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@ Catherine JACOB | 03 juillet 2019 à 10:00
"Ursula von der Leyen(...)a poursuivi sa carrière tout en donnant naissance à sept enfants"
Et elle a confié leur éducation à quelqu'un d'autre pour faire de la politique !
Comment voulez-vous qu'elle s'occupe sérieusement de vingt-huit États alors qu'elle pense déjà au poste de secrétaire général de l'ONU ?
Et puis une femme qui a eu sept enfants et qui garde une silhouette pareille, c'est suspect.
Je ne lui ferai jamais confiance !
Rédigé par : Tipaza | 04 juillet 2019 à 09:13
@ Savonarole | 02 juillet 2019 à 11:20
"je vous parallaxe mes fantasmes"
Qu’es aquò ?
Rédigé par : Catherine JACOB | 03 juillet 2019 à 10:07
@ Tipaza | 02 juillet 2019 à 22:58
Les comtes de La Leyen ont une histoire commune avec la Lorraine assez intéressante et une autre épouse von der Leyen, Maria Anna Helene Josephina Freiin von Dalberg dont la mère était une Eltz-Kempenich, famille bien connue également dans l'histoire mosellane et dont le château est encore connu comme théâtre d'une BD ainsi que d'un jeu vidéo, s'est fait également connaître lors de la Révolution française qui a mis, bêtement et hélas, un terme à une gestion très avant-gardiste et féministe du domaine.
Leur château des bords de Moselle d'où cette famille est originaire est connu comme le seul "Wasserschloss" des rives de ce fleuve.
Maintenant, la lignée agnatique de la Maison Von der Leyen est réputée éteinte en 1971 avec Ferdinand Maria Prinz von der Leyen mais s'est cependant perpétuée par adoption d'un descendant de la lignée cognatique Philipp Erwein né en 1967.
Je note qu'un Simon von der Leyen est réputé avoir été victime de sorcellerie en 1512 par le biais de la consommation d'un fromage et aussi qu'Ursula von der Leyen dont le père est originaire du Hanovre, a poursuivi sa carrière tout en donnant naissance à sept enfants quand Angela n'en a aucun.
La devise des von der Leyen, la famille princière, est "UNITAS", quelle meilleure devise cependant pour la tête de la Commission européenne, cet organe exécutif de l'UE.
Rédigé par : Catherine JACOB | 03 juillet 2019 à 10:00
@ Patrice Charoulet
"On sait gré à cet invité de nous avoir montré son visage, de nous avoir dit son prénom et son nom, son métier, sa ville (Lille), son âge (57 ans) et d'avoir livré une heure durant un certain nombre d'informations sur sa vie, ses conceptions, sur son ami EDM, avec une grande franchise. Bonne conduite. Un exemple pour chacun de nous"
Ce n'est pas un miracle : cette personne affichait tout cela dans sa profession et a écrit des livres pour mieux faire passer des idées étayées par sa personne.
Elle n'a qu'assumé, d'ailleurs brillamment, un service après-vente. Notre hôte l'a d'ailleurs bien aidée, comme le procès doit aider à accoucher de la vérité judiciaire, il l'a assisté dans celui de sa vérité.
Frank Berton me semble dans une position où il n'a rien à craindre de la vérité, et son idée est que perdu pour perdu, un coupable doit l'avouer car il suppose que comme lui la devine, le jury et les magistrats en font autant. On devinerait la vérité, le mensonge, élément rapporté à la réalité, produisant une incohérence détectable.
Intéressant... Ce doit être vrai, comme faire un faux tableau qui ait l'air vrai est plus difficile que d'en produire un vrai, original. Je ne parle pas de niveau, mais de cohérence.
Mais ici, les commentateurs sont-ils dans l'après-vente de leur oeuvre et d'eux-mêmes ? Cela me semble rare.
