On me pardonnera de mêler dans ce billet plusieurs thèmes mais qui tous en définitive relèvent de l'expression, de ses modalités acceptables ou non.
Le président de la République a eu raison de dénoncer l'inefficacité des aides sociales mais je regrette la dérive de la forme dans la vidéo filmée à l'Elysée - Emmanuel Macron s'adressant à certains de ses conseillers - et rendue publique sur Twitter avec un exhibitionnisme précipité dont on attendait des effets décisifs sur le sentiment populaire et la conscience civique.
Ainsi nous aurions un président comme nous, capable de proférer ostensiblement "pognon", puis "pognon de dingues..." au cours d'une intervention programmée pour être diffusée alors qu'Emmanuel Macron avait su susciter une large adhésion grâce à sa tenue : celle de son apparence comme celle de son verbe. Je vois bien la démagogie qui se cache derrière cet usage familier voire vulgaire du langage : tenter de se donner une image "peuple" - et feindre de rendre accessibles à celui-ci les coulisses - pour espérer mieux transmettre le fond du message alors que l'inverse s'est produit : on n'évoque que "pognon" en négligeant la justesse du constat. Le scandale qui aurait surgi si Nicolas Sarkozy avait délibérément mis en scène, sur le plan officiel, ses grossièretés !
Je déplore que le président de la République n'ait pas tenu une ligne constante d'élégance verbale, dans son rapport avec la société, avec ses concitoyens.
Je le regrette d'autant plus que chez lui cette dégradation résulte d'un dessein politique de mauvais aloi alors que dans la quotidienneté des réseaux sociaux on a parfois l'impression que l'insulte est la règle, la bêtise le principe et l'outrance la normalité.
Mais il faut tenir.
Je n'irai pas jusqu'à jeter l'éponge et quitter par exemple Twitter. Comme tant d'autres qui ne supportaient plus les attaques, les outrages, les calomnies et les ignominies. J'en ai pourtant eu ma dose. Une majorité, plutôt que de réagir à la substance de mes tweets, discutable ou non, s'en prend à moi avec une totale méconnaissance de mon parcours, de mes écrits et de mes paroles. Comme il serait trop fatigant de s'attacher à la nature de mes propos pour les contredire ou les battre en brèche, on jouit de me traîner dans la boue et on perçoit avec quelle volupté alors, Twitter est un déversoir, le moyen de s'abandonner au pire : insultes, scatologie, attaques sur le physique ou les proches, humiliations.
Cependant il faut tenir.
D'abord parce qu'il y a une exigence de virilité médiatique qui interdit de fuir à la moindre salve. Qu'il y va de soi et de son honneur. Est-on une larve ou un combattant ? Je me rappelle un Michel Cymes omniprésent, apparemment si sûr de soi mais effondré parce qu'il avait eu une malheureuse mauvaise critique sur une émission. Cela fait réfléchir. Dès lors qu'on va dans l'arène, on ne s'étonne plus de rien. La rançon de sa liberté est celle des autres. Lutter, oui, rompre les lances, certes, mais prendre la poudre d'escampette, non.
Ensuite parce que je n'ai jamais laissé sans réponse quoi que ce soit, où que ce soit. Que la volonté de dialoguer, la passion d'argumenter et le courage de répliquer - sans prétendre convaincre et surtout pas les pauvres du verbe et de la pensée qui éructant demeurent enfermés dans leur hargne haineuse. Il y a comme une allégresse à faire pièce au seul fumier des mots grâce à la courtoisie de la forme. A une surenchère d'urbanité.
Combien de fois des militants sans invention m'ont-ils accablé d'injures parce que j'avais osé cibler Nicolas Sarkozy à cause de telle attitude ou tel propos ! De leur part je n'ai jamais eu la démonstration de la fausseté de mon point de vue mais seulement l'assertion que j'étais "un salaud" à cause de son affirmation !
J'ai tenu.
Par ailleurs, même sur Twitter, des débats passionnants peuvent naître quand parfois avec provocation - je l'admets - on conteste un concept, une affirmation, une opinion, par exemple, comme cela s'est produit récemment sur les "prisons ouvertes" dont la présidente - avocate - de la commission des lois de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet (LREM) faisait l'éloge.
Nos échanges, je l'espère de mon côté et du sien en tout cas, sont toujours demeurés polis et j'en ai tiré un vrai bénéfice. Contrairement à telle ou telle riposte qui, sur le même sujet, m'accusait de sexisme parce que, pourfendant "un fantasme d'avocate", j'étais naturellement conduit à mettre en cause la femme qui l'était ! Pour du profit intellectuel et critique, encore faut-il que les démarches restent individuelles et qu'on ne prétende pas rameuter des solidarités corporatistes pour espérer convaincre par le nombre plus que par la justesse !
N'est pas mince non plus le bonheur désintéressé d'admirer sincèrement ou de dénigrer sans hypocrisie des personnalités, des auteurs, des acteurs, des politiques ou des journalistes parce que depuis longtemps j'ai cessé de condamner des abstractions ou de valider des attitudes en privilégiant, autant que j'ai pu, ma vérité. Je ne me suis jamais dissimulé derrière un pseudo - cela me répugnerait - et la seule règle que ma franchise m'a dictée est d'être en mesure, si on me demandait pourquoi tel pour ou tel contre, de pouvoir le justifier et l'expliquer.
Il m'a plu, par exemple, découvrant un entretien avec un avocat atypique, Nicolas Gardères, de souligner à quel point il m'avait impressionné par sa conception absolue et intégriste de la liberté d'expression. Presque insoutenable.
Grâce à Twitter, des liens informels se créent entre esprits, entre personnes : l'un tend une perche et c'est bon même si l'autre ne la saisit pas. Et c'est aussi de l'altruisme - et non pas du narcissisme - que de tenter de faire partager ses enthousiasmes ou ses dégoûts. Pour faire échapper au pire ou projeter dans le meilleur !
Il faut tenir.
Ce n'est pas Internet qui dégrade. Mais ceux qui en font un déplorable et malsain usage.
Ce n'est pas Twitter qui doit être jeté aux chiens mais ceux qui en font un dépotoir.
Ce n'est pas le langage qui est grossier, vulgaire ou incorrect. Mais ceux qui détruisent le plus beau lien qui soit entre humains.
Il faut résister à la molle décadence ici ou à l'affaissement brutal là.
Il faut tenir. En ne comptant que sur nous-mêmes. La cavalerie de John Ford ne viendra pas à notre secours.
Il faut tenir face à Twitter, mais est-ce vraiment possible ?
Le moindre tweet un peu différent de la pensée unique et de la doxa bien-pensante et qui nous gouverne expose à un lynchage médiatique de la part de groupes ou groupuscules tenant à leur pré carré et ne supportant pas les avis différents ni la contradiction.
