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02 mars 2019

Commentaires

Aliocha

Mille pardons, monseigneur, mais où avais-je donc la tête ?
J'ai oublié l'état de vos croyances, je traduis avec célérité en langage païen, pour que vous compreniez :
Maudissez-moi, Dr Elusen, car j'ai aimé.

Bon, maintenant, je file, Lucile, qui sur un autre fil se réjouit de la discorde entre la France et l'Allemagne - une bonne guerre, vous comprenez, c'est de bonne guerre pour rétablir l'ordre bien serré du chignon bourgeois - Lucile, donc, a rameuté tous les défenseurs de la liberté pour me passer la camisole, il est temps de s'éclipser, de prendre la maquis, de rentrer dans la clandestinité.
"Jean a de longues moustaches, je répète..."

Je vous ferai signe, Elusen, quand vous aurez compris, d'ici là, demandez à Garry Gaspary, il est passé par ici, il reviendra par là.

Aliocha

Un cachet, votre Éminence ?
Ah oui, j'oubliais, les médecins aujourd'hui ont remplacé les prêtres.
Bénissez-moi, Dr Elusen...

Elusen

@ Aliocha | 10 mars 2019 à 08:19
« Il est naturel qu'il n'y ait aucune place en votre territoire mental pour la démocratie, »

Oh ben si c’est mental la démocratie alors prenez des cachets !

À ne pas confondre avec la pilule bleue tout de même parce que le priapisme et la démocratie cela ne fait pas bon ménage, ou alors seulement dans un Sofitel à New York.

Aliocha

Vous êtes invité, Elusen, et n'avez de cesse, comme Noblejoué, de venir me chercher pour mieux refuser l'invitation.
Comme vous n'entendez pas la parole dont je ne suis que le traducteur ici, il est naturel qu'il n'y ait aucune place en votre territoire mental pour la démocratie, et que vous ne sachiez alors que vous démener ad libidum dans ce dont vous ne vous rendez même pas compte que ce n'est que l'expression totalitaire de votre refus d'accéder à l'âge adulte.

Tout l'exercice en mes réponses consiste à vous faire ouvrir les yeux sur le fait que le refus est de votre responsabilité, et non de celui qui vous invite.
C'est un choix légitime et qui ne concerne que vous, pourquoi donc avez-vous besoin de déployer l'idéologie de ce dieu barbare auquel vous croyez plus que tout prélat intégriste ?
Il n'y a pas de porte pour accéder au chemin, pourquoi vous échinez-vous donc à l'enfoncer ?

Le regard aimant vous voit, Elusen, et si vous assumez ce que vous êtes, il n'y a aucun problème à demeurer dans la lumière, vous serez aimé tel que vous êtes.
Si vous décidez de vous dissimuler dans votre trou, ne venez pas faire porter à la lumière la responsabilité de votre choix, il ne concerne strictement que votre désir d'obscurité légitime, au regard de ce que vous avez à cacher et que vous n'êtes pas prêt à supporter d'exposer.

Elusen

@ Aliocha | 09 mars 2019 à 10:41
▬ « …le mot amour est tellement galvaudé. »

Et parce que vous galvaudez un mot, je devrais accepter que vous m’aimiez de force, sans mon consentement.

▬ « Même Marchenoir... Noblejoué... »

En plus vous prônez la polygamie sans le consentement de personne.

Y a vraiment du Barbarin chez vous, non ?!

▬ « Bienvenue en démocratie, chers amis. »

La religion et la démocratie ?!
Personne n’a le souvenir d’avoir élu votre Yahvé-Allah, ni même voté par référendum ses Torah-Bible et Coran ?!

La démocratie n’est pas plus un lieu, donc nous ne pouvons point y venir.

Aliocha

Vous n'êtes pas une tarte aux pommes, Elusen, ni un bien de consommation, le mot amour est tellement galvaudé.
Je parle de la signification où l'amour permet de voir, alors que la haine aveugle et conduit inévitablement à sauter sur les mines que le mensonge des sophismes a placées sur le chemin.
Je parle de la défense implacable du "tendre l'autre joue", du paraclet qui voit et confond le malin.

Même Marchenoir le redoutable renonce, il a compris que sa défense des juifs et de la démocratie l'obligerait dorénavant à renoncer à ses autres terrorismes, il ne confondra plus dorénavant l'amour et la bisounourserie.

Noblejoué, quant à lui, continuera à venir me chercher, enchâssé qu'il est dans ses chimères, pour me convaincre que leurs erreurs sont de la responsabilité d'un dieu barbare qu'il connaît mieux que moi.

Il n'en reste pas moins que les pactes abusifs peuvent être dénoncés, et chacun a désormais l'occasion de signer un contrat entre adultes consentants dans le respect des lois.
Bienvenue en démocratie, chers amis.

Elusen

@ Aliocha | 08 mars 2019 à 09:11
« ...que je respecte et que j'aime à proportion »

Hem ?! Un adepte du viol ! Il m’aime sans mon consentement !
Un vrai chrétien quoi !

Rappelez-moi, car celui-ci je l’adore, chrétien cela vient bien du mot crétin ?
http://www.cnrtl.fr/etymologie/cr%C3%A9tin
Vive l'étymologie.

Aliocha

Pensez, l'amour du prochain, c'est trop de perversion pour un chrétien !

Noblejoué

@ Robert Marchenoir

Je crois que personne ne convaincra l'autre, et que le débat n'est pas seulement vain mais miné, en somme, il faudrait que je le mène par devoir, mais à quoi bon ? Cela m'ennuierait tellement que je n'aurais aucune idée, alors non.

Sans compter que je comprends votre point de vue, plus on veut me convaincre qu'un penseur, un romancier, un compositeur ou quoi que ce soit d'autre est incontournable, plus j'ai envie d'aller ailleurs, d'abord par liberté, ensuite parce que souvent, les plaideurs en question veulent triompher des autres.

Quant aux gens qui déforment tout, quelle plaie ! Par contre, merci pour tout.

Aliocha

Incroyable !
Marchenoir estime impossible de poursuivre la conversation, le terrain est miné !
Si sbriglia nous suit, j'espère qu'il reconnaîtra la performance, qui n'est pas mince.
En plus, seules mes homélies sont imbuvables pour Lucile, elle ne connaît de moi que le charmant qui aime sa femme : l'amour est un miracle !
Ah, mes amis, quel jour de fête, cela vaut bien ce clin d’œil à Giuseppe, qui me fit connaître Tony Poncet :

https://www.youtube.com/watch?v=N0863MNxjNA&list=PLjo89LUw943Se7uTffLTncCbpf7gIzRN_&index=61

Robert Marchenoir

@ Noblejoué | 08 mars 2019 à 06:08
"Vous savez bien qu'on peut tordre les chiffres, les penseurs et le reste, mais je vous remercie."

Mais nous sommes d'accord, si vous pensez à René Girard. C'est bien ce que je dis. Je dis précisément que certains pervers ont trouvé très commode, sous prétexte de faire la promotion d'un penseur qu'ils connaîtraient mieux que d'autres, de le détourner dans le but de légitimer leurs propres pratiques à l'encontre de leurs propres boucs émissaires. (J'en connais aussi en dehors de ce blog.)

