En admettant leur véracité (qui est fortement sujette à caution : un examen attentif de ces revendications révèle un pipotage intensif), leur contenu relève du comique involontaire le plus abouti. On y trouve, par exemple, le feu rouge (ce qui m'étonnerait beaucoup, mais quand bien même), et... le pistolet à eau. Yes, Madame. Une marque particulière de pistolet à eau, le haut de gamme de ce type de jouet, très connue aux Etats-Unis.
Continuons donc d'accueillir, par millions, les Africains qui nous arrivent dans des barcasses ; l'un d'entre eux arrivera bien, un jour, à nous perfectionner le pistolet à eau...
Finissons par les Juifs, dont on ne fait pas assez souvent remarquer qu'ils n'existent pas. On en parle beaucoup, on ne parle même que d'eux, mais ils ne sont que... 14 millions. Dans le monde entier. Etats-Unis compris. Israël compris. Soit à peine plus que la population de l'Ile-de-France.
Je n'ai pas besoin de vous préciser qu'ils sont très largement sur-représentés parmi les génies. Et pas pour le pistolet à eau... Cependant, il faudrait éviter de n'avoir à compter que sur eux pour renouveler le cheptel. D'abord parce que s'il faut exclusivement compter sur la survie de 14 millions de bonshommes pour maintenir notre civilisation, l'avenir va être légèrement angoissant.
Ensuite parce que Dieudonné et ses potes nous cassent déjà suffisamment les pieds comme ça. Si nos descendants doivent se fader cent Alain Soral et mille Louis Farrakhan, ça ne va pas être très gai pour eux.
______
@ Aliocha | 19 juin 2018 à 09:00
"Marchenoir... blabla... Marchenoir... blabla..."
Pipotron. Ane savant. Faux littérateur.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 20 juin 2018 à 05:11
"C'est ce qui arrive au Américains, ils prennent l'échelle de Darwin en sens inverse."
Rédigé par : Savonarole | 19 juin 2018 à 13:19
Vu le nombre d'Américains, je pense qu'on peut rajouter un X à "au américains", je vous présente toutes mes confuses,
comme disait le réfugié soviétique du Père Noël est une ordure.
Rédigé par : Savonarole | 19 juin 2018 à 20:00
@ sylvain | 19 juin 2018 à 08:18
« Mon Président rêvé serait celui qui aurait enfin le courage de porter un képi et des bottes ! »
Vous avez dû faire Führer pendant la Seconde Guerre mondiale !
Rédigé par : Elusen | 19 juin 2018 à 17:26
"Freud expliquait la réussite intellectuelle et artistique de l'Occident par la frustration sexuelle, due au fait que l'âge du mariage, de la fondation d'une famille (et de la fornication...) vient longtemps après la puberté. Le refoulement oriente la curiosité et l'énergie vers des objectifs plus intellectuels."
Rédigé par : Lucile | 19 juin 2018 à 14:06
Pour une fois, et délaissant la critique d'Onfray, je serais plutôt en accord avec cette observation...
Les ados refoulés que nous avons été savaient découvrir très tôt la lecture, écoutaient les émissions radiophoniques, écrivaient des lettres ou des pneus (ah ! les pneus ! chers papiers roulés que l'on défroissait en tremblant...) à leur belle, et géraient leurs émois par d'autres moyens que les zéros sociaux. Mary découvrait l'appel du 18 Juin à 9 ans (moi c'était plutôt Robinson Crusoé et Blek le roc) et Achille faisait son éducation religio-sexuelle chez les maristes.
Mais aujourd'hui je peux, si je veux, taper "Nuits d'été" sur mon PC et visionner aussitôt sur YouTube une vingtaine d'interprétations, faire défiler sur mon écran toutes les statues Fang des collections diverses, etc.
Ces solitaires plaisirs sont-ils préférables aux divagations de notre jeunesse ? Vaste question.
Rédigé par : sbriglia | 19 juin 2018 à 16:00
@ Savonarole | 19 juin 2018 à 13:19
Non, pas de sentiments anti-français chez nous pour l'instant, au contraire. Et elles ne plombent pas trop la moyenne nationale en ce qui concerne le QI, quoique l'une des deux soit flemmarde comme un lézard.
Il paraît que le QI a été mis au point au moment de la Seconde Guerre mondiale pour permettre à l'armée américaine d'exploiter au mieux le potentiel humain des troupes, à un moment où la victoire était loin d'être assurée. À chaque soldat était attribuée une mission différente selon ses moyens intellectuels. Il restait au plus bas de l'échelle un pourcentage (je ne sais plus de combien, disons 10 à 15%) à qui on ne pouvait confier aucun travail pour cause de débilité, profonde ou légère... Ils pouvaient toujours servir de chair à canon je suppose. Ça fait un peu penser au Meilleur des mondes.
Les socialistes anglais au pouvoir (bien après la guerre) ont ensuite utilisé le test pour détecter des gens à fort potentiel que le système scolaire aurait laissés de côté.
L'une de mes petites-filles explique la baisse de niveau observée et largement publiée dans l'opinion américaine par le fait que, dit-elle, les gens sont maintenant intelligents pour d'autres choses qu'autrefois. L'autre, sans que je lui ai soufflé mes opinions, pense que l'école tue la curiosité intellectuelle, surtout scientifique, des enfants. Ils passent trop de temps à l'école, on leur dilue le savoir, c'est mortellement ennuyeux.
Freud expliquait la réussite intellectuelle et artistique de l'Occident par la frustration sexuelle, due au fait que l'âge du mariage, de la fondation d'une famille (et de la fornication...) vient longtemps après la puberté. Le refoulement oriente la curiosité et l'énergie vers des objectifs plus intellectuels. Je trouve l'idée intéressante. Mais elle est battue en brèche par l'exemple de notre président tombé fou amoureux de sa prof à l'école, et tellement, tellement intelligent. Vous me direz, on ne connaît pas son QI. Les plus élevés se tournent généralement vers des études scientifiques.
Rédigé par : Lucile | 19 juin 2018 à 14:06
@ Lucile | 18 juin 2018 à 23:51
J'ai pu observer auprès de mes deux cousines américaines le même phénomène que celui que vous relatez.
