Je ne parviens pas à croire que ce soit pour "écrire un livre" avec David Amiel, "Le progrès ne tombe pas du ciel", qu'Ismaël Emelien, conseiller spécial du président de la République, a quitté l'Elysée.
Mais plutôt, même s'il s'en défend, à cause de l'affaire Benalla. Son implication le plaçait dans une situation gênante et dans un malaise certain si on en juge par les déclarations maladroites et guère plausibles, sur les vidéos qu'il a postées anonymement sur Twitter pour dédouaner Alexandre Benalla ; l'une a été obtenue frauduleusement auprès de la préfecture de police et concernait bien le 1er mai et l'agression incriminée, l'autre était mensongère (C à vous).
Quelle dégringolade depuis la victoire de 2017 et l'arrivée de l'équipe exceptionnelle servant le président de la République à l'Elysée, avec en particulier l'irréprochable Sylvain Fort et Ismaël Emelien sur lequel on ne tarissait pas d'éloges et qui à l'évidence les méritait. Jeune, moderne, connecté, inventif, intuitif, secret, imprévisible, le conseiller spécial d'Emmanuel Macron fascinait. Le président de la République avait rassemblé autour de lui "les Mormons", comme on les surnommait, et leur silence constant ajouté à leur puissance de travail faisait l'admiration de beaucoup. On était enfin sorti de la présidence verbeuse et profuse de François Hollande.
Durant la première année, le président a agi et fait voter deux lois importantes et tout semblait aller pour le mieux à l'intérieur de l'Elysée.
Puis Benalla, les multiples péripéties de cette affaire, la révélation, derrière le professionnalisme apparent, d'un amateurisme total et de transgressions troubles. Puis la commission sénatoriale et le bureau du Sénat saisissant le parquet de Paris comme il le devait. Ce dernier appréciera.
Les Gilets jaunes depuis le mois de novembre.
Pour Ismaël Emelien, cela a été, d'abord, le Capitole.
Et, enfin, ce livre qui n'est pas la roche Tarpéienne.
Parce que l'ouvrage que j'ai lu en trois heures n'est pas médiocre ni déshonorant.
Son style est limpide et clair.
Je n'éprouve pas la joie mauvaise de certains face à cet ouvrage, comme s'il était forcément inférieur à ce qu'on aurait été en droit d'attendre de cet esprit et de cette liberté tant vantés : ceux d'Ismaël Emelien.
Il n'empêche que le constat de notre société, dans ses forces et ses faiblesses, ses limites et ses blocages, tel que les deux auteurs l'exposent, est pertinent et intéressant même si les banalités presque obligatoires de l'analyse peuvent nous conduire à sous-estimer cette partie initiale du livre.
Pour sa part créative, la maximisation des possibles (à distinguer de l'égalité des chances), l'exigence du collectif et la nécessité de commencer par le bas constituent des orientations stimulantes mais qui, elles aussi, ne sont pas à ce point bouleversantes de nouveauté qu'elles justifient par principe une compréhension admirative. Rien n'est dénué d'intelligence ni de lucidité mais l'avenir n'est pas dégagé pour autant.
Ce qui gêne dans leurs pages est la volonté de théoriser le progressisme, autrement dit, pour eux, de définir avec précision le socle du macronisme qui demeurerait pur et intact malgré toutes les traverses qui l'ont dégradé.
Alors que d'une part il ne me semble pas que le progressisme puisse être un projet, encore moins un programme mais qu'il représente un élan, une perspective, une lumière, une forme susceptibles d'irriguer le fond de n'importe quelle politique dans sa substance - même celle, parfois et sur tel ou tel sujet, de ces populistes honnis par les rédacteurs.
Et que, d'autre part, puisque le livre cherche à louer les deux premières années du mandat présidentiel, il tombe tristement à plat au regard de ce qui se déroule dans notre pays et du peu d'impact du progressisme théorique dans la quotidienneté de tous. Une vision abstraite qui oublie seulement que le président de la République l'a de moins en moins incarnée.
Enfin, Emelien et Amiel abusent de la facilité, qu'ils ne parviennent pas toujours à valider sur les plans intellectuel et politique, d'un milieu prétendu juste, par exemple entre populistes d'extrême droite et d'extrême gauche. Ils s'abandonnent à un centrisme traditionnel qu'ils ont du mal à faire passer pour nouveau et décapant.
Du Capitole au livre, une chute évidente mais ne jurons de rien : une remontée est possible.
@ Robert Marchenoir | 12 avril 2019 à 20:21
«...quand des greluches en prennent trop à leur aise...»
Alors que depuis qu’il n’y a plus de genre, il est su que vous seriez une fille facile !
Rédigé par : Elusen | 13 avril 2019 à 05:16
@ breizmabro | 11 avril 2019 à 16:43
"Alors là mon cher vous versez dans la trivialité, vous manquez de tenue."
Ah. La marquise bretonne a ses vapeurs.
C'est parfaitement délibéré, je vous le signale. Une petite rouste de temps à autre, quand des greluches en prennent trop à leur aise, c'est exactement ce que préconise la Faculté.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 12 avril 2019 à 20:21
@ caroff | 11 avril 2019 à 14:15
« Il y a aujourd'hui 2,4 millions de fonctionnaires en FPE (16% de contractuels)...
Est-ce clair ? »
Le prête-nom Shakespeare a permis de signer une pièce s’intitulant La Mégère apprivoisée !
De nouveau vous mentez, comme l’indique le document de 2018 !
Ce ne sont pas des fonctionnaires, mais 2,4 millions d’agents, de personnel qui travaillent dans la Fonction publique d’État dont 16 % de contractuels, il faut également retirer les stagiaires, puisqu’ils ne sont pas révocables, il suffit de ne pas les titulariser ainsi le contrat prend fin.
Les fonctionnaires ne sont que 1,5 million pour la FPE.
Au total en France, il n’y a que 3,8 millions de fonctionnaires et pas 5,4 millions !
En quoi révoquer 147 personnes sur 1 545 827 de fonctionnaires serait un scandale ?
En quoi les 1 545 827 devraient-ils tous être révoqués ?
Auriez-vous des preuves de leur corruption ?
Combien y a-t-il de licenciements pour faute par an dans le secteur privé sur 19 462 200 de salariés ?
Expliquez-nous votre pseudo-scandale ?
Rédigé par : Elusen | 12 avril 2019 à 02:38
@ Robert Marchenoir 10 avril 2019 à 21:03
"...par racaillerie pure et simple, la même qui semble animer vos collègues Preud'homme et duvent : faire ch... les autres, voilà l'essentiel de la motivation de votre aimable trio -- qui n'a rien de féminin"
Alors là mon cher vous versez dans la trivialité, vous manquez de tenue.
Rédigé par : breizmabro | 11 avril 2019 à 16:43
@ Elusen 11h11
"...juste les ministères et non la fonction publique, juste les personnels sous le statut de fonctionnaire et rien d'autre, donc pas votre délirant 5,4 millions de personnel, mais énormément moins."
Triple buse, Bachi-Bouzouk, crétin des Alpes !!! Primo je n'ai pas cité de chiffres, j'ai uniquement fait référence à la FP, secondo ne savez-vous pas que la loi de finances attribue des moyens humains et budgétaires à chaque ministère et qu'en conséquence chaque ministre gère et surtout dirige son administration qui englobe non seulement les services centraux mais aussi les services déconcentrés en région ?
Il y a aujourd'hui 2,4 millions de fonctionnaires en FPE (16% de contractuels), 1,9 M en FPT (19% de contractuels) et 1,2 M en FPH (18% de contractuels) et toujours une centaine de révocation par an dont 65 % concernent des fonctionnaires du ministère de l'Intérieur (tiens donc...).
Est-ce clair ?
Rédigé par : caroff | 11 avril 2019 à 14:15
@ breizmabro | 10 avril 2019 à 16:53
"Bon d'accord j'ai bien compris que vous ne voulez pas vous prononcer sur les 120 000 postes que Manu veut (voulait) supprimer sur les 5,7 millions (citation) de fonctionnaires. Une goutte d'eau dans le puits pourtant. Non ?"
Non, vous n'avez rien compris, ou vous mentez, ou les deux. Au stade où nous en sommes, ça n'a pas d'importance.
Non seulement je me suis amplement "prononcé" sur les micrométriques suppressions de fonctionnaires prévues par ce gouvernement, et d'autres, à d'innombrables reprises, et depuis des années (on me l'a suffisamment reproché) ;
Mais en plus, j'ai partagé, ici, une quantité assez significative d'informations à l'appui de mon pronunciamento, informations qui ne traînent pas forcément partout. C'est plus qu'on ne peut en dire sur votre compte.
Vous avez le culot de me troller, maintenant, en faisant mine de me reprocher de n'être pas assez libéral, alors que c'est moi qui m'étonnais de vous voir manifester une ombre de libéralisme à ce sujet, puisque vous nous écrasez habituellement de vos complaintes socialistes.
Je ne vois donc vraiment pas pourquoi vous vous en prenez à moi une fois de plus sur ce point, sinon par racaillerie pure et simple, la même qui semble animer vos collègues Preud'homme et duvent : faire ch... les autres, voilà l'essentiel de la motivation de votre aimable trio -- qui n'a rien de féminin, je m'empresse de le préciser à l'intention des pétroleuses de service.
Etre une femme et être féminine, ce sont deux choses différentes. Il y en a qui ne semblent pas encore avoir percuté.
