A plusieurs reprises, avec une bienveillance attristée, certains de mes commentateurs, me reprochant de dilapider ce qu'ils appelaient aimablement "mon talent", se sont au mieux étonnés de me voir travailler à Sud Radio.
Il m'a semblé que je leur devais une réponse et, au-delà d'eux, à ceux qui me lisant et m'écoutant pourraient douter de ma sincérité quand je parle de cette radio qui à l'évidence ne cesse pas de monter.
J'ai pu comprendre aussi l'agacement de quelques-uns à cause de mes références trop fréquentes à Sud Radio dans mes posts.
Je vais donc profiter de cette opportunité qui m'est offerte pour expliquer ma démarche et démontrer sa nécessité par rapport à ce que je suis, mon tempérament et mes priorités.
D'abord qu'on veuille bien considérer que n'ayant jamais répugné à dénoncer le pire, j'ai le droit qu'on ne mette pas en doute ma franchise quand elle décrira le meilleur. Mes appréciations pourront être jugées excessives, discutables mais elles ne seront jamais mensongères, seulement inspirées par une comédie médiatique ou une hostilité commerciale de principe.
Que Sud Radio m'ait fait confiance et que j'espère la mériter a donné un cours inattendu à mon destin professionnel et j'en suis ravi.
Deux raisons fondamentales justifient mon adhésion convaincue à cette radio.
La première est qu'elle est populaire et authentiquement libre. Je n'éprouve même pas le besoin de me faire pardonner l'adjectif "populaire". Il n'a jamais été une honte, bien au contraire, et c'est l'honneur de cette radio que savoir être accessible à tous et parler pour tous. Si des élites réelles ou prétendues font la fine bouche face à elle, ce n'est pas la faute de Sud Radio mais la conséquence d'un snobisme ou d'un mépris qui préfèrent ne jamais écouter de peur d'avoir à changer d'avis.
La liberté de ton et d'expression est indéniable qui permet de tout dire - jusqu'à la censure légitime qu'impose la loi ou sa propre conscience. Ce climat de liberté totale ne constitue plus les échanges, les dialogues, les contradictions et les controverses comme un espace qui serait sous la menace absurde d'une constante épée de Damoclès mais au contraire comme l'état naturel d'une radio qui a pour vocation démocratique de laisser parler, d'écouter, d'être aussi bien pour les sans voix que pour les voix officielles, une occasion unique de faire connaître et partager leur point de vue. Sans risquer d'être interrompues parce qu'elles ne seraient pas conformes.
Cette liberté, tous les médias prétendent en user mais on sait bien, on sent intuitivement que beaucoup sont tenus dans le corset subtil ou ostensible de tous les "corrects" qu'on peut imaginer. Qui ne sera jamais, pour Sud Radio, celui de devoir taire, par décence ou lâcheté, un élément capital dans un débat, de ne pas jeter une pierre stimulante et provocatrice dans un jardin déjà substantiel. Cette liberté ne crée pas par elle-même la vérité mais sans la première, la seconde ne serait de toutes manières pas possible.
Ma seconde motivation est précisément que dans un univers où tout a le droit de se penser, de se dire et de se confronter, où tous, sans condescendance ni mépris, ont la chance d'intervenir et de s'impliquer sur tous les tons, j'ai la faiblesse de m'attribuer une place pour, en particulier, l'importance de la nuance, la faculté de réfléchir contre soi, la qualité, je l'espère, du verbe et cette répugnance, qui peut frôler la gravité ennuyeuse, à tomber dans une vulgarité qui n'est pas forcément drôle. Il y a plusieurs familles au sein de l'esprit français et j'ai toujours préféré Sacha Guitry ou Raymond Devos à Jean-Marie Bigard, les jeux du langage, le dessus de la ceinture plutôt que le dessous.
Dans l'émission Les Vraies Voix à laquelle je participe chaque jour de 17 à 19 heures et qui progresse à proportion de son rythme et de l'écoute attentive de ceux qui offrent leurs lumières, je me vois ce rôle. Contre des auditeurs majoritairement hostiles au président de la République et favorables aux Gilets jaunes - voire Gilets jaunes eux-mêmes -, tenter d'instiller, s'il le faut, une contradiction, des infléchissements, de la mesure. Je n'ai jamais été dérangé par le fait d'être minoritaire, encore moins face à de sympathiques antagonismes.
Pour aller au fond, je suis exaspéré par la réputation usurpée de certains médias alors que Sud Radio est bien meilleure dans certaines de ses émissions. Je continue, pour n'évoquer qu'elle, à soutenir que sa Matinale, avec Patrick Roger aux manettes, l'emporte sur toutes les autres si on veut bien ne pas être circonvenu par les classements officiels. Didier Maïsto, le président de Sud Radio, soutient, pour son compte, la cause des Gilets jaunes avec fougue et constance et revendique une liberté d'expression dont je peux témoigner qu'il laisse Sud Radio la porter au plus haut.
Ai-je encore besoin de convaincre qui que ce soit ?
Non, je n'ai pas à m'excuser d'être à Sud Radio. Pardon de dire que je m'y sens bien parce qu'elle est bien.
Selon la "comique" Charline Vanhoenacker, oeuvrant sur France Inter, Marine Le Pen est partout et a gagné le scrutin… Les médias sont responsables de la banalisation de ses idées. Surtout ceux comme Sud Radio dont les théories d'Alain Soral sont le fonds de commerce... !
http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/tv/charline-vanhoenacker-a-quoi-ca-sert-d-etre-premier-si-on-veut-te-saborder-23-06-2019-8100531.php
Une blague belge sans doute !
Rédigé par : caroff | 23 juin 2019 à 20:03
@ breizmabro | 21 mai 2019 à 13:26
« Pourtant habituellement les magistrats suivent religieusement le moindre expert médical ...»
Et encore de l’amalgame !
Un catholique blanc est pédophile, donc tous les catholiques blancs sont des pédophiles ; c’était la pensée du jour de mamie Nova !
Sont-ce les mêmes magistrats, les mêmes expertises, les mêmes experts dans les deux affaires ?
Sont-ce les mêmes affaires ?
- L’une, c’est une expertise psychiatrique dans une affaire criminelle !
- L’autre une expertise médicale sur l’état végétatif pour savoir s’il faut, ou non, donner la mort à une personne.
Et vous arrivez à organiser là-dessus un amalgame !
Mais si vous aimez tant que ça les amalgames, retournez chez votre dentiste !
La médecine a-t-elle vocation à donner la mort ?
C’est quand même autre chose que de savoir si une personne est mentalement déficiente ?!
Puis alors, donner la mort et s’excuser de travailler pour Sud Radio, est-ce un message subliminal ou un acte manqué ?!
Attention Honorable Honoraire, il y a des mémères dangereuses en déambulateur, elles savent s’en servir.
Rédigé par : Elusen | 22 mai 2019 à 01:29
@ scoubab00 | 21 mai 2019 à 12:24
Vous savez je suis un sauvage très gentil. Hier j'étais devant la poste du village et j'aperçois un véhicule Enedis arrêté devant le cabinet du docteur (nous avons encore un docteur mais qui ne trouve pas encore de remplaçant). Je m'approche du fourgon et vois que le conducteur porte des gants.
Comme il ne s'agissait pas d'une voiture de maître, je me suis douté qu'il était là pour ce foutu compteur. Il a acquiescé. Etant proche de mon domicile je lui rappelai que mes deux numéros n'étaient pas à faire. Il a vérifié sur son portable, je n'étais pas sur son programme. Nous continuons à discuter, lui restant quand même sur ses gardes. Il nous avoua qu'il n'était pas tellement tranquille car des confrères avaient essuyé des coups de fusil de chasse en haute vallée.
Je l'ai rassuré sur ce point, lui demandant quand même d'éviter mon domicile...
Ici les gens de la ville ignorants et complètement butés en sont à protéger le loup tant et si bien qu'on le retrouve à 6 km de chez moi faisant ses courses dans les enclos, le blaireau aussi alors qu'il est vecteur de la tuberculose bovine. Notre ministre de l'Agriculture en vient aussi à prôner l'agriculture de nos grands-parents. Je suppose que les importations viendront combler les lacunes et les pénuries futures.
Et maintenant ce compteur implacable ne supportant pas le moindre dépassement de consommation même ponctuel lors de démarrages de certains moteurs électriques et obligeant à prendre l'abonnement supérieur. Vous verriez les taudis et notamment les installations électriques où a été installé cette boîte verte ultrabranchée ! Bob resterait coi ce qui n'est pas peu dire...
Je suis allé en montagne voir un nouvel ami vivant dans un de ces lieux, on le lui avait posé. Voyant l'engin dans sa cuisine minuscule et encombrée mais surtout un tableau électrique se résumant à une brochette de dominos en plein air, je lui posai la question "Ils ne vous ont rien dit en le posant ?" "Non pourquoi ?"... "Euh ! non, pour rien..."
D'où viendra l'étincelle d'aller chercher l'incident dans ces territoires alors que "l'avant-compteur" est souvent la règle dans des quartiers difficiles ?
Il faut toujours se méfier des gens taiseux n'ayant pas les mots pour le dire. Il ne faut pas trop aller les chercher.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 21 mai 2019 à 14:24
@ breizmabro | 21 mai 2019 à 13:26
Votre contrat est prêt, c'est vous qui mettez le chiffre.
C'est le Mercato, j'ai fait la même offre à duvent, mais pas de chantage vous perdriez tout.
