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28 octobre 2018

Commentaires

Ellen

@ breizmabro | 03 novembre 2018 à 11:12

C'est le top du top. D'accord sur tout ce que écrivez. Restez comme vous êtes, on a besoin de gens comme vous.

breizmabro

@ Ellen 01 novembre 2018 à 23:59

Encore un coup de Sarkozy j'en suis sûre !

Sarkozy c'est comme le furet de la chanson, il est passé par ici, il repassera par là, il court il court le furet... A mon avis c'est lui qui a financé la campagne de son nouvel ami qu'il a, le jeune Manu qui garde le cap (de Bonne Espérance sans doute...) Il s'était exercé sur le coup avec le financement de sa propre campagne par Kadhafi (enfin, c'est ce que dit Plenel qui ne publie jamais de nouvelles non pertinentes, c'est lui qui le dit donc c'est vrai, un trotskiste ne ment jamais, Robert M. peut le confirmer).

Selon Mediapart, le Qatar a injecté 1,8 milliard d'euros dans le club de la capitale "de façon largement frauduleuse", parmi lesquels les fameux contrats de sponsoring. Nicolas Sarkozy aurait aussi aidé dans le plus grand secret le rival du Qatar, son voisin et ennemi d'Abu Dhabi, dans ses démêlés avec le FPF.
C'est vous dire !!

Je pense que M. Bilger ne va pas manquer de nous faire un p'tit billet sur cette nouvelle future mise en examen de l'infâme Sarkozy, cet épicier qui ne met pas en boîte que des petits pois... :(

Bref on n'a pas fini d'entendre parler du furet Sarko. Mais comme disent les publicitaires "qu'on en parle en bien, qu'on en parle en mal, l'essentiel c'est qu'on en parle" ("de moi" rectifie Sarko).

Adéo Ellen

Savonarole

C'était bien la peine de nous avoir pompé l'air pendant 70 ans, sur nos bancs d'école, avec "Pétain et les collabos" pour se retrouver aujourd'hui avec le Pétain de l'immigration de masse et ses collabos médiatiques.

À la Libération, j'ouvrirai un salon de coiffure, va y avoir de la tonte.

Et au fort de Montrouge, va y avoir de l'attente.

calamity jane

@ Exilé

Remerciements pour le lien (29 octobre 10h09).
Il permet de comprendre la crise pétrolière de 1973 et
l'arrogance actuelle des populations communautaires
revendiquant le port du voile notamment et entre autres.

Ellen

@ vamonos | 01 novembre 2018 à 20:46
"Une ou plusieurs monarchies du Golfe ont financé M. Macron et il ne tient pas à leur déplaire."

Au titre de son exemplarité tant criée et de la transparence, ça mérite d'être creusé pour connaître les noms des donateurs et sachant que c'est la campagne de Macron qui a coûté le plus cher : un peu plus de seize millions d'euros.

vamonos

Pourquoi M. Macron est-il si généreux avec l'argent des classes moyennes et pourquoi laisse-t-il immigrer et prospérer les musulmans en France ? Et comment se fait-il que les bailleurs de fonds de sa campagne restent inconnus à ce jour ?

En mettant en perspective ces trois questions, il existe une solution plausible.

Une ou plusieurs monarchies du Golfe ont financé M. Macron et il ne tient pas à leur déplaire.

Ellen

Macron n'a plus le choix. Il doit nous écouter sous peine d'être inscrit un jour dans l'histoire comme ce traître inculte, histoire d'avoir entraîné la France et les Français dans un gouffre entre les mains des islamistes, notre futur malheur.

Il est urgent de marquer un STOP à toute cette immigration islamique sauvage. Si on veut éviter avec certitude d'assister à l'effondrement de l'Europe, nous devons tous ensemble dire NON, Macron vous marchez à contresens et nous ne vous laisserons pas faire. La première à en payer le prix sera la France.

Si nous ne nous opposons pas plus fermement que ça à préserver notre pays et l'Europe tout entière de cet envahissement illégal, nous courrons alors à notre perte en livrant à nos ennemis présents et futurs notre foi chrétienne piétinée, toute notre histoire et la culture que nos ancêtres nous ont léguées au prix de leur sang.

Si Macron ne réalise pas à temps qu'il est en train de vendre la France aux indésirables, il sera trop tard d'ici quelques années pour faire marche arrière à moins d'une guerre civile pour récupérer ce qui nous appartient de plus cher. Mais espérons que nous n'aurons pas besoin d'en arriver à ce point ultime pour nous faire entendre.

Un seul homme n'a pas le droit de rayer la France et l'Europe de la carte. M. Macron, j'espère que vos quatre jours de repos vous mettront un peu plus de plomb dans la tête et que vous réfléchirez mieux à ce qu'il y a lieu de faire pour sauver notre pays.

Immigration et insécurité : Gérard Collomb (il n'est pas le seul, d'autres pays de l'Europe sont encore plus alarmistes) estime que d’ici à 5 ans, la situation pourrait devenir irréversible.

M. Macron Mit freundlichen Grüßen zu deiner Mutti, aber nicht mehr lange.

Aliocha

Oh oui, duvent, Racine, et Aricie en réponse immédiate !
Et de briser la chaîne de l'héritage, renoncer à l'armure de son mensonge, nu face à la souffrance, suivre tout pensif le chemin de Mycènes, proie attachée de Vénus la prédatrice, cadavre mais avoué aux regards de l'aimée, celle qui n'a plus que la parole pour dire sans rien empêcher, éclair inutile sans doute face à la malédiction, mais espoir d'avoir vu, et de voir, et de dire non :

Et comment souffrez-vous que d’horribles discours
D’une si belle vie osent noircir le cours ?
Avez-vous de son cœur si peu de connaissance ?
Discernez-vous si mal le crime et l’innocence ?
Faut-il qu’à vos yeux seuls un nuage odieux
Dérobe sa vertu, qui brille à tous les yeux ?
Ah ! c’est trop le livrer à des langues perfides.
Cessez : repentez-vous de vos vœux homicides ;
Craignez, seigneur, craignez que le ciel rigoureux
Ne vous haïsse assez pour exaucer vos vœux.
Souvent dans sa colère il reçoit nos victimes :
Ses présents sont souvent la peine de nos crimes.

duvent

@ Aliocha

Racine !!

Je vous envoie alors, Hippolyte !
_____________________________________________


"On sait de mes chagrins l'inflexible rigueur.
Le jour n'est pas plus pur que le fond de mon cœur."


Aliocha

Quoi d'autre ?
Ah, oui !
Le vent, qui souffle où il veut, transporte avec lui outre les pollens, ses pollinisateurs, pharmakos qui zonzonnent et rappellent le grec aux Latins, et que la clownerie est un soin :

"γνώθι δ’ οὖσ’ ἐπί ξένας
δμωίς ἐπ’ αλλότριας
πόλεος, ἔνθ’ οὐ φίλων τιν’ είσορας
σῶν, ὦ δυστυχεστάτα
πασᾶν, τάλαινα νύμφα.
Apprends que tu es sur un sol étranger, esclave dans une cité qui n’est pas la tienne, où tu n’aperçois aucun de tes amis, ô la plus éprouvée de toutes ; femme infortunée !"

Pourtant née d'un père libre, voilà Andromaque esclave, de qui, peut-on s’interroger aujourd'hui, si ce n'est, comme nous tous, vent et insectes confondus, de notre envie d'en découdre.

Heureusement la France, heureusement Racine, pour un espoir de pierre d'angle, de janséniste renoncement, on l'appellerait le repos du président :

"Il peut, Seigneur, il peut, dans ce désordre extrême,
Épouser ce qu’il hait, et punir ce qu’il aime."

Noblejoué

@ Tomas

Le fait que vous relativisiez les invasions discrédite tout le reste, on voit que le fait que nous venions à en subir, si cela arrivait devrait être relativisé.