La question de la validité de la pensée de René Girard elle-même est totalement distincte de ces perversions. Ces dernières ne la condamnent pas plus qu'ils ne la justifient.

Je crois avoir montré ici, cependant, en quoi le girardisme était au moins coupable de certaines erreurs flagrantes, qui l'empêcheraient de prétendre au statut de phare philosophique que la renommée lui donne trop souvent.

Cela ne veut pas dire qu'il ne renferme pas aussi des choses vraies. Ce n'est pas exclu. Il ne semble pas possible d'avoir cette discussion ici, en tous cas, tellement le terrain a été empoisonné au préalable.

Lucile

@ Aliocha | 08 mars 2019 à 08:35

Ne déformez pas ce que j'ai dit ; ce sont vos homélies qui, de mon point de vue, sont imbuvables ; je ne parlais pas de vous en général, je ne vous connais pas.

Aliocha

Pardon, cher Elusen, je vous ai oublié, vous qui êtes celui qui se fourvoie le plus, que je respecte et que j'aime à proportion, je suis aussi votre génocidaire, cannibale, pédophile, violeur et assassin, autant qu'il semble que j'aie oublié que j'étais aussi le charmant de Lucile, avant ou après d'en être l'imbuvable.

Aliocha

Tiens donc, Marchenoir vient nous faire la morale, nous danser son sabbat d'accusateur infantile enfermé dans ses obsessions, sans même se rendre compte qu'il s'applique à lui-même le "c'est celui qui dit qui est" qu'il dénonce, prouvant qu'il est, car il ne sait transcrire sa grande culture qu'en parole de haine, finalement parfaitement ignorant.
Avant, bien entendu, qu'il nous prouve par a+b que tout cela serait la faute des noirs, des homos, des musulmans, d'Aliocha ou de Patrice Charoulet, rappelons-lui les fondements de l'idéologie qu'il prétend servir et qu'il contribue, hélas, à démonétiser :

"J'aurais beau parler toutes les langues de la terre et du ciel, si je n'ai pas la charité, s'il me manque l'amour, je ne suis qu'un cuivre qui résonne, une cymbale retentissante. J'aurais beau être prophète, avoir toute la science des mystères et toute la connaissance de Dieu, et toute la foi jusqu'à transporter les montagnes, s'il me manque l'amour, je ne suis rien. J'aurais beau distribuer toute ma fortune aux affamés, j'aurais beau me faire brûler vif, s'il me manque l'amour, cela ne sert à rien."

Tous, nous ne voyons qu'au moyen d'un miroir, celui que nous tend l'autre, surtout dans la confrontation, nous renvoyant sa propre réalité.
Pourtant, aujourd'hui nous avons le moyen, et grâce au Christ, de voir la réalité face à face, car il a eu la capacité, et là est la preuve de sa divinité, d'être tout Autre et de démontrer qu'il est possible de fonctionner autrement qu'en empruntant le chemin de haine que nous indique la rivalité.
Il n'y a donc d'autre chemin pour appréhender la réalité que l'imitation de ce seul modèle fiable, il n'y a que l'imitation de Jésus-Christ, ou la destruction.

"18Nous savons que quiconque est né de Dieu ne pèche point; mais celui qui est né de Dieu se garde lui-même, et le malin ne le touche pas. 19Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin. 20Nous savons aussi que le Fils de Dieu est venu, et qu'il nous a donné l'intelligence pour connaître le Véritable; et nous sommes dans le Véritable, en son Fils Jésus-Christ. C'est lui qui est le Dieu véritable, et la vie éternelle.

21Petits enfants, gardez-vous des idoles."

Voilà, mes chers contradicteurs que je respecte, la leçon du jour, qui ne vient pas de moi, et dont je ne suis que l'humble traducteur, le neuneu de Noblejoué, le pervers de Marchenoir, et bien sûr, l'imbuvable de Lucile.
Et, à tout seigneur tout honneur, je laisserai à celui qui a tellement eu conscience de cela qu'il a toujours refusé le titre de maître, le soin de conclure en dédicace à Achille, qui aime nommer mystique ce qu'il ne comprend pas, alors que ce n'est que transcription en langage humain à qui veut bien l'entendre, de la parole divine :

"L'homme n'est jamais la victime de Dieu, Dieu est toujours la victime de l'homme."

Noblejoué

@ Mary Preud'homme

J'ai l'habitude de soupeser, entre autres, et pourtant, votre intervention ne m'a pas semblé si droite que vous voulez bien le dire. Pourquoi ? Parce que ce n'est premièrement pas moi qui vous ai demandé d'intervenir dans une discussion, et d'autre part que je n'avais pas prêché le faux pour savoir le vrai, chose qui m'arrive des plus rarement car je ne trouve pas cette façon de faire si anodine qu'il semble à beaucoup.

Il fallait donc pour le discerner Lucile que je félicite et remercie encore au passage.

Je suis d'accord que parlant sous son patronyme ou celui de son mari on s'expose plus qu'un masque. Mais enfin, les pseudonymes doivent-ils accepter qu'on les accuse injustement pour cette cause ?
Si vous-même, sous un masque, deviez le subir, quelle serait votre réaction.

Vous allez me dire, il est juste que j'y réponde : comment serais-je sans masque ? A mon avis, je soupçonnerais tout le monde si j'essaierais de ne pas être injuste. Rien que cela augure qu'il faudrait que quelque raison incontournable m'y oblige, que je ne vois pas, a priori.
Mais il ne faut jamais dire fontaine, je ne boirai pas de ton eau... J'imagine que je me relirais davantage, mon Dieu, il ne faut pas que je fasse de fautes. Et aussi, mon Dieu, puis-je dire ceci ou cela, serai-je bien vu par tel ou tel ou telle catégorie ? Je serais dans de continuelles alarmes, ou bien, je ne serais plus sincère. Dans ces conditions, il serait juste que méprisant mes bas calculs, quelque dieu me retire sa grâce et que je perde toute inspiration. Comme un filet d'eau écrasé de soleil s'évapore, le soleil m'aurait dévoré.

Si par hasard quelqu'un le remarquait, il en serait assurément content. Fin de l'histoire.

Noblejoué

@ Robert Marchenoir

Vous savez bien qu'on peut tordre les chiffres, les penseurs et le reste, mais je vous remercie.

Robert Marchenoir

@ Noblejoué | 06 mars 2019 à 09:01

Puisque vous voulez bien me poser la question, je vous dirai que, dans certaines circonstances, les conseils les plus éculés sont les meilleurs : don't feed the troll. En français antérieur : laissez pisser le mérinos.

S'il fallait se mettre la rate au court-bouillon à chaque fois qu'un anonyme (ce qui inclut les gens prétendant écrire sous leur nom) vous propulse des qualificatifs malveillants, on n'en finirait pas (*).

Quand, de surcroît, vous êtes confronté à un gars qui, derrière d'épaisses couches de culture mal digérée, répète essentiellement le profond argument : cé çui kidi kyé, vous mesurez l'inanité qu'il y a à accorder quelque importance que ce soit à ses propos.