Il y a actuellement une hiérarchie à respecter dans les causes nobles, à savoir, de plus noble à moins noble :
- les homosexuels,
- les femmes, si possibles violées,
- les magistrats de gauche,
- les délinquants multirécidivistes,
...
et en bas de l'échelle:
- les magistrats récalcitrants,
- Laurent Wauquiez et Les Républicains,
- les policiers,
- Marine Le Pen et le RN.
Marion Maréchal - Jeanne d'Arc échappe à ce classement.
Comme vous le dites Monsieur Bilger, désormais c'est à la nature de prouver son existence, parce que son existence est désormais niée par Facebook et Twitter, qui sont les vecteurs de l'intransigeance et de la vengeance, créés par des minorités pour des minorités.
Quiconque n'appartient pas à la minorité n'a plus le droit de s'exprimer.
Depuis que les Africains ont fini de déguster leur dernier missionnaire bouilli en dansant autour du chaudron, ils exigent la redistribution des richesses créées par d'autres, en particulier par les hommes blancs qui ont découvert les vaccins, la pénicilline et le radium, qui ont permis de sauver des vies.
De même on exige maintenant la disparition de l'Eglise, alors que Mendel était un moine qui a découvert la génétique, et ceux qui ont créé toutes ces liqueurs encore fabriquées aujourd'hui.
Comme en Angleterre, à Oxford, il faut supprimer les statues des illustres blancs qui ont créé l'école, parce que les minorités ne supportent pas leur propre insignifiance, donc il faut supprimer ce qui les renvoie à leur insignifiance, à savoir les statues des génies qui les ont précédés.
L'esprit de revanche nous ralentit, comme le 80 km/h, pour mieux nous aliéner.
Même Vendredi, tout seul sur son île, Macron l'aurait trouvé pour lui parler de la lèpre populiste.
Rédigé par : anne-marie marson | 06 juillet 2018 à 22:50
@ Achille | 20 juin 2018 à 07:37
Qui profite du système social à plein régime si ce n’est les personnes âgées en France ?
Comment un bénéficiaire d’un tel système peut-il venir vomir dessus ?
Préfère-t-il faire la manche ?
Dormir sur le trottoir ?
Comme les cailleras, les lascars, il agresse, ment, mais quand il lui est retourné dans la figure son imbécillité, il joue la victime.
À qui bénéficie le système social en France ?
Pas aux pauvres, la statistique publique le prouve, mais à la bourgeoisie et aux riches, l’école est publique et gratuite, les musées, théâtres, opéras, l'entretien des châteaux, des églises, cathédrales, basiliques, etc.
Faire Polytechnique, l’ENM, Assas, ENA, ENS, la Sorbonne, les Mines, EHESS, Henri IV, Louis Le Grand, etc., dans les pays anglo-saxons, cela coûterait plusieurs millions d’€ à ces classes sociales, qu’elles ne paient pas en France.
Les échanges pour étudier à l’étranger payés sur des fonds publics en France, à qui profitent-ils ?
Les retraites ne profitent, principalement, qu’à la bourgeoisie et aux riches, car les pauvres meurent avant eux.
La statistique d’âge sur les classes sociales est sans appel !
Petit bréviaire des idées reçues en économie -– édition La Découverte.
https://frama.link/6THhpjnV
Rédigé par : Elusen | 21 juin 2018 à 17:08
@ Achille
"On se demande bien ce que vous faites sur ce site où personne ne vous apprécie. Je dis bien personne, même pas Noblejoué, qui a plutôt tendance à aimer tout le monde, c’est tout dire."
C'est gentil, ça me change de quand on me prête des intentions ténébreuses... Si j'en avais, j'irais dans le sens d'un tas de préjugés irresponsables, avec d'autant plus d'applaudissements qu'immérités.
On pourrait écrire un roman là-dessus, le mec qui fait le mal en le sachant et en le voulant sous les applaudissements du public stupide et les conséquences de tout ce cirque.
Mais en fait j'ai de la reconnaissance pour Elusen qui m'a donné une encyclopédie sans parler de divers renseignements comme à tous le monde, et qui s'il est agressif, ne m'a pas diabolisé comme des gens que je ne citerais pas, et pour VOUS qui m'avez sauvé la mise lors d'un LYNCHAGE ! Mon devoir serait de vous réconcilier, mais cela ne marche jamais, ce qui est fort lassant, autant que le gris du ciel et la bêtise dans les cerveaux.
Je vais essayer de faire de la méditation parce que ma concentration s'étant améliorée et ayant repéré une posture qui me convient, il n'est pas impossible que ça n'ait pas, cette fois contrairement à il y a des années, l'effet de m’énerver, ce qui n'est pas le but. Pour diverses raisons habituelles et peut-être avoir le bénéfice accessoire d'avoir moins de ressentiment contre des gens qui le méritent, et pas pour autre chose que me désencombrer.
C'est à votre intervention que je dois cette idée, si jamais cela me vient en cours de méditation, me délester, que je ne vais peut-être pas appliquer, ou alors, sans résultat.
Enfin, pourquoi ne pas essayer ? Je n'ai jamais manqué de faire ce qui me paraissait intéressant et justifié en raison.
De toute façons, c'est un but très secondaire pour moi... Subordonné à me donner une plus grande lucidité et maîtrise de moi qui pourrait éventuellement encore améliorer ma créativité.
Et si j'arrivais à un niveau très élevé, je pourrais faire des choses que je ne peux même pas essayer ou si par étrangeté j'y parvenais, accomplir avec profit et dont il vaut mieux ne pas parler parce que c'est, pour simplifier, reconnu par le bouddhisme, mais pas ici, prudence, prudence... Et l'autre me paraît bien plus difficile, en tout cas pour moi, et donc encore plus renvoyer à plus tard.
Tout cela viendra ou ne viendra pas, je ne force rien, je reste sur ce que je fais, principalement, mais c'est, disons, un thème secondaire pour diminuer le premier.
Les "spirituels" prétendent toujours qu'il ne faut pas être dans le négatif sans en donner de raison, de motivations sérieuses, l'enfer et le paradis me paraissant, bref, je préfère ne pas en dire ce que je pense comme motivation, carottes, bâton, empêchement de savoir qu'on se conduit avec avidité quand c'est le cas, illusion, prise en otage de mon droit contre celui de me reposer de peines indues ici s'il existait un paradis, déraisonnements et injustice...
Par contre, si on parvenait à se détacher de soi et du monde par une concentration suffisante, on pourrait en profiter pour passer des dettes par pertes et profits par excès de richesses et pour investir dans certains buts que je garde pour moi... Que les aveuglés diabolisent lesdits buts ! Comme tout cela est bien ardu et point le principal pour moi, ne jamais se mettre la pression, ce serait, dans mon cas, drôlement idiot, et bien la peine d'être en solo pour agir comme si un autre me bâillait aux oreilles !