Ma tante a épousé un pilote américain faisant partie de l'opération Torch au Maroc en 1942 (où ma famille vivait depuis Lyautey, pour faire court).
À l'adolescence mes cousines étaient fières d'avoir une mère française, leçons de piano, découverte des grands auteurs français, danse classique et flonflons au barbecue du 14 juillet à Port Washington (Long Island)...
Puis il y a eu un tournant, de Gaulle, les inepties anti-américaines de Michel Jobert, Cheysson sous Mitterrand, et puis ce cher New York Times qui nous bombarde d'insultes depuis soixante ans "il n'y a qu'une brosse à dents pour dix Français"...
Soudain, mes deux cousines se mirent à parler le français comme Jane Birkin, j'ai compris que leur QI se dégradait. Que la France était pour elles un fardeau social dans leur milieu américain.
Le QI est aussi fonction du milieu ambiant. Il peut se dégrader avec l'âge, c'est comme le permis de conduire où on peut perdre tant de points qu'il faut le repasser, mais pour le QI c'est trop tard, hélas.
Louis-Ferdinand Céline avait traité ses juges de "clanculs", ce qu'ils prirent comme un outrage alors qu'il s'agit tout bonnement d'un coquillage marin qui prend la couleur ambiante pour se protéger...
C'est ce qui arrive aux Américains, ils prennent l'échelle de Darwin en sens inverse.
Rédigé par : Savonarole | 19 juin 2018 à 13:19
Mais comment fait-il, Robert Marchenoir, pour voir cohabiter en lui l’extrême alacrité de ses analyses et la morgue inacceptable de ses conclusions, qui mettent en l'air tout ce qu'il y aurait de juste en ces descriptions au bénéfice du plaisir immédiat de devoir définir les causes, et d'alors se tromper au point de ressembler comme l'image du miroir à ceux qu'il dénonce ?
Comme un torrent qui dévale gaiement la pente du réel puis s'oblige à détourner le flux à l'entonnoir de son obsession, réduisant la puissance de sa réflexion en gerbe inutile et haineuse, besoin vaniteux de s'expliquer à soi-même sa propre schizophrénie, au point que l'on est en droit de se demander, au-delà de l’invraisemblable longueur de ses productions, s'il n'est pas plusieurs.
Il est une sorte de témoin, de papier pH de l'Occident, où la rage et la frustration détruisent tout ce que la tradition séculaire et l'état des connaissances a pu établir, et qu'il sait repérer, mais qu'il ne fait qu'entraîner dans un mouvement régressif et exaspérant de désir dominant, ravalant l'évolution culturelle aux pires archaïsmes que pourtant sa grande intelligence et l'étendue des connaissances qu'il a reçues devraient lui permettre d'éviter.
Lire, écrire, compter, dit le ministre, ne sont rien s'ils ne s'inscrivent pas dans le respect d'autrui.
C'est à se demander s'il ne faudrait pas refuser à l'Occident l'accession au collège, pour lui éviter éternellement d'être asservi par des princes inversés qui ne cautionnent plus que le malheur et les divisions, seuls à même de garantir le pouvoir de leur destruction, pour éviter qu'ils marchent en bataillon, les petits blancs, exigeant la protection de la tyrannie de leur désir, qu'on continue à leur payer retraites et cotisations sociales sur le dos mais d'autres pauvres, éduqués qu'ils sont au goulot de l'amour libre et de l'abolition des privilèges qu'ils imaginaient être pour tous plutôt que pour personne, persuadés de leur supériorité intellectuelle d'esclaves abolis.
Marchenoir pourrait alors accéder à la vérité, dont nous n'avons conscience que par la trace qu'elle laisse en nous, et accéder au génie de l'instinct du cœur que nos traditions - juives, grecques, romaines puis chrétiennes - indiquent et qu'il sait formuler sans toutefois aller jusqu'au bout de leur logique, qui est soin à la relation dans le respect d'autrui, même et surtout s'il est plus faible et moins bien éduqué.
Il saurait alors, et nous avec, accéder à l'age adulte, à la vision d'un avenir possible et qu'il nous appartient de construire et de protéger.
Rédigé par : Aliocha | 19 juin 2018 à 09:00
J'ai failli louper un grand moment de déjections canines de mon toutou Gaspary Elushaine :
"C'est Sarkozy qui a... etc. etc."
Rédigé par : Elusen | 18 juin 2018 à 04:21
Vous me parlez de ce petit président Kinder Bueno ? Ce mini-Président de gauche qui avait promis de passer le Kärcher ?
Vous me parlerez aussi de Le Pen, je présume, puis de Wauquiez, de beaux parleurs mais qui ont peur d'être élus et s'ils le sont, continueront les politiques collabos de l'UE mafia ?
N'est pas TRUMP qui veut !
Mon Président rêvé serait celui qui aurait enfin le courage de porter un képi et des bottes !
Mon Pôv' Gaspounet, tout faux comme d'hab !
Rédigé par : sylvain | 19 juin 2018 à 08:18
@ Robert Marchenoir
@ Lucile
Il faut se servir de la baisse du QI et de la loi du moindre effort pour son contraire... Il faut se servir d’Alzheimer pour son contraire.
Je veux dire que les risques de déclin doivent amener à préparer l'opinion à accepter, que dis-je ? réclamer les augmentations de capacités cognitives et d'augmentation de vie qui, à mon avis, vu les investissements qu'on fait là-dedans, finiront bien par émerger.
Le mal fait découvrir le bien. L'effort pour acquérir un plus significatif par augmentation entraîne celui, en attendant, pour soi ou plus probablement nos successeurs, de faire ce qu'on peut avec des ressources cognitives et de vie déplorablement basses, et à mon avis en déclin parce que nous cédons à l'émotionnel, dont nous sommes dotés.
Le problème de la facilité que vous dénoncez se voit toutefois là : bien des gens veulent interdire le mieux parce qu'ils ne sont pas sûrs de l'avoir et que cela fatigue. A ce compte, il faudrait prohiber études, lectures, création et hygiène. Disons que certains veulent interdire le mieux par esprit niveleur, d'autres parce que cela changerait les habitudes. Mais pour ma part, je me dis que certes, avec une intelligence augmentée j'aurais d'autres pensées qu'aujourd'hui, et que c'est une bonne chose, le mieux produisant du meilleur.
