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16 août 2019

Commentaires

hameau dans les nuages

Ah l'amour ! Même pas peur !

https://www.sudouest.fr/2019/09/04/patrice-alegre-le-tueur-en-serie-toulousain-veut-refaire-sa-vie-6520663-4697.php

Nathalie Delachaîssay

@ Catherine JACOB 19 août à 15 h 05

Comment prendre l'empreinte de quelque chose qui n'est que la bordure d'un vide ?

Fichtre ! Ce ne doit pas être aisé !

Un vide à combler avec « habileté » et circonspection mais sans « vanité ».

poil à gratter

@ Catherine JACOB | 21 août 2019
"Avec cet hymne touchant au maillot non rasé, le premier qui rira ira au piquet"

Rire un peu même au piquet c'est exceptionnel en ces temps de pleurnicheries franchouillardes ; il fait chaud (en été) - il fait trop sec (en été) - zut il pleut et même les orages (en été) osent pointer leur nez - regardez ce drame écologique, la grêle m'a bousillé 3 raisins.

Mais zut alors et encore, les récoltes de blé battent tous les records - mais, mais, mais zut, pleurons, ça va faire baisser les prix - putain de climat favorable aux moissons et surtout aux millionnaires céréaliers.

Les journaleux professionnels de la jérémiade crient au loup pour n'importe quoi.

Au fait, combien gagnent ces sonneurs de tocsin aux trémolos graves et attristés dans la voix ?

Encore combien de lamentations ?

Voilà une bonne préparation et motivation pour remettre les Gilets jaunes dans les ronds-points.

Vaut mieux aller au piquet pendant que les téméraires séducteurs concluent et "attrapent les jolies femmes désirables par la chatte" dixit Trump.

Noblejoué

A une époque, c'était la nudité qui choquait, à présent, il me semble que c'est le poil.
Dans tous les cas, ce tableau ne va sans doute pas laisser indifférent :

https://www.repro-tableaux.com/a/gustave-courbet/origine-du-monde.html

Le plus intéressant, peut-être, le chercheur qui a découvert ce qui était à la vue de tous mais ignoré :

https://www.arte.tv/fr/videos/085080-004-A/on-a-enfin-decouvert-l-origine-du-monde-28-minutes/

Pour le sexe masculin :

https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/f/f2/Barberini_Faun_front_Glyptothek_Munich_218_n1.jpg

Quand on prétend que l’ambiguïté sexuelle intéresse beaucoup aujourd'hui comme si ce n'était pas le cas avant :

http://blog.serifontaine.com/post/2012/12/08/pile-ou-face

Un coup d’œil sur une autre culture :

https://www.sansdirectionfixe.com/blog/zoom-sur-hokusai

Disons que le sexe en tout genre est beaucoup moins censuré.

Ce qui me choque :

https://www.centrepompidou.fr/cpv/resource/cMdzAer/rejLpXx

Si l'idée était de prouver que tout le monde a ses limites, c'était vraiment enfoncer une porte ouverte. Il est vrai que tout le monde prétend le contraire. L'art doit-il servir à prouver que les gens sont inconséquents ? Je trouve ça mesquin.
Pourquoi pas une installation de piège à mouches pour montrer que beaucoup d'insectes disparaissent : écologie plus installation si possible moche égale être dans le ton... D'autre part, je crois que les beaux arts ne se relèveront pas de l'urinoir, d'un côté, il y a ceux qui disent amen à tout, de l'autre ceux qui regardent les œuvres du passé en s’épargnant le n'importe quoi.

Catherine JACOB

@ poil à gratter | 20 août 2019 à 09:54
« Même celui désigné comme l'homme le plus puissant du monde conseille à ses amis éblouis par une femme désirable: "attrape-la par la chatte", c'est autrement plus classe que "par la vulve". »

Avec cet hymne touchant au maillot non rasé, le premier qui rira ira au piquet !

poil à gratter

@ Catherine JACOB | 19 août 2019 à 15:05
"Pour ma part, je dirais, selon l'adage bien connu, qu'on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre..."

Sauf les drosophiles, dite la coquine mouche du vinaigre.

