L'ancien président de la République a de grandes qualités d'intelligence, d'énergie et de communication. Il les a démontrées lors d'un quinquennat même imparfait après une campagne éblouissante en 2007.
Il paraît que, depuis l'échec des européennes, "l'ombre de Sarkozy plane toujours sur la droite" (Le Monde).
J'ai dit à quel point celle-ci authentique, sincère, convaincue et convaincante, me manquerait si jamais elle venait à disparaître comme peu ou prou le parti socialiste. Je maintiens que "sans ma droite", en effet, "je serais mal", comme je l'ai écrit dans mon billet du 7 juin 2019.
Mais l'espace politique dévolu à la pensée conservatrice, à un projet mettant au premier plan l'efficacité économique, la justice sociale, l'autorité de l'Etat et la morale publique est-il donc si pauvre qu'on ne puisse pas imaginer, pour l'occuper valablement, quelqu'un d'autre que Nicolas Sarkozy ? Quelle étrange maladie est donc celle d'une droite qui semble plus désireuse de gratter ses plaies que de les oublier ? Plus éprise d'un homme providentiel plombé par les défaites que d'une personnalité encore vierge face à l'avenir et à l'exercice du pouvoir ?
Serait-il offensant de soutenir que Nicolas Sarkozy n'est pas forcément désiré par les Français si lui, paraît-il, selon Hubert Falco, est prêt à les sauver. Brice Hortefeux, l'ami fidèle, ne cesse pas de nous seriner la même chanson au point de rendre prévisibles tous ses propos.
Je me demande si on ne cherche pas à enkyster dans la tête des citoyens de droite, pour que le futur du redressement soit impossible, l'idée que seul un Nicolas Sarkozy, pourtant démonétisé, serait à même de sauver ce camp du naufrage.
Parce que Laurent Wauquiez a dû assumer ses responsabilités en se mettant en retrait, parce que naturellement un arbitrage va devoir se faire entre des ambitions présidentielles à la tête du parti - je songe notamment à Bruno Retailleau - et une gestion consensuelle et d'attente avant 2022, genre Christian Jacob, il faudrait faire sortir Nicolas Sarkozy de sa boîte somptuaire ?
Avant même que LR, par ses propres moyens, reprenne vie politique en puisant dans un vivier que ses adversaires jugent à tort médiocre, il conviendrait, toutes affaires cessantes (si j'ose dire), de précipiter l'irruption renouvelée d'un Nicolas Sarkozy faisant don de sa personne aux militants et sympathisants de droite comme si l'impatience de ceux-ci était à son comble ?
Et si c'était l'inverse ? Si ce parti ne pouvait espérer sortir de la nasse qu'en se « débarrassant » définitivement de Nicolas Sarkozy, en cessant de permettre à celui-ci de nourrir l'illusion permanente qu'on l'attend et qu'on a besoin de lui ?
Certes tout le monde a le droit de fantasmer sur un retour qu'on s'acharne à nous présenter comme inévitable et nécessaire mais il n'empêche qu'on se moque du monde.
Je tiens pour rien l'absence totale de soutien à la liste Bellamy en même temps qu'était mise en scène la complicité de Nicolas Sarkozy avec le président de la République.
Mais peut-on occulter que ce "leader naturel", comme on l'appelle, de la droite a été battu en 2012 (on ajoute toujours de peu pour faire bien !) et que, prétendant se désintéresser de la vie publique, il a été lourdement défait lors de la primaire de la droite et du centre dont François Fillon, son ancien "collaborateur", est sorti vainqueur ?
Ce peut être une méthode, mais étrange, que d'exploiter les rogatons au lieu de se consacrer au repas principal mais elle me semble suicidaire.
Nous devrions éclater de rire, pourtant, si l'enjeu démocratique et politique ne nous l'interdisait pas, quand le plus sérieusement du monde on vient nous expliquer que Nicolas Sarkozy est une "figure tutélaire" - qu'on nous préserve alors de telles figures qui ne rassurent pas mais troublent et clivent - et surtout "une autorité morale".
A-t-on une si piètre image de la chose publique, la considère-t-on à ce point condamnée aux transgressions et à l'imperfection - pour soi ou/et le parti - qu'on n'ait pas le moindre scrupule, pour qualifier d'autorité morale, un ancien chef d'Etat englué depuis 2012 dans une série de procédures - un record ! - dont deux sans doute, si la Cour de cassation ne s'y oppose pas, vont entraîner son renvoi devant un tribunal correctionnel : dans l'affaire Bygmalion, concernant le financement de sa campagne de 2012, et dans celle relative à Gilbert Azibert, pour corruption et trafic d'influence.
On vient d'apprendre que le PNF a ordonné une enquête pour un usage immodéré de grosses coupures (billets de 500 euros) par Nicolas Sarkozy à la suite d'une perquisition, à la fin de l'année 2017, ayant fait apparaître cet élément. Il faisait retirer chaque mois 2 000 euros en grosses coupures. Il a fourni des explications qui devront être vérifiées pour déterminer si cette pratique compulsive n'a pas de lien avec l'affaire libyenne (Mediapart, Le Parisien).
Alors autorité morale, une telle personnalité ? Qu'on me pardonne mais si elle l'est, je préfère me contenter de moins d'autorité et de plus d'éthique.
Tant que Nicolas Sarkozy sera jeté, apparemment tel un recours mais profondément comme un frein, dans les roues de la droite, elle fera du surplace. L'homme providentiel est un leurre, surtout quand il a déjà servi, qu'il a été battu à deux reprises et qu'il n'a pas été précisément un exemple moral.
Il nous avait promis une République irréprochable en 2007 : on a constaté à quel point notamment dans le domaine judiciaire son mandat a été une transgression quasi permanente.
L'un de ses proches nous annonce "qu'il ne reviendra pas sauver le parti mais le pays, pourquoi pas".
Et si on laissait le parti et le pays se débrouiller sans lui ?
@ Zonzon - "Rue de Vaugirard" | 19 juin 2019 à 07:28
"Un économiste libéral distingué part en vacances chaque fois qu’un fonctionnaire se suicide."
Maintenant que vous m'y faites penser, le suicide de masse serait, en effet, une excellente solution pour nous débarrasser des fonctionnaires. Je conçois qu'un vieux prof vicieux comme vous soit contre, mais, que voulez-vous, il va bien falloir que, pour une fois, votre corporation fasse quelque chose pour la nation.