Enfin, il y a bien plus de probabilités d'échecs que de réussites, dans tout ces buts s’emboîtant les uns dans les autres.
Mais qui peut résister à ouvrir une porte, du moment que ce n'est pas pour envahir le voisin ? Pas moi. Et je ne veux pas, je vivrai donc explorerai, si la vie ne me déforme pas, toujours, et s'il faut mourir, je préfère, par curiosité, à d'autres choses.
Mais comme vous m'avez donné une idée, et plus ou moins, je n'ose le dire car on les applique peu, résolution, je vous remercie.
Bon, cela ne veut pas dire que je ne rendrai pas coup pour coup, étant donné que je refuse d'être injuste envers quiconque, moi compris, ni que je nie mes droits ou ceux de quiconque agressé... Et si j'ai une idée contre qui me lance des injustices, pourquoi me priver ? Cela veut dire que je veux être quelqu'un de moins diffus si toujours aussi curieux, de plus en plus dans ce que je veux et que je dois être.
Mon cœur est triste de la mort, de la souffrance et de divers risques de servitude, mais mon esprit presque joyeux pour diverses causes, et c'est en partie grâce à vous.
Merci.
Rédigé par : Noblejoué | 20 juin 2018 à 17:11
@ Elusen | 19 juin 2018 à 16:34
Mais lâchez-moi les basques. Vous vous agrippez à moi telle une tique obstinée.
Vous n’avez donc rien d’autre à faire de plus intéressant dans votre misérable vie que de harceler les intervenants de ce blog ? Pas de compagne à qui faire des câlins, pas un chien avec qui faire de longues balades dans la forêt ? Pas le moindre passe-temps pour décompresser un peu et sortir le nez de vos cours de fac de première année de socio ? Vous devriez essayer la pêche à la ligne, c’est très bon pour évacuer son agressivité.
On se demande bien ce que vous faites sur ce site où personne ne vous apprécie. Je dis bien personne, même pas Noblejoué, qui a plutôt tendance à aimer tout le monde, c’est tout dire.
Allez répandre votre mal-être ailleurs. Personne ne regrettera vos commentaires de pisse-vinaigre.
Rédigé par : Achille | 20 juin 2018 à 07:37
@ Giuseppe
P*tain, ça y est j'ai compris ! Il m'a fallu trois jours. Hahaha !
Faut dire qu'hier j'en avais une sévère.
Merci Giuseppe.
Rédigé par : Wil | 19 juin 2018 à 22:21
@ Achille | 18 juin 2018 à 21:34
Ainsi une personne de 70 ans qui perçoit une retraite, une retraite complémentaire, qui ne paie pas la redevance télé, a accès à la carte senior, à la gratuité des soins médicaux très chers pour les personnes âgées, et tous les avantages sociaux, a l’outrecuidance de venir vomir sur l’aide sociale qu’il a en plus amalgamée aux dépenses publiques - entre autres militaires et toutes les guerres de la France -, qui par la suite, l’amalgame à un secteur industriel et commercial de prestation sociale.
J’ose espérer que ce n’eut point été une auxiliaire de vie qui écrivît.
Rédigé par : Elusen | 19 juin 2018 à 16:34
@ Wil | 18 juin 2018 à 22:49
Mais je vous en prie. Ca m'aurait ennuyé que vous le ratiez. Moi-même, il m'a fait réfléchir...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 19 juin 2018 à 01:55
@ Robert Marchenoir
"C'est rigolo : Giuseppe vous fait un compliment, et aussitôt vous lui prouvez qu'il a tort, en interprétant son propos à l'exact inverse de ce qu'il voulait dire."
J'avoue que le propos de Giuseppe était trop fin pour moi qui suis alcoolique, impulsif, paranoïaque, grossier et qui vient de Trappes.
Donc comme j'ai l'habitude de répondre à quasiment tous les commentaires comme tel, il m'arrive parfois de complètement passer à côté du sens d'un commentaire par a priori et fatigue intellectuelle qui s'accumule et qui fait qu'on devient de plus en plus idiot. Mais c'est mon problème.
Donc si le commentaire de Giuseppe était un compliment, je lui fais mes excuses.
Giuseppe, je vous fais mes excuses et je vous remercie du compliment quel qu'il soit.
Et je vous remercie aussi Robert Marchenoir de me l'avoir signalé.
Rédigé par : Wil | 18 juin 2018 à 22:49
@ sylvain | 18 juin 2018 à 08:48
« Avez-vous vu Espagne - Portugal ? Du caviar de foot ! »
Excellent match, en effet, avec Ronaldo qui a démontré, s’il en était besoin, qu’il est bien le meilleur joueur du monde. Il peut mener l’équipe du Portugal très loin, et même jusqu’au bout.
Quant aux Bleuets du rugby qui ont fait manger la pelouse aux Anglais et sont devenus champions du monde des moins de 20 ans, cela laisse augurer de bons espoirs pour l’avenir.
Roger Couderc là où il est a dû crier « Allez les petits ! ».
@ Elusen | 18 juin 2018 à 04:00
« Si vous cherchez de l’intelligence chez les autres en amalgamant secteur d’activités commerciales et aide sociale, c’est comme si un mort cherchait de la vie sur Mars ! »
Je ne cherche pas l’intelligence chez les autres, et surtout pas chez vous. Cela fait bientôt 70 ans que je fais avec la mienne et même si elle n’est pas impressionnante, elle ne m’a jamais fait défaut lors des événements importants de ma vie professionnelle et personnelle.
Mieux vaut une tête bien faite qu’une tête bien pleine. Citation de Montaigne, ou de Savonarole, je ne sais plus.
Rédigé par : Achille | 18 juin 2018 à 21:34
@ Achille | 17 juin 2018 à 23:56
"Les phases tactiques à n’en pas douter sont bien plus élaborées que celles du football et le spectacle n’en est que plus beau."
Avez-vous vu Espagne - Portugal ? Du caviar de foot ! Le meilleur match de toute cette coupe du monde, aucune confrontation à venir jusqu'à la finale ne nous offrira une telle beauté de jeu : tactique, précision, stratégie, technique parfaite, rien ne manquait.
Quant au rugby, mon sport préféré, cette année c'était plutôt un enterrement, une oraison funèbre, une mort lente : du jeu mou, lourd, apathique, une finale de gros tas de joueurs avachis qui s'ennuient sur le terrain, ennui aussi dans les tribunes.
L'espoir du renouveau viendra peut-être des U20.