Vulve, vulva, vulvo, vulvite, etc., les bons et vrais penseurs s'assoient sur le politiquement correct et voient les femmes comme uniquement des femmes appellent ce temple: "l'origine du monde" ou "l'avenir de l'homme".

Que de merveilles créées, écrites, chantées, pensées, peintes pour cet incontournable de la vie.

Selon la culture, l'éducation, la sensibilité, chacun voit ce mystère capricieux et en parle... à sa façon, selon ses inspirations et ses flagrances.

Même celui désigné comme l'homme le plus puissant du monde conseille à ses amis éblouis par une femme désirable: "attrape-la par la chatte", c'est autrement plus classe que "par la vulve".

Quand on parle de "coincés" voilà un mot qui indique bien un blocage, une infirmité et un manque de bonheur.

Au secours mes poètes et mes chanteurs bien-aimés "qui regardent sous les jupes des filles", plutôt que de faire appel à la science pour les égoïstes.

Après la science démago, vive la poésie sauvage.

Catherine JACOB

@ kacendre | 18 août 2019 à 02:24
"Au secours Sigmund."

Comme vous dites !
Et c'est aussi ce que j'ai pensé en suivant le documentaire d'ARTE d'hier soir intitulé Viva la Vulva qui donc, traitait de la vulve sous son nom anatomique, et a consisté en diverses interviews en allemand (traduit) et en français, dont celle de l'auteur de l'ouvrage éponyme qui a notamment avoué qu'avant d'écrire son livre elle s'était sentie interpellée par l'aspect phallique des clochers - elle ne s'était donc manifestement pas posé la question de la hauteur à laquelle une cloche (avec son battant) devait être suspendue pour résonner au loin dans les campagnes, et pas non plus celle d'une architecture des toits adaptée aux intempéries comme par exemple le poids de la neige etc. avant de représenter un éventuel symbole phallique, comme par exemple peuvent l'être certains monuments indiens dépourvus et de cloche et de toit tels les Lingam et les Yoni où se voit révéré Shiva en tant que principe causal non divisible - mais que "depuis elle voyait des vulves partout" (sic).

J'ai pensé que c'était là un nouvel exemple du manque de culture de certaines féministes qui nous décrivent souvent leurs fantasmes sous couleur de la défense des femmes. Cela étant précisé, j'ai quand même appris quelques petites choses et les prises d'empreinte de vulve (imaginez-vous l'inverse, faudrait-il en prendre l'empreinte en état de gloire ou au contraire en état de repos pour avoir une image représentative de la masculinité qui ne passe pas pour de la pornographie ?), bref, ces prises d'empreinte m'ont donné diverses choses à penser en rapport avec l'iconographie, paléolithique notamment mais pas que.

Par ex. que comme on peut voir dans la forme donnée au corps de la Venus de Laugerie-Basse qu'on a appelée «Le Prieur Supplicant», une patte de canidé en rapport avec la symbolique des accouchements,

on peut voir dans la forme générale donnée au corps de certaines Vénus paléolithiques pour ne parler que de celles-ci, une évocation des dessins et autres empreintes de vulves abondamment déroulés par ARTE.

Sans compter le fait qu'en guise de conclusion aux opinions sur la vulve et son anatomie véritable, on a eu droit à un sourire carnassier, dents blanches étincelantes, bien que toutefois sans canines marquées, ce qui eût été plus intéressant, et yeux brillants à la Macron regardant Sarkozy.
Pour ma part, je dirais, selon l'adage bien connu, qu'on n'attrape pas les mouches avec du vinaigre...

Dismas Youssouf

J'illustrerai ce qu'écrit notre magistrat honoraire par un cas typique de cette société aux valeurs de gauche frelatées :
celui d'une femme, à l'époque déléguée CGT chez Framatome où elle occupait un emploi d'ingénieur, féministe et militante en faveur de l'avortement, tiers-mondiste, issue d'une famille d'enseignants de gauche (tous deux professeurs de lettres classiques).
Diplômée d'une grande école d'ingénieurs de Lyon, elle se mit en couple avec un Tunisien, bel homme de sa personne, qui exerçait la profession de... chauffeur routier (sic !).
Cette liaison dura douze ans et trois filles virent le jour, auxquelles il fut donné des prénoms à consonance russe (Ludmilla, Halina, Alexia), ce qui en dit long, dès le départ, sur le no man's land culturel auquel elles étaient assignées en gommant, à l'état civil, les origines tant françaises que maghrébines qui étaient les leurs.