René Girard, la providence des imbéciles, des pervers et des projectionnistes.
______

(*) Notez que l'exterminateur de pseudonymes et pratiquant du "doxxing" Patrice Charoulet revendique Aliocha comme son "ami", sans rien trouver à redire au fait que ce dernier passe son temps à persécuter untel ou untel avec d'hypocrites leçons de morale intime... sous pseudonyme. Apparemment, il y a ceux qui ont le droit, et puis il y a les autres.

Le "doxxing" tombe sous le coup de la loi, au passage.

Mary Preud'homme

@ Noblejoué

Lucile a bien interprété mon propos ce dont je la remercie.

J'ajoute à votre intention que le fait de publier sur un blog connu sous son patronyme ou son nom d'épouse (pour une femme) est plutôt un signe de loyauté que d'esprit tordu (comme vous l'insinuez). Ce qui oblige à quelques précautions afin de protéger sa vie privée et surtout celle de ses très proches d'autant plus s'ils sont connus ou exercent un métier sensible.

Bien que je respecte tout autant la liberté de ceux qui ont choisi de publier sous pseudo et doivent avoir de bonnes raisons pour cela.
J'ai moi-même un nom de plume que j'utilise à bon escient, notamment lorsque je veux aborder des sujets plus personnels ou qui ont trait à des informations que j'aurais eu à connaître dans le cadre de mes activités ou par des tiers interposés.

Simple question de discernement donc, qui ne devrait pas échapper à une personne telle que vous qui passe beaucoup de temps à soupeser, scruter, analyser, interpréter, juger les propos des contributeurs de ce blog. Au détriment hélas du sujet du billet souvent noyé sous des parlottes !

Elusen

@ Aliocha | 07 mars 2019 à 07:32
« néo-paganisme »

Lui, il faut qu’il répande son fiel sur tous les sujets et sans rapport avec la musique.

L’histoire de son Dieu qui n’existe pas, mais qu'ardemment il souhaite rencontrer est sur un autre fil de discussion.

Et se donner un fausse contenance avec ce délire d’accoler le préfixe « néo » un peu partout : Je vais à la néo-boulangerie m’acheter du néo-pain.

Néo-démocrate, néo-conservateur, néologisme... néoprène, mais chuuuut !

En Italie, ils mangent des néo-pathes, mais attention, là nous retombons dans la cannibalisme de son Dieu.

Aliocha

Le néo-paganisme veut faire du judéo-chrétien une violence intolérable et son abolition complète est le premier de ses objectifs, situant le bonheur dans l'assouvissement de tous les désirs et dans la suppression de tous les interdits, prenant le masque de la défense des victimes pour mieux imposer sa tyrannie.
Ce fait est observable chez Noblejoué comme chez Elusen.
On peut ensevelir sous les gravats de la justification l'effondrement de la supercherie, j'ai prouvé ce que j'avais à prouver, cela me suffit.
Que l'on aille donc s'abreuver au lait des madones de l'enfer, que l'on y danse son sabbat immature, Aliocha est vilain et Dieu est très méchant, se scandaliser sur la forme n'est que le meilleur moyen d'encore une fois ne pas toucher le fond.

Noblejoué

@ Lucile

Je vous remercie.

Noblejoué

@ Mary Preud’homme
"Il m'arrive souvent de dire à mes très proches qu'ils prêchent le faux pour savoir le vrai sans qu'ils en fassent une maladie."

Je dois donc en déduire que vous me l'avez dit sans raison mais par réflexe. Bizarre habitude de vos proches de prêcher le faux pour savoir le vrai ou vous de le leur imputer s'ils sont innocents, je me permets de le remarquer quoi que lointain. Peut-être parce que les méthodes tordues sont nécessaires avec les suspects, vous n'êtes pas obligée de me répondre... Bien sûr, je pourrais parfaitement le faire, mais pas dans le contexte actuel.

Si je pose des questions aux gens, c'est sur des sujets dont ils parlent et dont, logiquement, j'attends une suite. Je ne vois pas comment on peut être indiscret avec cette attitude.
Mais enfin, je suppose que c'est parce que les gens sont peu intéressés par ce que les autres disent et ainsi n'explorent pas davantage. D'où la surprise voire l'embarras face à mes questions. Mais d'un autre côté, bien des gens se plaignent qu'eux-mêmes, les gens qu'ils veulent défendre ou leurs idées soient délaissés.
En somme, ils ne sont jamais contents. Je suis peut-être à fleur de peau, d'autres ne savent pas ce qu'ils veulent.

Je vous remercie pour votre réponse, très éclairante pour moi.
Finalement, je n'ai peut-être pas tort de poser des questions comme un de mes héros préférés :

https://www.casterman.com/Bande-dessinee/Catalogue/corto-maltese-edition-noir-et-blanc/corto-maltese-5-les-ethiopiques#&gid=1&pid=2

Mary Preud'homme

@ Noblejoué | 06 mars 2019 à 09:01

Il m'arrive souvent de dire à mes très proches qu'ils prêchent le faux pour savoir le vrai sans qu'ils en fassent une maladie.
Il est vrai aussi que vous n'êtes pas un très proche, bien que le dire risque, encore, de vous vexer tant l'on vous sent à fleur de peau !
Alors que dire ? Que répondre à vos questionnements qui frisent parfois l'indiscrétion, sachant que contrairement à vous je n'écris pas sous pseudo et que je n'ai pas à communiquer à un anonyme sur des impressions ou informations que j'aurais eu à connaître ?

Noblejoué

@ Aliocha

Vous dites n'importe quoi tout azimut sur mes commentaires, les gens n'ont qu'à me lire pour saisir que vous mélangez allongement de la vie et suicide en vous mettant dedans car vous vous mettez au centre de tout, y compris de mes préoccupations, ce qui est un peu fort. Je ne vais pas faire le commentaire du commentaire de mes textes, ce serait d'un fastidieux...
Tout ce que je peux dire, c'est que le suicide, du moins tel que je le conçois, je laisse de côté les gens qui font leur crise, trop lamentable, comme l'allongement de la vie est un choix, par là manifestation de liberté, dont l'idée déplaît évidemment aux gens qui érigent le fait de subir en valeur morale.

Est-ce que je me mets au centre de tout ? Toute personne qui parle de sa manière de voir la vie le fait forcément dans ses lignes, mais d'un autre côté, je ne me mets pas au centre dans la mesure où je n'aurais jamais l'idée d'imposer quoi que ce soit aux autres ou penser que les commentateurs vont suivre ma direction spirituelle alors que d'autres disent "ça avance, ça avance" et traitent les autres d'inféodés à Satan.
Pas de tous, mais enfin, on peut dire des croyants que ce sont des gens qui prêchent et miment l'humilité avec une prétention insupportable. Enfin, si on s'attend à du bien de leur part, sinon, on y trouve quelque sujet de dérision.

Je me mets moins au centre de tout que d'autres, mais je ne le fais pas dans les formes traditionnelles, religieuses ou mondaines du genre du bas de ma médiocrité j'ose commettre quelques lignes.
Je suis moins au centre, mais aussi le parais davantage. Parce que je suis plus moi que quiconque se place dans ce genre de filtre. Je rappelle qu'à l'origine, si je commente dans un blog, si je porte un masque, c'est bien pour parler avec une sincérité maximale.

