Comme on entend et qu'on lit peu Xavier Bertrand (XB), le président de la région des Hauts-de-France, les portraits qui lui sont consacrés et qui rapportent beaucoup de ses propos, dans la quotidienneté d'une vie politique intense, ont d'autant plus de prix, surtout quand ils sont de qualité comme celui de Marion Mourgue (Le Figaro).
Il est clair que XB a déserté la modestie ostensible qui lui servait de paravent et anticipait les moqueries de ceux, peu clairvoyants, qui doutaient de son destin parce qu'il était, paraît-il, un petit assureur de province.
Cette retenue purement tactique a été longtemps la sienne quand, se campant comme adversaire déterminé des jeux partisans traditionnels, il a fui les médias et s'est affirmé comme le défenseur de sa région à la tête de laquelle il avait été élu avec le concours de la gauche contre le FN alors battu largement au second tour.
Je n'ai pas forcément apprécié la manière dont il a exploité cette victoire en s'acharnant systématiquement contre l'extrémisme de droite, donnant parfois l'impression qu'il jetait ses électeurs en même temps que son appareil officiel. Même s'il a été imité par Christian Estrosi dans cette voie, il avait trop de talent et de pensée pour y demeurer enkysté comme ce dernier.
Ensuite il y a eu le temps du "faiseux" qu'il opposait aux "diseux" avec une multitude de démarches, d'actions, d'interventions, d'impatiences, de colères et de volontarisme qui, tous, n'avaient pour seule finalité que de créer de l'emploi, de faire sortir du chômage et de susciter un nouvel élan dans une région qui se sentait abandonnée, presque désespérée.
Prise en charge sur un mode qui lui a redonné confiance en elle-même parce que celui qui la préside a confiance en elle, elle semble donner des signes de redressement. Rien n'est gagné mais il y a du mieux. On avance.
Est-ce que, fort de cette embellie globale et d'un bilan déjà consistant, XB considère que le moment est venu pour s'avancer plus nettement, plus avant dans le débat national ? Sans doute.
En tout cas il est clair qu'il a changé de braquet et de registre.
D'abord non seulement il est passé de "Macron compatible" à "Macron divergent" mais la dureté de son verbe et de ses critiques ne manque pas d'étonner. A l'évidence il ne retient plus ses coups, aussi bien quand il dénonce les erreurs de cette première année que lorsqu'il pourfend l'indifférence à l'égard des "milieux de cordée" ou qu'il stigmatise "ce pays gouverné à deux, Macron-Kohler, Kohler-Macron".
Au-delà de ces charges qui, somme toute, sans être banales, ne le distingueraient pas des opposants classiques de droite, il développe une analyse intéressante sur l'exigence du rassemblement. "Le vrai danger pour la droite, ce n'est pas le rétrécissement mais l'isolement...Quand vous ne pouvez plus nouer la moindre alliance si ce n'est à la droite de la droite, c'est terminé. Vous n'êtes plus un parti de gouvernement. Et c'est ce qui est clairement posé maintenant".
Avec le RN d'aujourd'hui qui refuse l'alliance en même temps que les LR s'en offusqueraient, le point de vue de XB est pertinent et ne s'inscrit absolument pas dans la perspective même lointaine d'une union des droites.
XB dévoile son jeu et son je qui dépassent la pure ambition régionale, avec quelque énergie qu'il la serve, en énonçant quasiment un programme présidentiel fondé sur quatre axes : un Etat efficace sur le plan régalien, un Etat stratège en matière économique et industrielle, un Etat garant sur la santé et la protection sociale et, enfin, un Etat partenaire des entreprises et des collectivités locales.
Si tout est pesé, tout n'est pas forcément neuf dans ces lignes directrices. L'important est que pour la première fois XB les énonce et qu'elles n'ont pas seulement pour vocation de "booster" les Hauts-de-France mais la France, le moment venu.
Depuis longtemps, on ne rit plus de XB. Le "petit chose", depuis des lustres, a fait sa mue. Il n'est plus seulement ce pragmatique s'efforçant de fuir les idées générales et les concepts abstraits. Il ne parvient plus à se cacher derrière son apparente discrétion. Sa région est un socle, son terreau, sa chance et sa preuve. Toujours faiseux certes mais plus seulement. Il va falloir compter avec lui demain à droite mais sa droite ne sera "ni revancharde ni caricaturale ni agressive".
Selon lui les Français auront la responsabilité de décider qui aura à incarner les solutions pour redresser le pays. Il ne décline pas l'honneur d'être celui-là.
Si tout le monde ne croit pas en lui, pour lui c'est fait.
Si je ne me trompe c'est une déclaration de candidature mais sans date.
@ Giuseppe | 11 juillet 2018 à 22:19
Ah non, je ne me permettrais pas ; mais vous, vous êtes le bienvenu, naturellement.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 12 juillet 2018 à 02:46
@ Robert Marchenoir | 09 juillet 2018 à 16:34
Bob - je me permets - je trouve votre réponse royale, si parfois vous me déroutez, me faites hérisser le poil, me mettez mal à l'aise, d'autres fois vous tutoyez les anges.
Rédigé par : Giuseppe | 11 juillet 2018 à 22:19
@ Ange LERUAS | 09 juillet 2018 à 09:56
En tant qu'inventeur d'une nouvelle théorie économique injustement méconnue, il est clair que personne ici n'est un interlocuteur digne de vous, et moi moins que les autres.
Aussi, je vous conseille de soumettre vos réflexions à des gens réellement compétents. Nous avons la joie, nous Français, de connaître un prix Nobel d'économie parmi les nôtres. Pourquoi ne lui adressez-vous pas les reproches que vous me faites ? Une conversation bien plus fructueuse pourra s'ensuivre, et, qui sait, vos mérites seront peut-être enfin reconnus à leur juste valeur.
Le mail du professeur Jean Tirole est public :
https://www.tse-fr.eu/people/jean-tirole
Il a aussi une page Facebook, sur laquelle vous pourrez poster les révélations exclusives dont vous nous honorez, et qui hélas, ici, tombent dans l'oreille d'abrutis doublés d'ignorants :
https://fr-fr.facebook.com/Jean-Tirole-149427952133/
N'hésitez pas à revenir nous faire part du succès de vos travaux.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 09 juillet 2018 à 16:34
@ Robert Marchenoir | 08 juillet 2018 à 18:13
Ainsi donc vous considérez comme sottises insensés :
- que nos besoins en biens et services sont produits par les autres.
- que nos consommations nationales sont nos productions nationales non exportées plus les importations en remplacement des exportations.
- que ces consommations nationales se partagent à la fois à 100 % entre actifs et inactifs et à 100 % suivant trois usages, familial, mutuel, collectif.
- que la monnaie a une fonction de circulation quand elle circule en parallèle de changement de mains, des productions ou des patrimoines, dans une nation ou entre nations.
- que la monnaie (spécifiquement dans une nation) a une fonction de partage de nos consommations nationales (nos productions nationales non exportées et les importations en remplacement des exportations) quand les productions deviennent des consommations.
- que toutes les valeurs qui composent le prix des choses se décomposent en rétributions d'actifs, attribution à des inactifs ou contributions pour des dépenses mutuelles ou des dépenses collectives.
Et ces réalités deviennent sottises insensées et galimatias sans queue ni tête seulement parce que vous n'arrivez pas à démontrer le contraire ?
En réalité vous refusez les réalités pour les remplacer par vos préjugés tel que les salariés payent des charges ou le patronat paye des charges alors que ces charges incluses dans le prix des choses sont payées à 100 % par les consommateurs et se partagent en rétributions d'actifs, attribution à des inactifs ou contributions pour des dépenses mutuelles ou des dépenses collectives.
Vous vous dites libéral et non adepte de la lutte des classes qui elle pourtant répond parfaitement à la définition de libéral : Qui est généreux, qui donne avec largesse.
Certes c'est une définition littéraire, mais accepter charges patronales, charges salariales, impôts sur le revenu, c'est accepter notre économie issue de cette idéologie.
Pour ce qui est du libéralisme économique : l'important c'est de libérer les entreprises de l'emprise de l’État lesquelles entreprises ne doivent pas intervenir pour tout ce qui relève des triturations de 'droits acquis, chômage, maladie, retraites, taxes, impôts, qui se traduisent par donner des attributions à des inactifs ou à rechercher des recettes pour des usages mutuels ou des usages collectifs, de nos consommations nationales qu'en partie seulement produites par nos entreprises.
Les entreprises n'ayant qu'à veiller que les rétributions des actifs physiques intellectuels financiers se fassent avec équité et de répercuter (organisme collecteur) sur le prix des choses une ''TVA'' capable de donner des rétributions aux inactifs suivant un principe décidé entre actifs et inactifs puisque chacun est dans sa vie l'un et l'autre. Et c'est là que prend toute son importance la différenciation entre la fonction de la monnaie dite de "circulation de productions'' (limité aux rétributions) dans la nation et entre nation et la fonction dite de "partage des consommations'' applicable spécifiquement à la nation qui décide souverainement du rapport des consommations nationales destinées aux actifs d'une part et aux inactifs d'autre part.
Accessoirement l'entreprise peut aussi être par prélèvement à la source sur les revenus (attributions + rétribution) un organisme collecteur pour nos dépenses mutualisés ou collectivisés.
Cet ensemble de dispositions (libérales) où l'entreprise n'a qu'à se soucier des besoins que la population en libérant les entreprises du carcan des droits acquis et rend l'individu responsable de devoir et non de droit : comme devoir produire autant pour les autres que les autres produisent pour lui, ou produire dans sa vie active autant que ce qu'il consommera dans sa vie d'activité et d'inactivité n'est-ce pas un principe libéral et non communiste comme vous le prétendez ?
Votre libéralisme à vous c'est vouloir améliorer l'économie issue d'une idéologie qui admet de faire payer, avec le prix des exportations nos droits acquis et de fait rend nos exportations sans compétitivité, et les importations compétitives, pour forcer à délocaliser à l'optimisation fiscale, et la création de chômage ce qui implique le déficit du budget, la dette, et nous force à consommer au-dessus de nos moyens en nous demandant d'être incivil et ne jamais rendre aux nations qui produisent nos surplus de consommation l'équivalent de ce surplus.
Mon libéralisme c'est remplacer l'idéologie par les réalités de notre vie en société nationale qui permet de ne plus avoir besoin d'optimisation fiscale, de délocalisation en sachant différencier la fonction monnaie circulation (HT rationalisé) de la fonction monnaie partage (TTC rationalisé) où tout le lexique de l'idéologie de la lutte des classe se réduit à attribution, rétribution et contribution aux dépenses mutualisées et aux dépenses collectivisées.
Ne sont sottises insensées, à votre insu, que vos préjugés servant de matières à juger les autres. ''Le plus grand progrès de l'humanité viendra quand l'un pensera que l'autre à PEUT-ÊTRE raison'' (Prigogine).
N'est que galimatias sans queue ni tête ce que notre idéologie de préjugés qui vous empêche de réfléchir ne peut comprendre.
Mais j'en suis certain vous êtes capable d'efforts pour sortir de votre déni de la réalité et vous arriverez à la comprendre.
Rédigé par : Ange LERUAS | 09 juillet 2018 à 09:56
@ Mary Preud'homme | 08 juillet 2018 à 17:15
Ce n'est pas faux et n'est pas que pour une personne, mais passons. Il faudrait vaincre ou mourir. Mais les duels n'existent plus et les méthodes de suicide comme les armes sont inaccessibles, et avant d'être prisonniers des insulteurs, nous le sommes de la vie comme de la mort.
Alors un peu plus un peu moins ! Et puis... Je ne crois guère à la morale de ce type, ceux qui y croient pensent qu'ils auront un paradis, moi le feu, ou les vers, enfin, le néant, je crois que c'est ce qui nous attend si les miens font tout pour rédimer le monde.
Un néant égal à ceux qui font la morale à un enfant quand il se défend en cours de récréation, égal à ceux qui font la morale aux opprimés se vengeant de leurs oppresseurs quand ils ne les ont aidés en rien, égal à un lyncheur tombé sous la griffe d'une victime qui lui tord le bras et qui lui demande grâce, égal à un magistrat qui ferait la morale à un condamné qu'il a enfermé car mieux vaut une injustice qu'un désordre.
Je dois continuer ? Il y a des gens qui, je trouve, n'ont aucun droit de faire la morale puisque injustes, et surtout, bien évidemment, aux victimes de leurs injustices.
Disons qu'il y a des gens dont je trouve l'autorité morale non point supérieure à la mienne mais extrêmement inférieure. Je ne vais pas me rallier à leurs dires, ni même y contredire, je laisse de côté comme on évite de marcher sur les déjections canines.
Pour toutes ces raisons, le pardon n'est pas pour moi... Mais ne plus penser aux offenses, et d'ailleurs au passé, ce sera assez difficile comme ça. Bien trop, en fait... Mais je le dois à ma confidente et à mes ambitions, enfin, leur reliquat.