Pour ne pas en venir là, pour ne pas subir d'attentats et réduire drastiquement les problèmes d'éducation, fermons-nous aux gens qui, premiers immigrés à le faire, commettent des attentats et dont les enfants contestent l’enseignement de la Shoah, Darwin et le reste.
Un pays n'est pas fait pour les étrangers... S'ils nuisent, il faut les maintenir dehors.
Nous n'avons aucun devoir de les accueillir, et partant, rien à faire pour les intégrer.

D'ailleurs, la question est mal posée... C'est à l'étranger de se plier au pays, pas le pays à l'étranger.

Certains disent qu'on a la devoir d’accueillir tout le monde, si on n'est pas obligé de laisser les réfugiés s'installer.
C'est méconnaître la difficulté d'expulser les gens une fois qu'ils sont sur une terre que trop s'imaginent alors leur être due, et qui de plus prétendent parfois subvertir les mœurs du pays. Le passager clandestin contestant l'organisation du navire : à la mer. En plus, on trouvera toujours des inconscients voulant les garder, sauf que la garde est partagée, le "pas de vague", les femmes ne pouvant pas porter de jupe dans certaines banlieues, les pressions pour ne pas dire du mal de l'Islam et autres nous polluent tous, c'est le souffrir par les indésirés-indésirables et non le vivre ensemble qu'il faudrait dire pour décrire la situation.

Contre l'idée qu'on puisse, comme on veut, faire repartir les réfugiés si on n'en veut plus :
http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/liscompa.htm

Je ne dis pas que tout ce qui ressort de l'Islam soit mauvais, mais que les seuls immigrés s'étant retournés contre nous sont de cette origine.
Donc "méchants", et La Fontaine dit plus haut ce qu'il faut penser de reprendre son bien aux ingrats.

"Non et cent fois non, le salut de l'Europe ne viendra pas de sa partie orientale, qui connaitra sans doute comme notre pays l'inevitable metissage ne de la mondialisation, de la meme facon que la construction de la France contemporaine au XIXe siecle a agglomere entre elles les provinces de l'ancien royaume de France."

Pardon, mais en démocratie, le peuple ne veut pas se plier aux lois de l'Histoire marxiste où il n'y a pas d'alternative de l'autre bord, il veut choisir.
Et s'il y a des indésirables, leur claquer la porte au nez. Chacun a le droit et le devoir envers soi-même de défendre son intégrité. Le pays n'est pas fait pour les étrangers, le peuple souverain doit décider.

Votre comparaison avec les provinces françaises, les pays vont disparaître, un seul pays avec un gouvernement mondial ?
C'est pire que tout : un seul gouvernement est le pire danger, le changement climatique n'est rien par rapport à cela, vraiment rien. Parce que s'il était tyrannique, il ne pourrait jamais être renversé, tout pouvoir à l’intérieur égale pas de révolte ou plus vite réprimée qu'un spectacle où les dirigeants seraient allés pendant qu'on faisait le ménage pour eux. Et pas d'extérieur ! Donc ni guerre chaude, ni guerre froide pour le renverser !

Cette tyrannie ne finirait donc qu'avec la fin, d'ailleurs sans doute accélérée après régression, je peux le démontrer, mais je fatigue, de l'espèce humaine.

C'est bien simple : tout vaut mieux qu'un gouvernement mondial.
Si la mondialisation y conduit, elle est encore bien plus dangereuse qu'on ne le dit ici ou là.

Il faut fermer la porte aux éléments déstabilisants et la voie aux excroissances institutionnelles de toutes sortes capables d'accoucher d'un gouvernement mondial tyrannique donc infernal.
"Vous qui entrez ici, laissez toute espérance". Il y a eu pire que la guerre, les génocides, il y aura pire que les génocides, un Etat où le gouvernement aura réduit l'humanité en esclavage. Avec ou sans massacres de masse pour s'amuser un peu, avec dégradation des humains par diminution des capacités humaines ? Le pouvoir illimité ouvre à des espaces sadiens faisant penser à ce que j'ai entendu dire de "Yapou bétail humain", sans avoir eu le courage de me l'infuser, non plus que Sade, merci. Pourtant, il faudrait sans doute montrer les conséquences probables d'un gouvernement mondial, d'une manière aussi effrayante mais plus supportable, comme Hitchcock avec la scène de la douche ou 1984 pour l'explication politique.

Le dieu unique fascine. Le cercle fascine. Aimer d'un seul cœur fascine... Il y a une cascade de connotations favorables à l'idée de gouvernement mondial.
Mais la seule chute d'eau qui lui convienne est celle d'une chasse d'eau.

Toute porte ouverte à la destruction doit être fermée.

Tomas

@ FONSECA

Vous aussi vous mordez a la fable des Hongrois, Polonais, Roumains, etc. (on pourrait y rajouter les Russes, qui ont subi le "noug tataro-mongol" a notre place). C'est stupide. Ces pays etaient au mauvais endroit au mauvais moment, comme nous en 1939 ou les Gaulois en - 50.

Relativisons d'ailleurs l'invasion ottomane qui a respecte les coutumes et religions locales, quatre siecles d'occupation des Balkans ne les ayant pas rendus integralement musulmans, loin de la meme.

Pour comprendre Hongrie, Pologne et Roumanie d'aujourd'hui il faut voir ce qu'ils etaient en 1939 : des pays peu developpes economiquement, culturellement (l'analphabetisme etait encore largement repandu) et politiquement (tous etaient des dictatures).

C'est le communisme qui les a modernises, autant dire que ca n'a pas ete bien fait.

Il faut donc les comprendre, oui, j'approuve cent fois. Mais il y a des limites : en choisissant de rejoindre l'UE et ses genereux fonds structurels qui tirent une bonne partie de leur croissance, ils se sont engages a suivre des regles communes et a adherer au systeme de valeurs de l'Occident. Or voila qu'ils critiquent celui-ci honteusement, y compris et surtout aupres de leur propre population qu'ils s'efforcent d'endoctriner par leur television publique qui n'a rien a envier a la communiste sur le plan de la mauvaise foi haineuse.

Il faudra donc bien leur dire un jour ou l'autre qu'entre Bruxelles et Moscou, il leur faudra choisir.

J'invite ceux (caroff ?) qui seraient tentes par l'exil dans ces belles contrees pour echapper au grand remplacement (qu'ils alimentent d'ailleurs au passage : je ne suis pas sur que nous aurions eu droit au Brexit sans la massive immigration d'Europe de l'Est qu'a connue ce pays) a faire un check-up et les soins necessaires chez nous tant que ca marche encore car la-bas ca ne marche plus et ca ira de pire en pire.

Non et cent fois non, le salut de l'Europe ne viendra pas de sa partie orientale, qui connaitra sans doute comme notre pays l'inevitable metissage ne de la mondialisation, de la meme facon que la construction de la France contemporaine au XIXe siecle a agglomere entre elles les provinces de l'ancien royaume de France.

Si cela peut vous rassurer, elles n'en ont pas disparu pour autant, et ne me paraissent pas pres de le faire !

Elusen

@ FONSECA | 30 octobre 2018 à 11:35
« ...deux siècles et demi d'occupation ottomane »

Pourrions-nous savoir quels sont les Hongrois d’aujourd’hui qui ont vécu l’occupation de l’Empire ottoman de 1541 ?

Vos Hongrois, cela n’a point l’air de les gêner d’avoir donné un président de la République française et nos grands amis les Balkany.

Comme si l’on expliquait la France par l’occupation des Frekkrs (Francs).
Remarquez, eux ne sont toujours pas partis, cela fait 1 500 ans qu’ils occupent.