J'avoue que si cela m'a fait du bien, l'expérience, que je considère ainsi de façon rétrospective mais faite de manière spontanée, irréfléchie, prouve aussi que plus je suis sincère et sans arrière-pensées comme on a pu m'en prêter, moins on me croit.
En somme, j'aurais peut-être dû faire le contraire à titre expérimental, tout calculer pour la popularité maximale. J'ai lieu de croire qu'on aurait loué ma sincérité et ma spontanéité, il aurait suffi d'enfiler les perles sur des thèmes connus avec des opinions majoritaires en soignant un style qui épouse moins la pensée et ne révèle aucune méfiance sur la nature humaine mais en désignant des méchants pour dire aux autres combien ils sont de la crème dont on devrait recouvrir les fraises dans un dessert.

Aucune importance. Je peux continuer à me faire mal voir ici et réformer totalement ma démarche ou mieux, déléguer, si seulement, ce serait idéal, à plus rayonnant que moi ailleurs, s'il y a lieu et si seulement la personne y consent.
Ceci dit, on peut être sombre parce que pessimiste - remarquez, pas assez, on ne l'est jamais assez pour approcher de la vérité. Quoi qu'on me reproche mon pessimisme autour de moi, mes plus grandes erreurs ont été des illusions nées de l'optimisme. On me l'a dit inévitable, n'empêche que c'est une bien grande faute pour moi.

"Noblejoué dissimulera le fondement évangélique de la théorie mimétique"

Je ne dissimule rien du tout, je dis de lire René Girard qui le dit... Mais mon but n'est pas d'évangéliser, donc je n'ai pas à le proclamer, d'autant que cette origine empêche bon nombre d'agnostiques et autres athées d'adhérer à la théorie comme bien des croyants se croyant dépossédés de leurs textes.
Ce qui compte pour moi est que les gens comprennent le mécanisme victimaire ; je ne me sers pas de cette compréhension pour convertir à un texte, à un dieu, je veux qu'on comprenne ce qu'on fait pour ne plus faire de victimes comme pour la connaissance.

En somme, je ne suis pas l'évangéliste qui sonne chez vous le dimanche, je suis la personne qui propose une connaissance scientifique, quelle qu'en soit l'origine.
Les gens sont libres, si je dis René Girard, ce n'est pas pour me couvrir de son autorité, c'est pour que les gens se confrontent à sa pensée, comme il leur faut se confronter à tout, et ne joue pas les directeurs de conscience. Absolument pas, le texte de notre hôte, les commentaires, les faits, les livres, tout exige non la foi, mais le désir de connaissance et la plus grande honnêteté intellectuelle possible, et c'est en somme à ce lecteur idéal que je m'adresse.

Lucile

@ Noblejoué

Prenez les deux premières phrases de sa dernière intervention qui parle de vous (Aliocha | 06 mars 2019 à 07:33). Elles ne veulent rien dire. Et ça continue, ça continue, avec la "gluance", la "machine à pardonner" sans oublier "l'armure du mensonge" qu'il met à toutes les sauces. Avec lui les mots prennent un sens spécial. Je pense que Mary a voulu botter en touche, et vous renvoyer dos à dos parce qu'elle ne tenait pas être prise dans les méandres de votre discussion. Et qui le voudrait ? Elle vous l'a fait comprendre à sa manière, qui est directe. À trop personnaliser le débat, à être trop sensible, vous serez aux abois, et n'en finirez pas de souffrir. Words, words, words...

Noblejoué

@ Mary Preud'homme @ Lucile @ Claude Luçon @ Catherine JACOB @ Robert Marchenoir @ Elusen


Je m'adresse à vous pour savoir pourquoi certains des commentateurs m'accusent faussement de manipulation. Ce qui est fait est fait, ici, c'est évidemment trop tard.
C'est pour ailleurs, peut-être si, mais peu importe.

Comment éviter de passer pour un rat d'égout quand on n'en est pas un ? Dois-je faire mes gammes ici pour m'entraîner, ou dois-je rester comme avant pour ne pas qu'on me soupçonne de manipuler, dites-le moi.

Je ne prêche jamais le faux pour savoir le vrai, Mary Preud’homme. On dirait que vous voulez rejoindre le podium des accusateurs les plus ineptes. Enfin...
Pourriez-vous me dire ce qui vous le fait croire ? Il est important que je sache ce qui peut pécher dans ma communication. Ce n'est pas pour une polémique ou défendre des idées, c'est plus égoïste et prospectif.

Il se peut que je doive communiquer pour quelque chose avec plus d'enjeu pour moi que ce que j'ai pu dire sur ce blog et peut-être sous ma véritable identité. Bien sûr, je cherche des gens de confiance pour le faire ! Quand on n'est pas compris, autant s'effacer... Mais une des personnes pressenties, psychologie, charme, me dit que je serais la seule personne à avoir toutes les informations pertinentes et la légitimité.
Quant à l'autre, je n'ose le lui demander de peur de paraître brûler les étapes de quelque chose dont il n'est pas sûr que cela vienne à terme.

Pour mémoire, ces deux personnes ne me prennent pas pour un rat d'égout, bien au contraire, et ont, elles, le don d'être populaire.
Populaires sans rien de bas, contrairement à d'autres. Il serait idéal que je parvienne à ce niveau, mais impossible.

Mais bref, dans un autre milieu, qu'on dira vierge, si je l'atteignais, il faudrait que je sois sincère MAIS populaire, que je laisse percevoir mon intelligence voire mon originalité et le peu d'illusion que j'ai sur la nature humaine impossible à cacher, MAIS ne passe pas pour manipuler, vu que d'abord ce n'est pas le cas, et ensuite me nuirait, et pas qu'à moi.

Il faut toujours avoir un plan B dans la vie, mais si la personne sociable, qui sait écouter sans répéter et parler sans s'écouter parler, qui a de la classe et de la bienveillance et ne se fâche de rien sans se laisser faire dans les rares cas où on l'ennuie et croule sous les demandes dans toutes sortes de domaines que lui suscitent sa compétence et sa personnalité pouvait le faire, ce serait l'idéal.

Bien sûr, elle m'apprend tout cela par quelques conseils et par l'exemple, mais je ne serai jamais à son niveau ni au niveau, d'ailleurs. Evidemment, je ne le lui dirai jamais, vu qu'il faut être positif.

Cependant, si vous pouviez me donner quelques idées, j'en ferais bon usage si jamais je devais aller faire moi-même ce que quelqu'un d'autre ferait mille fois mieux que moi. Si vous me disiez qu'il n'y a rien à faire, le cas est trop désespéré, je pourrais le dire à la personne concernée pour lui demander de le faire, oui, j'ai les informations et la légitimité, mais c'est l'aptitude à être populaire qui compte dans la vie. La popularité, c'est comme l'air, c'est ceux qui ne sont pas destinés à l'être qui se rendent compte de combien cela importe. Heureux qui n'a pas besoin d'être populaire, alors ! Evidemment, si je me rendais compte qu'elle ne peut pas au vu de ses autres obligations ou autres raisons du même ordre, je garderais votre diagnostic pour moi et ne prendrais que vos conseils s'il y en a.