Rédigé par : Giuseppe | 21 mai 2019 à 14:05
@ Giuseppe 21 mai 2019 à 11:28
"Trop de décideurs tue la décision"
"C'est ben vrai ça !" comme disait la mère Denis (qui n'était pas Gilet jaune car la pub lui a rapporté quelques pièces pas que jaunes :D))
Trop de décideurs tue la décision comme dans l'affaire Lambert qui n'en finit pas de finir.
Pour l'instant c'est la justice qui décide, en contredisant les experts médicaux, ce qui est bien ou mal pour ce pauvre garçon qui ne peut s'exprimer.
Pourtant habituellement les magistrats suivent religieusement le moindre expert médical, estimant que machin ou truc qui a fait passer par la fenêtre une dame qui ne demandait rien "était atteint au moment des faits d'un trouble psychique ou neuropsychique ayant aboli son discernement ou le contrôle de ses actes" (122-1 du code pénal), ou le professeur en médecine machin qui dit à la barre que d'accoucher (parfois plusieurs fois) de bébés viables, voire en pleine forme, puis de les tuer, résulte d'un déni de grossesse et que donc ces infanticides doivent relever de l'article 122-1 du Code pénal.
Ce monde est en train de devenir fou ou quoi ?
Adeo Giuseppe
Rédigé par : breizmabro | 21 mai 2019 à 13:26
L'un redoute qu'un Sarrazin ne grimpe sa colline vague pour le trucider. L'autre qu'un agent soviéto-russe impétinent ne sabote sa tisane. Vous les avez reconnus ? Merci hameau (dans les nuages) et Bob (Marchenoir) de m'avoir rendu le Linky aussi vivant, jubilatoire. On m'avait refilé toute une doc il y a deux ans lors de l'installation du compteur dans mon couloir d'immeuble. Bof. Vos fulgurances croisées m'ont enfin éclairé sur cet appareil sujet à débat encore MERCI.
C'est ça le talent, un bornage foutraque ou une case négligée par dame Nature, allez savoir. Hé les tontons Bob et hameau, racontez-nous l'Europe, l'oiseau Bellamy, Delon A, la polysolitude bref tout ce que vous voudrez bien flinguer à vue :)))
Rédigé par : scoubab00 | 21 mai 2019 à 12:24
@ Robert Marchenoir | 20 mai 2019 à 18:46
Bob - je me permets -, vous n'êtes pas venu à la réunion sur le chemisage de colonnes montantes dans l'immobilier, sans destruction.
Finalement après une grosse heure de discussion ma solution technique a été retenue, mais là est une autre histoire.
Pourquoi Bob je vous parle de cela ? Oui, pourquoi ? Par association d'idée nous avons évoqué la cathédrale Notre-Dame et avons conclu que dans dix ans les travaux auront été à peine esquissés.
Pourquoi ? Parce que de notre côté nous étions au pied du mur et qu'il fallait absolument aboutir à une solution technique élégante (rapide et pérenne) et j'avais le pouvoir de décision à la fin.
Alors "Dois-je m'excuser de travailler à Sud Radio ?" (PB), chacun est maître de ce qu'il fait et en dernier ressort s'il a le pouvoir de conclure il décidera, futile, utile, ou inutile. ND est à l'enseigne pléthorique du nombre de décideurs, trop de décideurs tue la décision, et le résultat sera forcément décevant.
Bob - je me permets - derrière votre clavier vous êtes une tête dure, il serait impensable de vous confier la rénovation de ND mais dans le rôle du chien qui aboie ou du général avec le knout pour faire avancer le Schmilblick vous seriez parfait… Euh... parfait… Avec une laisse souple mais quand même une laisse. Vous êtes déroutant souvent, mais vous méritez aussi la trique, vous savez la donner, finalement on devrait vous embaucher pour restaurer ND - je me permets Bob, je me permets.
Rédigé par : Giuseppe | 21 mai 2019 à 11:28
@ Robert Marchenoir | 20 mai 2019 à 18:46
« (France, Angleterre, Canada...) »
Ce qui est faux, comme d’habitude !
Le Canada est un État fédéral, tout comme ce que vous appelez à tort l’Angleterre qui s’appelle le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, constitué de quatre États.
Pour le Canada, le système de santé est géré au fédéré et non au fédéral.
Le problème des systèmes de santé canadiens, car il y en a plusieurs, est dû, en premier, à la surface territoriale à couvrir ; ce que ne ferait pas le privé, certainement pas d’aller couvrir des territoires amérindiens ou inuits.
Puis s'ajoute la pénurie de médecins et d’infirmières, car ils ont un système payant d’université cher, et qu’il y a très peu d’aide pour les plus pauvres.
Par l’intermédiaire du fédéral et des accords spéciaux entre la France et l’État fédéré du Québec, ils viennent piquer les médecins et les infirmières en France.
En fait, ils viennent piquer à peu près tout !
Ils font leur supermarché dans les autres pays, c’est du pillage de ressources.
C’est le but d’un système payant, et cher, universitaire ; ils ne forment pas leur jeunesse, donc pas de dépenses publiques, et ils vont piquer aux autres pays leurs ingénieurs et docteurs en tout genre ; des pays, qui comme la France, ont dépensé des millions à former des personnes.
Ce qui à terme déclenche le racisme, car les populations locales n'ont pas accès à la formation, aux universités et elles voient débarquer des Français et d’autres.
Dans les États fédérés, ils ont des ordres professionnels pour presque tout qui empêchent les diplômés d’Europe d’exercer, car il faut y être inscrit et ces ordres sont souverains et détestent les diplômés étrangers.
La province (État fédéré) du Québec a d’énormes problèmes à cause, entre autres, de la réforme Barrette.
Dans les pays où le système de santé est privatisé, les pauvres n’y ont pas accès, donc plus de 60 % de la population, effectivement cela réduit les nombres de patients et la fluidité pour les plus riches.
Car sur votre principe idiot, constatons le continent africain, eux aussi ils ne trouvent pas de médecin, même avec MSF sur place !
Et selon vous c’est dû à un système de santé public ?!
Et à chaque fois sur tous les sujets, il faut que cela tourne autour de sa personne, il faut qu’il change le sujet du fil pour nous refourguer sa propagande libertarienne à deux balles...
Rédigé par : Elusen | 21 mai 2019 à 07:53
@ hameau dans les nuages | 20 mai 2019 à 09:25
Puisque vous insistez pour mentir à nouveau, en répercutant pour la seconde fois ce mensonge que j'ai déjà démenti, je le démens à nouveau.
Et je le ferai derechef, à chaque fois que ce sera nécessaire, pour démasquer les bandits intellectuels et politiques dans votre genre. Comptez sur moi.
Vous tentez de m'attribuer à nouveau des propos que j'aurais tenus ici il y a un ou deux siècles, selon lesquels, je cite, je vous aurais "reproché d'avoir des revenus assez conséquents pour vous diriger vers le privé pour être opéré".
C'est évidemment un mensonge, une calomnie et une tentative d'enfumage communiste.
Je ne vous ai jamais reproché une telle chose. Je vous ai reproché de hurler à l'encontre d'un libéralisme dans le système de santé qu'on aurait du mal à distinguer en France, tout en profitant, pour votre propre compte, des qualités d'un hôpital privé lorsqu'il s'agit de votre santé à vous.
Je vous ai reproché de prôner une chose, et de faire le contraire.
Je vous ai reproché de faire la promotion d'un système politique étatique et collectiviste qui ruine la France, et menace la santé des Français (vous n'êtes pas le seul à tomber malade dans ce pays, figurez-vous) ; tout en magouillant dans votre coin pour vous faire soigner dans le système libre, dès qu'il s'agit de votre petit nombril à vous. Reconnaissant ainsi sa valeur, bien supérieure à celle du système fonctionnarial.
Vous faites exactement comme les "élites" que vous passez votre temps à dénoncer, et qui chantent les vertus de l'école "publique" et "républicaine", tout en mettant leurs enfants dans les écoles privées les plus exclusives.
En d'autres termes, je vous reproche votre hypocrisie.
Et certainement pas votre "richesse", réelle ou supposée. (Il faudrait savoir : vous êtes pauvre, ou vous êtes riche ? choisissez votre rôle, une fois pour toutes.)
J'aurais bien du mal, puisque je loue tous les jours le président Macron d'être le "président des riches", contrairement aux ânes communistes dans votre genre qui voudraient bien qu'il soit le président des pauvres -- et par conséquent qu'il préside aux destinées d'un pays pauvre. Ce qui serait bien parti, si l'on suivait les préconisations des gens dans votre genre -- et celles des Gilets jaunes.
Vous dites : "Salauds de pauvres quoi... tu payes, tu payes pas, tu dois crever quand même..."
Oui. En effet. Je suis au regret de devoir vous l'apprendre. Vous devez "crever" quand même, que vous soyez riche ou pauvre, malgré notre Sainte Sécurité sociale que le monde ne nous envie pas. C'est notre sort à tous. Le communisme n'a pas supprimé la mort, contrairement à vos fantasmes. Il n'y a aucun droit de l'homme à ne pas mourir.
Et vous êtes effectivement, non pas un "salaud de pauvre", comme vous dites, mais un "salaud de communiste", qui est pauvre parce qu'il est communiste.
Être pauvre ne vous confère aucune vertu particulière, contrairement à la mythologie communiste, et contrairement à la posture grotesque des Gilets jaunes. Ce serait plutôt le contraire.
En revanche, si vous profitez de votre statut de pauvre (réel ou supposé) pour prôner le communisme, alors effectivement, vous êtes un "salaud de pauvre".