FONSECA

A propos des Hongrois, il faut rappeler, comme vous le faites pertinemment, que leur pays a subi non seulement la domination soviétique, de même que ses voisins de l'ex-Pacte de Varsovie, mais a aussi connu, sur une bonne part de son territoire, deux siècles et demi d'occupation ottomane, qui n'a pas été une partie de plaisir pour les Hongrois.
Les visiteurs non invités qui s'installent chez eux pour des années ou des siècles, les Hongrois savent ce que c'est.
Cette mainmise n'a pas été facile pour les occupants, ce qui a contribué à bloquer les Ottomans dans leur avancée. On peut dire la même chose de la Serbie, qui a été aux premières loges, d'abord en combattant les Turcs, puis en se rebellant régulièrement pendant quelques siècles sous leur colonisation, mobilisant les forces de l'occupant.

Ces deux pays ont ainsi aidé à protéger le reste de l'Europe d'une invasion, clairement annoncée, certaine et douloureuse. Contrairement à nous, leurs habitants n'ont pas la mémoire courte. Nous sommes mal placés pour leur faire la morale.

Zonzon

@ duvent le 29 octobre à 17 h pile

Zonzon MAUVAIS SUJET

Il est sinistre quand il n’est pas drôle ! Ah ! la ! la !

Moi je m’en fous, j’ai du poil aux pattes
Moi je m’en fous, j’ai du poil partout.

Et d’ailleurs :

Dans la vie faut pas s’en faire
Moi je m’en fais pas.

Quoi d’autre ?

Ah oui !

Non rien !

Finalmente Zonzon aime bien les polygrottes, on y est à l’abri du vent !

C’est tout pour aujourd’hui (Professeur Shadoko)

Alex paulista

@ sbriglia
@ sylvain

Merci pour cette pensée. Mais non, je suis très bien au Brésil. Bolsonaro a bien des défauts, mais pas celui de mettre tous les problèmes sur le dos des étrangers.
Mais que pouvait-on attendre de votre part que le triste refrain : "ah qu'est-ce qu'on est mieux en France !".

Pourtant c'est vous qui êtes dans une cocotte minute à 57% de dépenses publiques. La pression s'accumule, attention...

Elusen

@ Exilé | 29 octobre 2018 à 20:44 (@ Claude Luçon)
« Par rapport à nos mœurs françaises de voyous »

Ben nous allons vous laisser entre vous, entre racistes !

Une nationalité, un truc juridique donc, serait teinté de mœurs ?!
Un pour tous, tous pour un ; tous les Français, tous les Hongrois.
Ca passe son temps à chialer, à affirmer : les Arabes ceci, les musulmans cela, les immigrés autre chose, les juifs c'est comme ça, les noirs ceci et les bonnes femmes... pour balancer au final : mœurs françaises de voyous !

Exilé

@ Claude Luçon
« J'ai travaillé avec deux Hongrois devenus citoyens américains et réalisé que côté cœur et cerveau ils n'avaient rien à nous envier pas plus que du côté revenus d'ailleurs.
Ils étaient aussi remarquablement courtois. »

J'ai aussi travaillé il y a plusieurs dizaines d'années avec un Hongrois et j'ai eu l'occasion de faire un déplacement professionnel en Hongrie, à l'époque du rideau de fer.
Je confirme votre appréciation, à la fois sur leurs compétences techniques et sur leur parfaite éducation, dans un style un peu suranné rappelant l'Empire austro-hongrois, par rapport à nos mœurs françaises de voyous, en comparaison.

duvent

@ Zonzon HORS SUJET

Zonzon est sinistre quand il n'est pas drôle ; dès lors il faut lui rappeler que :

1 - la mort est un sujet morbide...
2 - Pallida mors aequo pulsat pede pauperum tabernas Regumque turres.
3 - vulnerant omnes ultima necat...

Mais, car il y a un mais, il ne faut pas s'en faire ! Voyez comme c'est amusant !
https://www.youtube.com/watch?v=vOGhAV-84iI

Elusen

@ genau | 29 octobre 2018 à 10:33

Hitler n’est pas son nom.

C’est confirmé par le Professeur - anobli par la Reine britannique au titre de Sir - Ian Kershaw de l’Université de Sheffield, UK, dans son immense biographie de plus de 1 000 pages, que j’ai lue.

C’est un bohémien qui s’appelle Schicklgruber. Son père catholique a mis enceinte sa cousine, hors mariage, il a été obligé dans la précipitation de demander au Pape une autorisation de l’épouser.

Adolf a été déclaré au registre paroissial des naissances de l’Église catholique, à l’époque cela ne se faisait pas en mairie.

Le père qui subissait le racisme envers les bohémiens a été autorisé à faire usage d’un autre nom de famille, l’autorisation n’a porté que pour le père mais pas pour Adolf qui lui a joué avec le nom en le changeant à plusieurs reprises semble-t-il.
Hoettler qu’il a écrit un temps Hittler (avec deux t), puis en Bavière, comme clandestin fuyant la police de son pays, sous le pseudonyme de Hitler, cette fois-ci avec un t.

Les Professeurs Kershaw et Weber confirment tous deux que Schicklgruber n’était pas antisémite avant d’infiltrer le NSDAP (parti nazi). C’était un lâche. Il était membre du Parti socialiste, il est même à l’enterrement du président socialiste de Bavière Kurt Eisner, de religion hébraïque, assassiné par un nazi.

Quand Adolf fut arrêté par l’armée du fait d’avoir été membre du Parti socialiste et d'avoir participé à des comités révolutionnaires, pour ne pas être fusillé, il a dénoncé tous les militaires membres du Parti socialiste.

En échange de sa vie, l’armée de Bavière lui a demandé d’infiltrer le NSDAP (parti nazi), car l’armée avait peur que ce parti trouble le pouvoir en Bavière. C’était un agent d’infiltration, il a été payé pour cela jusqu’à ce qu’il soit nommé Chancelier. Si le NSDAP l’avait su il aurait été assassiné.

Schicklgruber à l’enterrement de Kurt Eisner, sous la flèche blanche, photographié en direct des Archives de Bavière :
https://www.historisches-lexikon-bayerns.de/images/f/fa/Artikel_44676_bilder_value_6_beisetzung-eisners3.jpg

breizmabro

@ sylvain 29 octobre 2018 à 07:54
"Je jouis d'avance d'entendre nos prêtres gauchistes, Ruquier, Ardisson, et tous les débats du service public de gauche donner dans le "raciste homophobe sexiste machiste régime policier" etc. Que du bonheur !"

Bien d'accord avec vous, du reste la curée a commencé. Y en a un qui s'en sort bien sur ce coup-là c'est Trump parce que, en comparaison de Bolsonaro, il fait figure d'angelo.

Vivement demain... et les jours à venir :D

Comme chantait Fugain dans "Les gentils, les méchants" :

"Qui c'est qui vend les fusils... les gentils
"Qui c'est qui s'retrouve devant... les méchants"

Claude Luçon

@ caroff | 29 octobre 2018 à 09:00

Je ne regarde personne avec condescendance, pas plus les Ethiopiens, les Bantous, les Yorubas, avec lesquels j'ai vécu longtemps, que ceux qui ont subi le soviétisme, ayant moi-même subi l'occupation nazie.
Je voulais seulement dire que les chiffres ne disent pas tout.

Par exemple sur ceux que je vous donne vous pourriez me répliquer : il faut considérer le prix du litre de lait, du kilo de patate, d'une pinte de bière… dans chaque pays, pour comparer les vrais niveaux de vie.
En dépit de ses revenus bien plus élevés que ceux des Hongrois, c'est le Français qui se plaint le plus des deux.
On "burn out" plus rapidement en France qu'en Hongrie il semble !
Chez nous on taxe les anciens mais les jeunes ne veulent pas payer leur essence plus chère pour redresser les comptes du pays tout en critiquant le gouvernement de s'acharner sur leurs parents en retraite.
Inversement un chômeur en France touche plus que le salaire moyen hongrois.
J'utilise et vante toujours les chiffres ici mais je m'en méfie tout autant.
Je le fais car je me méfie encore plus des mots.