Quant aux économistes libéraux, distingués ou non, ils font clairement partie d'une race supérieure, par rapport à ce type humain dégénéré qu'est le fonctionnaire français.
Il est juste et bon qu'ils bénéficient de six mois de vacances par an.
Rédigé par : Robert Marchenoir | 19 juin 2019 à 15:33
Un économiste libéral distingué part en vacances chaque fois qu’un fonctionnaire se suicide.
Rédigé par : Rue de Vaugirard | 19 juin 2019 à 07:28
@ Michel Deluré | 18 juin 2019 à 08:51
@ Tipaza | 17 juin 2019 à 23:06
Vu le nombre de rues, d’avenues, de places, sans oublier les gares parisiennes (très importantes au Monopoly), le gugusse a de quoi tenir sur ce blog pendant au moins trois ans à raison de dix commentaires par jour ! :)
Rédigé par : Achille | 18 juin 2019 à 09:44
@ Achille 17/06 20:00
Il va effectivement bientôt être nécessaire de mettre à jour en continu son GPS pour naviguer sur ce blog car de nouvelles appellations apparaissent au fil des commentaires !
Rédigé par : Michel Deluré | 18 juin 2019 à 08:51
- Il est long mais il est creux. Infiniment long ! Insondablement creux !
- Un curieux personnage !
- Curieux, pas tant que ça !
- Pourquoi donc ?
- Il a toujours la main sur sa colonne ?
Rédigé par : Place Vendôme | 18 juin 2019 à 08:14
En cette triste epoque et desormais terrifiee a la pensee d'une "Rue Lauriston" sur le net, je me contente de lire et de m'instruire quotidiennement notamment sur ce blog...
Bonne nuit a tous/toutes
Rédigé par : Valerie | 18 juin 2019 à 00:57
@ Achille | 17 juin 2019 à 20:00
« Ce n’est plus un blog ici, c’est un jeu de Monopoly ! »
Et ces faquins oublient de parler de la rue du Bac, aujourd’hui !
Et puis quel parisianisme de bas étage, pas un mot, pas un seul depuis un de ces ronds-points qui ont fait plier la macronie et délier les cordons de la bourse d’un État endetté, un bel exploit.
Rédigé par : Tipaza | 17 juin 2019 à 23:06
Ce n’est plus un blog ici, c’est un jeu de Monopoly ! :)
Rédigé par : Achille | 17 juin 2019 à 20:00
@ Rue des Ecoles 17/06 17:40
Truisme peut-être mais que certains qui critiquent ceux qui se sont indignés du commentaire de Patrice Charoulet semblent pourtant ignorer !
Rédigé par : Michel Deluré | 17 juin 2019 à 18:54
@ Avenue du Château de Vincennes | 17 juin 2019 à 13:40
@ Rue de la Grange-aux-Belles | 17 juin 2019 à 09:37
@ Rue de l'Ancienne-Comédie | 17 juin 2019 à 07:33
@ Rue des Écoles | 16 juin 2019 à 07:34
La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne et
La pratique, c'est quand tout fonctionne mais que personne ne sait pourquoi.
Rédigé par : Chemin des Remparts | 17 juin 2019 à 18:47
Une fois encore Xavier Nebout [ 16 juin 10 h 42, 10 h 54 ] sauve ce qui peut l’être de notre espace civilisationnel européen.
Il le fait calmement face à un mur qui ne vibre plus depuis longtemps ; un écran qui ne dissimule que la déchéance et la mort.
Rédigé par : Rue de l'Abbé-de-l'Épée | 17 juin 2019 à 18:11
@ Pierre Blanchard 16 Juin 13 h 13
Sachez Monsieur que je ne saurais rechercher des leçons de finesse venant de vous ou de votre entourage. En revanche j’ai parfaitement conscience que je vous déplais !
L’utilisation du pseudo « Rue des Écoles » est parfaitement honorable. Peut-être ignorez-vous que cette rue court de la Faculté des Sciences à la Sorbonne en passant subrepticement devant le Collège de France et que jadis l’École Polytechnique lui montrait son c*l !
Plus quartier Latin tu meurs !
Merci de m’oublier Monsieur !
--------------------------------------------------
@ Michel Deluré 17 juin 8 h 47
"On reconnaît aussi un ami, un véritable ami, à la capacité qu'il a justement d'énoncer ses désaccords, ses désapprobations, avec pour seul objectif le sentiment de rendre service à celui avec lequel on partage cette amitié. "
Merci Monsieur de nous avoir fait connaître ce truisme !
Rédigé par : Rue des Écoles | 17 juin 2019 à 17:40
@ Savonarole 17 juin 10 h 59
Dans « Le voyage » il dit que la campagne c’est un endroit où on ne rencontre jamais personne et où les chemins ne mènent nulle part !
J’aime !
Rédigé par : rue Campagne-Première | 17 juin 2019 à 17:13
@ Patrice Charoulet
"Un universitaire français risque-t-il de mourir pour exposer des opinions philosophiques, qui sont dans le cas d'espèce particulièrement raisonnables ? Un autre me dit : "Shame on you !". C'est la meilleure, celle-là ! Honte de quoi, de recommander un blog et de regretter l'usage de pseudo quand on l'écrit ?"
On peut risquer moins que la mort, et risque ou pas, chacun est maître de ses secrets.
Exemple, Untel tient un journal intime... Risque-t-il la mort si on prend connaissance de ce qu'il y écrit ? En général, non, mais cela n'en constitue pas moins un abus. Si quelqu'un vous avait rendu service, iriez-vous divulguer cette prose pour montrer la beauté de son âme ? Mon coeur s'en soulève.
Les pensées, comme les autres actes de notre vie, ont un aspect public comme un aspect privé, un dosage dont chacun est le maître.
Vous n'avez pas à changer la recette du cocktail d'un autre !
Le nom est public comme privé, le nom public, le patronyme est le nom des ancêtres, des voisins, de l'administration.
Le pseudonyme est le nom par lequel non seulement on se protège mais on se recrée. Le secret est la profondeur de l'être, ce qui n'est pas appréhendable donc pas contrôlable par l'autre et une profondeur en soi qui vous détache de toute superficialité pour vous relier au monde.
Honte à vous d'en divulguer un. Et cela sur quelqu'un que vous appréciez, c'est le rendre le mal, un bon blog, pour le bien ; oui, honte à vous, car vous êtes indiscret et ingrat.