Ne pas vouloir échapper au monde mauvais, souffrance, mort et bêtise, soit par la mort, soit par le rêve, mais le rendre encore plus inexorablement déplorable, soit en l'aggravant, dans le pire des cas, par des attentats, soit en interdisant d'en abolir, pour les volontaires, les aspects les plus répugnants, me semble inqualifiable.
Un précédent : nos ancêtres n'avaient pas la science, ils l'ont "fabriquée" peu à peu. Nous récoltons ce qu'ils ont semé.
Le problème est que nous ne semons plus. Avoir des enfants sans rien avoir à leur donner, si ! Nous ne parlons que de rendre une planète en bon état, si c'est utile, cela ne suffit pas. Comme dans la parabole où un riche donne son argent à placer à ses serviteurs, il faut investir pour obtenir plus que ce que nous avons reçu.
Toute famille, toute nation, toute culture qui fait cela est justifiée par ses œuvres, les autres condamnées.
Les Etats-Unis sont donc justifiés, et si cela continue comme cela, l'Europe sera condamnée, plus vieille de ne plus forger le futur que des trésors à présent inutiles qu'elle aura pu amasser.
Rédigé par : Noblejoué | 19 juin 2018 à 06:57
Je salue le courage de Trump et ses actions fermes contre les migrants. Il fait hurler le monde entier ? donc c’est tout bon !
J’aimerais voir un ou plusieurs leaders européens qui ait seulement le dixième de son courage.
Peine perdue, aucun espoir, nous sommes à la botte de la pire mafia UE, ses trafics d’humains et ses crapules d’ONG complices des passeurs ; ça mérite le TPI !
Rédigé par : sylvain | 18 juin 2018 à 23:58
@ Robert Marchenoir | 18 juin 2018 à 21:12
Mes petites-filles américaines me disent qu'aux USA aussi le QI moyen est en train de baisser de façon significative. L'article auquel vous renvoyez souligne la corrélation entre le niveau moyen du QI et le niveau de vie d'un pays. C'est inquiétant pour l'avenir.
Je vous rejoins complètement pour penser que la loi du moindre effort ne peut pas favoriser le développement intellectuel.
Rédigé par : Lucile | 18 juin 2018 à 23:51
Une loi, un précepte, traduit par notre cher Marcel :
"L'instinct dicte le devoir et l'intelligence fournit des prétextes pour l'éluder."
Ou ce ne sont pas les plus intelligents qui se gardent d'être possédés par le malin : si l'éducation oublie l'essentiel, ancrer la pensée dans la chair de la relation, elle expose plus qu'elle ne protège.
Rédigé par : Aliocha | 18 juin 2018 à 23:06
@ Lucile | 17 juin 2018 à 12:47
"J'ai moins de réticences avec 'décadence' qu'avec 'dégénérescence'."
Il y a les deux. D'ailleurs, je vois mal comment on pourrait tracer une frontière étanche entre ces deux notions.
"La baisse de QI intellectuel que vous signalez est selon moi une question d'organisation de la société et d'éducation des jeunes. Si elle était génétique, la dégringolade n'irait pas aussi vite."
Bien sûr qu'elle est, pour une large part, génétique ! Lorsque vous importez, par millions, pendant des décennies, des populations étrangères dont le QI est, en moyenne, inférieur de 10 à 30 % au nôtre, comment voudriez-vous que le QI européen ne s'effondre pas ?
Et si le QI des Noirs, par exemple, massivement inférieur à celui des Blancs, en moyenne, n'était pas dû à des facteurs génétiques, comment se fait-il qu'il ne se soit pas hissé à la hauteur de celui des Blancs, aux Etats-Unis, après plusieurs siècles d'un "environnement" favorable ?
Je n'ai pas lu dans le détail toutes les études auxquelles renvoie le post de blog que j'ai indiqué, mais l'une d'entre elles est du pipeau massif : elle s'est bornée à étudier les hommes qui ont fait leur service militaire en Norvège depuis les années 60. Elle en conclut, ce qui est fort possible, qu'après une progression régulière de leur QI, on a assisté à une inversion de la tendance et à une baisse continue.
C'est ce que l'étude appelle l'effet de Flynn inversé, sachant que l'effet de Flynn rend compte d'une élévation progressive du QI en Europe dans la période antérieure. Mais c'est là que l'étude, et surtout l'interprétation qui en a été faite par les médias, nous prennent pour des imbéciles : la conclusion affichée, en effet, est que les variations du QI (en général) sont dues exclusivement à l'environnement.
Léger détail qui flanque tout par terre, l'étude ne prend nullement en compte l'irruption massive et récente, en Norvège, d'une population immigrée venant d'ethnies à faible QI ! Ces populations ne font nullement partie de l'échantillon étudié ! C'est sûr que si l'on fourre le thermostat dans la chaudière, on peut vous expliquer que si vous grelottez chez vous, c'est le fruit de votre imagination !
Par ailleurs, en dehors du QI à strictement parler, et de sa base biologique (le cerveau) qui est influencée aussi bien par l'hérédité (50 à 80 %) que par l'environnement (éducation, etc.), il y a des facteurs sociologiques, psychologiques et moraux qui expliquent l'abêtissement d'une population blanche dans laquelle on injecte massivement des Africains et des musulmans.
La première est la contamination de l'éthique occidentale par l'éthique noire et musulmane. La première est une morale de l'effort, de la responsabilité et du dépassement de soi. Issue de plusieurs millénaires de culture juive, puis grecque, puis romaine et enfin chrétienne.
Elle seule a permis à la société occidentale d'être ce qu'elle est, c'est-à-dire une société où l'on mange à sa faim (et où l'on jouit même de la "bonne bouffe" à la française), où l'on dispose d'un confort certain, où l'on invente des smartphones et des voyages aériens à bon marché, où l'on compose la musique la plus sublime du monde, etc.