Notre géniteur, émule de M. Epstein de par ses besoins sexuels incoercibles, avait, en dehors du foyer conjugal, pris un studio dans lequel il recevait ses maîtresses. Chacune avait sa clef et son verrou attitré (cinq au total). On se demande comment elles pouvaient fermer les yeux et... ouvrir le reste en entrant dans ce "Fuckingham Palace" qui ressemblait à une maison d'abattage...

Notre femme de gauche supporta vaillamment cette situation humiliante qui ne l'empêcha aucunement de procréer en connaissance de cause : Monsieur était un bon père et elle espérait qu'elle allait le changer (sic !).
Ah, qui dira cette soif de rédemption chez de belles âmes de gauche par ailleurs agnostiques ?

Ce qui devait arriver finit par advenir : le couple vit les dissensions s'accroître et la rupture se produisit lorsque la maman apprit que le père avait pour projet d'enlever les enfants et de les conduire en Libye.

En catastrophe, elle abandonna son métier chez Framatome et le foyer conjugal, accompagnée de ses trois enfants, se réfugiant de lieu en lieu avec des détectives à ses trousses...

Quant au monsieur, il se maria avec une Française à laquelle il fit deux autres enfants avant de la quitter.

Aux dernières nouvelles il s'est mis en ménage, à près de 60 ans, avec une jeune maghrébine d'une vingtaine d'années qu'il va sans nul doute engrosser à son tour.

Voilà la société "multiculturelle" telle qu'elle est vécue en pratique...

Il me semble que cela se passe de commentaires, n'est-ce pas ?

Madame s'est mariée (religieusement cette fois) avec un Français de souche. Mais elle l'a brusquement quitté, sans la moindre explication, tout en l'assurant des "sentiments réels" qu'elle éprouvait pour lui...

Lénine disait que celui qui tient la femme tient la société.

Patrice Charoulet

Madame Catherine Jacob,

Il y a quelques trimestres, ayant dit ici que je ne savais pas faire de copier-coller, plusieurs d'entre vous avaient eu la gentillesse de m'expliquer. Maintenant, je sais. Je leur en suis toujours très reconnaissant.

Cette fois, Madame, c'est vous qui m'expliquez de manière très complète ce qui concerne les PDF. Extrêmement bête, je ne comprends pas tout. Un fils parisien, grand geek, vient nous voir mardi. Je lui ferai lire votre explication : il va tout comprendre et me faire faire patiemment l'exercice dont vous me parlez aimablement.
Grand merci, Madame.

Patrice Charoulet

VOLTAIRE OU ROUSSEAU ?

Monsieur Savonarole, qui voulez cacher votre nom,

Depuis trois ans que je suis ici, j'ai parfois goûté votre esprit, vos pastiches, vos brocards, vos audiarderies... Vos flèches ont parfois été pour moi. Pourquoi pas ?

Dans un texte que vous m'adressez, vous me dites que rien n'est gratuit, ni l'eau, ni l'air, ni la conversation, ni la marche à pied... Ah bon ? Et vous parlez à mon sujet de "rousseauisme de pacotille".

Mauvaise pioche ! Je suis tout sauf rousseauiste. Comme Sollers, je passe, une fois de plus, un été avec Voltaire. Quel enchantement ! J'ai la même aversion que lui pour tous les fanatismes religieux et les fous furieux qui désolent notre globe.

Je n'ai nul besoin de Rousseau pour aimer ce que j'aime et ne pas aimer ce que je n'aime pas. Si vous hantez des restaurants trois étoiles, si vous avez un hôtel particulier à Paris et une somptueuse villa dans un pays voisin, une Porsche, un tailleur renommé, grand bien vous fasse ! La plus grande preuve que je ne suis pas de gauche (certains en ont douté ici) : je n'envie personne, ni vous, ni Arnaud Lagardère, ni Bill Gates. Vous auriez tort de ne pas me croire. Je vous en assure, sur l'honneur.

Et ne vous en déplaise, je continuerai à aimer l'air, l'eau, la marche à pied, la conversation, les jardins publics et les bibliothèques.

