Superbe cérémonie et magnifique discours pour célébrer l'entrée au Panthéon de Simone Veil et de son époux Antoine (France 2).
J'ai scrupule à me projeter dans la quotidienneté de la politique après ces moments extra-ordinaires mais il me semble que ces consensus, s'ils permettent à la France d'honorer, ne donnent malheureusement aucune clé pour l'invention de l'avenir et l'affrontement d'un monde qui se soucie peu de la mémoire mais se collette comme il peut avec les tragédies, les misères et les difficultés d'aujourd'hui. Ils seront impuissants face aux populismes dont le président de la République a allusivement et une nouvelle fois dénoncé la montée.
En ce sens on a le droit de s'interroger sur cette quasi-impossibilité, pour l'instant, des Républicains à élaborer un programme qui ait une identité propre et parvienne à s'imprimer dans l'esprit public.
Un projet dont on distinguerait la particularité et l'autonomie par rapport à l'habile et apparente globalité "macroniste" et qui parviendrait à offrir aux citoyens l'espérance d'un autre chemin.
On ne cesse de réclamer à Laurent Wauquiez (par exemple Bruno Retailleau) l'obligation, avant les jeux de pouvoir et les hégémonies personnelles, d'élaborer une pensée politique et des mesures opératoires.
Si Laurent Wauquiez se félicite de la concordance des vues - on n'est pas rentré dans les détails - à l'issue du conseil national sur l'Europe, il peine en revanche à convaincre quand il s'agit d'emplir l'espace que, selon lui, Emmanuel Macron souhaiterait vide entre LREM et les extrêmes, LFI ou le RN. Le diagnostic est pertinent mais demeure une difficulté qui aujourd'hui paraît insurmontable (Le Parisien, JDD).
Sur aucun plan LR ne réussit à construire dans le paysage politique une force, un élan, un ensemble de propositions qui manifesteraient qu'une droite authentique est véritablement de retour.
Mais peut-être faut-il moins incriminer l'impuissance de ce parti que la comprendre et la mesurer. Cette droite qui ne se trouve pas est aussi une droite qui ne sait plus où chercher, où se chercher.
Entre le président de la République qui occupe un vaste terrain d'un côté et de l'autre la faiblesse conceptuelle et d'imagination de LR, la tâche n'est pas aisée qui n'autorise plus, comme à une certaine époque où le simplisme avait ses chances, un radotage permanent sur des principes et des poncifs étiquetés naturellement de droite.
La complexité du monde, la lecture de plus en plus difficile d'une société diverse et volatile, l'appréhension sans cesse plus délicate des attentes et des désirs citoyens, la prise en charge de contradictions interdisant le sommaire dans les solutions rendent même plus qu'éprouvante, presque désespérée, dans notre démocratie la découverte d'une substance, d'une fraîcheur nouvelles pour une droite qui s'obstine à se percevoir immuable.
Pour n'évoquer que les problématiques qui semblaient relever d'elle, la justice, la sécurité, l'autorité et l'école, elle n'y attache pas l'importance créatrice, mêlant, pour aller vite, humanisme et efficacité, qui serait susceptible de la constituer comme exemplaire pour demain. Il y a évidemment l'inlassable Eric Ciotti mais qui à force, seul et répétitif, finit par ne plus surprendre.
Il y a également des thématiques, notamment dans les registres judiciaire - pénitentiaire surtout - et culturel où la droite s'est toujours contentée de s'abriter frileusement, bêtement sous la prétendue supériorité de la gauche qui l'a gangrenée en profondeur.
Ne conviendrait-il pas qu'avant même de se donner enfin une identité adaptée à son essence et à aujourd'hui, elle se débarrasse de celle qu'on lui a apposée et qui, telle une tunique de Nessus, lui colle à la peau et amplifie sa dépendance ?
Il ne suffit pas d'accabler la droite classique comme si de gaîté de coeur et d'esprit elle s'abandonnait à une stérilité coupable. Car sa bonne volonté est indéniable. Pour la première fois elle regarde la politique comme si celle-ci était une inconnue. Elle n'a pas d'autre choix que de remplacer son logiciel ancien par une grille renouvelée. Sinon je crains que le constat à venir demeure vrai.
Elle voudrait bien mais elle ne peut pas.
« Elle voudrait bien mais elle ne peut pas. » (PB)
La droite française actuelle est comme les critiques que décrivait Brendan Behan : ”Critics are like eunuchs in a harem ; they know how it's done, they've seen it done every day, but they're unable to do it themselves.”
Comment faire vibrer les foules avec d’aussi sinistres figures que Bertrand, Fillon, Wauquiez ou Juppé ?
(Pour vous faire plaisir, Zonzon, je paraphraserai notre auteur préféré « l’homme - politique, de droite de gauche ou du milieu - n’est que poussière : c’est dire l’importance du plumeau… ». On aura compris que le plumeau c’est la rue ou le bulletin de vote…)
Rédigé par : sbriglia @ Zonzon | 05 juillet 2018 à 17:50
@ Zonzon 05/07 08:00
Soyez rassuré Zonzon, pour autant qu'un chagrin m'ait perturbé vous n'en fûtes nullement la cause. Et je m'en voudrais vraiment si le sentiment que vous avez éprouvé à la lecture de mon dernier commentaire était venu ternir le bonheur qui semblait vous avoir envahi hier ! Je veillerai donc à l'avenir à tourner sept fois le clavier de mon ordinateur dans mes mains avant de rédiger un commentaire qui serait de nature à perturber votre nature enjouée !
Rédigé par : Michel Deluré | 05 juillet 2018 à 14:34
@ Zonzon | 05 juillet 2018 à 08:00
Je crois avoir déjà écrit que je ne craignais pas les chicotes molles à Zonzon !
Par ailleurs je recommande à "Zonzon Quisèche" de bien lire les différents fils et de se constituer des "antisèches" afin de pallier à ses "trous" de mémoire. Ce qui lui aurait évité son commentaire malveillant sur les résistants où il me fait dire ce que je n'ai jamais écrit, me contentant de pointer la stupidité et la fatuité de ceux qui il y a peu avaient établi un parallèle entre leur pseudo et celui de glorieux soldats ou résistants...
Alors qui est le mauvais esprit public dans l'histoire M. Zonzon ?
Rédigé par : Mary Preud'homme | 05 juillet 2018 à 12:35
@ Achille | 05 juillet 2018 à 08:12
Doublement impossible : elle se garde d'Internet et je me la garde pour moi !
Rédigé par : Noblejoué | 05 juillet 2018 à 11:49
@ Zonzon | 05 juillet 2018 à 08:00
Ah Zonzon, votre style inimitable provoque une certaine perplexité parmi les habitués de ce blog. Moi-même au début je me suis laissé prendre. Vous maniez l’autodérision et l’humour taquin avec une réelle virtuosité. Votre style d’humour me fait un peu penser à celui de Laurent Baffie. Manifestement il ne plaît pas à tout le monde.
Ainsi que vous avez dû vous en rendre compte il y a de gros susceptibles ici.
Vous avez manifestement des difficultés avec le maniement des émoticônes, mais vous avez trouvé la solution pour vous en passer et c’est très bien.
Il est vrai que ces petites bêtes ne sont pas très prisées sur ce blog. Je dois être un des rares à en glisser de temps en temps, mais avec modération.
Continuez vos insolences. J’avoue qu’elles me font bien rire d’autant plus que, finalement, elles ne sont pas bien méchantes… enfin pas trop.
Rédigé par : Achille | 05 juillet 2018 à 08:50
@ Noblejoué | 05 juillet 2018 à 05:48
« Comme ma confidente m'a interdit d'être pessimiste, je veux croire que vous fassiez votre profit de mes conseils de prudence… »
Vous devriez demander à votre confidente de venir sur ce blog. Ainsi, nous tous ici pourrions profiter de ses précieux conseils qui semblent embellir votre vie.
J’espère simplement qu’elle sait faire preuve de concision, ce qui manifestement n’est pas votre cas… Ceci étant dit en tout amitié, bien sûr !
Rédigé par : Achille | 05 juillet 2018 à 08:12
Hier la journée avait commencé avec du vrai bonheur. Un banquier, dont on ne précisera plus la nationalité, venait de m’annoncer qu’il me lâchait les baskets.