Rédigé par : sylvain | 18 juin 2018 à 08:48
@ Achille | 17 juin 2018 à 20:36
Si vous cherchez de l’intelligence chez les autres en amalgamant secteur d’activités commerciales et aide sociale, c’est comme si un mort cherchait de la vie sur Mars !
Rédigé par : Elusen | 18 juin 2018 à 04:00
@ Giuseppe | 17 juin 2018 à 22:15
J’avoue que comme vous et Claude Luçon, je préfère de loin le rugby, même si je l’ai très peu pratiqué. Les phases tactiques à n’en pas douter sont bien plus élaborées que celles du football et le spectacle n’en est que plus beau.
Rédigé par : Achille | 17 juin 2018 à 23:56
@ Achille | 17 juin 2018 à 20:36
Excellent !
Vous savez, le jeu de rugby est plutôt rugueux mais vous me rappelez un certain Codorniou, d'ailleurs qui a fait depuis son chemin dans la politique.
Vous avez le sens du cadrage/débordement bon pour la sélection.
Rédigé par : Giuseppe | 17 juin 2018 à 22:15
@ Savonarole | 17 juin 2018 à 12:42
Le problème avec J-M Aphatie c’est qu’il a tendance à accorder plus d’importance à ses questions qu’aux réponses de ses invités.
Il les pose toujours sous la forme de QCM obligeant ainsi ces derniers à répondre par Oui ou par Non, ce qu’aucun politique qui a un peu de métier ne fait.
Et évidemment lorsque son invité se défausse, il lui coupe la parole pour le réorienter obstinément vers la réponse qu’il attend. L’interview devient alors très confuse et l’auditeur fini par ne plus rien y comprendre.
Avec le temps cette manie de vouloir pousser son interlocuteur dans ses retranchements finit par devenir très pénible. J.J. Bourdin est aussi comme cela. C’est du journalisme lourdingue qui très vite finit par devenir agaçant.
Ce n’est sans doute pas par hasard que JM Aphatie change de boîte tous les deux ou trois ans (RTL, Europe 1 et maintenant France Info). S’il continue comme ça il va finir dans une radio locale d’Outre-mer.
Rédigé par : Achille | 17 juin 2018 à 21:43
@ Elusen | 17 juin 2018 à 15:39
« Mis à part cela il y aurait une forme d’intelligence chez vous ?! »
Oui mais elle semble vous échapper, ce qui laisse planer un gros doute sur la vôtre !
Rédigé par : Achille | 17 juin 2018 à 20:36
@ Mary Preud'homme | 17 juin 2018 à 13:09
Je reconnais avoir un peu surestimé Elusen en le comparant à Laurent Wauquiez. Je retire donc la comparaison inappropriée.
C’était un peu de la provoc de ma part pour faire réagir ses fans (il doit bien y en avoir trois ou quatre sur ce blog).
Je constate que vous n’avez pas tardé à réagir. Je n’en attendais pas moins de vous. Sans rancune j’espère !
Rédigé par : Achille | 17 juin 2018 à 18:49
Merci à Savonarole | 17 juin 2018 à 12:42 pour le lien vers l'Observatoire du journalisme. Il n’est pas inintéressant d'y lire certains articles, comme celui sur l'affaire Théo par exemple, ou bien d'autres comme par exemple la liste des participants à la réunion du groupe de Bilderberg...
Rédigé par : Robert | 17 juin 2018 à 16:23
@ Achille | 17 juin 2018 à 08:45
Et pourtant, c’est toujours vous qui avez amalgamé chiffre d’affaires d’un secteur commercial de service à la personne avec aide sociale.
Mis à part cela il y aurait une forme d’intelligence chez vous ?!
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@ Mary Preud'homme | 17 juin 2018 à 13:09
Je ne croirai en Dieu que le jour où votre tordu d’ami croira en moi !
De plus, grenouille de bénitier, l’islam, ce n’est pas une religion, c’est un Empire théocratique, donc une surface géopolitique avec un calife, un empereur.
Musulmanisme et Islam, ce n’est pas la même chose, mais nous ne pouvons demander à une ignorante qui se complet là-dedans de faire un effort pour appréhender les concepts ou le monde.
Je n’eus point su qu’une personne qui défend l’existence de l’État et de la Nation serait anarchiste, mais il est vrai que vous êtes limitée, après tout, c’est vous qui encensez un énarque, haut fonctionnaire, magistrat du Conseil d’État, de l’élite des quartiers riches de Paris, marié à une administratrice du Sénat (à Paris donc) : Wauquiez.
Rédigé par : Elusen | 17 juin 2018 à 15:39
@ Achille | 16 juin 2018 à 20:40
"Finalement vous me faites un peu penser à Laurent Wauquiez. Comment peut-on être aussi intelligent tout en étant aussi neuneu."
Achille dans ses œuvres de destruction massive et irraisonnée !
Ceux qui connaissent la réputation de Laurent Wauquiez, son travail de terrain et ses engagements, et lisent par ailleurs sur ce blog les prises de position anarchistes de l'anonyme islamophile Elusen, en tous points contraires aux valeurs revendiquées du premier, apprécieront la logique de cette assertion "ach illienne".
Rédigé par : Mary Preud'homme | 17 juin 2018 à 13:09
@ Achille
Cadeau pour Achille, en souvenir de l'époque où Aphatie sévissait sur RTL...
Pas étonnant que les journalistes soient juste avant les prostituées dans le classement des "préférés des Français". C'est-à-dire, avant-derniers...
https://www.ojim.fr/radio-aphatie-milite-radio-aphatie-radio-aphatie-milite/
Rédigé par : Savonarole | 17 juin 2018 à 12:42
@ Robert Marchenoir | 17 juin 2018 à 00:35
Alors c'est peut-être vrai ce qu'il raconte. Il faut choisir ses fenêtres de tir.
Rédigé par : Giuseppe | 17 juin 2018 à 10:22
@ Elusen, Achille et peut-être d'autres
"Je n’eus point su que l’air aurait pu être pontifiant"
Je pense que quand on veut rassembler, que ce soit autour des connaissances ou en réconciliant les gens, ou même, ce qui est plus discret, quand on veut lier différents domaines de connaissance ou plus largement encore, quand on veut faire pont, en somme, on peut vite devenir ou être perçu injustement comme pontifiant.
Pour aller contre cela, il faut se surveiller, essayer de suivre un langage, en fait, il y en a plusieurs, commun, mais je ne veux plus revenir sur cet aspect, et être tolérant aux autres.
Toutes vertus que je ne prétends pas avoir, surtout disons, celle de communiquer, si j'y travaille avec ma confidente, pour ce qui m'importe. Donc, sur le pont, c'était juste une inspiration que je n'allais pas laisser mourir en moi, la muse vous sert si vous faites passer aux voisins.
