Elles auraient pu, elles auraient dû, elles y ont cru, elles auraient mérité, cela tenait à peu, elles ont fait "belle figure" : mais elles ont perdu.
Corinne Diacre la sélectionneuse de l'équipe de France féminine déclare qu'elle a "encore du travail à faire" mais qu'elle n'avait jamais vu "les Américaines défendre à cinq derrière". Ce sont des propos honnêtes et lucides (L'Equipe).
Mais les Françaises ont perdu.
La parité, obsession d'aujourd'hui, exige que pour les deux sexes, on célèbre le meilleur et qu'on déplore le pire. Une défaite n'est pas tragique mais c'est de la condescendance à l'égard de nos joueuses que de leur manifester une indulgence excessive comme si elles ne pouvaient pas avoir droit à la vérité.
La vérité n'est pas sexiste. Elle est.
Quand le président de la République, qui a bien fait d'aller les rencontrer avant l'ouverture de la Coupe du monde, rend hommage après leur élimination à "leurs efforts et à leur talent" mais croit les consoler en relevant "qu'elles ont gagné définitivement le coeur des Français" alors qu'elles ont perdu le match - seulement un quart de finale -, il instille un sexisme de velours. En quelque sorte c'était bien assez, bien suffisant pour elles et les traiter de la sorte, avec une forme de tendresse un peu mièvre, serait presque offensant si nous n'avions pas au fond de nous le désir d'une parité mais atténuée par une galanterie révélant que nous n'osons pas, à déceptions égales, en tirer les mêmes conséquences pour les hommes et les femmes.
Cela avait commencé avant le match du 28 juin puisque l'équipe de France n'a pas brillé dans ses prestations et qu'on ne pouvait que craindre le pire non seulement face aux Américaines mais, plus tard, si on avait dû affronter la remarquable équipe anglaise. Sans évoquer, pour ne pas raviver mes regrets, la formidable équipe japonaise scandaleusement éliminée par les Pays-Bas.
Pour être franc, il n'est pas toujours facile de porter le même regard et d'avoir la même attitude, en toutes circonstances, à l'égard des hommes et des femmes. Nicolas Sarkozy a raison dans son dernier livre, revenant sur son débat de 2007 avec Ségolène Royal, de souligner, pour expliquer sa modération, que d'abord il avait partie gagnée et que surtout face à cette contradictrice indéniablement féminine, il s'était imposé comme une retenue. Je le comprends tout à fait.
A un niveau modeste, sur le plan médiatique, à devoir dialoguer avec une femme "difficile", je me résous au silence plus que je ne m'abandonne à trop de vigueur. J'admets que, par rapport à la pureté théorique de la parité, je suis en faute mais ce qui est tolérable dans des échanges est insupportable quand face à une même réalité - une défaite sportive - on dit la vérité aux hommes pour l'enrober, voire la masquer à l'égard des femmes.
Plus qu'un sexisme de velours peut-être ? Un mépris délicat et soyeux comme si, pour ce qui les concerne, on n'avait pas à leur offrir l'honneur d'une vérité, la dignité d'une authentique égalité.
Le football n'est pas un sport juste, chez les femmes, c'est pareil que chez les hommes. Pendant la coupe du monde, il ne reste qu'une équipe à la fin et toutes les autres perdent inéluctablement. Souvent, un petit détail change le cours du jeu, une action litigieuse est à l'origine d'un but, voire d'une victoire.
C'est aussi pour cela que j'aime le foot, pour ces instants où tout bascule, ces moments où les rêves s'effondrent.
En accord total avec Claude Luçon et fugace, je fustige l'attitude de la joueuse Megan Rapinoe. Son insolence semble sans limite, son passage dans l'équipe de Lyon en fut une des nombreuses preuves. La gueuse Megan Rapinoe a pris la grosse tête, la vanité altère son jugement. Elle bafoue les symboles des institutions américaines pour des raisons idéologiques personnelles.
La Maison-Blanche, l'hymne et le drapeau sont des marqueurs intemporels que des gueux avides de notoriété s'ingénient à attaquer. Ils finissent mal en général. Ainsi les deux athlètes noirs américains qui avaient levé les poings gantés de noir pendant une cérémonie olympique avaient fini leur vie dans la misère et l'alcool. De nos jours, sur les réseaux sociaux, les insolents de cette trempe reçoivent une multitude de pouces vers le bas, signe de désapprobation. En langage actuel, ces messages sont qualifiés de haineux ("haters"). Ce sont eux qui haïssent les institutions et qui qualifient les autres de haineux. Alors que tout simplement, il s'agit d'une application de l'adage : "Qui sème le vent récolte la tempête". Ce n'est pas du sexisme, qu'il soit de velours ou d'une autre matière.
Rédigé par : vamonos | 04 juillet 2019 à 11:26
"Bref, le sport est le même mais une équipe de filles c'est différent."
Rédigé par : Alex paulista | 01 juillet 2019 à 12:30
______
De même qu'entraîneur et entraîneuse, ça n'a rien à voir !!!