Aujourd’hui je suis carrément sur un petit nuage : Robert Marchenoir vient de me consacrer 21 lignes – je les ai comptées ! En prime il m’a même adjectivé avec ce « zonzonnesque » du meilleur effet. Alors qu’il aurait pu me subjectiver avec « zonzonnerie », mot de mauvais aloi à l’évidence !
Michel Deluré, dont j’ai dit hier tout le bien que je pensais de lui, semble chagrin. Je ne suis en rien cause de cet état. Je souhaite qu’il en soit conscient.
Je lui précise qu’à ma connaissance celui qui s’exprime sous le pseudo de Zonzon est bien votre serviteur. Dans le cas où un mauvais plaisant doublé d’une personne ayant mauvais goût me « kidnapperait » - ce qui est toujours possible – il me serait aisé de prouver ma bonne foi. La manière avec laquelle Zonzon s’exprime est reconnue comme inimitable ! [Emoticône charmeur, subtil, avec un zeste d’understatement]
Comme dab Mary P a exercé son droit de malveillance ! En proclamant que « je ne suis pas très gentil pour notre hôte » elle cherche manifestement à me faire virer. Philippe Bilger est un homme public, donc tout nu par définition même.
Mary P, son patronyme en bandoulière n’en est pas pour autant une femme publique ! [Emoticône grimaçant]
Les « résistants des années quarante » se dissimulaient derrière des pseudos. Alors là je suis séché !
Zonzon « dans ses œuvres de destruction massive ». Mary P me prend pour l’Enola Gay alors que je ne suis qu’un gros bourdon, lourdaud mais affectueux !
Quant à la loyauté elle ne se dissèque pas, elle se pratique !
Rédigé par : Zonzon | 05 juillet 2018 à 08:00
@ Patrice Charoulet
Il n'y a aucune solution de continuité entre attaquer les pseudonymes et rééditer les renseignements donnés ici par les gens au risque d’entraîner des problèmes pour Catherine JACOB ou d'autres.
Mais elle plus probablement, les gens attaquant ce qui l'est déjà, parce qu'ils imitent par désir mimétique, je désire le désir de l'autre, et parce que ce qui est attaqué est rendu plus vulnérable que ce qui ne l'est pas, et que toute personne voulant exercer son pouvoir le fera préférentiellement sur les faibles.
Dans les deux cas, au nom de la transparence, vous poussez à se livrer au public. Dans le premier, vous poussez sans que les gens tombent car vous ne pouvez pas les forcer, dans le second, ils chutent et se font mal, harcelés par allez savoir quelles personnes.
L'esprit est le même, le résultat différent, les réactions des commentateurs du même type.
La principale victime en l'affaire est même obligée de faire profil bas, de peur d'alimenter le phénomène en ce qui la concerne puisque les agitations des victimes réjouissent leurs agresseurs... Dire de parler à la police ! Je ne me rappelle plus toutes ses tribulations, mais elle est justement la preuve que les forces de l'ordre ne peuvent pas tout. Tout le monde ne retire pas les mêmes renseignements des textes, assurément... Je sais bien qu'on m'accuse de changer les choses en mot à cinq lettres, mais en fait, c'est la réalité et mes accusateurs qui ne sentent pas très bons.
Le monde n'est pas ce que nous désirons, mais ce qu'il est... La liberté s'épanouit sous le masque comme certaines cultures sous les serres et non point au grand air tandis que d'autres ont besoin de grand air, et il en va de même entre patronymes et pseudonymes. Le monde est aussi peu ce qu'il est censé être que les gens tiennent leurs promesses, donc avec peu de ressemblance entre le menu et l'assiette. La police va peu dans certains quartiers et s'occupe peu de certaines affaires. Question de moyens... Parfois, les policiers ne sont même pas payés pour leurs heures supplémentaires, et en plus, ils sont agressés en dehors de leurs heures de service. Comme il y a un calcul de vie pour aider telle personne mourant de faim et pas telle autre selon l'idée que cela la sauvera ou non, des affaires sont ou non enterrées.
Pas de solution de continuité entre la question du pseudo et la recherche et mise à disposition des résultats pour toutes les feignasses nuisibles et sans imagination pouvant passer par ce blog et conséquence de vos agissements me semblent démontrées.
Oui ou non, que dois-je encore expliquer ?
Je n'approuve pas pour autant qu'on vous insulte pour la double raison que vous ne le faites pas et semblez ne pas saisir la situation.
Plus rigolo, vous professeur de lettres, semblez étonné qu'une personne dotée d'un bon style puisse se montrer assez brusque, cassante et insultante.... Mais enfin, sans être historien, un professeur comme vous peut-il vraiment ignorer que les gens de lettres ne sont pas des agneaux, qu'ils ont toujours professé de mépriser les critiques et férocement rivaux comme à vrai dire dans toutes les professions intellectuelles, griffent plus que chats en colère ?
Publiée ou non, sur Internet comme ailleurs, avoir du style, c'est avoir une griffe, un ton particulier et quelque chose d'incisif, comme un chat... Un chat n'est pas un chien, une plume n'est pas autre chose que l'épée de l'esprit. On peut rêver que le preux chevalier ne s'en prenne qu'au péché et non au pécheur, n'ait jamais de préjugé et de rivalité, aide toutes les victimes et quête sinon le Graal en tendant l'autre joue tout en se laissant démasquer par tout un chacun, mais non. Pour ce qui me concerne, je garde le heaume et le premier qui m'accuse de complot, de bêtise et autres stupidités ou veut pronostiquer ce qu'il y a sous l'armure fait connaissance avec mes armes.
Je comprends qu'admirant style, créativité ou un mélange des deux, on puisse s'égarer sur de fausses apparences à croire l'autre juste, en prime... Mais si non, eh bien, les gens ne sont jamais que ce qu'ils sont, n'est-ce pas ? En général, ils ne gagnent pas à être connus.
Mais vaut-il mieux être déçu ou décevant ? Des deux côtés de la barrière, je dirais décevant, si on s'en rend compte.
Je vous explique encore. Si on est civilisé comme vous l'êtes, professeur, qui étudie la création, on peut être attiré par le moins civilisé, sauvage, porteur du chaos éventuellement créateur. Papillon face à la flamme, comment être plus clair ? Car toute personne en admiration ou sympathie ou aide à l'autre ou ce qu'on voudra, se met en vulnérabilité face à elle.
Je n'ai ni frappé ni insulté ni crié ni menacé ni manipulé ni rien de cette sorte, il ne manquerait plus que ça, mais je peux être très sombre, ce qui s'avère dur à supporter soit pour quelqu'un que cela renverrait à ses propres ténèbres, soit quelqu'un comme ma confidente, qui est, dans la mesure de ce qui humainement possible, toute lumière.
Et donc je m'en veux de mon manque de tact, mais comment faire ? Je dois aller dans les tréfonds, et là, il y a plus de démons que de merveilles. Et donc, j'ai cru qu'elle m'abandonnerait, et j'ai juste dit "tant pis", ce qu'elle a trouvé horripilant vu qu'en principe je ne supplie pas, je trouve ça dégradant, ne promets rien, j'ai peur de ne pas tenir, et que je pensais qu'elle serait mieux sans moi, débarrassée et ayant bien d'autres gens sans problèmes ou à aider, elle a le choix, même si je ne l'ai pas dit, enfin, elle l'a peut-être deviné, il n'y a pas grand-chose qui lui échappe... Ce ne sont pas ceux qui se vantent de voir les autres transparents qui les voient vraiment. Allez savoir comment, ma confidente a quand même vu que je souffrais beaucoup et ma bonne volonté et m'a remonté le moral avec obligation de trouver quelque chose de positif chaque jour et de poursuivre ma quête, ce qui fait un peu grand écart, mais elle a, comme presque toujours, raison. Si pessimiste que je sois, je ne peux pas ne pas faire de mon mieux pour quelqu'un comme elle... C'est horrible de décevoir, surtout si on voit qu'on a tort et qu'il est bien difficile d'agir autrement car certaines choses ont manqué qui ne viendront pas, des manques, en un sens, compensés, mais pas dans le sens du bonheur ou de la confiance en autrui qui à vrai dire n'en mérite pas toujours autant mais je n'ai pas la foi de regarder un film si nul qu'il soit jusqu'à la fin pour voir s'il n'y aurait pas quelque chose de bien dans un amas de rien. Je dirais que nous sommes aux deux extrémités du spectre; elle admet certains fonctionnements décevants du monde, je dois croire en moi et que les gens ne sont pas si mauvais, le grand mot, inexistants que ça, en général, et que même dans le cas où si, ce n'est certes pas grave, mais qui comme elle peut être suave ? Ni dans les fictions, ni dans la vie, je n'ai vu quelqu'un de pareil.