Quant à la question de lutter, il est vrai qu'on ne remarque ou prétend, en tout cas, pense qu'une lutte n'est inefficace que quand on veut l'abandonner. Pour certaines choses, on ne le veut jamais, pour d'autres, on saute sur le moindre indice pour le faire.
Or les pauvres seront toujours sacrifiés parce que si on a tous été enfant, si on peut tous craindre d'être malade, il y a tout de même moins de risque, pour beaucoup ici, de tomber dans le dénuement que sur d'autres blogs, et que même dans ce cas, nous n'avons pas été élevés pour penser à cette éventualité ou entrer en empathie avec les pauvres.
Quant à moi, je pense que la plupart des gens peuvent connaître une dégringolade sociale, mais ce n'est pas pour cela que je les défends, parfois, mais sans compétence ou appétence particulière, préférant que d'autres s'y collent.
C'est par justice.
Non, il peut y avoir plus de risques de tomber en maison de retraite ou en Alzheimer, voire les deux, mais je ne passe pas ma vie à y penser voire à en parler. En fait, la garantie multirisque, c'est le suicide, qu'il n'y ait pas de méthode et de moyen de suicide est un vrai scandale, à croire que des gens n'ont rien de mieux à faire que d'aller partout, jusque sur les toits d'immeuble, pour priver les gens d'issue de secours. C'est aller contre la liberté, interdire probablement l'action ou condamner à l’échec avec éventuel passage à l'hôpital voire le handicap, si on on n'a vraiment pas de chance, en prime. Comme il y avait le mur de Berlin pour interdire d'être libre et persistance d'un mauvais gouvernement, des entreprises sécurisent d'un côté tout en stressant au maximum de l'autre, on frappe sans possibilité de fuite, ce qui, mais je ne fais pas dans le social ou le politique au sens habituel, incite à frapper toujours plus fort... Non, je pense plus fondamentalement, à la source, avons-nous le droit de nous sauver nous-mêmes ?
On traite d'un côté les gens d'assistés, d'un autre, on leur interdit de se prendre en main. On traite d'un côté les gens de soumis, de l'autre, on leur interdit de se prendre en main. C'est la traque à la seule liberté qui reste avant l'échec et mat de tant de vies... Liberté, égalité ? On le dit, mais non, la liberté du corps la plus fondamentale, je vis ou non, est traquée.
Egalité, on le proclame, mais il est bien évident qu'en interdisant méthode de suicide, hauts d'immeubles et autres choses semblables, on avantage les gens à, par exemple, connaissance médicale et accès aux médicaments, qui pourront bien toute leur vie décourager les gens de sortir ou les maintenir dans une vie à problèmes aggravée d'un handicap, tandis qu'eux partiront avec une élégance qui me semble un peu plus importante que d'avoir des cheveux en épis ou non.
Je comprends qu'on se dispute les ressources disponibles, aider les pauvres ou pas, je ne comprends pas, ou plutôt si, je sais les gens autoritaires, disons que je n'admets pas les obstacles à la réalisation de soi.
J'ai constamment envie de dire aux gens que les autres ne sont pas leurs bonsaïs pour qu'ils ne cessent de leur tailler, et retailler dans leur liberté, dans leur vie.
Ou leur trogne. Ou leur ceps de vigne, ou quelque autre élément de leur paysage végétal.
Rédigé par : Noblejoué | 17 juin 2018 à 09:40
@ Elusen | 17 juin 2018 à 01:30
« C’est toujours de vous cela :
• La France est championne du monde des aides sociales et il y a toujours autant de pauvres.
- Le pognon mis dans la lutte contre la pédophilie et il y a toujours autant de pédophiles.
- Le pognon mis dans la lutte contre le cancer et il y a toujours autant de personnes atteintes. »
Non ce n’est pas de moi cela, mais d'Emmanuel Macron lui-même. J’ai simplement remplacé « dépense un pognon de dingue » par « championne du monde » ce qui est sensiblement la même chose.
Une chose est sûre il est inutile de mettre du pognon dans la lutte contre la suffisance qui est le propre des imbéciles qui jouent les intelligents. Le PIB français n’y suffirait pas. Vous nous en faites tous les jours la démonstration.
Rédigé par : Achille | 17 juin 2018 à 08:45
@ Achille | 16 juin 2018 à 20:40
Je n’eus point su que l’air aurait pu être pontifiant, je pense que même l’air le méconnaît.
Et tout cela pour détourner l’attention de quelqu'un qui n’a jamais su que prestation sociale et aide sociale ce n’était pas la même chose quand bien même elles partagent le même adjectif qualificatif.
Attribuer un chiffre d’affaires, d’un secteur d’activité de service à la personne, à l’aide sociale, cela indique, effectivement que vous ne devriez répondre à rien.
À l’avenir vous nous affirmerez que la production en tonne de cerises, c’est la même chose que l’immigration clandestine.
Non, ne me dites point que c’est vous ce monsieur : Mathieu Laine, proche d'E. Macron, qui affirme que les immigrants et réfugiés d’Afrique, c’est la même chose que les riches français qui fuient vers des paradis fiscaux.
https://vimeo.com/275436679
C’est toujours de vous cela :
- Le pognon mis dans la lutte contre la pédophilie et il y a toujours autant de pédophiles.
- Le pognon mis dans la lutte contre le cancer et il y a toujours autant de personnes atteintes.
Rédigé par : Elusen | 17 juin 2018 à 01:30
@ Wil | 16 juin 2018 à 23:24
C'est rigolo : Giuseppe vous fait un compliment, et aussitôt vous lui prouvez qu'il a tort, en interprétant son propos à l'exact inverse de ce qu'il voulait dire.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 17 juin 2018 à 00:35
@ Giuseppe
"Pour ce que vous prétendez être"
Euh, et qu'est-ce que je prétends être selon vous ?
Vous commencez mal.
"Un tireur d'élite ne se reconnaît pas à ce qu'il signe des cartons avec des coups parfois dans le mille, c'est au groupé de ses tirs qu'il se distingue."
Tant mieux pour lui.
Donc en fait parfois je fais mouche et parfois je suis complètement ridicule dans mes commentaires ? C'est ça le sens de votre parabole, Giuseppe "Baudelaire" ?
Ben oui, je ne suis pas parfait et heureusement, ce serait d'un chi*nt, je suis un être humain. C'est même ma malédiction.
Donc bien sûr parfois je dis n'importe quoi, comme vous.
Rédigé par : Wil | 16 juin 2018 à 23:24
@ Wil | 16 juin 2018 à 02:21
Pour ce que vous prétendez être, je vous trouve plutôt bon pied, bon œil. Un tireur d'élite ne se reconnaît pas à ce qu'il signe des cartons avec des coups parfois dans le mille, c'est au groupé de ses tirs qu'il se distingue.
