Un climat de haine en France comme on n'en a jamais connu. Décourageant.
Des intellectuels et des polémistes enfermés, enkystés dans leur chapelle sans être capables ni soucieux d'une plénitude qui devrait les conduire, parfois, à penser contre eux-mêmes. Ils préfèrent idolâtrer ou détester que suivre à la trace le réel des situations et des comportements. Décourageant.
D'ignobles slogans contre la police, le 20 avril, de la part de certains Gilets jaunes : suicidez-vous. Une indécence morale et militante. Décourageant.
Une forte augmentation des suicides de fonctionnaires de police. S'ils n'ont pas tous une cause exclusivement professionnelle, il est clair que le stress et les difficultés de ce métier ont eu une incidence directe sur ces décisions fatales et irréversibles. On le constate, on le déplore, c'est tout. Décourageant.
On peut de plus en plus douter de la capacité du président de la République à trouver une issue politique à cette crise interminable et si singulière qu'elle défie les tactiques traditionnelles d'autant plus que les revendications - à les supposer précises - des Gilets jaunes sont à prendre ou à laisser. Décourageant.
Les pompiers, après ce qu'ils ont accompli le 15 avril et qui a été admirable de compétence et de courage, ont été admirés par presque tous. Mais cela n'a pas empêché des Gilets jaunes de multiplier de petits incendies dans la journée du 20 avril pour continuer à les mettre à contribution et ainsi les épuiser encore davantage. Décourageant.
On ne parle que des blessures - conséquences regrettables et douloureuses, mais presque inévitables, du maintien de l'ordre rendu de plus en plus éprouvant chaque samedi - de plusieurs Gilets jaunes mais on n'évoque guère le caractère scandaleux de cette pression intense, du harcèlement constant et insultant, subis par policiers et gendarmes. Les coupables ne sont pas là où la démagogie aigre les cherche seulement. Décourageant.
Le complotisme - perversion grave de la volonté démocratique d'être informé - bat son plein. Il est l'apanage de citoyens qui ne lisent que ce qui sert leurs préjugés et n'écoutent qu'eux-mêmes. Quand on lit et écoute TOUT et qu'on sort des officines partisanes et systématiquement suspicieuses, on dispose d'éléments sûrs : encore faut-il les accepter ! Décourageant.
Si on se fonde en effet - en attendant les conclusions de l'enquête - sur ouvriers, experts, spécialistes de la cathédrale, pompiers et techniciens, sur la certitude du départ du feu dans les combles, sur l'absence de revendication terroriste, sur le fait que les terroristes auraient désiré massacrer un grand nombre de fidèles et l'aberration, la fausse rationalité de la loi des séries, qui peut de bonne foi dénier en l'occurrence la cause accidentelle ? Mais l'ignorance obtuse et orientée fait des ravages. Décourageant.
Il est triste d'entendre Eric Zemmour déclarer sur Paris Première: "S'il y a quelque chose prouvant que l'incendie de Notre-Dame est criminel, je pense qu'on le cachera" (jeanmarcmorandini.blog) Il attise ainsi un double fantasme. Décourageant.
Lorsque Jordan Bardella, pour le RN, insinue qu'on a le droit de s'interroger sur les causes de l'incendie, il manque au devoir de responsabilité. Parce qu'il occulte tout ce qui met en pièces son soupçon délétère et qu'il n'a pour finalité que de jeter le trouble dans un contexte qui appellerait au contraire lucidité, objectivité et mesure. Décourageant.
Qu'on soit heureux alors d'entendre un Edouard Baer ou un Boris Cyrulnik énoncer que la cause de l'incendie est accidentelle et se féliciter que cette catastrophe ne soit pas à porter à l'horrible crédit du terrorisme est significatif de la confusion actuelle. De ces esprits surgit un bon sens et une objectivité qui font défaut à d'autres chez qui on aurait dû les espérer. Décourageant (France 2).
Que la France soit tellement hémiplégique et batailleuse, envieuse et vindicative que rien jamais ne trouve totalement grâce à ses yeux est déplorable. La générosité de François Pinault, de Bernard Arnault, de L'Oréal et de Bouygues pour la reconstruction de Notre-Dame de Paris est certes appréciable mais. Toujours des mais qui viennent battre en brèche des évidences immédiates qui devraient être consensuelles. Décourageant.
Notre pays est englué dans une atmosphère où face aux grandeurs les petitesses doivent avoir, en médiocre majesté, leur droit de cité. Les fortunés sont des ennemis et de la bouche des Gilets jaunes ne surgiraient que des vérités alors qu'ils ont trouvé le moyen de dégrader, de dénaturer une cause initialement juste et légitime. Et qu'aujourd'hui leur politisation d'extrême gauche leur fait détester ce pouvoir bien plus qu'elle ne les dispose à un dialogue démocratique. Décourageant.
Les élections européennes apparemment nous confrontent pour l'instant à un angélisme qui a déjà révélé son impuissance ou à une démagogie qui la révélerait. Je ne peux m'empêcher de regretter que la liste conduite par une personnalité intelligente qui fait honneur à une droite non sectaire mais assumée semble ne pas pouvoir atteindre les 15%. Décourageant.
Le 25 avril le président de la République tiendra une conférence de presse. Ce ne seront ni tout à fait les mêmes annonces ni tout à fait d'autres. J'anticipe les réactions du lendemain. Décevantes, fourre-tout. On ne lâchera rien. Et le 1er mai on vous promet l'enfer.
Vraiment décourageant.
@ calamity jane | 03 mai 2019 à 19:01
De quoi qu'elle cause la calamidad ?
Rédigé par : Mary Preud'homme | 03 mai 2019 à 21:54
Décourageant !
Le bijou de famille de la Guyane en morceaux !
Et on vient nous parler de Castagnerf ?!
Rédigé par : calamity jane | 03 mai 2019 à 19:01
Un intervenant du syndicat Alliance Police nationale aurait prétendu que la violence répondrait à la violence... ou la meilleure façon de justifier des comportements outrageux... contre les manifestants !
Il ne faudra pas venir nous la raconter à l'envers, genre "outrage à agent".
Au bord de l'écoeurement.
Rédigé par : calamity jane | 01 mai 2019 à 10:54
Jack Lang demande des moyens d'exception pour reconstruire Notre-Dame !
Avec son compère Stéphane Bern, les deux amis sont inquiets car ils auraient des craintes sur des dérogations aux règles des marchés publics.
Tout le monde sait bien que les papillons sont attirés par la lumière et c'est ce pingre de Jack Lang qui manifestement cherche la bonne aubaine pour se placer et faire parler de lui et surtout en tirer profit.
Rappelons quelques exploits de l'homme politique le mieux payé en 2009, ses incroyables gaspillages à l'Institut du Monde Arabe, les 200 000 euros de costumes Smalto, et surtout son habitude de continuer à pantoufler aux frais des contribuables.