Bref, pour la question du mérite, incidemment, je n'y crois guère, j'ai eu des malchances imméritées et j'ai une chance tout aussi imméritée dont j'espère que je ne vais pas la gâcher ni surtout nuire à la personne qui m'est si inspirante. Et j'ai souvent observé la même chose... En plus, il y a bien quelques gens méritants, mais souvent ils ne sont pas aperçus.
Alors la morale à deux balles... On se plaint du discrédit des valeurs ? On en a abusé, alors il y a rejet comme après avoir pris trop de sucre ou autres choses semblables on a mal au cœur.
C'est ce qui arrive avec la morale de la transparence pour tout et n'importe quoi, et vous en faites les frais, c'est exagéré donc injuste, je compatis donc.
Quand on a mille obstacles (à défaut de mille visages, "le héros au mille visages", vous saisissez ?) et qu'on voit que des gens en ont bien moins, qu'un infime réglage de comportement pourrait sans doute les sortir de certaines impasses, il est tentant d'intervenir.
Quand je dis que je suis ténèbres, c'est bien exagéré, poétique, en fait j'en vois beaucoup et mon humeur s'en ressent. Mais si je l'étais vraiment, je me réjouirais du malheur des autres, les encouragerais à faire les cent pas dans leurs labyrinthes, petits rats, va !
Vous n'avez visiblement pas beaucoup de pressions sauf celle de l'intriguant problème des pseudos et le tabou de trop donner d'informations sur les internautes, ou quiconque d'ailleurs, et pourquoi les gens à talents sont si méchants.
Eh bien, si vous voulez m'en croire, toutes ces questions sont résolues, pour votre paix intérieure et accessoirement celle du blog.
Comme ma confidente m'a interdit d'être pessimiste, je veux croire que vous fassiez votre profit de mes conseils de prudence, et surtout de ceux où vous mettez les autres en danger, car le papillon est libre de se brûler mais non d'éteindre une flamme en l'indiquant à celui qui risque de l'éteindre, des animaux signalant le miel existe pour en avoir leur part, des dénicheurs de talents aussi, mais il ne faut pas que vous continuiez à être un danger pour les autres et surtout les plus vulnérables.
En espérant que vous compreniez enfin.
Rédigé par : Noblejoué | 05 juillet 2018 à 05:48
@ Mary Preud'homme | 04 juillet 2018 à 15:58
"Votre hargne vis-à-vis de Patrice Charoulet, [...] qui ne s'est jamais permis [...] la moindre injure ou diffamation à l'égard d'un intervenant de ce blog, dès lors qu'il n'était pas de son avis ou refusait de se livrer à quelque confidence ou introspection que ce soit !"
Noooon... bien sûr que non... de l'art de mentir comme un
arracheur de dentsPoutine...Et au fait, vous ne nous avez toujours pas dit : la "fille de victime de la barbarie nazie", c'était vous ? Et la fameuse "diffamation" que je suis censé avoir commise à l'encontre de la "fille de victime", c'était quoi ? Et la protection dont bénéficieraient les "filles de victime" contre toute critique, vous l'avez trouvée dans quelle poubelle gauchiste ? Et vos sorties à mon encontre sur la "fille de victime", mon "racisme" et mon "antisémitisme" supposés, c'est quoi, sinon de la diffamation ?
En matière "d'injure et de diffamation", vous en connaissez un rayon, il me semble...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 05 juillet 2018 à 01:25
@ Michel Deluré | 04 juillet 2018 à 17:31
"Sachez que depuis que je participe à ce blog, je n'ai à aucun moment fait mention de ma profession, estimant entre autres que cette information n'était en la circonstance d'aucune utilité. Celle-ci ne vient d'être révélée qu'à l'initiative d'un tiers qui en avait eu connaissance par une autre voie."
Tiens donc... encore un effet des coloscopies à Charoulet... l'innocent agneau tombé du nid, qui n'a jamais fait de mal à personne... mais qui exige qu'on lui confie son mail, ainsi que toute sorte d'informations personnelles...
Puisqu'on parle des professions des uns et des autres, y a-t-il un médecin dans la salle ? Je veux dire : un médecin psychiatre ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 05 juillet 2018 à 00:12
"Faut-il alors se dénuder soi-même ? Le dénudé exerce de fait un chantage potentiel sur autrui. L’utilisation du patronyme n’expose pas comme on pourrait le penser superficiellement mais protège, met dans un cocon protecteur et finalement fausse la vision de celui qui s’est « enfermé », s’imaginant être « plus loyal que la loyauté » !" (dixit Zonzon, 14:27, dans ses œuvres de destruction massive, en terminant par l'éloge de Marchenoir qui soi-disant ne dirait rien sur lui, ce dont ceux qui le lisent jugeront...)
En tout cas pas très gentil pour notre hôte ce jugement péremptoire, homme si transparent dans sa personne et ses prises de position sans ambiguïté...
Curieux ce que Zonzon entend par la véritable loyauté ; il s'est manifestement trompé d'époque comme d'aucuns allant jusqu'à se comparer aux résistants des années quarante bien obligés de se dissimuler derrière un pseudo, tant pour leur propre sécurité que pour celle de leur mouvement ou de leurs proches !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 juillet 2018 à 17:57
@ Zonzon (ou celui qui usurpe sciemment ou accidentellement ce pseudonyme !) 04/07 14:27
Une rectification : sachez que depuis que je participe à ce blog, je n'ai à aucun moment fait mention de ma profession, estimant entre autres que cette information n'était en la circonstance d'aucune utilité.
Celle-ci ne vient d'être révélée qu'à l'initiative d'un tiers qui en avait eu connaissance par une autre voie.
Que ma profession, désormais derrière moi, ait été révélée ne me pose pas spécialement problème car je n'ai aucune raison particulière d'en avoir honte, bien au contraire. L'exercice de celle-ci, aussi nécessaire que n'importe quelle autre à la société, m'a apporté beaucoup de satisfactions.
Ce qui est plus choquant, c'est que ce soit un tiers qui ait pris l'initiative de révéler cette information personnelle à ma place et sans mon agrément.
Cette mise au point me paraissait nécessaire.
Rédigé par : Michel Deluré | 04 juillet 2018 à 17:31
@ Patrice Charoulet | 04 juillet 2018 à 14:56
"VOUS ETES UNE PIONNIERE DU METISSAGE AVEC LES RACES COLONISEES..."
Cette remarque de Robert Marchenoir adressée à moi ne fut jamais relevée tant elle était stupide dès lors que mon compagnon (décédé) originaire d'Haïti et naturalisé américain ne compte dans son ascendance métissée d'amérindiens d'africains et de blancs français aucun "colonisé".
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 juillet 2018 à 17:14
@ Zonzon | 04 juillet 2018 à 14:27
Exactement.
Et autant je soutiens, pour le plaisir de la rhétorique et du paradoxe, la revendication zonzonnesque de l'interdiction des noms véritables (avec obligation d'avoir à prouver, auprès d'une Haute autorité quelconque, que son pseudo est un pseudo authentique), autant, dans la réalité, je défends la curieuse et extravagante notion de liberté, qui semble échapper désormais à beaucoup.
Que chacun fasse comme il l'entend -- à condition de ne pas chercher à imposer ses choix aux autres.
Quant à ceux que la proximité de pseudonymes indispose, je ne peux que leur conseiller de se retirer de tout ce qui relève d'Internet et de la littérature (deux domaines où les pseudonymes sont rois), ou bien de rejoindre le seul blog, à ma connaissance, qui exige des commentateurs qu'ils écrivent sous leur nom véritable : Les Observateurs.ch.