Vous rendez les autres assignables à ce qu'ils subissent, un patronyme, et non ce qu'ils créent, un pseudonyme, diminuant leur liberté, gâchant leur oeuvre.
Que vous le compreniez ou non, il faut respecter les choix des autres, que diriez-vous, en sens inverse, si on vous obligeait à intervenir sous pseudonyme ?
Qu'un secret soit facile à lever ou pas ne change rien à l'affaire. Deux choses protègent les secrets, une vigilance sans relâche de celui qui les garde, mais plus encore, la paresse du public qui en général ne se met pas en peine de percer des mystères qui ne le regardent en rien.
Tout le monde craint pour ses secrets, j'appréhende aussi un monde où des gens comme vous lèveront tous les masques.
Affreux, mais je crains bien que nous y allions mais comme dit Jésus, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu'ils font.
Rédigé par : Noblejoué | 17 juin 2019 à 14:19
@ Claude Luçon 16 juin 17 h 16
"Mettez cela sur le compte de l'obsession d'un vieux pétrolier pour la sécurité !
En l'occurrence la vôtre sur ce blog suite aux notes de : 1. Rue des Écoles, 2. Robert Marchenoir, 3. Ellen, 4. Pierre Blanchard, 5. Exilé , 6. Noblejoué, 7. Tipaza, encore cinq et les douze d'un peloton d'exécution sera au complet !"
Monsieur,
Dois-je comprendre que vous me mettez dans le peloton d’exécution de Monsieur Charoulet ?
Il faut vous expliquer là-dessus ! S’il vous plaît !
De plus je me permets de porter à votre connaissance que je ressens un malaise certain de voir mon pseudo accolé à celui du n°2 : un triste sire !
Rédigé par : Avenue du Château de Vincennes | 17 juin 2019 à 13:40
@ rue de la Grange Batelière
Le pire est à craindre pour nos enfants qui verront un jour des rues ou monuments débaptisés en faveur de nos célébrités contemporaines récemment décédées.
- Une impasse Alain Juppé (et en sens unique pour bloquer la circulation).
- L'Hôtel de la Monnaie rebaptisé Hôtel François Fillon.
- L'hôpital Sainte-Anne pour "Hôpital Jean-Luc Mélenchon".
- François Bayrou pour les Catacombes de Paris.
- Chez Castel ou Michou rebaptisés "Chez Ségolène Royal".
Il ne tient qu'à vous de compléter ce qui nous pend au nez si Macron fait dix quinquennats et Hidalgo reste maire de Paris jusqu'en 2042.
Pensez à vos enfants...
Rédigé par : Savonarole | 17 juin 2019 à 12:38
Oh, la belle grange de derrière le buisson aux abeilles, oh, le fripon des affects refusés qui se réfugie derrière les dénonciations de la meute quand elles ne l'entraînent pas lui-même sur le chemin des désarrois de ses propres détestations, le masque, même des patronymes, ne bâille jamais que sur un autre masque, et la terreur alors ouvre sur les abîmes du rire, indique le chemin du renoncement à tous les désirs haineux, tous les "unsex me" de l'indifférenciation violente, ce chemin de l'analogie nuptiale claudélienne :
Ysé
C'est l'amour, Mesa, et je ne l'appellerai
point une chose bonne et usagère, et l'on plaint
ce fou qui ne sait point s'en servir
A tempérament pour son plaisir et le bien
de son ménage comme le feu bien fait
Qui cuit sous la soupe et qui fond l'or sous le
chalumeau.
(Partage de midi, P.Claudel.)
Cette analyse biblique du Partage est intéressante :
"Ainsi, au dénouement, le désir que Mesa et Ysé ont l’un de l’autre participe du désir même de Dieu sur chacun: il est désir de la créature en gloire. Dans Le Soulier de satin, Rodrigue le formulera ainsi: «Ce que j’aime, ce n’est point ce qui en elle est capable de se dissoudre (...), c’est ce qui est la cause d’elle-même (...) cette étoile sans le savoir au fond d’elle-même qu’elle est (...) l’être tout nu, la vie pure (...) cet amour aussi fort que moi sous mon désir comme une grande flamme crue, comme un rire dans ma face! (...)Seule l’étoile qu’elle est peut rafraîchir en moi cette soif affreuse.»
Dans Partage de Midi, Claudel cherche donc à montrer que, si «les questions ne sont pas posées» et si «l’amour entre l’homme et la femme n’est qu’une comédie», c’est faute de rapporter ce mystère à un autre plus profond, qui seul peut vraiment en rendre compte sans le gauchir ni le limiter: le mystère de l’amour divin, de sa livraison eucharistique, auquel l’amour humain est convié à participer. Mystère qui se formule tout entier à l’occasion d’un drame, drame de la Croix, drame crucial qui change le cours de l’histoire et le sens de l’amour humain, drame qui met fin à la mauvaise comédie de l’amour. Au terme de cette analyse, on peut résumer ainsi le discours claudélien sur l’amour dans Partage: de nature eucharistique, l’amour nuptial est livraison d’un cœur ouvert qui rejoint le cœur béant et le don du crucifié; de nature métaphysique, il diffuse l’étonnement d’Adam devant la merveille de l’existence et du maintien dans l’être d’un autre que soi, dont on perçoit battre le cœur et auquel on co-naît («Et par la pulsation même de ma vie ce mouvement par qui tu existes»).
Comme nous l’écrivions en commençant, on pourra toujours discuter pour savoir s’il y a là, ou pas, une conception absolue de l’amour. Si ce qui touche à Dieu relève de l’absolu, alors, en effet, Partage ne quitte pas celui-ci, et passe juste d’un absolu à un autre, considérant le premier comme une tentation, le second comme un horizon béatifique et salvifique, à recevoir dans la conversion du cœur. Mais il convient plutôt, en toute rigueur, de changer de terme, puisqu’on change de notion. A y regarder de près, si on prend en compte l’intertexte biblique utilisé par Claudel, il est en tout cas certain que son discours sur l’amour est le déploiement dramatique et le commentaire éperdu de la grande analogie nuptiale qui traverse la Bible. On ajoutera pour finir qu’à l’issue de l’œuvre théâtrale de Claudel, un couple venu du fond des âges, Tobie et Sara, terminera autrement que dans la mort son aventure nuptiale, et rendra autrement plus accessible l’union de l’homme et de la femme, dans la simplicité de l’esprit d’enfance. Ce qui pouvait encore demeurer de l’absolu romantique aura alors été définitivement congédié par Claudel."
http://www.paul-claudel.net/sites/default/files/file/pdf/H%C3%A9l%C3%A8ne%20de%20Saint%20Aubert%2C%20L%27intertexte%20biblique%20dans%20Partage%20de%20Midi.pdf
Si vous n’êtes pas Zonzon, vous lui ressemblez comme un frère, à l'ombre tutélaire des hommes providentiels finalement révélés derrière le leurre démasqué de leur autorité morale.