Si je suis coupable, c'est d'être une telle loque, quand j'ai ces deux réalités en tête. Pas d'impatience, on arrive au sommet avec de la patience... Que ma confidente m'ait dit ça m'a tant ému ! D'accord, elle le pense de beaucoup de monde et ne conditionne pas son estime à l’Everest, mais enfin, qu'elle prenne le relais de croire en moi à ma place si elle m'y rééduque me touche au point d'avoir l'impression d'être en vie avec elle. Si j'y étais toujours, je n'aurais plus de ressentiment envers personne parce que je resterais dans sa lumière, mais enfin, le courage n'est pas en option si elle enveloppe tout d'une grâce espiègle qui n'appartient qu'à elle.
Si vous voulez vraiment mon bien, souhaitez-m'en et de la réussite, ce serait formidable pour moi et entièrement grâce à elle. Du premier au dernier pas, en haute montagne, on doit tout à son guide.
Et souhaitez-lui une meilleure santé, que je n'oublie pas celle qui n'oublie jamais aucun de ses amis !
Rédigé par : Noblejoué | 08 juillet 2018 à 19:53
@ Ange LERUAS | 08 juillet 2018 à 11:41
"Ce que j'attends de la critique c'est qu'elle démontre que mes idées sont fausses."
N'appelez pas idées ce qui n'est qu'un galimatias sans queue ni tête. Vous vous livrez à cette escroquerie intellectuelle des hurluberlus et des désinformateurs de tout poil, qui consiste : a) à dire les sottises les plus insensées, b) à défier les autres de prouver qu'elles sont fausses.
C'est à vous de commencer par produire des propos à peu près cohérents et pertinents, si vous prétendez intéresser autrui.
Pour montrer que vous ne comprenez rien à rien, je me contenterai d'attirer l'attention sur cette phrase, que vous croyez intelligent de m'opposer :
"J'attends donc toujours de vous les arguments qui diraient que la théorie économique voulue par l'idéologie de la lutte des classes qui ne donnent pas satisfaction (?), doit être conservée et est préférable à toute autre théorie en particulier celle que j'expose."
Où avez-vous vu que je défendais la lutte des classes ? Je suis libéral ; vous savez ce que ça veut dire ?
Le fait que vous pensiez pouvoir "exposer une théorie économique" (la vôtre, celle que vous auriez inventée !...) en un commentaire de blog montre assez le caractère insensé de vos propos.
Pourquoi ne pas cultiver des rosiers ? Prendre un chien ? Aider à ranger les livres dans la bibliothèque municipale ? Toutes activités bien plus fructueuses...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 08 juillet 2018 à 18:13
@ Savonarole | 07 juillet 2018 à 21:52
"Stupéfiantes lectures des liens. On n'est pas près de lire cela dans la France de Laurent Joffrin. Ce blog fait l'objet d'une censure permanente, comme vous le mentionnez."
Eh oui... Au passage, voilà un homme qui consulte les liens. Avant d'en discuter éventuellement le contenu, ce n'est pas la question... D'autre se contentent de brandir des adjectifs, et de coller des étiquettes. De celles qui vous signalent à l'attention des autorités...
La censure dont a été victime al fin next level a consisté, pour Google, à bannir ce blog de sa plateforme Blogspot, où il était hébergé précédemment. Suite à quoi, il a migré sur Wordpress. Le lien que vous donnez montre qu'il a aussi été banni par Wordpress, de façon passagère. Probablement suite à une dénonciation. L'interdiction a été visiblement levée, puisqu'aujourd'hui, al fin next level est toujours hébergé sur cette plateforme.
Il existe de nombreux autres blogs et sites de ce type aux Etats-Unis. Leur point commun est la rigueur, le sérieux et l'approche scientifique des phénomènes. Pour ne pas parler du niveau des commentaires, souvent très élevé lorsqu'ils existent. Tout à l'opposé de nos moutons bêlants "anti-racistes"...
En France, nous devons nous contenter, par exemple, de Riposte Laïque. C'est bien, Riposte Laïque. Pierre Cassen fait un travail remarquable, il est très courageux et il en subit les conséquences en termes de persécution policière.
Mais l'honnêteté oblige à dire que Riposte Laïque est un peu bas de plafond intellectuellement parlant, que l'origine communiste de son fondateur ressort un peu trop souvent, et que l'aboiement militant écarte parfois l'argumentation.
Il convient de remarquer néanmoins que, pour échapper à la mitraille politiquement correcte des autorités, Riposte Laïque, site français à l'origine, a été obligé de se placer sous l'égide d'une association suisse, de désigner un directeur de publication domicilié en Israël, et de se faire héberger aux Etats-Unis. Notez la liste des pays encore souverains, où la liberté est considérée comme infiniment plus précieuse que chez nous...
Un autre site de référence est American Renaissance. Un Fdesouche américain, mais d'un niveau infiniment plus élevé...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 08 juillet 2018 à 17:40
@ Noblejoué | 08 juillet 2018 à 11:18
La rancune comme la haine vous attachent à une personne et d'une certaine manière fait de vous son prisonnier. Tandis que le pardon vous en détache et par conséquent vous allège d'un grand poids !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 08 juillet 2018 à 17:15
Vous êtes touchant, Noblejoué, et j'espère que vous ne prendrez pour attaque ce que j'ai à vous dire : vous avez besoin d'être aimé, comme nous tous, et c'est ce manque qui vous déconnecte et vous fait souffrir, c'est ce manque, comme le spectre du père d'Hamlet, qui vous appelle à la vengeance, autrement dit vous empêche de pardonner et de vous libérer de ces injonctions. Depuis ma perspective, la nécessité impérieuse de protection qu'est pour vous la vengeance est le réel esclavage, les discriminations humiliantes vous destinant à vous soumettre à leur injonction contradictoire, le pardon vous permettant de vous en libérer, présenter l'autre joue n'étant plus que preuve supplémentaire de la défaite de la force face à la justice, car vous aurez la force de ne pas y répondre dans les mêmes termes, les vidant de tous sens, car elles sont absurdes, et en ceci n'existent même pas.
Voudriez-vous vous défendre contre ce qui n'existe pas ?
Existe l'attention que vous porte votre confidente, le Droit et la Loi que les États ont le devoir urgent de rétablir, et qui n'ont d'autre but que la justice pour chacun, à exiger et à servir, car elle est la vraie force et la seule protection.
Rédigé par : Aliocha | 08 juillet 2018 à 15:50
@ Robert Marchenoir | 06 juillet 2018 à 23:45
Les préjugés peuvent être divers, il peuvent porter sur les personnes et quoi qu'elles disent, elle seront toujours noires ou blanches, Elle peuvent porter sur une idée qui devient alors une idéologie qui par essence empêche de réfléchir sur les idées des autres.
Quand la critique se fait à partir de ces préjugés elle me laisse de glace, bien qu'elle me permette d'avoir un a priori sur la personne mais personnellement cela ne m'empêchera pas de chercher le vrai et le faux dans ses idées, à partir des effets que l'application de l'idée va avoir sur le circuit de la monnaie ou des productions quand il s'agit de science économique.
Ce que j'attends de la critique c'est qu'elle démontre que mes idées sont fausses, c'est le principe de Popper sur les théorie qui ne sont pas éternelles et appelées au cours des évolutions de la vie en société à changer.
Notre théorie économique présente est indéterminée, puisque vous ne pouvez me la décrire et pour se défiler me traiter ''d'Aliocha de trop'' (ses derniers posts ne me déplaisent pas) nous sommes alors loin du principe de Popper mais en plein sur le principe du préjugé sur la personne que bien des blogueurs utilisent en prenant un risque qu'ils se voient eux aussi victimes de préjugé, c'est le cas du blogueur qui répond à celui qui écrit "Elle est pas belle, la France en bleu ?" : les joueurs avaient des maillots blancs !
Eh bien non la France était en bleu certes là-bas en Russie des joueurs était en blanc mais la France supportrice sur les gradins était elle aussi en bleu.
Ce n'est pas avec des préjugés que nous avancerons : Einstein ne dit-il pas seules les idées contrariantes aux idées reçus (les préjugés) ont un espoir d'avenir ?
J'attends donc toujours de vous les arguments qui diraient que la théorie économique voulue par l'idéologie de la lutte des classes qui ne donnent pas satisfaction, doit être conservée et est préférable à toute autre théorie en particulier celle que j'expose car elle n'est pas, comme vous dites ''un concept défini par la science économique, mais des notions nébuleuses sorties tout droit de votre cerveau.''
Je reformule ma question sans réponse : quel est ce concept défini par la science économique car je l'ignore alors que vous vous savez et il est de votre devoir de ne pas laisser les autres dans l'ignorance.
Au passage, puisque ma théorie vous déplaît, démontrez-moi qu'aujourd'hui:
- nos besoins en biens et services ne sont pas produits par les autres
- que nos consommations nationales ne sont pas nos productions nationales non exportées plus les importations en remplacement des importations
- que ces consommations nationales ne se partagent pas à la fois à 100 % entre actifs et inactifs et à 100 % suivant trois usages, familial, mutuel, collectif.
Rédigé par : Ange LERUAS | 08 juillet 2018 à 11:41
@ Aliocha
"Il n'est pas question d'oublier, Noblejoué, mais d'accéder au pardon"
D'abord, pardon d'un manque de clarté, j'ai bien compris que le pardon n'est pas l'oubli mais puisque faute qu'on permette les duels, il n'est pas faux de dire qu'il faut oublier... Quoi d'autre pour se désencombrer de ce qu'on n'a pas aimé chez les autres (vous nuire) et chez soi (que ça y ait survécu) ?
C'est encore de soi qu'on doit être le plus insatisfait... Ma confidente, souvent, disait que je ne la laissais pas achever certaines phrases, mais les phrases, beurk ! En général, pas elle, les gens s'engagent à des choses qu'ils ne font PAS. Comme rien n'est pire que de s'encombrer d'espoirs, je préfère, autant que possible, éviter aux autres un manque de parole, et à moi un encombrement d'une chose, mais d'une chose ! L'espoir est encensé par la religion parce qu'une illusion doit bien se renforcer d'une autre, mais ce n'est jamais que la boîte de Pandore. Je sais bien que les gens ne croient que ce qu'ils voient et que s'ils voyaient une tanière mal rangée et où la poussière n'est pas traquée, ils se croiraient purs face à l'impur. Mais je pense qu'il est bien plus important de faire le ménage des illusions en soi, dont l'espoir est vraiment, vraiment un cas exemplaire.
Le problème de l'espoir, dont on consomme d'autant plus qu'il y a peu de raison de croire à une issue favorable, c'est que c'est illusion et dépendance sans qu'on le sache, et qu'on est sommé de consommer. L'espoir, c'est ce qui fait croire aux gens pas aimés qu'ils le seront, il y a des gens vraiment intelligents qui le croient, à cause de cette altération mentale...
Répugnant, et que j'attends, et que je supplie, et que je me fâche, et que même au moment de mourir j'en appelle aux parents qui ne m'aimaient pas. D'ailleurs l'amour est aussi fâcheux quand il n'est pas partagé. Je compatis aux gens ayant ce triste sort, et plus qu'à la drogue, je ne tiens pas à toucher à l'amour, sauf si quelqu'un que je pouvais aimer m'aimait, mais cela n'arrivera pas, je le dis comme on parle du Loto où les méchants gouvernants d'un gouvernement mondial renoncent à leur pouvoir... A rayer.
Bref, pour que je pardonne à quelqu'un, ce qui est très bizarre, ce qui est fait est fait, faire semblant que non, pardonner, c'est donner le présent, le passé et l'avenir à qui m'a dépouillé des trois, étant donné que qui vous nuit dans le passé vous dépouille du passé, souillé, du présent, quand on y pense, et de l'avenir, qui sera ainsi car le principe de causalité ne part pas en vacances.
Pour que je pardonne, il faut que l'autre ne soit pas une menace. Qu'il demande pardon, pas qu'il l'exige. Comme il m'a humilié, il doit s'humilier, comme il m'a pris, il doit donner, comme il a voulu me diriger, l'être. C'est en réparant qu'on est réparé de ses torts.
Je ne fais pas de solde, parce que je n'ai pas besoin de pardonner, pas de paradis, enfer et me faire bien voir. Je préfère que tout le monde soit pour l'insulteur en chef et contre moi, ici il n'y avait pas photo, que de faire la moindre concession, pur, si pur, mon esprit est une épée, pas une serpillière. Ce qui fait que quand des sots ont cru que je faisais de basses flatteries, je me disais qu'ils ignorent qu'il n'y a que qui peut frapper qu'il peut donner, que les moissons les plus riches naissent des volcans. Et je n'ai pas l'intention de devenir de l'eau tiède, cependant que je dois toujours penser avec plus de justesse et le traduire avec davantage d'éloquence.
"...une rupture d'imitation, qui n'est pas renoncement à la protection"
Bien sûr que si. Le pardon c'est TENDRE L'AUTRE JOUE. Dans votre version... Pas dans la mienne, se reporter à plus haut.
Comme le loup découvre son cou au loup le plus puissant. Le plus puissant ne le tue pas, mais le loup qui se découvre est un soumis.
Quel humain doit vouloir être un soumis ?
Le pardon, c'est tendre l'autre joue... Enfin, c'est bien ce que dit Jésus, tendre l'autre joue ?
Or outre Girard, vous nous servez du Christ d'ailleurs inspirateur de Girard. Et tout ce monde se préoccupe-t-il jamais de préserver la liberté des individus et des sociétés ?
Pour le faire, il faut donc, sans nier leurs lumières, ne pas s'y limiter.