Rédigé par : Mary Preud'homme | 01 juillet 2019 à 18:40
@ Patrice Charoulet | 01 juillet 2019 à 08:05,
J'ai de la peine à comprendre en quoi votre commentaire est instructif. Vous exhumez une triste affaire qui date de plus d'un demi-siècle pour nous démontrer quoi ? Que les responsables de la Fédération de ski alpin autrichienne étaient de tristes personnages et des lâches ? Que déjà à l'époque on traitait les athlètes féminines comme du bétail ? Que pour garder une médaille d’or, on a sacrifié l’avenir sportif d’un skieur de valeur ?
Que nenni, pour nous démontrer que les footballeuses américaines pourraient bien être des hommes !
Je vous rassure: elles subissent des tests hormonaux, c'est la routine.
Pour occuper vos loisirs, allez faire un petit tour chez les nageuses pro: peu ou pas de poitrine, des épaules à faire frémir d'envie bien des sportifs en chambre... Toutes des hommes...
Et peut-être sur l'histoire du football féminin, plus instructive que le "soulevé des couvercles de poubelles", nouveau sport très en vogue.
Mais vous dites ne pas vous intéresser au sport, continuez dans cette voie.
Amicalement.
Rédigé par : Christine L. | 01 juillet 2019 à 17:12
@ Patrice Charoulet
"...les fausses footballeuses qui sont, parfois, des footballeurs..."
Ce qui rejoint la situation de nos hommes politiques dits de « droite » qui sont en fait placés sous l'influence d'hormones gauchistes...
————————-
@ boureau
« Puisque la fonction politique consiste, si vous l'ignorez, à prendre des décisions. »
Et surtout de les prendre après avoir prévu ce qui pourrait risquer de se passer.
Rédigé par : Exilé | 01 juillet 2019 à 14:56
Eh bien moi ici je ne vais pas donner dans le 'sexisme de velours'. L'entraîneur Diacre, comme beaucoup de ses collègues qui exercent dans les sports collectifs, manque de capacité d'abstraction. Cette ancienne défenseuse centrale de haut niveau, capitaine, ne voit le jeu, c'est ma conviction, qu'à travers le prisme de son ancien poste : axe central solide devant une gardienne proche ; milieu de terrain travailleur, ingambe qui sait se replier dare-dare ; attaquantes plus lointaines qui doivent composer avec des ballons pas toujours distillés.
La crème de cette fonction de coach c'est celles et ceux qui arrivent à se glisser dans la peau de telles ou telles individualités qui n'ont que peu à voir avec leur passé de pratiquant. Et après savoir coordonner l'ensemble. Comme une symphonie ?
Arsène Wenger en a été un très bon exemple. Footballeur pro modeste, sa capacité d'empathie de son sport à n'importe quel endroit du terrain a forgé en lui un stratège redoutable. Un organisateur qui a présidé pendant plus de vingt ans aux destinées d'un club londonien, Arsenal. Corinne Diacre au palmarès vierge pourrait s'inspirer de l'Alsacien pour s'amender. Devenir une technicienne capable d'impulser un jeu plus risqué, plus osé. En est-elle capable ? C'est souvent difficile de réformer ce qui paraît fonctionner correctement... les plus belles révolutions ne sauraient être qu'intérieures...
Cette Coupe du monde de foot féminin en France et désormais sans la France est un beau succès. Elle va engendrer un afflux d'inscriptions de jeunes footballeuses dans les clubs. Parmi elles, les futures Corinne Diacre ou Wendie Renard. En mieux ? Sans doute ;)
Rédigé par : scoubab00 | 01 juillet 2019 à 14:39
Non il ne s'agit pas de sexisme. À un modeste niveau amateur et dans un autre sport, j'ai eu à coacher une équipe féminine et j'ai constaté que les ressorts psychologiques étaient totalement différents.
- les filles sont plus inclusives que les garçons. Elles acceptent la concurrence mais peuvent moins rester sur le banc sans se démotiver, il faut faire rentrer les réservistes dès que le jeu est moins risqué. C'est aussi plus accepté par les "titulaires" objectives.
- elles sont psychologiquement plus sensibles. On ne peut pas utiliser autant le ressort de la provocation, leur demander de nous montrer ce qu'elles valent. Il faut utiliser l'affectif, mais faire attention à ne pas créer de jalousies.
- le fait d'être un homme et d'être objectivement meilleur physiquement donne un prestige et une autorité supplémentaires
Et ce qui est spectaculaire, c'est que si on est accepté et même "aimé" par l'équipe, le levier qu'on a en tant qu'entraîneur est assez impressionnant: elles deviennent plus dures au mal que les garçons, se donnent à 200% pour l'équipe.
Quand on revient aux garçons on en retire quelques nouvelles approches pour certains qui marchent plus à l'affectif... avant de se dire que non, définitivement nous ne venons pas de la même planète.
Mais on n'oublie jamais l'expérience d'avoir coaché des filles, car l'affection reste durablement.
Bref, le sport est le même mais une équipe de filles c'est différent.
Rédigé par : Alex paulista | 01 juillet 2019 à 12:30
LE CHAMPION DEVENU CHAMPIONNE
Ayant mis, sur le blog de Pierre Assouline, très tôt ce matin, mes scribouillages sur les fausses footballeuses qui sont, parfois, des footballeurs, une commentatrice a obligeamment joint un lien pour appuyer mes dires, renvoyant au skieur devenu championne. C'était dans « L'Equipe », journal, je l'avoue, que je n'ai jamais ouvert une seule fois en un demi-siècle :
https://www.lequipe.fr/explore/hr04-erik-a-hors-piste/
« Novembre 1967. À 19 ans, la skieuse Erika Schinegger fait la fierté de toute l'Autriche. Championne du monde en titre de descente, elle est donnée favorite pour les JO de Grenoble, quelques mois plus tard. Rapide, puissante, elle est si douée qu'à l'entraînement il lui arrive de réaliser de meilleurs temps que les hommes... »
Vous pourrez lire la suite, qui est instructive...