D'ailleurs, c'est vous qui vous êtes donné ce personnage larmoyant de pauvre, sur ce blog, depuis toujours. C'est vous qui le dites. Nous n'en savons rien. Tout le monde est anonyme, sur Internet. Si ça se trouve, vous vivez dans une aisance tout à fait correcte. Votre auto-promotion continuelle, à ce titre, va finir par devenir suspecte.
Et pour revenir à l'organisation de la médecine, vous bafouillez la chose suivante : "Un point sympa adressé à Giuseppe en lui suggérant que la privatisation aurait réglé ses problèmes de rendez-vous avec des spécialistes."
En effet. La privatisation aurait réglé ses problèmes de rendez-vous avec des spécialistes. Comme on le voit dans les pays qui ont un système de santé libre. Alors qu'on voit le contraire dans ceux qui ont un système de santé fonctionnarisé (France, Angleterre, Canada...).
Moi je ne donne pas dans le "sympa", Monsieur Hameau. Je donne dans le vrai et dans l'efficace. Le vrai n'est pas toujours "sympa". Il l'est même rarement. Mais si vous préférez la bisounourserie soixante-huitarde (agrémentée, à votre âge, de hargne et de coups de pied de l'âne), ne venez pas vous plaindre du résultat : vous l'avez sous le nez.
Il est vrai que des millions de Français, à en juger par le mouvement des Gilets jaunes, en sont encore à proclamer que puisque le socialisme ne marche pas, eh bien c'est qu'il faut encore plus de socialisme.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 20 mai 2019 à 18:46
@ hameau dans les nuages | 20 mai 2019 à 09:25
Septembre aussi, donc au total 8 mois… J'achète le gilet blanc, ou alors reste à peindre le jaune.
Que se passe-t-il ? Il me semble qu'il y a quelques années dans les 8/10 jours l'hôpital répondait présent…
Rédigé par : Giuseppe | 20 mai 2019 à 17:35
@ Giuseppe
J'aime toujours autant vous lire. Ravi des bonnes nouvelles de votre voisin (passez-lui mon chaleureux bonjour) et de la 4L. Quand à vous, surtout portez-vous pour le mieux. (Secondairement - si j'ose dire - mon humble avis: 3 heures de route pour gagner des semaines pour une IRM, si c’était pour moi, je dis oui :-))
Buvez un verre à ma santé s'il vous plaît. je sais que je peux compter sur vous.
Rédigé par : HOPE | 20 mai 2019 à 12:52
A cette question je n'ai pas de réponse, ou plutôt je n'ai pas de meilleure réponse que la vôtre...
Mais, et puisque je lis les autres contributeurs, qui par associations d'idées arrivent au compteur Linky ou à l'IRM, je me suis laissée aller à mes propres divagations.
Ainsi, je constate que l'état d'égarement est grand, et même incommensurable...
Quel est ce monde qui s'ouvre devant nous comme un gouffre noir et profond ? Ce n'est pas Charybde, ce n'est pas Scylla...
Je m'interroge et conjecture. Les réponses se font rares, et la raison déraille.
Doit-on se laisser aller à la facilité ? Doit-on plaire ? Doit-on rechercher la convention ? Doit-on se soumettre ? Doit-on subjuguer ? Et la révolte, dans tout ça ?
Enfin, dois-je m'en tamponner le coquillard ?
Voilà, telle est ma question, ce n'est plus : Être ou ne pas être ?
Ceci me conduit à dire sans autre forme de procès, que lorsque l'ensemble que forment les hommes dira ce qui motive réellement son action, un grand pas sera fait, et ce sera un grand pas pour l'humanité...
J'attends avec une impatience non dissimulée l'avènement ! Pour l'instant, je lis qu'une mère peut réclamer l'enferment de son enfant dans un corps qui est une prison, que le bien réside essentiellement dans « avoir », que l'autre n'est rien, que moi est tout, que le désespoir est vrai, et que la surprise qu'il suscite est feinte !
Rédigé par : duvent | 20 mai 2019 à 10:58
@ Robert Marchenoir | 20 mai 2019 à 05:17
Il vous faut 3 pages avec 30 paragraphes de 119 lignes pour ne rien dire !
Oh si, en fait, ce que nous dit votre frénésie de 1 246 mots et votre problème avec la taille, c’est que vous avez été suffisamment sot et vaniteux !
Chez vous, il y a la poutre, l’arbre et le Tronc !
Et pour qui sait attendre, bientôt : Georges... le va-nu-pieds.
Rédigé par : Elusen | 20 mai 2019 à 09:27
@ Robert Marchenoir | 20 mai 2019 à 05:17
https://www.youtube.com/watch?v=617qTz9c6kE
J'ai du travail. Il faut encore que je gagne ma croûte.
Ah si, vite fait quand même, un point sympa adressé à Giuseppe en lui suggérant que la privatisation aurait réglé ses problèmes de rendez-vous avec des spécialistes alors que vous me reprochiez d'avoir des revenus assez conséquents pour me diriger vers le privé pour être opéré ! Salauds de pauvres quoi... tu payes, tu payes pas, tu dois crever quand même... Pour mon épouse qui a des grains de beauté pouvant devenir méchants, le rendez-vous est pour septembre.
Ne touchez à rien. Vous êtes parfait dans votre rôle.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 20 mai 2019 à 09:25
@ Julien WEINZAEPFLEN | 20 mai 2019 à 05:12
En fait le pays se gargarise de mots : le modèle de santé que la terre entière nous envie, la santé pour tous, la cinquième puissance du monde etc. Un reportage sur la santé en Finlande, je crois me souvenir, avait montré combien ce pays était opérationnel.
Au lieu de faire la leçon, nous ferions mieux de les appliquer toutes ces leçons de maintien dont le monde entier est jaloux.
Quant au prix à payer pour obtenir un minimum syndical, il est indigne des sommes consacrées, et je ne parle pas des gaspillages qui pourraient être utilisés.
En fait l'idéal aujourd'hui serait de mourir en bonne santé, tant l'offre dite de santé semble être à la dérive.
Je pense que l'on n'est pas si loin d'un mouvement de Gilets blancs, il n'est plus possible de dépenser et d'être prélevé autant pour obtenir si peu.
Rédigé par : Giuseppe | 20 mai 2019 à 08:51
@ hameau dans les nuages | 19 mai 2019 à 22:11
"Toujours votre habitude de jouer sur les mots pour in fine avoir raison."
Non, c'est vous qui jouez sur les mots et qui ne comprenez rien à rien. D'ailleurs, vous remettez ça, à grands coups de phrases qui ne veulent rien dire, et d'attaques personnelles m'attribuant (ainsi qu'aux lecteurs de ce blog) des pensées tout droit sorties de votre imagination.
Vous avez été suffisamment sot et vaniteux pour vous enferrer dans les grandes largeurs sur les disjoncteurs différentiels, maintenant vous nous remettez ça sur les compteurs Linky.
Donc, pas pour votre bénéfice parce que les têtes de bois dans votre genre resteront étanches à jamais, mais pour ceux que vos imbécillités alarmistes auraient pu inutilement angoisser, comme s'il n'y avait pas suffisamment de motifs d'inquiétude véritables pour certaines personnes qui ne roulent pas sur l'or :
Le problème du compteur Linky n'est pas qu'il permette des changements de tarif intempestifs, et surtout subreptices et forcés. Ces changements ont déjà lieu dans le cas du tarif réglementé d'EDF, qui est décidé arbitrairement par l'Etat. Il y a même eu des augmentations rétrospectives.
L'Etat vous avait dit que l'électricité coûtait 100 le kWh l'année x, et l'année x + 2, l'Etat décide, longtemps après que vous avez payé vos factures : ah ben non, finalement on va dire qu'entre janvier et juin de l'année x, ça coûtait 110. Et on va récupérer le rabiot sur vos factures futures, puisque je me trompe, ou vous avez toujours besoin d'électricité ? Alors par ici la monnaie, et plus vite que ça.
Ça, c'est l'arbitraire de l'Etat communiste français, et celui-là il n'y a nullement besoin de compteurs électroniques perfectionnés pour le mettre en oeuvre.
Cet arbitraire-là, que vous ayez un compteur Linky ou un compteur communiste 1936 à vapeur, vous pouvez y échapper en laissant tomber EDF pour un gentil fournisseur capitaliste ultra-libéral, qui vous proposera un prix de marché.
Ce prix sera annoncé à l'avance, et contrairement au prix de l'Etat communiste français, le fournisseur s'y engage pour la durée du contrat. Evidemment, il peut augmenter ses prix à l'issue du contrat (comme un fournisseur téléphonique), mais vous, vous avez la possibilité de résilier. Et de passer à un autre gentil fournisseur ultra-libéral. Voire de revenir à l'Etat craspouille et communiste avec son tarif "réglementé", si ça vous chante.
Malheureusement, les économies possibles sont pour l'instant limitées, mais enfin c'est toujours ça.
Le compteur Linky, lui, présente tout un tas d'avantages pour l'abonné, le premier étant le relevé à distance. Envoyer des esclaves relever des compteurs à la main en 2019, avec présence obligatoire du cochon de payant sur place, c'est un truc de pays arriéré.
L'autre avantage, c'est que techniquement, le Linky pourrait permettre à tout un chacun de suivre instantanément sa consommation, et même celle de tel ou tel appareil. Et donc de faire de substantielles économies.
Il est même trivial (sur le papier) de relier un tel compteur à votre ordinateur ou à votre téléphone, et de suivre votre consommation à l'aide d'un logiciel.