Vous devriez prendre exemple sur les vraies femmes de ce blog. Il y en a.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 10 avril 2019 à 21:03
@ duvent | 10 avril 2019 à 10:43
Quel punch Madame !
Marchenoir renvoyé dans les cordes et sonné pour le compte ! On aurait presqu'envie de le plaindre de s'être fait moucher de la sorte par une petite fâmme, une de plus...
Décidément le pauvre garçon n'a pas l'art et la manière de se faire entendre par la gent féminine. Manifestement en raison de déboires dont, sans vouloir les exposer pour sauvegarder son lâche anonymat, il nous donne une idée, voire nous gave à longueur de textes en copiés-collés, à coups d'allusions, de références et de liens.
Jusqu'à citer Elusen, après avoir épuisé ses dernières cartouches, si si (que ne pouvez comprendre si n'avez suivi "laborieusement" tous les fils de Marchenoir). Jusqu'à ce jour où son nouveau copain du café du commerce, "blanc, catho, hétéro, facho, parano, poivrot" est célébré et consacré : sylvain qui n'en demandait peut-être pas tant, sachant que parmi les racistes et petits sectaires revendiqués il fait partie des moins dangereux, des sans envergure et par conséquent des plus faciles à faire changer d'avis.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 10 avril 2019 à 17:15
@ Robert M. 09 avril 2019 à 16:49
C'est sympa de revenir sur le sujet des fonctionnaires alors que vous traitez teellllllement d'autres sujets.
Bon d'accord j'ai bien compris que vous ne voulez pas vous prononcer sur les 120 000 postes que Manu veut (voulait) supprimer sur les 5,7 millions (citation) de fonctionnaires.
Une goutte d'eau dans le puits pourtant. Non ?
Rédigé par : breizmabro | 10 avril 2019 à 16:53
@ caroff | 09 avril 2019 à 19:45
« La paresse des médias sur ce sujet est colossale ! »
Surtout que vous mentez, donc il y a bien une intention de votre part, divulguer une fausse information, puisqu’il est bien écrit :
- Sanctions disciplinaires prises par les ministères à l'encontre des fonctionnaires en 2015.
Juste les ministères et non la fonction publique, juste les personnels sous le statut de fonctionnaire et rien d'autre, donc pas votre délirant 5,4 millions de personnel, mais énormément moins.Est-ce que les médias parlent des sanctions disciplinaires chez Axa, Total, CNP Assurance, Auchan ?
Vraiment le type qui tente de faire un scandale avec du vent !
Pour lui il faudrait qu’il y ait 70 % de révocation, il faudrait 70 % de fonctionnaires des ministères corrompus, s’il n’y a pas de corruption ce sont donc de mauvais fonctionnaires.
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@ Robert Marchenoir | 10 avril 2019 à 08:31
« On comprend tout de suite ce qu'il a à dire. »
Non !
Il n’y a qu’un raciste pour comprendre un autre raciste à tendance pathologique.
Rédigé par : Elusen | 10 avril 2019 à 11:11
@ Robert Marchenoir | 10 avril 2019 à 08:31
« L'impudence de certains ne connaît pas de limites. Vous reprochez à sylvain de ne pas savoir écrire et de mal penser, mais il écrit infiniment mieux que vous. Il a les idées parfaitement claires. On comprend tout de suite ce qu'il a à dire. On ne peut pas en dire autant de la bouillie que vous produisez. Vous avez apparemment une très haute idée de votre prose, mais j'ai rarement vu quelqu'un réussir à enfiler autant de lignes qui ne veulent rien dire. Et quand je dis rien, c'est strictement rien. »
_______________________________________
En voilà une bonne surprise !! Marchenoir pourriez-vous me dire la raison qui vous pousse, alors que vous avez affirmé ne pas me lire (pour la raison excellente que mes propos sont sans intérêt), à maintenant prendre la défense de Monsieur sylvain ?
Je me perds en conjectures, seriez-vous l'épouse de Monsieur sylvain ?
Par ailleurs, et si vous préférez le style pur et sobre de Monsieur sylvain à la bouillie que je produis, qu'est-ce dont qui vous empêche de vous en délecter ? Pas moi, c'est certain...
Comme je tiens compte de votre analyse, je m'empresse de vous dire que je suis allée me relire, et que vous n'avez pas tout à fait raison, et même que vous avez complètement tort...
Pourtant, vous avez écrit trois fois le mot « rien » à propos de mes lignes, est-ce un hasard, ou avez-vous délibérément écrit trois fois « rien » ? Trois fois « rien », c'est peu de chose...
Mais je ne vais pas être méchante pour une fois, non !
Je vais même être gentille, et vous encourager à fréquenter les personnes qui ont les qualités que vous recherchez et que vous avez trouvées chez Monsieur sylvain, ces qualités exceptionnelles vous feront progresser dans votre pauvreté d'esprit, et vous pourrez engranger quantité de savoir, de connaissance, de culture et de science et de sensibilité (ce dernier mot je l'ai choisi pour plaisanter, car je n'ignore pas que vous y êtes allergique, et que le risque d'un choc anaphylactique est mortel...).
Ce monde est merveilleux qui fait que les c.ns se reconnaissent et s'assemblent, il est réellement magnifique lorsqu'il répand sous notre regard outragé une sottise infatuée et impérieuse, il est réconfortant lorsqu'il plie sous les fourches caudines des imbéciles nombreux et insensés, le promeneur solitaire, vraiment tout cela est beau, et Marchenoir est LE SOUVERAIN BIEN !
Je dois tout même attirer votre attention sur le pseudonyme de « duvent », que j'ai choisi pour la raison qui ne vous a pas échappé, ce que je dis est exactement trois fois « RIEN », tandis que vous avez choisi celui de « Robert Marchenoir ». Cela m'a conduit à deux hypothèses ; la première est que vous avez lu Léon Bloy, et connaissez donc Caïn Marchenoir, la deuxième et la plus plausible, est que vous êtes un bougre qui a peur du noir... Alors pour vous il faut dire : « Fiat lux ! »
Enfin, je me tamponne ardemment le coquillard des propos de Marchenoir, lequel ne sait pas se défendre lorsque je le malmène mais utilise d'autres pour venir me déposer son compliment !
Nota Bene : « strictement rien » est équivalent à « rien » et à « trois fois rien »...
Rédigé par : duvent | 10 avril 2019 à 10:43
@ caroff | 09 avril 2019 à 19:45
Merci.
______
@ duvent | 09 avril 2019 à 20:47
L'impudence de certains ne connaît pas de limites. Vous reprochez à sylvain de ne pas savoir écrire et de mal penser, mais il écrit infiniment mieux que vous. Il a les idées parfaitement claires. On comprend tout de suite ce qu'il a à dire.
On ne peut pas en dire autant de la bouillie que vous produisez. Vous avez apparemment une très haute idée de votre prose, mais j'ai rarement vu quelqu'un réussir à enfiler autant de lignes qui ne veulent rien dire. Et quand je dis rien, c'est strictement rien.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 10 avril 2019 à 08:31
@ sylvain | 08 avril 2019 à 22:23
« Ma pôv' duvent, à l'heure où le texto règne en maître, vous en êtes encore à l'époque du porte-plume et de l'encrier ; je compatis. »
Monsieur sylvain,
Quand bien même le texto régnerait-il en maître, je me permets de vous préciser qu'il est recommandé d'écrire en français pour se faire comprendre des Français...
Mais sans doute vous croyez-vous dispensé d'écrire correctement, parce que l'époque du texto vous dispense de penser proprement...
Il faut que je vous dise que votre compassion me va droit au cœur, et aussi que votre français approximatif me rend charitable, car sans doute votre basse extraction en est-elle la cause...
Et comme dirait je ne sais plus qui, peut-être Savonarole, les prolos sont vraiment des c*ns...
Rédigé par : duvent | 09 avril 2019 à 20:47
@ Robert Marchenoir 16h49
"Auriez-vous un lien vers une source ? Je serais curieux de creuser le sujet."
La source officielle se trouve ici: https://www.fonction-publique.gouv.fr/files/files/statistiques/rapports_annuels/2016/E_09_Relations_professionnelles.pdf
Beaucoup d'informations utiles sur le site de la FP:
https://www.fonction-publique.gouv.fr/publications-par-collections
La paresse des médias sur ce sujet est colossale !
Rédigé par : caroff | 09 avril 2019 à 19:45
@ Robert Marchenoir | 09 avril 2019 à 16:49
Problème pour vous et pour lui, c’est que c’est un ramassis de bêtises.
Il ne sait même pas lire les documents, si tant est qu’il les ai lus et qu’il ne rapporte pas ici un truc du genre : on m’a dit que.
Il ment parce que ce n'est que sur les titulaires des personnels travaillant pour les ministères uniquement.
Les personnels travaillant pour les ministères, ce n’est que : 2,5 millions de personnes ; mais combien de titulaires ?
Les statistiques datent de 2014 et non de 2015, elles ont été publiées en 2015.
Fonction publique d’État (FPE) ; Fonction publique territoriale (FPT – région, mairie, etc.) ; Fonction publique hospitalière (FPH).
* Sanctions disciplinaires prises par les ministères à l’encontre des agents
titulaires en 2014 => Tableau en image <=
=> Petit pdf des tableaux <=
Combien de licenciés chez Castorama, Carrefour, Airbus sur le nombre de leurs effectifs par an ?
50% du personnel ?
1% ?
Rédigé par : Elusen | 09 avril 2019 à 18:41
@ caroff | 08 avril 2019 à 23:39
"Sur les 3 200 sanctions disciplinaires prises en 2015, on n’a décompté qu’une centaine de révocations (on ne parle pas de licenciement dans la fonction publique)... sur combien d'agents publics déjà ?"