C'est à mon avis un cas qui dépasse le mien propre, souvent certains accusent d'autres se disent accusés à tort.
Mais peut-être qu'un jour, je ne pourrais plus me payer le luxe de subir de chasse aux sorcières. C'est pour cette raison que je demande l'avis des personnes me semblant les plus à même de m'indiquer quelques pistes.

Aliocha

Mary est une fine mouche, sauf que je prêchais le vrai que mon contradicteur préféré prends pour le faux, sans signaler qu'il était vrai, prouvant qu'il le prend pour le faux.

Forcément, cela lui déplaît de se voir pris aux rets de sa propre gluance, qui était la condition pour m'en extraire.
Une sorte de travail pratique mimétique en quelque sorte, qui n'a pas fini de nous valoir de longues et insultantes justifications, et me permettra de perfectionner ma machine à pardon, seule concession que je ferai au transhumanisme et à tous les transtrucs et transmachins, qui ne doivent leur existence qu'à la confusion des transcendances, Dieu n'est pas l'idole.

Il suffirait que Noblejoué comprenne qu'il n'est pas le centre de l'univers pour s'apercevoir que je ne suis ni sa créature dostoïevskienne ni l'instrument de son suicide, mais que je combats avec la plus grande détermination les idées qu'il défend.
Le fait qu'il confonde un droit démocratique avec une offense personnelle suffit en soi à le confondre, et prouve qu'il est possible d'avoir un différend sans monter aux extrêmes, sans avoir besoin de voir son contradicteur comme le meurtrier qui lui permettrait de "savoir partir comme César rajustant ses habits pour tomber élégamment au sol, assassiné", c'est-à-dire sans avoir besoin, puisqu'il n'a pas d'autre argument, de jouer les victimes pour assurer sa victoire.

Ceci permet de conclure ce qui est déjà beaucoup trop long, mais qui n'est pas sans rapport avec le roide qui pleure car description de notre fonctionnement profond, tant que Noblejoué dissimulera le fondement évangélique de la théorie mimétique, il me trouvera sur son chemin.

Fasse le ciel, car personnellement je n'en peux mais, qu'il comprenne que je ne m'en prends pas à sa personne que je respecte et comprends, qu'il comprenne que le sophisme ait besoin de l'armure du mensonge n'en fait pas une vérité.

Noblejoué

@ Aliocha

Vous dites vraiment n'importe quoi, pour commencer, vous seriez bien en peine de pointer mes contradictions vu qu'il n'y en a pas.
Donc vous préférez remettre la démocratie sur la tapis comme si j'étais contre... C'est pitoyable. Me prêter des intentions antidémocratiques ? à moi ! Quand je pense à ceux qui calomnient la démocratie et à qui on ne dit rien... N'importe quoi.

Montrer tout ce qui ne va pas dans le discours d'Aliocha, c'est être "contre la démocratie". Pourquoi ? mystère. Mais vite levé, notez bien, Aliocha s'imagine que je le hais.
Il est des gens qu'on peut être tenté de haïr pour de grands torts ou suite à de grandes déceptions... Vous ne faites pas partie du lot, dans mon cas, du moins. Maintenant que j'y pense, je ne hais personne ici, et non sans mérite, étant donné qu'on m'a accusé, je prends les trois finalistes :

- De rendre le mal pour le bien, de comploter
- D'être raciste
- D'être contre la démocratie

J'aurais parfaitement le droit de haïr, on a encore la liberté d'avoir les sentiments qu'on veut, quiconque, ici ou ailleurs, et il me semble qu'on m'a quelque peu provoqué à avoir de mauvais sentiments.
Il n'existe pas un droit au pardon dont devraient bénéficier les offenseurs, vous savez. Mais les gens s'imaginent un droit de prescription des offenses même quand ils vous narrent les leurs... Presque tout le monde a un double critère, moi et les autres.

Bref, mais en fait, et le pourquoi ne vous regarde pas, non. Je ne vous le dis que pour montrer que vous avez encore tout faux, comme d'habitude.
Encore une chose à apprendre, ce n'est pas de ne pas ressentir de ressentiment qui prouve non plus qu'on a raison... Le ressentiment aveugle souvent, mais pas toujours, ceci dit, on peut avoir du ressentiment pour une chose et pas pour une autre. A l'inverse, être détaché sans même l'avoir cherché mais en autre chose qui, il est vrai, a plus de probabilités d'arriver en état d'indifférence, en plus d'être honnête intellectuellement et loin d'être bête, ne prouve pas non plus qu'on a raison.

Et de plus, il est des erreurs fécondes. Il est vrai que je n'aime pas la malhonnêteté intellectuelle, ceux qui veulent réduire les libertés et autres drôles. Mais il ne faut même pas être attaché au détachement et se faire un monde d'avoir quelque passion pour la vérité.

1 Ce qui ne veut pas dire que je sois bouddhiste. Je constate seulement leur côté détaché.

2 Je laisse à d'autres le soin de vous en faire l'histoire si ça les amuse, je ne vous hais pas, c'est entendu, mais personne ne m'a chargé de votre salut intellectuel.

Mary Preud'homme

@ Noblejoué | 05 mars 2019 à 07:12
"Mais assez parlé de ce qui ne vous intéresse probablement pas : pourriez-vous nous dire ce que vivent les policiers, ce qu'ils pensent de la situation actuelle ?"

Prêcher le faux pour savoir le vrai, finalement c'est votre petit côté Aliocha ! Finalement vous devriez bien vous entendre en matière d'embrouille !


Aliocha

Un sophisme de plus sur des ruines, jusqu'où s'arrêtera-t-il ?
Vous aurez remarqué, ou pas, que je n'ai besoin de personne pour mettre Noblejoué face à ses contradictions, et que du coup il se sent atteint dans son honneur, sa majesté ne s'étant pas encore aperçu que nous n'étions plus sous l'Ancien Régime, qu'il était dorénavant possible de ne pas être d'accord avec les jeux de la noblesse, et qu'il existe un gros mot qui s'appelle débat démocratique, où il est possible de ne pas être d'accord sans se haïr.

vamonos

@ Exilé | 04 mars 2019 à 11:54
"Bien entendu il ne s'agit là pour l'instant que de conjectures non vérifiées."

Vous savez que j'ai de l'empathie pour votre pseudo et que je lis tous vos commentaires avec attention. Cependant, ce n'est pas la première fois que je déplore que vous puissiez relayer l'histoire des liens entre Kadhafi et Sarkozy.

Les innombrables articles et commentaires repris en boucle dans les media ont fini par entraîner une mise en examen de M. Sarkozy. Or, la seule preuve semble être le témoignage d'un trafiquant d'armes qui ne possède aucune preuve matérielle susceptible d'étayer ses allégations.

Si la Justice était impartiale, elle déroulerait respectueusement le schéma normal, à savoir, d'abord un procès équitable, ensuite une sentence et enfin une exécution de la peine prononcée. En ce qui concerne M. Sarkozy, ce schéma est complètement détruit. M. Sarkozy est déclaré coupable par les media avant même que le procès n'ait eu lieu.

M. Sarkozy a été contraint de mettre sa carrière politique entre parenthèses sachant que les juges politisés ont posé un couvercle au-dessus des parenthèses.