Rédigé par : Aliocha | 17 juin 2019 à 11:18
Dans le Voyage au bout de la nuit, on trouve un "Boulevard de la Révolte", c'est curieux que les Français amateurs de révolutions en tout genre, jacqueries, soulèvements, putsch de généraux et j'en passe, n'aient jamais pensé à un Boulevard de la Révolte.
Rédigé par : Savonarole | 17 juin 2019 à 10:59
Concernant l’affaire des pseudos, puisque cette polémique est relancée une nouvelle fois et ceci toujours par le même intervenant qui en a fait une fixette je distinguerai deux cas :
- Ceux qui utilisent toujours le même pseudo et s’y tiennent. C’est mon cas, puisque depuis environ huit années que je viens sur ce blog, j’ai toujours utilisé ce même pseudo et l’utiliserai toujours.
- Ceux qui changent de pseudo en permanence. Exemple Rue des Ecoles, Rue de l'Ancienne-Comédie, qui généralement ne répondent pas au billet et dont les commentaires ont pour seul objectif, pas très glorieux, de harceler un autre commentateur. Robert Marchenoir qui n’a pas que des amis en est régulièrement la victime et pas seulement sur ce blog semble-t-il.
Dans le premier cas, le pseudo fixe, il s’agit d’une précaution élémentaire pour éviter que des curieux obsessionnels aillent fouiner dans votre vie privée, ce qui peut facilement se justifier quand on voit ce qui se passe sur ce blog.
Dans le second cas, il s’agit clairement de trolls malintentionnés et qui font preuve d’une fourberie qui ne peut inspirer que mépris.
Rédigé par : Achille | 17 juin 2019 à 10:02
"À première vue votre style ressemblerait pas mal à celui de Monsieur Zonzon. La même famille de pensée sans doute." (Lucile 16 juin 12 h 03)
Madame,
Ce n’est un secret pour personne que les relations malaisées qu’entretint Monsieur Zonzon avec vous furent, dès le départ, de nature affective.
Ce malheureux – probablement un rêveur mélancolique ayant en mémoire ces magnifiques pages romantiques que Chateaubriand consacra à sa sœur – avait des visées sur vous autres que « bloguiste » !
Nous ne le saurons probablement jamais car il appert que ce personnage – que vous citez sans vergogne – a disparu des radars depuis longtemps et n’est pas près de revenir dans un lieu où il ne récolta qu’avanies et framboises !
Que son style « ressemblerait pas mal au mien » est une bêtise de première grandeur que vous auriez pu nous épargner, pour la raison simple que je n’en ai aucun – je n’en ai pas les moyens – et que, par votre remarque incongrue, vous risquez de porter préjudice à cet être absent, lequel en avait probablement un puisque vous vous permettez de l’évoquer !
Comme vous vous permettez d’émettre une supposition selon laquelle il y aurait un lien aussi tenu avec ce personnage, je vous demanderais de bien vouloir adopter à mon égard la même attitude que vous eûtes avec lui : celle d’un profond mépris !
Respectueusement vôtre
Rédigé par : Rue de la Grange-aux-Belles | 17 juin 2019 à 09:37
@ Cyril Lafon 16/06 12:03
En la circonstance, le problème n'est pas que Patrice Charoulet ou tout autre soit contre l'anonymat mais bien qu'après investigation personnelle, il révèle publiquement et certainement sans le moindre accord des informations privées que ceux qui ont choisi cet anonymat voulaient justement, et peut-être pour des raisons parfaitement valables, cacher.
Rédigé par : Michel Deluré | 17 juin 2019 à 09:10
@ Patrice Charoulet
J'espère que vous ne m'en voudrez pas d'intervenir caché sous mon pseudo ! J'ajoute qu'une fois j'ai fait un dérapage de clavier incontrôlé et je me suis présenté sous mon nom ; il ne sera alors pas difficile aux détectives de ce blog de m'identifier !
Même si je ne partage pas tout ce que vous écrivez, soyez assuré que vous êtes un commentateur appréciable et apprécié. Vos posts sont clairs, correctement écrits, jamais insultants, souvent pertinents même si certains sont hors sujet. On ne saurait en dire autant de tous nos collègues...
Alors, laissez japper la meute, tout cela n'est que poussière et fumée. Et continuez à soutenir LR mordicus. Ils en ont bien besoin !
Rédigé par : Alpi | 17 juin 2019 à 09:09
@ Exilé
"Le fait de remplacer définitivement les espèces par une « monnaie plastique » pleine de puces, nous fait glisser petit à petit vers une société de type 1984.
Il sera alors possible pour le régime en place de condamner n'importe qui à la mort sociale d'un seul clic de souris, en bloquant tous ses moyens de paiement voire autres moyens d'identification et d'accès à des services divers.
A-t-on seulement pensé à ce pourrait arriver - ce qui est loin d'être une simple vue de l'esprit, des exemples ont existé - en cas de panne informatique de grande envergure ?"
Toujours le sens de la nuance, cher Exilé ! C'était mieux avant. Nostalgie, nostalgie...
La carte en plastique existe depuis des décennies et a, je crois, démontré sa facilité et sa commodité.
Maintenant si vous préférez les grosses coupures, rien ne vous l'interdit... jusqu'à 1 000 €.
Le coup de la panne informatique, on nous l'a déjà fait il y a 19 ans. Et on a vu ! Rien, nada, niente, nothing !
Rédigé par : Alpi | 17 juin 2019 à 08:50
@ Cyril Lafon
« Pour les réseaux sociaux, je suis favorable à l'interdiction des pseudos, je milite pour une société de transparence et de lucidité totales pour toute personne qui s'expose publiquement. »
Et selon la même logique, exigeons que les fonctionnaires de police cessent de s'affubler d'une cagoule pour interpeller certains malfaiteurs...
Rédigé par : Exilé | 17 juin 2019 à 08:50
@ Patrice Charoulet 17/06 07:42
"J'observe qu'aucun de mes amis d'ici n'a participé à la curée".