Rédigé par : Patrice Charoulet | 01 juillet 2019 à 08:05
@ fugace 30 juin 2019 22:05
"Mais dès lors qu'un fort consensus ne se dégage pas.."
Ah bon ! Dans une situation prévisible de quasi-guerre civile à court terme, il vous faut du fort consensus pour prendre une décision ?
Vous n'aurez jamais mon vote pour quelque mandat que ce soit ! Puisque la fonction politique consiste, si vous l'ignorez, à prendre des décisions.
Je ne vois pas l'intérêt de votre autre préoccupation.
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 30 juin 2019 à 23:12
@ Patrice Charoulet | 30 juin 2019 à 20:18
Et, de temps en temps, je jette un œil sur le téléviseur.
- Auriez-vous remarqué aussi des femmes à barbe sur le champ ?
P.-S.: Savez-vous que pour 1€ vous pouvez suivre votre émission politique préférée pendant que madame se détend avec les filles ?
= TV sur PC à votre portée (casque bluetooth sur les oreilles), et vous ne le saviez pas ! Et le summum, c'est sans redevance !!!
Rédigé par : fugace | 30 juin 2019 à 22:29
@ boureau | 30 juin 2019 à 18:13
J'entends bien tout cela. Mais dès lors qu'un fort consensus ne se dégage pas, et ne se dégagera pas demain, les choses iront cahin-caha, avec les hauts et les bas que l'on peut chacun imaginer à sa manière, incluant celle qu'a un moyen terme de encore une ou deux générations, si les aléas politiques(*) ne prennent pas le dessus, une sorte de stabilisation soit atteinte pour quelques décennies.
(*) ou autre plus préoccupante, selon que les calculs seront dans fourchette de tolérance acceptable :
https://www.msn.com/fr-ca/actualites/sciences/un-ast%c3%a9ro%c3%afde-fr%c3%b4lera-la-terre/ar-AAAM8NV
Déjà à 5,7 km de la planète Terre, en proportion de sa taille, n'est-ce pas flippant ?
Rédigé par : fugace | 30 juin 2019 à 22:05
@ Patrice Charoulet | 30 juin 2019 à 20:18
A quand des chaises percées pour vérifier le sexe des footeuses, ainsi qu'on le pratiquait jadis pour les papes, sauf que les premières contrairement au seconds ne devraient pas avoir de coui**** !
Sacré Charoule, toujours le mot pour nous faire rire !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 30 juin 2019 à 21:16
LES FOOTBALLEUSES SONT-ELLES DES FOOTBALLEUSES ?
Le football m'indiffère. Le football masculin. Ces temps-ci, nous avons été sommés de nous intéresser au football féminin. Comme, chez moi, je laisse à ma femme le choix du programme télé après le dîner, il lui est arrivé de regarder un match de foot féminin. Comme nous n'avons qu'un téléviseur, quand le programme ne m'enthousiasme pas, assis sur mon canapé, je fais autre chose : livre, ordinateur... Et, de temps en temps, je jette un œil sur le téléviseur. N'étant pas intéressé, je l'ai dit, par ce qui se passait entre les vingt-deux joueuses représentant si j'ai bien compris deux pays différents, j'ai été un peu surpris de voir quelques joueuses plates comme des limandes, avec des épaules de bûcheron et des têtes de gars. Il y a quelques années, je me souviens d'avoir entendu qu'une grande championne de ski était en réalité un champion. On s'en était ému et scandalisé. Il me semble que l'on devrait vérifier, sinon à Trifouillis-les-Oies, au moins dans les « grandes » rencontres sportives et, à coup sûr, aux J.O., que les dames ne sont pas des messieurs. Ce serait la moindre des choses.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 30 juin 2019 à 20:18
@ fugace 30 juin 2019 12:55
"Immigration... Comment s'y prendre ?"
C'est simple fugace ! Ultra simple !
Le seul problème : l'absence de volonté politique de nos dirigeants et surtout du Président.
Quand vous dites "Il est probable que le Président Macron n'ait pas tout faux", effectivement, il n'a presque rien de faux puisqu'il ne fait rien ! Sauf quand il alourdit encore le regroupement familial.
Les mesures à prendre sont archi-connues et quand elles peuvent être en contre des fameux "Traités internationaux signés", on renégocie les Traités. Nous avons la deuxième ou la troisième représentation diplomatique dans le monde : des centaines de diplomates abonnés aux "petits fours", ils sont là pour ça !
Quelques mesures pour assécher l'immigration quelle qu'elle soit :
Supprimer la double nationalité
Renvoyer tous les fichés en prison à double nationalité dans leur pays d'origine.
Supprimer le regroupement familial
Renvoyer - réellement - les faux-migrants
Premiers avantages sociaux à la française après six mois de travail et de cotisations en France et non immédiatement.