J'ai travaillé avec deux Hongrois devenus citoyens américains et réalisé que côté cœur et cerveau ils n'avaient rien à nous envier pas plus que du côté revenus d'ailleurs.
Ils étaient aussi remarquablement courtois.

Xavier NEBOUT

@ genau

Sommes-nous libres de parler d'Hitler sans y ajouter au moins un qualificatif insultant ?

Hier soir, sur la 25, falsification de l'histoire en continu. Après celle de la guerre 39-45, c'est sur celle de 14. Voilà que pour désamorcer le vent de mutinerie qui emportait l'armée en 17, Pétain aurait commencé par faire fusiller 54 mutins !
Jusqu'où la pègre médiatique ira-t-elle ?

sbriglia@sylvain

"Ayons tous une minute de compassion pour toutes ces gauches qui, ce matin, sont en deuil depuis l'élection de Bolsonaro
..../...
Que du bonheur !
Rédigé par : sylvain | 29 octobre 2018 à 07:54"

...Et ayons une pensée émue pour Alex paulista qui choisit, il y a quelques années, de quitter la France, "pays raciste et policier", pour rejoindre cette magnifique démocratie qu'était le Brésil...

Il est peut-être en train de consulter les vols de retour...

Exilé

@ Claude Luçon
« Il va falloir laisser le temps aux Hongrois de nous rattraper !
On peut faire dire bien des choses aux chiffres ! »

Attention - caroff l'a rappelé - il faut se souvenir d'où ils viennent, ainsi que d'autres pays de la Mitteleuropa qui sont en plein décollage économique.

Des entreprises manufacturières allemandes ont délocalisé une partie de leur production (automobiles, électroménager, outillage etc.) dans ces pays, réputés depuis dès les années ayant précédé la Seconde Guerre mondiale pour offrir une main-d’œuvre de haute technicité.

Une anecdote.
Quand, après la disparition du joug communiste, l'entreprise Skoda a cherché à se rapprocher d'autres constructeurs européens, Renault n'a rien trouvé de mieux que d'associer la CGT à la délégation de négociateurs, ce qui a jeté un froid chez les Tchèques...
Ils ont préféré se rapprocher de Volkswagen.

Il y a en France trop de gens que la psychologie n'étouffe pas et qui vont ensuite venir se plaindre de leurs échecs.

https://www.challenges.fr/automobile/actu-auto/skoda-la-marque-que-renault-aurait-vraiment-du-racheter_35807

Xavier NEBOUT

Le Brésil nous signifie le reflux de la vague soixante-huitarde à l'échelle internationale.

C'est précisément dans ce sens que se situe Marion qui forme les futurs cadres du retour vers la civilisation.
Puisse son grand-père, le vieux lion, vivre assez longtemps pour vivre cette résurrection.


sylvain

Pôv' Macrounet ! Il a de plus en plus de rides, de cernes de fatigue et de stress à cause de cette montée des populismes nationalismes fascismes d'extrêêêmes drouâââtes en Europe !!

Son visage se momifie à vue d'oeil, avec ce dernier coup de grâce que le Brésil de Bolsonaro lui aura infligé, il va nous ressembler à un masque d'Halloween ; ça tombe bien puisque nous vivons des Zeures Zombres du retour des bébêtes Zimmondes.

Eho les gauchiasses ! une petite marche blanche Bastille-Nation ?
Flashmobs antiracistes Place de la Raie-publique ?
Gay Pride anti-homophobes ?

Allez-y défoulez-vous en attendant les prochaines élections en faveur des candidats fascistes racistes homophobes à venir !

Y a des semaines comme celles-là qui démarrent bien, vous ne trouvez pas ?

jack

Macron a encore du pain sur la planche : le Brésil de Bolsonaro, l'Amérique de Trump, la Russie de Poutine, la Chine de Xi Jinping.

genau

@ Elusen
"Apparemment vous ne connaissez pas grand-chose de la période, ni du sieur Schicklgruber, Austro-Hongrois qui a immigré en Allemagne à 24 ans sous le pseudonyme de Hitler."

Ce n'es pas tout à fait exact, Hitler n'a jamais porté ce nom, qui n'a jamais été le sien. C'est seulement le nom de sa grand-mère. Mais je vous concède que l'état civil d'Adolf est complexe, en raison de mariages successifs, de naissances caviardées et ensuite de rectifications politiques. J'aime beaucoup ce personnage qui porte en lui des contradictions insolubles. Vous avez raison en ce qui concerne son accession au titre de chancelier par nomination, mais au vu d'élections qui la rendaient légitime. En France, à cette époque, les femmes ne votaient pas... les scrutins portaient en eux une légitimité que ni la Nature ni la logique ne leur conféraient et pourtant... ce sont ces élus qui ont envoyé à la mort des millions d'hommes et de femmes.
Ceci, non pour polémiquer mais rendre compte, si faire se peut, de la fragilité des institutions.

Exilé

@ Florence
"Je n'arrive même pas à comprendre qu'intellectuellement on puisse soutenir que l'intégration des deuxième et troisième générations de l’immigration n'a pas marché et "en même temps" en vouloir toujours plus. C'est de la folie pure et simple."

Folie planifiée depuis le 6 novembre 1973 avec le protocole de Barcelone :

https://www.youtube.com/watch?v=w6Cb4sFhopU&feature=youtu.be

Zonzon

DÉCORTIQUONS, DÉCORTIQUONS, IL EN RESTERA TOUJOURS QUELQUE CHOSE ! Suite 4

« Je pense que ceux qui prennent fait et cause pour les Israéliens [1] au point de les considérer comme un peuple ayant plus de mille ans d’avance sur nous (ben voyons !) [2] devraient s’attarder un peu plus sur le comportement des colons israéliens qui s’emparent sans vergogne des propriétés des Palestiniens de la bande de Gaza. [3]
Même des Israéliens résidant en France condamnent ce genre de colonisation forcée.[4]
Le régime de Netanyahou n'est ni plus ni moins qu’une dictature [5] qui bénéficie, en outre, de la protection bienveillante des Etats-Unis. [6] » (Achille)

45-47. L’horreur a pris fin. Les survivants s’examinent incrédules. Le numéro qu’on a inscrit sur leur corps leur fait horreur mais il va devenir aussitôt une distinction, eux les témoins de l’indicible. La vieille Europe leur fait peur. Vingt siècles que cela dure, des hauts, des bas, à chaque poussée de fièvre on ratiboise ! La terre promise est à côté, pourquoi ne pas se conformer aux écritures.

A l’ONU, un machin tout neuf, on parle de l’éventualité d’un retour. Chez les jeunes il y a ce rêve merveilleux du kibboutz, une sorte de kolkhoze avec la judaïté comme ciment à la place du « communisme goulaguien ».
Cela n’a pas trop bien marché mais l’idéal était magnifique : une communauté humaine de bonne taille arc-boutée sur une production aux fruits justement répartis, vivant selon les enseignements du livre.

En 47 le miracle se produit, le « retour » est reconnu, proclamé. « On autorise » le peuple juif à posséder une parcelle de terre dans le vaste monde. Et pas n’importe où. Pas au Birobidjan comme l’avaient proposé les poutiniens subtils ou en Patagonie, appendice de la planète. En Palestine, figurez-vous !
Alors là chapeau ! Nous les juifs, un pays, et en Palestine, vous voulez rire ! On ne va tout de même reconstruire le Temple ! Ce serait excessif, mal considéré, un mauvais coup pour notre orgueil.
Et puis il y a les Arabes ! On les avait presque oubliés ceux-là !

Tous ces événements d’une réalité crue nous furent racontés plus tard dans « Exodus » magnifique film retraçant la naissance d’Israël aux forceps avec aux commandes l’exaltant Paul Newman, le plus beau des ashkénazes qui se puisse imaginer.