On reconnaît aussi un ami, un véritable ami, à la capacité qu'il a justement d'énoncer ses désaccords, ses désapprobations, avec pour seul objectif le sentiment de rendre service à celui avec lequel on partage cette amitié.
Rédigé par : Michel Deluré | 17 juin 2019 à 08:47
A LA MEUTE
Un de mes amis d'ici m'avait dit il y a quelques semaines par mail qu'il m'admirait (!) de ne pas réagir à des attaques dont j'avais été la cible.
Cette fois, je reprends le terme utilisé par un intervenant, une meute a entrepris de me dépecer.
J'observe qu'aucun de mes amis d'ici n'a participé à la curée.
Je les connais, ils me connaissent. Nous échangeons par divers moyens (mails, téléphone...).
Presque tous les membres de la meute avaient d'autres choses à me reprocher que l'acte prétendument répréhensible que j'aurais commis au sujet d'un blog philosophique dont je recommande la lecture. Cela sonne plutôt comme un règlement de comptes.
J'ai très bonne conscience. Je resterai qui je suis. Je continuerai à penser ce que je pense et à écrire ce que je veux écrire. Malgré la meute, dont je n'envie pas le comportement.
Bonjour, chers amis !
Rédigé par : Patrice Charoulet | 17 juin 2019 à 07:42
"Mais que deviendrait ce blog sans Robert Marchenoir qui sait tout sur tous et a réponse à tout, itou… je vous le demande ! Au point que contester ses fanfaronnades semble à certains de ses admirateurs compulsifs, sacrilège !" (Mary Preud’homme 16 juin 20 h 38)
En face de ses compagnes, toutes roucoulantes devant le monstre des abysses, Mary Preud’homme sauve l’honneur de son sexe !
Rédigé par : rue de l'Ancienne-Comédie | 17 juin 2019 à 07:33
Il est vrai que la photo d'illustration choisie est particulièrement cruelle... nous montrant un Sarko usé, dépressif et au plus bas de sa forme, ce qui doit combler d'aise ceux qui n'ont eu de cesse de le flageller, de le salir et qui continuent de s'acharner sur sa dépouille une fois à terre !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 17 juin 2019 à 01:55
Cher Philippe,
C'est votre texte qui fait éclater de rire et la seule façon de répondre à une telle caricature qui frôle l'obsession est de vous souhaiter de changer d'objet de harcèlement.
Que Nicolas Sarkozy soit votre mauvais objet préféré, soit.
Mais vous vous trompez de lutte, vous vous rangez du côté des ragots de palais, des hyènes rouges qui flinguent la confiance en la justice.
La justice pourra respirer lorsqu'elle aura évacué sa haine des politiques, lorsqu'elle aura retrouvé sa neutralité.
Il ne suffit pas de radoter les délires de certains juges, relayés par certains médias pour que cela devienne réalité.
Les citoyens sont moins idiots et comprennent les stratégies débiles et honteuses des calendriers électoraux.
La justice se détruit elle-même.
Des gentils qui ne savent plus lire deux tt ou un t et confondent une otage et un fleuron industriel, qui font des expertises avec des membres de leur famille, c'est cela qui est absurde, qui est insupportable.
Ce n'est même pas un vieux film qui pourrait être d'intérêt, c'est de la bêtise à l'état pur qui commence à suinter la haine, le non respect, le rétrécissement de la pensée.
Vive Nicolas Sarkozy.
Non à la justice politisée qui nuit à la pluralité.
Reconnaissez au moins qu'avec Nicolas Sarkozy, les extrêmes étaient très faibles, la sécurité était plus fiable, les offres d'emploi étaient plus nombreuses, les anciens étaient respectés, ni le régime parlementaire n'était attaqué, ni la séparation des pouvoirs, que des efforts au niveau du développement durable étaient présents et que depuis son départ, la France n'est plus qu'une catastrophe, un vide existentiel, une tragédie, une pré-apocalypse avec des gourous cinglés aux manettes, des prédicateurs de guerre, de crises à rebonds comme le déclame le non économiste François Lenglet.
Bref, il ne suffit pas d'être jeune et nouveau pour porter du sens, de la confiance. L'expérience, l'efficacité, l'élan, l'humain, l'énergie sont nécessaires pour donner l'envie de se dépasser.
Et hurler avec les loups et les moutons ne remplacent pas l'action, la décision, la mise en oeuvre.
françoise et karell Semtob
Rédigé par : semtob | 16 juin 2019 à 20:56
@ Robert Marchenoir | 16 juin 2019 à 07:18
Mais que deviendrait ce blog sans Robert Marchenoir qui sait tout sur tous et a réponse à tout, itou... je vous le demande !
Au point que contester ses fanfaronnades semble à certains de ses admirateurs compulsifs, sacrilège !
Exit l'auteur de ce blog censé désormais s'effacer devant ce sachant qui détient la science infuse et sus aux critiques virulentes de ceux qui n'adhèreraient pas à ses visions sectaires et obsessionnelles de la société actuelle.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 16 juin 2019 à 20:38
@ Rue des Écoles | 16 juin 2019 à 07:34
Seul l'auteur serait habilité à remercier quelqu'un dénonçant son identité s'il désire se faire de la publicité par le scandale causé par une trahison, ce qui pourrait peut-être se comprendre si féliciter un félon est une attitude indigne.
Une trahison. Sauf si le délateur agit en service commandé !
Mais puisque monsieur Charoulet ne cesse de vitupérer contre les pseudonymes, il est encore plus improbable qu'avec un autre que l'indiscret agisse à l'instigation de l'auteur.
Un ancien professeur prône la fin d'une liberté, pratique la délation, un pseudo Rue des écoles, le soutient.
Et de plus en insultant les autres... Eh bien, ce qui touche à la pédagogie ne sent pas très bon, dirait-on. Que le Ciel préserve les candidats d'une fin de l'anonymat aux examens ! Enfermer dans les cases, fouiner, dénoncer et traiter les autres de chiens pour leur juste rejet d'un abus, ce n'est rien ici, mais pour des gens dépendant de gens comme vous, cela porte à conséquences. Jamais un éléve qui veut un tant soit peu éviter les ennuis ne peut répondre à une insulte, jamais un élève qui aurait besoin de soutien n'en trouvera chez des gens qui enferme les autres dans des cases, le cancre, le dyslexique, que sais-je encore ? Et le mot créera la chose, l'insulté ou le mis sous étiquette ne pourra jamais s'échapper de son piège.