Sont-ils d'autre part des accusés devant rendre compte ? Même moi qu'on a diabolisé, non, parce qu'en somme, personne n'a le pouvoir de m'enfermer et je préfère les accusations tapant complètement à côté, la plus croquignolesque dans les récentes, je voudrais "presque", la feuille de vigne de l'accusation, la disparition de la philosophie.
C'est vexant d'un côté, penser, on ose m'accuser sans preuve ! En France aussi remarquez, la Justice, et on peut être condamné par intime conviction, donc aussi sans... Alors la présomption d'innocence est assez relative, comme je le pense depuis longtemps - et je constate que c'est aussi l'avis de Franck Berton.
Mais d'un autre, d'un autre, ah ! Cela ne me remet pas du tout en cause mais me donne un intense sentiment de supériorité sur mes accusateurs.
Ils ne savent rien sur moi, et tant mieux, ils saliraient mon identité comme ils le font de mes interventions, je réduis les impuretés au maximum, et d'autre part, plus ils disent n'importe quoi, plus ils me rehaussent en comparaison.
En somme, l'accusation me scandalise car elle va contre l'ordre du monde qu'on voudrait qu'on n'accuse qu'avec des preuves, et on aurait du mal avec par exemple des je voudrais la disparition de la philosophie quand j'en fais preuve en l'interrogeant sciemment, en somme, entre l’idolâtrie et la détestation, j'éprouve une réalité en me demandant ce que serait la réalité sans elle. Et la philosophie me semble rendre le monde meilleur.
Un peu la démarche du film de Capra où le héros se suicide car il a l'impression que le monde serait meilleur sans lui alors que c'est l'inverse, sauf que je ne prétends pas à un happy end aussi euphorisant. En somme, le monde pourrait exister sans bien des choses, mais pour la philosophie ou cette fiction, un seul être vous manque et tout est dépeuplé.
Pour me remettre en cause sur des choses vraies, je ne fais confiance qu'à mes amis.
Vous allez dire que les autres commentateurs pourraient l'être, mais tous ne sont pas aussi sympathiques, et puis, sans être paranoïaque, comme vous le dites souvent, on peut être déçu par certains. Si on veut mieux connaître les gens, on peut communiquer avec eux en privé, mais avec qui avec on n'a pas le droit d'avoir un pseudo, avec je ne suis pas d'accord avec vous donc vous êtes dingue, avec vous voulez assassiner la philosophie, il fallait y penser, palme de l'originalité, ou avec vous complotez contre moi ? Et autre, ça donne envie, drôlement envie.
C'est quand on est obligé ou quand on pense qu'on pourrait être ami avec des gens ou quand il est pertinent de faire le service après-vente de sa vie, de ses théories ou des deux sans masque pour leur donner plus de poids qu'on n'a pas à porter un masque.
Autrement...
Avec vous, les masques sont présumés coupables, avec moi, les gens sont présumés injustes, et ça, ils le prouvent tous les jours.
Même pas une présomption, en somme.
Et de plus, ils persévèrent. La palme de l'idéalisme tombant à côté de la plaque va à un gentil commentateur disant que les gens regrettaient d'aller trop loin dans leurs commentaires. Eh bien, je présume au contraire qu'ils ne regrettent rien, d'abord, personne ne s'excuse de présumer quelqu'un coupable, au contraire, à lui de prouver qu'il est innocent, et ensuite, les gens oublient qu'ils offensent les autres.
Ce qui me rappelle que quelqu'un, hors blog, me disait que quelqu'un ne se rappelait plus m'avoir dit quelque chose de désagréable, et donc que je pouvais fréquenter cette personne.
C'était prendre le problème à l'envers, je n'avais pas envie de la fréquenter. Je ne suis pas si sociable de vouloir rencontrer des gens qui sont en tort avec moi, et pourquoi pas être leur ami, pour rien. Ici, on débat, ailleurs, être sociable pour être sociable, quand ce n'est pas utile professionnellement ou pour les idées, ou pour rien, pour le plaisir d'une compagnie à déplaisir, c'est, à mon avis, une activité aussi vaine que répugnante.