Il est dur de désarmer, le premier qui le fait est, en principe, mort, ou si vraiment malchanceux, esclave. S'il se moque de sa liberté, ce n'est pas grave, mais s'il a entraîné son peuple dans les chaînes, il ne mérite que mon mépris.
Exemple "plutôt rouge que mort".
Quand des gens disent "la liberté pour quoi faire ?", ce n'est pas pour citer un bouquin, c'est pour dire :
- Le capitalisme, c'est dur - d'ailleurs mon avis et je suis pour une politique sociale telle qu'attaqué par Macron mais ce n'est pas à moi d'en parler - et allez, allons au totalitarisme communiste.
- Résister, c'est dur, s'il le faut, je mettrais une burqa, et ce pas par une pauvre femme laminée par la vie, un psychiatre, et pas par plaisanterie. Jamais il n'est question de tout faire pour empêcher que la question ne se pose pas, en stoppant, par exemple, l'immigration arabo-musulmane. Nous avons cru les intégrer ? Il semble que non, finalement, donc il faut nous en écarter, pour le maintien de la liberté.
- Et...
"Nous sommes ce que nous sommes, et n'avons à le justifier que si on essaie de l'imposer aux autres, s'ils le refusent, c'est leur problème, ou le nôtre car nous essayons d'en faire système, et c'est une des problématiques que souligne Girard"
Stop, je ne m'excuse pas, ne me justifie pas, je chante mes propres louanges... Eh oui. Et pas dans un groupe, duquel alors, grand dieu ? Parfois la sotte injustice me rend triste, et parfois en me comparant à mes dénigreurs - ce qui n'est pas bien, je dois toujours avoir en vue mon idéal, et rien d'autre - je me sens immensément au-dessus d'eux.
Bah, comme dit l'autre, un arc ne peut pas être toujours tendu, et puis après qu'on ferraille, on bâille de fatigue.
Ainsi, depuis toujours sur Internet, j'ai fait un exercice de style que personne n'a vu - normal, sauf si on s'imagine que j'ai de mauvaises intentions, il faudrait donc lire avec acuité - lié à diverses problématiques que je ne tiens pas à développer. J'ai essayé d'apprendre de tous, défendu les idées les plus injustement dénigrées, montré toutes sortes de complexités de la manière la plus accessible possible, désiré oui, erreur, l'aide de quelqu'un pour un projet, seul désir, et les gens vont s'imaginer complot et compagnie, et surtout amour et ce qui pire est à leur avis, sexe, ils ne pensent qu'à ça, pauvres gens.
Qu'ils sont limités ! Enfin, je ne veux pas dire, attention, que si quelqu'un aimait, l'amour de loin, est-ce que ça existe vraiment ? Voire désirait quelqu'un ici, et tente de séduire parce que séduit, se faire des amis aussi, pourquoi pas ? Ce serait mal. Absolument pas. En fait, l'amitié est souvent plus loyale que l'amour. Bel argent contre un or qui n'est le plus souvent qu'un or des fous.
Je soupire de soulagement de n'avoir pas reçu les conseils de quelqu'un à qui beaucoup trop de choses échappent.
Et par contre, ma confidente a toutes les qualités du cœur et de l'esprit et les compétences qui me manquent cruellement, ce serait un miracle s'il y en avait pour les morts, parce que je me sens ainsi depuis le 10 septembre pour des raisons qui m'appartiennent et qu'elle connaît mais quoi qu'il en soit, je lui dois la vie qui me reste.
Rédigé par : Noblejoué | 08 juillet 2018 à 11:18
Il n'est pas question d'oublier, Noblejoué, mais d'accéder au pardon, donc à la liberté de ne pas être soumis à la tyrannie des représailles. Que serait le pardon s'il n'était qu'oubli ? Et la vraie force n'est-elle pas de dire à l'agresseur, dans ce contexte : "tout est oublié", lui proposant une rupture d'imitation, qui n'est pas renoncement à la protection, et tout ce que j'essaie de déployer ici tente d'aller dans ce sens, mais au contraire chemin vers une meilleure protection par une évolution de nos réflexes mimétiques, qui ne nécessite aucune justification.
Nous sommes ce que nous sommes, et n'avons à le justifier que si on essaie de l'imposer aux autres, s'ils le refusent, c'est leur problème, ou le nôtre car nous essayons d'en faire système, et c'est une des problématiques que souligne Girard dans "Je vois Satan..." où le souci des victimes radicalisé se paganise, les puissances imitent le Christ de façon rivalitaire, Satan emprunte le langage des victimes pour mieux revenir à l'habitude païenne des jeux du cirque, situant le bonheur dans l'assouvissement de tous les désirs et la suppression des interdits, faisant de toute loi morale un instrument de répression, et imposant la violence comme seul recours, où le différent, et croyez à ma totale solidarité, court alors tous les dangers.
Non, j'ai bien peur qu'à part renoncement total et univoque à la violence, il n'y ait d'autre protection à inventer et à présenter en exemple, et ce n'est pas renoncer à se défendre, mais accéder avec l'ennemi, notre semblable, à la vie et à la vérité.
Rédigé par : Aliocha | 08 juillet 2018 à 09:10
@ Robert Marchenoir 6 juillet 15:31
Stupéfiantes lectures des liens. On n'est pas près de lire cela dans la France de Laurent Joffrin.
Ce blog fait l'objet d'une censure permanente, comme vous le mentionnez.
Pour éviter Google, j'ai trouvé ceci sur le moteur Bing.
https://alfin2101.wordpress.com/2018/01/31/important-announcement-re-al-fin-next-level-blog/
Rédigé par : Savonarole | 07 juillet 2018 à 21:52
@ Robert Marchenoir
« Est-il bien "fraternel" d'aller buter de l'islamiste au Mali ? pas vraiment. »
Pourra-t-on, de façon générale, condamner les soldats qui pourraient fraterniser avec ce que par convention on appelle l'ennemi, c'est-à-dire en fait des hommes comme vouzémoi, ayant les mêmes droits, avec l'AME gratuite en plus et pouvant bénéficier du droit d'asile, dans la limite des places disponibles (Chinois, s'abstenir) ?
Les gens qui fraternisaient avec les Allemands en 1940 (« ils sont corrects ») n'étaient-ils pas sans le savoir des précurseurs méconnus de l'arrêté Fabius ?
Faudra-t-il jeter sur la paille humide des cachots pour atteinte à la Constitution Florence Parly, titulaire du ministère de la Guerre sournoisement rebaptisé ministère de la Défense alors qu'il s'agit en fait d'un ministère de la Xénophobie pur jus ô combien non fraternel ?
Un magistrat qui oserait encore infliger une peine à un coupable ne risquerait-t-il pas d'être traîné devant l'Inquisition pour manque de fraternité ?
Tout suspect interpellé n'aura-t-il pas intérêt à mettre systématiquement en avant la clause de non-fraternité ?
Toute critique de l'action du gouvernement de la part de l'opposition pourrait-elle entraîner pour le même motif la dissolution des partis qui la composent ?
Idem pour la presse ?
Les Français qui seront victimes des conséquences de la submersion migratoire ainsi favorisée par les Sages, pourront-ils accuser ces derniers de manque de fraternité à leur égard ?
Etc.
Les Sages (?) ont ouvert une boîte de Pandore dont les suites ne manqueront pas d'être inextricables.
Rédigé par : Exilé | 07 juillet 2018 à 20:05
@ Aliocha
"L'essentiel, Noblejoué, est de ne pas répondre à l'injure par l'injure, et j'applique comme je peux ce principe avec Marchenoir comme je le fis avec vous, étant fort heureux de votre apaisement et de partager la science girardienne, ce qui n'entraînera jamais de céder sur l'essentiel, même si cela, au vu de nos moyens qui ne sont que mimétiques, nous fait immanquablement monter aux extrêmes, chaque chute n'étant qu'une occasion supplémentaire de progresser dans l’appréhension du phénomène"
Je ne suis pas d'accord.
D'abord, on peut écrire des choses injurieuses et destructrices sans utiliser des mots estampillés injure... Je ne veux pas rouvrir de vieux dossiers avec vous qui m'avez aidé lors d'un lynchage, alors, autre exemple. Je suis quelqu'un de "reconnaissant-rancunier", je traite les autres comme ils me traitent.
Si quelqu'un prétend que je fais des complots, suis contre un peuple qui au contraire me paraît estimable et "transparente", insulte vraiment vicieuse à deux titres, cette personne l'étant assurément, je la méprise. Expression très vicieuse... Car répondre oui ou non irait contre ma politique qui est de ne dire de moi que ce qui vient spontanément de moi et correspond tant à mon pseudo qu'à mes idées. Or mon pseudo Noblejoué veut dire que l'Homme, pour être noble doit avoir joué en esprit à l'être... Une autre charmante personne a donc dit que je jouais au noble, comme un rôle superficiel, non, comme le jeu est le moyen d'apprentissage des enfants et comme le rêve et encore le jeu, que ce soit rite, théâtre ou autre sont des instruments de transformation de soi. Mais si on veut être noble, on court le risque de penser, se projetant, que les autres le sont, alors que non, on sera donc joué. Il ne faut pas. Et enfin, cela se réfère à mon amour de la vie symbolisé par l'amour du vin dont un s'appelle ainsi lié à de bons souvenirs mais que je ne veux plus boire depuis le 10 septembre.
Et donc, pour transparente ? Comme je l'ai dit, je n'ai RIEN à céder, révéler sur moi, si le neutre, pour autre chose que les objets, existait dans notre langue, j'écrirais en neutre, et c'est d'ailleurs ce que je fais avec les moyens du bord, ce que personne n'a relevé dans la ridicule dispute sur mon sexe et même sur mes mœurs, tout le monde croit lire des complots inexistants ou des envies de sexe tout aussi chimérique, et personne ne voit ça, je crois que j'aurais aussi bien pu écrire sans e mais cela ne correspond pas à une préoccupation chez moi, et cela a déjà été fait dans un roman...
Mais en plus, il y avait les circonstances, si on dit être femme, c'est mal vu, si on dit, mais non un homme, ce n'est pas mal vu, mais parce que les gens sont bêtes, car se défendre ainsi quand dit de manière dépréciative va contre les femmes et peut faire douter de sa sincérité quand on les a défendues. En plus "transparente" fait bêta que l'on transperce de son intelligence supérieure. Or quoi de pire que de traiter un transhumaniste d'imbécile ? Certes, le mot n'est pas dit. Mais comme je vous l'ai rappelé, la manœuvre était bien plus sournoise... A une époque de transparence, dire qu'on ne l'est pas fait opaque, donc pas gentil, comploteur ? Puisqu'on me l'a déjà dit, en revanche, "transparente" fait bête. Et donc, je m'échappe comment ? Mais par le haut, comme toujours.
Ma confidente dit que je méprise des gens, je lui réponds : des méprisables, qui ont fait ceci ou cela. Elle ne peut pas dire le contraire... Mais de mépriser le passé, ce qui est, pour le coup, vraiment très intelligent, se servir de la manière de penser et sentir de l'autre, et non plaquer la sienne. Ce que je trouve que vous faites à un point incroyable ! Désolé, mais vous allez contre ce que vous défendez.
Donc, encore mon cas, pas de préjugé, si quelqu'un semble admirable, je l'admire, méprisable, je le méprise... Si quelqu'un a des deux en lui, partiellement l'un ou l'autre, car certains ont des aspects contrastés. Bref, contrairement à d'autres, je présume les gens innocents, traite les autres comme j'aimerais l'être, mais s'ils se comportent mal et persistent, les méprise, ce qui, je dois dire, ne me coûte rien, je les traite comme ils m'ont injustement traité, mais avec justice, puisqu'en défense.
"étant fort heureux de votre apaisement"
A vrai dire, d'autres vous rappellent qu'il y a des dangers dans le monde, et qu'il ne faut pas baisser la garde.
Moi : j'essaie de défendre les victimes et les idées de René Girard, mais sur ce dernier point, la manière dont vous le faites ne m'aide pas.
"même si cela, au vu de nos moyens qui ne sont que mimétiques, nous fait immanquablement monter aux extrêmes, chaque chute n'étant qu'une occasion supplémentaire de progresser dans l’appréhension du phénomène"
Il y a chute, mais aussi bien au physique qu'au moral ou en politique certaines chutes sont IRRÉMÉDIABLES.
Et donc, outre mon caractère tigre de Sibérie, c'est une des raisons pour lesquelles je ne suis pas naturellement en paix.
Irrémédiable ? Ainsi, en politique, j'ai plus qu'assez démontré qu'un gouvernement mondial tyrannique ne pourrait jamais être renversé.
Il faut donc être bien plus prudent... Et parler dans le langage de chacun, si j'avais la foi, je dirais "en langue". Se traduire, que ce soit un scientifique qui doit parler scientifiquement à ses pairs et de façon profane au grand public et qui souvent fait les deux dans beaucoup de livres d'Histoire, mais tant et tant d'autres exemples que je ne veux pas donner parce que... parce que je n'en ai pas envie.
D'abord, la flemme, ensuite, à quoi bon ? Je parie qu'il y a d'autres raisons, mais cela m'ennuie trop pour que j'aille vérifier.