Création d'une sorte de "consistoire" à la musulmane. Composé des imams français élus par leurs pairs.
Renvoi immédiat d'un clandestin coupable d'un délit.
Renvoi immédiat d'un émigré de la deuxième ou troisième génération ayant la double nationalité coupable de délit.
Fermeture de toutes les moquées salafistes.
Renvoi de tous les imams non nationaux.
Interdiction du financement des mosquées ou des associations par des pays étrangers.
Création d'un fonds spécial étatique pour le financement des mosquées.
Renégocier les accords Schengen
etc. etc. etc.
Certaines mesures sont longues à mettre en oeuvre, autant les lancer rapidement.
Ce sont là juste quelques-unes qui me viennent immédiatement à l'esprit. Mais vous en avez beaucoup d'autres possibles. De multiples livres ou articles de presse sont parus sur ce sujet : l'embarras du choix !
La seul problème encore une fois c'est le courage politique. Macron n'en a pas. Donc il ne fera rien et même, pour gagner des voix aux élections et pour plaire à certains pays étrangers (il adore plaire... à nos frais) il accentuera l'immigration.
Surtout pas de débat, fugace ! Nous en sommes fatigués et comme vous avez pu le constater dernièrement cela ne sert à rien !
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 30 juin 2019 à 18:13
Les gens qui ont connu un temps que les moins de cinquante ans ne peuvent pas connaître et qui appliquent les règles de la « galanterie française » - parfois au risque d'être incompris - se rendent-ils coupables de pratiquer le sexisme de velours ?
Rédigé par : Exilé | 30 juin 2019 à 17:21
@ fugace | 30 juin 2019 à 11:55
@ boureau | 30 juin 2019 à 08:19
Merci à tous deux.
À fugace, merci pour le lien, je voulais faire la chose mais ne savais pas à qui l'adresser, j'hésitais entre Fox News et la Maison-Blanche.
Je vais le traduire et le poster sur ce lien en rajoutant ce qui suit.
"Indépendamment de l'affront fait aux GIs de Patton que j'ai vu passer devant moi sur une route de l'Orléanais le 14 août 1944, je pensais aussi qu'elle exprimait sa bataille oubliant que cette révolution-là, justifiée aussi, faisait partie du passé, les Gays l'ont largement gagnée. Ils ont leur drapeau aux couleurs de l'arc en ciel, leurs défilés sur les avenues sous forme de Gay Pride ont le droit de faire faire des enfants ou acheter du sperme dans une banque faite pour, sont des célébrités à la télévision, qu'on peut détester comme Laurent Ruquier, ou aimer comme Stéphane Bern.
De plus il lui suffisait de ne pas se présenter avec ses partenaires au moment de l'hymne et rester discrète sur un banc ou dans le tunnel d'acces au terrain en attendant de les rejoindre sur le gazon."
Rédigé par : Claude Luçon | 30 juin 2019 à 15:18
@ HOPE | 29 juin 2019 à 23:21
"En fait ce blog n’a pour moi aucune raison d’être. Tout simplement."
"Le Hope" a la réputation d'être un diamant maudit, puisque certains de ses propriétaires successifs auraient connu une fin trouble, voire tragique.
(https://fr.wikipedia.org/wiki/Hope_(diamant))
Tout s'explique !
Rédigé par : fugace | 30 juin 2019 à 14:05
"Elles ont gagné le cœur des Français" est moins une marque de sexisme condescendant qu’une fine reconnaissance d’un franc succès après de l’opinion publique, si l’on en juge par les audiences record réalisées par TF1. C’est une vérité des chiffres mais il en est une autre, qui écrabouille de manière éclatante cette notion de parité pour laquelle vous semblez n’avoir aucune affinité, qui veut qu’à audimats comparables, les joueurs gagnent considérablement plus que leurs consœurs. C’est le sexisme ordinaire, quotidien et pas du tout de velours du monde des affaires où en l’espèce TF1 réalise le jackpot quand les joueuses y sont encore bien bleues.
De quoi filer un bon blues.
Rédigé par : Gb | 30 juin 2019 à 13:19
@ Ellen | 29 juin 2019 à 22:54
Il y aurait urgence à lancer un grand vrai débat sur le sujet de l'immigration, dont Islamique (*1) et ou Musulmane (*2). Que ne voulons-nous pas ? Le peuple majoritaire, pas la foule !
Il et probable que le Président Macron n'ait pas tout faux. Il faudrait qu'il s'engage clairement sur le sujet, pour lever toute ambiguïté et toute suspicion de corruption, voire de trahison sur ce sujet extrêmement sensible.
Si déjà de forts messages et des actions très fortes étaient mis en œuvre vis-à-vis (tolérance zéro puissance 100) des islamistes intégristes qui diffusent leur poison depuis des lustres partout dans le monde et évidemment depuis des décennies en France et Outremer, un grand pas serait franchi.
Après, il faudra s'accaparer du meilleur des autre cultures et rejeter sans faiblesse aucune, tout, absolument tout, ce qui érode le socle commun.
Mais comment s'y prendre ?
L'instruction et la connaissance demeureront encore et toujours les meilleures des voies.
(*1) Islamique est utilisé pour qualifier ou rattacher, un pays, un livre, une organisation à la religion musulmane, dans le respect des principes et croyances contenus dans le livre saint de cette religion, le Coran.