Rédigé par : Giuseppe | 16 juin 2018 à 20:56
@ Elusen | 16 juin 2018 à 15:39
Je remercie le ciel tous les matins des leçons d’intelligence que vous prodiguez sur le blog avec votre air pontifiant.
Finalement vous me faites un peu penser à Laurent Wauquiez. Comment peut-on être aussi intelligent tout en étant aussi neuneu.
Encore un mystère de la nature humaine.
Finalement c’est Savonarole qui avait raison. Je n’aurais jamais dû vous répondre.
Rédigé par : Achille | 16 juin 2018 à 20:40
@ Giuseppe | 16 juin 2018 à 14:13
"Bob, là je reconnais votre souffle, parfois je le trouve glacial, mais sur ce coup chapeau !"
C'est très urbain de votre part. Je reconnais qu'il m'arrive de souffler le froid et le chaud. C'est ma façon à moi de contribuer à la lutte contre le réchauffement climatique.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 16 juin 2018 à 17:24
@ Achille | 16 juin 2018 à 11:36
J'entends bien ce que vous dites, tout le reste est littérature.
Vous savez, on peut gérer les plus grands chantiers du monde avec deux colonnes : les produits et les charges, vous corrigez avec les non notifiés positifs et/ou négatifs et basta !
La sémantique ne change rien à l'affaire, vous pouvez nommer le tiroir du nom que vous voulez, la seule chose est de savoir si c'est un revenu ou une perte.
Une petite anecdote, un économiste russe avait conclu au fond en disant que dans tous les cas quand vous n'avez qu'un rouble vous ne pouvez pas dépenser plus sinon vous perdez.
Il y a une richesse c'est le PIB, tout ce qui est payé avec ce sont des dépenses, des charges, peu importe le nom, en France, on vote des budgets qui incluent des déficits ! ceci aussi pour la petite histoire.
Prenez le nom générique charges bien que cela ne change rien à l'affaire.
Bon, il faut tenir a dit notre hôte, pour le rugby la digue commence à se fissurer, reste les U20, l'avenir est en marche - sans jeu de mots -, donc faisons confiance au jugement de Claude Luçon et à son enthousiasme communicatif, la victoire en chantant, c'est bien connu...
Rédigé par : Giuseppe | 16 juin 2018 à 16:23
@ Robert Marchenoir 11h50
"Et il semble que chaque gouvernement doive nommer au moins un ministre femme de la dernière nunucherie, afin de prouver, je suppose, qu'il faut encore plus de femmes aux postes de pouvoir."
Ou alors c'est pour prouver que les femmes cantonnées dans ce genre de rôle ne sont que des histrionnes... forcément utiles pour détourner l'attention !
Rédigé par : caroff | 16 juin 2018 à 15:53
@ Achille | 16 juin 2018 à 11:36
« Il y a deux individus ici qui ne peuvent s’empêcher de traiter les autres intervenants d’imbéciles, dès lors qu’on s’oppose à leurs « démonstrations ». »
Votre ignorance serait une démonstration, mais de quoi au juste ?!
Vous avez confondu dépenses publiques et aide sociale.
Puis, maintenant, vous affirmez que prestation sociale et aide sociale c’est la même chose ; et là-dedans, il n’y a strictement rien d’imbécile ?!
Est-ce bien cela ?
Vous ne savez même pas ce qu’est une prestation sociale, une aide sociale, une assurance, une mutuelle, mais mordicus vous affirmez n’importe quoi.
Mais selon vous là-dedans toujours rien d’imbécile ?!
Le document de la Drees, pour la faire vite, grosso modo, c’est le calcul du chiffre d’affaires de l’industrie des assurances sociales, du secteur d’activité de prestation de services à la personne.
C’est comme si vous m’aviez balancé le chiffre d’affaires unifié d'UGC, Gaumont, MK2, Pathé, pour affirmer qu’il s’agit d’aide sociale, tout en criant le 15 juin 2018 :
À part ça, toujours rien d’imbécile ?!
----------------------------------
@ Robert Marchenoir | 16 juin 2018 à 11:50
«On mesure l'étendue des dégâts. Quarante années à endoctriner des générations d'enfants. Quarante années à casser les pieds des Français avec des grèves à tout propos.»
Je me souviens du slogan : Tu t’es vu quand t’as bu ?!
Le type n’aurait jamais de toute sa vie enseigné, pas un seul cours, il aurait été en grève pendant quarante ans sans discontinuer.
« À endoctriner des enfants » alors qu’il aurait été en grève permanente pendant quarante ans ?!
Par contre Robert Marchenoir n’endoctrine jamais personne lui. C’est la simplicité, l’humanisme, l'altruisme, le compassionnel en permanence.
Another Day of Sun : https://www.youtube.com/watch?v=CWnYIb2lqpo
Rédigé par : Elusen | 16 juin 2018 à 15:39
Marlène Schiappa sonne creux, a les dents bien aiguisées, quant à sa langue elle sert à lustrer les souliers vernis de l'exécutif - ce qu'avait relevé le Palmipède, avec un article sur cette grande bourgeoise dont les incisives rayeraient même un sol de granit.
Rédigé par : Giuseppe | 16 juin 2018 à 14:23
@ Robert Marchenoir | 16 juin 2018 à 11:50
Bob, là je reconnais votre souffle, parfois je le trouve glacial, mais sur ce coup chapeau !
Rédigé par : Giuseppe | 16 juin 2018 à 14:13
@ Wil | 16 juin 2018 à 02:21
L'anecdote est atterrante, en effet. On apprend que le père de Marlène Schiappa :
1. Est un trotskiste convaincu depuis l'âge de 15 ans (et demi, précise-t-il). Il en a 61 aujourd'hui. Il ajoute qu'il est "lambertiste", et que seuls les lambertistes sont trotskistes (donc, on ne peut pas être trotskiste faute d'être français, si je comprends bien). On voit déjà le monsieur pas du tout sectaire, le communiste enragé encore plus enragé que l'extrême gauche mainstream, si je puis dire.
2. Est ancien professeur de collège, et ancien délégué syndical FO. On mesure l'étendue des dégâts. Quarante années à endoctriner des générations d'enfants. Quarante années à casser les pieds des Français avec des grèves à tout propos.
3. Se permet d'humilier publiquement sa fille, qui est ministre de la R-r-r-république, en lui donnant une leçon de marxisme préhistorique sur Twitter.
4. Est suffisamment irréfléchi, ou pervers, pour la mettre politiquement en danger ce faisant, puisqu'elle exerce ses fonctions dans un gouvernement qui ne se revendique pas précisément de Karl Marx.
5. Est suffisamment ignoble pour faire passer l'amour filial après ce qu'il estime être l'élégance politique de la cabine téléphonique qui lui sert de secte.