Souhaitons que le Général Georgelin nommé par le chef de l'Etat pour reconstruire la cathédrale de Paris veille à écarter du dossier ce genre de personnage avide d'argent public pour son confort personnel.
Rédigé par : Jabiru | 25 avril 2019 à 13:27
▬ « Les fortunés sont des ennemis...» de son Honorable Honoraire.
À bien lire l’universitaire états-unien John Dewey, vous méconnaissez, très cher, qu’en économie, ceux qui la contrôlent ont une force de coercition qui ne relève pas de la démocratie, mais de l’accumulation et autres techniques.
Et que peut bien provoquer une coercition illégitime, arbitraire, si ce n’est que de la violence de ceux qui la subissent ?
Rédigé par : Elusen | 25 avril 2019 à 12:12
@ Mary Preud'homme | 24 avril 2019 à 13:21
"Un gendarme en retraite de mes amis."
Mais bien sûr : on y croit... Un type qui prend comme pseudo "Un gendarme en retraite...", qu'on n'a jamais vu ici auparavant, dont je vous fiche mon billet qu'on ne le reverra jamais plus, qui inaugure sa présence en attaquant la tête de Turc de Mary Preud'homme (ma pomme), qui écrit avec le style inimitable de poissonnière enragée de Mary Preud'homme, qui reprend mot pour mot les obsessions et les vitupérations stupides de Mary Preud'homme à mon encontre...
Et quand je dénonce la supercherie, c'est... Mary Preud'homme qui répond... et non pas le noble "gendarme en retraite", disparu aussi vite qu'il est apparu...
Si vous pouviez essayer de ne pas prendre les gens pour des imbéciles, et vous ridiculiser par la même occasion... ce genre de farces, on les fait à quatorze ans, mais au-delà, cela relève de la médecine.
Et donc en fait, le suicide des policiers, véritable raison de votre dernier accès d'hystérie à mon égard, vous en pensez quoi ? Des faits, des arguments, à opposer aux miens, plutôt que les bordées d'insultes dont vous venez de nous gratifier, vous sauriez faire ?
Pardon : je veux dire, votre ami "gendarme à la retraite", il en pense quoi, lui, des chiffres et des informations que j'ai fournis ? Et de mon analyse consécutive ? Lui, c'est un militaire, un type sérieux, jugulaire-jugulaire, un officier de police judiciaire, un type qui fait des procès-verbaux, pas une militante fanatique et sectaire menée par ses humeurs, nous sommes bien d'accord ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 25 avril 2019 à 08:46
@ Paul Duret | 24 avril 2019 à 12:48
Preuve que vous racontez n'importe quoi. Sur le terrain les CRS sont toujours dirigés par un commandant de police, grade inférieur à celui de commissaire dans la PN.
Quant au "commissaire" qui dirigerait des gendarmes mobiles, il n'existe que dans votre imagination, ou alors le gars qui vous a informé s'est bien payé votre fiole !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 24 avril 2019 à 23:38
"Tandis que seuls (seules) ceux qui lui lèchent les babouches et se pâment devant ses tartines indigestes trouvent grâce à ses yeux !"
Rédigé par : Mary Preud'homme | 24 avril 2019 à 13:21
Comment savez-vous cela ?
Un lécheur de babouches (supposé)
Rédigé par : herman kerhost | 24 avril 2019 à 21:13
@ Yves | 24 avril 2019 à 11:46
"On" pronom indéfini est un imbécile doublé d'un lâche, avait coutume de dire mon père, de même que ceux qui l'emploient à tout bout de champ pour ne pas avoir à s'expliquer, se mouiller et prendre des risques !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 24 avril 2019 à 14:26
@ Robert Marchenoir | 24 avril 2019 à 10:19
Tiens c'est marrant, le sycophante Marchenoir qui s'est récemment vanté de faire rentrer ses posts incendiaires et diffamateurs "à coups de lattes, aidé par ses "bonzamis"", me voit partout et prend ombrage qu'un gendarme en retraite de "mézamis" (lassé par ses fanfaronnades) l'ait remis, enfin, à sa place de marchand de tapis ! Ce qui n'est pas gentil pour les braves commerçants du marché Saint Pierre mais passons...
Dès lors que ceux qui travaillent, eux, policiers ou gendarmes, y compris tard dans la soirée, voire la nuit, n'ont pas le temps de lire ses productions bourrées de clichés, de provocations et d'insultes, et encore moins d'y répondre... Quand ils ne les ignorent pas avec mépris comme le font (et me recommandent de le faire) mes plus proches !
Quant à son genre, sa race, son appartenance politique, sa religion, son métier et son QI, tous sujets qui le taraudent et l'obsèdent, on a de gros doutes, vu les clichés qu'il projette avec hargne sur ceux et celles qui prennent le risque de s'affirmer dans leur identité, leurs choix, passions, expériences... et de le contredire, alors qu'il se prend pour le phénix à nul autre pareil de ce blog, multipliant les liens et les copiés-collés pour faire illusion ! Tandis que seuls (seules) ceux qui lui lèchent les babouches et se pâment devant ses tartines indigestes trouvent grâce à ses yeux !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 24 avril 2019 à 13:21
@ Yves
@ Mary Preud'homme
Je tiens ces informations d'un commissaire de police.
Il préfère travailler avec les gendarmes mobiles qu'avec les CRS (sur-syndiqués).
Rédigé par : Paul Duret | 24 avril 2019 à 12:48
Je fais un retour sur ce blog après avoir conscré beaucoup de temps à l'informatique après un changement de matériel et à la réinstallation de logiciels, notamment de certains qui exigent beaucoup de temps et de minutie.
Pour en revenir à ce billet de monsieur Bilger que je trouve excellent, je fais miens les commentaires de boureau | 22 avril 2019 à 10:13 et de Michelle D-LEROY | 22 avril 2019 à 19:23 dont la conclusion est un petit bijou : "Lors de la campagne des élections européennes comme pour le Grand débat, par consensus mou et par vivre-ensemblisme, il ne faut pas parler de ces sujets qui fâchent. Tant que nos politiques, élites et médias adopteront cette attitude fuyante sur les grands sujets de société ce n’est pas demain que le climat va redevenir léger."
C'est d'ailleurs en ce sens que l'incendie de Notre-Dame de Paris est assez symbolique de l'état de la France qui s'enfonce de plus en plus, jour après jour. Le débat sur l'avenir de l'ENA est d'ailleurs particulièrement affligeant.
Je rejoins aussi le commentaire de Mitsahne | 22 avril 2019 à 18:21 dont je relève ce passage : "Depuis des semaines, des centaines de black blocs détruisent, pillent, incendient. Combien sont arrêtés ? Combien ont été condamnés à de la prison ferme ? Aucun il me semble. Si l’action policière paraît faible par rapport aux exactions, la réponse judiciaire est quasiment nulle."