Michel Deluré

@ Patrice Charoulet 17/08 17:26
« Je le confesse, j'ai un grand faible pour tout ce qui est gratuit ».

Mais quelle illusion que de croire que ce « tout » auquel vous pensez, à quelques exceptions près, est gratuit !
Il ne vous échappe pas que toute chose a un coût et que, dans ces conditions, ce coût doit bien, d'une manière ou d'une autre, être couvert par quelques ressources.
Et ce coût, c'est la collectivité - et donc vous-même - qui le paie au travers des impôts.
Cette gratuité présente en outre le défaut majeur de masquer à l'usager le coût réel du service qu'il utilise et ainsi, par voie de conséquence, de le déresponsabiliser.
Elle engendre aussi des abus de la part de nombre d'usagers qui font supporter à la collectivité, y compris à ceux de ses membres qui n'utilisent pas ces services gratuits, des surcoûts, des gaspillages, dont cette même collectivité se passerait fort bien.

Catherine JACOB

@ Patrice Charoulet | 17 août 2019 à 17:26
« J'apprends qu'on peut les lire en « PDF ». Bonne nouvelle ! Il faudra qu'on m'explique ce que ça veut dire "PDF" et comment on fait »

« Le Portable Document Format, communément abrégé en PDF, est un langage de description de page présenté par la société Adobe Systems en 1992 et qui est devenu une norme ISO en 2008.
La spécificité du PDF est de préserver la mise en page d’un document – polices de caractère, images, objets graphiques, etc. – telle qu'elle a été définie par son auteur, et cela quels que soient le logiciel, le système d'exploitation et l'ordinateur utilisés pour l’imprimer ou le visualiser. »
Extrait article descriptif -

Admettons que vous ayez écrit un article sur l’ « orchidée-pensée » qu’on appelle Miltonia et que vous souhaitiez l’enregistrer dans le format dit PDF.
Vous allez devoir vous livrer à un certain nombre d’opérations telles les suivantes :

Vous écrivez votre article, par ex. sur les Miltonia, sous Word:

puis vous cliquer sur « enregistrer » et vous aboutissez, en tout cas sous la dernière version de Word et Windows10, ICI :

Vu que vous ne souhaitez pas enregistrer votre texte dans le format dans lequel il a été rédigé, à savoir Word, vous ne cliquez pas sur « enregistrer » tout court mais sur « enregistrer sous » et vous aboutissez ICI où vous allez pouvoir modifier le format du document en cliquant sur « type »:

Le logiciel va alors vous proposer une série de formats divers et vous allez sélectionner avec le pointeur, le format PDF pour l’enregistrer dans le dossier qui vous conviendra. Vous aboutissez alors à cette configuration:

-

Vous ouvrez ensuite le dossier que vous avez sélectionné et vous constatez qu’il s’y trouve bien désormais le fichier PDF que vous venez de créer avec l’aide de Word

Autre méthode, vous pouvez demander directement à Wikipédia de vous transformer pour enregistrement par vos soins, son article en divers formats et/version dont le format PDF

Est-ce assez clair pour vous ?

Noblejoué

Tout le monde ment. Mais le pire mensonge est celui qu'on se fait à soi-même... Mieux vaut être menteur que mensonge.

Sans croire à une religion, on peut intéresser aux textes... A mon avis, s'il existe un prince du mensonge, il ne ment pas sciemment aux humains, croyant être plus qualifié que Dieu, il se ment à lui-même.
Je ne le pense pas contre les humains, d'ailleurs... La dispute entre celui qui nous condamne à souffrir et à mourir et je veux prendre la place de l'autre ne nous concerne guère, à ce que nous voyons, aucun des deux ne nous sauve. Comme dans les disputes entre seigneurs, les serfs ne sont guère, à mon avis, concernés que comme victimes de dégâts collatéraux.
C'est à nous-mêmes de tout faire pour nous sauver. Donne pour que je te donne, l'un des deux n'a qu'à se presser, je pense qu'il est possible que nous nous libérions sans personne de notre triste sort.

Distinguons dans le mensonge, il y a le licite, voire le bon, de l'opprimé ou du prudent qui se cache. D'un certain point de vue, le masque est mensonge.
D'un autre point de vue, le masque est vérité, on dit ce qu'on veut hors des rôles et codes imposés, la vérité superficielle est sacrifiée à la vérité profonde tandis que d'habitude, c'est l'inverse.