C'est en raison de ces attraits que tous les immigrés se précipitent chez nous. Mais ce que nous, nous avons réalisé, eux sont incapables de le faire. Par conséquent, ils vont immanquablement le détruire. L'éthique africaine et musulmane, c'est celle de l'effort juste nécessaire, du "ce sera toujours assez bon comme ça", "de toutes façons c'est Allah qui décide", "si je peux voler un truc à mon voisin, eh bien il sera à moi", "y'a qu'à réclamer des sous au chef, ou au gouvernement", "de toutes façons c'est la faute des Blancs", et (pour ces messieurs) "si mon organe viril me déçoit, c'est qu'un ennemi qui me veut du mal m'a volé mon sexe", et je peux aller porter plainte au commissariat de police pour cela. Et il y a des commissariats qui acceptent ces plaintes (tout à fait authentique).
Premièrement, vous ne pouvez pas faire fonctionner une société occidentale avec ce genre de mentalité (ne parlons même pas de QI) ; deuxièmement, ce genre de mentalité est contagieuse. L'effort et la responsabilité ne sont pas naturels. C'est le résultat d'une tradition inculquée à coups de baffes (physiques ou mentales) depuis des centaines de générations.
Lorsque vous voyez qu'une partie significative de la population vit selon la règle du "ben, ça ira bien comme ça, riennafout' ", et qu'en plus personne ne le lui reproche, et que de surcroît les autorités considèrent ces gens comme de pauvres victimes qu'il convient de secourir (à vos frais), pourquoi allez-vous continuer à vous casser le dos à faire des efforts surhumains, pour lesquels personne ne vous remerciera, quand, en prime, vous ne vous faites pas traiter de "raciss' " ?
Pire, cet alignement par le bas qui est le fait du découragement, du mauvais exemple, de la vertu mal récompensée, est souvent imposé par l'intimidation et la violence. Par les enfants des immigrés. Dès l'école.
C'est l'éthique de l'inversion des valeurs : le bon élève, celui qui a une bonne conduite, qui fait des efforts, qui réussit, est un "boloss", un "bouffon". Il est harcelé, intimidé, il reçoit des coups -- dans certains cas il est poussé au suicide. Puisque les Noirs et les Arabes sont incapables d'avoir les résultats des Blancs à l'école, eh bien ils vont faire en sorte de persécuter ces derniers jusqu'à ce qu'ils chutent à leur niveau. Là encore, ces comportements sont contagieux. Alors qu'il allait de soi, jadis, que l'exemple à suivre était le bon élève, la morale populaire est en train de s'inverser : c'est le bon élève qui doit avoir honte, et se cacher.
Aux Etats-Unis, cela se traduit par l'expression noire "to act white". Se conduire comme un Blanc, c'est respecter l'autorité, bien se conduire envers autrui, faire des efforts, apprendre, réussir. Et quand un Noir accuse un autre Noir de "act white", eh bien... c'est une insulte. C'est l'un des pires reproches qu'un Noir puisse faire à un autre.
Tous ces facteurs se combinent pour provoquer l'abêtissement collectif d'une société. On croit que la civilisation est une donnée, on la traite comme un "avantage acquis". Toute personne employant cette expression devrait être fusillée. Il n'y a pas d'avantages acquis. Une civilisation, c'est un long effort de tous, chaque jour, pendant des millénaires. C'est long et difficile à construire. Le chemin inverse est bien plus facile, et plus rapide.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 18 juin 2018 à 21:12
@ sylvain | 16 juin 2018 à 16:42
Eh non ! La Loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Églises et de l'État, c’est Sarkozy avec sa majorité qui a tenté de la réformer !
C’est Sarkozy qui se présente dans une salle où les femmes sont séparées des hommes !
C'est Sarkozy qui a adoubé l'UOIF !
Rédigé par : Elusen | 18 juin 2018 à 04:21
@ Robert Marchenoir | 16 juin 2018 à 13:42
"...Lucile s'indignait que l'on puisse accuser les Occidentaux de décadence".
J'ai moins de réticences avec "décadence" qu'avec "dégénérescence". La baisse de QI intellectuel que vous signalez est selon moi une question d'organisation de la société et d'éducation des jeunes. Si elle était génétique, la dégringolade n'irait pas aussi vite.
Bruno Bettelheim, par ailleurs contesté à juste titre sur sa théorie de l'autisme, a écrit des choses intéressantes sur les résultats de l'éducation des enfants du kibboutz ("Les Enfants du Rêve"). Les statistiques sur les morts pendant la guerre des Six Jours montraient que la proportion des enfants tués était beaucoup plus importante chez ces enfants que parmi les enfants élevés à la maison dans un foyer classique.
Sa conclusion était que cette façon d'élever les enfants, qui était en train de gagner plus ou moins tout l'Occident, produisait moins de cas sociaux, mais moins de gens intelligents et créatifs. Elle ramenait tout le monde vers la moyenne.
Apparemment, elle diminue les moyens de défense individuels.
La crèche, puis l'école maternelle dès 30 mois corrigent un peu les manques éducatifs dans les milieux défavorisés (quoique... voir ce qui se passe ensuite à l'école), mais il y faut la présence d'enfants bien socialisés, qui eux, ne bénéficient pas du tout à mon avis de cette vie de groupe où tout le monde fait à peu près la même chose en même temps. Rien ne remplace le jeu libre, ni le langage sur-mesure des parents, adapté pour être toujours un tout petit cran au-dessus de ce que l'enfant sait déjà, de façon qu'il comprenne et qu'il apprenne.
Rédigé par : Lucile | 17 juin 2018 à 12:47
Coucou Gaspinet, kss kss !
"La gauche a voté la laïcité !
Pas la droite !
Donc islamiste et gauche, c’est un antonyme."
Rédigé par : l'inénarrable Gaspary-ElusHAINE | 15 juin 2018 à 19:00
Pas de bol mon pote Gaspinou ! La laïcité est devenue une variable d'ajustement pour une collaboration de la gauche à l'islamisme conquérant et envahisseur ; la gauche soutient le voile, signe religieux provoc islamiste, la gauche collabore à l'invasion immigration de migrants sans contrôle (mot horriblement fasciste), la gauche soutient les culs en l'air place Clichy et autres lieux de cul-te dans tout le Califat islamique de la Ceufran, la gauche reçoit les muslis à la mairie de Paris, la gauche défend les mosquées radicales etc. etc.