La calomnie a été somptueusement décrite dans la pièce de Beaumarchais, le Barbier de Séville.

La calomnie est un petit vent
Une petite brise très gentille
Qui, imperceptible, subtile,
Légèrement, doucement,
Commence, commence à murmurer.
Piano, piano, terre à terre,
À voix basse, en sifflant,
Elle glisse, elle glisse
Elle rôde, elle rôde
Dans l'oreille des gens
Elle s'introduit, s'introduit adroitement
Et les têtes et les cervelles
Étourdit et fait gonfler.
En sortant de la bouche
Le tapage va croissant,
Il prend force peu à peu,
Vole déjà de lieu en lieu,
Il ressemble au tonnerre, à la tempête
Qui au cœur de la forêt
Va sifflant, grondant,
Et vous glace d'horreur.
À la fin elle déborde et éclate, se propage, redouble,
Et produit une explosion
Comme un coup de canon,
Comme un coup de canon,
Un séisme, un orage,
Un tumulte général
Qui fait retentir l'air.
Et le pauvre calomnié,
Humilié, piétiné
Sous le fléau public,
Par grand malheur s'en va crever.

Noblejoué

@ Mary Preud'homme

Moi non plus ! Dans la mesure où vous n'y êtes pour rien. Mais si dans la mesure où vous êtes tous deux croyants et moi non : il pense que cela lui donne un droit à votre aide dans la discussion.
Et puis, il a pris appui sur votre intervention pour demander votre aide. On a les habiletés qu'on peut.

Mais je pense que les croyants auraient tort de compromettre l'image qu'ils peuvent donner de leur foi avec lui au vu de toutes sortes de faux raisonnements, d'idées on dira hétérodoxes comme l'absence de vie après la mort et de sermons insinuant que ne serais pas démocrate, entre autres. C'est faux, donc injuste et contre-productif ; cela ne va pas éveiller sa bienveillance ni pour le discours, ni pour la personne, ni envers quiconque lira sans se laisser entraîner par ses calomnies à mon égard.

Si les faux raisonnements choquent mon aspiration au sens et ses diverses imputations mon honneur, je regrette qu'il déforme sa foi. Pourquoi ? Parce que s'il y a des croyants pour comprendre mon point de vue, je comprends aussi le leur, un peu comme je n'aime pas lire un texte non intégral ou voir une oeuvre picturale retouchée, ne fût-ce que pour la faire entrer dans un cadre, arriver en retard au cinéma et autres choses semblables : je ne suis pas maniaque de l'ordre social ou chez moi mais de la cohérence.

Mais assez parlé de ce qui ne vous intéresse probablement pas : pourriez-vous nous dire ce que vivent les policiers, ce qu'ils pensent de la situation actuelle ?

Elusen

@ Gavroche | 04 mars 2019 à 10:10
« Ce que vous nous proposez est du cinéma et c'est du mauvais …»

Ah bon, vous l’auriez vu ?!

En ce qui concerne l’or, c’est de l’or papier, la majorité des échanges se font par papier, les gens n’approchent même pas les lingots. Le ridicule est qu’il y a plus d’or papier que d’or.
L’or papier, donc acheté sur contrat, ne se met pas dans l’eau à défaut de jouer Archimède mon petit Goldfinger !

Personne n’a jamais vu des Banques centrales mettre dans l’eau plusieurs tonnes ou kilogrammes d’or !

1°- https://www.cnbc.com/id/43391588

2°- https://www.forbes.com/sites/timworstall/2012/03/26/the-drilled-gold-bars-filled-with-tungsten

3°- https://www.marketoracle.co.uk/Article14996.html

Mary Preud'homme

@ Noblejoué | 04 mars 2019 à 12:49

Je n'ai pas compris ce que je venais faire dans cette histoire entre vous et Aliocha !?

Aliocha

Et flitch, encore un jet d'opprobre infectieux.
Je vais déposer un brevet de pardon automatique.

Achille

@ breizmabro | 04 mars 2019 à 16:28
"Comme disait monsieur de Beaumarchais dans le Barbier de Séville : "L’ennui n’engraisse que les sots"."

Joli morceau de perfidie typiquement féminine comme je les aime.

Mary Preud'homme n'est pas mal aussi dans son genre.

En ce qui me concerne l’ennui ne m’engraisse pas, il m’enrichit. Nuance !

Le sot ou plutôt la sotte (dans le cas présent) est une personne à l’esprit étroit qui considère que quiconque ne pense pas comme elle est forcément un imbécile.

Être votre imbécile ne me perturbe pas outre mesure. Vous avez toute ma compassion ! :)

breizmabro

@ Mary Preud'homme 04 mars 2019 à 01:10

Achille se complaît dans l'ennui (dit-il).

Comme disait monsieur de Beaumarchais dans le Barbier de Séville : "L’ennui n’engraisse que les sots".

Adéo Mary

Gavroche

@ Yves | 04 mars 2019 à 11:32

Votre envolée cafouille. Je retiens : "Positivons et retenons qu'il a été un des premiers à faire comprendre que la réindustrialisation du pays, clé de la prospérité, passait par la maîtrise du coût de revient de l'heure travaillée dans l'industrie et qu'un abaissement des charges publiques était prioritaire."

Vous nous prenez pour des cervelles de moineau et Juppé aussi ! Vous devriez lire tous les commentaires de ce blog à son sujet.

Noblejoué

@ Aliocha | 04 mars 2019 à 08:25
"Bien, Mary, c'est vous le chef, chef !
Mais, sauf votre respect, défendre l'Evangile est le meilleur moyen de lutter contre toutes les pestes."

Mais loin d'arrêter votre querelle avec moi, vous dites que "la liste pourrait être aussi longue qu'une tartine marchenoirienne ou un jet d'opprobre de Noblejoué".

Quand les croyants de votre type prétendent arrêter, ils n'arrêtent pas. D'où non seulement vous ne défendez pas l'évangile que je n'attaque pas mais au mieux votre interprétation, mais en plus, vous dites une chose pour en faire une autre.

A supposer que je jette de l’opprobre, quand je ne fais que relever bien des raisonnements ou attitudes discutables, on peut dire que ce n'est pas pour rien.

Tant de faiblesses argumentatives et comportementales doivent bien se compenser : d'où l'appel à Mary Preud'homme.
Je ne peux pas faire le tour des miens, il n'y en a pas, je me contenterai donc de faire appel à ce que les gens ont de meilleur.

Jabiru

Je trouve ce billet bien trop sévère pour un maire qui a œuvré pendant vingt-quatre ans, qui est fier de sa politique de l'aménagement de l'espace public et qui a réveillé une ville endormie.
Contrairement à ce qui est dit, Alain Juppé était obsédé par le mandat de trop et a bien préparé sa succession en permettant à son bras droit, Nicolas Florian, nouveau maire qui sera élu dans la semaine, d'assurer la continuité jusqu'à la prochaine élection de 2020.

Sur son bilan global, il laisse à son opposition le soin de dresser la liste de ses éventuels échecs (le journal Sud Ouest de ce jour). Il a tourné la page, laissons le temps apprécier son œuvre.