Malheureusement, l'Etat françoué étant ce qu'il est (fort et stratège), il est vraisemblable que ces progrès techniques réels ne seront pas accessibles aux utilisateurs. Alors qu'ils l'auraient été, si la diffusion et la pose du compteur électronique avaient été ouvertes à des entreprises privées en concurrence entre elles.
En revanche, l'inconvénient du Linky, c'est qu'étant commandé par l'Etat fort et stratège (et communiste), il coûte la peau du dos. Et qu'en plus, il est obligatoire. Donc même si on vous ne le fera pas payer ostensiblement, son prix se retrouvera d'une manière ou d'une autre dans votre facture, voire vos impôts.
De plus, le compteur Linky permet théoriquement d'espionner la consommation de tout un chacun de façon assez fine, donc de savoir s'il est chez lui, à quelle heure il part bosser, combien de personnes habitent dans sa maison, et ainsi de suite.
Et cette possibilité-là, il y a, hélas, pas mal de chances qu'elle soit utilisée. De même que les services Internet auxquels vous vous connectez en savent plus long sur vous que vous-même.
Enfin, ce bazar étant ni plus ni moins qu'un ordinateur qui parle avec d'autres, il est évidemment piratable, et il le sera probablement.
Je passe sur sa couleur, qui est un crime contre l'humanité.
Quant aux salades que vous nous racontez sur le prix de l'électricité, vous n'y avez rien compris non plus. Il y a une chose qui est certaine, c'est qu'en France, il va sans doute augmenter fortement, parce qu'actuellement, il est trop bas.
L'Etat communiste que vous adorez tant aime construire, mais il n'aime pas entretenir. Par conséquent, l'entretien des centrales nucléaires n'est pas provisionné, et donc il va nous arriver dans la figure avec la force d'un semi-remorque conduit par Eric Drouet. Sans compter les sottises d'énergie "renouvelable" qui font exploser le prix de l'électricité.
Quant au "cours" de l'électricité qui varierait instantanément, là encore vous répétez comme un âne sans rien comprendre. Comme j'ai eu l'honneur de vous le dire, il n'y a pas de cours mondial de l'électricité, pour la bonne et simple raison que l'électricité n'est pas transportable, sinon sur courte distance.
Contrairement au pétrole, vous ne pouvez pas mettre un mégawatt-heure d'électricité dans un baril à Vladivostok, charger le baril sur un bateau, et récupérer un mégawatt-heure d'électricité au Havre.
Il y a bien une interconnexion internationale des réseaux, mais sur courte distance. Comme l'électricité ne se stocke pas, il y a des compensations instantanées et incessantes qui se font. D'une heure à l'autre, un pays peut cesser d'être exportateur, pour devenir importateur.
Dans ce cadre, il est effectivement très possible qu'un système de prix soit utilisé. Il peut donc y avoir, à ce niveau et dans ces limites, un "cours" de l'électricité. Cela n'a évidemment rien à voir avec le prix facturé au consommateur, et encore moins avec la fréquence et l'ampleur des changements au point de distribution.
Ce "cours"-là, vous ne l'avez jamais vu et vous ne le verrez jamais, pas plus que vous n'avez vu, de votre vie, la tronche d'un droit de tirage spécial, ou d'autres unités de compte utilisées sur des marchés de gros, spéculatifs, instantanés, qui servent justement à assurer la continuité de l'approvisionnement au consommateur, et la stabilité des prix payés par ce dernier.
La pose des Linky ne changera strictement rien à cet état de fait. Ce qu'elle apportera, ce sont de nouvelles possibilités de tarifs modulés selon les voeux des consommateurs, puisque la souplesse à cet égard est infinie.
Cela est une bonne chose pour l'usager, et non pas une mauvaise. Il aura davantage de choix, surtout si la concurrence, comme c'est à espérer, augmente parmi les fournisseurs.
De même que 100 % des consommateurs sont ravis de pouvoir choisir, aujourd'hui, pour l'avion, le train, les services de communication et bien d'autres, entre une multitude de formules qui leur permettent d'en avoir plus pour moins cher. Et qu'ils ne reviendraient pour rien au monde à l'ère des PTT, où c'était un tarif pour tout le monde, et si t'es pas content c'est le même prix.
Et d'ailleurs, c'est marqué dans le Code des PTT -- oui Monsieur, à l'époque les PTT avaient même leurs lois à eux, pas question d'être régis par le droit commercial de l'épicerie Sanzot.
Vous, vous nous suggérez que refuser la pose des compteurs Linky, c'est empêcher l'augmentation du prix de l'électricité. Nous sommes revenus aux superstitions moyenâgeuses. Bientôt, on va recommencer à tuer des Juifs parce qu'ils représentent le diable. Ah ! mais suis-je bête, c'est déjà commencé.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 20 mai 2019 à 05:17
Ben oui, Giuseppe ! Vous avez vécu en petit (trois mois d'attente pour une IRM) ce qu'en qualité d'accompagnateur de mon ex-compagne non-voyante perdant l'usage de ses jambes, j'ai vécu en grand: le même délai d'attente pour une IRM contourné par les mêmes moyens que les vôtres, puis une attente similaire pour la prise en charge par un neuro-chirurgien local qui, finalement, décide de ne pas l'opérer et de la rapatrier chez nous où elle chute à peine arrivée, puis refus par ce même neuro-chirurgien de la réhospitaliser en attendant de trouver une solution, d'où la réexpédition à notre domicile, sous les yeux impuissants, médusés et où les larmes n'étaient pas loin de couler, de cinq cadres de santé de la clinique où officiait ce neuro-chirurgien, d'autant plus honteux de ce qu'ils faisaient que les infirmières à domicile que nous avions trouvées avec difficulté les avaient prévenus par téléphone qu'ils n'interviendraient plus, car c'était un cas trop lourd, et tant pis si elle ne pouvait plus se lever, même pour faire ses besoins: la ressource était, nous disaient-ils, de faire croire à une autre chute et de tenter de la faire admettre aux urgences de l'hôpital civil où on l'avait une première fois refoulée en l'enjoignant d'aller consulter un neurologue en ville. Refus de relations anciennes de Lariboisière et de la Salpêtrière de faire jouer leurs relations médicales malgré de bons rapports entre nous, jamais démentis. Passage par deux hôpitaux de deux villes différentes pour finalement obtenir une opération dans l'hôpital civil de la préfecture du département. Trois mois de soins au centre de réadaptation de notre ville, qui avait d'abord refusé de prendre en charge mon amie parce qu'elle n'était pas prête, n'étant pas soignée, à promettre qu'elle consacrerait deux heures par jour à une rééducation active. Refus de la directrice de ce centre d'entendre mon objection que c'était à son centre de réadaptation fonctionnelle de prendre aussi en compte la dépression consécutive à la survenue d'un handicap supplémentaire. Et j'en passe.
Ce fut le combat de ma vie, en grande partie perdu. Depuis, j'essaie de survivre, j'ai pardonné aux amis qui m'ont manqué alors et se sont excusés depuis, mais je n'oublierai jamais toutes ces péripéties. Je n'imaginais pas voir ça de mon vivant et je suis un anti-macroniste primaire, car il incarne pour moi cette déshumanisation qu'il "assume", même si elle a commencé bien avant lui.
Rédigé par : Julien WEINZAEPFLEN | 20 mai 2019 à 05:12
@ Robert Marchenoir | 19 mai 2019 à 17:43
Toujours votre habitude de jouer sur les mots pour in fine avoir raison. L'électricité est une énergie. Et ce sont les cours des énergies dont notamment l'Apex pour l'Europe qui vont évoluer à la hausse. Les taxes étant en sus, merci pour le renseignement.
Je cite:
"Il faut noter que l'électricité est un produit au cours beaucoup plus volatile que la plupart des autres produits, comme par exemple l'or ou les devises. En effet, l'électricité ne se stocke pas (ou difficilement), et son cours peut même devenir négatif. Ainsi, si la production excède la demande, le prix de l'électricité peut s'effondrer. Dans le cas contraire, le prix peut augmenter considérablement. Le cours de l'électricité peut donc extrêmement varier d'un jour à l'autre, et même d'une heure à l'autre."
Or en France près de neuf centrales nucléaires sont à déconstruire.
Vous semblez satisfait que les commentaires qui vous sont adressés soient à la baisse et vous en tirez la conclusion que les gens se rendent à vos raisons. Or pas du tout ils laissent tout simplement pisser le mérinos et renoncent à se pencher sur votre brouet. Et pourtant j'adore la garbure et faire chabrot.
Votre ego surdimensionné est satisfait à moins que ce soit votre folie. Vous me faites penser à Toto qui à l'asile promène sa brosse à dents au bout d'une laisse. Les personnes rencontrées lui adressent des félicitations pour son chien bien soigné sans chercher à le contrarier. "Mais vous ne voyez pas que c'est une brosse à dents !" et lui de s'éloigner... "on les a bien eus Médor"...
Bons baisers de Poutine...
Rédigé par : hameau dans les nuages | 19 mai 2019 à 22:11
@ Robert Marchenoir | 19 mai 2019 à 17:43
Bob - je me permets -, j'allais écrire que vous m'aviez mal lu, parfois votre engagement vous aveugle et vous fait voir rouge (je le laisse, c'est venu tout seul).
C'est l'effet de masse qui va faire baisser les prix, les mouvements de sac et de ressac.
J'étais dans le milieu le plus concurrentiel qui soit, à une époque 95 % des affaires étudiées étaient perdues.
La bataille pour la conquête de marchés était féroce surtout dans les années qui précédèrent le rebond des années 2000.
Mais là est une autre histoire.
C'était pour répondre à cette remarque:
"Ah. Voilà que vous découvrez les vertus de la concurrence, petit à petit. Bien sûr qu'il faut changer de fournisseur."