(*2) Musulmane
Religion abrahamique fondée sur les dogmes du Coran, recueil de la parole d'Allah révélée au prophète Mahomet.
Rédigé par : fugace | 30 juin 2019 à 12:55
@ Claude Luçon | 29 juin 2019 à 22:46
En utilisant cette adresse mail: [email protected] ou en cliquant sur le lien équivalent (en bleu) apparaissant dans le lien ci-dessous du NYTimes, vous pourrez leur transmettre votre point de vue que je partage, et ce dans leur langue pour qu'il comprennent bien.
Il est probable que vous deviez copier/coller ce lien sur le net pour lancer une recherche :
https://www.translatetheweb.com/?from=&to=fr&ref=SERP&refd=www.bing.com&dl=fr&rr=UC&a=https%3a%2f%2fhelp.nytimes.com%2fhc%2fen-us%2farticles%2f115015385887-Contact-us
alors, vous devriez voir apparaître parmi d'autres l'adresse de contact en bleu = [email protected]
Cdt
Rédigé par : fugace | 30 juin 2019 à 11:55
@HOPE | 29 juin 2019 à 23:21
"En fait ce blog n’a pour moi aucune raison d’être. Tout simplement."
L'homme maître de soi n'aura point d'autre maître.
Espérer sans agir c'est souvent manquer l'occasion d'une réussite. N'est-ce pas HOPE !
Rédigé par : Ellen | 30 juin 2019 à 11:13
@ Claude Luçon 29 juin 2019 22:46
En accord avec votre billet.
J'avais aussi remarqué que Megan Rapinoe n'avait pas la main sur le coeur lors de la diffusion de l'hymne américain. Ce qui pour un Américain moyen est quasiment une offense.
Elle a le droit de défendre (sic) les minorités qu'elle veut, mais avec intelligence.
Comme quoi, on peut être femme, blanche, lesbienne, championne du monde, courir comme une lapine... mais aussi très sotte !
Elle n'a pas encore compris, à son âge, que l'hymne de sa nation n'est pas un hommage au président en exercice, mais ce qui lie une nation, y compris les minorités.
Je dirai même plus, j'ajouterai votre appréciation sur le journaliste :
"Comme quoi, quand on est c..ne, on est c..ne, même à trente ans."
Cordialement.
-------------------------------------------
@ HOPE 29 juin 2019 23:21
"En fait ce blog n’a pour moi aucune raison d’être. Tout simplement."
N'y venez pas ! Vos insinuations envers notre hôte sont stupides. Elles montrent votre niveau intellectuel.
Encore un dictateur de la pensée !
Cordialement (je me force)
Rédigé par : boureau | 30 juin 2019 à 08:19
Puisque, sur ce coup-là, Philippe Bilger se dévoue pour défendre la bannière de "l'anti-sexisme", je vais couvrir le terrain en jouant les gros méchants "sexistes" (chacun son boulot).
Et faire remarquer à quel point la co-capitaine de l'équipe américaine, Megan Rapinoe (rien que le nom m'amuse...) fait honneur à son sexe, par sa grâce, sa distinction sa féminité et son patriotisme.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 29 juin 2019 à 23:27
Vous écrivez « Quand le président de la République, qui a bien fait d'aller les rencontrer avant l'ouverture de la Coupe du monde, rend hommage après leur élimination à "leurs efforts et à leur talent" mais croit les consoler en relevant "qu'elles ont gagné définitivement le coeur des Français" alors qu'elles ont perdu le match - seulement un quart de finale -, il instille un sexisme de velours. En quelque sorte c'était bien assez, bien suffisant pour elles et les traiter de la sorte, avec une forme de tendresse un peu mièvre, serait presque offensant si nous n'avions pas au fond de nous le désir d'une parité mais atténuée par une galanterie révélant que nous n'osons pas, à déceptions égales, en tirer les mêmes conséquences pour les hommes et les femmes. »
Je ne vois aucun sexisme dans ces termes, franchement. Par contre je me pose des questions sur ce qui vous fait écrire cela, mais d'autres de vos écrits concernant la gent féminine me font me poser la même question.
En fait ce blog n’a pour moi aucune raison d’être. Tout simplement.
Rédigé par : HOPE | 29 juin 2019 à 23:21
@ Exilé | 29 juin 2019 à 20:49
"Et comme d'habitude, quand il n'a pas affaire à des Gilets jaunes, ce gouvernement collaborationniste ne voit rien, n'entend rien, ne dit rien et joue les carpettes..."
On s'en souviendra en 2022.
Ecoutez les propos de Macron, c'est inadmissible :
https://www.youtube.com/watch?v=SEkCk0CMx7Y
Rédigé par : Ellen | 29 juin 2019 à 22:54
"Corinne Diacre la sélectionneuse de l'équipe de France féminine déclare qu'elle a "encore du travail à faire" mais qu'elle n'avait jamais vu "les Américaines défendre à cinq derrière". Ce sont des propos honnêtes et lucides" (PB)
Elle aurait pu ajouter qu'elles ont soigneusement neutralisé Eugénie Le Sommer, l'empêchant de jouer et coupant la liaison Le Sommer/Henry, sachant d'où pouvait venir le vrai danger.
Le commentateur trentenaire de Canal+ s'émerveillait que des hommes de 90 ans aient suivi le match ! Ben oui, trois fois plus que lui d'ailleurs !