Le mensonge licite est celui de la personne traquée ou qui risque de l'être.

Le mensonge illicite est celui du déloyal, la personne qui en toute liberté s'est engagée à quelque chose et ne le fait pas.
A mon avis, il faut s'engager pour le strict nécessaire. La loyauté n'est pas un kilo de pomme de terre mais un diamant, peu importe qu'on fasse souvent ce qui n'est pas difficile, ce qui compte est de toujours faire ce qu'on dit, si on ne le fait pas, on produit comme un gros crapaud dans un diamant.

Il est donc licite de mépriser le traître comme un impur. On est ce qu'on fait. Il l'est donc.

La culture anglo-saxonne respecte plus la vérité que la nôtre, parfois, cela va jusqu'à l'indiscrétion. Dans notre culture, il y a respect de la vie privée, mais le mépris de la chose publique, bien des gens sont d'accord pour mentir au peuple dans le but de faire avancer leurs idées politiques.

A mon avis, il faut faire ce à quoi on s'engage, loyauté, et masquer sa vie, maîtrise de l'information, le savoir est une forme de pouvoir que tout le monde a, il est fou de voir tant de gens la gaspiller... Parce qu'évidemment, il peut être utile de se montrer, c'est à calculer au cas par cas. Une perte contre un gain, sacrifier une distance de sécurité pour atteindre un but.

Comme disait l'autre, si ton épée est trop courte, avance-toi d'un pas.

kacendre

Quelle découverte...
Monsieur Bilger, magistrat mondain en retraite, dixit un de ses alter ego, manque vraiment de culture...

"Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point"... eh oui, Blaise Pascal l'avait découvert, osé et écrit dans ses "Pensées"... en l'an 1670, bien avant Freud.

Cet oubli est sûrement une des explications qui révèle la lourdeur et la brutalité des acteurs des Parquets... qui peuvent dire tout ce qu'ils veulent ou pensent sans jamais rendre de compte à personne... surtout pas aux péquins de la plèbe qu'ils peuvent briser sans vergogne ni remords.

La justice qui veut tout juger et mesurer au trébuchet de ses oukases devrait s'assurer d'un minimum de connaissances de la part de ceux qui manient le glaive.

Revenant sur le contenu du billet assassins-bourreaux et leurs admiratrices, faudrait pénétrer et danser dans la sarabande des phéromones qui se bousculent et se bagarrent chez les femmes qui se cherchent et ne savent plus à qui s'adresser pour les comprendre... les satisfaire et être à la hauteur et la mesure de leurs désirs et de tous leurs désirs de domination... et être dominé par un être extraordinaire et surtout qui sort du commun...

Au secours Sigmund.

Claude Luçon

@ Savonarole | 17 août 2019 à 19:33

Avouez que PC à un avantage sur vous, il n'est pas soumis au tourisme de masse dont vous vous plaigniez récemment ! Seriez-vous jaloux ?
D'autant plus qu'ils vous font payer des impôts pour nettoyer les ordures qu'ils laissent derrière eux à Barcelone.

Demandez à vos touristes britanniques, ils vous diront : "there are only two things man cannot avoid, death and taxes :)

Claude Luçon

@ Tipaza | 17 août 2019 à 17:43

Un compromis s'impose : disons que les extrêmes se rejoignent ??
A travers le masochisme bien sûr !
Si vous mettez les deux ensemble vous obtenez une dépression bipolaire : le charme personnifié un instant, la cruauté tout autant personnifiée l'instant d'après.

Savonarole

@ Patrice Charoulet de 17:26
« Je le confesse, j'ai un grand faible pour tout ce qui est gratuit : l'air, l'eau, les bibliothèques, les jardins publics, les promenades, la conversation... »

L’eau fait partie de vos impôts, les bibliothèques aussi sur le budget pharaonique de la Culture qui s’y connaît en matière d’exception culturelle française, les jardins publics et leur entretien se retrouvent dans vos impôts, les promenades dans le bois de Saint-Cucufa (Yvelines) aussi. Des milliers de fonctionnaires s’y emploient, et vous croyez que c’est gratuit ?
Rousseauisme de pacotille.