L’épopée, la saga, la légende, l’exaltation poétique, ça va bien cinq minutes ! L’ambiance sur place devint vite électrique. Le doux crépitement des Kalachs se fit entendre et le bref éclatement des grenades ponctua les premières réjouissances.
Il y avait du ressentiment quelque part ! Les Arabes repartaient en guerre pour mille ans. Mille ans, les juifs d’Europe ça leur rappelait quelque chose !

Pour le peuple errant, les successeurs des deux pitres de 1916 avaient fait fort. Il héritait d’un territoire d’un seul tenant, lequel était à la portée des canons ennemis à l’exception du Néguev, un désert inhabitable, le seul du PO où il n’y avait pas de pitrol !
Plus, en « multipropriété » Jérusalem, ville de la discorde pour l’éternité !

Les sages d’Israël se mirent aussitôt à faire de la géopolitique pour leur propre compte. Sur place on comptait un million d’arabes pour 500 000 juifs. Plus un relief de chrétiens qui étaient là, pas vraiment convaincus, pour garder le Saint Sépulcre ; leur royaume n’est pas de ce monde !

A un contre deux c’était jouable, ils avaient l’Occident pour eux. Mais une fois la carte toute déployée il leur prenait des sueurs froides. De Mogador jusqu’aux Philippines une immense tache verte, une marée déferlante à plus d’un milliard – bientôt deux – de mahométans farouches, riches et biens portant, qui ne savaient plus quoi faire de leur pognon au point d’acheter des clubs de foot et de louer des tableaux de femmes nues à ces chiens de roumis. Hélas aussi de l’armement, spécialement aux frankaouis, qui étaient devenus des spécialistes suite aux raclées qu’ils avaient pris régulièrement pour leur plus grande honte.

Au Nord les chrétiens, affaiblis, peu sûrs finalement ; des démocraties molles ; l’Empire russe incertain. Au grand Est les Chinois, un autre monde. Israël, au milieu du tricontinent, tout seul !

Pire ! Un phénomène nouveau se développait dans la chère Europe : passant la Méditerranée les mahométans s’étaient mis à déferler sur ce qui constituait le territoire de repli toujours possible, le dernier bastion espéré. Un déferlement souhaité, voulu, espéré par certains européens plein de ressentiment, de bêtise, de veulerie !

Israël n’avait plus le choix. Sa destinée « obligée » : se constituer en Krak des Chevaliers version moderne, l’ultime effort de stopper la bête au risque d’un cataclysme mondial suite à l’utilisation de gros pétards qui seraient devenus insuffisamment dissuasifs.

La fin de l’Histoire à portée de main !

Avant de nous lancer résolument dans « l’actuel » jetons un dernier coup d’œil sur ces 2 000 années qui nous séparent de l’Incarnation. Sur ce double lien, matériel et spirituel qui lie/sépare/fusionne l’Europe et les Juifs.

Les Juifs : le peuple où le Christ a choisi de « s’insérer » et de mourir ; Juge et Victime par force ; juger et victimiser sans cesse, sans rémission, prétexte de toutes les veuleries ; bouc émissaire absolu, théorique et pratique ; récepteur de tous les crachats et de toutes les hontes ; jamais désespéré de voir venir Celui qui pour les autres est déjà venu ; exemplaire au point de reprendre à son compte la défense et le salut de ce qui fut édifié péniblement, petitement mais royalement sans eux et néanmoins aussi pour eux.

L’Europe : l’Europe chrétienne ; celle de la civilisation, des Livres, y compris ceux des autres ; de l’exploration systématique de tous les compartiments de la pensée, des lettres et des arts ; du goût pour la connaissance affinée de la nature et de la vie ; de la recherche de l’équité, du juste, de l’utile ; juge et parfois bourreau de ces prédécesseurs dont elle procède à demi ; peuplée de goyim pour l’éternité.
Une Europe qui « s’exporta » dans ces continents qui ne faisaient pas encore partie du monde, laquelle reconnut après une controverse sévère que les habitants de ces nouvelles contrées avaient une âme dont les Jésuites du Paraguay, les premiers, entreprirent l’évangélisation. Une Europe universalisant le message judaïque : ce qui avait été prévu dès l’origine.

HORS TEXTE

Il y a des gens qui ne meurent jamais. Les plus heureux passent pendant leur sommeil dans une chambre rocoite au fond de la maison apaisée, silencieuse, discrète. Au petit matin on les retrouve allongés avec le visage esquissant comme un sourire d’ange, probablement à cause des bonnes rencontres qu’ils firent dans leur ultime voyage.

Moins heureux ceux qui partent d’une détérioration subite telle une rupture d’anévrisme, violente mais instantanée, décrite en long et en large par le bon docteur Céline, lesquels après une minute infernale se retrouvent dans de verts pâturages qui ressemblent à ceux du Pérugin.

Il y a ceux qui n’auraient pas dû mourir s’ils ne s’étaient pas trouvés ce jour-là au bon endroit au mauvais moment : sous cet arbre pendant l’orage, à ce passage piéton à l’arrivée d’un ivrogne motorisé.

Ceux qui sont morts de rien pour s’être retrouvés à minuit dans un couloir du métro démunis de tout produit fumable à offrir.

Ceux qui sont morts pour presque rien : un sourire à peine esquissé aperçu furtivement par un velléitaire venu d’ailleurs.

Ceux qui sont morts pour d’autres tels ces employés de maison recrutés par la direction d’un journal, célèbre pour ses déjections.

Et puis il y a ceux dont la mort est multiple.

Ceux dont la mort compte double. Tel le colonel Beltrame, mort comme gendarme et comme otage prenant la place d’inconnus dont il avait la sauvegarde en charge.

Ceux dont la mort compte triple. Comme les 11 de Pittsburgh qui sont morts comme juifs, dans une synagogue, au cours d’une cérémonie.

Il y en a même dont la mort est quadruple. Ainsi en fut-il du Père Hamel mort comme catholique, dans son église, au cours d’une messe dont il était l’officiant.

Michel Deluré

EM généreux ? En paroles sans doute, mais cela ne coûte rien, en actes beaucoup moins !

Dans ce débat européen, EM affiche à nouveau l'un de ses travers consistant à se montrer aussi cassant, inflexible, arrogant vis-à-vis de certains interlocuteurs censés être en position de faiblesse par rapport à lui qu'il peut être affable, docile, souple à l'égard d'autres interlocuteurs au contraire plus puissants ou dont il a besoin.
Ce comportement se vérifie d'ailleurs tant sur le plan international qu'au niveau national.

Quel que soit le jugement que chacun porte sur la politique de VO en Hongrie, cette opposition frontale, dure, ne peut qu'entraver la recherche d'une solution commune et qu'être donc néfaste pour la construction de l'Europe.
Plutôt que de permettre le rapprochement des points de vue, cette méthode ne fait qu'éloigner les positions et qu'accentuer le ressentiment que chaque camp éprouve l'un vis-à-vis de l'autre.

Agissant comme il le fait, EM ne s'oppose pas simplement frontalement à VO mais au peuple hongrois qui a choisi et qui soutient la politique de son dirigeant, oubliant peut-être au passage les faits qui ont marqué l'Histoire de ce pays et qui peuvent aussi pour partie expliquer aujourd'hui son attitude.

Aliocha

Delors disait que l'Europe était devenue la messe sans la foi, on peut dire aujourd'hui que les nationalismes tentent de réanimer le rituel ancien pour rappeler la force que leur dérive historique leur a ôtée à tout jamais, vaine et hasardeuse entreprise qui ne peut finir qu'à la synagogue de Pittsburgh.