Donc la gauche laïcislamiste a voté pour une laïcité islamique, une Allahicité, une halalislamicité, au choix ; la gauche a vendu sa laïcité aux islamistes ; la gauche combat la crèche de Ménard dans sa mairie, donc elle applique son principe de laïcité islamiste salafiste aux cathos.
Tout faux comme d'hab mon pôv' Gaspary !
Nonosse ?? gentil chien chien !
Rédigé par : sylvain | 16 juin 2018 à 16:42
@ Sergio Carioca | 16 juin 2018 à 01:39
« trotskiste »
Définissez trotskiste et répondre comme ?
Cela vient de quoi, de : Trotter, Trottinette, Trocadéro ?!
Mais en ce qui concerne votre fantasmagorie sur les USA, je pars du principe que quand on ne sait rien eh bien il vaut mieux se taire.
Par contre vous, c’est l’inverse, vous ne savez rien, mais vous affirmez.
Il n’y a aucune preuve que les USA soient une superpuissance, ce ne sont que des superlatifs en usage dans la communication publicitaire.
S’ils étaient aussi puissants, ils n’auraient pas besoin du reste du monde.
Rédigé par : Elusen | 16 juin 2018 à 16:15
La dernière qu'on vient d'apprendre, sur les aventures de Donald Trump au G7, est croquignolette. Il a expliqué aux Européens que c'était normal que la Russie annexe la Crimée, puisqu'on y parlait russe.
Outre qu'on parle russe dans toute l'Ukraine, et d'ailleurs dans de nombreux pays de l'ex-URSS, qui ont eu le mauvais goût d'accéder à l'indépendance lorsque le communisme s'est effondré, la nouvelle doctrine diplomatique des Etats-Unis a d'intéressantes conséquences.
Comme l'explique le Russe (et néanmoins résident bourguignon) Alexander Boot, les Etats-Unis vont maintenant annexer le Canada, puisque le Canada parle anglais. Quant à la France, elle va évidemment annexer le Québec, et je ne vous parle pas de la Belgique, d'un quart de la Suisse, du Maghreb et même d'une bonne partie de l'Afrique, qui devrait commencer à serrer les fesses.
Les Brésiliens devront s'habituer à Lisbonne, leur nouvelle capitale, les Mexicains à Madrid, quant aux Britanniques, ils vont réannexer l'Inde vite fait bien fait, ce qui réglera au moins une partie de leurs problèmes d'immigration.
C'est quand même fabuleux, le poutinisme. Le bolchevisme se contentait de placer, laborieusement, quelques espions soigneusement dissimulés dans l'entourage des dirigeants occidentaux. Le poutinisme met carrément un espion russe à la tête des Etats-Unis, au vu et au su de tout le monde.
Il faut tout de même reconnaître qu'il est très fort, ce Vladimir Poutine. Au passage, une rapide recherche ne m'a pas permis de retrouver mention de cette information dans la presse française, pourtant censée être massivement "russophobe" et "anti-Trump".
Il est vrai que rapporter cette déclaration faite à huis clos, et révélée par Buzz Feed près d'une semaine après le G7, aurait montré Trump sous un fort mauvais jour, et manifesté de façon un peu trop évidente sa collusion avec Moscou.
L'AFP a bien répercuté la déclaration de Trump faite avant le sommet, selon laquelle la Russie devrait réintégrer le G7, mais, apparemment, elle n'a pas repris l'argument présenté par Trump sur place, qui aurait montré son imbécillité diplomatique et sa mauvaise foi poutiniste de façon un peu trop flagrante.
La Russie a été exclue du G8, devenu G7, précisément suite à l'annexion de la Crimée. La rétintégration de la Russie légitimerait la doctrine de Moscou en vertu de laquelle la Russie a procédé à cette annexion. Et, au-delà de la plaisanterie, ouvrirait la voie à d'innombrables revendications territoriales à travers le monde, basées sur la réactivation de conflits éteints : voilà, entre autres, pourquoi la Russie menace la paix dans le monde.
Et pourquoi on ne peut pas dire, comme les poutinistes le pensent, mais n'ont même pas le courage de l'avouer tout haut : on n'en a rien à faire, des Ukrainiens, des Géorgiens et autres sauvages de ces contrées lointaines. Ce ne sont pas nos oignons. Nous, ce qui nous intéresse, c'est d'avoir du camembert au lait cru gratuit et obligatoire. Quant au reste, que ces peuplades arriérées se débrouillent entre elles. Comme dit Mélenchon, avec son mépris et sa xénophobie inimitables de grand bourgeois communiste : "T'en connais, toi, des Lituaniens ? J'en n'ai jamais vu un, moi ! Qu'ils aillent se faire foutre !"
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@ boureau | 16 juin 2018 à 10:54
Le type qui n'a absolument rien à dire pour étayer ses affirmations, et qui se sent, néanmoins, obligé de remettre un jeton dans la machine pour dire : céçuikidikyé. Pour être celui qui aura le dernier mot. Consternant.
Il y a quelques jours, Lucile s'indignait que l'on puisse accuser les Occidentaux de décadence. Hélas, celle-ci est manifeste. Le quotient intellectuel des Français s'effondre à l'oeil nu, comme on le voit à la lecture de tels commentaires, et d'ailleurs c'est déjà dans les chiffres.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 16 juin 2018 à 13:42
@ Robert Marchenoir 16 juin 2018 02:47
"Vous avez quel âge ? Quatre ans ?"
Il me semble effectivement que c'est le niveau de votre commentaire.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 16 juin 2018 à 10:54
@ boureau | 14 juin 2018 à 17:27
La mauvaise foi des trumpistes dans tout son étalage :
"Quant aux experts américains (certains) du Daily Beast, vous conviendrez que ce site ayant fortement soutenu Clinton, son objectivité et l'avis de ses experts laissent à désirer."