Hélas, ils devront composer avec quelques inconvénients : c'est un blog suisse, donc ils devront se contenter d'une audience 8 fois moindre (a priori) que celle de l'estimable maison qui nous accueille ; c'est un blog "d'extrême droite", voire "à la droite de l'extrême droite", ce qui pourra être répulsif ou attractif, selon les individus ; il est assez franchement poutinophile (même remarque) ; et, enfin, même avec le niveau fort élevé d'auto-contrôle social qui est en vigueur en Suisse, Les Observateurs.ch, bien que n'ayant pas changé leur charte, ont été forcés, dans les faits, de finir par tolérer les pseudonymes... comprenant qu'il fallait choisir entre se contenter d'une audience confidentielle, et se plier aux usages d'Internet.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 04 juillet 2018 à 16:55
@ Savonarole | 04 juillet 2018 à 03:30
Je ne m'explique pas votre hargne vis-à-vis de Patrice Charoulet, certes un peu novice en matière d'usage d'un blog de libre expression mais néanmoins sincère, cultivé et qui ne s'est jamais permis (nonobstant ses questions frôlant parfois l'indiscrétion) la moindre injure ou diffamation à l'égard d'un intervenant de ce blog, dès lors qu'il n'était pas de son avis ou refusait de se livrer à quelque confidence ou introspection que ce soit !
Toutes choses qui me semblent être à la base de l'esprit de ce blog dont l'objectif est la libération de la parole, autrement dit le pouvoir de s'exprimer librement sans préjugés ni contraintes, tout en s'astreignant à respecter chaque intervenant, dès lors qu'il se plie de son côté à la même discipline. Ce qui est loin d'être le cas et explique bien des dérapages déplorés par certains commentateurs plus souvent aveugles ou partisans que lucides sur l'identité des véritables fauteurs de trouble... Ou l'art de renvoyer dos à dos l'agresseur et l'agressé afin de ne pas avoir à trancher (voire se mettre habilement du côté du plus fort en gueule sinon en droit pour éviter les coups comme le faisait remarquer Zonzon quelque part ?!...)
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 juillet 2018 à 15:58
« JE SUIS A LA DROITE DE L'EXTREME DROITE. »(Robert Marchenoir)
« VOUS ETES UNE PIONNIERE DU METISSAGE AVEC LES RACES COLONISEES » (id.)
L'auteur de ces fortes paroles s'adresse à moi en quelques mots tout d'abord, le 3 juillet :
« Comment peut-on être aussi con ? »
Il s'agit d'une insulte courante.
Dans un développement plus récent et plus long, il déclare que je serais, je le cite, « un troll ».
Autre insulte, courante sur les blogs. Il en avait gratifié plusieurs autres avant moi.
Philippe et Pascale Bilger savent si ces deux insultes sont acceptables et si elles se justifient.
Vous approuvera aveuglément et inconditionnellement le commando rioufolien qui fait de l'entrisme ici et qui ferait mieux de revenir au bercail.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 04 juillet 2018 à 14:56
@ Savonarole | 04 juillet 2018 à 03:58
"Ça rappelle la blague sur l'élégance toute britannique d'un gentleman qui déboule par erreur dans le boudoir d'un château où une lady se dénude, il referme la porte aussitôt "oh, excusez-moi Monsieur !"..."
Du pur british pointé par Savonarole, humour à la fois subtil, élégant et savoureux ! Sauf que l'histoire ne nous dit pas si la dame avait la même ouverture... d'esprit et fut amusée ou traumatisée d'avoir été prise pour un mec ! Ce que des féministe pures et dures (dont je ne suis pas) ne manqueraient pas de souligner avec aigreur !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 04 juillet 2018 à 14:48
DINER DE TÊTES Suite
Tout a commencé avec l’énumération sérieuse et documentée de Patrice Charoulet (le 2 juillet à 22 h 26) suivie de la version comique de Zonzon (le 3 juillet à 11 h 32).
Hélas la mêlée ne s’est pas circonscrite à cela ! Beaucoup ont participé.
Ne serait-il pas utile de s’arrêter quelques instants sur la nature d’un blog « lieu de rencontre imaginaire » où circuleraient « des ombres immatérielles » - les blogueurs - exhibant leur pensée et leurs réflexions sur les affaires d’ici-bas, dont le support charnel serait estompé, enfoui, caché, secret. Des êtres de chair qui publient en ne franchissant jamais cette ligne de crête qui sépare leur identité propre et leur production scripturaire envoyée au monde !
En d’autres termes l’exact contraire de ce que prône Patrice Charoulet.
Permettez à votre tout nouveau camarade, dans sa candeur juvénile, d’expliquer sa gêne.
1. Publier sous son patronyme, vrai ou supposé, est un non sens intellectuel et moral. Comment s’adresser masqué à un être nu ? Faut-il alors se dénuder soi-même ? Le dénudé exerce de fait un chantage potentiel sur autrui. L’utilisation du patronyme n’expose pas comme on pourrait le penser superficiellement mais protège, met dans un cocon protecteur et finalement fausse la vision de celui qui s’est « enfermé », s’imaginant être « plus loyal que la loyauté » !
Je le dis sans rire – bien que ce soit rarement ma pratique – les patronymes devraient être interdits, chaque blogueur devant prouver à la Strass que son pseudo est « authentique » !!
Pour les gens compliqués, exhibitionnistes ou en recherche d’affectivité, des blogs pour ça !!
2. Le pseudo lui-même pose problème. Il faut qu’il soit suffisamment neutre pour ne pas éveiller la rêverie, l’interprétation facile, l’imprégnation réflexe et immédiate, autant de fausses pistes néfastes.
Des exemples. « Achille » est directif, déjà, comme « Aliocha » ! On est prédisposé avant même de lire. « Lucile » est quasiment une escroquerie, « duvent » est proche de la neutralité. « Zonzon » très proche du fait de sa sonorité ridicule. « Savonarole » est très connoté. « Noblejoué » est totalement neutre par son opacité logique. Se choisir un pseudo neutre est une marque de respect adressée à ceux qui seront vos lecteurs.
3. Pseudo ou patronyme, quel que soit le choix il convient, pour autant que faire se peut, de ne pas exhiber ses qualités, états, professions, tout détail superfétatoire qui ne peut que gêner – comme pour 1. et 2. – une lecture enrichissante et objective. C’est déjà assez difficile de suivre des contributeurs qui ne sont pas forcément des écrivains et des logiciens experts. Se dissimuler est encore une marque de respect. La vantardise, l’exhibition ne sont pas des qualités premières.
Des exemples. Ghinsberg et Deluré sont des banquiers, sbriglia est avocat, genau est magistrat en retraite. C’est bien tout ça, c’est très bien, mais sommes-nous objectifs en les lisant ou avons-nous en arrière-plan un schéma du banquier, de l’avocat, du juge, qui perturbe notre réception ?
Donner le nombre de ses ans. Pareil ! Claude Luçon avec son arrière-petite-fille sur les genoux nous perturbe tant que nous oublions ce qu’il nous dit. Etc…
Zonzon a fait une très grosse faute en vous affirmant qu’il était âgé. Dieu merci, ce n’est même pas vrai ! Il est jeune et bien portant etc.
Terminons par RM qui nous envoie presque quotidiennement des textes de qualité. Eh bien ! nous ne savons rien de lui. Et c’est tant mieux !
4. Une obligation indispensable. Indiquer son sexe. Pour éviter tout malentendu. L’époque est déjà assez compliquée comme ça ! [Emoticône s’esclaffant]
Et c’est ainsi qu’Allah est grand !
Rédigé par : Zonzon | 04 juillet 2018 à 14:27
@ Catherine JACOB | 02 juillet 2018 à 23:50
Concernant les appels anonymes indésirables, il existe maintenant des téléphones permettant de les bloquer, individuellement ou par groupes (tous les numéros commençant pas 04, par exemple).
Il existe également des « Call Blocker » qui permettent, une fois qu’un indésirable vous a téléphoné, de le bloquer pour les appels à venir. J’en ai un, ça marche super bien.
Rédigé par : Achille | 04 juillet 2018 à 09:30
Voici une journée qui ne pouvait pas mieux commencer pour Zonzon. Son récent interlocuteur lui apprend qu’il lui lâche définitivement les baskets. C’est une bonne décision pour lui, pour moi.
Ainsi s’achève une descente aux enfers qui n’intéressait en vérité que les ego de deux personnages sans importance.
A titre de cadeau d’adieu je l’informe gracieusement que je ne me souviens pas « comment il était mon premier post » !
A tchao bonsoir !
Rédigé par : Zonzon | 04 juillet 2018 à 07:56
@ Zonzon de 14:36 le 3 juillet.
"Prendre un juif roumain pour un boche ! Quelle gaffe ! Dur dur ! "
C'est une gaffe mais elle est comique, ça excuse tout.