Le président français ne pourra refonder le choix raisonnable européen, qui est de l'ordre du sel de la foi, que s'il arrive à extraire d'un débat moral ce qui ne peut s'exprimer qu'en terme de choix, choix qui alors entraîne la définition de la frontière entre le mal et le bien, et son expression dans la loi.
La connaissance de l'empire de la force enjoint de ne plus respecter ce qu'elle définit comme le bien, l'illusion de la commune détestation réciproque croyant séparer par l'abîme de la haine qui rend les belligérants semblables dans leur incapacité à communiquer, pour accéder à la possibilité d'être juste, de savoir renoncer à la sagesse des cinquantenaires platoniciens, qui ne savent que prôner, dans leur savoir resté inculte car il n'a pas réellement choisi, le retour à la barbarie :

"La tragédie attique, du moins celle d'Eschyle et de
Sophocle, est la vraie continuation de l'épopée. La pensée
de la justice l'éclaire sans jamais y intervenir ; la force y
apparaît dans sa froide dureté, toujours accompagnée des
effets funestes auxquels n'échappe ni celui qui en use ni
celui qui la souffre ; l'humiliation de l'âme sous la
contrainte n'y est ni déguisée, ni enveloppée de pitié
facile, ni proposée au mépris ; plus d'un être blessé par la
dégradation du malheur y est offert à l'admiration.
L'Évangile est la dernière et merveilleuse expression du
génie grec, comme l'Iliade en est la première ; l'esprit de
la Grèce s'y laisse voir non seulement en ce qu'il y est
ordonné de rechercher à l'exclusion de tout autre bien « le
royaume et la justice de notre Père céleste », mais aussi
en ce que la misère humaine y est exposée, et cela chez un être divin en même temps qu'humain. Les récits de la
Passion montrent qu'un esprit divin, uni à la chair, est
altéré par le malheur, tremble devant la souffrance et la
mort, se sent, au fond de la détresse, séparé des hommes
et de Dieu. Le sentiment de la misère humaine leur donne
cet accent de simplicité qui est la marque du génie grec, et
qui fait tout le prix de la tragédie attique et de l'Iliade.
Certaines paroles rendent un son étrangement voisin de
celui de l'épopée, et l'adolescent troyen envoyé chez
Hadès, quoiqu'il ne voulût pas partir, vient à la mémoire
quand le Christ dit à Pierre : « Un autre te ceindra et te
mènera où tu ne veux pas aller. » Cet accent n'est pas
séparable de la pensée qui inspire l'Évangile ; car le
sentiment de la misère humaine est une condition de la
justice et de l'amour. Celui qui ignore à quel point la
fortune variable et la nécessité tiennent toute âme
humaine sous leur dépendance ne peut pas regarder
comme des semblables ni aimer comme soi-même ceux
que le hasard a séparés de lui par un abîme. La diversité
des contraintes qui pèsent sur les hommes fait naître
l'illusion qu'il y a parmi eux des espèces distinctes qui ne
peuvent communiquer. Il n'est possible d'aimer et d'être
juste que si l'on connaît l'empire de la force et si l'on sait
ne pas le respecter."

http://teuwissen.ch/imlift/wp-content/uploads/2013/07/Weil-L_Iliade_ou_le_poeme_de_la_force.pdf

Si Macron sait exprimer ce qu'est la faiblesse humaine, la fille aînée de l'amour qu'est la France saura témoigner de sa défaite de 1940 comme le refus de Verdun et à tout jamais, elle saura incarner la vocation éternelle du catholicisme, qui est l'expression non plus d'une religion dévoyée, mais du principe universel et humain que l'homme a été placé dans l'évolution pour choisir entre l'amour et la destruction, que ce choix aujourd'hui n'est plus parasité par aucune des illusions de la force, que Dieu lui-même nous laisse la liberté d'opérer le choix raisonnable de la foi, en l'homme.

caroff

@ Claude Luçon 23h36
"Il va falloir laisser le temps aux Hongrois de nous rattraper !
On peut faire dire bien des choses aux chiffres !"

Le bonheur se mesure-t-il par la croissance du PIB ? Vous connaissez la réponse !
Les chiffres que j'ai cités : chômage, déficit, notamment, indiquent de meilleures performances que les nôtres.
Il ne faut pas regarder avec condescendance les pays du groupe de Visegrad qui ont eu à souffrir de 45 ans de communisme, donc d'arriération économique...

Guzet

Il est évident que Macron est en train de se "normaliser" et de verser dans les habitudes électoralistes du vieux monde. Rien n'est plus aussi important désormais que gagner les élections, quel qu'en soit le prix, fût-ce au prix d'une manipulation de la réalité... Quelles que soient les intentions de départ, n'est-ce pas le prix à payer dans toute société démocratique... ? Mais qu'en sera-t-il du bien commun au bout du chemin ?

sylvain

Ayons tous une minute de compassion pour toutes ces gauches qui, ce matin, sont en deuil depuis l'élection de Bolsonaro.

L’éradication de ce cancer socialiste se poursuit dans le monde entier.

Félicitations au Brésil qui a choisi la voie de la sagesse, de la moralité, de l'ordre, du civisme, contre la corruption de cette gauche dégénérée mafia qui a détruit leur pays.

Je jouis d'avance d'entendre nos prêtres gauchistes, Ruquier, Ardisson, et tous les débats du service public de gauche donner dans le "raciste homophobe sexiste machiste régime policier" etc.

Que du bonheur !

Tipaza

Un titre
"Le généreux Macron ou le brutal Orban ?"
et une conclusion qui reprend le titre, mais sans le point d'interrogation :
"Une synthèse entre le généreux Macron et le brutal Orban serait bienvenue."

Voilà qui relève du surréalisme ou du cubisme, ces formes d'expression artistique niant la réalité pour échapper à la contrainte de la vérité.

Je préfère la formule :
Le psychopathe cynique Macron et le réaliste pragmatique Orban !
Remplaçant le point d'interrogation par un point d'exclamation.

Cynique et manipulateur Macron, c'est une évidence, il suffit de se souvenir de ses propos tenus à l'étranger sur les Français. Pas une once de générosité, pas un aimable sourire d'empathie pour ceux qu'il dirige. Un berger méprisant ses brebis qu'il mène à l'abattoir de la déculturation et du grand remplacement.

Psychopathe, l'évidence est peut-être moins claire, mais que penser de la distance qu'il y a entre la posture monarchique du couronnement le jour de son élection, et les attitudes indignes avec des noirs homos assumés à l'occasion d'une fête de la musique. Cette musique qui adoucit les moeurs en principe, et qui en l'occurrence n'a fait que les ramollir et les frelater. Et ces gestes, ces mains qui glissent sur la peau de voyous, qu'ils soient noirs n'atténuent pas l'indignité de la chose. Ils se sont bien moqués de lui.

Trop de distance entre le rêve d'un Jupiter au-dessus de tous un certain jour et le dérapage borderline d'autres jours, pour qu'on ne se pose pas de questions sur la psychologie du personnage.
C'est le minimum que l'on puisse faire.

Quant au réalisme d'Orban.
Au fond que reprochent à Orban les europhiles suicidaires ?
De vouloir une Hongrie libre de toutes ces immigrés, qui n'ayant pas réussi à faire de leur pays un lieu vivable viennent vivre chez les autres en important leurs us et coutumes, tout en souhaitant bénéficier d'avantages qu'ils ont été incapables de créer chez eux.

En biologie, à l'échelle microscopique on dirait qu'il s'agit de parasites. Vérité microscopique et erreur macroscopique ?
Orban remet les principes à leur place et veut une Hongrie hongroise, ce qui a le don de le rendre insupportable pour ceux qui considère les nations dépassées et qui nient ce faisant la notion de peuple, sous couvert de nier celle de race.
Il n'y a plus dans l'Union européenne voulue par Macron de droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, il y a des individus qui donnent tous pouvoirs à des oligarques qui se jouent d'eux en manipulant des règles morales détournées de leur finalité.