Non. "Les experts du Daily Beast", ça ne veut rien dire. Ces experts n'appartiennent pas au Daily Beast. Il y a des gens qui pensent par eux-mêmes, qui ont passé leur vie à étudier un sujet, qui le connaissent tellement bien qu'ils sont payés (cher) par des gens qui ont un besoin aigu de leurs connaissances, et il y a d'autres gens qui les interrogent pour ce qu'ils savent, et qu'eux ne savent pas. Ca s'appelle un expert. Vous ne pouvez pas comprendre. Un sectaire comme vous ne peut pas comprendre. Trump, gentil, Machin, Méchant.
Clinton, méchante, bien sûr ! Clinton ! Comment un expert qui y connaît quoi que ce soit peut accepter de parler à un journal qui aurait (c'est vous qui le dites) soutenu Clinton ?
Normalement, les gens sains d'esprit sont des fascistes, des gens qui interdisent la liberté d'expression, des gens qui ne parlent pas à un journal si ce dernier a soutenu quelqu'un que boureau n'aime pas.
Etes-vous allé voir qui étaient ces experts ? Quelle était leur qualification ? Que valaient leurs arguments ? Non, bien sûr ! C'est dans un journal dont vous prétendez qu'il ne cire pas les pompes à Saint Trump, par conséquent ils ne peuvent qu'avoir tort !
"Expliquer, avec aplomb, quelques heures après une rencontre historique qui bouleverse la stratégie mondiale, qu'il y a un gagnant et un perdant c'est tout simplement stupide."
Bien sûr. Monsieur boureau, qui est un zéro absolu, traite de stupides les dizaines de milliers de diplomates, hommes politiques, journalistes, financiers, chefs d'entreprise, professeurs d'université et j'en passe, qui, à travers le monde entier et quel que soit leur bord politique, ont exprimé un avis argumenté et étayé sur l'issue de cette rencontre.
Tous ces gens-là sont des abrutis. Y compris, naturellement, les experts qui écrivent noir sur blanc que c'est Trump qui est sorti gagnant de la rencontre. Et qui expliquent pourquoi. Avec des arguments qu'on peut contester, mais qui existent, ce qui est plus qu'on n'en peut dire de vos suffisants commentaires sur le sujet.
Par exemple, Caroline Glick, qui explique point par point, dans son éditorial du Jerusalem Post, pourquoi Trump a donné à tous ses prédécesseurs une leçon de négociation avec cette rencontre, eh bien Caroline Glick est une grosse cochonne, une nullarde, une idiote, qui devrait aller prendre des leçons de journalisme, de diplomatie et de négociation auprès de boureau, qui campe chez Philippe Bilger, et qui nous affirme qu'on ne sait rien et qu'on ne peut rien dire, parce que lui ne sait rien et donc n'a rien à dire.
Si j'étais d'aussi mauvaise foi que vous, je dirais que Caroline Glick a forcément tort, puisqu'elle s'exprime dans l'un des plus vieux journaux juifs de la planète, et que Trump est le président américain le plus favorable à Israël depuis l'âge du Bronze.
Selon votre logique à vous, Caroline Glick est stupide pour au moins deux raisons : premièrement, elle a un avis alors que vous n'en avez pas -- et avouez qu'on serait vexé à moins, deuxièmement elle est dans le camp de Trump, donc quand elle dit quelque chose de favorable à Trump, eh bien elle a forcément tort.
Vous avez quel âge ? Quatre ans ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 16 juin 2018 à 02:47
@ Elusen
"@ Sergio Carioca | 13 juin 2018 à 23:26
« Ils sont militairement supérieurs au reste du monde réuni est une hyperbole probablement vraie et invérifiable (croisons les doigts). »
« Probablement », faire une affirmation avec un tel mot, y a comme un problème.
Puis y ajouter : invérifiable, en somme vous nous dites que vous n'en savez rien, mais que vous allez affirmer ; je finis par en conclure que vous êtes une astrologue.
Les gens n’ont de pouvoir que ce que nous leur prêtons !
Les USA n’ont aucun pouvoir, ce sont les banques et les multinationales européennes qui ont décidé d’utiliser le dollar, une simple loi européenne peut le leur interdire.
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Décidément vous ne comprenez pas ou faites semblant et vous répondez comme un trotskiste.
Edwy derrière Elusen ?
Ils ont des yeux et ne voient pas, des oreilles... etc.
J'abandonne, chef.
A vous pour le dernier mot.
Rédigé par : Sergio Carioca | 16 juin 2018 à 01:39
@ sylvain | 15 juin 2018 à 11:03
La gauche a voté la laïcité !
Pas la droite !
Donc islamiste et gauche, c’est un antonyme.
Par contre extrême droite et islamiste ça roule ma poule !
Bien que le F-Haine un temps, c’eût été la secte Moon et la collaboration avec Saddam Hussein pendant sa prise d’otages des Occidentaux lors de la première guerre du Golfe !
Rédigé par : Elusen | 15 juin 2018 à 19:00
@ Zonzon de 09:44
"Bon sang mais c’est bien sûr ! C’est lui ! C’est, voyons, comment il s’appelle ! Voilà ! C’est Thierry Solère !"
C'est exactement ça, tout à fait le bonhomme.
Je le vois souvent attablé à la Villa Thaï, restaurant huppé du VIIe arrondissement.
Il est de ces gens qui croient qu'en mangeant thaïlandais on maigrit plus facilement.
Les Thaïlandais n'ont pas inventé le beurre de Normandie, c'est connu. Ça se saurait.
Il y traîne ses savates de traître, pendu à son portable, comme si la terre entière le consultait, et ce devant son épouse silencieuse qui décortique ses crevettes.
Un tableau qui aurait inspiré Marcel Aymé ou Jean Anouilh. Lugubre.
Rédigé par : Savonarole | 15 juin 2018 à 13:39
Le F-HAINE n’existe plus, dommage car la GAUCHE-HAINE d’ELUS-HAINE sévit toujours dans notre société abâtardie gauchislamiste.
"Kss kss, nonosse !"
Rédigé par : sylvain | 15 juin 2018 à 11:03
@ sylvain | 15 juin 2018 à 09:22
Je ne sais pas si vous regardez France 3 juste après les infos de 20H.
Vous vous prenez dans la tête toute une palanquée de demandes de dons, depuis la gamine dont la maman ne peut pas lui payer une paire de baskets parce que manifestement les aides sociales sont insuffisantes. Le petit con qui fait de la dépression alors qu’il a des parents qui le coucounent et une nana canon qui l’adore. Sans oublier les chercheurs en maladies rares (les seuls vraiment justifiables) et les ONG qui se consacrent à la lutte contre la misère dans des pays exotiques.