Faut-il avoir été fonctionnaire toute une vie pour croire qu’en France il y a des choses gratuites.

Lucile

@ genau | 17 août 2019 à 00:11

Vous si lucide, ne vous êtes-vous pas aperçu que tout le monde ment, y compris les hommes, et les femmes ? Tout le monde dissimule, y compris les hommes, et les femmes. Pourquoi vous débarrasser sur elles seules de ce qui est si répandu, et si universel ?

Bruno Crayston

Quelle femme aurait pu tomber amoureuse de Fred West qui aurait violé sa propre fille et probablement tué (et violé ?) la fille qu'il a eue avec sa seconde épouse ?
De toute façon il s'est pendu dans sa cellule avant son procès…
Sa seconde épouse a été sa complice pour quelques meurtres, condamnée à dix peines de prison à vie…

Tipaza

@ Claude Luçon | 17 août 2019 à 15:20
« Ces femmes sont à rapprocher de celles qui, humiliées, insultées, battues, persistent à vivre avec le même compagnon quelle que soit sa brutalité verbale et physique. »

Nous n’avons pas la même perception des comportements. Je crois qu’elles sont à l’opposé.

Les unes, femmes battues subissent le mal, involontairement parce qu’elles sont trop faibles ou volontairement parce que masochistes peut-être.

Les autres, celles décrites par le billet, veulent prendre possession du mal et le contrôler.
En épousant le « monstre » en question, elles pourront dire MON mari en parlant de lui.
Le possessif est banal, mais cette banalité dans le cas présent fait sens, elles se sont approprié le mal dont les autres veulent se débarrasser.

Mentalement ou psychiquement (pour employer de grands mots) ce sont des comportements si différents qu’on se demande si les plus à plaindre ne sont pas celles qui veulent maîtriser l’immaîtrisable, le mal à l’état pur.
Il y a là un vice ou une perversion (pour les grands mots là aussi) dont je me méfierais si j’étais celui qui se laisse embarquer dans une galère de mariage avec une femme dont le but ultime est la maîtrise du Mal au travers du mâle, pour le transformer éventuellement en Bien.

L’enfer est pavé de ce genre de bonnes intentions.
Mais bon, ce n’est pas mon problème comme dirait l’autre !

Patrice Charoulet

MURAY GRATUIT

Allant, ce samedi 17 août, dans ma bibliothèque municipale, pour parcourir la presse quotidienne et hebdomadaire, je vois qu'on a offert, dans Le Fig Mag, à la chère Elisabeth Lévy, deux pages pour évoquer Muray, et en particulier son livre « L'Empire du bien ». A la bonne heure !

Or, par le plus grand des hasards, un de mes amis, qui ne travaille pas ces temps-ci en France, mais dans un pays voisin, venait de me parler de ce livre qu'il lisait avec délectation. Comme nous échangions par courriels, et que je n'avais pas lu ce livre-là, il venait de me l'adresser en « PDF » ! Gallica offre un million de livres aux lecteurs, mais les livres doivent avoir plus de 70 ans, je crois. Les livres récents, il faut les emprunter ou les louer. J'apprends qu'on peut les lire en « PDF ». Bonne nouvelle ! Il faudra qu'on m'explique ce que ça veut dire "PDF" et comment on fait.

Je le confesse, j'ai un grand faible pour tout ce qui est gratuit : l'air, l'eau, les bibliothèques, les jardins publics, les promenades, la conversation... et, désormais, Muray en PDF.

Catherine JACOB

@ genau | 17 août 2019 à 00:11
"...mensonge et dissimulation, travers spécifiquement féminins."

Plutôt défense contre la force brutale et armes de la faiblesse qui n'est pas l'apanage des femmes, cher ami !!