Si j'ai critiqué durement le titre et la conclusion, je me dois de dire que le texte du billet est plus nuancé, et qu'il y a une certaine recherche de vérité.

Au fond je me demande si le billet ne traduit pas l'embarras de beaucoup de centristes devant la vieille interpellation trotskiste : "Choisis ton camp camarade", incapables qu'ils sont de choisir et de trancher, tant le dilemme est vital.

Nous sommes à la croisée des chemins, il faut choisir entre la vie de notre culture et de notre civilisation ou son effacement par absorption d'allogènes.

Il ne peut y avoir de chemin médian entre la vie et la mort.
Le centrisme tel qu'il cherche à exister est une forme de soins palliatifs dont nous savons qu'ils finissent par la mort du malade.

Ellen

L'Espagne s'étouffe : porte d'entrée principale des migrants vers l'Europe depuis que l'Italie a fermé ses ports
https://www.youtube.com/watch?v=oxQFnsjP1Ns

L'effet papillon, révolte des migrants clandestins à Barcelone, soutenus par l'extrême gauche espagnole. La police municipale et les agents de l'ordre n'ont plus droit au chapitre
https://www.youtube.com/watch?v=NWTm8PcaAU0

Le nouveau monde de Macron bientôt dans toute l'Europe ?
https://www.youtube.com/watch?v=rHJi2kkiy3A

Exploitation de femmes en Europe en vue de mariages blancs pour avoir les papiers
https://www.youtube.com/watch?v=DKlUUizt8fY

Si nous ne sauvons par la France et l'Europe contre l'immigration clandestine de masse, l'Europe s'éteindra et nous avec. Alors réagissons pacifiquement, mais énergiquement et fermement.

Macron est un fou et un incapable.

Julien WEINZAEPFLEN

"Si le débat en restait au registre politique, impliquant non pas une démarche de dénonciation et de mépris mais de compréhension et de dialogue..." : vous parlez d'or, mais faites comme si la politique politicienne ne se complaisait pas dans la recherche du bouc émissaire, d'autant que la démocratie déguise qu'elle est le clivage sous des faux airs de recherche consensuelle. Il en est ainsi parce que la démocratie représentative a changé le combat des idées en combat personnel.

Le bilatéralisme selon Macron n'a pas changé. Macron a toujours parié que la posture de considérer les acteurs comme "personnellement sympathiques" suffirait à faire une diplomatie gagnante. C'est évidemment trop simpliste et personne n'est dupe de cette fausse empathie.

Macron, en en rajoutant contre le Rassemblement national, fait du vallsisme écrémé, du vallsisme qui se veut bien élevé bien qu'il ait le même fond d'arrogance, ce qui lui est facilité par le fait que l'ombrageux Catalan a laissé la place pour aller s'essayer en Espagne où il aura beaucoup de peine à exister.

Enfin, Macron, en posant cette alternative entre les populistes et les progressistes, n'a fait que reprendre celle que Marine Le Pen identifiait très bien lors de la dernière élection présidentielle qui verrait s'opposer, prédisait-elle, "les patriotes et les mondialistes". Dans la rhétorique macronienne, patriote devient populiste et le mondialiste est un progressiste. Le progrès dans l'interdépendance traduirait un humanisme de l'échange et des affinités. Cela reste à prouver.

Elusen

@ Claude Luçon | 28 octobre 2018 à 23:26
« On peut faire dire bien des choses aux chiffres ! »

La France et la Hongrie en dollars ?!

À cela il convient de noter la stupidité de ce genre de statistiques.
Combien de Français auraient gagné 38 120 € par an ?
Les 9 millions de personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté en France ?
2 824 €/mois de salaire par Français ?!

70 % des Français doivent se fendre la gu***e là.

Claude Luçon

@ caroff | 28 octobre 2018 à 19:56

Pour compléter vos chiffres

2016/17
PIB/ Habitant
France $ 43,551
Hongrie $ 28,910

Salaire moyen/ habitant
France $ 3,227
Hongrie $ 1,048

Il va falloir laisser le temps aux Hongrois de nous rattraper !
On peut faire dire bien des choses aux chiffres !

Tomas

@ caroff

Pour etre tout a fait complet sur la Hongrie vous devriez aussi nous donner le salaire moyen et l'esperance de vie de ses habitants.
La Hongrie, la Pologne et la Roumanie sont des democraties jeunes, avec tous les inevitables defauts qui vont avec. Mais il faudrait etre intransigeant avec eux sur l'Etat de droit, vu que ces Etats membres de l'UE sont censes appliquer les memes regles de droit que les notres. Avec toutes les reformes de la justice conduites on s'en eloigne.
Funeste erreur que la leur : ils voudraient qu'on les abandonne aux bras de Moscou (auxquels ils ressemblent beaucoup deja) qu'ils ne s'y prendraient pas autrement.
A eux de voir.

Elusen

@ kacendre | 28 octobre 2018 à 20:41
« ...expliquer pourquoi un peuple exaspéré et pillé a voté pour un candidat qui mettait les problèmes et les misères de ce peuple sur la table des élections »

Apparemment vous ne connaissez pas grand-chose de la période, ni du sieur Schicklgruber, Austro-Hongrois qui a immigré en Allemagne à 24 ans sous le pseudonyme de Hitler.

Cet immigré qui fuyait son empire parce qu’il avait un casier judiciaire et qu’il était recherché pour un délit et un crime passible de la peine de mort, puisqu’il était déserteur en refusant de faire son service militaire de deux ans, n’a jamais été élu Chancelier.

En Allemagne, même à l’époque, le Chancelier n’est pas élu de manière directe.
Il est devenu Chancelier en étant nommé par le Président, mais son parti n’avait pas la majorité.
Il lui a suffi, une fois nommé Chancelier, de faire exécuter l’opposition.

L’histoire du truc : les Allemands ont voté pour lui, c’est largement plus compliqué.
Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei (nazi) 38,66% sur 44 685 764 électeurs, soit 61,33% des électeurs qui n’ont jamais voté pour le Parti nazi.

Avec l’abstention, sur le nombre de votants, le Parti nazi a fait : 43,91% des voix, soit 56,09% des votants qui ont refusé de voter pour lui.
https://www.gonschior.de/weimar/Deutschland/RT8.html

Je rappelle qu’il n’était pas non plus un héros de guerre, qu’il ne s’est pas engagé dans l’armée allemande puisqu’il n’avait pas la nationalité allemande en 1914 et qu’il n’y avait pas d’armée allemande, mais des armées de chaque État fédéré, pour lui la Bavière.

Or en Bavière il n’y avait pas plus de corps militaires pour les engagés volontaires étrangers, donc impossible que Schicklgruber se soit engagé.
Sans compter que n’ayant pas la nationalité allemande, il lui aurait fallu une autorisation de son État austro-hongrois où il était recherché pour plusieurs délits, mais surtout le crime de désertion.

En fait, il a été raflé par la police et incorporé de force, alors qu’il a protesté en indiquant qu’il n’était pas allemand, les autorités lui ont répondu un truc du genre : on nous a déjà fait le coup.

Mais à la fin l’Armée allemande l’a diagnostiqué psychopathe et l’a fait interner en psychiatrie de longs mois.

Professeur Thomas Weber, historien, University of Aberdeen - Scotland - UK.
https://www.abdn.ac.uk/sdhp/history/profiles/t.weber

stephane

Macron vs Trump, alors que le vendredi 19 octobre Bouygues et Michelin perdaient 11% en bourse, Procter & Gamble gagnait 9,5%.
A part cela Trump est un mauvais président.
Et en dollars le fossé est encore plus grand.
Epargnants, sortez vos mouchoirs.

Xavier NEBOUT

@ Marc GHINSBERG

Lorsque la démocratie repose sur des mandats non impératifs, elle repose en fait sur la démagogie dite populisme lorsqu'il s'agit de disqualifier l'adversaire.
Dans la Grèce antique Macron serait déjà mort.

