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22 juillet 2019

Commentaires

Prêteplume

''Le défenseur des droits s'est ému mais comme il s'émeut pour tout et n'importe quoi, on ne l'écoute plus''

Bravo... Félicitations... Cela fait plus de 4 ans que je guette en vain un commentaire pertinent et hardi (pour ne pas employer un terme plus trivial) sur notre Bon Défenseur des Droits devant l'Éternel, et c'est sur le blog le plus inattendu que je savoure enfin ce doux euphémisme...

Merci Philippe Bilger de faire que je ne me sente plus la seule personne dans mon entourage à oser critiquer cette sommité si sommaire... Merci...

Achille

Nantes : le corps retrouvé dans la Loire est bien celui de #Steve, une information judiciaire ouverte pour "homicide involontaire » (LCI)

A noter les guillemets pour homicide involontaire laissant planer la suspicion sur les conditions de sa mort.

Et bien sûr des twittos décérébrés laissent déjà entendre que l'homicide est volontaire, comme si ce pauvre jeune homme présentait un véritable danger pour la sécurité nationale.

Cette année la bêtise a atteint une dimension stratosphérique.
Comme le disait fort justement Albert Einstein : « Seules deux choses sont infinies : l'univers et la bêtise humaine, en ce qui concerne l'univers, je n'en ai pas acquis la certitude absolue. »
Rien à ajouter !

sbriglia

« Bourdin est un con, Wauquiez est un con... Je ne lui ai pas dit... » (Patrice Charoulet)

...mais j’aurais dû lui dire qu’ils n’avaient de cet organe, ni la suavité ni la profondeur.

De l’audace, Patrice, de l’audace !

Elusen

@ Patrice Charoulet | 25 juillet 2019 à 10:11

Ben s’il a eu son poste d’universitaire comme la plupart d’entre vous, par fraude, comment voulez-vous qu’il en sorte quelque chose de bon ?!

Patrice Charoulet

Mes journées sont réglées comme du papier à musique. Je me lève tôt. Après mon petit déjeuner, je vais au café à 8h30, lire un Pléiade une heure, avec un cahier et un stylo, j'écoute l'invité politique de Bourdin en baissant le son (on me laisse la télécommande) quand l'invité me déplaît.

Récemment, un client que je n'avais jamais vu se met devant moi, puis s'assied en débutant par cette phrase « Vous lisez un Pléiade ? »
La conversation s'engage : littérature, philosophie, politique... Vers la fin, il insiste pour je lui donne mon mail, car il a un site sur le Net et souhaite me faire découvrir ses écrits. Je le lui donne. Je reçois un message dans les jours suivants. Son nom, très rare, m'apprend qu'il s'agit d'une sommité universitaire parisienne émérite, conférencier, et qui écrit dans une revue prestigieuse.

Chacun a ses qualités et ses défauts et en une heure de conversation, on montre beaucoup de soi.

Une chose me surprend un peu dans ses propos : la fréquence du mot « con ». Sartre avait une tête de con, Bourdin est un con, Wauquiez est un con... Je ne lui ai pas dit, mais je le pense : l'usage de ce mot qui signifie à peu près « stupide », « bête », « idiot », est censé décrier définitivement celui dont on parle, mais n'instruit pas vraiment.

Aurais-je dû prendre la défense des gens qualifiés ainsi ? Sans doute. Je ne l'ai pas fait. Quand on parle d'un philosophe, d'un politique ou d'un journaliste, on devrait être précis et dire ses raisons de l'apprécier ou non, à mon humble avis, et se dispenser du mot « con ».

Exilé

@ fugace
"Ne broieriez-vous pas du noir ?" 

Je suis seulement réaliste et je me contente de baser ce que j'affirme sur des exemples concrets relevés dans l'actualité.

Elusen

@ b.dailly | 24 juillet 2019 à 15:25
▬ « Les mêmes exigent de pouvoir faire fabriquer un enfant par la PMA ou la GPA (bientôt remboursé par la S.S. ?) »

Et ça, c’est supposé avoir provoqué le décès de Zineb et Steve ?!

▬ « de mineurs-majeurs voyous. »

Mineurs et majeurs en même temps, tu m’étonnes que ça soit des voyous !