En tout une bonne dizaine de demandes de dons, à tel point qu’on ne sait plus à qui envoyer son chèque. A noter que ces dons de particuliers ne sont pas ponctionnés sur les deniers publics. Une façon comme une autre de faire des économies en comptant sur la générosité des citoyens.
Rédigé par : Achille | 15 juin 2018 à 11:01
SCENE DE RUE
Venant de ma droite il a croisé mon chemin. A angle droit. Il est grand, massif, un bel exemplaire d’homme, un rugbyman qui ne serait pas vulgaire ! Un pas souple et rapide. C’est un vieux Français, manifestement.
Il est élégant. Un costard gris dans une étoffe soyeuse, d’un bon faiseur. Du « Bourgi » peut-être !
Cravate. Glabre. Pas de tatouage apparent. A dû faire des études supérieures, quelque chose comme un cadre sup !
Ce type, il me dit quelque chose. Je l’ai déjà vu quelque part. C’est sûr ! Les neurones se mettent à tourner. C’est éprouvant cet état, ça doit aboutir !
Tchak ! Gagné ! Bon sang mais c’est bien sûr ! C’est lui ! C’est, voyons, comment il s’appelle ! Voilà ! C’est Thierry Solère !
Comment l’oublier celui-là. Un faiseur de Macron ! Un premier rôle dans la saga « La chute de la maison Fillon » ! Le numéro 2 du grand air de la trahison après le bien terne Georges Fenech - un renard peu habile plus apte à jouer Ysengrin – qui prit la tête du peloton le 1er février et qui ne fut rejoint par Solère que le 3 mars.
Ces deux-là, au bal des félons ils ne seraient pas à l’orchestre, dirait Audiard !
Je suis arrêté au feu rouge du passage clouté, je veux accéder au pont de l’Alma. Lui pareil devant le sien - il veut traverser l’avenue Bosquet. Il est là à ronger son frein avec en toile de fond les coupoles dorées de la cathédrale orthodoxe de la Sainte Trinité.
Il a l’air décontenancé, inquiet. Sort-il d’une réunion de sa mouvance, dont il a pris présomptueusement la tête ?
Ont-ils débattu de la disparition des cabines téléphoniques de rue, laquelle les laisse sans abri adéquat pour leurs colloques ?
Nerveux, il allume une cigarette ! Ce devrait être interdit de polluer l’espace public ! Ils ne peuvent pas faire cela chez eux tous ces intoxiqués ? Un représentant de la nation comme lui devrait donner l’exemple !
Il se retourne dans ma direction. Il pose un regard inattentif sur moi. Un vieux bonhomme gris, terne mais propre sur lui, qui vient de se faire rogner sa retraite et qui se demande si la Seconde Guerre mondiale était bien l’ultime péripétie d’une trop longue vie ! Un individu sans importance, mais un électeur tout de même, un sympathisant, qui sait !
Dans l’espace d’une microseconde il m’a regardé. Son attention a été accrochée. Des ondes mystérieuses. Il a réalisé qu’il était dans ma pensée.
Les hommes publics, quel que soit leur domaine d’activité, fonctionnent ainsi. Cela s’appelle la célébrité ! Une drogue dont ils ont besoin pour assister l’humanité souffrante dans sa marche vers un avenir incertain !
C’est toujours un peu p... un politicien !
Rédigé par : Zonzon | 15 juin 2018 à 09:44
@ Achille | 14 juin 2018 à 21:53
"L’Etat de New York accuse Donald Trump d'avoir détourné l'argent de sa fondation à des fins personnelles.
Faites un don !"
MDR ! Moi aussi j'ai détourné l'argent de toutes mes économies, toute ma vie j'ai vidé et ponctionné indéfiniment et scandaleusement mes comptes en banque.
Quand est-ce qu'on arrivera à faire comprendre à tous ces niais bisounours donateurs rackettés par des "fondateurs humanitaires" que l'argent des fondations sert en majorité à remplir d'abord les poches de leurs responsables ?
Tout le monde associatif est touché et qui dit association dit "de gauche", cette gauche qui n'a pas son pareil pour cocufier un populo abâtardi par cette idéologie qui prône la bonne morale, la seule et unique façon de bien penser.
Rédigé par : sylvain | 15 juin 2018 à 09:22
@ Zonzon | 14 juin 2018 à 16:05
« Il faut interdire le FN ! »
Le F-Haine n’existe plus !
Comment interdire quelque chose qui n’existe plus, vous qui êtes si brillant ?
Remarquez, en France, c’est ce que font tous les partis escrocs et les entreprises escrocs, ils changent de nom quand la justice les attrape.
Bientôt les pédophiles et tueurs en série pourront eux aussi changer de nom, pour dire : « Ben, c’est pas moi ! »
Toutefois à l’extrême droite, beaucoup utilisent des pseudonymes et non leur véritable identité, Jean-Marie et Marine en l’occurrence ou Alain Bonnet le Suisse se faisant appeler Soral au début de son périple pour s’attirer l’attention en se servant de sa sœur l’actrice ou de son autre soeur productrice.
Rédigé par : Elusen | 15 juin 2018 à 01:42
L’Etat de New York accuse Donald Trump d'avoir détourné l'argent de sa fondation à des fins personnelles.
https://www.lejdd.fr/international/donald-trump-accuse-davoir-detourne-largent-de-sa-fondation-3681908#xtor=CS1-4
Faites un don ! 😁
Rédigé par : Achille | 14 juin 2018 à 21:53
@ Sergio Carioca | 13 juin 2018 à 23:26
« Ils sont militairement supérieurs au reste du monde réuni est une hyperbole probablement vraie et invérifiable (croisons les doigts). »
« Probablement », faire une affirmation avec un tel mot, y a comme un problème.
Puis y ajouter : invérifiable, en somme vous nous dites que vous n'en savez rien, mais que vous allez affirmer ; je finis par en conclure que vous êtes une astrologue.
Les gens n’ont de pouvoir que ce que nous leur prêtons !