Ensuite vous avez parfois un peu raison, même si la déraison vous habite à l'occasion - je vous lis souvent, ma grand-mère disait parfois qu'on apprenait même du simple d'esprit.
"Bon, je vous "rassure", pour l'instant, la concurrence entre fournisseurs d'électricité est très limitée en France. Et très artificielle. Il ne tient qu'à vous de la faire progresser, en militant en faveur du libéralisme."
Là je voudrais nuancer votre propos. Changer de fournisseur pour un foyer est de l'ordre de 100 € à l'année (pour le gaz par exemple), parfois un peu plus, mais là il faut être attentif comme si vous étiez sur Boursorama, cela demande de la constance et une vigilance aiguë si vous ne voulez pas perdre le prix d'un bénéfice acquis. Ce n'est pas aussi simple qu'il y paraît, l'origine du produit est captive et chaque fournisseur est aussi là pour vous rouler dans la farine.
"Enquiquiner", vous n'avez pas approfondi Bob, je ne vais pas vous faire un dessin non plus, la sonorité et le début du mot auraient dû vous éviter cette remarque, je suis un garçon bien élevé.
"C'est marrant comme le premier réflexe, en France, semble être de faire du mal aux autres, au lieu de se faire du bien à soi."
Bob - je me permets -, une nouvelle fois vous avez manqué de finesse, le verbe vous emporte aussi parfois, trop souvent peut-être ? Le bien à soi, quand le temps commence à courir plus vite que vous, c'est du tacite, reste plus qu'à se pencher sur tout le reste.
Bob - je me permets -, je vous invite à participer à une négociation sur le chemisage de colonnes montantes dans des ensembles immobiliers sans destruction. Vous devriez beaucoup apprendre, par contre à la fin les repas devraient être pour moi à l'estaminet de votre choix, on dit aussi qu'à la fin de l'envoi celui qui touche, paye...
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@ HOPE | 19 mai 2019 à 14:44
Non, non je vous l'assure, les rendez-vous proposés sont pour première semaine ou deuxième du mois d'août.
Quant à la clinique de la région voisine paloise, j'ai laissé tomber, sans réponse et abandonné au bout du fil à deux reprises.
Ce qui m'a laissé interloqué et furieux, est que les médecins de la personne accompagnée n'ont même pas proposé de s'en charger depuis leur secrétariat… J' y pense encore. Fatigués étaient-ils ?
En dernier ressort il me restait la région toulousaine, même en négligeant le bolide de mon voisin et en utilisant le mien, trois heures aller-retour, était-ce bien raisonnable ? Je m'interroge toujours.
Je profite de la mi-temps du match de rugby, moment d'apaisement, pour bien sûr vous saluer avec mon voisin et sa 4L toujours aussi vaillante ; ainsi que mon autre voisin et son Partner qui pour l'occasion vous salue aussi du haut de ses vingt ans et 300 000 km "sans une goutte d'huile" tient-il à vous dire.
La fin de saison du rugby approche, le dénouement est crucial et tendu, mais là dans la bonne humeur et que du bonheur, Picpoul de Pinet frais pour les uns et ce qu'ils veulent pour les autres... Mais on m'appelle, et là c'est sans délai.
Rédigé par : Giuseppe | 19 mai 2019 à 21:30
@ Giuseppe | 19 mai 2019 à 11:52
"Si tout le monde fait pareil en changeant régulièrement d'abonnement, cela va les enquiquiner, ils n'aiment pas trop l'instabilité."
Ah. Voilà que vous découvrez les vertus de la concurrence, petit à petit. Bien sûr qu'il faut changer de fournisseur. Et non, ce n'est pas pour les enquiquiner, c'est pour mieux défendre vos intérêts. Pour faire baisser les prix, et améliorer le service, en faisant jouer le marché.
C'est marrant comme le premier réflexe, en France, semble être de faire du mal aux autres, au lieu de se faire du bien à soi.
Bon, je vous "rassure", pour l'instant, la concurrence entre fournisseurs d'électricité est très limitée en France. Et très artificielle. Il ne tient qu'à vous de la faire progresser, en militant en faveur du libéralisme.
A moins que vous ne préfériez les délicieux effets du communisme. Ceux-là, vous les avez depuis toujours, avec EDF, et d'autres bastions de la même corporation politique. A vous de choisir.
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@ hameau dans les nuages | 19 mai 2019 à 10:08
"Sans rentrer dans le délire des ondes électromagnétiques j'en ai appris une belle lors d'une émission de TV [...]. Ce compteur 'vert' est très intelligent à un point que l'on ne soupçonnait pas. [...] Il reflète notre consommation heure par heure, jour par jour en oubliant de préciser que de l'autre côté il appliquera dans les mêmes délais le cours mondial du prix de l'électricité."
Décidément, l'électricité et vous... Vous racontez n'importe quoi. Vous êtes l'électeur idéal. Je veux dire : selon les désirs de Georges Frêche. Je vous laisse retrouver les propos où il s'est exprimé à cet égard.
Votre compteur électromécanique fabriqué en 1928, et homologué en 1936 par les glorieux ouvriers du Parti communiste, reflète déjà votre consommation "heure par heure, et jour par jour", bien entendu. Et même seconde par seconde, si vous tenez à tout savoir.
Il n'y a pas besoin de compteur spécial pour "appliquer heure par heure les cours mondiaux de l'électricité" (il n'y a pas de cours mondial de l'électricité, pour la bonne raison que l'électricité ne se transporte pas).
Si l'Etat veut changer ses tarifs tous les quinze jours, il peut le faire. D'ailleurs, il le fait déjà. Regardez votre facture. Il lui suffit de faire sa petite cuisine dans l'administration, au Conseil d'Etat ou que sais-je encore, et hop ! il recalcule ce que vous lui devez, et rétrospectivement, encore.
Et "les cours mondiaux de l'électricité" (qui n'existent pas) n'ont pas grand'chose à voir avec ça. En revanche, les taxes ont tout à y voir. Le cours français de l'électricité est largement composé de taxes. Comme il se doit en pays communiste. Voulez-vous le communisme, ou voulez-vous le libéralisme ? Il va falloir choisir.
Explications sur le prix de l'électricité ici.
Comment changer de fournisseur ici (c'est un site communiste, ça devrait vous faire plaisir : c'est le site de l'Etat).
Rédigé par : Robert Marchenoir | 19 mai 2019 à 17:43
@ Robert Marchenoir | 19 mai 2019 à 09:41
Bob - je me permets -, vous avez en partie raison. Pour la sécu si vous ne prenez pas les cotisations de façon autoritaire, une grande partie des citoyens ne fera pas l'effort et donc au bout de la vie vous retrouverez un monde sans protection sociale qu'il faudra bien soigner et assumer avec nos impôts.
Au bout de ma marche commando du téléphone - 15 kg sur le dos, 8 km en moins d'une heure, et en tenue de combat SVP, si vous vouliez une permission depuis Verdun.
Pour moi montagnard-skieur-cycliste dilettante aujourd'hui et très amateur, ex-prétendant au CREPS, une promenade de santé par rapport à ma recherche téléphonique pour une IRM.
Une clinique privée a répondu par retour de courriel (toujours moi le pékin de service), si le délai était toujours aussi long c'est que l'efficacité absorbait la nullité des autres et sa salle d'attente devait être bondée.
J'avoue misérablement pour raccourcir les délais avoir usé de mes relations. Michel Onfray l'avait fait, lors de son AVC, avec Thierry Ardisson, en répétant qu'il était anormal que nous les champions olympiques du soin et du prélèvement nous devions concourir à un saut d'obstacle pour arriver au bout. Nous les plus beaux, lesmeilleursquelemondeentiernousenviepournotrequalitédesoins… Il suffit de le dire.
De la folie douce d'appeler nous-mêmes les centres susceptibles de nous recevoir, et dire que nous nous gargarisons urbi et orbi de notre système de santé. Nous ne sommes que des hâbleurs.
Un reportage récent sur la Finlande et leur savoir-faire m'avait alerté, mais là c'est du vécu.
Je serai désormais Gilet blanc patient attentif. Je verrai plus tard le résultat de cette marche commando, je l'ai faite en moins d'une heure de mon côté.
En plus des cotisations de base pour la sécu, si on s'intéressait de plus près aux mutuelles qui coûtent les yeux de la tête et à leur patrimoine immobilier, non ? Où passent donc tout notre argent, tous nos prélèvements, toutes nos écoles, tout ce dont on dit qu'on est les meilleurs ?
J'aurais soumis un tel parcours à un de nos clients promoteur investisseur, il nous aurait réduits au chômage, laminés, écrabouillés, sans état d'âme.
Je n'oublierai pas les paroles de l'un d'eux, "les décomptes se passeront d'autant mieux que vous m'aurez livré dans les délais et conforme, ce pour quoi d'ailleurs je vous paye". Il a été livré dans les délais et sans réserve… Ce n'était que du vulgaire béton.
La colère n'est toujours pas retombée.
Quand je regarde le prix de cet appareil IRM et en miroir les gaspillages stratosphériques de nos élus, je me dis qu'il y a quelques coups de pieds au c*l qui se perdent… Pour même pas le prix d'un rond-point et là nous sommes champions du monde.
"Contre des auditeurs majoritairement hostiles au président de la République et favorables aux Gilets jaunes - voire Gilets jaunes eux-mêmes -, tenter d'instiller, s'il le faut, une contradiction, des infléchissements, de la mesure. Je n'ai jamais été dérangé par le fait d'être minoritaire, encore moins face à de sympathiques antagonismes." (PB)
Maintenant et sous peu notre hôte va pouvoir écouter les Gilets blancs patients, dont le courroux contenu ne va faire que s'amplifier, une salle d'attente transpirait cette grogne contenue, mais pour combien de temps encore ?