▬ « La démoniaque Taubira n'est plus, Dieu merci »

Démoniaque et Dieu dans la même phrase, ça sent l’exister du missel adapte de l’amour de son prochain, qui pratique le pardon et la compassion.

b.dailly

Autrefois, on apprenait la politesse, la tolérance, le respect des autres.
A présent, seuls ont droit de parole les haineux de notre République, les gauchistes, les indigènes ouvertement anti-blancs et anti-français, les homos et transgenres.
Nous ne sommes plus dans une société civilisée, mais dans une dictature où chacun, du moment qu'il appartient à une population particulière, peut se comporter comme un porc (voir le problème des piscines transformées en toilettes publiques).
Les mêmes exigent de pouvoir faire fabriquer un enfant par la PMA ou la GPA (bientôt remboursé par la S.S. ?).
Les familles sont discriminées, ridiculisées, la justice aux ordres.
La démoniaque Taubira n'est plus, Dieu merci, en fonction, mais sa pensée et son idéologie fonctionnent toujours dans le cas de jugements de clandestins violeurs ou de mineurs-majeurs voyous.

Nous avons des raisons d'être inquiets pour l'avenir et pour la démocratie combattue par ces minorités agissantes, avec la bienveillance du minable dictateur qui impose ses vues, ses préférences, son arrogance et son immense incompétence, qui ne rend de comptes à personne, qui ne pense qu'à se montrer dans le monde avec la macrone et ses effets de toilettes - devant des médias en extase -, qui se pense le maître du monde. Vivement une belle et retentissante claque lors des futures présidentielles.
Mais le mal est profond et durable.

fugace

@ Exilé | 23 juillet 2019 à 08:58
"Ne broieriez-vous pas du noir" ?

Pour simplement se remémorer l'origine de l'expression :

"Les origines de cette expression restent obscures. Toutefois elle semble dater du XVIIIe siècle. Le noir a toujours été un symbole de tristesse et de mélancolie. Quant à l'emploi du verbe "broyer", il pourrait provenir du langage de la peinture où les artistes devaient "broyer", c'est-à-dire "écraser" leur peinture."

http://www.linternaute.fr/expression/langue-francaise/259/broyer-du-noir/

fugace

@ Patrice Charoulet | 23 juillet 2019 à 08:07

Vous m'avez rappelé Anne Sinclair. Je vous mets 7/7.

Robert

Je rejoins les commentaires de Michel Deluré | 22 juillet 2019 à 15:58, Michelle D-LEROY | 22 juillet 2019 à 18:09 et Jean le Cauchois | 22 juillet 2019 à 22:37 et donc ne vais pas les paraphraser.

Je constate seulement que "l'esprit public" en est à une contestation permanente et généralisée de tout ce qui représente l'ordre et l'autorité. C'est-à-dire qu'intellectuellement l'anarchisme règne en maître dans de très nombreux esprits. Le refus d'obtempérer est élevé en résistance contre l'oppression policière ou gendarmique : donc c'est une réaction devenue normale et encensée par la plupart des médias, toujours plus prompts à mettre en cause les forces de l'ordre.

Deux cas emblématiques restent présent à mon esprit :
- Adama Traoré, pour qui la famille vient d'organiser une manifestation en tentant de rallier à sa cause des Gilets jaunes ;
- Rémi Fraisse, le jeune homme tué accidentellement par une grenade offensive dans le cadre du maintien de l'ordre sur le site de Sivens.

Dans ces cas, l'opinion est systématiquement prise à témoin, pour ne pas dire en otage, de la présentation tendancieuse faite des situations, tant par les médias que par des officines spécialisées, toujours à charge des forces de l'ordre sans que jamais on n'analyse les causes et les comportements des intéressés qui ont conduit à ces décès, toujours dramatiques et pour les proches comme pour les membres des forces de l'ordre concernés.

Il n'empêche que dans les situations quasi insurrectionnelles auxquelles ont été confrontées les forces de l'ordre, des débordements ont certes été commis par certaines forces de police, notamment issues d'unités qui ne sont pas formées au maintien de l'ordre comme le sont les compagnies républicaines de sécurité ou les escadrons de gendarmerie mobile. Le simple rapport des usages de LBD par ces forces comparées à celles des autres policiers suffit pour s'en convaincre. Mais les unités spécialisées, dont les effectifs ont été fortement réduits par monsieur Sarkozy, n'auraient pas seules pu assurer la charge de maintien de l'ordre imposée par ces manifestations violentes et continues, à Paris et en province.

Mais cela à soi seul ne suffit pas pour mettre en cause police et gendarmerie qui quotidiennement continuent d'assurer la tranquillité publique dans le cadre strict de nos lois, singulièrement sous le contrôle des Parquets.