Confirmation est donnée de cet état de fait par la condamnation à quelques mois avec sursis d'un pompier interpellé porteur d'un sac à dos contenant des cocktails Molotov et autres fusées de détresse. Comme c'est étonnant : il ne savait comment cet attirail offensif s'était trouvé dans ce sac à dos dont il était pourtant porteur. Et son défenseur de pleurer sur cette injustice qui lui est faite par cette condamnation qui témoignerait de la gêne de ses juges comme de l'insuffisance de la procédure établie par les policiers... On croit se trouver dans un mauvais rêve, pour ne pas dire un cauchemar !
A l'heure où monsieur Macron est tout centent d'avoir fait voter sa propre "loi anti-casseurs", l'on voit que la Justice en tire l'extrême essence : une incapacité à condamner durement sur ce fondement.
Alors les choses continueront d'empirer. Jusqu'où ?
Rédigé par : Robert | 24 avril 2019 à 12:19
@ Paul Duret 23 avril 20:44
De nos jours, il y a 3 catégories de nouvelles:
- les vraies;
- les fausses;
- les incomplètes.
Ainsi, en écrivant "On dit souvent que pour remplacer un gendarme, il faut deux policiers", vous nous livrez un information incomplète.
"On dit souvent...", oui, mais qui c'est "on" ? les gendarmes ou les policiers ?
Rédigé par : Yves | 24 avril 2019 à 11:46
Courage,
La haine est le plus puissant des agents unificateurs, la haine de l'Europe est plus massive que la haine des non-élites.
La droite tolérante est un concept flou, mouvant, qui ne peut rien contre l'Europe. La droite n'est pas le sujet de ces élections.
Les minorités intolérantes dominent la majorité tolérante (sauf si une contre-minorité s'y oppose).
Les minorités intolérantes anti-Europe vaincront sauf si des minorités intolérantes pro-Europe s'y opposent.
Courage, dès les minorités intolérantes épuisées entre elles, nous surgirons pour proposer une trajectoire. Les masses suivent ceux qui ont un plan, pas les girouettes.
Désolé, je dois partir, je vais me coucher, j'ai passé toute la nuit en boîte de nuit avec Castaner, j'ai trop bu de vodka.
Courage, courage, courage, continuez à forcer le monde réel avec des mots.
Rédigé par : Ch A | 24 avril 2019 à 10:47
@ Un gendarme en retraite... | 23 avril 2019 à 23:50
Tiens, c'est marrant, Mary Preud'homme a changé de pseudo... Mais elle est toujours aussi bête, et toujours autant dévorée par la haine.
Après avoir joué aux parachutistes, puis aux flics, voici qu'elle a carrément décidé de changer de genre (comme on dit aujourd'hui). Je dois dire que cela lui va assez bien.
Sur un plan plus général, on remarquera à quel point ce commentaire valide le constat fait ici. Sur un fil précédent, il a suffi que je remette en cause la bassesse complotiste mijotant autour de l'incendie de Notre-Dame, pour qu'aussitôt trois complotistes me tombent sur le poil avec des tactiques de voyous.
Sur ce fil, il a suffi que je remette en cause la "thèse officielle" en vigueur sur les suicides des Saints Flics, pour qu'aussitôt une fanatique de la police m'insulte en long et en large.
Comme quoi, il y a les bonnes thèses officielles et les mauvaises thèses officielles, et chacun a la sienne. Ce qui ne change pas, c'est ce "climat de haine en France comme on n'en a jamais connu" (Philippe Bilger). Et il n'est pas seulement imputable aux "intellectuels et polémistes enfermés, enkystés dans leur chapelle sans être capables ni soucieux d'une plénitude qui devrait les conduire, parfois, à penser contre eux-mêmes". La dépravation des intellectuels, en l'occurrence, est très largement partagée.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 24 avril 2019 à 10:19
@ calamity jane | 23 avril 2019 à 19:22
N'accablons pas la dame Loiseau. Elle proclame avoir fait une co*nerie de jeunesse, eh bien, en soutenant Macron, elle fait une co*nerie de vieillesse !
comme disait Julio :
/www.youtube.com/watch?v=lfajSsIem5Q
Rédigé par : revnonausujai | 24 avril 2019 à 08:57
@ Jabiru
« ...notre pays encore démocratique mais pour combien de temps ! »
Mais notre pays n'est plus démocratique depuis belle lurette, à supposer qu'il l'ait jamais été.
Vous n'étiez pas au courant ?
Rédigé par : Exilé | 24 avril 2019 à 08:55
@ Paul Duret | 23 avril 2019 à 20:44
Le bourrin c'est vous !
Pas grave vous n'êtes pas le seul à ignorer que les policiers sont affectés à des zones quatre fois plus criminogènes et dangereuses que les zones gendarmerie.
Concernant par ailleurs les CRS chargés plus particulièrement du maintien de l'ordre durant les manifestations diverses et de la répression des émeutes, sachez qu'ils font strictement le même métier que les gendarmes mobiles et travaillent souvent de concert.
Quant aux GIR police judiciaire composés à égalité de policiers, gendarmes, plus quelques douaniers... ils sont dirigés tantôt par un commissaire, tantôt par un chef d'escadron ou un capitaine de gendarmerie.
Alors...
Rédigé par : Mary Preud'homme | 24 avril 2019 à 02:32
@ Tipaza | 23 avril 2019 à 10:08
Merci. J'espère que vous ne changerez pas d'avis, maintenant que le reste du texte est en ligne. Il a fallu le faire rentrer à coups de latte... and with a little help from my friends, comme disaient les Beatles.
______
@ fugace | 23 avril 2019 à 11:40
Je suis jaloux. Vous arrivez à poster une bébête qui bouge, et moi je n'arrive même pas à poster un texte complet du premier coup !
Rédigé par : Robert Marchenoir | 24 avril 2019 à 02:26
Ah ah ah !
Marchenoir (23 avril 2019 à 16:06) en parfait petit gauchiste façon marchand de tapis qui vient de se faire serrer pour une embrouille et enrage, nous servant une fois de plus, par vengeance, sa bouillie habituelle en caricaturant et bouffant du flic encore "plus mieux" que ne savent le faire les petits crapauds vendeurs de shit des cités, lesquels il est vrai n'auraient pas son QI. Quoique...
Et comme en plus ce brave Marchenoir que tous les blogs d'importance nous envient ignore manifestement le b.a.-ba du métier de ces hommes et femmes en bleu qui lui font si peur, il nous fait le coup du SIG Sauer (arme qu'il ne connaissait pas avant que Mary P en ait parlé), ajoutant pour faire l'important que la tenue d'uniforme serait donnée au premier venu, de préférence illettré, manifestant du même coup son ignorance crasse concernant les voies d'accès aux différents concours de la police nationale, les niveaux requis et les chances de réussite auxdits concours dans les différents corps.