Sauf si elle sert de monnaie d'échange, type faire plaisir à quelqu'un, on échange du je fais semblant d'apprécier contre je suis dans une compagnie que j'apprécie, quand il y a plusieurs personnes, on en prise certaines plus que d'autres.
Seuls les meilleurs valent qu'on les fréquente, et quelles que puissent être leurs qualités par ailleurs, les injustes n'en font pas partie.
Vous allez me dire qu'on peut prendre de l'humour foireux pour de la malveillance ou être trop sévère pour les défaillants, mais ça vaut mieux que de se retrouver piégé comme les femmes battues ou les gens en appelant encore à des parents qui ne les aimaient pas sur leur lit de mort. Quel pitoyable sort ! On peut dire que la drogue est mauvaise car détruisant le corps et addictive, mais l'amour dont on chante les louanges, aussi, et pour compenser le manque d'amour, tant prennent des médicaments dont ils ne peuvent se passer et aux effets secondaires assez importants et sans plaisir ni d'ailleurs tellement de plaisir dans la vie, qu'on peut dire qu'on met autant sous le tapis les mauvais effets de l'amour qu'on a exagéré les dégâts de la drogue, d'un autre côté... Pourquoi ?
Tout ce qui fait qu'on se renferme sur soi, drogue, masturbation ou autre, est toujours mal vu, toute relation, même déséquilibrée, et après tout, le mariage mettait par exemple autrefois la femme sous domination du mari, est au contraire magnifié. Bref, on ne veut pas le bien de l'individu, ou le vrai, comparer les dépendances, ou le beau, l'art, mais seulement la relation et la conformité.
C'est un constat, d'où il suit que mieux vaut être masqué pour tenir un discours non conformiste.
Sans compter que certains discours sont carrément interdits par la loi, type incitation au suicide quand par parenthèse, je n'y incline pas... Mais il suffit de ne pas pousser à la vie à tout prix, vie à genoux, pour qu'une interprétation extensive de la chose puisse vous faire condamner, je pense, du moment que l'on s'en prend aux opinions sur le vie, il n'y a pas de limite.
Pour préciser ma position : à mon avis, la vie vaut la peine d'être vécue, dans l'idéal, une vie sans fin, sans mort, tant qu'elle n'est pas la mort de quelque chose en soi qui la rende indigne d'être continuée, qui n'a pas à être contesté par les autres, mais est très personnelle, est l'idéal.
Mais est-ce que René doit décider si les chaussures d'Etienne lui conviennent ? Il en va de même pour chacun de sa vie.
Enfin, on préfère condamner les autres à une grande souffrance en plus de la mort inévitable dans l'état actuel des sciences, un peu comme la méchante reine de Blanche Neige chaussée de charbon ardent, soit le dernier extrait de la présentation de l'excellente chorégraphie de Preljocaj que je vous envoie :
https://www.youtube.com/watch?v=Sb5Q3FyqKKc
Rédigé par : Noblejoué | 03 juillet 2019 à 02:38
@ Savonarole | 02 juillet 2019 à 11:20
Frank Berton se livre sans fard et parle brut de décoffrage !
Normal qu'il affole les terrorisés et planqués du blog manquant d'un élémentaire courage pour se dévoiler ou se mouiller, et dire ce qu'ils pensent sur tel ou tel sujet, en donnant leur avis sans réserve !
Rédigé par : Mary Preud'homme | 03 juillet 2019 à 01:21
Puisqu’on parle de mensonges à propos de l’entretien du jour.