En revanche ce sont bien nos "responsables" politiques qui ne sont guère à la hauteur de leurs responsabilités, qui sont inconséquents, qui instrumentalisent les colères légitimes des Français et les conduisent à des comportements extrêmes en ne prenant pas en compte les vrais problèmes qu'ils rencontrent. Bien au contraire, on les aggrave par des choix contestables, qu'il s'agisse des 80 km/h sur routes standard, de l'augmentation constante des coûts du carburant et de l'énergie (électricité et gaz), de la diminution en cours et à venir de retraites, tous choix générateurs d'inquiétudes que nos bobos parisiens ne sont pas en mesure de comprendre... même pas après l'alerte des manifestations des Gilets jaunes. L'idéologie au pouvoir continuera jusqu'à l'explosion incontrôlable, comme c'est le cas des bulles financières que personne ne saura maîtriser.

Patrice Charoulet

@ Lucile

Chère Lucile,

Vous avez tout dit avec "homo festivus". Relisons d'urgence l'irremplaçable Philippe Muray sur le sujet.

Exilé

@ Michel Deluré
« Et que je sache, la police n'avait pas en face d'elle lors de ces derniers que de braves enfants de chœur ! »

Certes, mais rappelons tout de même que les débordements ont surtout été le fait de « Black Blocs » que la même police a curieusement laissé infiltrer les zones sensibles pour ensuite ne pratiquement pas y toucher et pour se déchaîner par compensation sur les Gilets jaunes, y compris ceux qui ne menaçaient personne.
Nous retrouvons là le deux poids deux mesures habituel.

Au passage, d'autres pays comme par exemple l'Allemagne ont aussi eu à faire face à des groupes nihilistes du genre « Black Blocs » et manifestement nous n'entendons pas parler d'une série impressionnante de blessures graves à ces occasions.

Encore une fois ce n'est pas la nécessité de recourir parfois à la force qui est en cause mais la manière de le faire.
Que l'on ne vienne pas nous dire que le nombre constaté de blessures au visage, du fait du recours à une arme pourtant munie d'un viseur laser à haute précision, ne relève que du hasard...

Même l'ONU s'est inquiétée de la brutalité française en la matière :

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2019/03/06/01016-20190306ARTFIG00119-gilets-jaunes-l-onu-reclame-a-paris-une-enquete-sur-l-usage-excessif-de-la-force.php

Nous pourrions aussi nous interroger sur les munitions employées, non conformes à celles préconisées par le fabricant :

https://brunobertez.com/2019/01/26/le-fabriquant-du-lbd-40-parle-les-balles-ne-seraient-pas-celles-du-fabricant/?fbclid=IwAR0rM3rwqgq5u78crFP-RFRytrTBeaO31yCHOEG91B-IV32HmM2y1ugemA8

Elusen

À l’étranger aux USA, l’actuel mandataire de la charge de Président incite à la haine envers quatres femmes élues du Congrès fédéral.

Il a demandé à ce qu’elles retournent dans leur pays ; le problème, c’est qu’une seule des quatre élues est née à l’étranger, les trois autres sont originaires des USA.
Il a fait scander dans un de ses récents meetings, par ses partisans : renvoyez-les [dans leur pays].

Au point où maintenant deux policiers ont carrément menacé de mort l’une des quatre élues.

Comment cela va-t-il se finir ?

Par le meurtre d’une de ses quatre élues ?

Souvenez-vous, Sarah Palin avait, par la même attitude, provoqué la tentative de meurtre d’une élue démocrate. Elle s’amusait sur son site officiel à mettre une photo de cette élue avec une cible de fusil à lunette sur la photo, total un de ses partisans était allé tirer dans la tête de cette élue, Gabrielle Dee Giffords, qui a survécu, il y a eu six morts et plusieurs blessés.

Est-ce la même violence politique en France, quand la police est instrumentalisée par l’actuel mandataire français de la charge de Président ?

Car il est surprenant que pas une seule des 246 personnes rendues borgnes n’ait été poursuivie pour un quelconque délit ou crime pendant le mouvement des Gilets jaunes.
C’est bien embarrassant pour l’exercice du pouvoir, que peuvent-ils affirmer sur ces 246 personnes ?

C’est, selon moi, une preuve que l’on a donné l’ordre à la police de tirer dans le tas :
« Terrorisez, terrifiez, pour qu’il n’y ait plus personnes contre nous dans la rue ! Toute personne qui manifestera contre nous, dorénavant saura ce qui lui en coûte ! »

Semi-létal disent-ils ?
Peut-on ne donner la mort qu’à moitié ?!

Il faut le rappeler, pour l’heure combien d’instruction sur ces 246 actes qui ont estropié 246 personnes ?
La Justice n’enquête pas, elle empêche même les victimes d’ouvrir des recours.

Lucile

J'explique le manque de réaction devant ces deux disparitions par le désordre criant de la France ; les gens, inquiets et exaspérés, pensent peut-être : tout pourvu que la chienlit. Ils préfèrent une police un peu trop brutale à pas de police du tout.