Tiens donc. Intéressant factoïde. Voilà une information sur laquelle "les médias du système" ne font pas beaucoup de battage...
Une centaine de révocations, c'est rien, mais 3 200 sanctions disciplinaires seulement, c'est tout aussi dérisoire... sur 5,7 millions de fonctionnaires... Vraiment, il n'y a que des saints et des héros qui travaillent dans la fonction publique. Quelle chance nous avons !
Auriez-vous un lien vers une source ? Je serais curieux de creuser le sujet.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 09 avril 2019 à 16:49
@ caroff | 08 avril 2019 à 23:39
« Cette manie d'aborder des sujets que vous ne connaissez pas ! »
Parce que vous, vous savez de quoi vous parlez ?!
Licenciable est possible dans la fonction publique, mais pas pour un fonctionnaire, car un fonctionnaire, c’est un contrat en droit privé dit CDI ; donc l’on parle de révocation pour tous les autres personnels de la fonction publique non-fonctionnaire, vacataire en CDD ou en CDI (mais non fonctionnaire), des services publics, l’on parle de licenciement.
Pour les fonctionnaires, c’est un CDI mais de droit public, ainsi révocable, il y a des personnes qui travaillent pour la fonction publique avec des CDI de droit privé, donc licenciables.
« Sur les 3 200 sanctions disciplinaires prises en 2015... »
Combien d’employé du Groupe BNP Paribas ont été licenciés sur les 202 624 employés ?
Sur les 129 000 salariés de Bouygues Construction ?
Combien de personnes vous avez licenciées sur le total de vos employés ?
Pour révoquer et licencier encore faut-il que les employés aient fait des fautes, des délits, des crimes.
Vous ne saviez pas cela vous ?!
Pour rappel, dans la fonction publique, il ne faut pas avoir de casier judiciaire, contrairement au privé.
Rédigé par : Elusen | 09 avril 2019 à 09:10
@ Elusen 12h28
"...toutes les autres personnes qui travaillent pour l’État sont licenciables, révocables, toutes sans exception."
Cette manie d'aborder des sujets que vous ne connaissez pas !
Sur les 3 200 sanctions disciplinaires prises en 2015, on n’a décompté qu’une centaine de révocations (on ne parle pas de licenciement dans la fonction publique)... sur combien d'agents publics déjà ?
Même pas l'épaisseur du trait.
Les syndicats reconnaissent du reste que les fonctionnaires ont un emploi à vie !
Rédigé par : caroff | 08 avril 2019 à 23:39
@ sylvain | 08 avril 2019 à 11:17
« jusqu'au noir complet »
Il ne peut pas y avoir de noir complet, puisque noir, c’est l’absence de couleur, c’est de la physique mon petit.
Blanc, c’est l’addition des couleurs, la lumière réfléchie y donne un arc-en-ciel, l’on apprend cela dès le collège.
Aux USA petite chose si fragile, les Blancs sont tués par des Blancs et les Noirs par des Noirs
c’est la statistique du FBI, cela devrait vous rendre tout gai, ou gay, avec vous je ne sais plus.
En 2017 :
- 80,20% des Blancs tués l’ont été par des Blancs.
- Seulement 16,14% des Blancs tués l’ont été par une personne Noire !
Vous avez toutes les chances de l’être par un bon Blanc.
Alors ?! Heureux ?!
Rédigé par : Elusen | 08 avril 2019 à 22:37
@ duvent | 08 avril 2019 à 15:00
Ma pôv' duvent, à l'heure où le texto règne en maître, vous en êtes encore à l'époque du porte-plume et de l'encrier ; je compatis.
Rédigé par : sylvain | 08 avril 2019 à 22:23
@ sylvain | 08 avril 2019 à 11:17
"Par contre des mâles, et même des meufs, colorés de tons variant du gris foncé au marron dégradé jusqu'au noir complet, fous de Kalachs, d'explosions, de crimes, de terrorisme, de lapidation, de tabassages de meufs, de décapitations, d'appels à la haine et toutes sortes de joyeusetés bien de chez eux, y en a plein les rues dans le monde entier.
Mais on n'y croit pas non plus puisque duvent brasse de l'air et n'en parle pas.
Encore des fakes propagées par les blancs fachos racistes xénos discriminos réacs cathos islamophobos."
Monsieur sylvain, auriez-vous l'extrême amabilité d'écrire en français de façon à ce que, éventuellement, je puisse vous répondre précisément ?
J'ai bien noté que votre principale qualité réside dans le fait que vous êtes né blanc, ce qui est un exploit qui a requis de votre part une extraordinaire compétence, qui elle-même soutenue par l'action du hasard, rend votre propos particulièrement incisif et percutant...
Avez-vous pensé à faire évaluer votre QI, j'ai bien peur qu'il s'y trouve malheureusement une quantité de déchets qui ne viennent pas de la partie noble du programme, mais bel et bien de la partie infâme...
Mais tout n'est pas perdu, vous pouvez si vous le désirez améliorer votre score en sortant votre tête de l'endroit où elle se trouve, et ainsi, libérer le vaste siège de votre étroite raison.
Rédigé par : duvent | 08 avril 2019 à 15:00
@ breizmabro | 07 avril 2019 à 21:28
« Du coup on ne parle plus des 120 000 postes de fonctionnaires que Manu a dit vouloir supprimer, vous avez trop à faire avec les autres "classes protégées" ? »
Les fonctionnaires ne sont pas une classe protégée, c’est une légende urbaine formée pour conditionner les plus faibles d’esprit.
Ceux sur qui marchent déjà : les juifs ceci, les Noirs cela, les blancs autre chose, les musulmans etc.
Il n’y a qu'un seul emploi à vie, toutes les autres personnes qui travaillent pour l’État sont licenciables, révocables, toutes sans exception.
L'emploi à vie est défini dans l'article 56 de la Constitution française, actuellement seules quatre personnes en ont un.
Rédigé par : Elusen | 08 avril 2019 à 12:28
@ duvent | 07 avril 2019 à 20:26
Par contre des mâles, et même des meufs, colorés de tons variant du gris foncé au marron dégradé jusqu'au noir complet, fous de Kalachs, d'explosions, de crimes, de terrorisme, de lapidation, de tabassages de meufs, de décapitations, d'appels à la haine et toutes sortes de joyeusetés bien de chez eux, y en a plein les rues dans le monde entier.
Mais on n'y croit pas non plus puisque duvent brasse de l'air et n'en parle pas.
Encore des fakes propagées par les blancs fachos racistes xénos discriminos réacs cathos islamophobos.
Rédigé par : sylvain | 08 avril 2019 à 11:17
@ Robert M. 08 avril 2019 à 00:26
J'ai, une fois n'est pas coutume, lu entièrement votre commentaire qui, exceptionnellement, n'abuse pas des caractères en italiques un peu pénibles.
Un texte insolent avec légèreté ("vous dites n'importe quoi, comme d'habitude"), avec dedans un peu de prurit d'anti-racisme et de féminisme mal fagoté, ici ou là.
Parfait. Vous avez été parfait, d'autant que vous avez récapitulé cela en quelques lignes, oubliant du coup le passage sur le cryptocommunisme dont je suis parfois atteinte ; mais je vous pardonne cet oubli (dans un texte si court on ne peut pas tout mettre non plus...).
Adéo Robert M.
Rédigé par : breizmabro | 08 avril 2019 à 10:04
@ Giuseppe 11h47 le 7 avril
Pareil ! Un djeun de leur génération voulut aussi se prendre de les écouter ! Avant la fin de leur prestation, il s'excusa et partit se coucher !
D'accord pour l'envoi de la boîte Meccano ! Mais sans lire le bouquin...
Rédigé par : calamity jane | 08 avril 2019 à 06:31
@ breizmabro | 07 avril 2019 à 21:28
Votre profil psychologique est assez curieux. Voyons ce que donne votre dernière éructation :
"Du coup on ne parle plus des 120 000 postes de fonctionnaires que Manu a dit vouloir supprimer, vous avez trop à faire avec les autres 'classes protégées' ?"
Non, je m'excuse, pas cette fois-ci. Je ne parle pas tout le temps des sujets que Votre Impératrice voudrait m'imposer. Il m'arrive d'aborder différents sujets. Ça vous pose un problème ? Il y en a qui sont interdits ?
On pourrait faire un petit concours : compter le nombre de commentaires de votre part réclamant la baisse du nombre des fonctionnaires, et compter le nombre des miens. Quelque chose me dit que vous ne sortiriez pas gagnante.
"La mouche a changé de coche ? Pour les attaques ad hominem ou autres insolences, ne vous fatiguez pas ça me fait un peu le même effet que l'eau sur les ailes d'un canard."
Je commence par une attaque ad hominem et des insolences, et puis j'accuse préventivement mon interlocuteur d'avoir des intentions similaires.
En somme, vous dites n'importe quoi, comme d'habitude. Et vous vous livrez à une fort belle entourloupe gauchiste d'inversion accusatoire.
Ce coup-ci, c'est le prurit "anti-raciste" qui vous aura saisi, je suppose. Ou le prurit féministe, on a le choix. Ce n'est pas comme si vous daigniez donner des explications. Et ce n'est pas comme si qui que ce soit accordait aucune importance à celles que vous pourriez fournir.