Quoi qu'il en soit, si je veux parvenir à mes buts, je dois m'apaiser... Je doute d'ailleurs que... Mais je n'ai pas le droit de douter ! Et mes buts, c'est quoi ?
Mais si vous le demandez aux oracles des textes, des complots !
Encore une fois, toute ma gratitude face aux accusations insanes que j'ai essuyées mais pas oubliées.
Rédigé par : Noblejoué | 07 juillet 2018 à 19:42
Ainsi donc, l’entrée illégale sur le territoire reste un délit, mais ceux qui aideront un clandestin à entrer illégalement ne pourront être poursuivis ! Au nom de la Fraternité, l’un des trois amuse-gueules inscrits au fronton des bâtiments officiels de la République.
Et qui a décidé ce monument de bêtise, ce contresens, cette imbécillité crasse ? Un collège de doctes personnages les plus capés de nos Institutions, les juges du Conseil constitutionnel, dits aussi les Sages, les Avisés, les Précieux, les Judicieux. Rien que du beau linge, nommés par tiers par le président de la République, le président du Sénat, le président de l’Assemblée nationale.
Président actuel de ce Conseil constitutionnel : Laurent Fabius (dont l’anagramme est NATUREL ABUSIF) dont on pourrait discuter à perte de vue les actes passés ainsi que ceux de son fils dont la presse aux ordres se garde bien de rappeler l’actualité douteuse. Mais il fut « le plus jeune Premier ministre que François Mitterrand a donné à la France ». Puis président de l’Assemblée nationale logé au somptueux Hôtel de Lassay. Des titres pareils avec les hermines, décorations et privilèges qui vont avec, cela vous octroie automatiquement le droit de dire le dogme avec l’infaillibilité du Pape !
Quelques timides voix se font entendre et parlent ‘’d’inacceptable’’ et même de ‘’violation des droits de la nation française’’ mais en haut-lieu, on continue de tout faire pour favoriser une immigration envahissante et on se refuse à chiffrer de façon réaliste le coût énorme de cette absurde opération.
Les subventions pleuvent par milliards sur les associations jamais contrôlées qui, au nom de grands mots comme Fraternité, Humanité, Solidarité, Vivre ensemble etc. trafiquent avec des ‘’intermédiaires’’ véreux et se servent de milliers d’otages misérables pour faire croire au monde que seule la fraternité universelle peut les sauver. Sauf que ces « pauvres » migrants sont bizarrement pourvus d’euros et de téléphones portables dernier cri.
Pendant ce temps-là, les commissariats de police n’ont plus un sou pour acheter du papier pour les photocopieuses, remplacer leurs vieilles Peugeot ni honorer les millions d’heures de RTT accumulées. Les suicides dans la police et la gendarmerie ont été multipliés par quatre pendant que l’on entretient savamment la haine anti-autorités et que l’émeute généralisée couve dans les banlieues mieux armées que la gendarmerie elle-même. Un gangster ultra-dangereux multirécidiviste peut s’évader en hélicoptère dans des conditions parfaites d’organisation, comme un vulgaire ministre entouré d’une suite nombreuse peut préparer ses déplacements, tandis qu’à Nantes la mort justifiée d’un voyou recherché déclenche des nuits d’émeutes interminables au détriment des riverains innocents qui voient leur voiture brûlée et leurs appartements ou magasins saccagés.
Et comme d’habitude depuis des décennies, le gouvernement aveuglé par la possibilité d’une bavure se refuse à agir fermement et laisse la situation se dégrader de semaine en semaine. Au terrorisme islamique vient s’ajouter un terrorisme intérieur super-alimenté par les racailles importées qui déferlent de toute part. Racailles largement encouragées par une Justice pourrie par les juges rouges (du mur des cons) qui relâchent avec un simple avertissement un multirécidiviste endurci.
Nous allons, très sûrement, vers le chaos si Macron continue son néfaste parcours.
Rédigé par : Mitsahne | 07 juillet 2018 à 19:37
@ Robert Marchenoir | 07 juillet 2018 à 16:18
Eh bien oui, ils veulent nous avoir jusqu'au trognon car le grand remplacement ne va pas aussi vite qu'ils le souhaitent et ils ont peur que cela cafouille entre-temps !
Français chrétiens et athées pr,éparez-vous à disparaître le plus vite possible vous dérangez les sectes qui ont pris le pouvoir !
Rédigé par : agecanonix | 07 juillet 2018 à 19:19
@ agecanonix 07 juillet 2018 à 17:39
Vous voulez enfermer les gens parce que fous selon vos lumières ? D'autres mettent les vieux en maison de retraite, méfiez-vous, de nos jours c'est plus la mode que la camisole de force.
Rédigé par : Noblejoué | 07 juillet 2018 à 18:53
@ Exilé | 07 juillet 2018 à 13:40
"'La fraternité devra être respectée comme principe constitutionnel par le législateur et elle pourra être invoquée devant les juridictions', a déclaré à l'AFP le président du Conseil, Laurent Fabius."
Eh bien ! je crois que nous y sommes : les gens qui nous dirigent sont officiellement fous comme des lapins. La fraternité comme principe juridique, voilà de quoi saboter de l'intérieur tout l'édifice du droit. Et ça vient du sommet ! Du Conseil constitutionnel !
Le bisounoursisme est désormais la doctrine officielle de la France. Si vous ne saviez pas ce qu'étaient les "valeurs de la République", maintenant, vous le savez.
Donc maintenant, on pourra se faire traîner devant les tribunaux parce qu'on n'est pas assez "gentil". Ou, inversement, un criminel pourra être excusé parce que "gentil". C'est le politiquement correct aux commandes.
Bien entendu, la nature et les limites de la "fraternité" seront édictées par les frères, mais lesquels ? Les frères trois points ? Les frères communistes ? Les frères islamiques ? En matière de fraternité, tout dépend de la fratrie, bien évidemment.
Est-il bien "fraternel" d'aller buter de l'islamiste au Mali ? pas vraiment. Est-il "fraternel" de mettre les pédophiles en prison ? Ce sont des gens comme les autres, après tout, et qui n'a pas ses petits problèmes ? Est-il "fraternel" de ne pas aimer les riches, de faire de la finance son ennemie, d'accuser les Américains d'être à l'origine de toutes les guerres dans le monde ?
Pourquoi serait-il "fraternel" de fournir nourriture, hébergement, cartes SIM et conseils juridiques aux immigrés illégaux, alors qu'il ne serait pas "fraternel" de protéger ses frères français de l'invasion migratoire ?
La fraternité pouvant être invoquée devant les juridictions, c'est comme le crime, inscrit dans le code pénal, consistant à être un ennemi du peuple soviétique. Passer d'une qualification négative (ennemi) à une qualification positive (fraternité) ne change rien, sinon l'hypocrisie accrue des oppresseurs.
Dans les deux cas, l'arbitraire est au pouvoir. Dans les deux cas, l'application de la loi conduira, conduit déjà, à des bains de sang. En Union soviétique, c'était un peu plus franc du collier : c'étaient les agents du NKVD eux-mêmes qui tiraient sur la queue de détente, et se faisaient éclabousser de sang.
En Union des républiques socialistes soviétiques françaises, la nomenklatura et les nouveaux kaguébistes font couler le sang de leurs compatriotes par l'entremise de leurs "frères" africains, musulmans, afghans, pakistanais, turcs, irakiens...
Un schéma pas très différent du régime russe actuel, où l'oligarchie au pouvoir sous-traite à la mafia sa politique étrangère et intérieure, ses coups tordus en matière d'espionnage, la corruption des dirigeants étrangers, la répression des manifestations, l'assassinat des opposants politiques...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 07 juillet 2018 à 16:18
Ah ! Voilà un arrêté qu'il est bon ! Enfin presque :
« À l'instar de la liberté et de l'égalité, qui sont les deux autres termes de la devise de notre République, la fraternité devra être respectée comme principe constitutionnel par le législateur et elle pourra être invoquée devant les juridictions », a déclaré à l'AFP le président du Conseil, Laurent Fabius.
Appliquons.
M'étant fait traiter ici comme du poisson pourri par une intervenante un peu excitée que je n'avais pourtant en rien agressée, je vais pouvoir désormais exciper de mon droit constitutionnel à être traité avec fraternité, donc avec respect, politesse, courtoisie, charité, amabilité, bonté, affabilité, bienveillance, compréhension, indulgence, miséricorde, mansuétude, cordialité, magnanimité, sympathie, gentillesse, dévouement, patience, affection, douceur, délicatesse, prévenance etc.
Bien entendu, en vertu de ce droit gravé dans le marbre, ces m'sieurs-dames du monde de la politique et des médias ainsi que certains locataires des palais nationaux sont aussi désormais gentiment invités à cesser de me traiter de façon globale ou non de populiste, d'extrémiste et autres noms d'oiseau, au risque de leur part de violer la Constitution.
Rédigé par : Exilé | 07 juillet 2018 à 13:40
L'essentiel, Noblejoué, est de ne pas répondre à l'injure par l'injure, et j'applique comme je peux ce principe avec Marchenoir comme je le fis avec vous, étant fort heureux de votre apaisement et de partager la science girardienne, ce qui n'entraînera jamais de céder sur l'essentiel, même si cela, au vu de nos moyens qui ne sont que mimétiques, nous fait immanquablement monter aux extrêmes, chaque chute n'étant qu'une occasion supplémentaire de progresser dans l’appréhension du phénomène et sa pédagogie, acceptant dans l'échange avec l'autre l'aveu de ce que nous sommes et qui est semblable à lui, même si à toute force il essaye de se particulariser pour mieux dénoncer ou dominer, mettant en lumière que nous ne désirons pas son désir, ce qui est leurre, mais l'imitons, le copions, définissant exactement la borne que notre condition met à la liberté.
Ne pas en tenir compte est accéder à la tyrannie, au nom de la liberté, certes, mais en l'annihilant par ignorance de ces structures si simples qu'elles demeurent cachées à nos complexités, et qui amènent Marchenoir à singer un roi Zoulou pour mieux me contredire, délicieuse et comique pantomime.
Je suis heureux, ami, de la progression de notre relation, c'est l'occasion de montrer par l'exemple qu'il est possible de ne pas être d'accord sans nier forcément la réalité de celui avec qui on correspond, qu'en cela nous défendons notre bien le plus précieux accueilli ici par nos hôtes et avec quelle diligence, la démocratie.
Rédigé par : Aliocha | 07 juillet 2018 à 11:09
@ Aliocha | 06 juillet 2018 à 23:50
Je pense que vous savez comme moi que l'on peut s'imiter soi-même, René Girard écrivant je ne sais plus où que les écrivains, le faisant sur des années, étaient très mimétiques malgré les apparences.
Que Robert Marchenoir soit un écrivain ou non, il est un écrit-bien, et a, comme dans la corporation, une grande propension à la continuité, ce qui est bien dans le sens parce qu'il continue à forer là où il a trouvé son filon, contre Poutine et autres manipulateurs, par exemple, et moins bien dans le sens où il peut ignorer certaines choses.
Mais vous aussi, vous faites vos impasses, peut-être un peu pour les mêmes raisons, un peu parce que personne ne pouvant embrasser l'univers, on se délimite tout un territoire qu'on va agrandir, défendre, s'en servir comme base arrière et autres joyeusetés, éventuellement en disant que l'instinct territorial n'existe pas... Même moi, qui suis mal vu à cause de mon côté Goethe, et d'ailleurs d'autres choses encore ! En général fausses. Mais cela me soucie de moins en moins, grâce à ma confidente. Se traduire, enfin, pas pour qui me calomnie, faut pas pousser, et ne pas se tourmenter, voilà, il est évident que je ne lui parle pas d'ici, car il y a plus grave pour moi.
Bref, Robert Marchenoir et vous vous renforcez mutuellement dans, si on est méchant, impasses, et si gentil, identité, et si objectif, sillon.
Seulement, lui n'a, justement pas la théorie mimétique pour arrêter ou essayer de prendre du recul. Nous, si, nous avons donc la responsabilité d'avoir une attitude qui en tienne compte.
Je crois que souvent, le mieux est de laisser les gens maturer... J'ai parfois donné des conseils à certains quand je croyais percevoir qu'ils en savaient assez pour comprendre, qu'ils étaient à un pas de se saisir d'une idée.
En somme, fais ce que j'aurais aimé recevoir, et reçois aujourd'hui, le plus inattendu arrive, dans la vie, vraiment incroyable.
J'ai de fortes raisons de penser qu'il est trop tard et que c'est ironique, dans ces circonstances. Mais comme ma confidente m'a interdit d'être pessimiste, j'essaie de faire de mon mieux, pour son enseignement, pour moi et parce que je veux l'encourager de mon mieux dans ses problèmes de santé.
Avec l'idée que vous avez les éléments pour comprendre et avec un optimisme de commande, je vous demande de le faire.
Je pense que pour ces préjugés, certaines personnes ont une approche plus équilibrée que la vôtre voire que la mienne, et qu'en somme, il s'agit moins de condamner quelqu'un que d'être triste de ne pas l'éclairer, surtout quand lui nous apporte ses lumières sur plusieurs réalités, post-soviétiques, entre autres.
En espérant ne pas prendre les attitudes que je conteste, alors que tout le monde le fait tout le temps !
Rédigé par : Noblejoué | 07 juillet 2018 à 10:31
@ Aliocha | 06 juillet 2018 à 18:12
"Elle est pas belle, la France en bleu ?"