Si le sacrifice de quelques individus ramenait le calme, on pourrait y trouver une forme de logique, barbare mais efficace, au profit de la survie du groupe clairement menacée, tout le monde le sent, par la permanence du b*rdel. En fait même pas, au contraire.

Les raisonnements du type "vous n'avez qu'à rester chez vous, sinon il vous arrivera des bricoles, à vous ou à vos enfants, inutile de venir vous plaindre ensuite" sont peut-être empreints d'une forme de sagesse populaire, mais s'ils laissent carte blanche à la police et à ceux qui lui donnent des ordres, c'est un mauvais, très mauvais calcul, à mon avis.

La fête de la musique avec ses débordements n'a rien de spontané, c'est une pure création de l'État, relayée par les municipalités qui dépensent par ailleurs des fortunes pour avoir leurs équipes de foot ; la Mairie de Paris a organisé des rassemblements de fans gigantesques au nom de la sainte diversité au moment de la Coupe du monde de foot. Le défilé rue de Rivoli était hallucinant, se situant d'après moi juste à la frontière entre le "bon enfant" et le "voyou", et même l'asocial comme cela s'est vérifié au point d'arrivée sur les Champs-Élysées.

Les débordements, la casse, les blessés et les disparus passent au moment du bilan par pertes et profits. On attise l'exaltation des foules à force de la solliciter, alors qu'on prétend la drainer. L'homo festivus est excitable, mais aussi asthénique. D'où son inertie et la solitude des familles de victimes.

Exilé

@ Jean le Cauchois
«...informateurs intéressés des carences, dans ce domaine, de notre Education nationale... »

Il faut comprendre que cette « Éducation nationale » qui devrait plutôt s'appeler l'Instruction publique n'éduque pas plus qu'elle n'est nationale.
De plus, elle est aux mains de gens qui, cherchant à créer un « homme nouveau », pratiquent le déconstructivisme moral et l'inversion des valeurs.
Bref, c'est un outil de corruption de la jeunesse.

Michel Deluré

@ Exilé 22/07 20:15

J'en arriverais presque à croire, Exilé, que vous avez manqué quelques épisodes de la saga « Gilets jaunes ».

Il n'est tout de même pas anodin de rappeler que celle-ci a débuté en novembre dernier et que pendant plusieurs mois nous avons eu droit à la diffusion d'un épisode hebdomadaire ! Et que je sache, la police n'avait pas en face d'elle lors de ces derniers que de braves enfants de choeur ! Demandez aux victimes collatérales innocentes de ces affrontements ce qu'elles en pensent.

Quand on en arrive comme ce fut le cas certains samedis à un véritable climat insurrectionnel, je ne suis pas convaincu que troquer grenades lacrymogènes et LBD pour des bouquets de roses aurait eu beaucoup plus d'efficacité !

Prenons garde de ne pas nous tromper de coupable.

Exilé

A force les citoyens seraient alors véritablement fondés à déplorer le deux poids deux mesures !

Inutile de recourir au conditionnel parce que cela fait déjà plusieurs années que sous ce régime le deux poids deux mesure est d'application banalisée dans divers domaines, le premier étant la disparité flagrante de traitement pour une même faute ou délit entre un franco-français et un diversitaire, en particulier dans les affaires de « racisme », alors qu'absolument rien dans les textes n'autorise une telle rupture d'égalité.

Il y a en France d'un côté des gens qui peuvent tout se permettre impunément et de l'autre ceux qui n'ont que le droit de payer, de subir et de se taire.

Patrice Charoulet

CONSEILS AMICAUX

Un. Ne bloquez pas les ronds-points.
Deux. Ne mettez pas Paris à feu et à sac tous les samedis.
Trois. Fuyez les troupeaux.
Quatre. Quand une équipe de football marque un but et gagne, dites « Youpi » devant votre télé si vous voulez, buvez un verre d'eau et ouvrez un livre dans votre fauteuil.
Cinq. Quand il y a du gaz lacrymogène dans une rue pour une raison ou une autre, rentrez chez vous sans tarder. Ménagez vos yeux.
Six. Quand une grenade lacrymogène tombe à vos pieds, ne la ramassez pas pour la renvoyer à l'envoyeur, si vous souhaitez conserver l'usage de vos deux mains.
Sept. Quand vous faites du boucan sur un pont à une heure indue, et qu'on vous a prié d'aller dormir, ne vous jetez dans la rivière si vous ne savez pas nager.

Noblejoué

@ Denis Monod-Bronca
"Sommes-nous entrés en guerre civile ?"

La Français ont une mentalité de guerre civile.