Idem pour ceux de la gendarmerie nationale d'ailleurs !
Rédigé par : Un gendarme en retraite... | 23 avril 2019 à 23:50
@ Philippe Bilger
Comme vous le suggérez, il n'existe pas de "loi des séries".
Il y a des séries d'abrutis et abruties oui, qui ânonnent, en général au "Jité" gna gna gna... sans transition... gnangnangnan... C'est la loi des séries... gnan gnan. Pfoui ! Foutaises. Mais pas de loi.
Il y a des séries d'événements en apparence liés.
C'est en général le hasard et c'est la loi du hasard qui s'impose.
Et il y a des séries d'événements liés par certains facteurs communs. Exemple : les morts sur les routes...
Quant aux Gilets jaunes il n'y en a plus.
Maintenant on a affaire à des milliers, quelques milliers, de gilets sales, aux esprits sales.
Les Gilets jaunes sont ailleurs.
Rédigé par : Yann Lebreton | 23 avril 2019 à 23:24
"Décourageant.
Des intellectuels et des polémistes enfermés, enkystés dans leur chapelle sans être capables ni soucieux d'une plénitude qui devrait les conduire, parfois, à penser contre eux-mêmes. Ils préfèrent idolâtrer ou détester que suivre à la trace le réel des situations et des comportements."
Décourageant."
Exact !
Ces intellectuels, qui se veulent penseurs, mais qui nous offrent, en guise d'idéaux pour un monde meilleur, un business très spécialisé, un entre-jambe littéraire, une prose libidineuse que Larry Flynt lui même serait ravi de publier sur sa revue Hustler.
Un business vraiment universel : littérature, télévision, internet, clubs, spectacles... générateur de milliards de dollars où le mot "dollar" a vulgarisé le mot pensée.
Un business, qui, enfin, en France, vous conduit à la récompense ultime : la Légion d'honneur.
Vraiment décourageant :)
Rédigé par : Claude Luçon | 23 avril 2019 à 22:31
Quand on lit et écoute TOUT et qu'on sort des officines partisanes et systématiquement suspicieuses, on dispose d'éléments sûrs : encore faut-il les accepter !
Encore faut-il accepter l'idée qu'il n'est pas possible de s'informer correctement uniquement en lisant TOUT de la production journalistique française composée de médias subventionnés aux frais du contribuable à son corps défendant, où grenouillent des journalistes nageant dans un gauchisme consanguin et biberonnés aux mêmes dépêches réglementaires délivrées par l'Agence Tass, pardon, par l'AFP.
Quid des médias « hors-système » ?
Par ailleurs, écouter TOUT ce qui est diffusé par le prétendu service public de l'information (rires) équivaut à se connecter le cerveau en direct sur le ministère de la Propagande.
Et pour ces gens-là, marchant main dans la main avec les représentants du Régime, le b.a.-ba consiste à qualifier de « complotisme » tout ce qui les dérange ou qui sort de leur schéma mental formaté.
Le but de la manœuvre est de faire croire que dans un monde merveilleux où tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil (sauf une mystérieuse extrême droite) il n'existe pas de complots, de machinations, de coups plus ou moins tordus ou bien de campagnes de désinformation ou tout simplement qu'il n'existe pas de « spin doctors » spécialisés dans le conditionnement de l'opinion.
Il n'existe que des hommes politiques et des journalistes sympas qui vous diront ce que vous devez penser et surtout qui vous demanderont de ne pas vous poser de questions sur les histoires qu'ils vous racontent, en dépit de leur caractère parfois abracadabrant.
Car oui, dans le monde réel, il existe bel et bien ici ou là des gens capables de réécrire l'histoire et d'autres capables de rédiger un scénario de « coup » comme d'autres le font pour un film, avec tous les détails nécessaires à sa bonne exécution s'il vient à être adopté.
A titre d'exemple, voici un lien (en français) expliquant en quoi consistait l'Opération Northwoods concoctée par la CIA qui aurait permis de faire croire en pleine période de Guerre Froide que Cuba aurait lancé des opérations à caractère terroriste conte les USA, mais Kennedy a refusé de le faire appliquer :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Northwoods
Noter au passage qu'il avait été prévu de « simuler la destruction d'un avion charter, d'une compagnie aérienne détenue en sous-main par la CIA, dont les passagers, des étudiants en vacances, auraient été transférés sur un avion similaire puis le drone serait allé exploser vide sur Cuba tout en envoyant des messages radio indiquant une attaque par un chasseur cubain. »
C'est bizarre, cela nous rappelle autre chose, mais quoi au juste?
Le document original déclassifié est visible ici :
https://nsarchive2.gwu.edu//news/20010430/doc1.pdf
Rédigé par : Exilé | 23 avril 2019 à 21:26
Il y a plus de 10 000 suicides par an en France, pays par ailleurs champion de la consommation de tranquillisants. Chaque suicide est un drame pour les proches qui se traduit par un énorme sentiment de culpabilité. Il n'y a pas de politique de santé dans ce domaine. La consultation psy est de l'ordre de l'individuel. Pas de sensibilisation de l'encadrement sur les signaux faibles qui annoncent un passage à l'acte. A comparer au juteux revenus que procurent les 3 500 piétons cyclistes et automobilistes qui se tuent accidentellement.
Et tant que nous sommes dans les chiffres aux 15 000 morts par accident domestique, aux 12 000 morts par accident du travail.
Rédigé par : lepsy | 23 avril 2019 à 20:52
@ Jabiru
"Les forces de l'ordre (200 000 hommes, gendarmes et policiers) doivent bien être capables d'embastiller 10 000 casseurs s'ils en ont l'ordre"
Le nombre ne fait pas tout. Si vous n'avez à votre disposition que des équipes de bourrins (comme les CRS par exemple) qui ne marchent qu'à coup de primes et en font le moins possible, cela ne peut pas marcher.
On dit souvent que pour remplacer un gendarme, il faut deux policiers.
Rédigé par : Paul Duret | 23 avril 2019 à 20:44
Deux opinions parmi bien d’autres :
https://www.industrie-techno.com/article/quelles-techniques-permettront-de-reconstruire-la-foret-de-la-cathedrale-notre-dame.55930
Notre-Dame : « Pas besoin des grands groupes pour refaire la charpente ! » https://www.lepoint.fr/tiny/1-2309073 via @LePoint
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 23 avril 2019 à 20:36
"Nul homme n'est assez riche pour racheter son passé." (Oscar Wilde)
A fortiori nulle femme !
Pauvre Nathalie Loiseau qui va être obligée de manger son chapeau !