Ça rappelle la blague sur l'élégance toute britannique d'un gentleman qui déboule par erreur dans le boudoir d'un château où une lady se dénude, il referme la porte aussitôt "oh, excusez-moi Monsieur !"...
Rédigé par : Savonarole | 04 juillet 2018 à 03:58
@ Patrice Charoulet | 03 juillet 2018 à 12:47
1- Pourquoi m'accablez-vous d'un "Cher ami" alors que j'ai refusé d'entrer en contact avec vous suite à votre demande auprès de Madame Bilger ?
2- Je suis en relation avec un commentateur de ce blog qui est lui-même en relation avec vous, il me fait suivre aimablement vos courriels auxquels je ne réponds jamais.
3- Ce "Cher ami" pathétique dont vous m'affublez ressemble à un appel au secours alors que vous vous prenez une volée de bon nombre de commentateurs.
4- Vous fustigez les commentateurs qui écrivent sous pseudonyme jusqu'à demander à PB de l'interdire dans sa charte mais cela ne vous gêne pas de chercher à entrer en contact avec moi.
Le rejet que vous provoquez devrait vous conduire à chercher asile ailleurs.
Rédigé par : Savonarole | 04 juillet 2018 à 03:30
@ Zonzon
Vous ne manquez pas d’air cher courageux anonyme de traiter les autres de sarcastiques. Il était comment votre premier post ?
Ce sera ma dernière réplique vis-à-vis de vous. Vous avez raison, à vous suivre on risque de descendre très bas.
Veuillez agréer, cher Monsieur, l’expression de mon exacte considération.
Rédigé par : Marc GHINSBERG | 04 juillet 2018 à 00:38
@ duvent | 03 juillet 2018 à 10:58
La lucidité de carbone pur à structure tétraédrique.
Rédigé par : Giuseppe | 03 juillet 2018 à 21:54
@ Marc GHINSBERG banquier
A la lourde faute d’insinuer que des personnes sont antisémites vous ajoutez des allusions qui se veulent sarcastiques en usage dans les milieux interlopes.
Jusqu’où allez-vous descendre dans votre prochaine réplique ?
@ Michel Deluré banquier possiblement ni juif ni roumain (le 3 juillet à 18 h 49)
Voici, Monsieur, le « premier souvenir » que j’ai de vous. Il est plutôt bon ! Pour le dire vite je fais mien votre commentaire. D’autant que je ne me sens nullement concerné par sa matière.
Souvent les gens échangent des horions parce qu’en réalité ils ne savent pas faire autre chose. Ou ils vous embringuent dans des labyrinthes dont on n’a que faire. Ou bien ils ont des susceptibilités à fleur de peau qui les amènent à se comporter comme des voyous de banlieue… ou d’ailleurs !
Comme vous je déplore les dérapages de plus en plus fréquents qui polluent les échanges véritables. Que chacun fasse son examen de conscience – pour ceux qui en ont une naturellement.
Parfois ce n’est qu’à contre-cœur qu’on se défend d’attaques insanes !
Je vous souhaite une bonne nuit.
Rédigé par : Zonzon | 03 juillet 2018 à 21:43
@ Catherine JACOB | 02 juillet 2018 à 23:50
Voyons donc !... comme vous le conseille Patrice Charoulet, si vous êtes victime d'appels téléphoniques importuns, "portez plainte"... Les indiscrétions de Patrice Charoulet n'y sont pour rien, lui ne sera jamais responsable.
Passez une demi-journée dans un commissariat à vous faire rabrouer, au milieu des clochards (si tant est qu'on accepte votre plainte, ce qui serait bien étonnant) ; attendez-vous à ce que la Police nationale mette une brigade de 30 personnes pour ratisser la France à la recherche de vos fâcheux ; voyez la justice de notre pays les condamner prestement à 3 ans de prison ferme, pour dissuader quiconque d'en faire autant ; et remerciez Charoulet d'avoir débarrassé le pays de quelques malfaiteurs...
Quelques remarques pour aider à comprendre :
agecanonix | 03 juillet 2018 à 12:24
"En psychiatrie on parle de manipulateur et Patrice Charoulet vous en fait une démonstration brillante, alors qu'il n'était qu'un petit prof."
duvent | 03 juillet 2018 à 10:58
"Voyez ce que moi je conclus de vos écrits : vous êtes souvent flatteur et comme de bien entendu j'en déduis un dessein déplaisant, vous appelez souvent à témoin et cela est une méthode de fourbe, vous utilisez souvent la mise en cause par comparaison et cela est une forme de manipulation, etc."
En fait, nous avons affaire à une espèce de troll particulièrement vicieux, qui non seulement détourne l'espace de commentaires du blog qu'il a décidé de déstabiliser, mais se sert des mails de plusieurs commentateurs en arrière-plan pour concocter ses coups, fouille le Web à la recherche d'informations sur les intervenants, et de surcroît mène ses opérations dans le monde réel.
Un parangon de transparence, comme on peut le constater. Franc comme l'or, clair comme de l'eau de roche, solide comme un chêne : on peut lui faire confiance les yeux fermés.
Au fait, Charoulet, quand faites-vous votre petit numéro d'indignation vis-à-vis d'Aliocha, qui ne me semble pas commenter sous son vrai nom (mais n'étant ni professeur ni spécialiste de la poésie haïtienne, je peux bien sûr me tromper) ?
Quand faites-vous semblant d'être profondément révolté par le fait qu'il ne nous ait ni déclaré sa profession, ni présenté sa femme et ses enfants, ni décliné son âge, ni sa commune de résidence, ni montré sa photographie ? Selon l'extravagante liste d'exigences dont vous m'avez personnellement assommé il y a deux jours ? Et qui s'allonge au fil des mois ?
Je cite Aliocha, mais j'aurais pu en citer dix autres. Je trouve que vos prétendues règles de savoir-vivre sont singulièrement à géométrie variable...
Quant à votre conception de la vérité, les lecteurs de ce blog en jugeront, comme vous dites, en relisant votre récente protestation : "Vous dites à Mary Preud'homme qu'elle 'tient des fiches comme Charoulet'. Les seules fiches que j'ai jamais rédigées étaient des fiches de lecture quand j'étais étudiant en lettres, puis professeur."
Bah oui, c'est manifeste à la vue de la jolie petite fiche de police que vous venez de nous présenter ici même, et qui contient des informations personnelles sur certains commentateurs que même moi j'ignorais. Et qui n'ont rien à voir avec les sujets abordés par Philippe Bilger.
Moi aussi, je regrette le tour que prend la conversation, mais c'est le problème avec les trolls, et plus encore avec un bestiau aussi pervers que celui-là. Soit vous lui laissez carte blanche pour vous calomnier, soit vous le mettez en lumière -- ce qu'il recherche. Et il est un peu facile de se prétendre au-dessus de la mêlée.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 03 juillet 2018 à 21:08
@ duvent | 03 juillet 2018 à 12:21
Et qui cherche duvent, récolte la tempête !
Rédigé par : Achille | 03 juillet 2018 à 20:27
@ Tous, nous qui sommes plus ou moins meurtris
Je présume que nous avons tous nos blessures d'amour-propre, sans parler de plus graves... Comme s'il y avait des barricades mystérieuses entre les êtres, nous ne cessons de nous faire du mal, nous autres humains... Bon, "barricade mystérieuse" peut bien avoir d'autres significations, et elle est de circonstance, non ?
Parce que j'envoie un air que j'aime beaucoup, "Les Barricades mystérieuses" de Couperin, justement, très apaisant, avec un instrument et une interprétation dont je ne me lasse pas.
https://www.youtube.com/watch?v=R2mGjvrGbcE
Rédigé par : Noblejoué | 03 juillet 2018 à 19:03
Allant dans le sens d'Achille (03/07 10:50), je ne peux que regretter que certains intervenants transforment ce blog en une arène dans laquelle ils viennent régler leurs comptes, certains tendant le bâton pour se faire battre, les autres, trop heureux de l'aubaine, le saisissant alors volontiers pour administrer leurs coups.
Nous avons la chance que notre hôte soumette à notre curiosité et à notre réflexion des sujets variés sur lesquels nous pouvons échanger en toute liberté, sans le tamis de la censure de modérateurs intraitables rencontrés sur d'autres blogs.
Alors, plutôt que de s'écharper, prenons du plaisir et retirons du profit à échanger courtoisement en veillant, autant que faire se peut, à ne pas trop s'écarter du chemin proposé par notre hôte.