Il y a une assez jolie brochette de pervers, sur ce blog. Et la parité est largement atteinte, dans ce domaine au moins.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 08 avril 2019 à 00:26
Eh ben dis donc, apparemment, appuyer sur le bouton divorce sors la porte Marchenoir de ses gonds, j'ai pas tout lu, même la souris a trouvé ça long à défiler, mais j'ai bien cru déceler le salmigondis éruptif d'une crise cyclique que nous connaissons bien. Je ne plains pas plus les femmes que les hommes, ou les membres d'un couple homo, je rappellerais que pour divorcer il faut être deux, que noir ou multicolore n'a rien à faire là-dedans, si ce n'est peut-être quelque traumatisme mal digéré par notre ami qui nous afflige de ses flatulences turbo-compressées (et je suis poli), et que tout simplement ma vie témoigne qu'un père présent et un couple stable est excellent pour l'éducation des enfants, je veux bien, si c'est cela le néo-communisme, être néo-communiste.
Rédigé par : Aliocha | 08 avril 2019 à 00:00
@ Robert M. 07 avril 2019 à 17:03
Du coup on ne parle plus des 120 000 postes de fonctionnaires que Manu a dit vouloir supprimer, vous avez trop à faire avec les autres "classes protégées" ?
La mouche a changé de coche ? *
* pour les attaques ad hominem ou autres insolences, ne vous fatiguez pas ça me fait un peu le même effet que l'eau sur les ailes d'un canard (si vous voyez ce que je veux dire ;))
Adéo Robert M.
Rédigé par : breizmabro | 07 avril 2019 à 21:28
@ Robert Marchenoir | 07 avril 2019 à 17:03
« Mais naturellement, ça va être notre faute, à nous les vieux mâles blancs hétérosexuels, et dans un sens, ça l'est : nous ne sommes pas assez "racistes", nous cédons trop au confort moral de l'explication du monde par le néo-communisme ambiant. »
Que lis-je en retrouvant mon blog préféré ?
Que Marchenoir est « un vieux mâle blanc hétérosexuel ».
Vieux, vous êtes vieux ? Eh bien, vous ne faites pas votre âge, autant de méchanceté dans un vieux corps, cela me laisse perplexe...
Dites donc Marchenoir, vieux mâle blanc hétérosexuel, est-ce que vous croyez qu'il est bon pour votre santé mentale de prétendre être ce que nous n'êtes pas ?
Bref ! Trêve de plaisanterie, puisque le monde attend du secours de toute urgence, auriez-vous l'extrême amabilité de nous faire une amusante étude, sur les rednecks de votre pays de Cocagne ?
Des rouquins, blancs, hétérosexuels, édentés, alcoolisés, dingues de la gâchette, il paraît que ça existe, mais moi, je n'y crois pas, puisque Marchenoir n'en parle pas ! Enfin, je les ai vus une fois, c'était dans un vieux film : Délivrance ! Est-ce que vous savez jouer du banjo ?
Rédigé par : duvent | 07 avril 2019 à 20:26
@ Aliocha | 07 avril 2019 à 09:45
"Les ronds-points remplis de divorcés qui n'ont su ni assumer leur choix ni éduquer leurs enfants."
Et de deux... Depuis le début de cette lamentable pantalonnade des Gilets jaunes, j'entends plaindre les "femmes seules avec enfant" qui formeraient un solide contingent de gardiennes de ronds-points, qui seraient vraiment très malheureuses et franchement c'est un scandale.
Donc, en fait, le gouvernement, il devrait faire quoi ? Leur fournir un mari ? Leur donner du pognon pour les récompenser de n'avoir pas su garder le leur ? Les féliciter pour s'être données au premier venu sans se préoccuper des conséquences, vu que, dans la France rétrograde et ultra-libérale, la contraception et l'avortement sont interdits ?
Ah, pardon, j'avais oublié que les femmes seules avec enfant, du fait même qu'elles sont dans la mouise, font partie des Classes Protégées pour lesquelles c'est toujours la faute du gouvernement, de même que le Peuple -- ou présumé tel. (Il est bien évident, pour fixer les idées, que Philippe Bilger ne fait pas partie du peuple. Au hasard.)
Les classes protégées, comme on dit très officiellement en Amérique ou en Angleterre, je ne me souviens plus, pour désigner les gens dont il est interdit de dire du mal, selon les édits du politiquement correct. Je m'empresse de préciser qu'aucun de vous n'en fait partie, sauf à la rigueur la moitié féminine du lectorat, et encore : si vous n'êtes pas noire, musulmane et lesbienne, vous arrivez au dernier rang, et les privilèges de "l'intersectionnalité" ne sont pas pour vous (voir votre département universitaire le plus proche "d'études de genre", pour plus de précisions sur ce terme).
Au moins, aux États-Unis, le problème des "femmes seules avec enfant" (en général noires, là-bas) fait-il partie du débat public depuis un bon demi-siècle. C'est à peu près l'ancienneté du crêpage de chignon qui oppose la gauche, selon laquelle l'État devrait en faire toujours plus pour assurer la "justice sociale" à ces pauvres malheureuses, et la droite, qui fait remarquer que "femme seule avec enfant" est une profession, pour la minorité noire de la population.
Le parcours normal de vie consistant à ne pas en faire une rame à l'école, à se faire mettre enceinte pour rattraper, à bénéficier du coup des subsides de l'État, puis à rencontrer une série de mâles de passage, dont aucun ne daignera poser ses valises.
Le résultat est la quasi-disparition des pères dans un vaste pan de la population noire, lesquels sont remplacés par l'État, dans leur rôle financier comme dans leur rôle éducatif et moral. Forcément, ça ne peut pas marcher, d'où les taux stratosphériques de délinquance et d'emprisonnement dans cette section démographique, qui ne sont pas aidés par le taux moyen prodigieux de bêtise et de propension à la violence au sein de la section en question.
Mais naturellement, ça va être notre faute, à nous les vieux mâles blancs hétérosexuels, et dans un sens, ça l'est : nous ne sommes pas assez "racistes", nous cédons trop au confort moral de l'explication du monde par le néo-communisme ambiant.
Ça marche aussi quand la question raciale n'est pas en jeu. Je n'ai pas entendu dire que les "femmes seules avec enfant", jaunes, soient également noires -- sauf une seule, et encore elle ne semble pas avoir d'enfant.
Mais on imagine le tollé si quelqu'un s'avisait, au cours du "Grand débat", de mettre en cause la responsabilité des ces fameuses "femmes seules avec enfant". Déjà qu'on est accusés d'être sans cœur lorsqu'on ose ne pas réagir par "l'empathie" laïque et obligatoire à l'égard de la partie masculine des jaunistes (obligatoire, mais pas gratuite, il y en a pour 10 milliards à l'heure où nous parlons), on voit bien ce qu'il en serait si un semblable appel au bon sens était adressé à ce sous-groupe victimaire.
Plus près de nous, pour mesurer les ravages de cette complaisance gauchiste envers l'irresponsabilité, et plus encore lorsqu'elle est teintée de pleurnicherie "anti-raciste", il faut lire lentement, ligne à ligne, un fascinant article que Le Parisien vient de consacrer aux déplorations émises par la famille britannique d'un des innombrables "jeunes" tués à coups de couteau, à Londres, ces temps derniers. Britannique, et noire, bien entendu.
Rappelons le contexte : l'Angleterre connaît une explosion de meurtres au couteau. Rien qu'à Londres, depuis le début de l'année, il y a eu un meurtre tous les trois jours. En mars, le rythme est passé à un meurtre tous les deux jours. Les statistiques officielles font état de 40 personnes poignardées tous les jours, à Londres, entre octobre 2017 et septembre 2018.
Il suffit de consulter la presse pour constater que, dans un très grand nombre de cas, les victimes sont des jeunes Noirs. Il faut fouiller un peu plus entre les lignes -- mais ce n'est pas bien difficile -- pour constater que, dans la quasi-totalité des cas où la victime est noire, le meurtrier l'est tout autant. (Et aussi, très souvent, quand elle est blanche.)
Comme le disent pudiquement les journaux : ce sont des "guerres de gangs". Comprendre : trafic de drogue, "mauvais regards", etc. Et dans certains cas, meurtres de victimes prises au hasard, comme rite d'initiation.
Voyez, par exemple, cette amusante scène de genre filmée à Newcastle : combat de Noirs avec machettes, "en plein jour", comme disent les journaux français. (Les criminels pourraient tout de même attendre la nuit pour faire leurs saletés.)
Maintenant que vous avez ces informations préliminaires, vous pouvez consulter l'article en question. Chaque phrase est un délice.
"La famille de Bjorn Brown, un Britannique de 23 ans mortellement poignardé en 2017, se mobilise pour rétablir la vérité."
Bjorn Brown, norvégien comme son prénom l'indique -- ah, pardon : noir comme son nom l'indique.
Les méchants Blancs ont menti à la famille Brown. Heureusement qu'elle est là pour rétablir la vérité. Que ferions-nous si les Noirs n'étaient pas là pour rétablir la vérité ?
L'air pétillant d'intelligence de la famille Brown, l'attitude de victimes amaigries par la pauvreté et la faim arborée par ses membres, tout cela nous laisse présager des révélations explosives (et je ne parle pas des magnifiques perruques de ces dames).
"Maxine Bogle, aide-soignante, se souvient comme si c’était hier de ce moment où elle a appris la mort de Bjorn Brown, son fils de 23 ans."
Elle est aide-soignante. C'est une pauvre n'infirmière (fonctionnaire). Elle se casse le dos à nous soigner (gratuitement), et nous, on lui tue son fils. Franchement, c'est pas bien.