Achille

@ Michelle D-LEROY | 22 juillet 2019 à 18:09

Je ne serais pas étonné qu’il soit tombé sur un prédateur du type Nordahl Lelandais qui rôde dans ces raves parties déjantées où l’alcool et la drogue font bon ménage.
Ensuite tout peut se passer, surtout le pire.
Ce qui expliquerait pourquoi le corps du jeune homme n'a toujours pas été retrouvé.

Jean le Cauchois

"Zineb et Steve : deux fautes du pouvoir ?"

Cher PB,

Vous nous proposez de nous interroger, de nous indigner sur ces deux "fautes du pouvoir" qui trouvent leur origine dans des manifestations ayant nécessité des interventions des forces de l'ordre pour réduire les perturbations créées par des manifestants mal organisés. Nous n'y pouvons plus grand-chose, comme pour l'assassinat en pleine rue de Canteleu (petite ville tranquille sur les hauteurs de Rouen) de monsieur Barry, âgé de 31 ans, de nationalité guinéenne, vendredi soir à 20 h 30, par un homme âgé de 29 ans, de nationalité turque, portant un maillot de l'équipe turque de Galatasaray et "apparemment" supporteur de l'équipe de football d'Algérie.

Non, pour compenser, je vous propose "Ségolène et Greta : deux fautes du pouvoir ?".
Ségolène, tout d'abord. Le Monde-net, à 10 h 45, publie "Le fiasco de la plus grande route solaire du monde". "Inaugurée en décembre 2016 par Ségolène Royal... l'effet d'annonce n'a pas résisté à l'épreuve du réel".
Triste d'être Français : "le pouvoir" a payé l'installation de 2 800 mètres carrés de panneaux photovoltaïques tout le long d'un kilomètre de route dans le département de l'Orne. Et c'est un super-échec économique !

Greta, ensuite : l'Assemblée nationale se prépare à recevoir demain cette jeune Suédoise de 16 ans, emblème d'une jeunesse appelée à se dire anxieuse de son avenir, et effectivement adulée par une jeunesse plus encline à manifester (le nouvel appel de Stockholm ?) qu'à mener des études adaptées à réduire son anxiété. Cette jeune manifestante ne dira jamais que le photovoltaïque, ça ne marche que s'il y a du soleil, et l'éolien, que s'il y a du vent !

La faute du pouvoir français est de ne pas enseigner à sa jeunesse ce qui lui permettra, à elle et à l'humanité, de maîtriser ses conditions de vie future (mes deux derniers petits-enfants, pile de l'âge de Greta Thunberg, sont mes informateurs intéressés des carences, dans ce domaine, de notre Education nationale... et c'est beaucoup plus grave, selon moi, que les carences actuellement reprochées aux responsables de l'ordre public.

Exilé

@ Michel Deluré
"Il faut en effet s'y reprendre à deux fois et se frotter les yeux pour s'assurer que l'on a par exemple bien lu que nous avons « la pire police d'Europe occidentale »"

Cela signifie simplement que dans ce domaine du maintien de l'ordre la police d'autres pays européens est meilleure que la police française et qu'elle agit avec plus d'intelligence et de tact qu'elle, par exemple comme j'ai entendu David Dufresne l'indiquer en s'efforçant de procéder par échelons dans l'usage de la force avant d'aller bestialement à l'affrontement comme en France, où la police donne l'impression de devoir affronter des ennemis et non pas des braves gens (qui sont aussi des citoyens) qui ne savent pas comment se faire entendre par un monde politique autiste.

Mais bien entendu, c'est surtout la mentalité de la hiérarchie qui est en cause, plus que celle des exécutants, dans son approche périmée des techniques du maintien de l'ordre.

Exilé

Je n'ignore pas que, si le comptage du journaliste David Dufresne a été objectif, il y a eu, parmi les Gilets jaunes, 246 éborgnés, 315 blessures à la tête et 5 mains arrachées.
L'IGPN a été saisie à de nombreuses reprises, des enquêtes diligentées, des informations ouvertes et, pour certaines violences illégitimes, des fonctionnaires devront en répondre.

Il n'empêche que la gravité inhabituelle de ces blessures - qui a même alarmé les membres du corps médical qui ont eu à les soigner - permet de penser qu'une violence extrême a été employée de la part des forces de l'ordre qui en l'occurrence semblent parfois avoir fait plus de la répression que du maintien de l'ordre, comme de nombreuses vidéos en ont attesté.