Même en Italie a-t-il ajouté !
Comme quoi quand on est c.. on est c.., on l'est aussi à 30 ans.
L'un de ces nonagénaires, moins gaga que le trentenaire, fan de ce blog et de rugby, pas tellement de foot, a remarqué que la joueuse américaine au cheveux blancs courts (mieux vaut éviter les patronymes), celle qui a marqué les deux buts, tenait ses bras derrière son dos, le bec clos, pendant l'hymne américain (ce nonagénaire sait pourquoi) pendant que les autres joueuses chantaient l'hymne la main sur le cœur.
Quelqu'un aurait dû préciser à ladite joueuse qu'elle représentait son pays dans un pays ami, très vieil ami même, où deux générations de jeunes Américains sont venus mourir au nom de la liberté, une liberté qui ne devrait pas lui permettre d'exprimer sa vanité et ses problèmes personnels impunément. Lui suggérer d'utiliser aussi la partie supérieure de son corps, là où se trouve son cerveau et son cœur, si toutefois elle en a.
Elle devrait se contenter de régler ses problèmes chez elle ou ailleurs, mais pas chez nous, et éviter d'insulter de jeunes hommes américains, plus patriotes qu'elle, qui gisent en France un peu partout, honorés sur leurs tombes par ce drapeau qu'elle ne veut pas voir et, périodiquement, par cet hymne qu'elle ne veut pas chanter.
Lui préciser que ces jeunes hommes étaient blancs et noirs, chrétiens et juifs, grands et petits, mais aussi "straights and gays", et qu'ils sont morts en égaux et enterrés côte à côte !
Cet homme de 90 ans appartient comme ses contemporains aux quelques générations de Français qui ont des raisons de respecter ce drapeau et cet hymne auxquels ils doivent tant. Par voie de conséquence, il ose espérer que les compagnons de lutte de cette footeuse aux blancs cheveux, back in the good old USA, lutte qui n'est pas en question, seulement l'attitude de cette idiote, sauront le lui reprocher !
Lui expliquer enfin qu'il est plus difficile et dangereux de se battre dans le bois Belleau et la Lorraine puis sur les plages de Normandie contre les Teutons, que sur un terrain de foot parisien contre les Bleues et leurs supporters ! Utilisant ce cerveau, qu'elle a peut-être, elle aurait pu y penser, avant de ne penser qu'à elle ! Qu'en insultant son drapeau et son hymne chez nous, elle nous insulte aussi, que nous soyons (ou fûmes considérant notre âge !) straights or gays !
Rédigé par : Claude Luçon | 29 juin 2019 à 22:46
Moins de blabla, moins de tout, et pourtant… Alors que l'on entend le chant des pleureurs-supputeurs journalistes nous expliquer que… Enfin les chansons habituelles.
Pratiquement rien pour eux :
https://i.goopics.net/4vkQb.png
Si on leur repassait toutes les inepties d'experts qu'ils ont pu dire, un trou de souris serait démesuré, journaliste-sportif-comique... Bon il faut bien vivre aussi, mais la gamelle a un drôle de goût.
D'ailleurs en guise d'acte de contrition, dix fois la Marseillaise sans s'asseoir, au moins ils verraient de haut le poids de leur bêtise parfois incommensurable.
Les détracteurs d’Aimé Jacquet se reproduisent à l'infini.
Rédigé par : Giuseppe | 29 juin 2019 à 22:16
Quand le président de la République, qui a bien fait d'aller les rencontrer avant l'ouverture de la Coupe du monde (...)
Ah, du pain, des jeux et César...
Enfin je dis César, façon de parler.
Et pendant que le monde politique crée des diversions avec les jeux du cirque, la fessée, la limitation de vitesse, la canicule et la provenance du miel, dans la vraie vie de la France occupée voilà ce qui se passe réellement :
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/un-commissariat-de-l-eure-attaque-par-des-jeunes-aux-cris-d-allah-akbar-20190628
Et comme d'habitude, quand il n'a pas affaire à des Gilets jaunes, ce gouvernement collaborationniste ne voit rien, n'entend rien, ne dit rien et joue les carpettes...
Rédigé par : Exilé | 29 juin 2019 à 20:49
Vous êtes ahurissant de plaquer vos obsessions (et le déclassement du mâle blanc semble être une des vôtres) et de travestir la réalité à ce point:
"La parité, obsession d'aujourd'hui, exige que pour les deux sexes, on célèbre le meilleur et qu'on déplore le pire. Une défaite n'est pas tragique mais c'est de la condescendance à l'égard de nos joueuses que de leur manifester une indulgence excessive comme si elles ne pouvaient pas avoir droit à la vérité."
Ecoutez, allez regarder les comptes rendus et les directs des matchs sur So Foot (vous devez connaître si vous aimez le foot), je vous mets au défi de trouver le moindre commentaire condescendant: c'est comme en foot masculin, quand une joueuse ou une équipe jouent mal, ils le disent.
Quant aux propos de Macron, mais qu'attendiez-vous d'un homme politique parlant de sport ?
La parité n'est pas l'"obsession d'aujourd'hui", c'est surtout la vôtre !