Remarquez elle pourra s'en sortir en faisant appel à François Ier, non pas le pape, notre roi qui a déclaré :
"Souvent femme varie, bien fol qui s'y fie".
Je ne suis pas sûr que cet argument que je lui propose lui vaille l'absolution de son entourage, par contre elle risque de braquer les féministes.
La vie a de ces retournements, l'imprévisible et l'impermanence sont la règle.
C'est pourquoi je n'ai pas compris le billet écrit sous le coup d'une déprime passagère, la déprime du Printemps, bien connue du spécialiste en départ de feu de charpente, j'ai nommé Boris Cyrulnik, qui ne manquera pas de reprocher à Philippe Bilger son manque de résilience.
Ma foi si Boris se proclame maître en démarrage d'incendies, je peux bien me proclamer spécialiste en neuro-psychiatrie !
Rédigé par : Tipaza | 23 avril 2019 à 20:32
Une nouvelle comique est née : Nathalie Loiseau.
Peuchère ! elle ne savait pas qui était sur la liste...
Elle sait aujourd'hui qui l'a nommée ? Bien.
Décourageant.
Rédigé par : calamity jane | 23 avril 2019 à 19:22
@ Exilé
Oui j’aurais dû écrire :
- en 1/ le confinement « et le temps » qui tous les deux manquaient dans l’expérience et qui se combinent pour provoquer la combustion qui dégénère en incendie.
- et en 2/ ajouter accidentellement : « de vieilles charpentes en chêne ont brûlé accidentellement. Elles ont donc bien dû s’enflammer. »
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 23 avril 2019 à 18:23
@ Denis Monod-Broca
« ...de vieilles charpentes en chêne ont brûlé. Elles ont donc bien dû s’enflammer. »
Certes, mais n'oubliez pas le facteur temps.
L'expérience de la vidéo a simplement rappelé qu'il était très difficile de mettre le feu à une pièce de bois massif, y compris en s'aidant de produits inflammables.
Bien entendu, il y aura bien un moment où, si toutes les conditions sont réunies, une poutre finira par brûler.
Mais n'oublions pas qu'à conditions équivalentes une charpente en bois massif résistera plus longtemps qu'une charpente métallique non protégée qui se déformera et s'effondrera.
Rappelons aussi que si un incendie éclate dans un immeuble et que les couloirs ne sont plus accessibles, il est préconisé de fermer la porte de son appartement en la calfeutrant bien avec des linges mouillés et en l'humectant en attendant les secours.
Pourtant une telle porte est généralement en bois d'une épaisseur relativement réduite.
Rédigé par : Exilé | 23 avril 2019 à 16:38
Si l'enfer promis se réalise, alors un couvre-feu va devenir incontournable pour casser les ardeurs des plus récalcitrants qui ne visent que le chaos, le désordre et la fin de l'Etat de droit.
Il va bien falloir choisir le moment venu pour que nos institutions permettent que force reste à la loi.
Les forces de l'ordre (200 000 hommes, gendarmes et policiers) doivent bien être capables d'embastiller 10 000 casseurs s'ils en ont l'ordre ou alors c'est le foutoir le plus complet dans notre pays encore démocratique mais pour combien de temps !
Rédigé par : Jabiru | 23 avril 2019 à 16:31
Éditorial excellent, et nécessaire. (Et comme d'habitude, c'est lorsque Philippe Bilger monte dans les tours qu'il est le meilleur. Je ne dis pas cela pour faire l'éloge de l'extrémisme... c'est juste qu'en l'occurrence, cela me paraît vrai.)
Zemmour, pour lequel j'ai beaucoup d'estime mais dont j'ai toujours critiqué certaines positions, commet une mauvaise action en disant : "S'il y a quelque chose prouvant que l'incendie de Notre-Dame est criminel, je pense qu'on le cachera."
Voilà typiquement ce qu'il ne fallait pas dire, car il n'en sait rien. Quelle que soit son opinion sur le sujet, il est du devoir des élites (et Zemmour en fait partie, cela dit sans aucune ironie) de guider les autres, de faire preuve de sagesse et de responsabilité, et non de faire assaut de démagogie en justifiant les bas instincts.
Zemmour bénéficie d'un crédit justifié auprès de ceux qui peuvent être enclins au complotisme, et c'est justement pour cela qu'il est de son devoir de ne pas encourager cette attitude. Et de penser contre son camp.
Tout ce que vous décrivez est le symptôme de la haine de tous contre tous générée par le socialisme. Quelle que soit l'étiquette sous laquelle il se présente (socialisme, communisme, être-de-gauche, anti-libéralisme, souverainisme, gaullisme, "démocratie illibérale" -- on a aussi l'eau sèche -- gilet-jaunisme -- et demain il y en aura d'autres), quels que soient les oripeaux derrière lesquels il se dissimule (solidarité, justice sociale, "anti-racisme", souveraineté alimentaire et que sais-je encore), le socialisme est basé sur la haine de tous contre tous.
Soit on a un Hitler, un Staline ou un Poutine qui coiffent l'ensemble, et alors le principe de haine devient manifeste (sauf pour certains malfaisants qui nieront toujours l'évidence) ; soit on coiffe le tout par un leadership "démocratique", qu'il se vende sur le marché électoral sous une étiquette de droite ou de gauche, et alors la passion socialiste intrinsèque à la société française explosera toujours, périodiquement, en de tels accès de haine incontrôlables, car vous ne pouvez pas bâtir une société sur le ressentiment et espérer qu'il en résulte l'harmonie.
Quant aux suicides de policiers (mais on pourrait aussi se pencher sur ceux des agriculteurs, des employés de France Télécom, etc.), parlons-en.
J'ai beaucoup scruté les déclarations des policiers eux-mêmes à ce sujet. J'ai tenté de discerner les causes qu'ils attribuaient à ces actes. Et ce qu'il en ressort est simple : ce sont d'abord et avant tout des suicides ordinaires, c'est à dire des actes désespérés dus à la conjonction de circonstances de la vie personnelle, et aussi, mais surtout, d'un déséquilibre mental.
Favorisés par le fait que les policiers ont une arme à feu à leur disposition.
D'ailleurs, il suffit d'observer les chiffres. "Tout le monde sait que" il y a "beaucoup de policiers qui se suicident".
L'ennui, c'est que c'est faux. D'après un calcul fait sur un coin de table, le taux de suicide des policiers était de 71 % supérieur à celui de l'ensemble de la population en 2018, deux fois et demi supérieur en 2017, et 76 % supérieur en 2016.
D'après une étude scientifique de 2015, ce facteur de sur-suicide n'était que de 36 % par rapport à l'ensemble de la population.
Ces taux peuvent paraître préoccupants, mais lorsqu'on se donne la peine de consulter les chiffres absolus, on constate qu'ils sont très bas : 35 suicides en 2018, 51 en 2017 et 36 en 2016. Depuis 2011, le chiffre annuel le plus élevé est de 55 seulement.