Celui qui veut progresser, ou celui qui n'a plus rien à prouver, ont un point commun : sortir de leur étiquette, or un nom est une étiquette.
Ce n'est pas pour rien qu'on déguste le vin sans étiquette... Comme Ajar et Jarry en littérature, comme le jugement de Paris en vin, on voit la valeur des vins ou des critiques, quand le verdict se fait à l'aveugle, soi et ce qu'on goûte.
Vous avez traité des gens de chiens pour avoir défendu la justice, vous êtes Rue des écoles de la vilenie.
Rédigé par : Noblejoué | 16 juin 2019 à 19:42
Vos billets sont de plus en plus désespérants, la droite et la gauche n'existent pas, il s'agit de clubs d'amis qui pillent sans cesse les finances publiques. En deux mots des crapules !
Quant à ce que vous appelez les LR, ce n'est plus qu'un ramassis de grands bourgeois crétins (avec comme cerise sur ce gâteau "Sarko").
Nous empruntons sans cesse des milliards d'euros pour assister vos nuls et toute la misère du monde qui nous tombe dessus. Savez-vous au moins que cette dette pharaonique ne sera remboursée que par une inflation de type vénézuélienne dont tous ceux au pouvoir attendent la venue comme une délivrance (ayant tous au préalable prévu leurs arrières).
P.S : les billets de 500 € sont retirés de la circulation.
https://www.lesechos.fr/2016/05/la-bce-supprime-le-billet-de-500-euros-mais-insiste-sur-la-preservation-du-cash-207554
Rédigé par : Gavroche | 16 juin 2019 à 18:01
@ Patrice Charoulet | 15 juin 2019 à 15:28
Cher Patrice,
Ayant eu le même réflexe que vous concernant les alias en débarquant sur Justice au Singulier, après consultations avec quelques-uns de nos collègues commentateurs, j'ai accepté le principe et leurs raisons.
D'autant plus que Philippe et Pascale savent parfaitement qui nous sommes.
Puis-je vous suggérer le site suivant qui parle de votre domaine plus que du mien :
https://www.lexpress.fr/culture/livre/pourquoi-les-ecrivains-changent-ils-de-nom_799092.html.
Mettez cela sur le compte de l'obsession d'un vieux pétrolier pour la sécurité !
En l'occurrence la vôtre sur ce blog suite aux notes de : 1. Rue des Écoles, 2. Robert Marchenoir, 3. Ellen, 4. Pierre Blanchard, 5. Exilé , 6. Noblejoué, 7. Tipaza, encore cinq et les douze d'un peloton d'exécution sera au complet !
A propos du sujet de ce billet il y a quelques jours sur LCI Luc Ferry, que j'aime bien, et Romain Goupil, que je ne connaissais pas, sont tombés d'accord pour déclarer que les LR sont morts, enterrés et classés parmi les reliques du passé. Quant à NS en regardant la photo que nous offre Pascale, il a l'air encore plus âgé que moi pourtant 25 ans plus ancien !
Par ailleurs un peuple, le nôtre, qui déclare avoir le cœur à gauche et le portefeuille à droite, ce qui est vrai, ne peut être "de gauche" ou "de droite". Il ne peut faire qu'une chose : chaque citoyen être un parti politique à lui seul.
Ce blog en est la preuve !
Cordialement
Rédigé par : Claude Luçon | 16 juin 2019 à 17:16
UNE LETTRE EN PLUS OU EN MOINS
Sur Facebook, je cherchais « Roger Cukierman », ancienne cible de l'infâme Soral, et ancien président du CRIF. Je crois avoir écrit les bonnes lettres. Mais je vérifie si je suis au bon endroit.
Mon habitude est de cliquer sur « Mentions J'aime », secteur instructif. J'ai bien fait de vérifier. Ce monsieur aime Eric Drouet, les Gilets jaunes, les black blocs... Explication : je n'ai pas écrit Roger Cukierman, mais Roger Cukerman. Un lettre en plus ou en moins peut tout changer. On passe du CRIF aux black blocs très facilement.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 16 juin 2019 à 16:26
@ Robert Marchenoir | 16 juin 2019 à 07:18
Bob - je me permets - parfois vous méritez des coups de manche de pelle sur la tête (la pioche en alternance), vous êtes extraordinaire quand même, vous dites que c'est un taureau quand on vous a dévoilé l'animal.
Peut-être un jour quelqu'un vous a mis un bon coup de manche de peuplier, pour la loi de Coulomb c'est fichu, mais pour tout le reste c'est la boulimie, vous ouvrez le frigo à la moindre sollicitation et en avant à toute vapeur vous déroulez, déboulez, dévastez, déboisez, ratiboisez… Un cataclysme, une tempête, un cyclone que sais-je ?
Je suis intrigué, votre abattage tous azimuts me fait penser à Hercule et son dernier combat contre l'Hydre de Lerne, parfois aussi vous êtes Bérurier… Euh… Au fait vous êtes peut-être aussi Samson et Dalila…
En fait par association d'idée et de lumière j'ai pensé à Notre-Dame et à Bernadette qui a soulevé toute une région hier au soir, le soleil d'Austerlitz Bob, et tout cela pour pas grand-chose, un ballon ovale et les caprices de ses rebonds, vous parlez d'une philosophie, "tavernier, la même pour tout le monde et ce qu'ils veulent pour les autres".
Rédigé par : Giuseppe | 16 juin 2019 à 14:24
@ Rue des Écoles | 16 juin 2019 à 07:34
Vous remerciez "doublement" Monsieur Patrice Charoulet (PC)...
Et vous faites cela sous un pseudo d'une très grande finesse "Rue des Ecoles", c'est vraiment la "double peine" que vous attribuez donc à PC... le soutenir via un pseudo.
En avez-vous seulement conscience ?
Rédigé par : Pierre Blanchard | 16 juin 2019 à 13:13
"L'un de ses proches nous annonce qu'il ne reviendra pas sauver le parti mais le pays, pourquoi pas". (Ph. B)
Puisse NS être d'abord sauvé de ses multiples affaires judiciaires, Bygmalion, la Libye, et... avant de clamer être le sauveur du pays. Chaque chose en son temps. Tout dépend ce que dira la justice, dans pas trop longtemps, j'espère.
Dans certains pays qui se respectent, un élu, un député, un Président est condamné ou démissionné pour cent fois moins qu'en France.
Les Balkany en sont un exemple et tant d'autres. Trente-cinq ans accroché à son mandat de maire de Levallois, député à l'AN... et j'en passe. Quel merveilleux job... Depuis trois jours la fête est finie.