Rédigé par : Tomas | 29 juin 2019 à 20:22
Franchement je n’imaginais pas qu’en disant que "les Bleues ont gagné définitivement le cœur des Français", Emmanuel Macron serait accusé de sexisme, fût-il de velours.
Je n’y vois aucune "forme de tendresse un peu mièvre, presqu'offensante". Peut-être, effectivement, une galanterie au demeurant fort naturelle pour des joueuses qui se sont bien battues contre des adversaires qui étaient, quand même, les championnes du monde en titre.
Si vous aussi, Philippe Bilger, vous vous laissez emporter par l’anti-macronisme primaire, où va-t-on ? Pas vous !
Laissez ce comportement ridicule à certains des commentateurs de votre blog. Cela suffit largement. D'avance merci !
Rédigé par : Achille | 29 juin 2019 à 19:12
Pour résumer, elles ont perdu... et c'est la faute à Macron. Quand on n'a rien à dire sur le sport, vite, vite, un peu de Macron bashing, il ne faut pas perdre la main...
Rédigé par : JP Gautier | 29 juin 2019 à 18:37
Rien n’égale les lanceuses de poids soviétiques, si Poutine en massait un régiment à nos frontières, on se retrouverait en moins de deux dans le wagon de Montoire.
Rédigé par : Savonarole | 29 juin 2019 à 18:27
J'ai regardé intégralement la première mi-temps : d'évidence, les Françaises ont été dominées par les Américaines, le score en faisant foi.
J'ai repris le match juste après le but marqué par les Françaises. Objectivement, elles ont au minimum fait jeu égal avec leurs adversaires et les ont souvent dominées, mais la défense américaine s'est révélée excellente pour éviter le deuxième but malgré le forcing excellent des Françaises.
On peut aussi reconnaître que l'arbitrage n'a pas été tout à fait neutre dans la mesure où le penalty indéniable (main, apparemment involontaire, d'une Américaine dans la surface de réparation française) n'a pas été sifflé par l'arbitre. En cas de marquage d'un deuxième but au penalty, peut-être que les Françaises auraient pu obtenir les prolongations et, qui sait ? obtenir le gain du match... On peut rêver !
En tout état de cause, elles ont tout de même fait bien mieux que l'équipe masculine face à la Turquie !! Elles n'ont donc pas à rougir de leur prestation, d'autant que la plupart des joueuses ont une technique excellente, voire remarquable, individuellement en face à face avec leurs adversaires.
Cela, c'est l'aspect purement sportif. En revanche, comme d'habitude, c'est bien la presse qui en avait fait des finalistes et même des championnes du monde.
Rédigé par : Robert | 29 juin 2019 à 17:39
Elles ont perdu !
C'est dommage pour le football féminin qui va doucettement retourner à une confidentialité étouffante ;
c'est dommage pour les joueuses qui voient s'envoler leurs espoirs d'un meilleur traitement salarial ;
c'est dommage pour les vendeurs d'articles de sport féminin et les marchands de grigris footballistiques hexagonaux privés d'une opportunité commerciale.
Mais il faut positiver : cela prive le freluquet d'une occasion de se pavaner comme le geai de la fable et de brader la Rouge !
Rédigé par : revnonausujai | 29 juin 2019 à 17:04
Plutôt amateur de rugby c’est la première fois que je regarde un match de foot dans son intégralité avec jubilation.
Quelle énergie chez ces femmes, quelle simplicité, quelle joie dans leur jeu !
La femme est l’avenir de l’homme sur le gazon aussi.
En plus elles sont gracieuses... même Rapinoe...
Rédigé par : sbriglia | 29 juin 2019 à 17:01
"Quand le président de la République, qui a bien fait d'aller les rencontrer avant l'ouverture de la Coupe du monde, rend hommage après leur élimination à "leurs efforts et à leur talent" mais croit les consoler en relevant "qu'elles ont gagné définitivement le coeur des Français" alors qu'elles ont perdu le match - seulement un quart de finale -, il instille un sexisme de velours. En quelque sorte c'était bien assez, bien suffisant pour elles et les traiter de la sorte, avec une forme de tendresse un peu mièvre, serait presque offensant si nous n'avions pas au fond de nous le désir d'une parité mais atténuée par une galanterie révélant que nous n'osons pas, à déceptions égales, en tirer les mêmes conséquences pour les hommes et les femmes."
Il est possible, comme Macron a été traité d’efféminé, d'homosexuel, de bisexuel, de jeune épousant une femme lui faisant office de mère, qu’il pense prendre une allure plus virile en donnant dans le sexisme.
Parce qu'on croit souvent qu'un homme viril serait sexiste... Bref, je soupçonne Macron de passer son temps à se servir de tout le monde, et de mépriser, je pense assez impartialement, les hommes et les femmes, beaucoup de gens.
Et pourquoi pas ? Il y a bien des gens à traiter les autres de femmes, y compris des femmes, quand ils ne leur plaisent pas. Est-ce que cela ne pousse pas au mépris ?
Je ne l'aime pas d'avoir pris les Gilets jaunes de haut, mais n'avait-il pas le droit d'aimer quelqu'un de plus âgé que lui, eh oui, on parle de discrimination selon le sexe, la richesse, les mœurs, mais on oublie l'âge.