Autrement dit : pratiquement personne ne se suicide dans la police, et le nombre des suicides est si faible, que la différence avec le taux général au sein de la population est peu significative, en termes statistiques.
En admettant même que ce taux de sur-suicide soit significatif, il est, a priori, entièrement explicable par le fait que les policiers disposent d'une arme de poing.
Alors évidemment, ces suicides dérangent, aussi bien au sein de la corporation touchée que parmi les Français, parce qu'instinctivement, on se dit que des hommes chargés de nous protéger contre les meurtriers ne devraient jamais se suicider. Et on a raison.
A ce stade, il convient d'examiner les suicides un par un. Par exemple, le 15 mars dernier, un syndicaliste policier se donnait la mort avec son arme de service. Le Parisien nous apprend "qu'il était révolté contre l'institution depuis toujours". Pardon ? Un policier est révolté contre l'institution depuis toujours, et l'institution le laisse sévir en son sein ? Qu'est-ce que ce monsieur faisait dans la police ? Un corps d'autorité, hiérarchique, doté du pouvoir de violence légitime à l'encontre de la population, où l'obéissance et la loyauté sont les premières des vertus ? Et où chacun est doté d'une arme à feu ?
Quelques jours auparavant, le 7 mars, un policier se donnait la mort avec son arme de service, après avoir jeté de l'acide au visage de sa compagne. Pardon ? On laisse rentrer, dans la police, des sauvages susceptibles de "jeter de l'acide au visage de leur compagne", pour des raisons de "jalousie", nous informe Paris-Normandie ? Incidemment, quelle était la race et la religion de ce policier ? Il y a en effet une certaine religion et certaines races qui trouvent, davantage que d'autres, tout à fait normal de régler leurs querelles de ménage à l'aide d'acide sulfurique.
Après cela, on peut examiner les explications que donnent les policiers, eux-mêmes, à ces actes.
"Il y a incontestablement une véritable souffrance des policiers confrontés quotidiennement à la misère sociale" (Alternative Police CFDT). Pardon ? La confrontation avec la misère sociale incite les policiers au suicide ? Mais mon bichon, si le spectacle de la "misère sociale" te dérange, fallait pas faire policier ! Fallait faire sociologue de gauche, pousseur de papier à la Sécurité sociale ou livreur de colis chez Amazon !
Un CRS, qui a connu 7 suicides en 20 ans chez ses collègues, "tente de comprendre pourquoi", nous informe gravement France TV Info : "Le policier, aujourd'hui, il est témoin de toute la misère du monde", se lamente le CRS Sofiane Achatib. Pardon ? Aujourd'hui ? Il y a eu un moment, ou un pays, où le policier n'était pas témoin de toute la misère du monde ? Le job même du policier ne consiste-t-il pas à être témoin de toute la misère du monde ?
Tu croyais quoi ? Que tu allais rentrer dans la police, mettre les pieds sous la table, et attendre tranquillement une retraite précoce en jouissant de tes droits Jacky ?
Les sénateurs, pondant un rapport de 177 pages sur le poupougnage psychologique des policiers, qui fait certainement écho aux complaintes de ces derniers, se tordent les mains : "Les difficultés propres aux forces de sécurité intérieure, comme la proximité avec la mort [...], constituent indéniablement des facteurs aggravants qui contribuent à expliquer cette prévalence du suicide en leur sein." Pardon ? La proximité avec la mort incite les policiers au suicide ? Tu as dû être mal dirigé par ton conseiller d'orientation, mon canard : la proximité avec la mort, c'est le cœur même du métier de policier, comme celui de médecin, de soldat et de quelques autres.
Les suicides dans la police, c'est donc exactement la même chose que les Gilets jaunes : la manifestation d'un dérangement mental collectif, par lequel la population française réclame le socialisme, puis se tord les mains face aux conséquences du socialisme.
Les autorités, infectées par le socialisme, recrutent des gens qui n'ont rien à faire dans la police, parce que ce ne serait pas gentil d'en réserver l'accès à ceux qui ont les qualités de caractère nécessaires.
Les policiers, drogués à la fumée de hachisch socialiste qui flotte au-dessus de la France, s'attendent à ce que leur travail ressemble à celui de n'importe quel fonctionnaire absolument dé-bor-dé (voir le livre de Zoé Shepard), et appellent papa-maman dès qu'il s'avère que, non, en fait, c'est pas tout à fait ça.
Dans n'importe quel pays normal, les épreuves d'accès au métier de policier sont censées éliminer, d'avance, quiconque n'est pas suffisamment équilibré pour ne pas se mettre une bastos dans le buffet à la première contrariété.
En France, non. On prend n'importe qui, on leur colle un Sig Sauer entre les mains, et on leur dit que le socialisme, c'est formidable.
Le socialisme rend fou, et le socialisme tue : en voilà une preuve supplémentaire.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 23 avril 2019 à 16:06
@ Gavroche | 23 avril 2019 à 10:32
Merci pour ce merveilleux compliment !
Rédigé par : Claude Luçon | 23 avril 2019 à 15:05
Je ne peux m'empêcher de regretter que la liste conduite par une personnalité intelligente qui fait honneur à une droite non sectaire mais assumée semble ne pas pouvoir atteindre les 15%. Décourageant.
Cher monsieur Bilger, peut-être devriez-vous vous demander pourquoi.
C'est probablement dû au fait que depuis quelques dizaines d'années les électeurs de la famille politique à laquelle monsieur Bellamy appartient en ont assez de voter pour des gens qui se font élire sur un programme plutôt à droite mais qui, dès le soir de l'élection, oublient tous leurs beaux discours de campagne pour se comporter en « Rad-Socs » de la pire espèce et faire quasiment le contraire de ce qu'ils ont annoncé, parfois en allant même jusqu'à voter les lois anti-françaises dont la gauche a le secret...
Eh bien, figurez-vous que les gens finissent par en avoir assez de se faire cocufier, ce n'est pas plus compliqué que cela.
« Si quelqu'un me trompe une fois, honte à lui, s'il me trompe deux fois honte à moi. »
(Proverbe anglais).
Et une fois que la perte de confiance s'est instaurée, les indéniables qualités personnelles de monsieur Bellamy ne suffiront peut-être pas à remonter la pente.
Rédigé par : Exilé | 23 avril 2019 à 15:04
Les commentaires de ce blog sont pour certains très décourageants...
@ Saintongeais
Pour la couleur jaune de la fumée, que tout le monde a vue et qui fait l’objet de mille supputations, il semble que cela pourrait venir du plomb. Les experts nous le diront.