Exilé

@ Curmudgeon
« Ce pauvre demeuré ne sait même pas que la Libye est organisée selon une logique de tribus et de clans. La probabilité d’y voir apparaître ce que nous appelons nous un « démocratie » dans les cinquante ans à venir est égale à zéro. »

Exactement, comme dans la plupart des pays africains régis par le tribalisme où l'ethnie majoritaire fait main basse sur le pouvoir ou bien dans les pays arabes régis depuis des siècles par le principe de l'homme fort, obligé de l'être pour ne pas être renversé.

M. Juppé est représentatif de ces fausses élites imbues d'elles-mêmes qui se répandent en déclarations définitives qui ne sont souvent que des tissus de bêtises, qui, concrétisées dans le domaine politique, conduisent à des catastrophes, alors que bien des Français lambda ont souvent une vision plus claire des choses.

Au passage, il est surprenant que M.Juppé, en principe ministre des Affaires étrangères à l'époque des événements de Libye, ait accepté sans avoir démissionné de son poste de se faire doubler dans cette fonction par Bernard-Henri Lévy qui a joué de son côté - alors qu'il n'était revêtu d'aucun mandat pour ce faire - un jeu aussi trouble que néfaste en accord semble-t-il avec M. Sarkozy que d'aucuns auraient pu accuser d'avoir peut-être cherché à enterrer sous les bombes une certaine affaire gênante pour lui.
Bien entendu il ne s'agit là pour l'instant que de conjectures non vérifiées.

Yves

Tout a commencé pour Alain Juppé par la présentation à Chirac d'un "agrégé sachant écrire"... les discours.
Par la suite, l'appétit politique est venu en mangeant. Un déclic en 1984, lorsqu'un clone de gauche, Laurent Fabius ("naturel abusif" selon l'anagramme publiée par Jacques Faizant), est nommé Premier ministre.
Le sang d'Alain Juppé (anagramme: "j'ai un appel") ne fait qu'un tour et il décide de travailler davantage à son compte.
L'ironie de l'histoire veut que 35 ans plus tard l'un convoite une fois de plus le fauteuil de l'autre !

Je trouve bien sévères les jugements portés sur son action politique et sur son comportement. Décidément, que nos concitoyens sont devenus amers !

Positivons et retenons qu'il a été un des premiers à faire comprendre que la réindustrialisation du pays, clé de la prospérité, passait par la maîtrise du coût de revient de l'heure travaillée dans l'industrie et qu'un abaissement des charges publiques était prioritaire. En 1995, lors des tentatives de réforme de la solidarité nationale, en particulier des retraites, son énergie a été victorieusement combattue par l'inconscience et la lâcheté d'une opinion et d'une élite sans courage.

Concitoyens français, prenons-nous-en à nous-mêmes !

AJ aura été chargé des échecs et des défauts qui ne sont pas forcément les siens ; et des concurrents n'ont pas manqué de le déposséder de ses réussites. Pour terminer sur ce thème par une amusette, évoquons la création de l'UMP.
Tout le monde est persuadé qu'AJ est le fondateur de cette fédération droite/centre droit.
Eh bien, non.
La CIA a entrepris une recherche secrète à l'aide de ses méga-ordinateurs: who has buit UMP ?
...has built UMP ?... well, look at the anagram: Paul Bismuth.

Un salut cordial, Alain !

boureau

@ Giuseppe 03 mars 2019 20:49
@ Xavier NEBOUT 03 mars 2019 21:16

Alain Juppé : la quintessence de ceux que nous ne voulons plus voir !

Cinquante ans d'indigence scolaire et universitaire ont complètement lobotomisé les cerveaux de beaucoup de Français. Il suffit de lire quelques interventions sur ce blog et de vous voir essayer courageusement de remettre du plomb dans la tête de quelques-uns.

Autrefois on les appelait les "ravis de la crèche", maintenant, compte tenu de la dictature de la bien-pensance, la prononciation du mot crèche équivaut à excommunication du monde du bien.

Alors, pour moi, ce sont les "béats". Il y a les "béats" de Juppé comme il y a les "béats" de Macron. Dans les semaines qui suivaient l'élection de Macron, posant la question : "Pourquoi avez-vous voté Macron ?", le nombre de réponses n'ayant aucun rapport avec les compétences supposées du candidat était ahurissant.

La première raison stupéfiante de leur vote par des femmes et des hommes : "Parce qu'il est beau !" Deuxième raison : "Parce qu'il parle bien !"
Troisième raison :"Parce qu'il est jeune !".

Les compétences économiques (à supposer qu'elles le furent) venaient largement derrière ! Et avec ça, on se prend pour le peuple le plus intelligent de la terre et... on le croit !

Cordialement.

duvent

@ Garry Gaspary | 03 mars 2019 à 12:01
« Il y a ceux qui terminent leur carrière au Conseil constitutionnel et ceux qui terminent la leur à Sud Radio : si Alain Juppé a su rester lui-même, c'est parce qu'il a toujours été quelqu'un. »

Voilà une affirmation qui doit nous conduire à une profonde réflexion !
Vous commencez par « si », et donc je vous réponds « SI », je précise que vous utilisez « If » et que je vous réponds « YES », ce qui fait avancer au pas cadencé la réflexion...
Vous ajoutez « su rester lui-même », et je vous annonce en grande pompe que l'on « est » toujours pour soi-même, le petit morveux dissimulateur...

Mais enfin, le meilleur pour la fin, « il a toujours été quelqu'un », et donc ? SO ?
Il semble, qu'être « quelqu'un » soit le nec plus ultra, mais par rapport à qui, quoi, donc, où ?
Il y a ceux qui commencent et terminent, il y a ceux qui commencent et abandonnent, il y a ceux qui ne commencent rien et ne terminent rien, il y a ceux qui voudraient bien et qui ne peuvent point et il y a Garry Gaspary !
L'étalon d'or de la pensée, le professeur, tout en souplesse, douceur, et pédagogie, sans arrogance ni mépris et cela est rare et bon ! Il sait beaucoup de choses, et il les dispense généreusement, du fin fond de sa caverne, il y voit clair des ombres...

Gavroche

@ Elusen | 03 mars 2019 à 11:07

Ce que vous nous proposez est du cinéma et c'est du mauvais Elusen !

Bien que la densité soit presque identique entre l'or et le tungstène, la dureté ou le point de fusion et bien d'autres états diffèrent et ne peuvent tromper que les naïfs, mais pas les banques ni Archimède.

En matière de banque et d'or, l'accord de la Banque de France avec JP Morgan est plus pervers. Rappelons qu'il a été signé fin 2018 (voir Gavroche 02 mars 2019 à 15:07).

Par contre, puisque les faux vous intéressent, penchez-vous sur les pierres précieuses en particulier les corindons et là vous vous régalerez car ce ne sont pas des corps simples et la pierre philosophale n'existe pas.

Vous aimez tromper les autres et vous en moquer c'est votre raison d'exister sur ce blog ; laissez les Chinois en paix, ils n'ont pas falsifié les stocks d'or, c'est votre esprit qui est lui un alliage de monstruosités.