"C’était il y a deux ans, un jour de printemps 2017. Le jeune père d’un nouveau-né, et ami d’enfance du rappeur anglais Stormzy, s’est fait poignarder à trois reprises, le 29 mars au soir, par deux hommes, dans son quartier de Croydon, banlieue sud de Londres."
En plus, la victime était amie du rappeur anglais Stormzy. La fine fleur de la culture britannique. Nous avons failli à protéger un représentant éminent de l'élite du pays. Plus jamais ça.
Ce jeune père, donc (larmichette obligatoire : il a réalisé l'exploit d'engendrer un enfant) s'est fait poignarder par deux hommes. Deux hommes comment ? Le Parisien n'en sait rien. Deux vieux mâles blancs hétérosexuels, à n'en pas douter. De ceux qui perpétuent la domination du patriarcat, je suppose (oui, parce que dans ce cas, la paternité est une mauvaise chose ; c'est subtil, je sais...).
Il faut consulter la presse britannique pour apprendre que, grâce aux vidéos de surveillance diffusées par la police, on sait que "le premier suspect est décrit comme un homme noir, de corpulence athlétique et d'une taille d'un mètre soixante-sept environ". Immense surprise.
On apprend également, grâce aux vrais journaux, c'est à dire ceux qui se publient en dehors de l'Hexagone, que "le second suspect est décrit comme un homme noir, d'une constitution maigre ou ordinaire, et d'une taille d'un mètre soixante-cinq environ". Franchement, si je m'attendais à ça...
" 'Les jours précédant sa mort, on a vu beaucoup de choses de ce genre aux informations, je veux dire des attaques au couteau', se rappelle Maxine, entourée de ses deux sœurs."
A qui le dis-tu...
"Depuis le début de l’année, 49 personnes au moins ont été tuées par arme blanche au Royaume-Uni. Et 285 personnes en Angleterre et au Pays de Galles sur un an, de mars 2017 à mars 2018. Un record depuis… 1946. Un quart des victimes sont des hommes jeunes, entre 18 et 24 ans, un quart a la peau noire."
Et voilà. Ils nous font la bonté de venir s'installer chez nous, et nous on les massacre sans pitié. Notez que dans ce cas, on a le droit de mentionner la couleur de peau : c'est important. Les bonnes manières contemporaines sont un champ de mines.
"Mais ça ne touche pas que des garçons ou des Noirs, insiste la mère de Bjorn. Tout le monde est concerné, même dans les beaux quartiers !"
Tout à fait. Le nombre de financiers de la City poignardant des filles de comtesses blanches est positivement préoccupant. Là, on sent que la mère du Norvégien a un éclair de lucidité, et se dit qu'à force de placer le mot Noir dans la conversation, accolé au mot meurtre, certains pourraient finir par se poser des questions.
"La faute aux affrontements entre bandes, parfois, aux réseaux sociaux, peut-être, mais pas seulement."
On a beaucoup exagéré le poids des affrontements entre bandes.
" 'Il faut embaucher des professeurs pour apprendre les qualités humaines à l’école', réclame Sandi Bogle. 'Depuis des années, on ferme des classes, des centres de loisirs. Les jeunes sont désœuvrés, et leurs parents ne rentrent du travail qu’à 18 heures !' "
Ce n'est pas le rôle des mères noires d'apprendre les qualités humaines à leurs enfants. En fait, elles en sont totalement incapables. Ce sont elles qui le disent.
C'est le rôle des professeurs, payés par l'État blanc impérialiste et raciste de Sa Majesté, d'apprendre aux petits Noirs les qualités humaines du genre : éviter de poignarder les gens dans la rue, c'est malpoli. Chacun son boulot, zut alors.
Si les professeurs blancs quittent les jeunes Noirs des yeux ne serait-ce qu'une heure ou deux, ces derniers en profitent pour s'entretuer. Un Noir désœuvré, c'est un Noir qui tire un couteau de sa poche et le plante dans le ventre du voisin. Je n'invente rien, ce sont les Noirs eux-mêmes qui le disent.
Notez que les parents noirs ne rentrent du boulot qu'à 18 heures. Je me demande ce qu'on attend pour mettre fin à cette exploitation quasi esclavagiste du Noir par l'homme blanc. Ces journées de travail à rallonge ne peuvent plus durer.
"Voilà pour les racines du mal. Quant à la réponse, elle semble manquer encore d’efficacité. Et pour cause. En neuf ans, la police britannique a perdu 20 000 postes."
Tiens, d'habitude la chansonnette gauchiste tient qu'il y a trop de policiers, et qu'on les voit trop. Sans compter qu'ils sont racistes, et qu'ils font des "contrôles au faciès". Là encore, subtilité, subtilité...
"Aucune arrestation n’a eu lieu depuis le meurtre de Bjorn Brown."
Les méchants policiers anglais racistes font exprès de ne pas arrêter les Noirs qui ont tué le Norvégien Bjorn Brown. S'ils croient qu'on n'a pas compris leur manège...
" 'Je pense à lui tous les jours', confie la mère du jeune homme, en essuyant une larme de ses doigts aux ongles vernis. 'Il était comme un fils pour nous', insistent ses tantes Tracy et Sandi, respectivement agent d’immigration et vedette de téléréalité. 'Il aimait chanter, faire des danses bizarres dans le salon, manger. Nous, on adore cuisiner.' "
Que ferait-on, sans les immigrés qui viennent faire les boulots que nous ne voulons pas faire : agent d'immigration, vedette de téléréalité... Et quel drame de se priver de leurs enfants, et de leurs talents : faire des danses bizarres dans le salon, et manger.
Sans compter que leurs mamans "adorent cuisiner", et ça, nous, on en est incapables.
" 'Nous voulons la justice', scande la tante de Bjorn, Sandi Bogle."
De vous à moi : nous aussi. Mais ce n'est peut-être pas la même.
"En attendant, les sœurs Bogle tentent de vivre sans leur fils et neveu, et appellent à une prise de conscience. À cesser de réduire le nombre de policiers, de professeurs, d’infirmiers… 'L’argent existe pour tout ça, martèle Sandi Bogle. Regardez combien le gouvernement dépense rien que pour le Brexit !' Un discours repris par la mère de Bjorn, voix douce sous ses cheveux argentés. 'L’argent ne peut pas ramener la vie, mais on espère que ça évitera que d’autres vies soient perdues.' "
Si les Noirs mettent Londres à feu et à sang, c'est parce qu'il n'y a pas assez d'infirmiers (employés de l'État, en Angleterre comme chez nous). Logique impeccable, logique africaine -- mais aussi, notez-le, logique socialiste.
Si les socialistes adorent les immigrés au point de les importer par millions, c'est parce que la bêtise socialiste rentre comme du beurre chez ces gens-là. Contrairement aux fables marxistes répandues par la gauche comme par l'extrême-droite, ce ne sont pas "les patrons qui les ont fait venir". Ce sont les politiciens et les fonctionnaires socialistes qui importent des électeurs, pour assurer la perpétuation d'un système incapable de se maintenir autrement.
Il faut arriver à la fin de l'article pour que la brochette de mamans et de tantes éplorées lâche enfin le morceau : elles veulent notre pognon, et puis c'est tout. Nous venons nous installer chez vous sans y être invités, nous y répandons le désordre et la criminalité, et pour que ça cesse, nous réclamons l'argent des Blancs par l'intermédiaire de l'État.
A coup sûr, augmenter les "moyens" va tout régler, ça se voit comme le nez au milieu de la figure.
A ce stade, je vous invite à relire l'intégralité de l'article, et à me dire à quel moment la famille de Bjorn Brown aurait "rétabli la vérité", au fil de ses déclarations pleurnichardes, ainsi que le prétend le journaliste du Parisien. Sinon par ce que je viens de vous dire : le prétendu "anti-racisme" est un racisme anti-blancs, un racket pur et simple.
______
@ Tipaza | 07 avril 2019 à 06:28
"Du coup me vient une idée machiavélique, qui relève de la politique du pire [...]. Nous pourrions tenir là, la meilleure façon de détruire de l'intérieur cette Union européenne technocratique."
Non. Éternelle tentation française du çavapétisme, de la destruction purificatrice qui permettra de dessiner l'Homme Nouveau à partir d'une feuille blanche. Ça a formidablement bien marché en 1917, comme on a pu le constater.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 07 avril 2019 à 17:03
@ Aliocha | 07 avril 2019 à 09:45
«...du grand Charles...»
Parlez-vous bien du type planqué du côté de London in UK pendant la Seconde Guerre mondiale ?
Pendant que la Résistance française faisait tout le boulot et qu’il arrive à la fin pour en tirer la gloire ?
Pendant que 600 000 Français mouraient, dont 80 000 résistants dont vous ignorez les noms ?
Tout autant que les 600 000 résistants français, qui connaît leurs noms ?
Mais un type planqué à London in UK qui descend les Champs-Élysées...
Comme quoi cela a du bon de manifester sur les Champs-Élysées.
Rédigé par : Elusen | 07 avril 2019 à 16:49
@ boureau | 07 avril 2019 à 10:06
Hier je suis tombé par hasard sur les duettistes dont Emelien pour parler de leur livre… Et c'est avec un discours proche du mode d'emploi d'une console de jeu qu'ils voudraient reconstruire la France ? On croit rêver.
J'ai lu quelques passages du livre de Vincent Crase en ligne - même si c'est orienté -, il explique que nous avons affaire à un élevage de poulets en batterie, hors sol, qui ne voient la lumière du jour que lorsque la porte de l'élevage s'ouvre, et une nourriture d'esprit faite de granulés en silo. Le clavier pour sauver le monde.