Et quand on méprise, on a tendance, soit à se retirer, soit à manipuler... Il ne se retire pas, il n'a pas diminué son arrogance, alors, certes, je ne suis pas dans son esprit, mais il m’apparaît des plus probables qu'il se soit lancé dans une manipulation des plus évidentes, et sans doute des plus efficaces, je le crains.
Rédigé par : Noblejoué | 29 juin 2019 à 16:59
Les Bleues n'ont pas démérité. Les Etats-Unis sont au foot féminin ce que le Brésil est au foot masculin. Bravo à elles !
Ainsi que le fait remarquer leur coach, il y a encore du travail, mais cela ne leur fait pas peur et un jour viendra où elles iront "au bout".
Le taux d’audience, qui n’a rien à envier aux compétitions masculines, est là pour montrer que le football féminin est en train de prendre son essor. Ne reste plus qu’à aligner les primes sur celles de leur collègues masculins en espérant toutefois que cela ne dénaturera pas leur bel esprit d’équipe et leur simplicité, qui les rendent si sympathiques.
Rédigé par : Achille | 29 juin 2019 à 14:00
"...mais croit les consoler en relevant "qu'elles ont gagné définitivement le coeur des Français" alors qu'elles ont perdu le match - seulement un quart de finale -, il instille un sexisme de velours. En quelque sorte c'était bien assez, bien suffisant pour…" (PB)
Seule la victoire est belle ! De Pierre Berbizier après sa finale gagnée alors que les journalistes lui reprochaient la manière.
<< 13 mars 2019 - Pierre Berbizier : « Si je regarde la première période de dimanche dernier à Dublin, le quinze de France n'existe pas, n'existe plus.>>
C'est tout lui, la victoire au bout, seule la victoire compte tout le reste est littérature, monter sur un podium est la pire des défaites si ce n'est pas sur la première marche. Mieux vaut finir dans le peloton.
Et souvent dans les arrivées d'étape il y a un temps d'observation où un seul s'échappe et les autres de se regarder pour savoir qui y va.
Et de finir deuxième ou troisième sans disputer ses chances. Le pire de tout.
Notre capitaine de pédalo national en fut le plus triste des exemples, il n'arrête pas de faire des commentaires sur la vie politique, croyant qu'il peut encore exister. Il n'est plus rien, nada, lui justement le pire de tous, perdre sans défendre ses chances.
Il est bien un énarque, un poulet élevé en batterie, il est un loser qui a beau se croire encore dans la course, pauvre de lui, une majorité n'en veut plus, la preuve, il avait soutenu le PS aux européennes on a vu avec quel bonheur, un parti de cabine téléphonique.
Et toujours des goûts de luxe pour le Palmipède, des réunions dans des locaux bien soyeux pour leurs éminences. Pauvre PS ils n'a toujours rien compris, lui qui devait poser son siège social près des masses laborieuses, l'odeur de la sueur doit sans doute doit le déranger, la transpi les incommode, cette gauche truffe et en même temps caviar.
Le couple de la nullité politique humaine et sociale, du gaspillage de notre pays et de nos valeurs : Heuliez, des portiques à la ferraille, de l'immobilisme, d'une école sans imagination etc.
Nicolas Sarkozy a bien habillé son ex et son incompétence, elle pourra ainsi passer l'hiver glacial des pôles avec le manteau bien chaud qu'il lui a posé sur les épaules.
Et l'autre, Flanby pour l'histoire, voudrait peser sur ce qui lui échappe, n'a rien vu venir et ferait croire en une parole qui pèse.
Seuls les journalistes soucieux de leur commerce, et de valoriser leur fonds, passent encore dans son échoppe, pour le rire.
Le pire des Présidents de la Ve et sans doute la pire ministre de l'Ecologie que Jadot sentant la vie nouvelle, a écarté de son landscape. Car lui savait qu'elle ne valait pas pipette et qu'elle ne lui apporterait que des déboires.
Un écolo qui avait du nez en plus de l'odorat pour sentir l'air du temps, il a pris le melon mais on lui pardonnera c'est la saison qui est aussi éphémère.
Rédigé par : Giuseppe | 29 juin 2019 à 13:58
"Les jolies Bleues"
"Quand le Président de la République... instille un sexisme de velours".
Vous avez sans doute raison cher P. Bilger.
Pour ma part, au-delà des banalités d'usage - sauf celle que vous notez -, je crois le Président pas mécontent de ne pas avoir à recevoir, féliciter et embrasser ces jolies "Bleues".
Toute sa com', jusqu'à ce jour, sauf erreur très volontaire de ma part, le montre entouré de sportifs (et non de sportives) musclés, souvent assez dénudés, et les câlinant, quasiment les palpant, comme je voyais autrefois un ami très cher palper les taureaux dont il faisait l'élevage.
Comparaison n'est pas raison certes... mais "sexisme de velours" ou pas, sexisme quand même !
Cordialement.
Rédigé par : boureau | 29 juin 2019 à 13:44
Oui, les Françaises ont perdu en quart de finale contre les Américaines qui étaient plus fortes et qui seront peut-être championnes du monde.
Il n’en demeure pas moins qu’elles ont fait preuve d’esprit d’équipe, qu’elles n’ont pas la grosse tête, qu’elles sont sympathiques. Elles sont en effet différentes par beaucoup de points de vue de leurs collègues masculins.
Rédigé par : Marc GHINSBERG | 29 juin 2019 à 12:34