Que l'on me corrige si je me trompe, mais je crois savoir que le degré de violence à appliquer en présence de telles manifestations est fixé au plus haut sommet de l'échelle, à savoir par le ministre de l'Intérieur et par le préfet de Police dans le cas de Paris.
Comme le rappelle David Dufresne, contrairement à d'autres pays européens plus civilisés, le maintien de l'ordre en France est une affaire politique :

https://www.youtube.com/watch?v=whqTOS-IVz4

semtob

Cher Philippe,

Nous ne voyons pas ce que nous pouvons dire au sujet de ce billet alors que les enquêtes et recherches sont en cours.
Par contre, l'Etat doit tout mettre en oeuvre pour retrouver ce jeune homme et établir la vérité.

Il faudrait plus de moyens aux équipes fluviales de recherche, des drones, des capteurs de chaleur.
La faute est surtout là.

Ce billet nous rappelle la noyade d'une stagiaire pompier en exercice avec un équipement très lourd dans la Seine retrouvée plus d'un mois après à quelques mètres du drame et la disparition d'un photographe lors d'un spectacle du Front national, cette jeune personne n'ayant jamais été retrouvée.

L'Etat et les forces de l'ordre n'ont-ils pas le droit à la présomption d'innocence et à un procès équitable ?
Voilà un bel exemple de billet à charge de la part d'un avocat général honoraire. L'Etat s'auto-attaquant en quelque sorte. Un début d'allergie, une irritation, une mutation en journaliste d'extrême gauche à la Edwy ?
françoise et karell Semtob

Michelle D-LEROY

@ Achille

Une fois n'est pas coutume, je suis d'accord avec vous, pour dire que la Loire est presque à sec, du moins à Orléans et Tours, ce que je vois de mes yeux. On peut donc penser qu'il en est de même à Nantes. Il me semble aussi que si ce jeune homme s'était noyé, son corps, après un mois, aurait été retrouvé vu que le fleuve est à son étiage.
Cette affaire est bien ténébreuse en effet.

J'ai pour principe de défendre la loi et la police. La police éreintée après des mois de manifestations et d'échauffourées, de pillages et de provocations, peut avoir quelques ratés par fatigue ou énervement ponctuels, mais il me semble tout de même qu'elle ne prend les grands moyens que sur ordre de sa hiérarchie. Une hiérarchie qui va jusqu'au ministre.

Steve a disparu, il avait 24 ans et faisait la fête avec des potes. On peut supposer qu'ils avaient un peu trop bu... il a suivi ses copains en bravant les flics, soit, mais est-ce une raison pour ne pas s'inquiéter de son sort ? On s'inquiète bien du sort de certains terroristes.

Je ne connaissais pas le cas de Mme Redouane qui malheureusement s'est trouvée là au mauvais endroit, au mauvais moment. Un décès passé inaperçu parce qu'actuellement, la presse et les ministères nous informent à petite doses, uniquement sur ce qu'ils croient utiles pour faire pleurer dans les chaumières ou non.

A ce sujet, le dernier post de Robert Marchenoir sur le fil précédent décrit très bien cette situation et la différence de traitement selon que la victime est issue ou non de la diversité. Qui a plus d'importance qu'un autre.
Tout cela sert à des fins idéologiques pour mieux installer le nouveau monde sans que personne ne bronche ou au moins se pose le moins de questions possibles.

Le problème est aussi que l'ambiance délétère qui règne dans ce pays depuis des mois, fait que les Français ne croient plus à rien et donc doutent de tout.

Une suspicion renforcée par la ténébreuse affaire Benalla, les groupuscules dénommés Black Blocs sortant de nulle part et à point nommé, obscure et opaque organisation qui n'en serait pas une et dont on ne sait qui en tirerait les ficelles, eux au moins sont rarement blessés et souvent même pas arrêtés.
Plus les mois passent, plus les affaires se suivent, moins nos autorités semblent crédibles.

Denis Monod-Broca

Pourquoi certaines violences, certaines morts, scandalisent-elles la France entière ? Pourquoi certaines autres, si semblables, n’ont-elles à peu près aucun effet ? C’est très étrange !

C’est ce qui se passe en temps de guerre : les morts d’en face ne comptent pas, seules comptent celles de notre propre camp. Sommes-nous entrés en guerre civile ?

Michel Deluré

L'un de vos chevaux de bataille Philippe Bilger, tous les intervenants sur ce blog le savent, est la liberté d'expression.

Eh bien, certains commentaires relatifs à votre billet de ce jour démontrent que cette liberté d'expression permet même d'affirmer n'importe quoi et de la manière apparemment la plus sérieuse du monde.
Il faut en effet s'y reprendre à deux fois et se frotter les yeux pour s'assurer que l'on a par exemple bien lu que nous avons « la pire police d'Europe occidentale » ou encore que nous sommes surveillés par une « gendarmerie transformée en Gestapo des routes » !
Dans l'outrance, reconnaissons qu'il est difficile de faire pire !