Les USA n’ont aucun pouvoir, ce sont les banques et les multinationales européennes qui ont décidé d’utiliser le dollar, une simple loi européenne peut le leur interdire.
Rédigé par : Elusen | 14 juin 2018 à 19:38
@ Robert Marchenoir 14 juin 2018 04:22
Je ne commenterai pas tous les paragraphes de votre billet : sa longueur me décourage et la sémantique à deux sous ce n'est pas dans mes occupations favorites.
La télévision "média des vieux" ? Ca tombe bien, j'en suis un. Rassurez-vous je lis encore tous les jours.
Voulez-vous me citer un média d'importance en France "fanatiquement" pro-Trump ?
Toutes les chaînes françaises sont, à mon avis, ridiculement anti-Trump.
Suivre la doxa, sur ce sujet comme d'autres. Mais vous ne pouvez avoir une opinion sur ce sujet, puisque vous écrivez que vous ne regardez jamais la télévision.
Quant aux experts américains (certains) du Daily Beast, vous conviendrez que ce site ayant fortement soutenu Clinton, son objectivité et l'avis de ses experts laissent à désirer. Sans parler d'une ténébreuse affaire de "fake news" durant la campagne électorale...
Expliquer, avec aplomb, quelques heures après une rencontre historique qui bouleverse la stratégie mondiale, qu'il y a un gagnant et un perdant c'est tout simplement stupide.
Comment pouvez-vous dire "le fait que l'on ne sache rien c'est justement le problème" et quelques lignes plus loin 'Trump s'est fait empapaouter dans les grandes largeurs'. Si vous prétendez que l'on ne sait rien, pourquoi Trump aurait-il perdu ?
Vous voyez bien que vos textes sont trop longs et que vous vous empapaoutez vous-même !
Faites plus court et j'aurai le plaisir de vous lire en entier.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 14 juin 2018 à 17:27
Gilbert Collard accusé de viol. Il faut interdire le FN !
Rédigé par : Zonzon | 14 juin 2018 à 16:05
"Remarquez une journaliste de Fox News, pro-Trump ou TV-Trump, a fait un lapsus terrible en parlant de Kim Jong-un et de D. J. Trump elle a dit : les deux dictateurs vont se rencontrer"
Rédigé par : Garry Gaspary 13 juin 2018 à 20:34
OK, mais est-ce que lapsucer c'est Trumper ?
Rédigé par : sylvain | 14 juin 2018 à 13:53
Ce ne sont que des impressions (bis) ! Ce n’est que mon ressenti de la soirée où l’on fêta le retour de Shanghai aïe ! aïe ! aïe !
Par conséquent j’accepte, d’ores et déjà, toutes les critiques que ne manqueront pas de ne pas me faire tous mes camarades blogueurs lesquels, c’est bien compréhensible, ont d’autres chats-ttes à fouetter.
Disons que je suis tout de même à l’aise car il s’en est écrit des vertes et des pas mûres sur la question, alors !
Commençons par évoquer cette longue année électorale américaine qui se termina comme l’on sait. Presque quotidiennement on avait droit à un festival télévisuel sur le titanesque combat entre la vierge combattante du camp du bien et l’infect déchet de la ploutocratie inculte, barbare, inepte, machiste, dévergondée…
Tout ce que la médiatique française, plus les représentants de toutes les autres capables de s’exprimer en notre langue, était là, haletante, c’était à celui qui sortirait la plus grosse immondice sur ce pitre ridicule, analphabète, un goujat obscène qui avait fait son fric dans l’immobilier – yapapire !
C’était grotesque ! Il y avait là la crème de l’intelligentsia ! On ne les nommera pas de peur d’en oublier un. Ils prenaient tous les risques y compris celui d’être ridicule - Ils s’en moquent, de toute façon ils sont « payés » !
D’ailleurs le gugusse ne pouvait pas être élu, c’était impossible, l’Amérique quand même, Harvard ! Princeton ! Einstein ! Hollywood ! The US Army ! Les Roosevelt ! Les Bush ! LE Clinton hélas ! Peut-être LES Obama, qui sait ! Alors ce crétin psychopathe qui a probablement la main baladeuse, non alors !
C’était inimaginable ce parti pris systématique, massif, total, la chape de plomb du totalitarisme absolu !
C’était insidieux, fallacieux, répétitif, lassant, on sortait de ces séances malades d’irritation rentrée ! On se disait que l’on rêvait, que ce n’était pas possible d’être aussi abject. On payait la redevance télé. On avait droit à un minimum de respect. On allait manger la soupe, on ne digérerait pas, pour dormir il faudra un gros cachet !
Eh bien ! Vous savez quoi ! C’est exactement ce que j’ai éprouvé lors de cette récente soirée. On prend les mêmes et on recommence ! Ils peuvent pas s’empêcher !
Rédigé par : Zonzon | 14 juin 2018 à 10:44
Nom de bleu (avec l'accent vaudois, si possible), oui Zonzon ! Et avec Bobin "gardons propres les lèvres d'or de nos blessures" car ce sont elles qui parlent.
Rédigé par : Aliocha | 14 juin 2018 à 10:39
Oh ! Aliocha, j’ai envie de pleurer. Alcide bien sûr ! Comment en si peu de mots peut-on faire surgir pour l’éternité, à des gens qui savent lire, autant d’émotions. Alcide c’est le martyr humble, penaud, discret, inconnu. Il vit dans le sacrifice et dans l’espérance.
Il y aura un jour une parousie. Elle arrivera bien au bout du compte et les vieux sous-offs alcooliques de la Coloniale y auront leur place.
Alcide sera là à se chauffer au soleil divin. A ses pieds Bessy couchée assoupie, le museau tourné vers les forêts nordiques, sait que tous ses maîtres sont là autour d’elle.
Au loin, dans le paysage un vieux bonhomme couturé de plaies mal cicatrisées. On a été injuste, immonde avec lui, mais il a été réhabilité au bout du compte. Lui aussi est un martyr, on allait l’oublier, c’est Semmelweis qui passe !
La littérature, que ça peut être beau Nom de Bleu !
Rédigé par : Zonzon | 14 juin 2018 à 08:00