Rédigé par : Giuseppe | 19 mai 2019 à 14:57
@ Giuseppe
Je ne comprends pas. Trois mois pour une IRM ? Cela ne vaut-il pas la peine de se déplacer dans une grande ville ? Les délais y sont beaucoup plus courts. Moins de dix JOURS à Paris pour une IRM ! (Vous venez avec la 4L conduite par votre voisin. J’espère qu'ils vont bien tous les deux :-))
Rédigé par : HOPE | 19 mai 2019 à 14:44
@ Philippe Bilger
J'étais d'abord partie pour penser que vous pouviez faire ce qui vous paraissait juste et que votre réputation d'honnête homme prévalait contre les insinuations habituelles prodiguées par la bien-pensance en fonction des chapelles au sein desquelles vous vous exprimez. Mais voilà, il y a cette photo qui ne m'attire vraiment pas, et à laquelle j'avais donc prêté peu d'attention jusqu'à ce que sbriglia la commente.
Si le choix de ce cliché vient de Pascale (Madame Bilger), peut-être ne devriez-vous pas sous-estimer le message, intentionnel ou pas, car elle voit les choses à la fois de l'intérieur et de l'extérieur, étant de votre côté, mais plus spectatrice qu'actrice, donc plus détachée. On se demande alors : et si Sud Radio tirait plus avantage que vous de cette collaboration ? Si en y intervenant durablement vous rehaussiez la station de votre présence à votre propre détriment ?
Je ne peux juger de la qualité de Sud Radio ni de ses animateurs, ne l'écoutant pas et n'en ayant entendu parler que par vous. Mais si la question se pose, elle est à considérer. Vos protestations portent bien davantage sur la défense de Sud Radio que sur celle de votre intérêt. Ce n'est pas une question de morale, personne ne met votre sincérité en doute. C'est du soin de votre réputation dont il s'agit.
Rédigé par : Lucile | 19 mai 2019 à 14:17
@ breizmabro | 18 mai 2019 à 12:39
A propos de Minitel, anecdote : le fils d'amis américains, que j'avais connu gamin, alors étudiant au MIT, à l'occasion d'un de mes séjours parisiens, est venu de Boston pour voir mon Minitel, il voulait se lancer dans ce domaine et l'a fait d'ailleurs par la suite, c'était bien avant le PC.
Nous avons des vendeurs tellement minables comme en témoigne notre déficit légendaire à l'exportation que les clients potentiels sont obligés de venir en France pour les admirer, ce fut le cas du Minitel, de l'Alouette, de la Caravelle, de la technologie sous marine… sans compter la gastronomie et l'élégance féminine.
Rédigé par : Claude Luçon | 19 mai 2019 à 14:15
@ hameau dans les nuages | 19 mai 2019 à 10:08
J'ai même appelé une célèbre clinique de votre département à deux reprises, la première fois sans réponse j'ai raccroché, lassé, la deuxième fois (ce n'est pas le médecin qui s'en charge !), la standardiste a fait un transfert vers le service… J'attends toujours, j'aurais séché au bout du fil ; une fois de plus j'ai raccroché.
Quant aux compteurs verts, toujours la même histoire, on veut vous apprendre à vivre pauvre, vous prodiguant des conseils pour diminuer vos consommations et eux in fine vous augmentent les tarifs de vos efforts et un peu plus subrepticement. Le citoyen paye, souvent fataliste, ou ne regarde que le coût en ayant oublié qu'il avait serré la ceinture.
J'ai installé des diffuseurs, des chasses double action, j'en passe et des meilleurs… L'eau est un bien précieux qu'ils disent, j'ai réduit en deux années ma consommation de 10% ce qui n'a pas empêché ces emp* de me voler 14% de plus.
Pour l'essence c'est pareil, tous ces fournisseurs vivent grassement de nos efforts, désormais quand on me dit de les faire, qu'ils aillent se faire voir, nous n'avons pas la maîtrise des tarifs mais eux ils ont les mains dans nos poches. Là je donne raison aux Gilets jaunes à qui on avait amputé ainsi jusqu'à plus soif le pouvoir d'achat, insidieusement ; mais eux comptent les centimes et ce qui devait arriver arriva, et c'est tant mieux.
Assez de nous raconter des salades et de nous prendre pour des imbéciles…
Je suis très remonté et je ne me plains pas de mon sort.
Des chaudières à condensation qui condensent une misère, que vous n'amortissez jamais, des panneaux solaires pour bobos-écolos qui coûtent la peau des fesses et qui vous endettent jusqu'à plus soif pour peu que les aides vous échappent.
Là je suis vraiment, vraiment en colère, et comme je sens toujours la main dans la poche de mon fournisseur d'électricité, 5,9 % à venir, je vais faire tourner, c'est facile cela ne rapportera pas gros mais si tout le monde fait pareil en changeant régulièrement d'abonnement, cela va les enquiquiner, ils n'aiment pas trop l'instabilité.
Rédigé par : Giuseppe | 19 mai 2019 à 11:52
@ Xavier NEBOUT | 19 mai 2019 à 10:04
«Sud Radio respire évidemment davantage la liberté que la station d'Etat Radio-Moscou...»
Il n’y a rien d’objectif dans votre propos, c’est uniquement de l’intoxication.
À quoi peut bien servir votre intervention propagandiste ?
Par principe une entreprise privée ne peut pas représenter la liberté, puisque son unique but est commercial, c’est d’obtenir des bénéfices, d’engranger de l’argent, de vendre des espaces publicitaires pour rémunérer à terme les actionnaires.
De plus des personnes qui sont sous un contrat de travail, rémunérées, donc une contrainte, ne peuvent, non plus, être libres.
La liberté n’est pas un bien de consommation, pas plus qu’économique !
Rédigé par : Elusen | 19 mai 2019 à 11:36
Mais...
Il y a le bonheur qui vient d'en bas et celui qui vient d'en haut.
Il y a le rire du repas entre copains, et le sourire de l’Ermite qui n'a qu'une croix pour compagnon.
L'un reste sur terre, l'autre s'emporte avec son âme.
Le problème n'est pas l'excuse des autres, mais celle de soi-même.
Combien il est doux de se laisser tirer vers le bas, combien cela distrait des culpabilités.
Mais cela laisse au fond de soi la pire, celle de s'être éloigné de soi-même, de même que certains se laissent griser par la gloire extérieure au détriment de la gloire intérieure.
Les vrais amis sont les emm**deurs qui tirent vers le haut, plus haut qu'eux mêmes. Ceux qui se posent en complices du temps ne sont à leur corps défendant que les instruments du Diable - celui qui sépare l'homme de son âme.
Eclairer son prochain, un proche ou un peuple, cela se fait par la lumière intérieure, pas par les feux de la rampe.
C'était tout le sens du scoutisme, et c'est pourquoi tant se sont fait moines ou prêtres.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 19 mai 2019 à 10:54
@ Giuseppe | 18 mai 2019 à 22:29
Bienvenue au club.
Par contre ils sont prêts à rentrer par effraction chez vous pour changer votre compteur.
Sans rentrer dans le délire des ondes électromagnétiques j'en ai appris une belle lors d'une émission de TV ou ne siégeait ( j'allais dire singeait) aucun écolo. Ce compteur "vert" est très intelligent à un point que l'on ne soupçonnait pas. Pendant que l'on nous agitait sous les yeux avec force courriers ses bienfaits, on oubliait de nous préciser un autre aspect de son génie. Comme un miroir sans tain, il reflète notre consommation heure par heure, jour par jour en oubliant de préciser que de l'autre côté il appliquera dans les mêmes délais le cours mondial du prix de l'électricité.
Vous êtes censés faire des économies en régulant vos appareils électriques pendant que de l'autre côté ils appliqueront les tarifs sur lesquels il n'y a aucune emprise. Or selon l'économiste qui était présent, le prix de l'énergie risque assez vite de quadrupler.
Silence sur le plateau et changement de sujet.
Ajoutez-y une banque, verte elle aussi, qui me menace malgré mon faible capital gagné à la sueur de nos fronts, de bloquer le compte car retirant trop d'argent en liquide alors que sa traçabilité est exemplaire...
La vie en autarcie va avoir pour les sans-dents de beaux jours devant elle.
On va vivre une époque formidable.
Rédigé par : hameau dans les nuages | 19 mai 2019 à 10:08
Sud Radio respire évidemment davantage la liberté que la station d'Etat Radio-Moscou comme disait JMLP avec le pire de ce qui peut se faire en matière d'hypocrisie qui est "l'esprit d'ouverture".
Cependant, pour vous y avoir entendu de temps en temps, j'ai pressenti que vous n'y étiez parfois pas à votre place - parfois ne signifie pas tout le temps, mais c'est de trop.
Or, au vu du talent dont vous faites preuve lorsque vous taillez des costumes, je disais que si vous y consacriez plus de votre temps, vous seriez rapidement l'un des auteurs les plus lus, sinon le plus lu, le plus redouté et le plus écouté du monde des médias, avec le poids politique qui s'ensuivrait.
Bref, ce que tous ceux qui vous aiment bien voudraient pour vous.
Donc, je disais que vous gaspillez votre talent.
Par contre, vous y avez peut-être une bande de bons copains, et les occasions d'en avoir sont suffisamment rares pour ne pas s'en priver.