Bien sûr que tous les fonctionnaires de police ne sont pas exemplaires, bien sûr que des dérapages, des bavures, existent et sont inéluctables compte tenu de la nature de ce métier, bien sûr que la transparence n'est pas toujours la règle lorsqu'une infraction est commise.
Mais en va-il finalement si différemment partout ailleurs, même si, j'en conviens, l'exemplarité devrait être la règle, là plus qu'ailleurs ?

Ceux qui portent aujourd'hui ces critiques, ont-ils conscience des conditions très spécifiques dans lesquelles ces fonctionnaires de police exercent depuis maintenant de trop longs mois leurs missions ? Ont-ils conscience qu'il faut vraiment à ces fonctionnaires, malgré l'usure, un grand sens du devoir et une bonne dose de sang-froid pour assumer sans relâche leurs différentes tâches et éviter qu'il n'y ait eu, tout au long de ces derniers mois, plus de victimes ?

Alors oui, notre police n'est pas parfaite, des réformes peuvent améliorer son fonctionnement, son efficacité, son exemplarité mais elle ne mérite nullement les critiques faciles et outrancières que certains lui adressent et qui oublient trop souvent que ceux-là mêmes qu'ils considèrent comme victimes sont souvent loin d'être sans reproches.

caroff

Les Français vont finir par détester leur police et leur gendarmerie s'ils persistent à se montrer violents et injustes.
Les seules fois où j'ai eu affaire aux flics c'est au bord de la route (ciel mon portable !!) ou au commissariat pour des mains courantes (vous savez on sait plus quoi en faire des mains courantes... vous êtes bien sûr ?).

A l'époque de Mai 1968, il y avait un préfet exemplaire, Maurice Grimaud, qui sut montrer à ses hommes le conduite à tenir.
Je crains qu'aujourd'hui nous n'ayons plus la même qualité de fonctionnaires d'autorité, sans parler du ministre de l'Intérieur, ministre du poker et des petites pépés...

GLW

"Les CRS à l'origine des tirs affirment que les images de la vidéosurveillance ne sont pas d'assez bonne qualité pour permettre sa désignation et le capitaine des CRS refuse de transmettre pour examen balistique les 5 lanceurs de gaz lacrymogène. Comment qualifier cette entrave délibérée ?"

Soyons sérieux....
Voilà donc un capitaine de CRS plus fort qu'un procureur de la République, plus fort qu'un juge d'instruction, plus fort que sa hiérarchie directe, plus fort qu'un ministre.
A n'en pas douter ce capitaine-là est le Jean Moulin des CRS.
En fait la vraie question, c'est: "Qui peut bien autoriser une telle entrave ?"

boureau

L'extrême lenteur de la justice française n'est pas nouvelle cher P. Bilger. Dans ces affaires comme dans beaucoup d'autres. Et presque tout le monde, semble-t-il, s'en accommode.

Rien de nouveau donc sous le soleil : et "on" manque de moyens et il n'y a pas assez de personnel, etc. Refrains connus.

J'ai de la compassion pour Zineb. Je n'arrive pas à en avoir pour Steve.

Je rappelle que les CRS étaient venus demander l'arrêt de cette "soirée" et sa dispersion. Quelques dizaines de personnes ont continué. Elles n'ont pas respecté la loi. On connaît la suite.

Les personnes qui prennent le risque de se mettre en situation irrégulière n'appellent pas ma compassion quand le risque se transforme en accident ou en problème.

La responsabilité personnelle et civique ça existe.

Cordialement.

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@ Achille
"A noter que la Loire était à son niveau le plus bas et... les courants quasi inexistants."

Ah bon ! C'est nouveau, ça vient de sortir ?

Je vous rappelle que le débit de la Loire en début de saison d'été oscille entre 400 et 600 m3/seconde ! Donc courants il y a ! Et sérieux !

Par ailleurs, au cas où vous l'ignoreriez, les marées sont ressenties à Nantes qui est un estuaire, cher Achille ! Le marnage (amplitude entre marée haute et marée basse) est en cette saison de 2 à 3 m.

Si noyade il y a eu, le corps n'est certainement pas resté sur place ! Les noyades en Loire ne sont pas si rares (souvent des suicides). On retrouve généralement les corps quelques semaines plus tard à des kilomètres en aval.

L'enquête sera difficile et longue.

Cordialement.

Philippe Dubois

Bonjour Monsieur Bilger

Vous écrivez :
"...la police dont l'intervention, par définition, était de réaction et de défense."