Quant à cette expérience prétendant prouver qu’une vieille charpente en chêne est ininflammable, elle est purement et simplement stupide. Elle oublie au moins deux choses :
1/ le confinement : il permet à la combustion de se déclencher et de se propager,
2/ les acquis de l’histoire : de vieilles charpentes en chêne ont brûlé. Elles ont donc bien dû s’enflammer.
Rédigé par : Denis Monod-Broca | 23 avril 2019 à 14:43
"Décourageant"
La réponse ou l'explication à votre découragement cher P. Bilger vient d'être donnée par le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Intérieur, Laurent Nunez, qui vient de déclarer sur une chaîne d'infos :
"Il n'y a pas eu d'arrestation de blacks blocs dans la manifestation parisienne de samedi".
Pourtant des milliers de Français ont pu, comme moi, de leur fauteuil, voir durant tout le week-end, en boucle, les images de cette extrême gauche montrer leur haine de la police.
Pourquoi se priver d'un système à discréditer le mouvement des Gilets jaunes puisqu'il y a des naïfs qui n'y voient que du feu !
Rendez-vous le 1er Mai.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 23 avril 2019 à 13:12
@ Wil
En effet ! Et cela doit porter un nom ! A moins que ce ne soit
pas prévu, concernant les cinq cents euros de gratification pour le samedi... Du black ? Non, impossible ! pas l'Etat ?!
Les heures supplémentaires, jours de récupération dans la police, se montent à des centaines de milliers d'euros... la fraîche ne concerne pas uniquement les stupéfiants...
La France et son gouvernement : tout un monde d'évasion.
—————-
@ Saintongeais
Ah ! il y en un qui a remarqué la fumée jaune parallèle aux flammes !
Chut.
Rédigé par : calamity jane | 23 avril 2019 à 13:04
VARIA
Camille Desmoulins disait qu'il était « le procureur général de la lanterne ».
Nos mosquées sont nos casernes. (Erdogan)
90% des journalistes votent à gauche.
Je ne suis pas sur Twitter, grâce à Dieu. (Ardisson)
Mélenchon, trente ans apparatchik au PS, puis, un matin, Che Guevara. (Naulleau)
Quand le peuple devient tyran, le tyran est partout. (Chateaubriand)
Il manque d'esprit. Et, malheureusement, son caractère est au niveau de son esprit. (id)
Madame de Chateaubriand m'admire sans avoir lu deux lignes de mes ouvrages ; elle craindrait d'y rencontrer des idées qui ne sont pas les siennes. (id)
L'ignoble dénomination de «sans-culottes»... (id)
Le bonnet rouge, dont chaque orateur se coiffait avant de monter à la tribune... (id)
On me maria. (id)
(Les Américains) La nécessité de mouvement qui les domine. (id)
Le samedi, jour d'émeute.
La christianophobie... (Nicolas Dupont-Aignan)
Cet incendie (de Notre-Dame de Paris) est un appel de Dieu pour retrouver son amour. (Cardinal Robert Sarah, Le Figaro) !!!
La canaille s'insurgea. (Stendhal)
Michel Foucault est mort du sida.
J'aime pas ma gueule. (Gainsbourg) Il avait raison de ne pas l'aimer.
L'avocat Emmanuel Pierrat, à l'en croire, dort deux ou trois heures par nuit.
Moi, je dors huit heures.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 23 avril 2019 à 12:23
Avant un 1er mai explosif, EM va jouer cette semaine le sort de son quinquennat dont les deux premières années ne méritent pas le prix d’excellence mais celui de la maxi-médiocrité. (Mitsahne | 22 avril 2019 à 18:21 )
Tant que nos politiques, élites et médias adopteront cette attitude fuyante sur les grands sujets de société ce n’est pas demain que le climat va redevenir léger. (Michelle D-LEROY | 22 avril 2019 à 19:23 ).
Sa haine manifeste de la race française et son obéissance aux très riches mondialistes ont conduit Macron au pouvoir ; il aura récompensé aussitôt ses soutiens en supprimant l'ISF et pour donner un semblant de mouvement à notre économie, il aura demandé aux municipalités de refaire les rues, les trottoirs, les allées, les abribus, donnant ainsi du travail, sans se presser, aux frères maçons du BTP, dépenses que les communes, départements et régions devront inscrire dans leurs dettes.
Craignant une opposition des citoyens à ces frais inutiles, qui grèveraient leurs taxes d'habitation, il nous a joué la comédie de la supprimer progressivement pour certains.
Sa deuxième grande oeuvre est la mutation de notre population, voilà pourquoi nous ne comprenons plus ce qui nous arrive, ou tout du moins, pour ce que l'on ne peut pas nous cacher.
Ce n'est que du vent qui souffle dans la tête de ce psychopathe, qui n'apportera que des misères à la nation, voilà pourquoi nous voulons qu'il parte le plus vite possible et que nous en profitions pour changer de Constitution.
Rédigé par : Gavroche | 23 avril 2019 à 11:48
@ Robert Marchenoir | 23 avril 2019 à 08:20
J'ai retrouvé la partie manquante :
Rédigé par : fugace | 23 avril 2019 à 11:40
Pour qu'il y ait eu attentat, il eut fallu que l'un mette le feu et que l'équipe de bras cassés qui étaient censés aller voir à la première alerte en aient été aussi.
C'est donc peu probable, mais E. Zemmour a bien raison de dire que s'il devait être révélé que c'était le fait d'islamistes, ordre serait donné de le taire autant que possible, tant en raison des troubles qui s'ensuivraient au sein de la population que de la promotion assurée du RN.
Il y a des fois où P. Bilger écrit manifestement trop vite.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 23 avril 2019 à 11:31
@ Mitsahne | 22 avril 2019 à 18:21
@ Claude Luçon | 22 avril 2019 à 17:00
Gardez tous les deux le plus longtemps possible vos vingt ans, je vous dédie ce texte qui m'est tombé dessus lors d'une lecture :
"Sans trève convertir la minute en pensée,
Le jour en oeuvre utile et la vie en bonté,
C'est suivre la sagesse et d'une main sensée,
Tirer de la sagesse une félicité.
C'est dans cet art que Goethe, Schleiermacher, Humboldt ont été maîtres. Tant qu'on se renouvelle, on est vivant. La continuelle métamorphose par la curiosité, la sympathie et la production est la seule défensive qui recule non pas la mort, mais la momification. La fatigue qui s'enferme, la mauvaise humeur qui boude, l'irritation qui se retire, le dépit qui se refuse, sont des fautes qui précipitent les effets de l'âge, et qui ensablent rapidement l'esprit. Dans la caravane colossale qui nous emporte et nous entraîne tous, celui qui perd pied est coudoyé, piétiné, enterré, oublié, en moins de rien, par les foules, qui, nombreuses comme les sauterelles, se renouvellent comme les flots." (Henri-Frédéric Amiel)
Rédigé par : Gavroche | 23 avril 2019 à 10:32
@ Robert Marchenoir | 23 avril 2019 à 08:20
Superbe commentaire, qui m'a inspiré !