Aujourd'hui ou hier, j'entendais Belloubet nous dire que la promesse des 15 000 nouvelles places de prison serait tenue, en ayant le toupet de dire que ce serait pour moitié dans ce quinquennat et l'autre dans le prochain quinquennat. Sachant au surplus que sur les 7 000, la moitié étaient déjà prévue et financée sous Sarkozy et Hollande, il est ici démontré que Macron est bel et bien un escroc.

Il faut revenir à une élection indirecte du président de la République, et à un droit de vote à 21 ans faute de le faire à 50 ans, âge de la sagesse selon Platon, et comme il avait raison.

kacendre

En survolant les réponses ou commentaires visant un thème-sujet... moral ou politique ou philosophique ou éthique, bref... comme on veut... thème-sujet devenu inclassable et tabou tellement les propriétaires de la bonne pensée (journaleux, intellectuels, politicards, moralistes autoproclamés, tous gauchards bobo bien lotis ou même très riches) se le sont approprié... eh bien en survolant tout ça j'ai l'impression et le sentiment que quasiment tout le monde a envie de renverser la table.

Surtout pas avec Mélenchon le millionnaire hurlant... mais aussi jouisseur... c'est vachement bon une jeunette en nuisette pour calmer la fureur.
Ce vioque hyper-rassi du système cacique politicard franchouillard pérennise et justifie la violence des envahisseurs francisés... il est vraiment du ressort de la psychiatrie répressive et rééducatrice.

Encore moins avec le flan petite fraise qui songe à revenir avec Julie en scooter.

Bien sûr, comme toujours, l’Hermine dilue le Yin et le Yang dans une forme de politesse prudente mais qui hélas n’indique aucune direction visible… concrète… ou tangible dans un monde en pêle-mêle de contradictions, mais qu'il pressent et voit malade.

Malgré tous les bla-bla des propriétaires autoproclamés de la bonne pensée, qui veulent et croient imposer des contre-feux, les peuples en ont marre d'être cocus et qu'on leur dicte et impose des balivernes-mensonges enveloppés dans des leçons-sanctions dont ils sont les seuls cochons de payants... alors que rien ne change... sinon s'amplifie et s'aggrave.

A force de nous passer sur deux, trois, parfois quatre chaînes TV à la fois et quotidiennement du Hitler, du nazi, leurs femmes et maîtresses, des camps, du débarquement, des batailles terre-mer-air, sans jamais dire, montrer, expliquer pourquoi un peuple exaspéré et pillé a voté pour un candidat qui mettait les problèmes et les misères de ce peuple sur la table des élections... eh bien, à force on ne s'attaque pas aux causes du mal, à la tumeur qui évidemment prospère et exaspère... et pousse au désespoir qui doit trouver un exutoire à défaut d'une solution.

Comment et pourquoi un Trump chez la chère Amérique ?

Bref pour résoudre tous ces malentendus supprimons les élections dans lesquelles ces imbéciles de votants glissent des bulletins pour n'importe qui et n'importe comment... et que tout continue.

caroff

"Durant son périple en Slovaquie et en République tchèque, Emmanuel Macron a pourtant déclaré qu'il ne fallait plus faire la morale mais combattre techniquement et politiquement"

Les Hongrois, et plus généralement les gens du groupe de Visegrad, observent attentivement les heurs et malheurs des pays qui leur font la morale, parmi lesquels la France de Macron...

Les gouvernements de ces populations n'ont aucune envie de subir les inconvénients majeurs qu'endure la France en accueillant des immigrants dont les moeurs se situent aux antipodes de ses ressortissants.
Ils n'ont pas envie de connaître les mêmes désagréments économiques et budgétaires que notre pays et pour prendre précisément l'exemple de la Hongrie, que constate-t-on ?

- Croissance : 4,3% (France 1,2%)
- Balance commerciale : 8,2 milliards € d'excédents (France plus de 70 milliards de déficit)
- Chômage : 3,7 % (France: 9,3 %)
- Ratio dette/PIB : 73 % (France 99 %)

Avant que de se lancer dans des diatribes "anti-populistes" envers Orban et C°, Macron devrait s'excuser de ne pouvoir atteindre leurs bons résultats !

Noblejoué

@ Marc GHINSBERG
"Il n’est pas question de nier l’importance du sujet de l’immigration dans le débat des prochaines élections européennes. Mais de mon point de vue, l’opposition entre les deux camps qui sont d’accord sur un point : l’affrontement, est beaucoup plus fondamentale. Le désaccord porte sur la conception même de la démocratie. Face à l’idée d’une démocratie libérale, se dresse l’idée d’une démocratie illibérale dont Orban s’est fait lui-même le théoricien. Il ne s’agit pas ici de libéralisme économique, mais de libéralisme politique"

En effet.

Il faudrait des gouvernants capable de respecter les libertés de leur peuple tout en le protégeant d'une immigration délétère.
Fermeté d'un côté, protection de l'autre.

Insurmontable ?

Quand on fait un service, au tennis, le mouvement de lancer de balle et celui opéré par la raquette n'est pas le même.
Les intellectuels méprisent souvent les sportifs, mais eux font du "en même temps" sans le dire, tandis que d'autres en parlent sans le faire.

A mon avis l'Union européenne devrait laisser chaque pays libre de son immigration, mais il serait mieux de se coordonner et de sous-traiter avec divers pays de l'autre côté de la Méditerranée.

Ce ne sont que quelques pistes.
Comme au tennis, au service, il y a aussi la prise de raquette, le rythme, et autres choses semblables.

Solon

Si on supposait un instant que Monsieur Macron a une arrière-pensée ? La construction de l'Europe, si on y parvient, débouchera nécessairement sur un gouvernement européen, du moins dans les fantasmes des européistes convaincus. Suivez mon regard : on cherche un Président de l'Europe, jeune, dynamique, plein d'idées ! Ce n'est pas pour tout de suite ? A quarante ans, on peut être patient, marquer son terrain, poser des jalons. Pure supposition ? Voire.

yves albert

Monsieur Philippe Bilger,

Il faut bien, à Macron, une "tête de turc" pour faire valoir son appartenance, comme serviteur, à la mondialisation ou si l'on préfère à la destruction des nations européennes.

Après avoir craché sur Marine comme un sophiste (histoire de) vous montez une fois de plus "l'amant de Saint-Martin" sur un piédestal.

Avec Macron un nouvel Hitler de paille est né, psychopathe comme lui, il n'est pourtant qu'un faux fuyant qui n'apporterait que la ruine et la misère des peuples.

On devrait l'envoyer dans l'espace, la terre est trop petite pour lui.

---------------------------------

Une bande de cinglés a décidé de kidnapper l'Europe :

https://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2008/05/pierre-simon-fa.html

On prend les pouvoirs, on les culpabilise, on les plonge dans l'indiscipline, on détruit la famille, on détruit les nations, on les remplace et nous devenons les maîtres absolus de l'Europe.

Ainsi parlaient les "marchés" selon Attali :

https://www.youtube.com/watch?v=k40RpYZlvkQ

Formé à son école, Pinocchio, l'actuel président de la France, s'évertue à réciter les leçons de son créateur et claironne sa parole divine en attendant que les murs de la forteresse tombent.
Nous ne nous laisserons pas faire et nous résisterons jusqu'à ce que l'ennemi disparaisse, car il n'existe pas d'autre solution.

Disparition ou soumission. nous a expliqué Houellebecq.

Certes, il existe aussi l'autre pensée d'Attali celle de l'euthanasie des humains de plus de 65 ans :

https://ripostelaique.com/pour-attali-le-socialisme-cest-leuthanasie-a-65-ans.html

Et le grand remplacement par des tribus noires de l'Afrique éternelle.
Voilà les pensées et les actes des cinglés qui nous dirigent et qui sont relayés par leurs courtisans.

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