Claude Luçon

Ces femmes sont à rapprocher de celles qui, humiliées, insultées, battues, persistent à vivre avec le même compagnon quelle que soit sa brutalité verbale et physique.
Qui, après avoir toléré ce genre d'existence pendant quarante ans, lui avoir donné des enfants, abattent ledit compagnon d'une balle dans le dos.
Le masochisme poussé à l'extrême ?

genau

Autant en emporte le vent......... il me semblait que de Quincey serait démasqué. Lui répondre ne fera de mal à personne, mais, en toute sincérité un oxymore ou paradoxe touchant à l'absurde n'a que peu de chances d'être contredit puisque la contradiction est dans son énoncé même, en constitue l'essence. Mais, par jeu, bonne chance.

duvent

@ genau | 17 août 2019 à 00:11
« De toutes les façons, le crime est condamnable en ce qu'il conduit au mensonge et à la dissimulation, travers spécifiquement féminins. »

Une phrase, c'est un peu court...
« féminin...s », éternel !
« spécifiquement », c'est étroit et c'est faux !
« le crime est condamnable » c'est vaste et c'est juste !
« au mensonge et à la dissimulation », autrement dit ?

Ce n'est pas facile de répondre à ça, donnez-moi une heure et je vous réponds du tac au tac !

genau

De toutes les façons, le crime est condamnable en ce qu'il conduit au mensonge et à la dissimulation, travers spécifiquement féminins.

Patrice Charoulet

« ...candidat à la mairie de Paris »

Ecoutant l'émission de débat sur LCI, vers 19h, je suis un peu surpris de lire, après le nom de l'un des participants, Gaspard Gantzer : « candidat à la mairie de Paris ». Ce monsieur, qui fut conseiller en communication de Hollande, doit sans doute être plutôt socialiste. Anne Hildalgo, maire, est socialiste aussi. M. Griveaux, ancien ministre macroniste, est dit aussi « candidat à la mairie de Paris ». LR va sans doute aussi nous dire un jour aussi qu'une personne de LR sera « candidate à la mairie de Paris ».

L'ennui est que le maire de Paris n'est pas choisi directement par les électeurs, mais par les conseillers de Paris. Quand la majorité fut de droite, on eut Jacques Chirac, puis Jean Tiberi. Quand la majorité de ces conseillers devint socialiste, on eut Bertrand Delanoë, puis Anne Hidalgo.
Le gros lot sera pour la personne qui aura la majorité des voix des conseillers de Paris des vingt arrondissements.
Cela ne rime à rien de mettre à côté de Gaspard Gantzer « candidat à la mairie de Paris ».

vamonos

Comme l'avait souligné M. Pivot, éminent spécialiste de la langue française, le mot femme s'écrit avec deux lettres "e" mais se prononce "fâme" et il ajouta, avec les femmes ce sera compliqué. Cela commence dès la prononciation du mot femme.

Je ne cèderai pas à l'exercice de style qui consisterait à me glisser dans la peau d'une femme. Tout d'abord, parce que j'en serais bien incapable, car lorsque je vois le corps d'une femme je fais rapidement la différence avec celui d'un homme, même dans les cas litigieux. Ensuite, la mode actuelle, admise dans les cercles intellectuels dits progressistes, me laisse complètement froid. Non, je ne suis pas une femme, ni à 10, ni à 20, ni à 30 % et il n'y a aucune chance que cela change puisque je n'ai aucune motivation pour devenir un bienfaiteur de l'industrie pharmaceutique qui propose dans les rayons des pharmacies des médicaments étonnants. En effet, ils provoquent des déviations hormonales pour que les femmes obtiennent de la barbe et les hommes une augmentation des capacités vocales dans le sens des aigus. Billevesées que tout cela, mais revenons au sujet.

Puisque je suis incapable de me glisser dans la peau d'une femme, j'aurais bien voulu, pour faire plaisir à notre hôte, tenter de raisonner comme une soupirante qui va se jeter dans les bras d'un tueur en série. Mais là encore, j'avoue rester de marbre et complètement désabusé. Je n'ai pas l'instinct d'une maman qui pardonnera toujours à son chérubin au motif que ce n'est pas la faute de son petit. Et il faudrait qu'en plus je fasse le transfert affectif que j'ai cru détecter chez une femme qui confond son amant avec l'enfant qu'elle n'a pas eu et qu'elle a toujours rêvé de tenir dans ses bras.