Giuseppe

"Une conclusion somptuaire paradoxale pour quelqu'un qui n'en pouvait plus de la terrible atmosphère d'aujourd'hui ! Il est vrai qu'on parvient toujours à se persuader qu'on est indispensable - surtout lui - quand on vous sollicite et qu'on vous offre sur un plateau une manière de fuir somptueusement l'amertume." (PB).

Du d'Artagnan dans le texte, du Cyrano de Bergerac pour l'envoi.
Alain Juppé est bien de l'autre côté de la barrière, il est de ceux qui ont cassé le pays, par un aveuglement sans borne.

Tous ceux qui se sont succédé ont pillé notre démocratie, après un redressement d'après-guerre, cette oligarchie s'est emparée des leviers sans vergogne, n'existait pas Internet à l'époque, aujourd'hui l'information est à portée de clic et les citoyens ne sont ni incultes, ni innocents.

Les Gilets jaunes sont enchâssés dans le paysage, plus rien ni personne ne les poussera dehors, ils ont assez de ces gaspilleurs de leur travail, eux qui produisent, les autres qui dilapident.
La course à un meilleur équilibre est entamée, EM doit taper dans ce train de vie de l'Etat qui sent le rance - l'affaire Benalla y compris -, le pays est riche, les pays nordiques équilibrent bien leurs comptes et l'on vous soigne les dents et les yeux gratuitement aussi et avant tout le monde.

Zonzon

- L’incurie des politiciens et le malheur des peuples !

- Vous avez dit Nuremberg. C’est excessif !

Aliocha

L'énarchie est légitime comme sa critique, mais elles tombent dans l'illégitime quand elles pensent pouvoir chacune gouverner seule.
Juppé comme les autres est coresponsable de l'atmosphère de lynchage généralisé qui contamine le pays et sa retraite méritée et les réactions injustes qu'elle entraîne en témoignent.

Tant qu'on ne pensera les différences qu'en terme de conflit, pauvres ou riches, instinctifs ou intelligents, paysans et citadins, mondialistes et nationalistes, énarques et entrepreneurs, libéraux ou étatistes, la liste pourrait être aussi longue qu'une tartine marchenoirienne ou un jet d'opprobre de Noblejoué, ces différences seront effacées dans l'indifférenciation violente qui n'est qu'une variation de la haine, menaçant leur existence même, car c'est le conflit qui rend semblable.

La conscience de cette réalité qui affleure en ces temps de crise démocratique correspond exactement à la responsabilité supérieure dévolue à chacun.
Et dans la même mesure, quelle que soit sa position dans l'échelle sociale, l'exercice de son pouvoir de citoyen qui s'exprime en droits comme en devoirs, devrait être l'honneur de la responsabilité reconnue à chacun, devrait suffire à satisfaire les besoins de reconnaissance.
Les différences, légitimes et nécessaires, se traduisent alors comme l'expression d'un choix garanti par l'égalité des droits, dans la mesure où elles assument les conséquences de ce choix qui est l'exercice de la liberté de chacun, qui ne saurait s'imposer à tous au risque de perdre leur légitimité.

Notre démocratie, au lieu de se perdre alors dans ses infantilismes, aura l'occasion de formuler la haute exigence que demande la fraternité, aura l'occasion d'accéder à l'âge adulte de sa maturité, celle qui, en respectant l'autre et ses choix différents, n'a plus besoin de le détruire pour légitimer les siens, s'empêchant de les assumer et se livrant à leur effacement, à la violence qui détruit tout, rend sourd et aveugle, car on ignore ce qu'elle fait.
Le vrai combat est contre cette ignorance, et il est rassurant qu'un homme comme Juppé entre au Conseil constitutionnel.
Fort de cette connaissance qui n'est autre que le socle fondamental de la Loi, il pourra contribuer à renforcer la vérité de nos institutions qui semblent bien fragilisées pour la garantir contre la violence qui se déchaîne d'autant plus qu'elle est plus révélée.

Garry Gaspary

@ Gavroche

Malgré sa faute passée, il eut suffi à Alain Juppé de caresser le beauf dans le sens du poil en ne cessant de parler d'immigration ou de crèche de Noël durant la dernière campagne pour se faire élire président de la République.

Il n'y a rien de plus facile que d'être ignoble dans l'air du temps afin d'obtenir une gamelle à Sud Radio pour ensuite se boucher le nez en parlant quotidiennement des Gilets jaunes sur son blog.

Mais avoir des valeurs auxquelles on tient plutôt que louvoyer vilement, être quelqu'un même si ce n'est que pour soi plutôt que paraître pour plaire à la populace, cela demande discipline, force et courage.

Des mots qui, comme tous les autres d'ailleurs, n'ont plus aucun sens pour des gens comme vous. C'est tout ce qui fait la seule fierté de ce blog, tout ce qui en fait aussi la vulgarité la plus complète : utiliser les mots pour en souiller le sens, mais surtout sans faire de faute ! Paraître plutôt qu'être !

Je préfère personnellement la faute assumée d'un Alain Juppé droit dans ses bottes à la correction de façade d'un Philippe Bilger prêt à toutes les compromissions !

Elusen

@ Xavier NEBOUT | 03 mars 2019 à 21:16

Méfiance !
L’IREF est une organisation d’extrême droite, elle n’est pas scientifique, c’est un groupe de pression, d’opinion, donc de désinformation, de propagande, puisqu’il part de la conclusion : l’opinion libertarienne.

Elle était basée au Luxembourg, maintenant à Lyon, et dans son conseil d’administration elle n’avait que des représentants de paradis fiscaux et des avocats fiscalistes, dont un noble du Liechtenstein. Elle est tenue par la famille de Charles Millon.

Nicolas Lecaussin a dirigé un autre groupe de pression d’extrême droite et libertarienne : la Fondation iFRAP.

Ce sont des employés avec contrat, ils doivent ainsi remplir les conditions contractuelles et avoir une loyauté envers leurs employeurs. Ce type d’organisation n’emploie que des personnes avec profil spécifique, ils n’emploient pas des personnes antiracistes ou non libertariennes.

Je rappelle que le libertarisme est une théorie qui prône l’interdiction de la démocratie mais un régime censitaire, seuls les riches ont le droit de vote et ont le droit d’exercer les pouvoirs. Ils vont même jusqu’à prôner la régulation des pauvres par l’extermination, proposée déjà par Aristote et Platon.

Ce qui devient excessivement dangereux dans votre intervention, c’est que vous racontez une histoire, racontée par un autre qui n’est pas objectif, mais idéologique, qui lui-même la tiendrait de quelqu’un d’autre. Comme si vous n’aviez pas la capacité intellectuelle de lire le rapport original.

Souvent ce genre d’organisation cite des rapports, des études, des enquêtes qui n’existent pas, car elles savent que personne n’ira vérifier. Le reste du temps elles exagèrent, extrapolent, voire leur font dire des choses qui ne sont pas écrites.

Lisez-le, c’est plus simple que de se le faire raconter !
Par exemple ces mots ne sont pas du tout employés dans le rapport :
- privilèges
- gaspillages
- étrange épidémie
- 140 millions de perte des transports publics.

Il retravaille certains chiffres le type pour les exagérer, il passe sous silence le fait que certains chiffres ne s’appliquent pas à tous les agents, etc.

https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/imported_pdf/2018-01-30/NAR201775.pdf

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