Rédigé par : Ellen | 16 juin 2019 à 12:48
Il a fourni des explications qui devront être vérifiées pour déterminer si cette pratique compulsive n'a pas de lien avec l'affaire libyenne
Encore une affaire de « Françafrique » - ou de « France à fric » - comme les hommes politiques français en sont si friands depuis Jacques Foccart en passant par M. Mitterrand et son entourage et quelques autres ?
Bien entendu, il appartiendra à la justice de nous dire ce qu'il en est de cette affaire libyenne, en dépassant le cas échéant le cas du seul M. Sarközy qui pour l'instant est présumé innocent.
Rédigé par : Exilé | 16 juin 2019 à 12:40
@ Rue des Écoles | 16 juin 2019 à 07:34
À première vue votre style ressemblerait pas mal à celui de Monsieur Zonzon. La même famille de pensée sans doute.
Rédigé par : Lucile | 16 juin 2019 à 12:03
@ Patrice Charoulet
Que de commentaires défavorables pour vous, en ce qui me concerne, je vous soutiens totalement, non pas pour les recherches que vous avez entreprises, mais pour la condamnation ferme de toute personne qui utilise des pseudos pour pianoter des écrits sur un clavier d'ordinateur.
Vos recherches ne sont pas illégitimes, il est normal de vouloir savoir à qui on à affaire quand on consulte un blog, de la même manière que l'on veut connaître l'auteur d'une lettre anonyme que vous trouvez dans votre boîte aux lettres.
Pour les réseaux sociaux, je suis favorable à l'interdiction des pseudos, je milite pour une société de transparence et de lucidité totales pour toute personne qui s'expose publiquement.
Je suis favorable à une intervention du législateur pour ces exécrables réseaux sociaux où, sous une fausse identité, on peut écrire n'importe quoi, avec une indécence intellectuelle abjecte, une orthographe d'une bassesse alarmante et un vocabulaire d'une pauvreté immense.
Je vous souhaite un très bon dimanche Monsieur Charoulet, de la part de Monsieur Lafon !
Rédigé par : Cyril Lafon | 16 juin 2019 à 12:03
@ genau
« La réglementation anti-espèces est uniquement fiscale et même flicarde, c'est un moyen de transformer les banquiers en gabelous et les particuliers en présumés mafieux. »
C'est surtout une manifestation de plus de la progression du totalitarisme rampant qui phagocyte plusieurs domaines de façon insidieuse, dont aussi celui de la liberté d'expression.
Le fait de remplacer définitivement les espèces par une « monnaie plastique » pleine de puces, nous fait glisser petit à petit vers une société de type 1984.
Il sera alors possible pour le régime en place de condamner n'importe qui à la mort sociale d'un seul clic de souris, en bloquant tous ses moyens de paiement voire autres moyens d'identification et d'accès à des services divers.
A-t-on seulement pensé à ce pourrait arriver - ce qui est loin d'être une simple vue de l'esprit, des exemples ont existé - en cas de panne informatique de grande envergure ?
Rédigé par : Exilé | 16 juin 2019 à 11:33
A l'âge de 73 ans, on m'a appris à faire un copié-collé. Tous les collégiens savent faire ça.
J'ai découvert les blogs de la Toile il y a deux ou trois ans. Je participe comme je peux à deux ou trois d'entre eux. On m'a appris à en créer un. Je commence un peu à explorer Facebook... après tout le monde.
Ayant par hasard découvert un blog philosophique de très grande qualité "La France byzantine", dont je recommande chaudement la lecture, j'ai été un peu surpris de lire que son auteur s'appelait Ange Scalpel, qui n'était manifestement pas le vrai nom de l'auteur. Voulant communiquer avec ce philosophe, j'ai cherché son vrai nom. Mais toujours aussi nul en informatique, je n'y suis pas arrivé.
Du coup, je me suis dit : quel dommage qu'un si bon auteur de blog ne mette pas son vrai nom. Et, en cherchant, par des voies détournées, j'ai eu la réponse que je cherchais.
Contant cela sur mon blog et sur celui de Philippe Bilger, je viens de m'exposer à plusieurs réactions.
L'un, qui connaît personnellement le philosophe en question, me remercie de le louer, de regretter l'usage d'un pseudo et me plaint de devoir subir une foule de critiques. Grand merci à lui. Un autre me rappelle Voltaire, mais je lui répondrai que vers 1760, on condamnait à mort pour trois fois rien, Voltaire usa de pseudonymes, comment l'en blâmer ? Un universitaire français risque-t-il de mourir pour exposer des opinions philosophiques, qui sont dans le cas d'espèce particulièrement raisonnables ? Un autre me dit : "Shame on you !". C'est la meilleure, celle-là ! Honte de quoi, de recommander un blog et de regretter l'usage de pseudo quand on l'écrit ? Un autre me dit que je suis inguérissable. J'avais déjà fauté, semble-t-il, en lui demandant son mail. Je redis à tous ceux qui n'ont pas encore compris ceci : j'ai demandé le mail (vingt m'ont dit oui), quand je veux parler d'un problème particulier à un confrère d'ici sans incommoder les autres lecteurs par un point qui ne peut les intéresser. Ce dernier confrère m'ayant parlé de mes lunettes sur Facebook, je ne croyais pas devoir imposer longuement ce sujet sans aucun intérêt à tout le monde en répondant sur ce blog.
Un dernier confrère a eu la bonne idée de taper sur son ordi "Ange Scalpel" au lieu de réagir dans le vide. Il fournit des précisions très riches et très complètes. Mais c'est un virtuose de la Toile et un homme très expérimenté en matière de blogs français et étrangers. Alors que je suis vraiment un grand commençant, malgré mon âge. Il a trouvé en trois secondes le nom véritable d'Ange Scalpel.
Son intervention très précise anéantit donc les réactions indignées que j'ai dû subir. Si l'on trouve en trois secondes ce que j'ai eu grand mal à trouver, en infirme informatique, c'est que c'était un secret de Polichinelle. Cet intervenant utilise, en passant, un mot soviétique peu agréable à mon sujet. N'est-ce pas un peu excessif ? C'est un petit travers qui ne surprendra pas les habitués. Qu'il me trouve un peu enfantin en informatique, je n'en disconviens guère.
Je termine en invitant derechef les lecteurs friands de philosophie à jeter un oeil sur le blog de Pascal Engel, "La France byzantine".