Rédigé par : Michel Deluré | 03 juillet 2018 à 18:49
@ Lucile
« En France on s'en tenait autrefois strictement au nom. Aux USA, et même en GB, on peut donner une indication du style "Untel, qui aime les voyages (...) »
Au EUA les gens peuvent se présenter en vous disant par exemple : « Salut, je suis Mike, je gagne plus de 10 000$ ».
Rédigé par : Exilé | 03 juillet 2018 à 18:45
@ Zonzon
« Je me garderai bien de plaider ma cause, ce serait m’abaisser. »
Est-ce possible ?
Rédigé par : Marc GHINSBERG | 03 juillet 2018 à 18:00
Vais-je ou non répondre à l’algarade de Robert Marchenoir (le 30/06 à 1 h 43).
Je suis dans l’expectative.
Ceci pour deux raisons.
Parce que je ne suis pas certain que ma réponse intéressera beaucoup de camarades.
Parce que je suis sûr que RM l’attend avec fébrilité ! [Emoticône qui se tape sur les cuisses]
Rédigé par : Zonzon | 03 juillet 2018 à 17:54
@ Patrice Charoulet
"Depuis des siècles, l'usage est le suivant..."
Je serais moins péremptoire que vous.
Je ne lis pas les manuels de savoir-vivre, mais je crois me souvenir que ça ne se fait surtout pas d'indiquer la profession des personnes que l'on présente, en dehors d'une réunion professionnelle. En France on s'en tenait autrefois strictement au nom. Aux USA, et même en GB, on peut donner une indication du style "Untel, qui aime les voyages" ou "Trucmuche, une cinéphile avertie", ou "Tartempion, un ami d'enfance" de façon à les aider à amorcer entre eux un début de conversation. Demander aux gens ce qu'ils font passait à l'époque où l'on m'a enseigné ces subtilités, pour assez grossier ; si l'on tenait vraiment à la savoir, autant le faire le plus vaguement possible, de manière à laisser une porte de sortie honorable à la personne si elle préférait ne pas en parler. Ce n'est pas de l'étiquette, c'est comme le dit Noblejoué, une question de tact, visant à ne pas mettre autrui mal à l'aise.
Mais se présenter soi-même en modèle de savoir-vivre, n'est pas une preuve de savoir-vivre, n'est-ce pas ? Et sur un blog politique, on se demande ce que ça vient faire.
Rédigé par : Lucile | 03 juillet 2018 à 16:30
@ Michelle D-LEROY | 02 juillet 2018 à 20:24
"LR devra s'y adapter ou mourir en se séparant. Wauquiez a plus à faire avec Dupont-Aignan ou Marion Maréchal qu'avec Mme Calmels."
Je souscris complètement à cette assertion. Nous avons des analyses souvent très proches.
@ patriote | 03 juillet 2018 à 14:37
Merci pour votre commentaire qui nous sort des attaques personnelles et ramène le débat au sujet du billet de notre hôte.
Les élucubrations sur l'usage des pseudos ou des patronymes sont une perte de temps et d'espace, font à mon grand regret dériver le sens du commentaire vers des invectives personnelles et des hors-sujet que je considère comme préjudiciables au fond du débat et constituent une absolue incorrection et impolitesse à l'égard de Madame et Monsieur Bilger.
Je n'ai guère le goût de l'invective personnelle sauf lorsque l'on me provoque de manière indue comme l'a fait précédemment notre "commissaire politique" auto-chargé de veiller à la bien-pensance des commentatrices et des commentateurs. A qui j'ai définitivement décidé de ne plus répondre.
Rédigé par : Robert | 03 juillet 2018 à 15:58
Superbe cérémonie et magnifique discours (...)
A chaque fois que Philippe Bilger vient nous faire part du nirvana dans lequel il baigne au sortir d'une intense séance de propagande télévisuelle englobant éventuellement un discours, je ne puis réprimer une pointe d'inquiétude.
N'ayant rien vu de la retransmission de la panthéonnade, j'ignorais que le discours en question a été lu ou dit par M.Macron.
https://www.ouest-france.fr/politique/simone-veil/simone-veil-au-pantheon-discours-d-emmanuel-macron-votre-oeuvre-fut-grande-madame-5857483
Sur la forme, nous n'allons pas ergoter : elle reste dans le style du genre où l'emphase frise parfois le ridicule, mais nous en avons l'habitude depuis 1789.
Sur le fond, il y a de quoi tiquer.
Quelques exemples :
« Comme René Cassin, Simone Veil s’est battue pour la justice. En 1948, Cassin avait fait ratifier par l’assemblée générale des Nations unies la Déclaration universelle des droits de l’Homme. »
Comme l'a rappelé récemment Mary Preud'homme, cette déclaration mentionne de façon explicite la protection de l'enfant à naître, donc son droit à la vie.
En ce sens, le fait que monsieur Macron - supposé infiniment cultivé- vienne ici mettre en avant une déclaration que le régime qu'il représente bafoue allégrement ne peut que relever du cynisme le plus scandaleux qui soit.
« Ce défi est le nôtre, celui de la jeunesse de France et d’Europe, alors que les vents mauvais à nouveau se lèvent. »
Mais qui sont ceux qui sèment ces vents, en attendant de récolter la tempête, sinon M.Macron et ses alter ego, qui méprisent les nations européennes et qui leur imposent ce qu'elles rejettent avec force ?
« Elle se leva contre ceux qui dressaient le portrait d’une France gagnée par les délires antisémites d’Hitler, de Pétain et de Laval (...)
N'est-il pas un tantinet exagéré de placer Hitler et Pétain sur le même plan, sans pour autant chercher à absoudre ce dernier de ce qu'il a pu couvrir ?
Monsieur Macron, si cultivé, n'ignore probablement pas que Philippe Pétain a été jugé et condamné et qu'alors même les plus virulents de ses adversaires n'ont pas évoqué le chef d'accusation d'antisémitisme.
Alors pourquoi en rajouter, sinon pour profiter de ce qui est en principe un hommage à deux nouveaux pensionnaires du Panthéon pour détourner des événements désormais anciens à des fins de basse politique, en usant et en abusant de parallèles aussi simplistes que déplacés ?
Est-ce le rôle de quelqu'un qui est en principe un chef d’État d'attiser et d’entretenir des haines ?
Rédigé par : Exilé | 03 juillet 2018 à 15:02
@ Savonarole | 03 juillet 2018 à 00:20 @ Catherine JACOB | 02 juillet 2018 à 23:50
"Tout à fait d'accord, ce Charoulet devient insupportable avec ses coloscopies sur tout le monde.
J'ai l'impression qu'il est à l'aube du crépuscule…"
Bon ceci dit je vous fais part des dernières investigations en la matière, d'un éminent confrère.
https://youtu.be/4AB-l1J2pSE
Rédigé par : Giuseppe | 03 juillet 2018 à 15:01
Prendre un juif roumain pour un boche ! Quelle gaffe ! Dur dur ! Ceci étant je ne m’excuserai pas. Ceci pour trois raisons.
1. La faute incombe à Patrice Charoulet, lequel n’a pas spécifié ce « détail » !
2. Les blogueurs de ce lieu ne s’excusent jamais, même quand ils infligent des blessures immarcescibles.
3. Vous êtes vous-même en faute – une lourde faute – en faisant accroire que je serais antisémite.
Je me garderai bien de plaider ma cause, ce serait m’abaisser. D’autant que j’ai été assez raillé ici pour mon « éjection » supposée de Rioufolnamo, laquelle tenait en partie à la défense de la judéité ainsi qu’à mes railleries à l’encontre de l’antisémite JMLP !
Toutefois vous me restez antipathique mais pour la seule raison de votre profession ridicule.
Rédigé par : Zonzon | 03 juillet 2018 à 14:46
@ Exilé | 02 juillet 2018 à 17:14
Je recopie l'extrait du livre de Pierre Simon "De la vie avant toute chose" que vous avez cité :
« Depuis quarante ans, le combat que nous menons a toujours été le même : contraception, libération des comportements sexuels, avortement, homosexualité et euthanasie.