6. Est suffisamment mesquin pour manifester en public sa jalousie de la réussite de sa fille, au lieu d'en être fier.
7. Est suffisamment lâche pour lui infliger une correction devant tout le monde, mais sans la nommer. (Ca me rappelle des gens, ici.)
C'est charmant, la famille Schiappa. Les repas de famille devaient être croquignolets.
On s'étonnera, après, que sa fille soit devenue une féministe aussi abrutie que son marxiste de père. Et nous inflige désormais ses exactions politiques avec les pouvoirs qui sont les siens.
La réaction de Marlène vaut le jus. Elle commence par répondre au... Parti communiste français (le quoi ?), qui, lui aussi, s'en prend à elle ; et pour se justifier, elle cite... Engels. Nous avons donc des exégètes des évangiles communistes au gouvernement. Tout va bien.
Enfin, elle réagit à l'article du Monde, qui a, le premier, relevé le crachat gauchiste de Jean-Marc Schiappa, en accusant le journal de défendre le patriarcat... au lieu d'en faire le reproche à son père. Et elle reproche à l'un des ses contradicteurs, sur Twitter, de s'intéresser à cet épisode plutôt qu'à ses... "visites inondations".
C'est quoi, une "visite inondation" ? Marlène Schiappa a des problèmes d'incontinence, elle va voir le docteur à ce sujet, et nous sommes censés nous intéresser à l'affaire ? Les contribuables français payent un ministre des femmes pour "visiter des inondations" ?
Décidément, le communisme est une belle vérole... Et il semble que chaque gouvernement doive nommer au moins un ministre femme de la dernière nunucherie, afin de prouver, je suppose, qu'il faut encore plus de femmes aux postes de pouvoir.
https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/06/15/quand-marlene-schiappa-prend-une-lecon-de-marxisme-par-son-pere_5315853_823448.html
Rédigé par : Robert Marchenoir | 16 juin 2018 à 11:50
@ Elusen | 16 juin 2018 à 00:12
« Mais vous rendez-vous compte de votre ignorance qui vous invite à l’imbécillité ?! »
Il y a deux individus ici qui ne peuvent s’empêcher de traiter les autres intervenants d’imbéciles, dès lors qu’on s’oppose à leurs « démonstrations ».
J’ai pris pour règle de ne pas communiquer avec ce genre d’excités qui n’apportent strictement rien dans le débat. Je préfère échanger avec des gens pondérés et bien dans leur tête.
On peut avoir des idées divergentes, s’opposer parfois vigoureusement, mais avec un minimum de respect mutuel.
Ce sera donc mon dernier message vous concernant… Basta !
Rédigé par : Achille | 16 juin 2018 à 11:36
@ Catherine JACOB 15 juin 2018 à 19:41
Pourquoi voulez vous que je donne raison à Wauquiez avec lequel je n'ai aucune affinité ?
Par contre la soucoupe bordelaise à 700 000 euros fait grincer dans les chaumières.
Rédigé par : Jabiru | 16 juin 2018 à 08:39
@ Mary Preud'homme, Catherine JACOB, Michelle D-LEROY
Je suis si sensible à vos messages.
Merci, Catherine, des très belles images musicales de totale grâce argentine.
Le blog de Philippe fabrique de l'or, des phosphorescences impérissables.
Rédigé par : Véronique Raffeneau | 16 juin 2018 à 07:10
@ genau | 15 juin 2018 à 16:56
"J'admets que dans la complexité de la relation sociale sublimée au politique et dans l'échange subtil, j'étais mauvais, et vain. Apparemment, ça continue puisque le pseudo répugne à notre hôte et que je n'entends pas me départir du mien."
Sans prétendre parler à la place de l'intéressé, ce n'est pas ainsi que j'ai compris le texte de Philippe Bilger. Il a regretté, me semble-t-il, que l'éthique du débat soit souvent atroce sur Twitter, et que des gens se contentent de l'insulter sous pseudonyme, alors que lui se donne la peine d'argumenter sous son vrai nom.
Je ne pense pas qu'il reproche à ses commentateurs, ici, l'usage du pseudonyme, puisque s'il y était opposé, il lui suffirait de le dire, et d'exclure les contrevenants. Ou alors, il serait carrément masochiste...
Le réseau Twitter, lui, autorise explicitement l'emploi des pseudonymes, contrairement par exemple à Facebook, qui impose à ses utilisateurs de s'inscrire sous leur vrai nom.
Naturellement, Facebook ne peut pas vérifier que cette règle est respectée, sauf à engager des dépenses énormes, et à dissuader des dizaines de millions d'utilisateurs potentiels -- ce qui n'est pas son intérêt. Il lui arrive donc de procéder à des vérifications ponctuelles d'identité (eh oui, comme chez les flics...), mais il existe, bien sûr, de nombreuses personnes qui ont un compte Facebook sous un nom qui n'est pas le leur.
Enfin, chaque personne est différente et a des buts différents. Il est normal qu'une personnalité connue comme Philippe Bilger, qui écrit des livres, qui a des activités médiatiques, s'exprime sous son vrai nom. C'est le contraire qui serait étonnant ! La question se pose différemment pour des gens qui ont une autre situation sociale. Chacun fait son choix en fonction de ce qu'il est, et de ce qu'il recherche.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 16 juin 2018 à 03:25
"Il faut tenir !"
On va essayer mais vu le niveau général ça va être dur.
Vous avez vu la dernière de Schiappa ? C'est énorme.
"Quand le père donne un cours sur Karl Marx à sa fille, la secrétaire d'Etat Marlène Schiappa"
https://francais.rt.com/france/51651-quand-le-papa-donne-un-cours-sur-marx-a-sa-fille-la-secretaire-d-etat-marlene-schiappa
La réponse à papa Schiappa par la fifille sur Twitter est déjà culte.
C'est du genre "Je suis c*nne donc je dis des c*nneries mais c'est la faute du patriarcat". Une vraie féministe !
"Mais jusqu'où s'arrêteront-elles" comme disait Coluche.
Rédigé par : Wil | 16 juin 2018 à 02:21
@ Achille | 15 juin 2018 à 20:31
« En ajoutant les frais de gestion et les frais financiers »
En ajoutant un truc qui n’est pas de l’aide sociale, l’aide sociale serait…
Je vais vous ajouter les condamnations de Guy Georges et j’affirmerai que vous êtes Guy Georges !
Votre article dit cela surtout :
"Le principal poste de dépenses est celui de la vieillesse (325 milliards d'euros)"
Quelles sont vos propositions ? tuer les vieux ?! Vive la prochaine canicule ?!
Sur ce blog, y a pas mal de retraités !
Je constate que je lis souvent les statistiques, entre autres celles de la Drees, mais c’est surprenant, Le Figaro ne met aucun lien sur le fichier PDF de la Drees.