Les joueurs avaient des maillots blancs.
Encore des maillots de pseudos qui ne voulaient pas se dévoiler, je sens que Patrice va faire son nervous breakdown !
Rédigé par : Tipaza | 07 juillet 2018 à 08:44
On ne pourra pas dire, Marchenoir, que vous n'êtes pas drôle ! Vous connaîtriez un peu d'anthropologie, vous vous apercevriez que vous auriez fait éclater de rire une assemblée d'initiés, avec votre roi Zoulou, démontrant de vous-même que le mimétisme n'est jamais plus fort que dans les oppositions.
Alors, majesté, dévêtez-vous, enfilez donc le pagne, munissez-vous de lance et bouclier, dansez, dansez, dansez, c'est bon pour ce que vous avez :
https://www.youtube.com/watch?v=cYGIbyBfspY
Rédigé par : Aliocha | 06 juillet 2018 à 23:50
@ Ange LERUAS | 06 juillet 2018 à 22:22
Saperlipopette ! Nous avons touché un nouvel Aliocha. Comme s'il ne suffisait pas d'un seul...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 06 juillet 2018 à 23:45
@ Michelle D-LEROY
"Les juifs se cacheront derrière les pierres et les arbres"
Il s'agit d'un « haddith ».
Il y a des gens qui ont été envoyés aux galères par la nouvelle inquisition pour avoir dit moins que ça...
Rédigé par : Exilé | 06 juillet 2018 à 22:28
@ Robert Marchenoir | 06 juillet 2018 à 14:45
A mon commentaire vous répondez :
''Votre pensée est extraordinairement confuse. On pourrait vous comprendre plus aisément (si tant est que vous vous compreniez vous-même), pour peu que vous consentiez à employer les concepts définis par la science économique, au lieu de notions nébuleuses sorties tout droit de votre cerveau.''
''On pourrait mieux vous comprendre, aussi, si vous consentiez à parler d'une chose à la fois, au lieu de tout mélanger, pour tenter d'inventer en trois coups les gros une théorie englobante et jamais vue jusqu'à présent.''
Le fait de ne pas arriver à me comprendre était déjà inclus dans mon commentaire et j'y ai ajouté que je ne pouvais rien pour vous sauf à ce que vous considériez l'économie comme une analogie aux nombres complexes en mathématiques, nombres qui se composent de deux parties, l'une dite réelle et l'autre dite imaginaire deux parties inmélangeables mais dont toute modification d'une des parties produit un effet sur l'autre.
Ce n'est pas parce que vous ne comprenez pas qu'obligatoirement les autres ne peuvent pas comprendre et en particulier l'auteur.
Vous me reprochez de traiter tout à la fois au lieu de traiter l'un des sujets après l'autre, cette demande vous éloigne de la réalité de l'économie qui est un tout dynamique et ne permet pas d'isoler une point particulier.
Quant à la théorie que vous me demandez d'apprendre et non de chercher à inventer pour qu'elle soit ''en trois coups les gros une théorie englobante et jamais vue jusqu'à présent'', pouvez-vous me faire la synthèse qui fasse consensus entre tous ceux qui considèrent connaître cette théorie que je dois apprendre ?
Ludwig von Mises nous dit que l'économie que nous devons retenir est celle dont nous avons besoin et non celle que les idéologies veulent. Vous conviendrez donc que l'économie qui exalte l’État-providence, les droits acquis, et les entreprises payeuses et qui n'est pas consensuelle ne doit pas être conservée mais remplacée par une économie qui convienne à notre mode de vie dans des sociétés nationales, puisque c'est ainsi qu'au présent nous vivons.
Les théories sont toutes appelées à changer au fur et à mesure des évolutions et nous n'avons pas su rédiger une théorie économique qui tienne compte des deux évolutions aux XX° siècle :
- le passage de la solidarité familiale à la solidarité entre citoyen
- l'augmentation énorme d'usage de nos consommations nationales en usages mutuels et en usages collectifs.
Vous ne pouvez pas me reprocher de tenter d'écrire cette théorie qui comme toute théorie demande à passer le test qui consiste à démontrer qu'elle est une fois fausse pour la remplacer. Avant cela elle reste vraie.
Tant que vous nous direz que les charges patronales sont payés par le patronat et les charges salariales par le salarié, comme la théorie que vous chérissez, les uns pour moins de charge salariale et les autres pour moins de charges patronales, vous raisonnerez avec une théorie fausse puisque seul le consommateur paye et l'entreprise transforme directement ou avec l'aide d'organismes, le prix payé par le consommateur en rétributions des actifs attributions aux inactifs, contributions pour usage mutuel ou usage collectif.
Puisque ne peuvent exister des charges payées par les salariés ou le patronat, vous devez changer votre théorie pour supprimer la technique présente de la construction du prix des choses faite suivant l'idéologie de la lutte des classe, par la technique qui considère l'usage fait du prix des choses (partie imaginaire des nombres complexes) puisque seul cet usage permet l'avenir de la circulation puis le partage des productions devenant consommation (partie réelle des nombres complexes).
Voyez-vous Galilée pour passer de la physique irrationnelle à la physique rationnelle l'a fait par un discourci (discours raccourci) de trois jours, pour passer de l'économie irrationnelle issue de l'idéologie de la lutte des classes à une théorie économique rationnelle qui explique les différentes phases de l'économie de notre vie en société nationale à côté d'autres nations : il ne faut que deux heures.
Mais empêtré dans des préjugés vous refusez d'en perdre deux pour en perdre des centaines à bloguer, peut-être de peur de devoir renier vos savoirs du passé ?
Personne ne m'a encore dit pourquoi : si ce n'est que c'est impossible mais,sans avoir essayé !
Il faut dire que l'Education nationale nous formate à un handicap, avec son mode de pensée incapable de nous faire sortir d'un secteur de l'économie pour embraser le tout holistique et la dynamique : aussi bien à l'instant que dans l'espace et le temps comme les éducations des pays bien classés par PISA le font.
C'est ce handicap qui vous fait décréter que deux heures c'est trop court alors que c'est suffisant pour apprendre à la fois la technique du discourci et les fondements de l'économie que notre société doit avoir pour satisfaire les besoins qui sont les nôtres.
Je ne vais pas tenter de vous répondre dans la globalité sur la retraite par capitalisation et les fonds de pension concernant les pays qui s'y adonnent. Je me contenterai de vous inviter à savoir s'il est possible d'assurer de cette façon ''la retraite'' à 100 % et qu'elle est l'incidence de ce systèmes sur la balance Target 2 pour les Etats-Unis, tout en examinant bien les comptes de fonds de pensions pour savoir si ce ne sont pas les nouveaux 'épargnants'' qui permettent le remboursement des anciens.
Il vous faut aussi, pour répondre raisonnablement, savoir différencier l'investissement de l'épargne en bourse ou dans l'outil de production et en sus : les effets de retirer des attributions d'actifs et des rétributions d'inactifs du circuit de la monnaie qui est en parallèle de la circulation des productions voués à devenir consommations.
L'économie étant un tout et dynamique vous conviendrez que par le simple discours, et non avec un discourci, ont peut perdre beaucoup de temps et être trop long pour tenter de faire comprendre ce qui est difficile à comprendre quand on n'est pas formé à conceptualiser la dynamique de l'économie qui se passe dans l'espace/temps et dans des lieux distants de façon cyclique où la monnaie n'a de valeur qu'à chaque changement de mains (parti imaginaire) en parallèle d'un changement de mains d'un bien, d'un service ou d'un patrimoine (partie réelle).
Rédigé par : Ange LERUAS | 06 juillet 2018 à 22:22
XB ne m’inspire aucune confiance ni aucun bavardage à rallonge.
C’est un politicard au sens péjoratif du terme, avec, prises au hasard, rien que des rimes en ARD.
Combinard, pantouflard, accessoire, repoussoir, faiblard, papelard, braillard, vieux briscard, Filochard, cafard, bavard, repoussoir.
Et illusoire.
Rédigé par : Mitsahne | 06 juillet 2018 à 19:09
@ Ange LERUAS
"Alors, supposons qu'aujourd'hui, Gabriel, Djibril ou Ġabrīēl vienne nous dire : « Vous avez mal compris la parole de Dieu. Dieu veut que toutes les confessions apprennent à vivre ensemble, et mon domaine est ouvert à ceux qui, sur Terre, font autant pour les autres que les autres font pour eux de choses agréables et utiles à la vie ; je vous demande de ne rien faire pour mon plaisir autre que de faire uniquement du plaisir à ceux qui vous entourent ! »
Serait-il cru ?"
Bien sûr que non.
C'est peut-être pour ça qu'il paraît qu'il y aura un jugement dernier, Dieu soi-même descend sur Terre, et juge les bons et les méchants.
En première analyse, on dira que la justice est rétablie. En deuxième, non... Car on punit les méchants quand le monde qu'on a créé pousse à la méchanceté. La rareté qui oblige à se battre pour les ressources, l'instinct, le désir mimétique. Je n'explique rien, on me dit que je fais long... En fait, c'est surtout que je n'ai pas envie de me répéter, oui l'instinct existe, le désir mimétique qui est...
En fait, il y a deux injustices, pour tout le monde, une vie de souffrance et de mort, subir et subir. Et une pour les bons, enfin, ceux qui essaient, et qui en prennent plein la tronche.
Et ensuite, les gagnants par méchanceté sont punis de s'être adaptés au monde par celui qui a créé le monde pousse-au-crime.
Franchement... Enfin, on pourrait arranger les choses de manière plus décente, Dieu vient réparer le monde sans punir personne et en sauvant tout le monde. Eh non, je ne suis pas tout-puissant non plus, je fais ce que je peux.
Il est bien naturel que je pardonne les imperfections inévitables de mes créatures, que je les sauve, et d'espérer qu'elles en fassent de même pour moi, m'aimant comme je les aime.
En attendant ce happy end, les hommes étant ce qu'ils sont, leur demander d'être raisonnable est... absurde ?
J'aurais tendance à le penser, mais ici, on trouve des gens faisant la morale à des gens peu capables de les comprendre sans s'adapter un tant soit peu au public visé. Il semble que le bien soit visé, mais qu'il s'agisse aussi d'une obligation identitaire aussi, moi, je m'identifie en personne qui me lance dans toute intervention fondée en morale sans me poser de questions de sens et de méthode.
Bon, on dira que prêcher peut être utile. A condition que beaucoup le fassent avec grand talent. Et en montrant l'exemple. Je ne vise personne, je me pose la question de savoir si je devrais le faire, essayer d'augmenter nos capacités, risque que cela soit pris comme vantardise ? D'un autre côté, en plaisantant sur soi, on risque d'être tourné en dérision, diabolisé...
Bref. Un art.
D'autre part, comme je l'ai dit, notre nature tarée nous retient... Mais je pense et espère et crois de toute manière qu'on n'a rien de mieux à faire que d'essayer, par l'allongement de la vie et l’augmentation de l'intelligence principalement.
Ce serait long à expliquer, et on me dit que je fais trop long. De toute manière, ça me semble évident. Tellement ! Mais comme je sais que chacun vit dans son monde...
Rédigé par : Noblejoué | 06 juillet 2018 à 18:27
Elle est pas belle, la France en bleu ?
Allez, allez, les aigris, aux poèmes ou au fossé des réflexions, la victoire nous attend.
Rédigé par : Aliocha | 06 juillet 2018 à 18:12
Une petite dernière pour la route :
http://www.lefigaro.fr/politique/2009/10/29/01002-20091029ARTFIG00013-l-accord-avec-le-pc-chinois-passe-mal-a-l-ump-.php
Rédigé par : Exilé | 06 juillet 2018 à 17:09
XB a insulté un électeur sur trois. Il ne sera jamais le président de tous les Français.
Rédigé par : Hongreau | 06 juillet 2018 à 16:39
@ Zonzon
« Les juifs se cacheront derrière les pierres et les arbres, et les pierres et les arbres diront : Ô musulman, ô serviteur d’Allah, il y a un juif qui se cache derrière moi, viens le tuer" ou le fait que "le jugement dernier n’arrivera pas tant que les musulmans n'auront pas combattu les juifs. »
Un imam de Toulouse a dit cela ? Je découvre avec stupeur. Et personne n'a rien dit ? Les médias sont restés muets ?
Je comprends mieux l'inquiétude du Président Macron dans son discours au Panthéon, lorsqu'il dit "Les vents mauvais commencent à souffler…"
Tout s'éclaire !
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 06 juillet 2018 à 16:14
@ Exilé | 06 juillet 2018 à 09:14
@ Robert Marchenoir | 06 juillet 2018 à 01:44
@ hameau dans les nuages | 06 juillet 2018 à 00:04
Je suis basiquement d'accord avec vous, bien sûr que nous ne pouvons pas recoloniser l'Afrique, ni personne d'autre.
Je me suis mal expliqué.
Mon exemple du puits d'eau et du panneau solaire était une caricature, ce ne voulait être, symboliquement, que le premier coup de pioche d'un immense chantier.
Quand nous disons à l'Iran en 78, au Nigeria en 93, à l'Irak en 2004, la Libye en 2011, la Syrie et les autres qu'ils doivent changer de gouvernement nos politiciens et médias font de la colonisation.