Nous sommes fichus ! "Maximiser les possibles" ! J'en parlerai à mon chat, la pharmacienne du coin ne connaît pas ce médicament.
Je ne sais pas s'ils se rendent compte et savent ce qu'est un pays, une population, des gens qui travaillent, qui se soignent, qui galèrent, qui sont dans l'urgence pour 9 000 000 d'entre eux.
On devrait tout reprendre à zéro de leur éducation, je vais leur envoyer une boîte Meccano avec de belles vis et des boulons pour qu'ils se rendent compte, enfin, de comment fonctionne un assemblage cohérent.
Belle journée.
Rédigé par : Giuseppe | 07 avril 2019 à 11:47
@ Michel Deluré | 07 avril 2019 à 09:58
Entièrement d'accord avec vous sur ce point !
Rédigé par : Achille | 07 avril 2019 à 10:47
@ Michelle D-LEROY | 06 avril 2019 à 15:55
« Si toute pensée dissidente est surnommée fake news pour faire taire un opposant, où allons-nous ? »
Je pense que nous sommes tous ici capables de faire la part des choses entre les fake news (je préfère le terme infox) et l’information objective, argumentée à partir d’éléments factuels.
Les médias ne sont pas tous à la botte du pouvoir ainsi que le laissent entendre J-L Mélenchon et MLP. Les journalistes sont des professionnels et, à ce titre, astreints à vérifier leurs informations avant de les publier.
Je ne parle pas, bien sûr, de certains médias qui utilisent des moyens illégaux pour obtenir des renseignements (écoutes téléphoniques, récupération d’échanges e-mails et SMS à caractère privé). Nous connaissons tous ces chasseurs de scoop qui vivent de la délation et de ce genre de procédés douteux.
Quant aux politiques, ce sont essentiellement les leaders des partis extrêmes qui n’hésitent pas à faire état de fausses informations afin de mieux faire passer leur idéologie.
Dupont-Aignan et ses 18 millions d’émigrés en cinq ans est coutumier de ce genre d’intox, mais MLP n’est pas en reste. Elle s’est fait remettre en place d'une façon cinglante par Xavier Bertrand, concernant ses affirmations sur les travailleurs détachés du canal Seine-Nord dernièrement.
Je vous laisse apprécier la réponse de XB. un régal !
https://www.huffingtonpost.fr/entry/xavier-bertrand-ironise-sur-une-fake-news-de-marine-le-pen_fr_5c9f31f2e4b0bc0daca90d0e
Mais les champions toutes catégories dans ce genre de procédés sont, bien sûr, le bras cassés du LFI.
François Ruffin dans ce registre est encore plus pernicieux que son chef J-L Mélenchon.
Son documentaire « J’ veux du soleil » qui se veut apolitique (mais qui a été réalisé par un député) est la meilleure démonstration de la récupération du mouvement des Gilets jaunes par LFI. Pathos et démagogie à volonté !
Rédigé par : Achille | 07 avril 2019 à 10:44
@ Giuseppe 06 avril 2019 14:42
"Allons d'abord à l'essentiel"
Je suis bien d'accord avec vous.
Ne voulant pas tomber dans la démagogie, je n'ai pas écrit de propositions "sociales". Ayant peu ou pas de compétences sur ce sujet.
Il apparaît évident que si nous voulons conserver notre cohésion sociale, un vaste "plan Marshall" sur la justice sociale et fiscale doit être développé sur plusieurs années.
L'évolution sociétale est si considérable depuis trente ans, que le système social "à la française" dont nous étions si fiers prend eau de toutes parts.
Travail herculéen dont je ne crois pas capable, hélas, Emmanuel Macron et sa majorité tant ils sont loin des classes moyennes et populaires.
Néanmoins, je ne puis croire que ce vieux pays que nous aimons tant les uns et les autres ne trouve pas un sursaut pour affronter l'obstacle.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 07 avril 2019 à 10:06
@ Achille 07/04 09:07
"Quel est l'homme ou la femme politique française capable d'affronter ce genre de géant ?"
Et je serais tenté d'ajouter "quel citoyen français est capable d'apporter son soutien franc et massif à cet homme ou cette femme politique si cette action sert l'intérêt général du pays ?".
Un homme ou une femme politique ne ne peut s'engager courageusement à fond dans une action que pour autant qu'il sente qu'une forte majorité est prête à le soutenir dans ce combat.
Le niveau d'adhésion du citoyen décide en fait de l'action ou de l'inaction de l'homme ou de la femme politique au pouvoir.
Cette contrainte ne peut être balayée. Or, nous savons comment se comporte le citoyen, souvent versatile et incohérent, privilégiant le court terme au long terme, l'égoïsme à l'altruisme.
Rédigé par : Michel Deluré | 07 avril 2019 à 09:58
Il ne faudrait pas éluder au premier chef le facteur essentiel, au-delà des défauts ou qualités du président, que la Constitution a permis son élection démocratique, qu'il a su profiter de l'héritage du grand Charles pour s'adresser directement au peuple, et imposer sa vision de la vérité dans un contexte d'extrême division.
L'échec qui accompagne sa gouvernance ne fait que confirmer l'exactitude de ses diagnostics, tout l'appareil politico-médiatique résistant au bouleversement qu'exige l'usure d'un système dépassé et inadapté à ce monde qui se défait, chacun comme à l'habitude voulant préserver sa prébende et son petit pré carré, relevant les totems vermoulus de ses illusions, tentant de recoudre les rideaux mités du mensonge qui ne suffisent plus à cacher notre incapacité à nous adapter en préservant nos valeurs.
Mais ne nous y trompons pas, même la Suisse est prise, évidemment, dans cette perte universelle de repères, et là-bas aussi, les professeurs ont toutes les peines du monde à tenter d'éduquer une jeunesse perdue dans le divorce généralisé, récupérée par les systèmes pornographiques publicitaires qui ne font que mécaniser les artifices de son intelligence, déguisant sous des dehors démocratiques la récupération systématique par les bataillons d'avocats aux ordres des puissances retournant inévitablement l'expression pourtant bien réelle de son peuple.
Macron n'a d'autre solution que de continuer à exprimer sa vision de cette réalité, il a l'occasion de le faire maintenant, peut-être, et c'est un souhait si pieux que cela s'approche d'une prière, que les Gaulois réfractaires qui coûtent un pognon de dingue pour des résultats minables sauront admettre qu'il n'a pas été élu par hasard, que le redressement du pays dépend plus d'eux que de lui, que les ronds-points remplis de divorcés qui n'ont su ni assumer leur choix ni éduquer leurs enfants se videront alors, père et mère rentrant à la maison autour du foyer essentiel qui manque aux nantis comme à ceux qui ne sont rien, le foyer du soin aux plus petits et du respect de soi-même par l'amour du prochain.
Rédigé par : Aliocha | 07 avril 2019 à 09:45
@ Lucile | 06 avril 2019 à 14:14
L’article est intéressant, en effet. L’auteur semble sous-entendre qu’il faudrait un président à la Churchill qui dirait à son peuple « Je n'ai à vous offrir que du sang, du labeur, des larmes et de la sueur. »
Mais quel citoyen voterait pour ce candidat ?
Le contexte est très différent. Nous ne sortons pas d’une période de guerre, mais de plus de soixante-dix ans de paix. Situation jamais vue dans l’Histoire et ceci, qu’on le veuille ou non, en grande partie grâce à l’Union européenne.
Le pays n’est pas en ruine, les citoyens n’ont pas à faire la queue dans les centres de ravitaillement avec des tickets de rationnement pour se procurer de quoi se nourrir.
Il y a des pauvres, certes, même des très pauvres, mais je ne pense pas que ceux qui cassent les équipements publics, pillent les magasins, incendient poubelles et véhicules soient de cette catégorie.
Ces gens-là sont des factieux dont l’action est commanditée par des mouvements anarchistes, pas seulement français d’ailleurs, venant de pays qui veulent introduire un régime mortifère dont les premières victimes seraient les gens de condition modeste.
Alors certes Emmanuel Macron n’est pas l’homme providentiel que l’on espérait. Mais ses moyens d’action, tout président qu’il est, sont limités. Il doit tenir compte des règles mises en place par l’Union européenne, par les Droits de l’Homme, par le Conseil constitutionnel.
Gouverner ce n’est pas dilapider le capital de la France et augmenter toujours plus le déficit public. Il faut trouver l’adéquation entre la justice sociale, la répartition des richesses et la concurrence internationale face à des pays qui ne respectent pas les lois du marché, à commencer par les pays du S-E asiatique et notamment la Chine qui est en train de conquérir l’Afrique et bientôt l’Europe.
Quel est l’homme ou la femme politique française capable d’affronter ce genre de géant ? Parmi les prétendants, EM n’est certainement pas le plus mauvais.
C'est curieux comme nos politiques sont prodigues en conseils éclairés et criques acerbes lorsqu'ils sont dans l'opposition et d'une incurie affligeante dès qu'ils accèdent au pouvoir. Et ça fait quarante ans que ça dure !
Rédigé par : Achille | 07 avril 2019 à 09:07
@ Lucile | 06 avril 2019 à 12:02
Je partage pour l'essentiel les propos d'Alice Weidel, ce sont des propos de bon sens, ce bon sens que l'idéologie eurobéate a oublié, ou pire a nié.