Peut-être parce que le Figaro a menti en organisant une confusion entre aides sociales et assurances !
Les indemnités de perte d’emploi ne sont pas une aide sociale, ce n’est pas versé par l’État et ce n’est pas un impôt, c’est une assurance risque obligatoire, comme l’assurance habitation et voiture.
Les salariés cotisent à cette assurance et quand le risque survient, ils déclarent le sinistre et sont dédommagés.
Convention Unedic : https://www.unedic.org/a-propos/quest-ce-que-lassurance-chomage
Les retraites complémentaires, c’est une assurance qui n’est pas payée par l’impôt, ni par l’État, mais par une cotisation à un contrat d'assurance.
La santé, c'est également une assurance, les salariés cotisent, ce n'est pas un impôt, mais un contrat d'assurance, ainsi que les personnes qui perçoivent l'assurance de retour à l'emploi la paient.
La mutuelle, tout autant, c'est un contrat.
C’est comme si j’ajoutais votre assurance habitation de votre résidence principale, de votre résidence secondaire, de votre voiture, de la protection juridique de la personne, de votre carte bancaire et j’affirmais que c’est une aide sociale.
Mais vous rendez-vous compte de votre ignorance qui vous invite à l’imbécillité ?!
La fiche de la Drees que vous n'avez jamais lue, bien évidemment, elle ne dit jamais que c'est l'impôt :
http://drees.solidarites-sante.gouv.fr/IMG/pdf/er-1040.pdf
Le Figaro, Macron, l'honorable honoraire, vous, vous avez confondu impôt et cotisation.
Votre cotisation à Chasse, pêche, nature et tradition, ce n'est pas un impôt, pas plus que votre club de Bingo.
Le scandale de votre ignorance à tous, c’est aussi que vous avez confondu prestation sociale avec aide sociale.
L’aide sociale, c’est l’État ou une collectivité qui vous verse quelque chose.
Une prestation sociale, c’est une prestation de service, comme un coiffeur que vous payez pour qu’il vous tonde.
La prestation sociale, c'est une prestation d'assurance contre le risque social, elle ne s’exerce que si vous avez cotisé, payé votre cotisation d’assurance-maladie, d’assurance perte d’emploi, d’assurance-vieillesse, assurance complémentaire retraite, assurance contre le risque, etc.
Très court article en entier : https://www.universalis.fr/encyclopedie/prestations-sociales/
Quand votre assurance habitation vous rembourse la porte défoncée après un cambriolage, ce n'est pas une aide sociale, c'est une prestation de service, une prestation d'assurance.
Rédigé par : Elusen | 16 juin 2018 à 00:12
@ Catherine JACOB
Merci pour votre réponse (9 h 13) et pour tous les détails que vous me donnez.
Comme à chacune de vos réponses à chacun d'entre nous sur ce blog, je suis ravie de trouver autant de renseignements et d'informations bien étayés. Merci pour tout.
------------------------
A eux qui connaissaient Axel Oursivi (que je n'ai pas connu), je m'associe à leur tristesse et j'adresse modestement mes condoléances à ses proches. RIP.
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 15 juin 2018 à 22:58
Pour les rétrécis du bulbe :
Les dépenses publiques sont des aides sociales, pour financer ce gouffre social que sont ces acquis sociaux qui entraînent de plus en plus de dépenses publiques pour la distribution d'aides sociales.
Capito ?
Rédigé par : sylvain | 15 juin 2018 à 22:10
@ Mary Preud'homme
"La pesanteur et la grâce, en forme de parodie, revue par vous c'est quand même terriblement brouillon et indigeste. Je préfère nettement la version originale de Simone Weil."
J'ai un peu lu Simone Weil mais ceci n'est pas un prolongement de sa réflexion ni une parodie pour mille raisons, et entre autre parce que je ne crois ni en l'une ni en l'autre.
A supposer que ce que je produise soit brouillon, c'est du moins une réflexion personnelle, ce qu'on ne voit pas trop chez vous.
Rédigé par : Noblejoué | 15 juin 2018 à 22:03
@ Elusen | 15 juin 2018 à 18:43
Selon la Drees, le service de statistiques des ministères sociaux, le montant total des prestations de protection sociale a en effet été de 714 milliards d'euros en 2016 en cumulant les aides de santé, de retraite, de famille et de chômage. En ajoutant les frais de gestion et les frais financiers, les dépenses de protection sociale s'élevaient à 759,5 milliards d'euros. Seuls quatre pays consacrent plus de 30% de leur PIB aux dépenses sociales : la Finlande, la Belgique, le Danemark et la France. La moyenne de l'OCDE se situe à environ 22% du PIB.
http://www.lefigaro.fr/social/2018/06/13/20011-20180613ARTFIG00108-les-aides-sociales-representent-un-tiers-du-pib-francais.php
Bon la France n’est peut-être pas championne du monde, elle se situe quand même dans le top 4, ce qui n’est déjà pas si mal…
On aimerait le même classement pour la coupe du monde de football...
Rédigé par : Achille | 15 juin 2018 à 20:31
@ Noblejoué, 15 juin 15:27
La pesanteur et la grâce, en forme de parodie, revue par vous c'est quand même terriblement brouillon et indigeste. Je préfère nettement la version originale de Simone Weil.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 15 juin 2018 à 20:20
@ Jabiru | 15 juin 2018 à 13:55
Exemple révélateur. Et pendant ce temps l’hôtellerie, la restauration, les métiers du bâtiment recherchent du personnel, assurant même une formation rémunérée, en vain. Mais il est vrai que ce sont des métiers où il faut se lever tôt et parfois sentir un peu la sueur…
Rédigé par : Achille | 15 juin 2018 à 20:20
@ Jabiru | 15 juin 2018 à 18:55
"Franchement compte tenu du contexte financier actuel, ça "déconne" grave !"
Vous donnez raison à Laurent Wauquiez alors.
Rédigé par : Catherine JACOB | 15 juin 2018 à 19:41
@ hameau dans les nuages 15 juin 2018 à 14:32
La soucoupe, j'hallucine !
Je ne sais pas si c'est Juppé qui a validé ce choix mais franchement compte tenu du contexte financier actuel, ça "déconne" grave !
Rédigé par : Jabiru | 15 juin 2018 à 18:55
@ Achille | 15 juin 2018 à 12:31
http://www.lepoint.fr/economie/la-france-reste-la-championne-des-depenses-publiques-13-07-2017-2142849_28.php
Achille a écrit cela le 15 juin 2018 :
Vous confondez dépense publique et aides sociales !
Non mais à ce stade-là, faut aller se cacher !
Rédigé par : Elusen | 15 juin 2018 à 18:43