Rédigé par : Patrice Charoulet | 16 juin 2019 à 11:29
@ Michelle D-LEROY | 15 juin 2019 à 20:17
Le problème viendra de LREM, qui à force de trop embrasser étreindra de plus en plus mal. Elle sera de moins en moins identifiable, sinon par sa tête de proue, qui, il faut le reconnaître s'y entend pour soigner sa communication, mais ne parvient cependant pas à gommer ses ambiguïtés.
Hier j'entendais Jean-Marc Daniel jusqu'ici plutôt ouvert et favorable au réformisme de Macron, maintenant peu optimiste sur la suite, disant en gros que plus rien de neuf n'était à attendre. La social-démocratie type Chirac et Hollande continuera de plus belle. Ce n'est pas le discours que Macron a tenu pour se faire élire, bien qu'à l'époque on se soit déjà douté que ses électeurs voulaient surtout que ça dure comme avant, le plus longtemps possible, en repoussant pour après la reprise en main du pays (économie, finances, justice, immigration, éducation). Ce sont encore ceux-là qui le soutiennent.
Le ralliement des maires de droite à LREM camouflera la stagnation électorale de ce parti jusqu'au municipales. Ils y trouvent tous leur intérêt.
Dans le dernier cercle de l'enfer, Dante met non pas les assassins, mais les traîtres. Et Edmund Burke dit que l'association de traîtres entre eux laisse peu de place à la confiance réciproque.
À moins d'être complètement idiot, ce qui est encore possible.
Rédigé par : Lucile | 16 juin 2019 à 11:21
@ Rue des Écoles | 16 juin 2019 à 07:34
Patrice Charoulet est-il vraiment LE Patrice Charoulet qu’il prétend être ?
Rédigé par : Monsieur Klein | 16 juin 2019 à 11:09
La pratique de l’anonymat est ce qui permet à ceux qui se sentiraient déshonorés de s'y adonner, de ne pas oublier de se distinguer comme aristocrates par rapport à la racaille.
Merci à eux.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 16 juin 2019 à 10:54
Comme il est commode de se voiler la face devant les fêtes religieuses pour ne pas avouer participer au déclin de notre civilisation.
La fête des pères est maintenant plus souvent celle de la honte des dites "familles recomposées" pour ne pas dire "décomposées", que celle de l'amour filial qui est l'essence, la racine de l'humanité et du christianisme avec la première personne de la trinité - tri-unité - triple forme en hindouisme.
Heureuses fêtes du père au Portugal, où vivre à trois ou quatre générations dans la même maison est la norme sociale.
Le reniement de la paternité est la constante de notre civilisation dégénérée et est la violence immense faite aux âmes, et qui sous-tend le mouvement des Gilets jaunes comme toutes les souffrances de notre société.
Que ceux qui jouissent de l'immense richesse de vivre est des "papy" "papa" tout au long de leur vie aient une pensée pour ceux qui en sont privés.
Rédigé par : Xavier NEBOUT | 16 juin 2019 à 10:42
@ Patrice Charoulet 15/06 15:28
Que votre commentaire soit totalement hors sujet, cela n'étonnera en fait pas grand monde sur ce blog puisque vous êtes coutumier du fait, mais constitue déjà, de mon point de vue, un manque de respect et même une impolitesse à l'égard de celui qui vous accueille sur son blog.
Mais que vous profitiez de la tribune qui vous est offerte pour révéler, sous prétexte de porter à notre connaissance l'excellence d'un blog que vous venez de découvrir, des informations à caractère personnel sur l'auteur de ce blog alors que ce dernier a fait le choix de l'anonymat est particulièrement choquant et renvoie à des méthodes qui répugnent.
Je suis d'ailleurs surpris que votre commentaire, compte tenu de sa teneur, ait pu franchir le stade de la modération.
Ne vous suffit-il point de vous nourrir de la pensée d'autrui, surtout si elle touche à l'excellence, sans être obligé d'aller fouiller dans la vie privée des auteurs de ces pensées ?
Eprouver de l'aversion pour l'anonymat est une chose, que d'aucuns peuvent partager, tomber dans ce qui ressemble à de l'inutile délation en est une autre.
Rédigé par : Michel Deluré | 16 juin 2019 à 10:12
Patrice Charoulet n’est pas un mauvais bougre. Il est simplement pétri de principes et de préjugés, qui parfois le conduisent à des dérapages pas toujours bien contrôlés.
Son obsession pour le patronyme est carrément pathologique. Ceci étant il lui arrive parfois de faire des commentaires intéressants, voire drôles comme son altercation avec un SDF qui lui demandait 1€ en des termes peu courtois.
J’aime encore assez ces personnages hors norme qui nous offrent leur vision décalée de la vie.
Rédigé par : Achille | 16 juin 2019 à 09:21
@ Rue des Écoles | 16 juin 2019 à 07:34
"Une fois de plus la meute de chiens hurlants qui se dévorent entre eux s’est lancée sur vos trousses ! Rien ne reste jamais de leur passage !"
Voilà un parfait inconnu caché sous son pseudo d'écolier sorti du bois pour insulter ceux qui ne pensent pas comme lui et son semblable (faux) ami Charoulet, chasseur des pseudos sur Internet.
Je vous promets à tous les deux des dizaines d'années de recherche pour débusquer des centaines de millions de pseudos se trouvant sur le web.
J'appelle notre amie Breizmabro et les autres à vous éclairer.
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@ Robert Marchenoir | 16 juin 2019 à 07:18
Patrice Charoulet s'est donné bien du mal à avoir passé des heures, sans la meute de chiens comme souligne son soutien anonyme sorti caché derrière la rue des écoles, pour nous apprendre ce que nous savions déjà sans se vanter.
Rédigé par : Ellen | 16 juin 2019 à 08:58
@ Patrice Charoulet 15 juin à 15 h 28
"Je remercie Pascal Engel de nous offrir un blog de si haut niveau, mais je ne le félicite pas de se transformer en Scalpel"
Monsieur,
Je connais bien Monsieur Engel. Je vous remercie doublement pour l’éloge que vous en faites et pour le regret que vous exprimez de le voir se dissimuler derrière un pseudo.
Une fois de plus la meute de chiens hurlants qui se dévorent entre eux s’est lancée sur vos trousses !
Rien ne reste jamais de leur passage !
Toutes mes amitiés
Rédigé par : Rue des Écoles | 16 juin 2019 à 07:34