Nous avions l'appui d'une grande fraternelle parlementaire souhaitant arracher l'homme à l'obscurantisme multi-séculaire et le faire descendre du ciel à la terre. »
(…)
« Nous voulons détruire la civilisation judéo-chrétienne. Pour la détruire, nous devons détruire la famille. Pour détruire la famille, nous devons l’attaquer dans son maillon le plus faible : l’enfant […] Nous sommes conscients que ce combat n’est pas seulement technique, mais philosophique. La vie comme matériau, tel est le principe de notre lutte. La révision du concept de vie transformera la société dans son intégralité ».
(De la vie avant toute chose, Ed. Mazarine, 1979)
Il faut que tous connaissent ce texte diabolique qui résume le combat qui a été mené pour détruire la civilisation européenne depuis maintenant cinquante ans, cette guerre a été menée par des sectes et se poursuit toujours en France avec à sa tête Macron, fils du diable maçonnique, et des parlementaires européens et nationaux obéissants et grassement payés pour détruire nos bases nationales.
@ Robert | 02 juillet 2018 à 12:18 et à 17:58
Vous nous faites deux superbes exposés sur la politique actuelle et sur l'Europe :
"C’est aussi au tournant des années 73-74 que la Communauté européenne va prendre discrètement le virage post-national qui conduira à l’affaiblissement des démocraties des Etats-membres au profit de la jeune Commission européenne et à l’ouverture progressive des frontières jusqu’à l’abandon de la préférence communautaire et le passage au libre-échange mondial."
Merci pour votre contribution qui nous rappelle l'essentiel de l'origine de notre déclin voulu et organisé par les ennemis de nos nations européennes.
Rédigé par : patriote | 03 juillet 2018 à 14:37
Si je suis les commentaires du blog, j'ai l'impression que Patrice Charoulet tombe sur le coup de la nouvelle loi de Schiappa.
Ceci étant, bien que n'étant pas un de ses grands admirateurs il a un peu raison sur certains points, notamment les présentations ; sauf qu'ici on n'est pas dans un dîner ou à un vernissage, bien que chaque intervenant vienne picorer la nourriture qui lui va.
Pour se faire des contacts, je lui recommanderais non Meetic dont il parle, mais Chatroulette.
Rédigé par : stephane | 03 juillet 2018 à 14:19
@ Tipaza
« Vous confondez, ce que ne font pas les lépreux populistes, la souveraineté, la liberté, l'indépendance avec l'influence. »
Il n’y a pas de souveraineté réelle lorsque vous êtes soumis à l’influence des autres. Il n’y a pas de souveraineté lorsque les règles du jeu mondiales sont fixées par les autres et que vous n’avez pas votre mot à dire, vous n’avez pas la souveraineté lorsque vous êtes sous la domination économique des puissants, vous n’avez pas la souveraineté lorsque vous n’avez plus les moyens de financer seul les investissements militaires nécessaires à une défense effective de votre territoire.
J’ai beaucoup de tendresse pour Astérix et les irréductibles Gaulois. Mais eux ils avaient la potion magique, vous non.
@ Zonzon
« Marc GHINSBERG, banquier d’origine germanique. Doublement antipathique ! »
Non pas d’origine germanique, d’origine juif roumain pour vous être sans doute encore plus antipathique…
Rédigé par : Marc GHINSBERG | 03 juillet 2018 à 13:37
@ duvent
Heureux en ménage, ayant plusieurs très bons amis en chair et en os, ne souffrant d'aucune insomnie, ayant une analyse de sang annuelle excellente, n'ayant jamais mal à la tête, ne prenant aucune drogue, ne fumant pas, ne buvant pas d'alcool, je ne recherche aucune amie écrivant sur ce blog, qui n'est pas Meetic, si je ne m'abuse.
J'ai demandé, par l'entremise de notre aimable modératrice, le mail de Catherine Jacob pour converser avec elle d'un livre qu'elle avait cité, ne voulant pas ennuyer les autres commentateurs avec des propos qui n'auraient intéressé personne.
Elle ne l'a pas voulu. Libre à elle. Je ne lui en veux nullement. Chacun ses principes.
@ Aliocha et Mary Preud'homme
Grand merci de vos aimables propos.
@ Catherine JACOB
Je saisis l'occasion pour vous assurer de tout mon respect pour votre immense culture littéraire, philosophique...
Il faudrait être arrivé matin sur ce blog pour ignorer votre ville et les cours de japonais que vous y donnez. Cela a été dit vingt fois par vous et par d'autres (consultez les archives du blog).
Que mes propos récents aient pu donner envie - il est bien influençable ! - à un amoureux de ce blog de vous téléphoner (est-ce cela que vous appelez « indésirable » ?), qu'y puis-je ? Moi, je n'aurais pas l'idée saugrenue de le faire, sauf si j'habitais dans votre ville et que je voulais apprendre la langue que vous enseignez. Par conséquent, le qualificatif dont vous me gratifiez me paraît quelque peu inapproprié. Si vous êtes victime de corbeaux, portez plainte.
@ Noblejoué
RM ayant affirmé que seules deux personnes ici avaient indiqué leur vrai nom et leur métier, j'ai simplement voulu lui citer une quinzaine de personnes (et j'en oublie beaucoup, à mon avis) qui infirment son allégation. En le faisant, j'ai félicité ces personnes. Bref, je n'ai rien dit ce coup-ci à l'encontre des gens à pseudonyme. Vos longues réflexions, dont je vous remercie, n'étaient donc pas en relation avec mes éloges du moment.
@ Savonarole
Cher ami,
Il m'arrive de vous dire quelques mots, en privé, grâce à l'obligeante entremise d'un ami commun.
Cette fois, laissez-moi vous répondre directement. Le problème que vous soulevez me semblant avoir une portée plus générale que d'autres fois.
Quand vous êtes dans un train en face d'une dame seule portant une burqa, avez-vous envie de commencer une conversation politique, philosophique, littéraire, historique avec elle ? Moi non.
Dans la « vraie vie » je ne parle pas à des gens que je ne connais pas, qui ne se sont pas présentés ou ou que l'on ne m'a pas présentés. Depuis des siècles, l'usage est le suivant. Un ami flanqué d'un ami dit à une personne qui arrive : « Je vous présente Jacques Petit, avocat » ou « Permets-moi de te présenter Pierre Legros, pharmacien. » Les trois personnes peuvent alors converser.
Vous appelez ça « coloscopie ». Est-ce bien sérieux et convenable ? On se présente, avant de parler.
Dans ses Entretiens, Philippe Bilger commence chaque dialogue par : « Pouvez-vous vous présenter ? ». Il a raison.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 03 juillet 2018 à 12:47
@ Achille 03/07 11h40
Je ne peux que vous rejoindre ; les logodiarrhées enfantines et polémiques de Marchenoir, Noblejoué, Charoulet sont de plus en plus exaspérantes.
Dieu merci, j'ai toujours plaisir à lire ma compatriote Breizmabro, que je salue au passage (mad en traou genoc'h ?).
Rédigé par : Claggart | 03 juillet 2018 à 12:31
En psychiatrie on parle de manipulateur et Patrice Charoulet vous en fait une démonstration brillante, alors qu'il n'était qu'un petit prof. Pour mieux vous faire comprendre comment se passe une manipulation collective, regardez cette histoire dévoilée par le journaliste Michel Collon :
https://www.investigaction.net/fr/
De nos jours et surtout depuis l'arrivée au pouvoir de Macron la manipulation va bon train et nous allons tous être lobotomisés.
Pour l'heure nous vivons des démonstrations :
- le grimpeur de balcons,
- la folie élyséenne de la fête de la musique,
- les dons extraordinaires d'un joueur de foot,
Tous ont des liens communs.
De plus la presse et les blogs sont tous sous haute surveillance.
Napoléon s'est échappé de son asile et nous ne savons plus qui se cache derrière l'autre !
Rédigé par : agecanonix | 03 juillet 2018 à 12:24
@ Achille
"N'est pas Savonarole qui veut !"
N'est pas Nestor qui veut !
Rédigé par : duvent | 03 juillet 2018 à 12:21
@ Ange LERUAS
"Vous reste donc, à vous blogueurs, de continuer à faire reculer la ligne fatale vers où les apparences vous mènent ou prendre le chemin de la réalité qui doit nous mener à plus d'équité dans nos productions et nos consommations.
La finalité de chacun de nous n'est-elle pas de satisfaire ses besoins matériels ou ludiques en biens ou services produits par les uns et consommés par les autres ?"
Mais pas du tout et je dirais même mieux, pas du tout !!