Je rappelle que la nouvelle présidente de la commission européenne, Ursula von der Leyen, a eu quelques soucis à propos de sa thèse de médecine, où des éléments de plagiats ont été trouvés sur environ la moitié des pages de sa thèse.
http://premium.lefigaro.fr/flash-actu/2015/09/26/97001-20150926FILWWW00157-une-ministre-allemande-soupconnee-de-plagiat.php
L’affaire s’est conclue au bénéfice d’erreurs involontaires.
Rédigé par : Tipaza | 02 juillet 2019 à 22:58
@ Achille | 02 juillet 2019 à 21:39
Achille, je vous aime bien parce que vous êtes un grand rêveur. Bien sûr que M. Frank Berton ment par omission, il a une qualification dans ce domaine, il a même reçu une médaille d'or aux dernières olympiades dans la catégorie des menteurs par omission.
Je ne vais pas rouvrir le dossier Florence Cassez, juste l'entrouvrir. Quand M. Berton a repris le dossier, elle était bloquée au Mexique pour 90 ans au minimum. Il a réussi à obtenir son retour en France. Le temps a pesé très fort, l'avocat a levé la main, regardé son interlocuteur dans les yeux, il a avancé sa tête de quelques centimètres et quand il a repris sa place, Florence était à Roissy. Ce fut du grand art, en toute simplicité, le Droit et rien que le Droit, les bandits mexicains cherchent encore sous les sombreros.
Mon intime conviction est cachée comme le germe sous les dix pelures de l'oignon frais. Je ne la délivrerai qu'à l'occasion de ma convocation aux assises. Cela ne m'est encore jamais arrivé, mais cela peut encore venir.
Rédigé par : vamonos | 02 juillet 2019 à 22:14
Personnellement j’ai bien aimé le passage sur le mensonge de Frank Berton, quand il dit que lorsqu’un de ses clients ment, il le sent et s’il le sent, il sait que les membres du jury, ainsi que les magistrats le sentent également.
Ceci laisse à penser que lors de ses plaidoiries, il ne ment jamais, à moins qu’il mente par omission, ce qui est encore le mensonge le moins perceptible.
Je ne sais pas si Frank Berton à déjà eu des politiciens comme clients, mais ces derniers sont très forts en matière de mensonge et je ne suis pas certain que malgré toute son expérience, il serait en mesure de s’en apercevoir.
Rédigé par : Achille | 02 juillet 2019 à 21:39
On sait gré à cet invité de nous avoir montré son visage, de nous avoir dit son prénom et son nom, son métier, sa ville (Lille), son âge (57 ans) et d'avoir livré une heure durant un certain nombre d'informations sur sa vie, ses conceptions, sur son ami EDM, avec une grande franchise. Bonne conduite. Un exemple pour chacun de nous.
Je signale aux lecteurs de ce blog qu'en cliquant sur « Aperçu » ou sur « Feuilleter », ils pourront lire un certain nombre de pages du livre d'Elsa Vigoureux, qui a enthousiasmé Philippe Bilger. Cela leur donnera peut-être l'envie de l'acquérir.
Rédigé par : Patrice Charoulet | 02 juillet 2019 à 20:35
On mesure le niveau intellectuel de ce blog à l’absence de commentaires sur Frank Berton et l’excellent questionnement de Philippe Bilger.
Seuls quelques courageux s’y sont risqués en 48 heures.
La 7e Compagnie préfère se plumer le croupion, « t’as dis ça, j’te rétorque, mon colis n’est jamais arrivé à Dieppe, je vous parallaxe mes fantasmes, ma belle-mère est communiste »... Bref, le préau des fous.
Rédigé par : Savonarole | 02 juillet 2019 à 11:20
Entretien passionnant de bout en bout.
Rédigé par : Mary Preud'homme | 01 juillet 2019 à 18:07
Formidable Frank Berton.
Jolie formule sur la présomption d’innocence, la touche moralisante d’un socialisme défunt.
A-t-il réalisé qu’en se réclamant d’une amitié sincère pour Dupond-Moretti, il le décrivait avec acuité lorsqu’il disait se refuser à médiatiser ses procès ou faire le kéké devant les caméras ?