Euh non ! Et je peux vous l'affirmer pour avoir été témoin direct d'interventions musclées des Forces de l'ordre (FDO), ou plus exactement d'unités de police employées par défaut dans le maintien de l'ordre, BAC essentiellement, sans aucune justification de défense ou de réaction légitime face à des dégradations commises.

Vos chiffres concernant les blessures infligées aux GJ me semblent mélangés.

Rompre la confiance qui doit exister entre la population et les FDO est une des premières préoccupations des dictatures (idem pour la justice).
Après avoir vu la Gendarmerie transformée en Gestapo des routes, les Français assistent impuissants au deux poids deux mesures en matière de répression policière.

Contre les racailles qui agressent les pompiers, pas de tirs de LBD, de gaz lacrymo, de GAV avec comparution immédiate ; dans ce cas, c'est doucement, pas touche et je me barre en courant.

http://varmatin.com/faits-divers/pierres-bouteilles-panneaux-des-policiers-tombent-dans-un-guet-apens-dans-une-cite-de-toulon-399277?fbclid=IwAR3CS1CBixmNYWt3JGAzdPiH5VpopEAEj5WfHD7RJYKpbM9Vbe1BzrXqUzw

Contre les Gilets jaunes, c'est open bar ainsi que contre toute entité n'appartenant pas à une catégorie protégée par les nuisibles qui nous gouvernent.

Il y a d'un côté les socialement proches et de l'autre les ennemis du peuple et ça commence à se voir.

J'espère que de nombreux policiers commencent à se poser des questions sur le mauvais rôle que ce gouvernement, aidé par une hiérarchie servile, leur fait jouer.

hameau dans les nuages

@ Tomas | 22 juillet 2019 à 07:02

Allons Tomas ! Vous savez très bien que les mouvements d'extrême gauche souhaitent ardemment ressortir le fantôme d'Oussekine du placard en poussant les forces de l'ordre à la faute... Les black blocs sont au travail pour ça et maintenant les gilets noirs pour les sans papiers. Il leur faut du sang pour alimenter leur moteur à deux temps: provocation, répression en jouant à qui perd gagne. Je les voyais, tapis dans l'ombre, lançant des appels au meurtre, parmi les Gilets jaunes...

http://www.drips.fr/wp-content/uploads/2018/05/drips-acab-1600bis-1600x843.jpg

J'ai prévenu mes gosses à Toulouse de plus surveiller leurs arrières que la rangée de policiers devant eux car c'est de là que venait le plus grand danger. Au fil des mois, ils ont vu les GJ être de plus en plus infiltrés par des adeptes de la guérilla urbaine et ils me rapportaient certaines tactiques dont ils avaient été les témoins.

Avoir des bavures policières est leur Graal, leur trip... en étant parfois eux-mêmes infiltrés par certaines officines.

Achille

« Je constate juste l'étrange indifférence qui semble tenir pour fatale la disparition de Steve Caniço. Comme s'il n'y avait plus rien à rechercher, à découvrir, plus personne à incriminer. Comme s'il convenait seulement de constater l'absence. Le président de la République s'est dit certes "préoccupé" mais cela ne fera guère avancer les choses. »

Concernant cette troublante disparition, je trouve surprenant que l’on n’ait pas retrouvé le corps, dans la mesure bien sûr où ce jeune homme se serait noyé.
Le lieu de sa disparition est bien localisé et un corps de noyé au bout d’un mois remonte à la surface.
A noter également que la Loire, au moment de l’échauffourée avec les forces de l’ordre, était à son niveau le plus bas et les courants quasi inexistants.
Il y a quelque chose de pas clair dans cette affaire.

Tomas

Faute du pouvoir, c'est beaucoup dire. On va juste dire qu'une fois de plus, la pire police d'Europe occidentale a encore frappé...

Elusen

@ Honorable Honoraire
▬ « Rien de plus normal dans un état de droit. »

Même les dictatures sont un État de droit !

▬ « des enquêtes diligentées, des informations ouvertes »

Vos collègues font tout pour étouffer les affaires !
Les juges d’instruction ont demandé des sommes astronomiques en dépôt de consignation pour instruire les affaires, les gens ne pouvant pas payer, les instructions n’ont donc pas commencé.

Articles 88 à 88-2 du Code de procédure pénale - consignation.

Comme il n’y a pas d’instruction, les victimes n’ont pas le droit à l’aide juridictionnelle, comme elle n’ont pas l’aide, elles n’ont pas d’avocat.

Tout cela c’est un avocat qui l’explique sur le site Arrêt sur images !

Arié Alimi, avocat membre de la Ligue des droits de l'Homme

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