Et comme disait le sage, le premier devoir de l'homme, c'est d'être heureux.
Alors, soyez heureux, cher Monsieur Bilger, et excusez les emm**deurs qui voudraient l'être à votre place.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 19 mai 2019 à 10:04
@ Giuseppe | 18 mai 2019 à 22:29
"Attente... béquilles... parcours du combattant... Vouloir nous faire croire que notre système de soins serait champion du monde… c'est une plaisanterie !?"
Parce que vous aviez encore des illusions à ce sujet ? Vous avez cru sur parole Natacha Polony, Jacques Généreux et Nicolas Dupont-Aignan ? Donc nous sommes bien d'accord : privatisation de la Sécurité sociale, et privatisation des hôpitaux. Okay ?
Bon, je veux bien vous concéder un geste : on garde la Sécu, mais on la met en concurrence avec le privé à partir du premier euro. Ça joue ? (Je suis tranquille, ça revient à peu près au même.)
Naturellement, le corollaire, c'est : suppression des cotisations de Sécu prélevées à la source, et versement du salaire complet sans retenues. On est toujours d'accord ? (*)
______
(*) Pour vous donner une idée, votre salaire augmenterait du jour au lendemain de 33 % à 73 %. Ça vous va ?
Rédigé par : Robert Marchenoir | 19 mai 2019 à 09:41
Hier 27e samedi Gilets jaunes et bien sûr BFM, CNews et LCI étaient sur place pour nous faire partager la manif du samedi qui est devenue un rituel.
A noter que Sud Radio ne va pas sur le terrain. Elle préfère commenter les événements depuis ses studios climatisés.
Et bien sûr les figures du mouvement étaient sous les feux de la rampe. Cela fait six mois que ça dure et il se trouve toujours un journaliste, ou présumé tel, assez stupide pour interviewer ce genre de guignols, entretenant ainsi la fête aux neuneus !
Si les manifestants mettaient autant de zèle dans leur boulot qu’ils en mettent dans les manifs, la balance commerciale de la France serait en excédent.
Rédigé par : Achille | 19 mai 2019 à 08:39
Cher Philippe,
D'abord vous n'avez de comptes à rendre à personne. Je vous remercie néanmoins d'avoir condensé les critiques de vos commentateurs dans cette expression: nous craignons que vous "dilapidiez votre talent". Pour ma part, je regrette que vous gaspilliez vos aptitudes exceptionnelles de maïeuticien hors pair (cf. votre chaîne YouTube) dans la posture réactionnelle d'un invité permanent qui écoute et n'interrompt pas, un interviewer qui ne le vaut pas, dont il est l'assistant fidèle, discret et discipliné, et qui a fait ses classes radiophoniques en "joker" d'Éric Brunet.
Je vous suis quand vous dites du bien de Patrick Roger. Celui-ci fait preuve d'une bienveillance très rare à la radio.
Vous dites appartenir à cette frange de l'esprit français qui préfère Sacha Guitry ou Raymond Devos à Jean-Marie Bigard. Manifestement, ce n'est pas le cas de Christophe Bordet, qui laisse facilement glisser ses invités dans le graveleux.
Trois choses que je reproche à Sud Radio:
1. Elle mélange "voix populaires" et "voix officielles", tout en entretenant le conflit artificiel cher au mauvais populisme entre le peuple et les élites.
2. Les "voix officielles" auxquelles elle accorde sa confiance ne sont pas des perdreaux de l'année. Pardonnez-moi, cher Philippe, d'énoncer un trait qui vous caractérise. Sud Radio est la voix de la gérontocratie française, d'une génération qui, qu'elle ait "fait" ou non "Mai 68", se retrouve sur ce point qu'elle ne veut pas laisser la place aux jeunes. Les émissions de Jacques Pessis se dégustent comme des bonbons au miel. Mais André Bercoff est une fausse valeur qui se prend pour un homme cultivé. Qu'on le remise "Chez Denise" avec Patrick Sébastien à surveiller les mânes de Carlos, mais Denise a fermé, m'a-t-il vertement réprimandé sur Twitter quand je lui ai suggéré d'aller voir là-bas si j'y suis.
3. Sud Radio n'a rien inventé. Elle plagie RMC (elle a même embauché Brigitte Lahaie pour son ultime reconversion professionnelle de sexagénaire du porno façon sexologue), et elle pastiche "Causeur", l'organe d'extrême droite nationo-sioniste à la dérive d'Élisabeth Lévy, qui est elle-même à ramasser à la petite cuillère. À qui appartient Sud Radio ? Au groupe Fiducial. À travers Didier Maïsto, le fondé de pouvoir de cette fiduciaire pour son extension radiophonique, Sud Radio est la radio des Gilets jaunes qui rêvent de faire de l'évasion fiscale.
Rédigé par : Julien WEINZAEPFLEN | 18 mai 2019 à 23:25
@ Zonzon | 18 mai 2019 à 08:26
"Schiappa, grande bringue…"
Bon, il est vrai que je n'ai pas été cherché la définition mais au vu de ces deux styles je ne vois pas trop… Mais bon, (répétitions de Cavanna, je crois me souvenir), la grande bringue dans mon imaginaire avait un aspect quelque peu disloqué et plutôt osseuse.
Je me permets de vous soumettre deux attitudes identiques, je vois plutôt un percheron ou une seconde ligne "tracteur" de mon époque qu'une gazelle.
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Ceci dit en plus d'une voix qui m'écorche les oreilles et d'un débit qui enfile des perles, je ne passerai pas mes week-ends en sa compagnie, ceci dit elle ne m'a pas sollicité non plus.
J'étais bien jeune à l'époque mais regardez comme elle vous regarde, c'est quand même autre chose, et pour moi la musique de la voix peut être rédhibitoire, et un sourire peut tout:
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Grande bringue, bizarre… Pour l'oreille Glenn Gould pour soigner mes tympans qu'elle écorche dès qu'elle paraît.
Je vous dis cela, mais bon…
J'en profite pour pousser un coup de gueule, je me sens écorché, ce soir j'ai le gilet blanc du patient, de celui qui vient de vivre à sa place un parcours du combattant inimaginable.
Je sais ce qu'est une marche commando et sortir d'une fosse gluante de boue, mais trois mois d'attente pour une IRM, et en même temps vivre depuis deux mois avec des béquilles - je passe sur toutes les attentes stratosphériques - et vouloir nous faire croire que notre système de soins serait champion du monde… c'est une plaisanterie !?
Euh… Cela n'a aucun rapport, mais là je suis écoeuré. Mais comment pouvons-nous endurer de tels délais dans un pays qui se targue de faire la part belle à la santé ?
Cinquième ou sixième puissance mondiale paraît-il... Il suffit de le dire et l'accompagnateur du patient - votre serviteur - de prendre son téléphone une bonne partie de la matinée pour essayer de trouver un centre qui voudrait bien…
Dois-je m'excuser à la place du patient ?
Quand la réalité dépasse la fiction, où passe donc notre "pognon de dingue", là vraiment le ciel m'est tombé sur la tête et pour un Gaulois c'est le pire qu'il pouvait imaginer.
Le pays est devenu un pays de bavards, le pire reste à venir sans doute.
Rédigé par : Giuseppe | 18 mai 2019 à 22:29
Innocent le choix de la photo par notre modératrice ?
On a l’impression d’être dans une sitcom...
La blonde fatale et le requin aux dents longues...
Une affiche pour un thriller.
On met un pistolet dans les mains de l’homme et c’est parti pour le nouveau James Bond.
Rédigé par : sbriglia | 18 mai 2019 à 20:03
@ son Honorable Honoraire
▬ « Je vais donc profiter de cette opportunité qui m'est offerte…»
Aucune opportunité ne vous est offerte, c’est votre blog !
▬ « Deux raisons fondamentales justifient mon adhésion convaincue à cette radio. »
Le contrat de travail et le salaire !
Ben ouais, vos opinions ne sont pas gratuites !
▬ « La première est qu'elle est populaire et authentiquement libre »
En Thaïlande la pédophilie est populaire et authentiquement libre, est-ce que cela la justifie ?
Populaire :
Qui appartient au peuple, qui le caractérise; qui est répandu parmi le peuple.
Contrairement à vous, j’ai bien regardé le registre du commerce et le peuple n’est pas propriétaire de Sud Radio !
C’est Fiducial Media, elle-même propriété du groupe Fiducial ; une holding propriétaire d’entreprises d’expertises comptables, d’audits, de sécurité, d’avocats d’affaires et une banque pour professionnel ; dont le propriétaire est le milliardaire Christian Latouche.
Il a 25 mandats et 17 co-mandats.
Le milliardaire Christian Latouche a été un soutien de Bruno Mégret l’extrême droite de l’extrême droite.
Ce n'est pas très populaire tout ça !
▬ « Non, je n'ai pas à m'excuser d'être à Sud Radio. Pardon de dire que je m'y sens bien parce qu'elle est bien. »
Oh le fayot, en même temps le Code du travail vous oblige à une loyauté envers votre employeur.
Rédigé par : Elusen | 18 mai 2019 à 19:20
@ CLEMENT Daniel
"C'est avec plaisir que je peux vous lire sur Internet, dommage que Sud Radio "n'arrive" pas dans les Hauts-de-France !"
Et le www vous épargne de descendre l'écouter:
https://www.sudradio.fr/
Même en Papouasie maritime vous l'entendrez.
Rédigé par : S Carioca | 18 mai 2019 à 14:09
Ben justement, c'est une question de sens moral.