Rédigé par : Savonarole | 01 juillet 2019 à 18:04
On voudrait croire que la vérité a des accents inimitables et qu'elle finit par triompher au prétoire. Pas si sûr. N'empêche. Frank Berton et Philippe Bilger nous donnent envie de lire le "Journal de Frank Berton". Merci à tous les deux.
Rédigé par : Lucile | 01 juillet 2019 à 18:02
@ Catherine JACOB
"J'en reviens donc à mon histoire de parallaxe et il me semble que la présomption d'innocence c'est tout d'abord le droit à l'existence de la présupposition d'un autre point de vue que celui du premier abord et qui fait de ce dernier un point de vue singulier comme un autre."
Comme en général, les gens au premier abord pensent l'autre coupable et sont tous d'accord, toute personne voulant créer du consensus aura tendance à miner la présomption d'innocence.
Bien sûr, un innocent en prison n'est pas un transgresseur privé de nuire à la société, mais le consensus est fait. Or le consensus crée ce qu'on veut, ordre ou désordre, si bien instrumentalisé par des gens assez habiles. Et c'est plutôt facile à une époque où les gens veulent de l'ordre.
D'un autre côté, les gens ont peur d'être accusés à tort, vu que ça peut arriver à tous, quand ils sont lucides, et ne veulent pas que les autres le soient, quand ils sont justes.
Je parie donc que la présomption d'innocence va rester dans les textes mais dépérir dans les faits.
Si on veut à la fois diminuer le sentiment d'insécurité et la délinquance, on a pourtant d'autres solutions, dont :
https://www.neonmag.fr/avoir-plus-de-vegetation-en-ville-permet-de-diminuer-la-delinquance-531527.html
Poème :
Le coupable fuit,
le promeneur est attrapé,
un arbre sans fruit.
Rédigé par : Noblejoué | 01 juillet 2019 à 17:16
Plus qu'un entretien, c'est là, du moins à ce qu'il m'en a semblé, une joute et tout à fait passionnante et en particulier parce que le hasard (?) a voulu que vous repreniez les deux mêmes citations, apparemment donc particulièrement significatives, du Journal de Frank Berton, que Wikipédia.
En tant que citoyenne lambda, j'ai envie de réagir à propos de cet avis très tranché exprimé par l'avocat à propos de l'avancée Guigou en matière de droits de la défense, et qui est : "La présomption d'innocence c'est de la foutaise." Je songe à Sarkozy sur France 2 hier soir qui regrettait qu'en ce qui le concernait, cette vérité soit, d'un point de vue médiatique en tout cas, particulièrement évidente.
J'en reviens donc à mon histoire de parallaxe et il me semble que la présomption d'innocence c'est tout d'abord le droit à l'existence de la présupposition d'un autre point de vue que celui du premier abord et qui fait de ce dernier un point de vue singulier comme un autre.
Ex. de parallaxe :

Ayant observé d'un peu près un morceau d'ambre de la Baltique, j'y ai discerné un paysage qui m'a inspiré le senryū reproduit dans sa marge droite:
Et me voici toute contente, un brin satisfaite de moi quand un rayon lumineux orienté différemment, comme cela peut arriver j'imagine lors de l'éclairage des faits à l'occasion d'un procès, me fait apercevoir exactement au même endroit que, notamment, le petit chou, cela :
Adieu veau, vache, cochon, couvée; exit la rose d'or, le petit chou et son enfançon central, envolée la fourmi prisonnière de son cercueil de verre ambré, 'foi d'animal intérêt et principal', mais bonjour forme bizarroïde qui s’avéra lors de plus amples investigations, être une ammonite disparue au crétacé et donc infiniment plus intéressante qu'une illusion d'optique aussi romantique fût-elle.
Rédigé par : Catherine JACOB | 01 juillet 2019 à 15:07