Il faudrait quand même se souvenir que ce qualificatif de nationaliste est la définition donnée au droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. Sans souveraineté point de liberté, et toute délégation de souveraineté est une délégation de liberté et donc une perte de liberté, pour le meilleur ou pour le pire, c'est selon.
Ce n'est pas parce que ce droit des peuples à disposer d'eux-mêmes est devenu, sous l'effet de l'idéologie perverse nazie, à disposer des autres peuples qu'il faut renoncer à ce droit fondamental.
La perversion d'un droit ne saurait être la règle comme l'affirment les idéologues de l'Union européenne.
Je partage en particulier l'opinion d'Alice Weidel sur Michel Barnier. Ce n'est pas un secret qu'il a tout fait pour torpiller une sortie propre et en douceur de la Grande-Bretagne de l'UE et c'est exact qu'il s'en est vanté.
Attitude mesquine, technocratique, prouvant qu'il n'avait pas compris la profondeur historique qu'il convenait de donner à ce Brexit, pour relancer et refonder une autre Europe. Il n'est pas le seul d'ailleurs, Macron a également poussé les feux dans ce sens.
Il faut dire que cette petitesse a été facilitée par le comportement brouillon de Theresa May, qui ne s'est pas montrée, elle non plus, à la hauteur de la tâche, dès la dissolution ratée du Parlement britannique.
La négociation aurait pris une autre direction et un autre sens si Margaret Thatcher avait été à la manoeuvre
J'ai bien peur pour la Grande-Bretagne que Jeremy Corbyn ne vienne rapidement prendre la place de Theresa May, et que commence pour ce pays, symbole de démocratie s'il en est, une folle période.
Il est comme ça dans l'histoire des nations et des civilisations des périodes où tout s'effondre et se dilue sans que l'on puisse s'y opposer.
Du coup me vient une idée machiavélique, qui relève de la politique du pire.
Le rejet du Brexit, la négation du vote des Britanniques comme cela s'est passé en Irlande, Pays-Bas, France, et le maintien de la Grande-Bretagne dans l'Union européenne.
Avec la pensée politique erratique de Corbyn, l'arrogance vaniteuse de Macron et l'absence de l'ancrage modérateur d'Angela Merkel qui s'en va, nous pourrions tenir là, la meilleure façon de détruire de l'intérieur cette Union européenne technocratique.
Et pendant ce temps-là, l'immigration de masse se poursuit !
Rédigé par : Tipaza | 07 avril 2019 à 06:28
@ fugace | 06 avril 2019 à 14:16
Les images que vous nous offrez sont très belles.
Mais elles ne peuvent traduire le ressenti comme on dit en météo, et aussi en poésie.
Voici ce que dit Albert Camus de Tipasa, qu'il orthographie comme on le faisait à son époque, alors qu'il y a un z en arabe.
"Au printemps, Tipasa est habitée par les dieux et les dieux parlent dans le soleil et l'odeur des absinthes, la mer cuirassée d'argent, le ciel bleu écru, les ruines couvertes de fleurs et la lumière à gros bouillons dans les amas de pierres. A certaines heures, la campagne est noire de soleil. Les yeux tentent vainement de saisir autre chose que des gouttes de lumière et de couleurs qui tremblent au bord des cils. L'odeur volumineuse des plantes aromatiques racle la gorge et suffoque dans la chaleur énorme.
.../...
Je redécouvrais à Tipasa qu'il fallait garder intactes en soi une fraîcheur, une source de joie, aimer le jour qui échappe à l'injustice, et retourner au combat avec cette lumière conquise. Je retrouvais ici l'ancienne beauté, un ciel jeune, et je mesurais ma chance, comprenant enfin que dans les pires années de notre folie le souvenir de ce ciel ne m'avait jamais quitté. C'était lui qui pour finir m'avait empêché de désespérer. J'avais toujours su que les ruines de Tipasa étaient plus jeunes que nos chantiers ou nos décombres. Le monde y recommençait tous les jours dans une lumière toujours neuve. Ô lumière ! c'est le cri de tous les personnages placés, dans le drame antique, devant leur destin. Ce recours dernier était aussi le nôtre et je le savais maintenant. Au milieu de l'hiver, j'apprenais enfin qu'il y avait en moi un été invincible."
Rédigé par : Tipaza | 06 avril 2019 à 23:46
@ fugace
Merci pour les liens. (J'aime beaucoup cette chanson.)
Rédigé par : Lucile | 06 avril 2019 à 23:42
@ Exilé | 06 avril 2019 à 10:38
« Un peu confus, tout ça. »
La démocratie par principe, par définition n’existe pas, à cause de : démos.
« Le Peuple », ce n’est pas le Peuple qui vote, mais le citoyen.
Pour être citoyen, avoir accès aux droits civiques, il faut avoir 18 ans en France, pourtant tous les enfants en dessous de cet âge sont bien membres du Peuple.
En cela, il convient que vous notiez que l’on peut être citoyen, avoir le droit de vote, sans être membre du Peuple ; au sein de l’Union européenne, les membres des 27 autres pays peuvent voter en France à certaines élections sans être membres du Peuple de France, mais à condition qu’ils vivent en France.
L’on peut même retirer les droits civiques à une personne, mais elle reste membre du Peuple.
Démocratie est ainsi un abus de langage, nous sommes dans des citoyen-craties, citoyenocratie ?!
Par la suite vous confondez droit de vote avec liberté d’expression, cela ne va pas de pair.
Des pays peuvent avoir un droit de vote pour tous leurs citoyens, mais le reste du temps leur demander de la fermer.
« ...se croit tout permis dans l'intervalle faute de contrôle par des contre-pouvoirs »
C’est inexact !
La France n’est pas une démocratie, c’est bien inscrit dans la Constitution.
C’est la République qui est démocratique, pas la France.
Le mot employé est bien : démocratique, un adjectif qualificatif, et non le substantif : démocratie.
L’adjectif qualificatif porte sur République.
Tout autant, en France, il y a des contrepouvoirs qui sont clairs.
Reste à savoir si les personnes supposées les exercer n’en font pas autre chose.
Rédigé par : Elusen | 06 avril 2019 à 21:22
@ Exilé | 06 avril 2019 à 10:38
Lu et approuvé.
Mais que peuvent comprendre ou retenir des leçons de vie ceux qui ne savent ou n'acceptent ni de nommer les choses, ni de se remettre en question, et encore moins laisser régler par d'autres qu'eux-mêmes, des affaires sensibles, voire explosives que leurs seuls aveuglement, cupidité et préjugés ont généré.
Autrement dit des pompiers pyromanes qui se revendiquent comme soldats du feu et sévissent partout, trompent et abusent le péquin de base avec des discours alambiqués et des copiés-collés racoleurs pour gogos, collectés sur des sites de gourous dont ils font collection !
Alors que dans la vraie vie ces matamores (camouflés dans l'anonymat) ne sont que des baudruches, des dégonflés, des pétochards qui fuiraient comme des pleutres à la première alerte, et pour tout dire des lâches prêts à se rallier honteusement pour sauver leur peau ou leurs prébendes au premier bonimenteur venu !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 06 avril 2019 à 21:05
@ Achille
Ce que je sous-entendais c'est qu'il est plus facile pour un grand nombre de Français de se satisfaire des vérités médiatiques uniformes que de chercher à relativiser ou à comprendre au-delà de la bien-pensance du monde idyllique vu par les ex-socialistes aujourd'hui macroniens.
Ce qui m'afflige c'est de lire des commentaires dociles à cette presse et aux discours ambiants sans questionnements, et encore plus c'est de lire que toute personne qui refuse d'adhérer à ces discours soporifiques est immédiatement taxée d'extrémisme, de lepenisme et autres qualificatifs populistes bien faciles. Genre "circulez il n'y a rien à voir".
Malheureusement les fake news ne sont ni l'apanage des opposants politiques quels qu'ils soient ni celui des dirigeants. A nous de faire la part des choses puisque chacun arrange sa sauce politique selon sa propre vision politique, de façon à convaincre le plus possible ses adhérents.
Ensuite il y a fake news et fake news.
Bien avant Internet et les réseaux sociaux, de vraies fake news circulaient et parfois se répandaient de bouche à oreille à la vitesse de l'éclair.
Que ce fut l'affaire du collier ou plus proche de nous, la rumeur d'Orléans. Ces rumeurs se sont propagées rapidement et chacun y croyait dur comme fer car c'était un ami bien informé qui le tenait d'un autre ami qui nous l'avait dit.
Et c'est justement là qu'intervient le bon sens personnel, celui de faire le tri dans les informations d'où qu'elles nous arrivent. Le doute n'est pas plus populiste que la docilité ou la soumission. Là encore, de nombreux exemples dans l'Histoire ont montré que la résistance et le doute ont permis de créer le débat, de découvrir des affaires peu reluisantes, d'avancer.
Si toute pensée dissidente est surnommée fake news pour faire taire un opposant, où allons-nous ?
Rédigé par : Michelle D-LEROY | 06 avril 2019 à 15:55
@ boureau | 06 avril 2019 à 09:52
Allons à l'essentiel avant, femme seule soignante avec enfant qui n'arrive pas à vivre de son énergie au travail.
Trois ans de prison pour les fraudeurs fiscaux, au moins on sera sûr qu'on leur mettra les pinces comme dirait un contributeur, et la vitrine du bing pour rêver à de la joncaille cachée en espérant des jours meilleurs.