Mais étant de faible inspiration, je me suis contenté de plagier Alfred de Vigny, la Mort du loup :
"Seul le silence est grand ; tout le reste est faiblesse.
- Ah ! Je t'ai bien compris, sauvage Marchenoir,
Et ton dernier regard m'est allé jusqu'au coeur !
Il disait : "Si tu peux, fais que ton âme arrive,
A force de rester studieuse et pensive,
Jusqu'à ce haut degré de stoïque fierté
Où, naissant dans les bois, j'ai tout d'abord monté.
Gémir, pleurer, prier est également lâche.
Fais énergiquement ta longue et lourde tâche
Dans la voie où le Sort a voulu t'appeler,
Puis après, comme moi, souffre et meurs sans parler."
P.-S.: Vous fâchez pas Marchenoir, je ne blague que ceux que j'aime... Ou que je déteste... ;-)
Rédigé par : Tipaza | 23 avril 2019 à 10:08
Eh oui, malgré tous les efforts de ce blog, la haine envers les racistes, la haine envers les riches, la haine envers les beaufs en jaune, la haine envers Macron, mais toujours pas de haine envers les musulmans...
Je comprends que vous vous sentiez tous un tantinet découragés...
@ Lucile
Ce n'est pas la France qui va reconstruire Notre-Dame, ce sont les familles Arnault, Pinault et Bettencourt. Et si vous croyez qu'elles vont lâcher un milliard pour que leur nom soit associé à la simple restauration de la vieillerie d'un Viollet-le-Duc datant du XIXe siècle plutôt qu'en profiter pour laisser à jamais leur marque dans l'histoire de France avec une création qui reflétera toute la modernité du XXIe siècle à laquelle elles participent activement par la noblesse de leur esprit d'entreprise, c'est que vous êtes décidément bien mignonne...
Rédigé par : Garry Gaspary | 23 avril 2019 à 09:21
Marchenoir, c’est l’homme qui est capable de parler avec autorité aussi bien du disjoncteur différentiel que de génétique (avec un avis très affirmé sur les capacités intellectuelles en fonction de l’origine ethnique) ou encore de géopolitique (avec une opinion inébranlable sur la Russie de Poutine, le Grand Satan), et encore moult domaines sur tout et n’importe quoi où il nous assène ses vérités sur un ton comminatoire n’acceptant aucune réplique.
Plus la peine d’aller sur Google ou Qwant, Marchenoir est à votre service pour vous donner sa vérité. Vous ne la trouverez nulle part ailleurs ! :)
Rédigé par : Achille | 23 avril 2019 à 09:01
@ Paul Duret
« Les corps intermédiaires et particulièrement les syndicats, les partis politiques (...) »
Mais les syndicats et les partis politiques, verrouillés de l'intérieur par des apparatchiks, ne sont plus représentatifs de leurs mandants et n'assument donc plus leur rôle de corps intermédiaires.
Rédigé par : Exilé | 23 avril 2019 à 08:54
Il est tout à fait légitime de s'interroger sur l'origine de feu de la cathédrale Notre-Dame sans être accusé de complotisme tant que l'enquête de police n'a pas rendu ses conclusions (sauf évidemment pour ces artistes qui par idéologie se refusent à toute autre explication et décident sans avoir le moindre élément tangible que la cause est accidentelle même si elle est la plus vraisemblable).
Tout comme on a le droit de s'interroger sur les conséquences des émissions de CO2 sans être traités d'hérétiques par les représentants de la secte écologiste.
Si vous voulez être vraiment découragés par nos gouvernants et leur duplicité, je vous conseille comme à vos lecteurs de regarder le documentaire très émouvant de Public Sénat intitulé "Ascoval - la bataille de l'acier" menacé de fermeture par la société Vallourec (dirigé par un énarque et dans laquelle l'Etat a investi 500 millions d'euros):
https://www.publicsenat.fr/emission/documentaires/ascoval-la-bataille-de-l-acier-138018
Rédigé par : Bibasse | 23 avril 2019 à 07:31
"Des intellectuels et des polémistes enfermés, enkystés dans leur chapelle sans être capables ni soucieux d'une plénitude qui devrait les conduire, parfois, à penser contre eux-mêmes. Ils préfèrent idolâtrer ou détester que suivre à la trace le réel des situations et des comportements. Décourageant."
M. Bilger, le macronolâtre qui veut donner des leçons d'objectivité et d'honnêteté intellectuelle... hôpital, charité, tout ça.
"D'ignobles slogans contre la police, le 20 avril, de la part de certains Gilets jaunes : suicidez-vous. Une indécence morale et militante."
Par contre quand certains flics estropient des gens, traitent des femmes qui passent de grosse truie ou disent à des GJ qui leurs disent qu'ils pourraient peut-être s'occuper des black blocs "j'en ai rien à foutre, je me fais 500 euros par week-end" (toutes ces vidéos sont dispos sur YT), là, le petit bourgeois Bilger n'a rien à dire.
Tout ce qui compte pour lui c'est sa gamelle médiatique et son dîner mondain du week-end où il veut continuer à recevoir ou être invité par "le monde qui compte".
Décourageant.
Rédigé par : Wil | 23 avril 2019 à 00:15
Les Gilets jaunes deviennent un club de jusqu’au-boutistes.
Les éléments les plus responsables ont été évacués au profit d'individus venus uniquement pour en découdre avec les forces de l'ordre, favoriser la casse et encourager les suicides.
Heureusement, le nouveau Préfet de police parvient à minimiser les effets néfastes.
Finis les Gilets jaunes rigolards autour d'un brasier sur les ronds-points. On tape dans le dur puisqu'on est face à des individus obtus. Les slogans sont d'une bêtise et d'une grossièreté abyssales.
Pour le reste, notre quotidien n'est que controverses. Il est bien difficile de se frayer un chemin. Il faut du courage en politique pour avancer alors que la critique est féroce, que l'on fasse blanc ou noir.
Rédigé par : jack | 22 avril 2019 à 23:00
@ Patrice Charoulet 22 avril 2019 11:02
Vous dites que la liste LR est passée de 8 à 15 % et qu'elle va peut-être faire mieux.
C'est à souhaiter pour LR.
Si, comme je l'ai déjà écrit ici, la liste LR ne passe pas à au moins 18 % par transfert de la liste LREM, le destin de la droite traditionnelle est scellé.
Alors, dans cette configuration, E. Macron l'achèvera après les élections européennes. Et malgré les avatars en cours et ceux à prévoir de la fin de son quinquennat, il sera réélu lors de la prochaine élection présidentielle.
Sera-ce pour le bien de la France ? On peut, sans être complotiste, raisonnablement en douter.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 22 avril 2019 à 22:52