Par contre, je peux imaginer tenter de séduire une criminelle comme par exemple M. Depardieu dans le film "Les valseuses". Mais je n'ai pas ce tempérament de chasseur de proie aux abois. Je peux aussi imaginer tenter d'obtenir un rendez-vous avec la belle d'origine iranienne qui fut condamnée en première et en deuxième instance dans le procès du "Gang des Barbares". Mais non, elle pourrait récidiver, ce n'est pas une femme pour moi, je préfère dormir seul que mal accompagné.

aristide

Ce titre "Des belles et des bêtes" me fait penser à la rencontre trop cordiale d'Emmanuel Macron et de Nicolas Sarkozy à Saint-Raphaël..

Je relisais dernièrement Lucien Leuwen de Stendhal (Henri Beyle) ou l'auteur nous fait revivre des intrigues politiques entre les ministres, députés, préfets, banquiers et les tractations qui s'opèrent lors de élections, nous sommes dans les années 1830 et suivantes et pourtant les hommes semblent ne pas avoir changé.

J'entends Sarkozy dire à Macron : "Cher Président, les poursuites de vos procureurs me lassent, débarrassez-m'en".

Et Macron de lui répondre : "Cher monsieur, mes préoccupations actuelles sont celles des prochaines élections il me faut gagner au moins 10 000 mairies, procurez-moi au moins 2 000 des vôtres et je verrai".

On retrouve également, dans ce livre, les traces de Patrice Charoulet sous le pseudo d'un agent du ministre de l'Intérieur, ce livre est absolument à relire.

Denis Monod-Broca

On juge et on punit pour que celui qui est ainsi jugé et puni retrouve, peine accomplie, sa place dans la société. Ce pardon laïc n’est-il l’objectif principal de la Justice ? N’est-ce pas lui que ces « belles » mettent en application ?

Et n’oublions pas trop vite que, auteurs (collectivement parlant) de crimes épouvantables au cours de l’histoire, y compris récente, nous sommes nous tous aussi, à bien des titres, des « bêtes »...

Achille

« On ne parvient pas à tout savoir des incroyables mécaniques humaines mais tenter de les démêler procure une obscure volupté. »

Le fameux syndrome de Stockholm est aussi un aspect de ces incroyables mécaniques humaines. Tout comme ces enfants maltraités qui prennent fait et cause pour leurs bourreaux de parents.
La nature humaine est pleine de contradictions qui échappent à la raison. Mais que serait un monde où la logique serait la seule référence ? Sans doute serait-il invivable...
C'était ma réflexion philosophique du matin.

Xavier NEBOUT

Il s'agit tout simplement de l'instinct maternel, les femmes plus que les hommes ayant par ailleurs plus de mal que les hommes à dominer leurs instincts - d'où l'expression, datant sans doute de l'époque où les hommes étaient des singes, "sexe faible".

yves albert

C'est ce que l'on appelle le goût du monstre.

La belle est une dingo qui s'amourache d'un être "particulier", criminel ou pas.

Et il suffit de regarder autour de soi pour s'apercevoir qu'elles sont nombreuses.

Tipaza

J’ai cherché en vain les belles sur la photo, je n’y ai vu que des femmes qui avaient l’air plutôt bêtes.

On pourrait extrapoler cette appétence pour le monstre et le malheur qui en résultera, aux peuples qui se livrent avec l’aveuglement de ces femmes bêtes aux pires tyrans, de Staline à Hitler en passant par notre Napoléon dont c’était l’anniversaire hier, et qui fit tant de dégâts et tant de morts en Europe.

Son bilan fut à l’égal de celui d’autres tyrans, il finit par obtenir le contraire de ce qu’il voulait.
Pertes des conquêtes territoriales de la Révolution et affaiblissement de l’influence française au profit de celle qui était l’ennemi héréditaire d’alors, l’Angleterre.

Il est vrai qu’en psychologie des foules on attribue à la foule indifférenciée les caractères négatifs féminins, hystérie et irrationalité, avec en plus la versatilité.
Toutes qualités qui furent autrefois (je prends des précautions oratoires, Marlène veille !) des vertus spécifiquement féminines et sur lesquelles il convient de jeter un vole pudique.
On les retrouve d’ailleurs chez certains hommes, fans et électeurs de Macron, se précipitant pour faire des selfies avec lui.

La tradition veut que le 15 août marque la fin de l’été et le début de la rentrée.
C’était une mise en bouche pour l’automne qui arrive.

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