Nous n'avons plus le droit de chanter les droits de l'homme tout en disant aux autres ce qu'ils doivent faire et en les punissant s'ils ne nous écoutent pas soit par sanctions financières ou bombardements, sinon nous pratiquons une nouvelle forme de colonisation sans occupation.
Aussi cruel que ce soit c'est à eux d'apprendre à être des citoyens et de construire leur pays, à eux de comprendre qu'ils partent avec un handicap gigantesque, celui de ne pas avoir développé sciences et technologies par le passé, d'avoir à faire un bond de modernisation colossal, de passer du toukoul au gratte-ciel !
A eux, comme les Anglais et nous de couper la tête de leur roi, ou s'entre-massacrer comme les Américains (encore une fois c'est symbolique !)
L'évolution d'un pays est à ce prix.
Ce dont je suis convaincu est que si nous voulons maîtriser l'immigration de masse que nous connaissons et qui, je crois, s'amplifiera, il nous faut aider l'Afrique à se développer, fixer ses populations.
Je suis convaincu aussi que nos politiciens pas plus que l'ONU, ne sont la solution. Je les ai vus à l'oeuvre.
Il faut trouver une autre solution sous forme d'un investissement à long terme. Je pense d'ailleurs que les Chinois sont en train de le faire.
Nous vivons, pour le meilleur et surtout pour le pire, dans un monde trop capitaliste qui pour le moment ne montre aucun signe de changement même s'il semble être au bord de l'implosion. C'est ce monde-là, en s'ouvrant, qui doit aider à développer l'Afrique.
Partant de là il faut placer le problème sur le plan humain, financier et technologique comme cela a été fait avec le pétrole (toujours symboliquement).
Koweït était un petit port minable en 1954, Abu Dhabi n'existait pas en 1968, en 68 aussi Dubaï était un peu mieux que le Koweït mais loin d'être le pays qu'il est aujourd'hui.
Les vieilles traditions, même en Arabie saoudite, explosent sous l'évolution de notre monde matérialiste en progression de plus en plus rapide.
C'est aussi pourquoi je crois que nous voyons, et subissons sous forme de dommage collatéral, l'agonie de l'Islam.
Je l'ai déjà écrit ici la solution passera par les femmes.
Il faut chercher des solutions de ce genre, l'Afrique est riche, il faut travailler avec la base, ne pas oublier le pékin de la brousse, en particulier l'éducation, tout comme chez nous nous devons ne pas oublier nos campagnes comme cela a été fait jusqu'ici.
Nos féministes doivent participer à la solution.
Le problème n'est pas simple bien sûr !
Mais il y a quelque part une solution.
Nous formons des gens pour aller sur Mars, après en avoir envoyé sur la Lune, l'Afrique n'est pas si loin (encore un symbole).
Une des choses qui m'a surpris en rentrant en France définitivement après plus d'un demi-siècle d'absence est de voir la masse de bonne volonté des gens, Coluche a fait des émules, la quantité étonnante d'associations de tous genre, le Français est rouspéteur, gueulard même, mais il a un grand cœur et, plus, il est fier de son pays tout en le critiquant avec vigueur. Et je sais par expérience qu'il sait se discipliner quand c'est nécessaire.
Fraternité n'est pas un vain mot chez nous.
C'est de là qu'il faut partir : de la base, de citoyens à citoyens, mais pas en aidant les gens à s'installer chez nous, en les aidant à s'installer chez eux.
Peu après les indépendances en Afrique vers 1960, utilisant des professionnels retraités volontaires, les Britanniques avaient créé un corps de fonctionnaires et de financiers pour assister les Africains à organiser leurs gouvernements. En parallèle les Américains avaient créé un corps d'ingénieurs pour aider ces même pays à se développer. Nous n'avions trouvé rien de mieux que d'envoyer des gamins, des coopérants supposés techniques, pour éviter, en vérité, à ces gamins de faire leur service militaire et dont certains ont été recrutés sur place par des entreprises françaises, dont la mienne, à court de main-d'oeuvre expatriée, et encadrés par des Français.
En Afrique les anciens avaient, et ont sans doute toujours, leur importance, on les écoute.
Les Britanniques et les Américains avaient raison en envoyant des cheveux blancs, nous pas en envoyant des gamins à peine sevrés.
Malheureusement ces deux initiatives se sont heurtées aux fonctionnaires de l'ONU et n'ont pas reçu le support des gouvernements UK et US. Ces gens-là ne demandaient pas de salaire, seulement leur transport et entretien sur place, mais ils concurrençaient les très chers et très inutiles fonctionnaires de l'ONU trop occupés à organiser leurs cocktails. La Somalie est l'exemple le plus spectaculaire de l'ineptie de l'ONU qui a géré le pays après 1945.
Patrice Charoulet vient d'être malmené sur ce blog, il fut pourtant, à son échelle, une des solutions au problème de l'Afrique : l'éducation des masses. Ce dont bien peu de commentateurs du blog peuvent se vanter !
L'Afrique est un problème qui nous concerne tous, pas seulement Macron et Borloo.
Rédigé par : Claude Luçon | 06 juillet 2018 à 15:51
@ Aliocha | 06 juillet 2018 à 08:01
"Vous dilapidez notre trésor, l'amour du prochain, et trahissez toute espérance de progrès commun, de respect mutuel, d'établissement de la justice, blabla."
Ecoutez, Aliocha, je vous propose un deal. Vous vous occupez de répandre l'amûûûr et les p'tits poèmes, et moi je m'occupe de répandre la haine et la réflexion. Et puis on se retrouve pour faire le bilan. Okay ? Reconnaissez que c'est une offre inespérée.
"...Vous mesurez les QI à l'aune de votre bêtise, vous n'avez pas encore compris que je suis presque d'accord avec tous les diagnostics que vous faites, mais condamne fermement les conclusions que vous en tirez."
C'est ç'la, oui... Un peu comme 100 % des politiciens sont "d'accord avec les diagnostics du Front national, mais condamnent les solutions qu'il préconise". Et, comme on le voit, les "solutions" appliquées par les politiciens politiquement corrects ont fait disparaître le problème...
Nous sommes curieux de connaître quelles sont les "conclusions" que le super-intelligent Aliocha tire de son "diagnostic", c'est-à-dire les solutions politiques qu'il préconise.
En dehors de : Macron c'est mon dieu, et je l'ai-ai-ai-meuh, plus l'amûûûr universel, plus des petits poèmes avec beaucoup de chameaux dedans -- et beaucoup de mépris pour l'Occident, tiens donc !
Mais je pense que nous pourrons attendre longtemps.
P.S.: Vous n'aimez pas mon roi des zoulous ? Moi je trouve qu'il a une bonne bouille. Tant qu'à se retrouver avec des Noirs ridicules dotés d'accoutrements grotesques à l'Elysée, autant prendre celui-là. Ca ne peut pas être pire...
Et puis lui, au moins, il dit des choses sensées : c'était mieux en Afrique du Sud sous l'apartheid, les Blancs le respectaient, les Noirs ont tout détruit et l'histoire les jugera sévèrement.
Ah ! et puis il a aussi exigé "que les immigrés prennent leurs affaires et s'en aillent". Un bon roi, Goodwill Zwelithini, à n'en pas douter...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 06 juillet 2018 à 15:31
@ Achille | 06 juillet 2018 à 10:14
Il est fort difficile de trouver un homme providentiel, si sur les différents sujets, les uns et les autres s'opposent, ce qui ne fait que remettre à plus tard la solution à un problème. Faut-il attendre que les choses s'arrangent d'elles-mêmes ou chercher le chemin qui nous mène à améliorer notre vivre-ensemble que ce soit sur le sujet de l'immigration ou de l'islamisme ?
Faut-il attendre sagement que la femme soit la solution de l'homme sans les aider ?
Einstein nous dit ''ce n'est pas par les chemins qui nous ont menés aux problèmes que nous les corrigerons, ce n'est que par une voie détournée que nous y parviendrons''.
Une de ces voies ne pourrait-elle pas être celle qui suit ?
En 1978, nous avions une régénération convenable.
En 1985, nous épuisions notre renouvellement en dix mois.
En 2015, cette durée a chuté à sept mois.
Et les prévisions pour 2050 la réduisent à un mois et demi…
L’économie, l’écologie et la démographie sont indissociables.
L’économie ne devrait pas être notre souci majeur puisque peu difficile à résoudre. Notre plus grosse inquiétude doit consister à ménager l’avenir de l’espèce humaine, ce qui passe par une régénération naturelle sur notre planète.
Pour que cette régénération soit convenable, trois solutions s’offrent à nous. Il faut les mettre en action en simultané :
· la décroissance de nos besoins individuels
· la décroissance de consommation de notre environnement pour chacune de nos productions
· la décroissance de la population qui commence par la décroissance de la natalité
Il faut bien comprendre que nous sommes dans l’incapacité, nous, pays riches, de satisfaire les besoins des pays pauvres, et cette incapacité se traduit par une obligation d’émigration de ces nations pauvres – émigration dont la cause n’est pas économique mais résulte d’un problème de surnatalité.
Prenons par exemple les populations confondues de l’Algérie et du Maroc : 25 millions d’habitants en 1962, contre 75 millions en 2015. Sans parler des pays africains, qui ont un taux de natalité bien supérieur et qui, comme le Maroc et l’Algérie, sont principalement des pays musulmans.
Cette observation n’a pas de caractère communautariste mais laisse à penser que le cultuel (branche de la culture) a des conséquences sur la démographie et, au-delà, sur l’économie, au même titre que le culturel, qui détermine le comportement de chacun d’entre nous, qui composons une nation, laquelle ne peut être que le reflet de nos comportements individuels suivant la culture dans laquelle nous vivons.
Ce n’est donc pas notre incapacité à produire pour ces nations défavorisées qui fait que ces nations sont pauvres, c’est leur démographie qui les empêche de développer les outils de production nécessaires à une constante nécessité de combler des besoins croissants.
Les nations riches ne sont pas la cause de nations pauvres, comme les émigrés ne sont pas, individuellement, responsables de ce besoin d'immigrer.
Nous avons un problème de surnatalité à résoudre.
Si nous voulons y parvenir, il faut que cesse cette vision que la vie sur Terre n'est qu'une étape pour atteindre l’au-delà en passant par cette apocalypse dont saint Jean dit avoir eu la révélation dans sa grotte, après l'explosion de la foudre qui l'a ébranlée, et dont Mahomet, dans sa grotte lui aussi, affaibli après quarante jours de jeûne (comme Jésus a jeûné quelques siècles plus tôt), dit avoir eu la révélation par l'ange Djibril (Gabriel, pour les chrétiens, le même qui a fait l'annonce à Marie et qui est apparu à Abraham).
Pour vous permettre de mieux juger les interventions de cet ange rappelons que dans la sourate de la table (44,46), Dieu a annoncé l’antériorité de la Torah et des Evangiles : le Coran étant la continuité des messages antérieurs qui vient redresser les déviances du judaïsme, et du christianisme, d'où cette dernière apparition de l'ange Gabriel à Mahomet, pour faire cesser ces déviances en laissant entendre qu'il n'aurait jamais dit à Abraham que Dieu refusait le sacrifice humain, ni ordonné à Moïse et à Jésus « Tu ne tueras pas », mais aurait révélé la vraie parole de Dieu que Mahomet est chargé de transcrire : « Tu tueras infidèles et mécréant qui se mettent en travers du chemin de ta foi, qui te mène jusqu'à moi ! »
N’est-il pas vrai qu’à chaque fois, les révélations de l'ange Gabriel dans les évangiles, Djibril dans le Coran et Ġabrīēl dans la Torah ont été ‘’paroles d'évangile’’ pour des siècles et des siècles, pour ceux qui se référent à ces apparitions respectives ?
Alors, supposons qu'aujourd'hui, Gabriel, Djibril ou Ġabrīēl vienne nous dire : « Vous avez mal compris la parole de Dieu. Dieu veut que toutes les confessions apprennent à vivre ensemble, et mon domaine est ouvert à ceux qui, sur Terre, font autant pour les autres que les autres font pour eux de choses agréables et utiles à la vie ; je vous demande de ne rien faire pour mon plaisir autre que de faire uniquement du plaisir à ceux qui vous entourent ! »
Serait-il cru ?
Rédigé par : Ange LERUAS | 06 juillet 2018 à 15:00
@ Ange LERUAS | 06 juillet 2018 à 09:17
Votre pensée est extraordinairement confuse. On pourrait vous comprendre plus aisément (si tant est que vous vous compreniez vous-même), pour peu que vous consentiez à employer les concepts définis par la science économique, au lieu de notions nébuleuses sorties tout droit de votre cerveau.
On pourrait mieux vous comprendre, aussi, si vous consentiez à parler d'une chose à la fois, au lieu de tout mélanger, pour tenter d'inventer en trois coups les gros une théorie englobante et jamais vue jusqu'à présent.
L'économie est certes une science molle, une science humaine, mais c'est une science. Ses bases en ont été posées et perfectionnées depuis des siècles. Commencez donc par étudier, et utiliser ce que les économistes ont établi, avant d'essayer de nous inventer le moteur à eau.