Les blogueurs, les jet-setteurs, les tendanceurs, savez-vous monsieur, ce que c'est que cette masse informe, infecte et inconsistante sur laquelle vous êtes venu déposer votre vœu ?
Ce n'est rien ! Et cette fiction a très vite fait de chavirer...
Contrairement à ce qui est colporté, la fin des fins n'est pas encore à l'horizon, les chevaliers de l'apocalypse attendent, car il reste encore dans le quotidien trivial des hommes, qui ne répondent pas aux appels et qui font comme le père tranquille ce qui doit être fait. Allons-nous organiser un petit rassemblement de façon à ce que le feu sacré ne s'éteigne pas ?
Parce qu'il semble que les rassemblements rassemblent, l'écume.
Aura popularis...
Rédigé par : duvent | 03 juillet 2018 à 12:09
@ Marc GHINSBERG | 02 juillet 2018 à 17:00
"Qu’à l’heure des Etats continents, pour que la France retrouve sa souveraineté, il suffit qu’elle sorte de l’Europe, alors que seule elle ne pèse rien.
Les populistes ignorent la complexité des choses, ils confondent apparences et réel, corrélation et causalité. "
Nous n'avons jamais été d'accord et c'est ce qui fait que je vous lis avec plaisir, pointant vos raccourcis, vos approximations et votre parti pris erroné.
Vous confondez, ce que ne font pas les lépreux populistes, la souveraineté, la liberté, l'indépendance avec l'influence.
Être libre, décider seul des décisions à prendre bonnes ou mauvaises et ne subir aucune loi venant de l'étranger, de l'extérieur, mais c'est l'idéal démocratique par définition. Cela s'appelle le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, c'est même sur ce principe que sont nées les nations après la Révolution française.
Un peuple souverain qui décide des orientations et confie à ses dirigeants la mise en application.
Où voyez-vous que Bruxelles et la commission technocratique soient démocratiques, lorsque les référendums qui refusent les pertes de souveraineté sont bafoués ?
L'influence sur les affaires du monde c'est un autre débat que les fédéralistes confondent avec une mauvaise foi totale avec la souveraineté.
Pour le reste, la confusion entre corrélation et causalité, ce sont les mondialistes qui nous chantent cette chanson. Aucune confusion de notre part, nous constatons des faits et nous en tirons des conclusions.
Puisque Manu nous a parlé aimablement de la lèpre, je parlerai de la peste, celle qui au Moyen Âge a ravagé l'Europe. Elle fut le résultat de l'arrivée des rats qui étaient sur des bateaux venant du Moyen-Orient. Les rats étaient porteurs du virus, ils en étaient les vecteurs, si la maladie elle-même est le résultat de l'action du virus.
Corrélation est la constatation de l'existence du vecteur et causalité celle de l'existence du virus.
Les immigrés sont un vecteur d'affaiblissement de nos sociétés que l'idéologie socialiste a mises à mal.
Rédigé par : Tipaza | 03 juillet 2018 à 11:55
Ce blog a de plus en plus tendance à devenir un forum dans lequel des intervenants s’écartent du thème du billet (on se demande même si certains le lisent) pour s’invectiver en permanence, obligeant les autres commentateurs à supporter leurs diatribes.
Certes cela met un peu d’ambiance dans la chambrée. Certaines répliques particulièrement décapantes sont savoureuses. D’autres sont franchement médiocres et ne font pas honneur à leurs auteurs. Après tout chacun son style et manifestement certains ne jouent pas dans la même catégorie.
N'est pas Savonarole qui veut !
Rédigé par : Achille | 03 juillet 2018 à 11:40
TENTATIVE DE DESCRIPTION D’UN DINER DE TÊTES
Claude Luçon aurait traîné ses guêtres un peu partout ! Whouah ! C’est surtout un charmant arrière-grand-père dont les remarques sont souvent malicieuses et enrichissantes. Il s’adresse à Zonzon comme si celui-ci était un être honorable ! C’est beaucoup d’honneur !
Marc GHINSBERG, banquier d’origine germanique. Doublement antipathique !
Michel Deluré, autre banquier. Aucun souvenir !
Mary P, c’est d’abord Mary P, un nom authentique. C’est une femme. Elle écrit ! Sur tout ou à peu près tout ! En quelque sorte c’est une femme savante ! On n’ignore rien d’elle. Sauf son louque. Elle serait bien aimable si elle voulait nous publier sa photo, ça aiderait !
Françoise et Karell Semtob. Voir leur blog !
Philippe Dubois, vétérinaire aux armées ! No comment.
Antoine Marquet, Lt-Col Légionnaire. Mes respects mon Colonel !
Franck Boizard a un blog et un vrai nom. Il semblerait qu’il ait disparu. C’est dommage, il était toujours enrichissant.
Ahmed Berkani, né Ahmed Berkani, cf. son blog de bon aloi !
Julien Weinzaepflen, un vieux camarade. Nous recommandons son blog : Etudes Torrentielles. Etonnant !
Véronique Raffeneau, Anne-Valérie Pinet et Xavier Nebout. Ce ne sont pas des pseudos !
Sbriglia, avocat accordéonophile, un pseudo !
Genau est un magistrat. Passons !
Philippe Bilger, limpide, transparent. Son épouse est merveilleuse, bien qu’elle laisse passer le mot « cul » à RM et qu’elle n’accorde que « c*l » à Zonzon.
Et tout ça pour faire un monde !
Rédigé par : Zonzon | 03 juillet 2018 à 11:32
@ Marchenoir
"@ Patrice Charoulet | 02 juillet 2018 à 22:26
Comment peut-on être aussi con ?"
Eh bien ! On pourrait vous retourner le compliment, non ?!
Par ailleurs, vous qui êtes un expert en questions multiples et variées, il me semble que la réponse est près de vous, très près... Déduisez ! Analysez ! Soustrayez ! Addictionnez ! Capitalisez ! Concluez ! Et à la fin encaissez !! J'espère que vous n'allez pas encore vous plaindre.
Vous semblez vouloir un monde sans "c..." et cela est particulièrement "c..." !!
Xanthippe est acariâtre ce qui donne un excellent goût au poison...
Nobody's perfect, but...
Rédigé par : duvent | 03 juillet 2018 à 11:22
Quoi !! Que lis-je sous la plume de Mme Jacob ?
Eh bien, je lis ceci : "Et surtout quand les gens vous ont à diverses reprises signifié qu'ils ne le souhaitaient pas et enfin quand on a clairement dit NON à toute correspondance avec vous en marge de ce blog..."
Les yeux m'en tombent... M. Charoulet que je croyais amateur de dictionnaires est collecteur d'informations personnelles dont l'usage me laisse rêveuse, mais l'étonnant est cette étrange volonté d'entrer en contact soutenu comme nous l'explique madame Jacob.
Dès lors, je m'interroge sur un éventuel mail sur ma boîte sachant que je ne la consulte pas, n'ayant pas conservé le mot de passe ni l'adresse de récupération dudit mot de passe, ce dont je me félicite car j'avoue avoir en horreur les impudents...
M. Charoulet pourquoi donc n'écoutez-vous pas les conseils avisés de Mme Preud'homme ?
Mais puisque votre curiosité vous rend malpoli, je vous dirai que le peu que vous savez de moi, par exemple, est trop, beaucoup trop...
Puis, que si vous croyez, par exemple, que vous pourriez vous lier d'amitié via un blog c'est que vous manquez singulièrement de jugement.
En effet, il reste dans l'esprit des personnes sensées assez de mesure et de pondération, pour ne pas aller se fourvoyer et se perdre dans les chemins incertains du web, lequel recèlerait des trésors d'amitiés en jachère ou au contraire, et cela est plus certain, des trésors de haine à déverser.
Pourquoi donc ne savez-vous pas vous contenter de ce qui vous est donné, vous pourriez par raisonnement en tirer des conclusions suffisantes.
Voyez ce que moi je conclus de vos écrits : vous êtes souvent flatteur et comme de bien entendu j'en déduis un dessein déplaisant, vous appelez souvent à témoin et cela est une méthode de fourbe, vous utilisez souvent la mise en cause par comparaison et cela est une forme de manipulation, etc.
Cependant, vous avez réussi à exaspérer Marchenoir et pour cela il vous sera beaucoup pardonné, car Marchenoir est ici le Minotaure et si vous ne disposez pas d'un fil pour retourner sur vos pas il vous en cuira !
Rédigé par : duvent | 03 juillet 2018 à 10:58