Et sur ce blog, il y a les christianisés RN qui répondent : "Non : dans notre propre intérêt, nous en aurions fait de même" et les autres LREM dotés d'un sens moral qui vous disent: "Oui, parce qu'il est honteux de fricoter avec une telle engeance !"
Rédigé par : Garry Gaspary | 18 mai 2019 à 13:24
Cher PB,
Vous avez découvert Sud Radio et vous y rencontrez des Gilets jaunes, des Français du peuple... Grand bien vous fasse. A la réflexion, un stage à Sud Radio devrait devenir obligatoire en fin d'études à l'Ecole de la magistrature, pour mieux connaître les Français avant d'avoir à les juger...
Rédigé par : Jean le Cauchois | 18 mai 2019 à 13:13
@ Claude Luçon 18 mai 2019 à 03:20
C'est pas gentil pour votre maman de dire que la Bretagne a toujours un temps de retard, ou alors c'est parce qu'elle était en retard pour accoucher de vous...
Un jour Martchi, qui s'y connaît, aussi, en QI, m'avait laissé une marge entre 70 et plus (éventuellement). Comme quoi...
En même temps, comme dit l'autre, heureusement que des Bretons ont inventé le Minitel* et ses 3615 :D
Adéo Claude Luçon
*dans certaines "zones blanches" pour Internet il 'paraît' que le Minitel, lui, fonctionne à merveille.
Rédigé par : breizmabro | 18 mai 2019 à 12:39
VARIA
70-71 (années terribles) est un spectacle aujourd’hui présenté par les pitres Balkany et Dupond-Moretti !
Cinéma : Cannophobie !
Schiappa, grande bringue : "le droit à l’avortement est en danger, MÊME en France."
Dans les ventres les babies respirent un bon coup !
Homophobie, Transphobie, LGBTphobie !
En ce temps du mélange agressif des races (lesquelles n’existent pas comme on sait), il devenait nécessaire de s’attaquer à la sexualité humaine ! Par tous les moyens connus.
Rédigé par : Zonzon | 18 mai 2019 à 08:26
@ breizmabro | 17 mai 2019 à 22:35
Ha ! Ha ! Piégée ! Ma mère était Bretonne, je suis 50 % Breton :)
Rédigé par : Claude Luçon | 18 mai 2019 à 03:20
Inutile de présenter vos excuses, M. Bilger, de gustibus et coloribus non est disputandum.
Mais vous pourriez faire un essai sur Radio libertaire, comme Coluche sur RMC ou Napoléon se rendant sur le Bellérophon. Ne vous inquiétez pas, dans le fond leurs journalistes ne sont pas moins bobos que sur Sud Radio. Et puis après tout, "Ni Dieu ni maître" serait une devise presque adéquate pour la justice républicaine...
Rédigé par : Metsys | 18 mai 2019 à 00:20
Tout le monde ne peut pas travailler à France Inter, où des gens comme Daniel Morin, Charline Vanhoenacker et le « chanteur » Frédéric Fromet ont placé très haut la barre de l'abjection, du cynisme et de la bien-pensance bobo et il est impossible de les suivre.
Pourtant cette radio a enchanté ma jeunesse. En particulier le Tribunal des flagrants délires où on pouvait entendre des gens rigoler de bon coeur, ce qui n’est plus le cas aujourd’hui compte tenu du sinistre de la bien-pensance et de la censure.
Désormais j'écoute Sud Radio le matin (avec quelquefois Radio Classique), c’est une addiction, j’ai mes chouchous. Les débats sont variés et l'avis des auditeurs est réellement pris en compte. De plus ils soutiennent sans réserve les GJ, à mon avis c’est la seule radio à ne pas les avoir traités de « factieux ».
Ceux qui l'ont fait se sont trompés et c'est une erreur politique.
A partir de 17h, c’est un peu plus « bateleur », mais je suis les débats avec Etienne Chouard, et mon chouchou Régis de Castelnau, bref tous ceux qui sont anti-Macron, mais avec la menace, comme dit Régis de Castelnau, « qu’un jour je finirai en tôle ».
Rédigé par : anne-marie marson | 17 mai 2019 à 23:36
@ Claude Luçon 17 mai 2019 à 20:26
"La Bretagne a toujours un temps de retard, il faut s'y faire :("
Vous aussi vous versez dans les banalités sur les Bretons, pourtant, sauf erreur, ne sont-ce pas des Bretons qui ont inventé l'ancêtre d'Internet il y a trente ans, appelé le Minitel (Médium interactif par numérisation d'information téléphonique) ?
Rédigé par : breizmabro | 17 mai 2019 à 22:35
Cher Philippe,
Il est bien évident que vous êtes libre de travailler où vous le souhaitez.
Il est tout aussi évident que certains de vos fidèles ne comprennent pas que vous collaboriez à Sud Radio, dont je suis.
Sud Radio m’apparaît comme un média partisan. Pro-Gilets jaunes, anti-Macron, anti-parlementaire, anti-élite. Cette station appartient de mon point de vue à la même famille que celle du « Média ». C’est-à-dire la famille des médias engagés pour la défense d’une idéologie, d’une cause, en l’occurrence celle des Gilets jaunes, qui constituent une bonne partie de l’audience de la station et qui expliquent sa progression, qu’ils plébiscitent au même titre que RT !
Vous la qualifiez de populaire, je la trouve démagogique. Si en démocratie le « peuple » a le dernier mot cela ne signifie pas qu’il a toujours raison, or Sud Radio, de ce que j’en ai entendu, donne systématiquement raison à une fraction du peuple, les GJ.
J’ai félicité Sud Radio lorsqu’elle a organisé un vrai débat contradictoire entre Raphaël Enthoven et Étienne Chouard sur le RIC. Je suis catastrophé quand j’entends Étienne Chouard, qui dispose d’une émission hebdomadaire, « débattre » avec des personnalités qui sont d’accord avec lui comme Régis de Castelnau, Juan Branco ou Maxime Nicolle, lorsqu’il insulte le président de la République : « un gredin, un voleur, un criminel », lorsqu’il dit que le Conseil constitutionnel est « pourri jusqu’à la moelle », que tous les politiques sont corrompus, ou encore lorsqu’il prétend devant Elisabeth Lévy ébahie que personne n’a la haine des juifs !
Je ne doute pas de la sincérité du président de Sud Radio, Didier Maïsto, qui intervient fréquemment à l’antenne. Mais il se comporte en militant, sans recul critique sur le mouvement des Gilets jaunes, étant très souvent, pour reprendre votre propre expression, hémiplégique. Il considère sérieusement dans certains de ses tweets que la France vit sous un régime fasciste.
Vous ne travaillez pas pour un organe d’information mais pour un média d’opinion. Vous considérez que vous n’avez pas à vous en excuser, vous avez estimé devoir vous en justifier. Vous vous sentez bien à Sud Radio, puisque vous le dites c’est que ce doit être vrai.
Pour ma part, je vais écouter Répliques et L’Esprit public en podcast sur France Culture, je vous laisse rejoindre Bercoff et Chouard à Sud Radio…
Rédigé par : Marc GHINSBERG | 17 mai 2019 à 22:21
Je ne comprends pas : pourquoi s'excuser, Philippe ? L'occasion de ressortir la phrase attribuée à HM Elizabeth II, sémillante nonagénaire :
"Never explain never complain - Ne jamais expliquer, ne jamais se plaindre".
Et puis dire à cette auguste académie qu'on peut écouter Sud Radio sur le web, même si c'est moins confortable qu'à la radio ou à la TV. En direct et puis il y a les podcasts ;)
"Bourcagneux défie le monde."
Rédigé par : scoubab00 | 17 mai 2019 à 21:34
J’ai peut-être lancé une interrogation, dans un billet antérieur, sur les raisons qui vous ont poussé, Philippe Bilger, à rejoindre Sud Radio, mais ce n’était pas un reproche. Enfin pas vraiment. Peut-être une déception sans plus. Mais bien sûr vous n’avez absolument pas à vous justifier de ce choix.
J’ai bien tenté d’écouter les « Vraies Voix » en replay, mais finalement j’ai renoncé car, tout comme les « Grandes Gueules » de RMC, c’est le genre d’émission qui m’insupporte.
Aussi, concernant vos prestations, je me limite à fréquenter votre blog et, le cas échéant lire un de vos bouquins. Cela suffit à mon bonheur.
Rédigé par : Achille | 17 mai 2019 à 21:27
@ sylvain | 17 mai 2019 à 19:10
"Ras le bol de ces c... !"
Et quid de leurs insulteurs anonymes ? Hum ?!
Rédigé par : Catherine JACOB | 17 mai 2019 à 20:27
@ breizmabro | 17 mai 2019 à 17:06
"J'ose espérer que tous les ingénieux ingénieurs de ce blogs ont une télécommande pour changer de chaîne de radio ou de TV."
Hum !
Pourquoi ce message à un groupe particulier de commentateurs ?
C'est de la provocation ou de l'admiration ?
Un groupe de pros qui fabriquent les ordinateurs, conçoivent les relais radio et les satellites qui vous permettent de communiquer sur ce blog, effectivement, méritent votre admiration, "estlamm" en breton :)
Les ingénieurs n'ont pas besoin de télécommandes !
Ils ont des ordinateurs et radios réglés à voix, en toutes langues, même le breton !
Bon ! La Bretagne a toujours un temps de retard, il faut s'y faire :(
Rédigé par : Claude Luçon | 17 mai 2019 à 20:26
Cher Philippe,
Vous excelliez à requérir. Vous excellez à plaider. Comment ne pas présider un Institut de la parole ?
Rédigé par : Patrice Charoulet | 17 mai 2019 à 20:22