Vous voulez parler de retraite ? OK, parlons de retraite. Il y a différents régimes de retraite en vigueur dans le monde : celui des sociétés arriérées (chacun se débrouille, les enfants nourrissent leurs vieux parents) ; celui en vigueur en Russie (de toutes façons, vous allez claquer avant d'atteindre l'âge de la retraite) ; la retraite par fonds de pension ; la retraite à points ; la retraite par répartition que le monde entier
nous enviene nous envie pas...Lequel préconisez-vous ? Pourquoi ?
Que me parlez-vous d'inflation et d'argent caché sous le matelas ? La retraite par fonds de pension consiste, tout au long de la vie active, à épargner une part de ses revenus pour les placer. Cela signifie les investir en Bourse (et accessoirement, dans d'autres placements utilisés pour répartir les risques).
Cela veut dire que vous placez votre épargne sur, mettons, quarante ans, ce qui est une durée considérable, et vous permet d'augmenter fortement votre capital une fois parvenu à l'âge de la retraite. A cette date, vous commencez à désinvestir, c'est-à-dire à employer les revenus de votre capital, qui néanmoins continue à fructifier jusqu'à votre décès.
Au lieu qu'avec le système actuel, lorsque votre fameux ménage "actif, riche donc méchant" donne 10 euros à votre fameux ménage "retraité, pauvre donc gentil", par l'intermédiaire de sa caisse de retraite, à l'instant même où il les a gagnés (c'est le principe même de la retraite par répartition), le retraité ne touche que 10 euros -- et encore ! 10 euros, moins les frais d'entretien de la cohorte de fonctionnaires ou assimilés qui "gèrent" le système.
Vous ne préféreriez pas toucher 50 euros, au lieu de 10 ? Au passage, l'investissement en Bourse permis par les fonds de pension permettrait, aux entreprises françaises, d'accéder au capital dont elles manquent cruellement.
Contrairement aux sornettes socialistes dont on nous abreuve, il y a un manque criant de capital en France. Raison pour laquelle nos entreprises, à peine connaissent-elles un maigre succès, sont rachetées par des entreprises étrangères, souvent américaines ou chinoises.
Car les Américains ont la retraite par fonds de pension. Résultat, leurs caisses de retraite sont de gigantesques investisseurs, capables de fournir à l'économie de leur pays le capital dont elle a besoin. Ce qui permet, tout à fait accessoirement, aux actifs d'être moins souvent au chômage, et de bénéficier de meilleurs revenus. Donc d'une meilleure retraite...
Nous, à la place, nous avons le système franco-fanchouille de l'assurance-vie, qui consiste essentiellement, pour les banques ex-nationalisées, à capter l'épargne des Français pour la placer en obligations d'Etat -- c'est-à-dire pour payer la nourriture et les congés-maladie frauduleux des fonctionnaires.
La France "investit" dans les fonctionnaires, les Etats-Unis investissent dans les entreprises.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 06 juillet 2018 à 14:45
@ Achille
"Mais je pense que cette menace va finir par s’estomper, tout simplement parce que le régime de la charia n’est pas compatible avec un fonctionnement harmonieux de notre société. Les femmes musulmanes acceptent de moins en moins d’être traitées comme des servantes par leur mari, leurs frères et même leurs propres enfants mâles. Les mentalités des musulmans changent, lentement certes, mais sûrement et ce sont les femmes qui en seront les initiatrices."
Il est toujours possible de penser, mais encore faut-il que la réflexion s'appuie sur des faits et non pas sur de simples sentiments.
Or les faits sont là, impitoyables : des femmes musulmanes, par exemple des gardiennes d'immeubles parisiens, qu'à une époque rien ne permettait ne distinguer notablement de leurs consœurs lusitaniennes, portent désormais le voile (vu à Paris).
Idem pour des jeunes femmes qui il y a quelques années s'habillaient parfois avec une certaine élégance française.
Dans certaines cités, des groupes patrouillent dans les immeubles pour vérifier que tout le monde fait bien le ramadan.
Les gens surpris en train de manger ou de fumer dehors pendant cette période peuvent se faire passer à tabac, y compris des « mécréants ».
Les cabas sont parfois fouillés à l'entrée des immeubles, pour vérifier qu'ils ne contiennent pas d'aliments prohibés.
Bien entendu, il est impensable qu'une femme seule fréquente certains lieux, comme les cafés.
Les jeunes filles turques sont envoyées « au pays » pour y être mariées de force.
Tout cela en France, avec la complicité attendrie de nos idiots utiles, à l'ombre des paraboles irradiées par les satellites transmettant la bonne parole et les modèles comportementaux correspondants.
Dans les Émirats arabes unis, vivant le plus souvent à l'occidentale en matière d'usage de biens de consommation parfois dans une ambiance de luxe, il faut se lever de bonne heure pour trouver un signe tangible de changement profond des mentalités, même si pour la galerie il existe certains signes d'évolution, arbres qui cachent la forêt.
http://www.lepoint.fr/monde/emirats-arabes-unis-la-question-de-la-femme-progresse-21-07-2016-2055863_24.php
En Arabie saoudite, si les femmes sont autorisées à conduire des automobiles, il n'est pas certain qu'elles échappent totalement à la possibilité de se faire décapiter au sabre pour raisons de mœurs non conformes...
En Égypte, un médecin réputé, supposé évolué selon les critères occidentaux, a commis il y a quelques années un « crime d'honneur » sur une femme de sa famille.
En Égypte toujours, des jeunes filles coptes sont razziées, converties et mariées de force à des musulmans.
https://www.infochretienne.com/egypte-filles-coptes-seduites-enlevees-forcees-de-se-convertir-a-lislam-vendues/
A part ça, rien à signaler.
Rédigé par : Exilé | 06 juillet 2018 à 14:35
@ Achille
" Les femmes musulmanes acceptent de moins en moins d’être traitées comme des servantes par leur mari, leurs frères et même leurs propres enfants mâles. Les mentalités des musulmans changent, lentement certes, mais sûrement et ce sont les femmes qui en seront les initiatrices. La femme est l’avenir de l’homme a dit Aragon. C’est vrai et surtout chez les musulmanes."
Vue de l'esprit.
C'est ce que je me disais dans les années 1980, mais elles sont en réalité les instruments de la perpétuation de l'oppression. J'ai tant d'exemples concrets à citer... mais je ne veux pas faire de hors-sujet...
Rédigé par : caroff | 06 juillet 2018 à 12:05
@ Exilé | 06 juillet 2018 à 09:14
Vous devriez savoir qu'il est impossible d'évoquer le monde africain sans que Claude Luçon, débarque en maître et vous raconte son Afrique que lui seul connaît, apprécie et soit capable de normaliser. D'ailleurs, il aurait pu être le premier blanc président de l'Afrique si l'on avait bien voulu l'écouter. Il est difficile de converser sagement dans ces conditions, c'est comme avec Ange LERUAS qui vient de temps à autre pour capter l'intérêt de quelques interlocuteurs sur ses folies du vivre-ensemble communiste avec des démonstrations shadokiennes. Elusen a disparu momentanément ce qui fait que l'asile est un peu plus calme, mais certaines dames ont du vent dans les voiles et s'emballent.
Continuons donc à être, en Afrique, des "dignes-d'un-don", laissons les Chinois faire ce que nous n'avons pas su réaliser à partir des années 1960 et faisons en sorte de disparaître dignement.
Rédigé par : agecanonix | 06 juillet 2018 à 11:33
Zonzon, haut bourdon de la chrétienté qui résonne et qui sonne, puisqu'on manque de président, vous devriez postuler, tout obligé alors de vous-même vous décapiter : un auto-sacrifice et l'accès à la divinité, qu'est-ce que vous en pensez, n'est-ce pas le meilleur moyen d'être Français ?
Rédigé par : Aliocha | 06 juillet 2018 à 11:10
@ Zonzon | 06 juillet 2018 à 09:05
Rassurez-vous ami Zonzon, il ne m’avait pas échappé que nous n’étions pas exactement du même bord, mais cela n’a aucune importance. Entre gens intelligents il est possible d’avoir des idées divergentes et malgré tout entretenir des relations cordiales. Il n’y a guère que les imbéciles qui se croient obligés de polémiquer dès qu’on ne partage pas leurs idées.
J’ai bien conscience que sur ce blog XB n’a pas beaucoup de supporters. Je n’ose même pas imaginer la façon dont il est traité sur le blog de Rioufol. En ce qui me concerne, je préfère sa dialectique apaisée à celle d’un Laurent Wauquiez qui, bien que défendant une idéologie identique, a choisi le ton de la polémique en faisant davantage appel au côté obscur de la nature humaine qu’à l’intelligence de chacun.
Le problème islamiste est très préoccupant, je vous le concède, dans la mesure où il s’agit d’une conquête civilisationnelle qui, à terme, peut menacer les racines judéo-chrétiennes de notre pays. Mais je pense que cette menace va finir par s’estomper, tout simplement parce que le régime de la charia n’est pas compatible avec un fonctionnement harmonieux de notre société. Les femmes musulmanes acceptent de moins en moins d’être traitées comme des servantes par leur mari, leurs frères et même leurs propres enfants mâles. Les mentalités des musulmans changent, lentement certes, mais sûrement et ce sont les femmes qui en seront les initiatrices. La femme est l’avenir de l’homme a dit Aragon. C’est vrai et surtout chez les musulmanes.
La vision de Michel Houellebecq avec un président musulman n’est pas pour tout de suite. Rendez-vous tous les deux sur ce blog dans cinquante ans pour en reparler !
Rédigé par : Achille | 06 juillet 2018 à 10:14
@ Robert Marchenoir | 05 juillet 2018 à 16:46
Je reconnais ma faiblesse à savoir bien m'exprimer : bien entendu que la consommation mutuelle n'existe pas ni la consommation collective. Il faut donc corriger et parler d'usage de nos consommations nationales lesquels usages peuvent se différencier en usage familial (payé directement), en usage mutualisé où chacun paye une somme pour que celui qui a besoin d'un certain type de consommation puisse y accéder sans payer, puis l'usage collectif où nous tous pouvons accéder à un type de consommation partagée entre tous. Je pensais qu'au-delà des mots le concept de consommation mutualisée ou collectivisée pouvait être compris sans ces précisions.
Quant à la théorie économique qui nous enseigne de laisser faire le marché, nous avons là un concept commun sauf que nous ne laissons pas faire le marché nous le stimulons en prenant soin de produire individuellement ce que les autres ont comme besoins insatisfaits. Il ne sert à rien de produire ce qui est en surproduction ou des besoins non nécessaires dans un régime libéral, le faire c'est un régime communiste qui nous impose ce que nous devons produire pour les besoins de la nomenklatura et pour impressionner le monde par sa force de frappe.
Le régime libéral est un régime capable de s'adapter aux évolutions de la société et savoir que si la solidarité entre individus ne se fait plus au sein d'une famille mais au sein d'une vie en société nationale, actif et inactifs auront toujours besoin du marché pour les nourrir.
Si vous n'acceptez pas ces progrès de la société et n'admettez pas que les ménages les plus aptes à capter les progrès de la société aident les ménages moins aptes à le faire, je ne vous souhaite pas que vos petits-enfants ou leurs enfants se trouvent dans la case des moins aptes. Mais, en ne l'acceptant pas, comment pourrez-vous enseigner que les moins aptes n'ont pas de droit mais que des devoirs de produire pour les autres, et qu'il devront le faire par des implications dans des associations ou par des travaux d'intérêt commun parce que formatés au devoir envers les autres et non formatés au droit de consommer sans besoin de produire ?
Ce qui me surprend le plus chez vous c'est votre souhait du retour à la retraite de Bismark qui ne peut exister que du fait d'une forte inflation qui au final minimise le pouvoir d'achat du retraité sauf à ce que l'épargne que vous faites vous la mettiez à disposition de ceux qui vont surconsommer dans l'espoir que plus tard ils sous-consommeront pour vous rendre votre prêt : alors courage s'il ne le font pas.
Certes l'on peut aussi investir son épargne, c'est-à-dire la somme nécessaire pour consommer à la retraite, combien de notre PIB chaque année ? Pensez-vous qu'il nous faut autant d'investissement pour réaliser nos outils de production qui devront s'amortir dans l'année, pour un même montant afin de satisfaire les besoins financiers en liquidité pour les retraités ?
Vous ne paraissez pas savoir que l'épargne que vous voulez faire est une partie du prix de nos consommations que les entreprises avancent aux actifs avant que sa production ne devienne consommation et une fois cette avance distribuée à l'actif, si celui-ci l'épargne au lieu de payer le prix des choses qui permet de rembourser l'avance faite par les entreprises, que font les entreprises pour récupérer cette avance ?
Que faisons-nous des productions qui ne peuvent trouver acquéreur à hauteur de votre épargne retraite ?
Vous ne comprenez pas : je ne peux alors rien pour vous où alors vous parler des nombres complexes en mathématiques avec sa partie réelle (notre production des actifs qui devient la consommation des actifs et inactifs, dans une famille ou une société) et sa partie imaginaire (la valeur donnée aux consommations dont le partage de cette valeur aux seuls actifs ou actifs plus inactifs, plus organismes pour usages mutuels ou usages collectifs, n'est que l'outil qui permet le partage des consommations nationales aux actifs et aux inactifs qu'ils en fassent usage familialement, mutuellement ou collectivement).