Tout le reste est de la dentelle, vous auriez pu rajouter les frais d'obsèques de 20 000 € des sénateurs, ainsi que les 2 350 € résiduels accordés aux députés ainsi que les 7 200 € annuels sans déclaration sur l'honneur et sur papier libre, quand nous égarions quelques factures, ou dépenses commerciales d'invités à la fête locale de la crêpe et du vin blanc.
Le boulot est immense et simple à la fois, alors commençons par le frigo, avant de réclamer une vraie transparence de nos chers élus qui ont le c*l qui baigne dans la graisse d'oie dirait mon voisin.
L'heure approche, le contributeur sbriglia est déjà en place, je m'en vais de ce pas oublier pendant quatre-vingts minutes ces turpitudes qui nous entourent.
Cordialement, cher b.
Pour cette fois je fais l'impasse, elle pourrait porter la poisse à tout un pays cher à Claude Nougaro, le ballon ovale est tellement capricieux.
Rédigé par : Giuseppe | 06 avril 2019 à 14:42
@ Lucile | 05 avril 2019 à 10:53
Peut-être que Tipaza vous aura répondu lorsque mon commentaire apparaîtra.
Et maintenant, quand reviendra-t-il ? m'a connecté au son de... Barbara :
https://www.youtube.com/watch?v=nUE80DTNxK4
et évidemment aux images :
https://www.bing.com/images/search?q=Tipaza+images&id=8215ED8A608F606FBA0559A83E435AD122A7DCC4&FORM=IQFRBA
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@ breizmabro | 05 avril 2019 à 12:29
Dans La Firme, les avocats, dont Mitch, font payer leurs clients pour chaque minute pendant lesquelles ils ont seulement pensé à leurs dossiers respectifs.
Nos politiques ont retenu la leçon pour eux. Sur le pont 365/365, 7/7, 24/24, le coût global d'un gouvernement à la minute pourrait-il être communiqué sur simple demande, au titre de la transparence tant réclamée au cours du fumeux Cirque Médiatique, nommé Grand Débat ?
Rédigé par : fugace | 06 avril 2019 à 14:16
@ Achille
Merci de votre remarque si amicale. À vrai dire je ne pense pas que Tipaza ait besoin d'être apprécié de moi pour l'être de tous. Je retrouve dans ses préoccupations une partie des miennes, mais il les énonce et les commente différemment.
Au sujet de la médiocrité de beaucoup d'élus, j'ai lu un article intéressant de Nathalie MP dans Contrepoints. Elle évoque la déception qu'on peut éprouver à l'égard de Macron, et pose la question "mais alors qui d'autre ?". C'est pourquoi, dit-elle, on se résigne.
https://www.contrepoints.org/2019/04/05/340881-daccord-macron-cest-pas-ca-mais-qui-dautre-alors
Je pense comme elle qu'aucun nom ne vient spontanément à l'esprit, mais je ne pense pas que ce soit faute de personnalités valables, si seulement on leur permettait d'émerger au sein des partis, et dans les media. Dans tout le pays, il n'y aurait donc personne qui arrive à la cheville d'Emmanuel Macron ? Je ne parle d'ailleurs pas de perles rares dans son genre, car il est vrai qu'il est singulier.
On a tellement entendu répéter qu'il n'y avait "personne d'autre" que c'est devenu une croyance. Plutôt que de réfléchir, les téléspectateurs dociles reprennent l'argument à leur compte.
Et ce leitmotiv nous est répété par qui ? Toujours par les mêmes frères prêcheurs ou petits vieux, style Muppet Show, qui pérorent à longueur de soirée et de matinée sur les chaînes d'info. Je ne leur ferai pas l'injure de les nommer (en dehors du Goupil qui n'a d'autre raison de nous bassiner que sa proximité avec le chef de l'Etat, ce qui lui vaut les bassesses des responsables d'émissions). Les braillards revendicatifs et fumeux sont invités à longueur de programmes, plutôt que les gens sérieux.
Quand on sait déjà que le réalisme est beaucoup moins vendeur que l'utopie, on comprend que les gens intéressants restent dans l'ombre. Les questions de rivalité dans les partis expliquent également comment ceux qui sont arrivés au sommet empêchent, consciemment ou non, les nouveaux venus de se faire connaître. Seuls ceux qui sont prêts à l'effraction y parviennent. Ce ne sont pas toujours les plus intéressants.
Et voilà qu'un flemmard, tartuffe, nébuleux et nanti tel que Hulot arriverait en tête des préférences politiques des Français. Je parle au conditionnel, parce que là encore ce sont les media qui le disent…
Rédigé par : Lucile | 06 avril 2019 à 14:14
@ Tipaza
Merci d'avoir répondu. Je sens votre morosité politique. Elle est partagée.
Je vous envoie une vidéo qui m'a secouée parce que la France y est dépeinte entre les lignes, et pas seulement, comme un épouvantail malfaisant pour l'UE, en pleine déconfiture industrielle, mais usant à fond de sa capacité de nuisance.
Une "nationaliste de droite" s'adresse à Angela Merkel au Bundestag. Pour ceux qui ne comprennent pas les sous-titres en anglais : elle lui reproche la nonchalance et l'indifférence de Bruxelles devant le Brexit qu'elle considère comme un affaiblissement majeur de l'Europe.
Par ailleurs, elle craint dorénavant, faute d'une minorité de blocage, l'influence des pays "du Cub Med et de la France" en Europe, la centralisation galopante macronesque en marche, l'inflation ruineuse de la monnaie unique, les budgets non équilibrés qui se font sur le dos de l'Allemagne, la volonté de ces pays de s'emparer de la richesse de l'Allemagne. Elle fait remarquer que l'économie de l'Angleterre à elle toute seule représente l'économie des 19 plus petits pays de l'UE. Elle rapporte que Barnier aurait dit à un proche qu'il aurait réussi sa gestion du Brexit s'il créait des conditions si dures pour les Anglais qu'ils le regretteraient amèrement. Voilà dit-elle le genre d'amis qui ne font pas de bien à l'Europe.
Elle plaide pour des frontières européennes dignes de ce nom, mais pour une économie ouverte, profitable pour les pays européens, un traitement qui n'ostracise pas économiquement les Anglais une fois détachés de l'UE, elle demande pour l'UE de la souplesse, des aménagements possibles, un souffle d'air frais par opposition au mur de briques opposé par Bruxelles aux pays qui veulent garder une marge d'autonomie politique.
Enfin, elle n'a pas l'air d'apprécier du tout le traité récent d'Aix-la-Chapelle, ce papier administratif qui porte dit-elle, les empreintes digitales de la France sur toutes les pages.
Ce Dr. Alice Wiedel est certainement une vile nationaliste. Problème : elle ne dit pas que des bêtises. Son allocution date du mois de mars. À méditer.
https://www.youtube.com/watch?v=63IcW4eo4uM
Rédigé par : Lucile | 06 avril 2019 à 12:02
"Les statistiques publiques concernant l'immigration et ses effets néfastes dans notre société sont interdites" LOL !
C'est pour ça que les citoyens doivent, en détournant la censure et les interdictions de penser et de s'exprimer, se rendre compte et s'informer par eux-mêmes sur le terrain : n'importe quel flic, gardien de prison, juge honnête, surtout pas un juge de gauche, fonctionnaire, et tous ceux qui sont obligés d'être au contact d'une certaine population de type... "scandinave", vous prouveront qu'une communauté, et une seule, peuple en majorité les prisons, défilés hyper multirécidivistes dans les tribunaux sans en être inquiétés, par laxisme trouille lâcheté et souci de "paix sociale" ; les chiffres officiels cachés voire falsifiés sont connus mais interdits de publication sous peine de payer très cher cette vérité criante mais gênante pour le pouvoir islamogauchiste complice.
Les vrais chiffres fournis par la "Scandinavie" sur les taux de remplissage de prisons, de délits, d'actes de délinquance, d'insécurité, de trafics de drogue, etc. tournent toujours autour des 90%.
Les polices antiracistes soutenues par le pouvoir embastillent à tour de bras ceux qui osent exprimer des vérités, ça s'appelle une dictature.
Rédigé par : sylvain | 06 avril 2019 à 11:24
@ boureau | 06 avril 2019 à 09:52
Ceci me paraît un excellent programme. Toutefois les « chiens de garde » et autres lobbys qui profitent de certaines rentes de situation ne manqueront pas de faire blocage. Il y a loin de la coupe aux lèvres.
Reste à savoir si ces dispositions entraîneront l’arrêt des manifestations des Gilets jaunes qui, après avoir obtenu satisfaction sur un certain nombre de leurs revendications, « ne lâchent rien » et ne veulent rien d’autre que la démission d’Emmanuel Macron sans condition.
Rien n’est moins sûr !
Rédigé par : Achille | 06 avril 2019 à 11:10
@ Elusen
"La démocratie - demos et cratos – en rapport avec le droit de vote.
La démocratie, c’est uniquement qui ou non a le droit de voter ou pas, cela repose sur les définitions du peuple et du citoyen."
Un peu confus, tout ça.
La démocratie ne se limite pas au droit de vote.
Il existe de nos jours de nombreux pays où les gens peuvent voter mais qui ne sont pas des démocraties pour autant et qui sont régis de fait par de quasi-dictateurs élus.
Par certains côtés, la France où un homme élu pour cinq ans se croit tout permis dans l'intervalle faute de contrôle par des contre-pouvoirs (qui sont en principe consubstantiels à une démocratie normale) et n'en fait qu'à sa tête se rapproche de pays comme l'Algérie ou le Venezuela, par exemple.
Rédigé par : Exilé | 06 avril 2019 à 10:38