Supprimer une partie des valeurs imaginaires (épargne retraite) une partie de la partie réelle reste sur le carreau (la production ne devient pas consommation).
Ce qui précède explique pourquoi Karl Marx nous a dit ''la monnaie masque la réalité : la production et sa vitesse de circulation (en parallèle de la circulation de la monnaie en sens inverse)''. Hélas on a préféré de lui l'idéologie de la lutte des classes.
Biens entendu nos besoins sont infinis mais si nous sommes éduqués à savoir que nous ne pouvons satisfaire nos besoins non par les bienfaits de l’État providence, ni avec des droits acquis ni grâce à des entreprises payeuses mais à hauteur de nos capacités à produire pour les autres, nous découvrirons qui ''vole'' les autres en consommant plus qu'il ne produit.
Nous comprendrons alors pourquoi le paysan qui toute sa vie a produit pour satisfaire la consommation des autres ne puisse vivre, actif et surtout inactif, qu'avec peu de production des autres, alors qu'un Mélenchon et bien d'autres qui produisent ?? pour que les autres vivent à l'aise et puissent économiser pour se faire un complément de retraite.
Au fait savez-vous ce que produit l'épargne sous la pile des draps ? un arrêt de la circulation de la monnaie, un arrêt des productions qui ne deviennent pas consommations, ce qui arrête la production et crée du chômage et quand cette épargne se fait par psychose de lendemains difficiles par crainte (impossible en France) de retombées de crises de subprime ou de dettes souveraines grecque ou espagnole ou autres nous n'avons pas affaire à une crise n° 2008, mais à une crise psychique.
Rédigé par : Ange LERUAS | 06 juillet 2018 à 09:17
@ Claude Luçon
« Sous le soleil d'Afrique, forer un puits, y installer une crépine puis une pompe en tête de puits activée par l'électricité produite par un panneau solaire installé sur un simple pylône fixé sur un bloc de béton n'est pas un grand défi technique et coûte moins cher qu'un maillot de foot porté par Neymar ! »
Mon cher Claude - veuillez me permettre de vous appeler ainsi - vous prêchez un convaincu et je connais depuis longtemps le type de puits que vous évoquez et qui a fait à une époque l'objet de plusieurs « micro-réalisations » de la part d'associations caritatives qui ont tenté d'aider les Africains au plus près de leurs besoins essentiels au lieu d'augmenter inutilement un pactole que les dirigeants locaux auraient placé en Suisse.
Le problème est que dans les conditions que vous connaissez, de tels puits sont vite inutilisables pour diverses raisons dont l'ensablement et que comme personne ne peut ou veut en effectuer la maintenance, ils tombent à l'abandon.
Oui, quitte à faire hurler les bien-pensants qui pensent de travers, il faudrait en toute rigueur recoloniser l'Afrique, dans le bon sens du terme et dans l'intérêt des Africains, (ce que certains parmi les plus anciens souhaitent) plutôt que de les voir venir nous coloniser au risque de faire couler la barque et tout le monde avec.
Le problème n'est pas d'ordre technique, mais il est à la fois d'ordre humain et idéologique.
Vous utilisez une comparaison qui n'est pas valide quand vous citez l'exemple de l'aide étasunienne, dans la mesure où les mentalités étaient basées sur des acquis, des fondements, des habitudes, des réflexes de type européen qui ne donnaient pas lieu à contestation .
Vous savez d'expérience qu'en Afrique le rythme du temps n'est pas le même, qu'un certain fatalisme peut handicaper les volontés de s'en sortir en affrontant les difficultés avec persévérance, etc.
J'ai aussi travaillé dans des conditions similaires dans le golfe Persique, par exemple, ayant fixé un rendez-vous à quelqu'un le matin, je l'ai vu se pointer tranquillement à 16 heures (mais j'avais oublié qu'on ne travaillait pas à certaines heures, à cause de la chaleur).
A cela, n'oubliez pas que ce continent a été travaillé au corps par le poison de « l'anticolonialisme » et que le travail en équipe, qui serait généralement placé sous le contrôle d'un Européen, serait délicat à conduire sans froisser les susceptibilités et sans avoir à recourir à force palabres.
Mais je suppose que sur ce point, vous avez plus d'expérience que moi.
Enfin, l'expression « aux fous » visait ces élus hors-sol qui, au lieu de faire leur travail, là où ils sont et dans l'intérêt des personnes qui les ont élus, sont pris par la folie des grandeurs en jetant l'argent par les fenêtres pour des motifs souvent loufoques, un peu comme des parents qui seraient plein d'attention pour les enfants de leurs voisins et qui délaisseraient les leurs.
Rédigé par : Exilé | 06 juillet 2018 à 09:14
ACHILLE ET HOUELLEBECQ
C‘est un rite bien rodé. Notre hôte propose un thème et dans la journée il reçoit les réponses tout calibre. Une réactivité à toute épreuve. On ne saura jamais s’il est ravi ou déçu, c’est ça qui est fort !
Pour Xavier B il n’est pas dans le doute. Mis à part notre ami Achille et cet estimable commentateur qui nous arrive de Dacie tout converge vers le rejet pur et simple.
Zonzon donna un avis rapide, cursif, raide, sobre. La concision avant toute chose. RM y vient avec un de ces derniers envois de 6 mots : « Comment peut-on… ».
Il met Xavier B sur sa cheminée en pendant avec Thierry S. Deux statuettes de la Manufacture de la Fraternité. De la pâte graisseuse pour des modèles lourds, adipeux, obscènes. Des personnages suffisants autant que nuls.
Du Rodin plus que du Bernin !
Achille a répondu sérieusement. Il y a quelque temps il nous avait livré le fond de sa pensée : pour lui il n’y aura pas de musulman à l’Elysée avant cinquante ans !
Cinquante ans c’est long ! Cela représente tout de même 10 quinquennats ! C’est mathématique ! Et 10 candidats pour peu qu’il n’y ait pas de reconduction comme on en a déjà vu !
Il va donc falloir fournir ! Il nous faudra du stock ! On ne pourra plus être regardant sur la qualité, forcément ! D’où l’idée de regarder côté « qualité XB » où on n'a que l’embarras du choix ! Pléthore on a !
D’ailleurs quand on se retourne vers le passé proche, que l’on considère la demi-douzaine de consacrés – de Giscard à Bijou – on perçoit vite la ligne de continuité ; du nanan !
Achille est donc bien droit dans son hypothèse en envisageant sans la moindre émoticône bienfaisante un XB possible !
Malgré la réelle amitié qu’il voue à Achille, Zonzon est plutôt du côté de Houellebecq. Sans être totalement assuré que la présidence sera musulmanisée dès 2022, il en envisage sérieusement la possibilité.
Et ce n’est pas ce qui se passe présentement dans cette bonne cité de Toulouse qui va le rassurer. Une grande mosquée de 4 000 places, 40 000 fidèles – quelle paroisse peut se targuer aujourd’hui d’une telle communauté active – 5 autres projets de mosquées dans les « quartiers » et, cerise sur le gâteau un imam qui vient de balancer :
« Les juifs se cacheront derrière les pierres et les arbres, et les pierres et les arbres diront : Ô musulman, ô serviteur d’Allah, il y a un juif qui se cache derrière moi, viens le tuer" ou le fait que "le jugement dernier n’arrivera pas tant que les musulmans n'auront pas combattu les juifs. »
Et derrière les juifs il y a tous les infidèles ! Comme chacun sait ! Vivement 2022 ! Si Bijou tient jusque-là !
Rédigé par : Zonzon | 06 juillet 2018 à 09:05
@ Achille 05/07 10:01
Les sondages d'aujourd'hui, dans le contexte politique et économique du moment, ne seront pas forcément la vérité de demain.
Pour l'heure, XB me semble quelque peu esseulé. Mais vous me rétorquerez qu'il n'y a pas si longtemps, il en était de même pour EM et nous connaissons la suite de l'histoire.
@ Exilé 05/07 13:19
Je ne considère nullement la question identitaire comme secondaire, mais elle ne me paraît pas, à l'opposé, pour autant prioritaire.
Elle n'est tout de même pas à elle seule à la fois la source et donc la clé de tous les problèmes que connaît notre pays.
Et sur ce thème, je ne crois pas que les solutions adoptées jusqu'à présent pour tenter de résoudre ce problème soient les plus efficaces.
De ce point de vue, je partage notamment la vision de Claude Luçon (05/07 20:56).
Rédigé par : Michel Deluré | 06 juillet 2018 à 08:49
Coucou, Marchenoir, les marches blanches et leur tentes, inventez-vous des ennemis pour tromper votre ennui, et mesurez les QI à l'aune de votre bêtise, vous n'avez pas encore compris que je suis presque d'accord avec tous les diagnostics que vous faites, mais condamne fermement les conclusions que vous en tirez, car vous dilapidez notre trésor, l'amour du prochain, et trahissez toute espérance de progrès commun, de respect mutuel, d'établissement de la justice, tout cela pour satisfaire je ne sais quel désir de suprématie qui ne fait que répéter les erreurs du passé, vous précipitant aux fossés des amnésies.
Continuez à sauter sur place, bel oiseau de malheur, de la vérité que vous dégagez vous n'êtes que le fossoyeur, et ne savez qu'infecter les plaies de vos humeurs, inutile oracle de l'Occident défait, incapable d'admettre que la vraie victoire est de reconnaître sa propre erreur, le vrai progrès de la corriger, et le seul chemin envisageable de savoir, soi-même et avant tout, se dominer.
Que n'ai-je connu s'ils savaient
Quel cœur ils possédèrent ?
Combien mon cœur intime eût aimé connaître
Quel chemins de montagne ils empruntèrent !
Verras-tu s'ils se préservèrent
Ou s'ils coururent à leur perte ?
Les princes de la passion d'aimer, par elle déconcertés,
Dans le pire embarras se trouvèrent jetés !"
Rédigé par : Aliocha | 06 juillet 2018 à 08:01
Certains sont élus pour ce qu'ils sont, d'autres pour ce qu'ils ne sont pas ; rares parmi ces derniers en sont conscients.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 06 juillet 2018 à 06:04
@ Claude Luçon | 05 juillet 2018 à 20:56
En somme, ce que vous proposez, c'est que nous recolonisions l'Afrique... Ni les Africains, ni les Européens ne le veulent. Le voudrions-nous, de notre côté, que nous n'aurions pas les moyens militaires, politiques et économiques de le faire.
Et nous avons déjà à décoloniser la France... de ses étrangers, et de sa fonction publique. Quel était le montant de la dépense publique, en France, du temps de vos aventures pétrolières ? Beaucoup, beaucoup plus bas que celui d'aujourd'hui.
L'une des raisons principales qui nous ont fait abandonner l'Algérie était qu'elle nous coûtait trop cher. A l'époque, la dépense publique en France devait représenter dans les 35 %. Aujourd'hui, nous en sommes à 56 %... avec une dette incomparablement supérieure, proche de 100 % du PIB...
Ce que j'écris n'est pas destiné à diminuer vos mérites, ni ce que vous avez fait à votre époque. Mais le monde a changé, depuis.
La moitié des Africains n'ont pas l'électricité. L'Inde vient d'annoncer l'électrification de tous ses villages. A votre avis, d'où vient cette différence ? Quelques éléments de réponse.
Attention, attention, trigger warning, que les gauchistes de droite et de gauche se réfugient dans leurs safe spaces, surtout ne pas cliquer sur les liens suivants. Matière hautement radioactive, "raciste" et "à la droite de l'extrême droite" ci-dessous.
Par exemple, dans le quotidien nazi Le Monde, à la rubrique Le Monde-Afrique inspirée par Goebbels, cet article du théoricien négrophobe Yann Gwet -- et néanmoins essayiste camerounais : En Afrique, un aveuglement collectif face à une réalité terrifiante.
Ou bien, sur le blog al fin next level, l'un des meilleurs blogs du monde, bien entendu américain, bien entendu censuré par Google, et bien entendu écrit par un anonyme -- coucou, Charoulet... (pas un gars qui écrit sous pseudo : quelqu'un qui n'a même pas un faux nom).
Vous noterez qu'un nombre saisissant des points de vue "racistes anti-noirs" auxquels ce blog se réfère proviennent de gens avec des noms comme Dambisa Moyo, ou Remi Adekoya, ou Chigozie Obioma, ou même Goodwill Zwelethini, roi des Zoulous -- coucou, Aliocha...
Africa's Complex Transition into the Modern World
Can Africa Rise Above Its Poverty and Low IQ ?
Why do Blacks Destroy Almost Everything they Inherit ?
A côté de ces vrais intellectuels noirs, nos "anti-racistes" blancs en carton, et parfois même "de droite", continuent à nous bassiner avec l'ineffable "négritude" du socialiste Léopold Sédar Senghor et du communiste Aimé Césaire. On mesure le gouffre...
Rédigé par : Robert Marchenoir | 06 juillet 2018 à 01:44
@ duvent | 05 juillet 2018 à 18:50
Faisant partie des observateurs plus que des acteurs de ce blog, je peux vous dire que "Exilé" a déjà changé de pseudo, et il me semble, si ma mémoire est bonne, que vous ne gagneriez rien à ce qu'il récidive, puisque, s'il récidive, il choisira un synonyme...
Rédigé par : Herman kerhost | 06 juillet 2018 à 01:28